Aguichante opale brune

Un miroir sibylin m’a présenté l’existence d’un chaleureux regard doré, bordé de rivages lointains, au centre de l’éblouissement d’une nuit qui irradiait parmi les astéries.
Je n’ose qu’effleurer d’envies, ce consept,
cette réalité subliminale, cette aphorisme idyllique,
pour préserver cette incandescence moirée à l’endroit de mon horizon.
Ses yeux inondent le ciel de mes facultés,
m’enferment dans le désir d’une union insécable.
Aucune image ne saurait décrire la déchirure que provoque
l’étincelle du firmament au paysage de ses pensés.
Je ferai en sorte que le de mes mots vienne troubler ses idées.
Chaque passage de lune est un poème qui n’a d’autre raison d’exister
que d’être, le matin, déposé à ses pieds.
Mon humble existence est caressée par les moments, troublants, de ta présence.
Je voudrais te confier mon âme cachée dans l’étendue de ce miroir langoureux
Mais serai-je suffisamment forte pour rendre heureux, ce prince, cet homme qui en demande tant ?
Mes émois s’illuminent au contact de son sourire.
La raison n’est plus en moi, je ne dors plus du tout, il est mon rêve éveillé...
L’insondable puit de la mélancolie est rempli de joie,
depuis qu’il a croisé mes pas.
Il incarne le mot " amour" pour toujours.
Il est l’essence de la vie,
il n’est que pour moi.
Et maintenant, je l’ai perdu, pour toujours



joullia
Sam 30 Déc 2006, 22:29 par joullia sur Parler d'amour

Les larmes d’une rose...

Elle l’aimait tant et tant... Il avait vécu. Comme d’autres. Il avait souffert. Il avait décidé de se taire... Savait-il ce qu’il faisait ? Ce qu’il lui faisait ? La souffrance dans son cœur ? Savait-il bien ? Ecris-moi tout ce que tu veux, tous tes mots d’amour, disait-il... La rose puisait dans sa sève, elle se mourait de lui... Mais silencieuses comme la glace les lèvres restaient serrées... Le silence répondait seul à ses mots d’amour.
But you don’t really care for roses do you ?
Le temps semblait si long à la rose, elle manquait de la lumière de son regard, de la chaleur de son être, de l’eau de son amour... Elle s’épuisait... J’ai mal, lui disait-elle.. Mais l’entendait-il ? Pourquoi ? Et des larmes de rosée perlaient à ses pétales... Il humait son parfum. Les regards ailleurs...
But you don’t really care for roses do you?
Ecris-moi disait-il... Et pour ne pas mourir du manque qu’elle ressentait elle écrivait, elle écrivait... Elle chantait comme chantent les roses dans le du vent. Elle chantait comme on vit. Elle tournait ses regards vers lui mais il ne la voyait pas...
But you don’t really care for roses do you ?
Le vent a emporté les derniers pétales de la rose. Il marchait dans la rue, le vent lui jeta sur la poitrine ce frêle trophet. Il les porta à ses regards, puis quand il comprit de quoi il s’agissait, les froissa et les lança à la nuit qui tombait. Il épousseta son pardessus. Il passa son chemin...
But you don’t really care for roses do you ?
Sam 16 Déc 2006, 16:55 par dolce vita sur L'amour en vrac

Oxford-on-Avon

Je t’imagine avec tous ces touristes, regardant, écoutant, riant, soupirant et puis, j’imagine tes regards et tes pensées s’envoler de l’autre côté du bras de mer, dans un petit coin de France que tu ne connais pas... J’imagine tes doigts effleurant mes lèvres, ton courir sur ma nuque ton visage enfoui au plus tendre. Tu me respires... La musique The Tower of Learning exalte doucement notre émotion... J’imagine tes regards qui se perdent au delà du visible, au delà du temps et des lieux, au delà des personnes... Je vois tes lèvres bouger... Tu me regardes, tu as pris mes poignets dans tes mains, tes yeux qui fixent les miens et tu me parles... Je sens que ce que tu veux me dire te brûle.. Il y a si longtemps que tu as gardé prisonniers ces pauvres mots, ces mots que j’ai gardé sur mon portable, ces mots de toi, ces mots que je t’ai chanté si longtemps, si souvent, ces mots qui habitent mon coeur... Et puis, tu murmures mon prénom. Je te souris. Pour une fois, c’est moi qui fait silence, pour une fois... Je te parle mais tu es si loin. J’ai vu ton regard désemparé, j’ai deviné ta peur. J’ai pris ton visage entre mes mains, et je t’ai répondu en embrassant ta bouche comme je meurs d’envie de le faire depuis une infinité de temps... J’ai recueilli ton soupir sur mes lèvres. Careless whisper[...]
Tu es seul au milieu d’une foule de gens, une femme à ton côté qui te parle, tu ne l’entends pas.
Sam 16 Déc 2006, 15:56 par dolce vita sur Histoires d'amour

