Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur souffrir - Page 2 sur 8
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[size=18
Tu as laissé les clefs du bonheur t’échapper
Quelque part entre aujourd’hui et le passé
Car tu en avais marre de ce genre de vie-là
C’est pourtant l’existence que tu avais choisie.
Tu supportais, te laissant doucement vieillir
Puis, un jour, tu es partie sans rien dire
En laissant derrière toi tant de bons souvenirs
Dans ce passé qui t’a tant fait souffrir.
Discrètement, sans faire de bruit
Imaginer que les tiens s’en douteraient
Mais le mal était déjà fait.
Et tu étouffais de ne pas te sentir suffisamment aimée
De montrer que tu étais capable d’être ce que tu étais
Alors qu’on était toujours à te sous estimer....
Attendre ces mots qui ne venaient jamais
Et dont tu cachais la déception en silence
De porter sur tes épaules solides.
Et en même temps si fragiles
Le poids de ces hommes
Qui avaient besoin de réconfort.
Fatiguée de te montrer toujours souriante et forte.........
Alors que tu rêvais de bras puissants
Où tu pourrais enfin te reposer.
Mais tu ne les as pas encore trouvés
Alors, finalement, à bout d’espoir
Tu es partie pour toujours.....[/size]
Tu as laissé les clefs du bonheur t’échapper
Quelque part entre aujourd’hui et le passé
Car tu en avais marre de ce genre de vie-là
C’est pourtant l’existence que tu avais choisie.
Tu supportais, te laissant doucement vieillir
Puis, un jour, tu es partie sans rien dire
En laissant derrière toi tant de bons souvenirs
Dans ce passé qui t’a tant fait souffrir.
Discrètement, sans faire de bruit
Imaginer que les tiens s’en douteraient
Mais le mal était déjà fait.
Et tu étouffais de ne pas te sentir suffisamment aimée
De montrer que tu étais capable d’être ce que tu étais
Alors qu’on était toujours à te sous estimer....
Attendre ces mots qui ne venaient jamais
Et dont tu cachais la déception en silence
De porter sur tes épaules solides.
Et en même temps si fragiles
Le poids de ces hommes
Qui avaient besoin de réconfort.
Fatiguée de te montrer toujours souriante et forte.........
Alors que tu rêvais de bras puissants
Où tu pourrais enfin te reposer.
Mais tu ne les as pas encore trouvés
Alors, finalement, à bout d’espoir
Tu es partie pour toujours.....[/size]
Sam 17 Sep 2011, 13:51 par
caressedesyeux sur Mille choses
Parce que les yeux ne savent pas mentir
Pourquoi tu me dis « je t’aime » si tu ne le penses pas. Pourquoi tu me dis « je t’aime » seulement lorsque tu es saoul. Je sais que ça ne vient pas du plus profond de toi.. Mais il y a une partie de moi qui continue de croire que tu ne me dirais pas ça si tu t’en foutais vraiment. J’suis perdue. Pourquoi est ce qu’à chaque fois ça me déchire le cœur.. Je ne te comprends pas. Est-ce que tu le sais au moins ce que c’est que d’aimer quelqu’un ? J’essaie de me convaincre que j’en ai rien à faire de tes belles paroles.. J’essaie de me convaincre que je n’ai pas besoin de toi. Je n’y arrive pas.. Je n’y arrive pas parce que chaque fois que je te vois, j’oublie tout. J’oublie tout le mal, toute la haine, toute la colère, toutes ces fois ou j’avais réussi à me dire que tu n’étais pas essentiel à ma vie. J’oublie tout. J’me perds définitivement dans toi. Non, je ne suis pas en amour. Je ne veux pas l’être parce que je ne veux pas souffrir.
Trop tard ; j’ai mal ...
Il y a des gens comme ça qui entrent dans nos vies et qui nous font ressentir des choses qu’on avait jamais ressenti avant, même s’ils ne devraient pas ..
Trop tard ; j’ai mal ...
Il y a des gens comme ça qui entrent dans nos vies et qui nous font ressentir des choses qu’on avait jamais ressenti avant, même s’ils ne devraient pas ..
Dim 31 Juil 2011, 03:29 par
Eveb1234 sur L'amour en vrac
Résignation
J’ai enfin compris,
Qu’on ne pourrait pas m’apporter
Ce que j’espérais le plus,
Et je me résigne à l’accepter,
Et à le vivre avec sagesse,
En me perdant finalement dans des rêves...
Là où je me sens si bien,
Là où je ne risque pas d’être déçue,
Et d’en souffrir..
Ces rêves qui m’apportent une certaine sérénité
Que j’apprécie davantage de jour en jour,
En m’enfermant entre quatre murs
Parfois seule,
Parfois avec mon petit être de lumière,
Qui vient de temps en temps me remplir de joie...
Je donne moins, et je n’éprouve plus le besoin de recevoir...
Partir pour un monde meilleur
Là où on appréciera ma juste valeur
Et dont je gravirai, seule, les marches
Qui m’emmèneront peut -être aux portes du paradis,
Dotée d’une paire de belles ailes
Qu’on ne pourrait pas m’apporter
Ce que j’espérais le plus,
Et je me résigne à l’accepter,
Et à le vivre avec sagesse,
En me perdant finalement dans des rêves...
Là où je me sens si bien,
Là où je ne risque pas d’être déçue,
Et d’en souffrir..
Ces rêves qui m’apportent une certaine sérénité
Que j’apprécie davantage de jour en jour,
En m’enfermant entre quatre murs
Parfois seule,
Parfois avec mon petit être de lumière,
Qui vient de temps en temps me remplir de joie...
Je donne moins, et je n’éprouve plus le besoin de recevoir...
Partir pour un monde meilleur
Là où on appréciera ma juste valeur
Et dont je gravirai, seule, les marches
Qui m’emmèneront peut -être aux portes du paradis,
Dotée d’une paire de belles ailes
Mar 31 Mai 2011, 13:02 par
caressedesyeux sur Mille choses
Des vies à deux
Comme je le remarquais il y a quelques temps déjà, l’amour est un éternel sujet de surprise pour moi, d’émerveillement et de questionnement.
Tiraillé entre désir et amitié, il prend mille visages. Et je pense qu’une vie ne suffit décidément pas à l’appréhender, on croit tout connaître et l’on se rend compte que l’on n’est guère plus avancé qu’aux jours tendres de notre adolescence. Quand on tombe amoureux on a toujours seize ans ! Notre cœur bat, le jour est merveilleux et tout va bien. Mais, si l’autre vous aime et que vous ne répondez pas à son émoi ou inversement : le jour devient sinistre et le ciel le plus bleu devient cruel aux cœurs lourds… Et on se dit : comment ne pas le faire souffrir ou comment ne pas la faire souffrir ?! Et on sait bien qu’aucune empathie, aucune compassion n’atténueront la cruauté d’un refus.
En près de dix ans d’un divorce complexe, j’ai connu pas mal de combats, j’ai été amenée à prendre du recul et mon sac aux questions ne fait pourtant au fil du temps que s’emplir. Dernièrement, un ami, encore un, et oui, cela est vrai que l’amitié homme femme est souvent équivoque, est devenu un amoureux malheureux. Un homme extraordinaire de mes amis vient de se faire remercier par sa dulcinée partie flairer les phéromones d’un beau saisonnier. On parle, j’étale toutes les qualités d’Homme qui sont les siennes, sans flagornerie etc., pour l’aider à remonter la pente, pour qu’il fasse un constat objectif de sa situation et me voilà à devoir repousser ses avances. Et, zut ! La vie est parfois bien étrange. Il est génial, parfaite entente sauf que physiquement il ne m’attire pas du tout. N’avez-vous pas remarqué que souvent il y a une dissymétrie : l’un est attiré et l’autre repoussé sans que l’on puisse vraiment s’en expliquer les causes. Il suffit souvent de peu, un rien pour que la rencontre n’ait pas lieu.
Peu avant, j’ai refait cette expérience qu’en tant qu’hétéro je ne m’explique pas : comment puis-je attirer une femme alors que personnellement je ne supporterai pas que l’une m’approche de trop près ? C’est mal fait, non ? Que de souffrance on fait naître ou de désir, de frustration sans que cela aboutisse au bonheur de deux êtres !
Parfois, on trouve des hommes super sexy mais surtout qu’ils ferment la bouche ! D’autres fois, ils sont mariés ou en couple et souhaitent que vous soyez leur douceur du soir espoir entre deux portes… D’autres s’imaginent que comme initiatrice cela pourrait le faire. Etc. Parfois, notre cœur, notre corps s’emballent mais… En fait, que recherchons-nous ?
Pourquoi ? Pourquoi ne pouvons-nous pas décider d’aimer et d’être attiré ? Par quelle étrange alchimie, notre raison n’y a pas de part ?
Et puis, l’imagination, l’intelligence y compris celle du cœur, l’équilibre psychologique et une vie saine constituent de puissants stimulants ! Quelle histoire résisterait au ronron monotone d’une vie trop réglée et trop aseptisée ou au contraire trop dissolue ?! Cela finirait par tout user, à commencer par l’humain et le sublime !