Alivella

La chaleur ici, les muscs d’Alivella
Pieds nus sur la terrasse, vive la dolce vita !
Parcourant la prairie du ciel et ses boutons
De fleurs illuminés dont tu connais les noms...

La douceur est ici elle parcourt nos deux corps
Et nos coeurs à l’envie vibrant dans ce décors.
Tu m’as parlé des arbres et les maisons de pierre
Pour moi ont toutes une âme c’est celle de tes pères...

J’aime le chant de ces voix profondes et habitées
Envoûtantes et vibrantes au coeur des châtaigniers
Des hommes de là-bas, multiples harmonies,

Raconte, raconte encore, là, couchés sous la voûte
Qui portent des échos dont nul être se doute
Si ce n’est les étoiles complices, nos amies...
Sam 28 Oct 2006, 20:27 par dolce vita sur La vie à deux

KEEP IN' TOUCH

Touche
Et, Vas y, Regarde!
Sâches que je ne t’aime pas.

Tu menace mon Épicerie Favorite alors que
Papa et Mama ont Adam depuis quelques mois...
Je te défonçe la G.., ac mes yeus de blonde
Je chausse du trente six par mes Cater Pilar
...

Un Coup est FATAL

Je le porte.

Tant que j’ habite dan cette rue
Aucun mal tu nous porte.

Et si, avant de mourir, il te manquait un

Sâche que Biba n’ aurai aucun doute

À détourner regard, et à vriller Moustache

Elle serait sur Ton Torse, Et Moi, ...

En Demandant que l’ on change ce fameux Digicode.

Me dirais que je t’ Aime.

Mais...

BIB est en danger

Et MOI, DE MÊME.

Pouet pouet...
Dim 22 Oct 2006, 20:58 par Chogokinette sur Un monde parfait

Je l'aimais

Bon ben c’est mon premier texte enjoy it or not.


C’est en marchant sur les quais de Seine que je l’ai rencontrée. La chevelure brune dans le vent, la peau matte, les yeux verts, elle était belle. Le soleil couchant teintait l’eau d’un reflet doré, un léger vent faisait voler les feuilles d’automne. Je me décide à lui parler, je demande une cigarette mais elle ne fume pas. Je ne sais pas pourquoi je perds mes moyens, je souris bêtement, je bafouille, je regarde mes pieds n’osant affronter son regard. Elle se demande ce que j’attends mais elle sourit finalement. Ce sourire, ô ce sourire, cette sorte de sourire que sont parfois les fleurs au milieu d’herbes graves, cette sorte de sourire qui font que le temps s’arrête, cette sorte de sourire qui vous fait perdre la tête. Je m’assoie timidement à ses côtés et nous parlons. Nous parlons encore et encore, de tout et de rien, du beau temps de la pluie, des amours, des ennemis, suis je lucide ou atteint de folie, je tombe amoureux, ô funeste ennemie !Comment pourrais-je la quitter, celle que j’aime, ma destinnée ? J’ose alors lui demander un numéro où je peux la rappeler. Elle accepte, je suis heureux, je pourrais peut-être la revoir, et ce tout petit espoir, rend ce monde merveilleux.