L’amour est, selon moi, un oiseau qui ne demande qu’à prendre son envol mais de grâce ne le limitons ni ne le contrefaisons pas parce qu’alors le plus beau des sourires devient un immonde rictus ! Et l’oiseau dans sa cage finit par dépérir pour disparaître tout à fait, pauvre tas de plumes sans vie... Qu’est-il advenu de lui ? !
Ah, je ne parle pas des barrières et autres limites que notre éducation nous assène ou au contraire à quelles déviances notre histoire, notre vécu ou nos souffrances nous conduisent ! Il faut trouver l’autre, celui , celle qui, sans être parfait lui-même, permet une harmonie une entente qui tend vers la perfection !
Toutes les confidences que j’ai pu recevoir ont nourri nombre de mes histoires mais ni mon vécu ni cette écoute n’ont permis de résoudre ce qui reste pour moi le plus merveilleux des mystères : l’Amour.
Enfin, en conclusion ultime, de vous à moi, chères âmes tendres : qu’y a-t-il de meilleur en ce monde que l’Amour ?! Aimez donc, soyez aimées, follement, sans attendre, sans peur, sans trêve, de toute votre âme, de tout votre coeur, de tout votre corps ! Vivez et aimez !
Votre dévouée, Dolce
Tiraillé entre désir et amitié, il prend mille visages. Et je pense qu’une vie ne suffit décidément pas à l’appréhender, on croit tout connaître et l’on se rend compte que l’on n’est guère plus avancé qu’aux jours tendres de notre adolescence. Quand on tombe amoureux on a toujours seize ans ! Notre cœur bat, le jour est merveilleux et tout va bien. Mais, si l’autre vous aime et que vous ne répondez pas à son émoi ou inversement : le jour devient sinistre et le ciel le plus bleu devient cruel aux cœurs lourds… Et on se dit : comment ne pas le faire souffrir ou comment ne pas la faire souffrir ?! Et on sait bien qu’aucune empathie, aucune compassion n’atténueront la cruauté d’un refus.
En près de dix ans d’un divorce complexe, j’ai connu pas mal de combats, j’ai été amenée à prendre du recul et mon sac aux questions ne fait pourtant au fil du temps que s’emplir. Dernièrement, un ami, encore un, et oui, cela est vrai que l’amitié homme femme est souvent équivoque, est devenu un amoureux malheureux. Un homme extraordinaire de mes amis vient de se faire remercier par sa dulcinée partie flairer les phéromones d’un beau saisonnier. On parle, j’étale toutes les qualités d’Homme qui sont les siennes, sans flagornerie etc., pour l’aider à remonter la pente, pour qu’il fasse un constat objectif de sa situation et me voilà à devoir repousser ses avances. Et, zut ! La vie est parfois bien étrange. Il est génial, parfaite entente sauf que physiquement il ne m’attire pas du tout. N’avez-vous pas remarqué que souvent il y a une dissymétrie : l’un est attiré et l’autre repoussé sans que l’on puisse vraiment s’en expliquer les causes. Il suffit souvent de peu, un rien pour que la rencontre n’ait pas lieu.
Peu avant, j’ai refait cette expérience qu’en tant qu’hétéro je ne m’explique pas : comment puis-je attirer une femme alors que personnellement je ne supporterai pas que l’une m’approche de trop près ? C’est mal fait, non ? Que de souffrance on fait naître ou de désir, de frustration sans que cela aboutisse au bonheur de deux êtres !
Parfois, on trouve des hommes super sexy mais surtout qu’ils ferment la bouche ! D’autres fois, ils sont mariés ou en couple et souhaitent que vous soyez leur douceur du soir espoir entre deux portes… D’autres s’imaginent que comme initiatrice cela pourrait le faire. Etc. Parfois, notre cœur, notre corps s’emballent mais… En fait, que recherchons-nous ?
Pourquoi ? Pourquoi ne pouvons-nous pas décider d’aimer et d’être attiré ? Par quelle étrange alchimie, notre raison n’y a pas de part ?
Et puis, l’imagination, l’intelligence y compris celle du cœur, l’équilibre psychologique et une vie saine constituent de puissants stimulants ! Quelle histoire résisterait au ronron monotone d’une vie trop réglée et trop aseptisée ou au contraire trop dissolue ?! Cela finirait par tout user, à commencer par l’humain et le sublime !
L’amour est, selon moi, un oiseau qui ne demande qu’à prendre son envol mais de grâce ne le limitons ni ne le contrefaisons pas parce qu’alors le plus beau des sourires devient un immonde rictus ! Et l’oiseau dans sa cage finit par dépérir pour disparaître tout à fait, pauvre tas de plumes sans vie... Qu’est-il advenu de lui ? !
Ah, je ne parle pas des barrières et autres limites que notre éducation nous assène ou au contraire à quelles déviances notre histoire, notre vécu ou nos souffrances nous conduisent ! Il faut trouver l’autre, celui , celle qui, sans être parfait lui-même, permet une harmonie une entente qui tend vers la perfection !
Toutes les confidences que j’ai pu recevoir ont nourri nombre de mes histoires mais ni mon vécu ni cette écoute n’ont permis de résoudre ce qui reste pour moi le plus merveilleux des mystères : l’Amour.
Enfin, en conclusion ultime, de vous à moi, chères âmes tendres : qu’y a-t-il de meilleur en ce monde que l’Amour ?! Aimez donc, soyez aimées, follement, sans attendre, sans peur, sans trêve, de toute votre âme, de tout votre coeur, de tout votre corps ! Vivez et aimez !
Votre dévouée, Dolce
Ven 20 Mai 2011, 17:53 par
dolce vita sur La vie à deux
Jaloux d'un inconnu...
Maladie ou simple fait
Me voila victime de la jalousie
Un parfait inconnu pour moi
Mais un homme qui pour toi
A tant d’intérêt
Je ne sais quasiment rien de lui
Et pourtant je n’en sais que trop
Il a caressé ta peau
Tu lui as rendu ses baisers
Tu l’as aimé
Tu l’as désiré
Plusieurs années
Et il revient vers toi
Et toi vers lui
Pour un tête à tête
L’espace d’une soirée
Pour échanger sur vos vie actuelles
Vous qui avez partagé plus qu’une nuit
Je ne le connais pas
Ni ce à quoi il ressemble
Ni ce qu’il a dans la tête
Connaît tes ennemis mieux que tes amis
Ainsi ils ne pourront te faire souffrir
Et moi je ne suis que dans l’imagination
Source de ma plus grande affliction
Tu le caches
Comme un trésor précieux
Mais lorsqu’on dissimule
C’est qu’il y a quelque chose
Dont on a peur
Que l’autre découvre
Alors comment veux tu
Que je me découvre
Lorsque tu te renfermes
Que je m’engage
Lorsque tu ne t’ouvres pas
Moi je ne peux pas
Cela me brûle
D’écrire ces mots
Mais comment te dire
Ce que j arrive à exprimer
Si ce n’est par ce biais
Tu me diras que c’est du passé
Selon ton humeur
Tu me réconforteras
Ou m’enverras balader
Car on ne touche pas
A ceux qui ceux important pour toi
Je ne t’en parle pas
Je ne sais pas
J’ai bien essayé
Mais tu m’as détourné
Encore une fois
Du sujet qui me tourmentais
Ce n’est pas un manque de confiance
Ni un souhait que tu arrêtes de le voir
C’est juste mon cœur qui crie
La peur incontrôlable de te perdre
Sans l’avoir vu venir
Et ça…
Cela ne se gère pas…
Me voila victime de la jalousie
Un parfait inconnu pour moi
Mais un homme qui pour toi
A tant d’intérêt
Je ne sais quasiment rien de lui
Et pourtant je n’en sais que trop
Il a caressé ta peau
Tu lui as rendu ses baisers
Tu l’as aimé
Tu l’as désiré
Plusieurs années
Et il revient vers toi
Et toi vers lui
Pour un tête à tête
L’espace d’une soirée
Pour échanger sur vos vie actuelles
Vous qui avez partagé plus qu’une nuit
Je ne le connais pas
Ni ce à quoi il ressemble
Ni ce qu’il a dans la tête
Connaît tes ennemis mieux que tes amis
Ainsi ils ne pourront te faire souffrir
Et moi je ne suis que dans l’imagination
Source de ma plus grande affliction
Tu le caches
Comme un trésor précieux
Mais lorsqu’on dissimule
C’est qu’il y a quelque chose
Dont on a peur
Que l’autre découvre
Alors comment veux tu
Que je me découvre
Lorsque tu te renfermes
Que je m’engage
Lorsque tu ne t’ouvres pas
Moi je ne peux pas
Cela me brûle
D’écrire ces mots
Mais comment te dire
Ce que j arrive à exprimer
Si ce n’est par ce biais
Tu me diras que c’est du passé
Selon ton humeur
Tu me réconforteras
Ou m’enverras balader
Car on ne touche pas
A ceux qui ceux important pour toi
Je ne t’en parle pas
Je ne sais pas
J’ai bien essayé
Mais tu m’as détourné
Encore une fois
Du sujet qui me tourmentais
Ce n’est pas un manque de confiance
Ni un souhait que tu arrêtes de le voir
C’est juste mon cœur qui crie
La peur incontrôlable de te perdre
Sans l’avoir vu venir
Et ça…
Cela ne se gère pas…
Lun 18 Avril 2011, 22:36 par
Loyd sur La vie à deux
Cest ainsi
[size=18]Je t’ai aimé
je t’ai adulé
J’étais en adoration
Pensant à toi jour et nuit.
J’ai beaucoup pleuré aussi
J’ai ravalé toutes mes larmes.
Tu m’as fait souffrir trop de mal,
TU as eu des mots durs
Et pourtant je t’aimais toujours
J’en ai crevé au point de me meurtrir.
Tu es venu, hanter mes rêves,
M’empêchant de m’endormir
Telle une passion dévastatrice,
Où je ne contrôlais plus rien
Où mes supplices de te retrouver étaient si forts.
Mon étincelle, pour toi, s’en est éteinte,
Et je fais semblant d’y croire encore
Mais je n’ai plus d’espoir.
Tu ne m’aimes pas
Pas comme j’aurai voulu.
J’aurai voulu être la seule
Mais cela ne sera pas pour moi...
Malgré mes maladresses ,
Malgré tous ce qui nous sépare
Tu seras ma tendresse
Et le resteras à jamais...
Amis , on le sera,
Amis on le restera.[/size] caressedesyeux
je t’ai adulé
J’étais en adoration
Pensant à toi jour et nuit.
J’ai beaucoup pleuré aussi
J’ai ravalé toutes mes larmes.
Tu m’as fait souffrir trop de mal,
TU as eu des mots durs
Et pourtant je t’aimais toujours
J’en ai crevé au point de me meurtrir.
Tu es venu, hanter mes rêves,
M’empêchant de m’endormir
Telle une passion dévastatrice,
Où je ne contrôlais plus rien
Où mes supplices de te retrouver étaient si forts.
Mon étincelle, pour toi, s’en est éteinte,
Et je fais semblant d’y croire encore
Mais je n’ai plus d’espoir.
Tu ne m’aimes pas
Pas comme j’aurai voulu.
J’aurai voulu être la seule
Mais cela ne sera pas pour moi...
Malgré mes maladresses ,
Malgré tous ce qui nous sépare
Tu seras ma tendresse
Et le resteras à jamais...
Amis , on le sera,
Amis on le restera.[/size] caressedesyeux
Lun 21 Fév 2011, 20:22 par
caressedesyeux sur Mille choses
Un passe,un souvenir
Le passé revient,
Et je me vois à t’attendre , et ce ne sera pas la première fois que tu ne viendras pas;
Comme si j’avais ce pressentiment finalement.
Moi un peu gauche,la bonne camarade de l ’école
Et je croyais fort,à quelques chose qui aurait pu se passer entre nous.
Mais je l’ai seulement rêvé dans ma tête.
Rêver de tenir ta main seulement une fois
Ce n’était plus suffisant pour moi , de te voir, et de t’écouter me parler.
Si j’avais fais le premier pas, peut-être que je serai maintenant ton amoureuse.
Si seulement tu m’avais fais comprendre que je n’étais pas la fille de tes rêves
je ne me serais pas bercer d’illusion.
Ma passion pour toi, grandissait de jour en jour
Mais tu ne le voyais pas...
Et même lorsque je me mettais à rougir,
Tu mettais ça sur le compte en me disant " Mary qu’est ce que tu peux être innocente.
Alors je m’inventais des belles histoires,
Juste pour y croire,
Juste pour me dire que moi aussi, j’avais un amoureux.
Qui prendrait "soin de moi" par des petits gestes innocents et si beaux finalement.
De mon cœur qui battait à chaque fois que je regardais ton beau visage,
De souffrir de ta popularité auprès des autres filles.
A ce moment la je n’existais plus.
Puis la vie à fait qu’on s’est perdu à tout jamais.
Mais je sais que je n’oublierai jamais... caressedesyeux
Jeu 03 Fév 2011, 15:05 par
caressedesyeux sur Mille choses
Je t'aime
Comment laisseras-tu un autre, un autre homme que toi me toucher ?
Toi, maintenant, tu es un autre que je ne connais
Toi, avant, tu ne supportais pas un autre me regarder
Sais-tu que c’est un autre qui prendra ta place, autour de ma taille et m’enlacer
Est-ce que tu l’imagines entrain de m’embrasser ?
Toi qui devenais fou de jalousie en voyant un homme me parler
Tu connaitrais l’envie, tu vas pécher…
Songes tu à ceci, en me faisant tes faux adieux, en me citant tes excuses, tes raisons banales et me dire que de MOI tu t’es lassé et de chaque soir m’enlacer ?
Je ne m’adresse pas à toi stupide c’est de la rhétorique…
Si tu prenais le temps de réfléchir, si tu prenais le temps de penser, tu verras par toi-même que tu ne pourras me quitter
Toi qui m’adorais à qui j’appartenais
Mon amour tu m’as baisé
Pendant si longtemps je ne dormais que dans tes bras, tu as fait de moi ta femme, ton enfant et ta maitresse
Rappelle-toi que j’étais dans tout ta partenaire, on s’envoyait en l’air
Et j’étais surtout ta partenaire dans tes dessins diabolique
Je suis ton élève
Pourtant je n’ai rien voulu, je n’ai rien demandé
Tu t’es cru fils de Satan tu as voulu me posséder
C’est toi qui m’avais obligé
Je me suis restreint à toi, tu es jaloux, tu ne supportais pas voir heureuse avec un autre que toi
Tu pensais que toi seul tu avais le don de me combler
Quelque temps, de bonne foi, j’ai cru de même
Maintenant je me sens épuisée de ce cinéma, j’en ai assez
Ce cinéma qui tourne en drame, qui me fait couler ces stupides larmes
De quoi ai-je pitié ?
Je suis partie me défoncer…attends laisse moi tirer, je suis découragée
J’ai besoin de me doper pour continuer à jouer
Créateur de scènes à travers tes idées malsaines
Tu veux combler ton égo, ta petite personne frustrée
Tu es si truqué, tu ne sais pas jouer
Petit voleur, tu es vite grillé
J’étais complice avec moi-même, et moi je suis une éloquente actrice
Tu m’as appris à œuvré
Le jeu n’est pas encor terminé, tant que je n’ai pas ainsi décidé
Reprends ta place, marionnette…
Ou tu sais quoi sois un spectateur et regarde moi réalisatrice, je t’aiderai à comprendre les choses et réaliser…ta défaite et regarde moi aussi actrice
Admire-moi, entrain de tout faire et toi bras croisés
J’ai succombée….tu ne comprends pas tu ne peux faire la différence entre le jeu et la réalité
Le jeu est ma drogue et je suis partie me doper
Cette scène, coup de théâtre, je vois ton cœur s’abattre
Pour quoi tu es étonné de me voir me venger
J’étais innocente, tu m’as fait pleuré imagines tu l’autre
Pendant que tu croyais que je t’appartenais m’avait enlacé
Au tour de ma taille il a pris ta place
Il a posé ses yeux, ses mains, ses lèvres partout sur mon corps et m’a embrasser
Veux tu que je te continue à te décrire ou ces mots là vont suffire pour te laisser imaginer et souffrir le martyr
Si ça ne te fera pas mal ça te fera chier
Hélas, tu croyais être maitre, moi ton élève
Et que tu faisais naitre en moi la douleur
Sache que je prenais mon pied, je me procurai des sensations de bien être
Même quand avec toi je simulais, j’adorais te tromper
Moi, en voyant une autre, une autre que moi t’embrasser
J’adorerai te voir la baiser
Je prendrais beaucoup de plaisir à te voir ainsi souffrir
Tu vois tu te croyais sadique
Moi je suis plus sadique que toi
C’est moi qui t’ai fait mal à la fin
Tu m’as appris que le vainqueur c’est celui qui cause le malheur
Avec ce coup de théâtre je vois ton cœur s’abattre
Je suis toujours aussi renversante, comme un volcan brulante
Je t’ai ruiné puis je t’ai brulé
Sans aucune pitié
Tu l’a bien mérité
D’avoir fait de moi une actrice, tu voulais que je sois ta complice
Tu me mentais
Voulant m’infliger les supplices, tu m’as contaminé de ta malice
Tu n’es pas un martyr, tu voulais prendre ton pied en voyant souffrir
Ça n’a ta pas suffit de me baiser
Tu n’es pas un martyr et je n’ai pas exagéré
J’avoue que sur ça j’avais longtemps fantasmé
C’est ma griffe
La petite gifle
De ma part
Avec tant d’amour et beaucoup de passion
Je t’embrasse et je signe
La reine des damnés à toi roi des mal baisés
Toi, maintenant, tu es un autre que je ne connais
Toi, avant, tu ne supportais pas un autre me regarder
Sais-tu que c’est un autre qui prendra ta place, autour de ma taille et m’enlacer
Est-ce que tu l’imagines entrain de m’embrasser ?