Arrive, plus tard, la concrétisation de mes espoirs, enfin je vais la revoir. Le premier rendez-vous, celui qui te fait à la fois si peur et si plaisir, celui qui fait battre ton coeur si fort, si fort. Celui qui accélère ta respiration et rend tes mains moites, celui que tu attends et redoutes à la fois. La place St michel - où veille l’ange Gabriel, où le bruit de la fontaine berce les artistes - est le lieu où je la reverrai. Je la vois, elle me voit, elle sourit, je flamboie, elle s’avance, mon coeur bat, je l’aime et je ne sais pas. Je ne sais pas si c’est réciproque, je ne sais pas si elle m’aime ou pas, ô amour tu me tueras, ô toi comble de l’union de la folie et de la sagesse. Je lui fais la bise, sa peau est si douce, son parfum ô son parfum, les parfums sont les sentiments des fleurs et le sien fait battre mon coeur, mais comment décrire le monde des odeurs? Je ne le sais pas. Je suis amoureux, étrange bonheur malheureux. Nous marchons, nous parlons, nous dînons et nous remarchons. Je sens des goutes de pluie sur mon visage, elle ouvre son parapluie, je me rapproche. Je me perds dans l’océan de ses yeux, elle les ferme, je me rapproche encore, j’ai mal aux côtes à cause de mon coeur, je sens son chaud puis doucement nos lèvres se touchent, humides et douces nos langues se frolent puis s’unissent, unissant de même les deux êtres, les deux coeurs, les deux âmes que nous sommes. Je l’aime. Le sablier s’est arrêté, la terre ne tourne plus, les étoiles ne brillent plus il n’y a qu’elle. Je la regarde, les moindres petits défauts de son visage ou de ce qu’elle représente sont devenus des qualités. Je dois la quitter ce soir mais j’ai hâte de la revoir. Sentiment de bonheur indescriptible, joie inextinguibe, je l’aime, je l’aime, je l’aime.


Je la revois souvent maintenant, je lui consacre mon temps, ce que je suis, ma vie. Je l’acceuille ce soir dans mon humble demeure. De jour en jour, sa beauté grandit, elle est belle, elle m’éblouit. Nous buvons, nous parlons, je l’embrasse, je l’aime. Elle me prend par la main et m’enmène vers le lit. La lumière d’un lampadaire tamise la pièce, je tremble comme une feuille, elle s’allonge. Je me sens mal, je vais exploser. Je m’allonge à ses cotés, elle passe sa main dans mes cheveux, je sens le désir brulant dans mes veines. Mes tempes boudonnent, je brule.Nos langues s’unissent, je passe ma main sur son corps, j’ai des frissons.Je passe ma main sous son chemisier, elle gémit. Elle me caresse le ventre puis descend lentement. Son chaud sur ma nuque, son parfum m’ennivrent. J’ai du mal à respirer. J’ai chaud et poutant je frisonne. Je déboutonne son jean, et doucement, doucement je glisse ma main vers son bas ventre. Je la caresse, elle gémit encore. Je sens son sexe humide et chaud. Je l’embrasse encore et encore. J’embrasse sa nuque, ses seins, son sexe, je l’aime, je l’aime, je l’aime. Nous sommes nus à présent, je sens ses seins contre mon torse. Mon sexe contre le sien, je la pénétre lentement. Mes bras tremblent, je tremble, elle me sert contre elle si fort. Je vais et reviens en elle au rythme lent d’une mélodie depuis longtemps oubliée. Je l’embrasse. Je respire vite, très vite, le plaisir monte, monte, encore et encore, et c’est l’explosion, le loup hurle, la mélodie culmine, moment si bref et si fort pourtant, union sacrée à son paroxisme. Union ultime de nos êtres, de nos âmes, de nos vies. Je m’allonge à ses côtés, je la regarde, elle me sourit. On ne dit rien les mots sont inutiles. Après un long moment, elle s’endort. Je la regarde toujours, je l’aimerais toujours. Merci.

Un mois passe, puis deux, arriva alors ce jour maudit par les dieux. Hermes m’apporta le message malheureux : elle me quitte. Son coeur bat pour un autre ; le mien s’est arrêté. Ah douleur non encore éprouvée, poignardé de l’intérieur, je meurs. Je souffre, je hurle à la mort pourquoi, pourquoi? Pourquoi elle, source de tant d’amour me cause tant de souffrance? Tourments indescriptibles, rage innexprimable, désespoir insurmontable. Je revois son visage, son souvenir me hante : comment vivre après une telle souffrance et cette soufrance est sans partage. Je noie mon malheur dans l’alcool dans une pièce autrefois joyeuse et aujourd’hui si triste. J’allume la radio et entends "What a wonderful world" de Louis Amstrong. Ironie du sort, les dieux me maudissent et je les maudis. Une lame de rasoir entre les mains je pense à elle. Une gorgée d’absynthe pour ne pas souffrir.
I see trees of green, red roses too
I see them bloom for me and you
And I think to myself what a wonderful world.
Une autre gorgée, ma trachée brule, je fais un essai, la lame pénétre la chair de mon poignet. Le sang coule, j’hurle, je pleure. Une autre gorgée encore une.

I see skies of blue and clouds of white
The bright blessed day, the dark sacred night
And I think to myself what a wonderful world.
Ma vision se brouille à cause des larmes et de l’alcool. Je réenfonce l’acier dans ma chair, j’ai coupé une veine cette fois, le sang gicle sur ma chemise. Je contemple mon poignet posé sur la table au milieu de mon sang. Une autre gorgée encore une.
The colors of the rainbow so pretty in the sky
Are also on the faces of people going by
I see friends shaking hands saying how do you do
They’re really saying I love you.
Je n’ai plus de force, je ne vois presque plus. J’ai perdu trop de sang, je crois. Ma tête devenue trop lourde commence à pencher, puis tombe sur la table dans le sang, je pleure. Un dernier effort, je reprends la lame mais cette fois je coupe un tandon puis je rencontre l’os. J’ai du sang dans la bouche. Un dernier effort pour une dernière gorgée je meurs. Adieu je t’aimais.

I hear babies crying, I watch them grow
They’ll learn much more than I’ll never know
And I think to myself what a wonderful world
Yes I think to myself what a wonderful world.
Mar 10 Oct 2006, 20:50 par Evidance sur Histoires d'amour

Cadeau entre Nous

Lorsqu’il passait enfin ce cap, les chevaux ruaient, après avoir longtemps piaffé.

Il n’est rien de plus beau que la porte que l’on latte, à peine entrouverte, pour dire, sagement, «  J’arrive ».

Il a donné son premier coup de latte ce jour là, au passage.

Sur sa chaise haute, sa position assise, il a testé le poing, et il frappe sur la table, le fait très bien.

On lui a offert des couleurs, des senteurs quand ses narines et ses yeux étaient grands ouverts,

Il en a fait un Madras de beauté intègre, et l’a conservé.

Ses oreilles, je n’ose en parler, tellement il a su, dès le début, grande fierté et respect.

Mais passent les couleurs, au travers des rires, des joies, des émerveillements, de la richesse d’ une vie à peine entamée, et là, Je dis : « Famille » ! Car elle ne l’a pas quitté.

Quelques fois, je lui d’écouter sa migraine, de se ressourcer auprès des siens, et de m’Aimer.

À un an moins quelques heures, le 11 Juin 2006, en jolies parallèles, il m’a aimée de côté et de face. J’ai maintenant trente cinq ans,

Il est mon Bébé, mon Père, nettement en avance parce protégé et aimé du haut de ses trente quatre.

Qu’on me dise que mon Homme est direct, méchant, incisif, précis et je sourirai parce qu’il est resté Lui.

Qu’on me dise qu’il est beau, et j’en suis déjà Fière, car sans pudeur aucune, je montre son visage à travers les photos qu’il a prise de Soi s’ aime.

Qu’on me dise qu’il est en danger et je serai déjà en route car je l’ aurai senti.

Qu’on me dise qu’il m’a quittée, et je n’écouterai pas, car il me l’aura dit lui même, au moment où Il saura que c’est inéluctable.

À Gérald De La part de Sa Fannie.

rose rose rose rose rose rose rose rose rose rose rose
Lun 02 Oct 2006, 11:11 par Chogokinette sur Parler d'amour

Viens cueillir ma perle de passion

Plaire à ton cœur, flatte mes sens,
Sans nul effort doucement j’instruis,
La saveur jamais inassouvie,
Et je comble ce retour d’encens.