Toi qui devenais fou de jalousie en voyant un homme me parler
Tu connaitrais l’envie, tu vas pécher…
Songes tu à ceci, en me faisant tes faux adieux, en me citant tes excuses, tes raisons banales et me dire que de MOI tu t’es lassé et de chaque soir m’enlacer ?
Je ne m’adresse pas à toi stupide c’est de la rhétorique…
Si tu prenais le temps de réfléchir, si tu prenais le temps de penser, tu verras par toi-même que tu ne pourras me quitter
Toi qui m’adorais à qui j’appartenais
Mon amour tu m’as baisé
Pendant si longtemps je ne dormais que dans tes bras, tu as fait de moi ta femme, ton enfant et ta maitresse
Rappelle-toi que j’étais dans tout ta partenaire, on s’envoyait en l’air
Et j’étais surtout ta partenaire dans tes dessins diabolique
Je suis ton élève
Pourtant je n’ai rien voulu, je n’ai rien demandé
Tu t’es cru fils de Satan tu as voulu me posséder
C’est toi qui m’avais obligé
Je me suis restreint à toi, tu es jaloux, tu ne supportais pas voir heureuse avec un autre que toi
Tu pensais que toi seul tu avais le don de me combler
Quelque temps, de bonne foi, j’ai cru de même
Maintenant je me sens épuisée de ce cinéma, j’en ai assez
Ce cinéma qui tourne en drame, qui me fait couler ces stupides larmes
De quoi ai-je pitié ?
Je suis partie me défoncer…attends laisse moi tirer, je suis découragée
J’ai besoin de me doper pour continuer à jouer
Créateur de scènes à travers tes idées malsaines
Tu veux combler ton égo, ta petite personne frustrée
Tu es si truqué, tu ne sais pas jouer
Petit voleur, tu es vite grillé
J’étais complice avec moi-même, et moi je suis une éloquente actrice
Tu m’as appris à œuvré
Le jeu n’est pas encor terminé, tant que je n’ai pas ainsi décidé
Reprends ta place, marionnette…
Ou tu sais quoi sois un spectateur et regarde moi réalisatrice, je t’aiderai à comprendre les choses et réaliser…ta défaite et regarde moi aussi actrice
Admire-moi, entrain de tout faire et toi bras croisés
J’ai succombée….tu ne comprends pas tu ne peux faire la différence entre le jeu et la réalité
Le jeu est ma drogue et je suis partie me doper
Cette scène, coup de théâtre, je vois ton cœur s’abattre
Pour quoi tu es étonné de me voir me venger
J’étais innocente, tu m’as fait pleuré imagines tu l’autre
Pendant que tu croyais que je t’appartenais m’avait enlacé
Au tour de ma taille il a pris ta place
Il a posé ses yeux, ses mains, ses lèvres partout sur mon corps et m’a embrasser
Veux tu que je te continue à te décrire ou ces mots là vont suffire pour te laisser imaginer et souffrir le martyr
Si ça ne te fera pas mal ça te fera chier
Hélas, tu croyais être maitre, moi ton élève
Et que tu faisais naitre en moi la douleur
Sache que je prenais mon pied, je me procurai des sensations de bien être
Même quand avec toi je simulais, j’adorais te tromper
Moi, en voyant une autre, une autre que moi t’embrasser
J’adorerai te voir la baiser
Je prendrais beaucoup de plaisir à te voir ainsi souffrir
Tu vois tu te croyais sadique
Moi je suis plus sadique que toi
C’est moi qui t’ai fait mal à la fin
Tu m’as appris que le vainqueur c’est celui qui cause le malheur
Avec ce coup de théâtre je vois ton cœur s’abattre
Je suis toujours aussi renversante, comme un volcan brulante
Je t’ai ruiné puis je t’ai brulé
Sans aucune pitié
Tu l’a bien mérité
D’avoir fait de moi une actrice, tu voulais que je sois ta complice
Tu me mentais
Voulant m’infliger les supplices, tu m’as contaminé de ta malice
Tu n’es pas un martyr, tu voulais prendre ton pied en voyant souffrir
Ça n’a ta pas suffit de me baiser
Tu n’es pas un martyr et je n’ai pas exagéré
J’avoue que sur ça j’avais longtemps fantasmé
C’est ma griffe
La petite gifle
De ma part
Avec tant d’amour et beaucoup de passion
Je t’embrasse et je signe
La reine des damnés à toi roi des mal baisés
Ven 12 Nov 2010, 00:49 par
assouma23 sur La vie à deux
Je suis partie, tu ne m'as pas retenu...
- ...Personne ne me retient.
Jamais.
Mais toi tu aurais pu.
Tu aurais dut.
Tu aurais dut me dire de rester avec toi, car je t’ai accepté. Tu étais, parfait, respectueux, charmant, intimidant, je t’aies cru. Tu m’as trahi. Mais j’ai pardonné. Je regrette de t’avoir rencontré. Tu m’as fait du mal, au point qu’en l’écrivant, je ressente toujours cette intense souffrance. Je n’ai plus confiance en moi, ni en personne. Tu ne vois pas ma souffrance car tu n’es plus là...
Je n’ose plus te parler, je ne veux plus te parler, tout ce que tu fais c’est me raconter ta vie, tes passions, montrer que tu es plus heureuse que moi. Maintenant que tu as une vie, que tu as un fiancé, je n’existe plus, alors que je t’ai tant aimé. Et toi, tu n’as fait que me briser.
J’ai parlé, puis pleuré, puis hurlé jusqu’à ce que mon coeur se casse, que ce vide et ce froid l’emplisse. Je n’ai plus jamais aimé après toi. Après 3 ans. Je n’ai plus aimé. Depuis 3 ans, je n’aime plus. La blessure se rouvre, je n’en peux plus... Je suis faible, tu m’as rendu faible. Je n’y arrive plus. Depuis ton mensonge, je ne peux plus y croire. Idéalisation > remise en question.
Malgré tout, je n’arrive pas à te détester, au contraire. Je te pardonne. Mais je souffre encore. Je souffre car tu m’ignores. J’aimerais pouvoir tout effacer, mais mon passé est toujours là, je m’attarde sur ces choses car elles ont de la valeur, car à cette époque je pensais que tu étais celui que j’attendais. L’ange qui veillait sur moi.
Mais j’avais tort. Les anges existent-ils ? Suis-je encore capable d’y croire ? Je n’en sais rien, je sais par contre, que tu n’en es pas un. Que sur terre, les anges n’existent pas, car nous sommes humains. Je voudrais un ange, je le voudrais tellement...
J’en avais un autre, mais lui aussi s’en est allé.
Et tu ne m’as même pas aidé.
Quand mon père est parti, tu n’as fait que m’enfoncer. J’avais besoin de toi, j’avais besoin de vous. Mais il n’y avait personne. J’ai lutté. Seule...
Alors je ne fais plus confiance, pas seulement avec toi.
Tu n’es pas la seule.
Les autres aussi.
Les autres ne me retiennent pas.
Je m’en vais.
Je suis triste.
Pourquoi c’est toujours moi qui pleure ?
Pourquoi c’est toujours moi qui souffre ?
Je sais que la vie est injuste.
Mais le restera t-elle pour moi jusqu’à la fin de mes jours ?
Pourquoi était-elle juste pour toi ?
Et pas pour moi ?
Qu’ais-je fait ?
Je n’ai rien fait.
Pour les gens qui ne font rien, la vie est injuste...
Ou bien c’est ma perception de la vie qui l’est.
Toi tu dois trouver ça juste. Si tu trouves ça juste, c’est que la justice est propre à chaque personne, je ma définition de la justice n’est pas la même que la tienne.
Ce n’est pas la vie qui est injuste.
Ce n’est pas moi qui suis injuste.
Ce n’est pas toi qui est injuste.
C’est ma vision de la justice qui est injuste.
Mais qu’est-ce que la justice ?
La bonne fortune ?
Le destin ?
Je voudrais être la justice.
Si j’étais la justice, tu serais seule.
Si j’étais la justice, je te ferais endurer la même souffrance.
Car tu savais que je souffrirais en apprennant la vérité.
Tu avais fini de joué, tu as pris ton pieds et tu m’as enterré.
Je devrais VRAIMENT te détester.
Mais je ne ressens plus rien.
Depuis que mon père est parti, je ne ressens plus rien.
Je me suis protégé. Je n’ai plus voulu souffrir.
Je ne ressens ni haine, ni joie, ni une réelle tristesse...
Je ne sais plus ce qu’est être joyeuse, ni être malheureuse...
Parce que ma définition de la justice veut que les autres souffrent autant que je souffre. Parce qu’elle veut que je puisse avoir ce qu’ils ont... Parce qu’elle veut que je sois heureuse plus que tu ne l’aies.