Que tes sens parfument ma vie,
Souffle l’aube sur mon regard
En un éveil soumis sans fards,
Aurore de mon corps qui envie.

De ta beauté, de ton amour,
Toi ! Mon prince de suavité,
Frémissant au corps écartelé,
Mon Apolon, je te parcours.

Viens cueillir ma perle de passion,
Toi ! Mon amant à la peau dorée,
Susurre-moi des aveux parfumés,
Offre-moi ton feulement de lion.

J’aspire tout entier à ce rugissement,
Aujourd’hui, demain, n’est-il encore,
Ce cri d’amour offert dès l’aurore,
Renaître à l’orée de ton désir ?

Mourir d’amour sous ton rugissement,
L’aurore de l’ultime cri enfin délivré,
Domine mon abandon, royal aimé,
Ma jouissance est ton couronnement.

aime
Sam 16 Sep 2006, 01:00 par joullia sur Les liaisons sulfureuses

Une goutte de parfum

Une douce odeur de jasmin
Sur ta peau de satin
Révèle en moi un désir extreme
Une exigence de plaisir infini.

Déposant sur mes mains
Une goutte de parfum
J’enduis damour et de tendresse
Ton corps qui paresse

Imprégnant de ses odeurs
De ce geste la douceur
Glissant sur ma peau tiède
Je clos mes yeux sur ce rêve

Je soupire de bien être
De goûter à cette caresse
Sentir mes doigts danser
Sur ta peau ensoleillé

Mille pensées me trouble
Je les revoie en boucle
Tes doigts sur mon ventre
Virevoltants, soupirants

Ce touché de mes doigts
Me mettent en émoi
De ce corps enivrant
A mon désir conquérant.

Je sens ce brûlant
Comme le vent d’un désert
Sur ma nuque offerte
De ton baiser dévorant.

Odeur passion, odeur suave
Fais nous vivre ton extase
D’une goutte de nos larmes
Dans le plaisir de nos âmes.
Mar 12 Sep 2006, 01:14 par joullia sur Parler d'amour

Langage des sens

Des lunaires à l’envers,
des impatiens légères,
des centaurées
tête à tête
corps à corps.
Des courbes à suivre
des formes à détailler,
à préciser, à parcourir
incendiaires
et mes sens à fleur de toi…
un bouquet à composer
un
une caresse
un désir
là, toujours,
insensément…
Ven 08 Sep 2006, 07:13 par danslalune sur Mille choses

Laissez moi

Je ne veux pas qu’elle naisse ce soir,
Ne me l’enlevez pas encore,
Donnez moi juste un peut d’espoir,
Laissez moi sentir son ,
Laissez moi sentir son petit cœur,
Laissez moi encore la sentir bouger.

Je ne veux pas que mon ange s’envole ce soir,
La vie toute entière lui appartient,
Laissez moi encore y croire,
A ce destin qui devrait être le siens
A ce destin qui devrait être le miens ...

Je ne veux pas que mon cœur parte ce soir,
Je veux garder cette raison d’être,
Laissez moi cette espoir,
Qui laisse songeurs tant d’êtres...

Je ne veux pas qu’ils meurent ce soir,
Gardez leurs encore une petite place,
Laissez leurs le temps de voir,
L’amour que j’ai pour eux,
Que la passion jamais on ne se lasse...

Je veux vivre encore des journées,
Avec leur présence a mes coté,
Je voudrais sentir a nouveau le vent de l’insouciance me caresser,
Laissez moi encore y croire...

Laissez moi dire : "je vous aime"

julia
Mer 06 Sep 2006, 21:16 par joullia sur Parler d'amour

Corps contre Corps,

Corps contre Corps,
Immobiles,
Ta bouche
Près de mes cheveux,
Souffle délicat,
Délicieux,
Corps contre Corps,
Immobiles, après une étreinte de passion,
J’écoute
Tes caresses.
Je m’imprègne,
De Toi
Silencieusement.
Recroquevillés, protégés,
Tu t’endors, je m’endors.
Corps contre Corps,
A fleur de peau,
Sans aucun mot.
L’aurore,
Les rayons de l’amour.
Dessinent,
L’ombre de nos Corps,
Immobiles.

julia aime
Dim 03 Sep 2006, 18:48 par joullia sur Les liaisons sulfureuses

Je prendrai le temps

Ton prénom est là,
il frôle mes lèvres
et je le retiens...
il voudrait m’échapper,
m’obliger à le prononcer
mais non, je le garde là,
je le retiens,
rien ne presse...
Pour toi, j’aurai
la patience de l’amour,
les mots de la nuit
qui savent repousser le jour,
les gestes de l’amante
fragiles, lents,
je serai troublante,
rien ne presse...
J’accrocherai
des sourires croissants de lune
de mon aube hésitante
à nos matins baignés de lumière,
j’ouvrirai
ces chemins de traverse
oubliés de tous
perdus au cœur de mon amour,
tu me trouveras.
Je tracerai
une ligne de toi à moi
pleine et déliée
jusqu’à nous
sans pointillés,
je mêlerai
le bleu délavé
de l’encre de mes mots
au bleu de ton ciel
éclatant de soleil,
j’apprendrai
ton sommeil loin de moi,
tes rêves chahutés
le front perlé de sueur,
ton réveil corps tiède.
Je saurai
fermer les yeux
pour ne voir que toi,
refermer mes bras
autour de toi,
te tenir,
te laisser partir.
Je regarderai
ta vie,
je toucherai
ton cœur,
je dirai
ton prénom
dans un ,
le long d’un soupir
là, sur tes lèvres...
je prendrai le temps
rien ne presse...
Dim 03 Sep 2006, 09:21 par danslalune sur La vie à deux

Briser cette coquille qui m'étouffe

Parfois je désire parfois j’ai peur
Je dois dire adieu
A cet amour bercé de milles étoiles
Je lui ai donné mon coeur
Et lui ai promis mon corps

Je veux m’en sortir
Briser cette coquille qui m’étouffe
En attendant je reprends mon
Je dois remonter à la surface
Survivre et me nourrir
Essayer de percevoir
A travers mon regard encore brumeux
Ces quelques lueurs
Dans un ciel au noir insondable
Mes yeux timidement s’ouvrent
Et petit à petit
S’habituent à cette lumière aveuglante
Mon coeur et mon corps
Reprennent goût à la vie,
A ce bonheur que je m’étais interdit

Je le vois renaître de ses cendres
Cet oiseau aux couleurs chatoyantes
M’enveloppant de ses ailes
Encore fragiles et tremblantes
Mer 30 Août 2006, 22:52 par joullia sur Histoires d'amour

J'enferme ton souvenir dans l'encrier des peines

Quand, tu auras terminé ce dernier poème ;
Je l’aurai détruit, ainsi que les mots "Je t’aime".
Que je t’ai tant criés, alors que toi tu jouais un double jeu.
Sans toi, le présent méprise mon avenir.
Les jours, les saisons, n’auront plus le et le souvenir de toi.

De ma passion ardente tu n’as cherché qu’à t’éloigner,
En trahissant le début de l’histoire,
En courant après une autre rose en même temps.
Tous tes mots gravés dans mon coeur le font saigner.
Le duel est inégal. Mais je me relèverai.
Les différences sont des chagrins sans frontière.

Ma main n’a plus la force de tenir la lourde plume de ma peine.
Mes larmes n’ont plus d’encre pour toi ; ma vie se consume de ton amour faux.
Dors dans mon encrier ! Reste mon "eau" de jouvence !
J’enferme à jamais ma douleur dans ton silence.
J’enferme ton souvenir dans l’encrier des peines.
Je le ferme à tout jamais avec un sceau incassable.
A l’effigie de la trahison et l’infidélité des Don Juan.

Par la fourberie de ton âme je meurs de folie.
Ecrivain ivre d’amour, mon soleil se replie sur moi.
Sur ma palette, tes merveilleuses couleurs ont disparu à jamais.
L’amour, cet art abstrait mais si idyllique, je ne l’écrirai plus pour toi.


julia ouin
Mar 29 Août 2006, 00:22 par joullia sur Parler d'amour
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J.M.G. Le Clézio.

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