Mais la roue tourne.
Un jour, je serais heureuse.
Et je te cracherais mon bonheur à la figure, te faisant comprendre que tu n’es plus rien pour moi, que tu n’es que le passé et que mon présent est plus important que mon passé.
Je vis dans le passé.
Il faut aller de l’avant.
Mais je ne peux pas.
Comment faire ?
Je l’ignore.
Dim 04 Juil 2010, 20:41 par
Nothing sur Amour internet
La passion
Il m’a été donné de découvrir une fois dans ma vie, les âffres mortelles de la passion amoureuse. Il a fallu attendre 28 ans, pour qu’un jour sans que je m’y attende, l’amour croise ma route et se charge de tout dévaster.
Au bout d’une semaine d’échanges soutenus sur internet, je réalisais avec stupeur que cet inconnu, dont j’ignorais jusqu’à la couleur des yeux et le son de la voix, m’était tout à coup devenu indispensable, indéniablement vital.
La passion s’empara de moi tout entière et je ne pus la freiner, je n’en avais pas même l’envie.
Deux mois s’écoulèrent à se rêver, se plaire, se découvrir au fil des mails. Un jour de novembre 2009, il traversa la France pour me retrouver. C’était comme si nous nous étions toujours connus. Je tombais dans ses bras, d’épuisement et de bonheur mêlés. J’étais vidée, épuisée par la violence de mes sentiments pour cet homme. Et à la fois, mon coeur était léger, il me semblait sentir pousser des ailes, tout prenait la saveur des possibilités.
Je ne m’étais jamais sentie aussi importante aux yeux de quiconque. Je me sentais belle, désirée, aimée, estimée, attrayante. Il me tenait en vie, et me rendait forte.
Cet homme là est sorti de ma vie quelques mois après. J’avais tout quitté pour lui : ma relation d’avant, ma maison, peut-être même mon travail. Son arrivée dans ma vie a eu l’effet d’une bombe à retardement.
Nous nous aimions trop, mais mal .....
Notre amour n’a pris naissance et intensité que dans l’impossibilité de pouvoir nous aimer et nous réunir. Lui était esclave et prisonnier de sa vie. Je ne pouvais rien faire si ce n’est souffrir et l’aimer en silence. J’étais cette femme de l’ombre, cette maitresse interdite.
Il était tout pour moi, et à ce jour mon coeur saigne et ne palpite plus.
Il a fallu se quitter, se taire, sourire et regarder vers l’avant. J’ai préféré qu’il sorte de ma vie, plutôt que de le lire, l’entendre encore sans pouvoir l’aimer et le rejoindre, sans pouvoir avoir une place dans sa vie.
Il me manque. Il me manquera toujours.
Au bout d’une semaine d’échanges soutenus sur internet, je réalisais avec stupeur que cet inconnu, dont j’ignorais jusqu’à la couleur des yeux et le son de la voix, m’était tout à coup devenu indispensable, indéniablement vital.
La passion s’empara de moi tout entière et je ne pus la freiner, je n’en avais pas même l’envie.
Deux mois s’écoulèrent à se rêver, se plaire, se découvrir au fil des mails. Un jour de novembre 2009, il traversa la France pour me retrouver. C’était comme si nous nous étions toujours connus. Je tombais dans ses bras, d’épuisement et de bonheur mêlés. J’étais vidée, épuisée par la violence de mes sentiments pour cet homme. Et à la fois, mon coeur était léger, il me semblait sentir pousser des ailes, tout prenait la saveur des possibilités.
Je ne m’étais jamais sentie aussi importante aux yeux de quiconque. Je me sentais belle, désirée, aimée, estimée, attrayante. Il me tenait en vie, et me rendait forte.
Cet homme là est sorti de ma vie quelques mois après. J’avais tout quitté pour lui : ma relation d’avant, ma maison, peut-être même mon travail. Son arrivée dans ma vie a eu l’effet d’une bombe à retardement.
Nous nous aimions trop, mais mal .....
Notre amour n’a pris naissance et intensité que dans l’impossibilité de pouvoir nous aimer et nous réunir. Lui était esclave et prisonnier de sa vie. Je ne pouvais rien faire si ce n’est souffrir et l’aimer en silence. J’étais cette femme de l’ombre, cette maitresse interdite.
Il était tout pour moi, et à ce jour mon coeur saigne et ne palpite plus.
Il a fallu se quitter, se taire, sourire et regarder vers l’avant. J’ai préféré qu’il sorte de ma vie, plutôt que de le lire, l’entendre encore sans pouvoir l’aimer et le rejoindre, sans pouvoir avoir une place dans sa vie.
Il me manque. Il me manquera toujours.
Lun 31 Mai 2010, 13:36 par
scorpionne38 sur Amour internet
Une lettre d'amour particulière à un ami particulier
Cher ******,
Voilà que je t’écris cette confidence au cœur de cette nuit bien humide. Non loin de moi, mon compagnon, plongé dans un sommeil profond, pleure dans ses rêves. Ses larmes de douleur coulent à cause de moi. Mon cœur est de pierre, dit-il. Pourquoi ne me laisses-tu pas pénétrer dans ton univers ? Pourquoi m’écartes-tu de ton cœur ? Je t’aime et je souffre de ce manque de sentiment de ta part. Tu es bien cruelle. Voilà ce que dit mon compagnon. Hélas, mon cœur maintient cette distance de peur de connaître cette folie qu’est l’amour. J’aime sans aimer. L’homme avec je partage ma couche. Je l’aime pour son affection pour ma part. J’ai cédé sous le poids de son amour sans m’être jamais demandé si je l’aimais du fond de mon cœur. J’aime lui faire des caresses. J’aime sa présence. J’aime avoir des rapports sexuels avec lui. Malgré tous ses signes, il sent une distance entre nous. Je lui parle de compagnes de jeu potentielles. Cela ne l’amuse pas car il ne peut faire partie de ses jeux interdits. Il me traite d’égoïste. Tu ne cherches que ton propre plaisir ! Et moi, que suis-je à tes yeux ? Qu’un simple objet sexuel ! Mon compagnon a bien raison. A mes yeux, c’est un bel objet sexuel. Mais tous les flots de cyprine que je déverse actuellement viennent de divers fantasmes. J’imagine bien d’autres choses. Il le sent qu’il existe une distance entre lui et moi mais il ne sait pas quoi. Maintenant, je vais t’expliquer, mon cher ******, pourquoi je crée cette distance.
As-tu, mon tendre ami, été amoureux ? Moi, je l’ai été une fois au point de vouloir mourir pour cette personne. J’ai été folle amoureuse. Trop prolixe, ma maladresse m’a tuée. Cet amour m’a beaucoup blessée. Mon compagnon actuellement s’est toujours moqué de cet amour de jeunesse. Toutefois, il n’a jamais essayé de comprendre les conséquences de cet amour déçu. Depuis cet amour solitaire, je me suis jurée de ne plus jamais vendre mon cœur à un homme. Si je ressentais quelque affection pour l’un entre eux, mon amour ne serait que partiel. Ce serait un amour raisonné raisonnable. Mon amour actuel est un amour raisonné raisonnable. Il ressent toute la folle passion que peut souhaiter une femme au point de laisser passer tous mes écarts de conduite. C’est pour beaucoup l’home idéal. Justement, c’est ce genre d’homme qui me plaît de faire souffrir. On dit toujours qu’on ne se rend pas compte des merveilles qui nous sous ses yeux. Je veux qu’il trouve quelqu’un qui le mérite. Alors, je le fais souffrir autant que j’ai souffert d’un rêve de six ans. Je veux qu’il me quitte. Je veux le voir heureux avec une femme qui saura lui rester fidèle de corps et de cœur. Le mien est trop déçu car il n’éprouve plus de passion mais seulement que de la tendresse à son égard.
Pourquoi mets-je des barrières entre toi et moi ? Crois-tu pouvoir me rendre heureuse ? J’ai repoussé tes avances, tes tendres caresses car je ne veux pas que tu vives avec la même douleur que mon compagnon actuel vit. Ton cœur est si fragile qu’il ne supporterait pas le choc. Crois-moi, je suis quelqu’un de trop instable pour toi. Ne confonds pas « amour » et « désir sexuel ». Mon tendre ami, ton pucelage m’excite, je te désire. Depuis que je t’ai vu entreprendre des caresses poussées, je te vois comme un homme plein de désirs. Cela m’amuse mais me fait peur car je ne veux pas que tu tombes dans les pièges de ton cœur. Ces derniers temps, je fantasme beaucoup sur toi. Je rêve que tu me prennes, que tu me susurres de mots doux, que tu me caresses longuement. Toutefois, tout cela demeure du fantasme sexuel plus que de l’amour. Mon homme se doute que tu es présent dans mon esprit. Il sait que tu occupes une place particulière dans mon cœur. Cette place privilégiée, il en est jaloux. D’où vient ce privilège que tu occupes dans mon cœur ? Tendre ami, cette place vient de l’innocence de ton cœur simple.
Mon ami, garde cette innocence pour la plus belle des femmes et non pour une souillon comme moi.
Voilà que je t’écris cette confidence au cœur de cette nuit bien humide. Non loin de moi, mon compagnon, plongé dans un sommeil profond, pleure dans ses rêves. Ses larmes de douleur coulent à cause de moi. Mon cœur est de pierre, dit-il. Pourquoi ne me laisses-tu pas pénétrer dans ton univers ? Pourquoi m’écartes-tu de ton cœur ? Je t’aime et je souffre de ce manque de sentiment de ta part. Tu es bien cruelle. Voilà ce que dit mon compagnon. Hélas, mon cœur maintient cette distance de peur de connaître cette folie qu’est l’amour. J’aime sans aimer. L’homme avec je partage ma couche. Je l’aime pour son affection pour ma part. J’ai cédé sous le poids de son amour sans m’être jamais demandé si je l’aimais du fond de mon cœur. J’aime lui faire des caresses. J’aime sa présence. J’aime avoir des rapports sexuels avec lui. Malgré tous ses signes, il sent une distance entre nous. Je lui parle de compagnes de jeu potentielles. Cela ne l’amuse pas car il ne peut faire partie de ses jeux interdits. Il me traite d’égoïste. Tu ne cherches que ton propre plaisir ! Et moi, que suis-je à tes yeux ? Qu’un simple objet sexuel ! Mon compagnon a bien raison. A mes yeux, c’est un bel objet sexuel. Mais tous les flots de cyprine que je déverse actuellement viennent de divers fantasmes. J’imagine bien d’autres choses. Il le sent qu’il existe une distance entre lui et moi mais il ne sait pas quoi. Maintenant, je vais t’expliquer, mon cher ******, pourquoi je crée cette distance.
As-tu, mon tendre ami, été amoureux ? Moi, je l’ai été une fois au point de vouloir mourir pour cette personne. J’ai été folle amoureuse. Trop prolixe, ma maladresse m’a tuée. Cet amour m’a beaucoup blessée. Mon compagnon actuellement s’est toujours moqué de cet amour de jeunesse. Toutefois, il n’a jamais essayé de comprendre les conséquences de cet amour déçu. Depuis cet amour solitaire, je me suis jurée de ne plus jamais vendre mon cœur à un homme. Si je ressentais quelque affection pour l’un entre eux, mon amour ne serait que partiel. Ce serait un amour raisonné raisonnable. Mon amour actuel est un amour raisonné raisonnable. Il ressent toute la folle passion que peut souhaiter une femme au point de laisser passer tous mes écarts de conduite. C’est pour beaucoup l’home idéal. Justement, c’est ce genre d’homme qui me plaît de faire souffrir. On dit toujours qu’on ne se rend pas compte des merveilles qui nous sous ses yeux. Je veux qu’il trouve quelqu’un qui le mérite. Alors, je le fais souffrir autant que j’ai souffert d’un rêve de six ans. Je veux qu’il me quitte. Je veux le voir heureux avec une femme qui saura lui rester fidèle de corps et de cœur. Le mien est trop déçu car il n’éprouve plus de passion mais seulement que de la tendresse à son égard.
Pourquoi mets-je des barrières entre toi et moi ? Crois-tu pouvoir me rendre heureuse ? J’ai repoussé tes avances, tes tendres caresses car je ne veux pas que tu vives avec la même douleur que mon compagnon actuel vit. Ton cœur est si fragile qu’il ne supporterait pas le choc. Crois-moi, je suis quelqu’un de trop instable pour toi. Ne confonds pas « amour » et « désir sexuel ». Mon tendre ami, ton pucelage m’excite, je te désire. Depuis que je t’ai vu entreprendre des caresses poussées, je te vois comme un homme plein de désirs. Cela m’amuse mais me fait peur car je ne veux pas que tu tombes dans les pièges de ton cœur. Ces derniers temps, je fantasme beaucoup sur toi. Je rêve que tu me prennes, que tu me susurres de mots doux, que tu me caresses longuement. Toutefois, tout cela demeure du fantasme sexuel plus que de l’amour. Mon homme se doute que tu es présent dans mon esprit. Il sait que tu occupes une place particulière dans mon cœur. Cette place privilégiée, il en est jaloux. D’où vient ce privilège que tu occupes dans mon cœur ? Tendre ami, cette place vient de l’innocence de ton cœur simple.
Mon ami, garde cette innocence pour la plus belle des femmes et non pour une souillon comme moi.
Mar 11 Mai 2010, 03:27 par
Solina sur La déclaration d'amour
Brune ou blonde
Laquelle choisis-tu?
Brune plus inaccessible, et naturelle
Blonde,plus vicieuse et dangereuse
j’encrasse,je m’insère en toi
Je fais souffrir,je détruis
je provoque,j’assouvis des plaisirs.
consolation jours et nuits,a toute heure.
quand tu veux, ou tu veux
par envie,par nécessité,par compréhension.
ça brule!
savoir me prendre par le bon bout
je suis a vous.
me placer délicatement entre tes lèvres,
sans être tente de me craquer.
délire toi des rêves, des images
mais soit sage.
brune ou blonde qui oserait me résister?
mais prenez garde! je suis un danger.
que je sois grande ou petite
mince ou ronde
quelle importance !
on m’apprécie sur le moment
on m’oublie facilement.
m’aime t’ont ?
pour celui qui m’essaye et qui me goute.
je ne fais que passer
refume moi
tu as besoin de moi
caressedesyeux (la cigarette)

Mar 23 Mars 2010, 15:21 par
caressedesyeux sur Mille choses
Bonjour
Car écrire est un acte égoïste et généreux en même temps, d’autant plus dès qu’il s’agit de sentiments. Je profite de cette tribune et de ma présentation à vos regards pour faire l’aveu d’un homme à l’aube de ses trente ans.
Devant certaines périodes de sa vie, bien ou mal, on fait le bilan. Les regrets, l’amertume sont passés. Celle que j’ai tant aimée et que j’ai laissée partir, celles que j’ai fait souffrir par dépit et celle qui ne le méritait pas. Quelle importance, de toutes façons, le temps embrume tout ! Visages, odeurs, sons... Le temps guérisseur, le temps guérit de tout, dit-on...
C’est faux. On ne guérit pas des sentiments, on les étouffe, on les assourdit, on les assomme. Mais ils sont toujours là, comme une marée qui reflue pour mieux vous emporter. La prochaine sera-t-elle petite ? Grande ? Ou poussée par la tempête ?
Devant certaines périodes de sa vie, bien ou mal, on fait le bilan. Les regrets, l’amertume sont passés. Celle que j’ai tant aimée et que j’ai laissée partir, celles que j’ai fait souffrir par dépit et celle qui ne le méritait pas. Quelle importance, de toutes façons, le temps embrume tout ! Visages, odeurs, sons... Le temps guérisseur, le temps guérit de tout, dit-on...
C’est faux. On ne guérit pas des sentiments, on les étouffe, on les assourdit, on les assomme. Mais ils sont toujours là, comme une marée qui reflue pour mieux vous emporter. La prochaine sera-t-elle petite ? Grande ? Ou poussée par la tempête ?
Ven 08 Jan 2010, 00:01 par
fontreven sur L'amour en vrac
Pas de retour. chapitre 4 (premiere partie)
Chapitre 4
Aéroport de Changi, Singapour – Au grand étonnement de Patrick, les formalités de contrôle des passeports furent très rapides et plutôt agréables. « Ca nous change de l’Europe », se dit-il. Cependant que lui et ses quatre élèves marchaient vers les tapis roulants pour récupérer leurs bagages, le petit Victor s’exclama :
- « Regardez ! Mon sac est déjà là !
- Le mien aussi ! », applaudit Ali.
« Efficace, avec ça ! », pensa Patrick, tout en regardant Victor courir partout, tel un furet. Tendrement, il se remémora sa première rencontre avec ce garçon âgé maintenant de 12 ans. Il y avait cinq ans. Déjà.
Ce jour là, Victor et ses parents pénétrèrent timidement dans l’établissement, juste avant que l’entraînement général ne débute. Patrick, déjà vêtu de son dobok, les accueillit. Il remarqua tout de suite le manque d’assurance des deux adultes qui se reflétait également chez le petit blondinet, agrippé à la main de sa mère, l’air déterminé à ne pas vouloir la lâcher, même en échange de tous les bonbons du monde ! Patrick s’évertua à les mettre à l’aise et chercha à comprendre quelles étaient les motivations des parents. Ceux-ci expliquèrent, hésitants, que leur petit garçon était d’une timidité maladive, qu’il n’osait jamais s’exprimer librement, que ce soit à la maison ou à l’école. De fait, il avait peu ou pas d’amis et il passait le plus clair de son temps, seul, lisant des tonnes de livres de son âge. Un ami leur avait conseillé de l’inscrire à un club d’arts martiaux, quel qu’il soit, afin de lui permettre de développer une certaine confiance en soi qui lui faisait manifestement défaut. Patrick avait déjà eu affaire à ce genre de cas. Il avait su, à force de patience et de psychologie, faire ressortir les points forts de ces enfants et leur démontrer qu’ils ne devaient pas craindre de les mettre en valeur. Ainsi, au cours des années, Victor s’était complètement transformé. Il était devenu un préadolescent sûr de lui et de ses possibilités, n’hésitant plus à exprimer ses émotions. Malgré son jeune âge, il adorait assister les entraîneurs des tout petits et prenait plaisir à l’instruction. Patrick lui avait donné cette responsabilité, sachant pertinemment que cela permettrait à Victor de continuer à s’épanouir. « C’est en enseignant qu’on apprend le mieux. » répétait-il à ses ceintures noires pour les convaincre d’aider les entraîneurs. Et, en effet, Victor avait beaucoup appris. Sur lui-même. La participation au tournoi de jeunes pratiquants comme Victot faisait aussi partie de la stratégie de Patrick. Il s’avéra que l’enfant était naturellement doté des qualités physiques requises par le taekwondo. Le travail technique qu’il avait accumulé au cours de ces années d’entraînement lui permettait de figurer parmi les meilleurs combattants de sa catégorie d’âge. Ses résultats en tournois, accompagnés des félicitations de son mentor ainsi que de l’admiration de ses camarades, n’avaient pas manqué de le convaincre qu’il pouvait réussir dans ce qu’il entreprenait. Mais, le plus étonnant pour Patrick était de constater l’évolution simultanée des parents de Victor. Ceux-ci étaient devenus plus affirmatifs, beaucoup moins timides dans leurs échanges avec lui, moins craintifs en apparence. « Et ils ne pratiquent aucun art martial, eux… Trois transformations pour le prix d’une ! Non seulement Victor a changé mais il a aussi, et sans le savoir, influencé ses propres parents… », s’amusa-t-il intérieurement.
Quant à Ali, le problème avait été tout autre. Ses parents, issus de la troisième génération d’immigrés, avaient réussi à percer ce mur invisible dressé par la société à cause de leurs origines. Ils étaient jeunes, formaient un beau couple et respiraient le bonheur. Lui était cadre dans une compagnie d’assurances et elle dispensait des cours d’informatique pour le compte d’un organisme de formation professionnelle. A la naissance d’Ali, un an après leur mariage, ils furent fous de joie et tous les membres de leurs grandes familles, de Paris à Oran, devinrent hystériques. « Un cadeau d’Allah ! » avait proclamé un oncle d’Oran, toujours volubile. Le grand père d’Ali n’avait pas hésité, déclenchant le courroux de son épouse, à déclarer à son rejeton : « Tu as toujours été ma plus grande fierté, mon enfant. Maintenant, avec la naissance de ton propre fils, je sais que jamais je ne pourrai être plus heureux. Alors, si Dieu veut que je meure maintenant, je suis d’accord ! »
Au fil des mois, puis des années, les géniteurs comblés s’aperçurent que quelque chose clochait chez Ali. Dans son comportement, très agité, souvent impulsif ; à l’école, où il avait énormément de mal à suivre. Ses parents s’en inquiétèrent très vite et consultèrent un généraliste. Celui-ci, après examen de l’enfant, pronostiqua un TDAH (Trouble de Déficit de l’Attention Hyperactivité) et demanda aux parents de voir un spécialiste afin de confirmer la découverte et, surtout d’en définir le degré. Ce qu’ils firent. Et ils apprirent que leur enfant était, en effet, atteint du TDAH, à un degré élevé. Mais le spécialiste se montra rassurant car le problème avait été détecté assez tôt et il proposa un programme spécifique pour Ali, à base d’homéopathie (il était contre les médicaments, qu’il considérait trop invasifs pour un enfant de 6 ans) et d’approche psychosociale. « Mais le plus important pour Ali reste l’amour que vous lui portez et votre soutien sans faille. », avait prévenu le professeur. Justement, de l’amour, pour leur enfant, ils en avaient à revendre ; de même que toute leur famille ! Aussi, loin d’être abattus, soulagés, même, de pouvoir mettre un nom sur le problème, les parents d’Ali étaient plus que déterminés à aider leur fils. Lorsque la maîtresse d’Ali fut mise au courant du trouble de son élève, elle recommanda à sa mère de l’inscrire au club de taekwondo de Patrick Brun, leur assurant que cela pourrait grandement contribuer à l’amélioration de leur fils. Prudents, les parents demandèrent conseil au spécialiste qui ratifia cette suggestion : « Pratiquer un sport, qui plus est un art martial, est une excellente démarche dans le cas du petit Ali. En effet, pour lui, apprendre en étant assis derrière un pupitre est un vrai calvaire. S’il peut apprendre tout en déversant son trop plein d’énergie, il aura moins de difficultés à garder son attention. Un art martial offre, en plus, un cadre très structuré, basé sur des règles et des codes précis que personne ne peut enfreindre, y compris un enfant atteint de TDAH. Aussi, Ali apprendra plus facilement les conséquences de ses débordements éventuels et, inconsciemment, ajustera son comportement en fonction. »
C’est ainsi que Patrick reçut Ali au sein de son club et participa – non sans mal – aux progrès lents mais incontestables de l’enfant. Aujourd’hui, Ali avait 18 ans. Patrick le regardait récupérer son sac et aider Mathilde à en faire autant. Grand, musclé, souple : un corps de félin. Calme, souriant, confiant, patient, toujours à l’écoute : un grand frère à qui on veut confier toutes ses peines ; vers qui on se tourne pour partager ses joies ; quelqu’un dont on veut gagner l’amitié, à jamais. « Où es-tu passé, petit Ali de 6 ans ? », s’interrogea Patrick. « Tu nous as fait souffrir, mes entraîneurs et moi. Tu nous as tournés en bourriques tant de fois. Tu étais insaisissable. Tes camarades d’entraînement te détestaient car tu étais différent. Tu étais incapable de reproduire une poomse correctement… Et, petit à petit, tu as laissé la place à quelqu’un qui est finalement devenu ce jeune homme : un instructeur occasionnel adoré par ses étudiants. Un champion de taekwondo. Et, pour couronner le tout, un brillant étudiant qui finit sa deuxième année de médecine. Alors, c’est avec plaisir que je te dis : « Adieu, petit Ali de 6 ans… Et je suis content que tu aies laissé ta place à cet Ali de 18 ans, promis à un brillant avenir. Le joyau de sa famille, si aimante… » .
Aéroport de Changi, Singapour – Au grand étonnement de Patrick, les formalités de contrôle des passeports furent très rapides et plutôt agréables. « Ca nous change de l’Europe », se dit-il. Cependant que lui et ses quatre élèves marchaient vers les tapis roulants pour récupérer leurs bagages, le petit Victor s’exclama :
- « Regardez ! Mon sac est déjà là !
- Le mien aussi ! », applaudit Ali.
« Efficace, avec ça ! », pensa Patrick, tout en regardant Victor courir partout, tel un furet. Tendrement, il se remémora sa première rencontre avec ce garçon âgé maintenant de 12 ans. Il y avait cinq ans. Déjà.
Ce jour là, Victor et ses parents pénétrèrent timidement dans l’établissement, juste avant que l’entraînement général ne débute. Patrick, déjà vêtu de son dobok, les accueillit. Il remarqua tout de suite le manque d’assurance des deux adultes qui se reflétait également chez le petit blondinet, agrippé à la main de sa mère, l’air déterminé à ne pas vouloir la lâcher, même en échange de tous les bonbons du monde ! Patrick s’évertua à les mettre à l’aise et chercha à comprendre quelles étaient les motivations des parents. Ceux-ci expliquèrent, hésitants, que leur petit garçon était d’une timidité maladive, qu’il n’osait jamais s’exprimer librement, que ce soit à la maison ou à l’école. De fait, il avait peu ou pas d’amis et il passait le plus clair de son temps, seul, lisant des tonnes de livres de son âge. Un ami leur avait conseillé de l’inscrire à un club d’arts martiaux, quel qu’il soit, afin de lui permettre de développer une certaine confiance en soi qui lui faisait manifestement défaut. Patrick avait déjà eu affaire à ce genre de cas. Il avait su, à force de patience et de psychologie, faire ressortir les points forts de ces enfants et leur démontrer qu’ils ne devaient pas craindre de les mettre en valeur. Ainsi, au cours des années, Victor s’était complètement transformé. Il était devenu un préadolescent sûr de lui et de ses possibilités, n’hésitant plus à exprimer ses émotions. Malgré son jeune âge, il adorait assister les entraîneurs des tout petits et prenait plaisir à l’instruction. Patrick lui avait donné cette responsabilité, sachant pertinemment que cela permettrait à Victor de continuer à s’épanouir. « C’est en enseignant qu’on apprend le mieux. » répétait-il à ses ceintures noires pour les convaincre d’aider les entraîneurs. Et, en effet, Victor avait beaucoup appris. Sur lui-même. La participation au tournoi de jeunes pratiquants comme Victot faisait aussi partie de la stratégie de Patrick. Il s’avéra que l’enfant était naturellement doté des qualités physiques requises par le taekwondo. Le travail technique qu’il avait accumulé au cours de ces années d’entraînement lui permettait de figurer parmi les meilleurs combattants de sa catégorie d’âge. Ses résultats en tournois, accompagnés des félicitations de son mentor ainsi que de l’admiration de ses camarades, n’avaient pas manqué de le convaincre qu’il pouvait réussir dans ce qu’il entreprenait. Mais, le plus étonnant pour Patrick était de constater l’évolution simultanée des parents de Victor. Ceux-ci étaient devenus plus affirmatifs, beaucoup moins timides dans leurs échanges avec lui, moins craintifs en apparence. « Et ils ne pratiquent aucun art martial, eux… Trois transformations pour le prix d’une ! Non seulement Victor a changé mais il a aussi, et sans le savoir, influencé ses propres parents… », s’amusa-t-il intérieurement.
Quant à Ali, le problème avait été tout autre. Ses parents, issus de la troisième génération d’immigrés, avaient réussi à percer ce mur invisible dressé par la société à cause de leurs origines. Ils étaient jeunes, formaient un beau couple et respiraient le bonheur. Lui était cadre dans une compagnie d’assurances et elle dispensait des cours d’informatique pour le compte d’un organisme de formation professionnelle. A la naissance d’Ali, un an après leur mariage, ils furent fous de joie et tous les membres de leurs grandes familles, de Paris à Oran, devinrent hystériques. « Un cadeau d’Allah ! » avait proclamé un oncle d’Oran, toujours volubile. Le grand père d’Ali n’avait pas hésité, déclenchant le courroux de son épouse, à déclarer à son rejeton : « Tu as toujours été ma plus grande fierté, mon enfant. Maintenant, avec la naissance de ton propre fils, je sais que jamais je ne pourrai être plus heureux. Alors, si Dieu veut que je meure maintenant, je suis d’accord ! »
Au fil des mois, puis des années, les géniteurs comblés s’aperçurent que quelque chose clochait chez Ali. Dans son comportement, très agité, souvent impulsif ; à l’école, où il avait énormément de mal à suivre. Ses parents s’en inquiétèrent très vite et consultèrent un généraliste. Celui-ci, après examen de l’enfant, pronostiqua un TDAH (Trouble de Déficit de l’Attention Hyperactivité) et demanda aux parents de voir un spécialiste afin de confirmer la découverte et, surtout d’en définir le degré. Ce qu’ils firent. Et ils apprirent que leur enfant était, en effet, atteint du TDAH, à un degré élevé. Mais le spécialiste se montra rassurant car le problème avait été détecté assez tôt et il proposa un programme spécifique pour Ali, à base d’homéopathie (il était contre les médicaments, qu’il considérait trop invasifs pour un enfant de 6 ans) et d’approche psychosociale. « Mais le plus important pour Ali reste l’amour que vous lui portez et votre soutien sans faille. », avait prévenu le professeur. Justement, de l’amour, pour leur enfant, ils en avaient à revendre ; de même que toute leur famille ! Aussi, loin d’être abattus, soulagés, même, de pouvoir mettre un nom sur le problème, les parents d’Ali étaient plus que déterminés à aider leur fils. Lorsque la maîtresse d’Ali fut mise au courant du trouble de son élève, elle recommanda à sa mère de l’inscrire au club de taekwondo de Patrick Brun, leur assurant que cela pourrait grandement contribuer à l’amélioration de leur fils. Prudents, les parents demandèrent conseil au spécialiste qui ratifia cette suggestion : « Pratiquer un sport, qui plus est un art martial, est une excellente démarche dans le cas du petit Ali. En effet, pour lui, apprendre en étant assis derrière un pupitre est un vrai calvaire. S’il peut apprendre tout en déversant son trop plein d’énergie, il aura moins de difficultés à garder son attention. Un art martial offre, en plus, un cadre très structuré, basé sur des règles et des codes précis que personne ne peut enfreindre, y compris un enfant atteint de TDAH. Aussi, Ali apprendra plus facilement les conséquences de ses débordements éventuels et, inconsciemment, ajustera son comportement en fonction. »
C’est ainsi que Patrick reçut Ali au sein de son club et participa – non sans mal – aux progrès lents mais incontestables de l’enfant. Aujourd’hui, Ali avait 18 ans. Patrick le regardait récupérer son sac et aider Mathilde à en faire autant. Grand, musclé, souple : un corps de félin. Calme, souriant, confiant, patient, toujours à l’écoute : un grand frère à qui on veut confier toutes ses peines ; vers qui on se tourne pour partager ses joies ; quelqu’un dont on veut gagner l’amitié, à jamais. « Où es-tu passé, petit Ali de 6 ans ? », s’interrogea Patrick. « Tu nous as fait souffrir, mes entraîneurs et moi. Tu nous as tournés en bourriques tant de fois. Tu étais insaisissable. Tes camarades d’entraînement te détestaient car tu étais différent. Tu étais incapable de reproduire une poomse correctement… Et, petit à petit, tu as laissé la place à quelqu’un qui est finalement devenu ce jeune homme : un instructeur occasionnel adoré par ses étudiants. Un champion de taekwondo. Et, pour couronner le tout, un brillant étudiant qui finit sa deuxième année de médecine. Alors, c’est avec plaisir que je te dis : « Adieu, petit Ali de 6 ans… Et je suis content que tu aies laissé ta place à cet Ali de 18 ans, promis à un brillant avenir. Le joyau de sa famille, si aimante… » .
Jeu 12 Nov 2009, 12:07 par
Arthis sur Mille choses
Pourquoi?
Pourquoi cette sensation de faiblesse, alors que je suis à l’apogée de mon bonheur.
Tout simplement parce que je sais qu’il retombera mort, au plus profond de moi, me rappelant son souvenir, comme si j’avais avalé une braise.
Me brulant de l’intérieur en ramenant à mon esprit les souvenirs présents.
N’est ce pas se torturer que de penser à la fin de son bonheur alors que j’en suis enivré.
J’ai tout simplement peur de la perdre.
N’est ce pas de l’amour? Je n’en sais rien, personne ne sait ce qu’est l’amour, il n’existe plus.
Il a quitté cette terre nous laissant au milieu des ingrats et des parasites. Nous laissant le chercher.
J’ai peur de la perdre.
Je me le répète continuellement.
Je suis dans les rêves qui hantent mes pensées depuis que je l’ai vu. Je voudrais lui dire "je t’aime" mais je ne pense pas le mériter.
Et si ce simple "je t’aime" envoyer tout en l’air.
Et si ces deux petits mots devenues bien trop souvent utilisés n’étaient-ils pas la fin de notre relation.
Je ne veux pas la perdre.
C’est deux simples mots me torturent, ils tournent dans ma tête sans s’arrêter.
Et si elle ne m’aimait pas?
Et si elle prenait peur du sérieux que je lui donne?
Je ne serai plus qu’un simple humain avec le cœur dans la main n’ayant plus qu’à le serrer jusqu’à ce qu’il crève.
Ces lignes me font du bien, malheureusement, leur simplicité, leur inutilité, leur vide, me font souffrir.
La souffrance accompagne ma vie principalement dans mes bonheurs.
Je ne veux pas la perdre.
Tout simplement parce que je sais qu’il retombera mort, au plus profond de moi, me rappelant son souvenir, comme si j’avais avalé une braise.
Me brulant de l’intérieur en ramenant à mon esprit les souvenirs présents.
N’est ce pas se torturer que de penser à la fin de son bonheur alors que j’en suis enivré.
J’ai tout simplement peur de la perdre.
N’est ce pas de l’amour? Je n’en sais rien, personne ne sait ce qu’est l’amour, il n’existe plus.
Il a quitté cette terre nous laissant au milieu des ingrats et des parasites. Nous laissant le chercher.
J’ai peur de la perdre.
Je me le répète continuellement.
Je suis dans les rêves qui hantent mes pensées depuis que je l’ai vu. Je voudrais lui dire "je t’aime" mais je ne pense pas le mériter.
Et si ce simple "je t’aime" envoyer tout en l’air.
Et si ces deux petits mots devenues bien trop souvent utilisés n’étaient-ils pas la fin de notre relation.
Je ne veux pas la perdre.
C’est deux simples mots me torturent, ils tournent dans ma tête sans s’arrêter.
Et si elle ne m’aimait pas?
Et si elle prenait peur du sérieux que je lui donne?
Je ne serai plus qu’un simple humain avec le cœur dans la main n’ayant plus qu’à le serrer jusqu’à ce qu’il crève.
Ces lignes me font du bien, malheureusement, leur simplicité, leur inutilité, leur vide, me font souffrir.
La souffrance accompagne ma vie principalement dans mes bonheurs.
Je ne veux pas la perdre.
Ven 30 Oct 2009, 23:32 par
Pierre sur L'amour en vrac
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