Jalousie... C'est mieux quand ça fait ça!

Ma jalousie n’est qu’un grain de folie,
Un énorme manque de toi ma jolie.
Ca me prends en traitre, par derrière,
Me rend stupide et fier.
Crie de toutes forces mon âme
Que sans elle je me damne

Il parait que c’est une maladie,
Mais sans elle je perds toute envie.
Alors il faut me faire interner
Car je veux continuer à l’éprouver,
Garder se sentiment de fragilité
Qui s’accorde si bien à l’être aimé...

Promis je la garderai pour moi
Car je vois pas pourquoi
Tu devrais de ma maladie
Cette douce ennemie
Qu’on appelle la jalousie...
Mar 29 Mai 2007, 13:45 par Loyd sur Histoires d'amour

Maux de l'âme

OUI
Aimer c’est ...

La douleur trop intense
Mène au désespoir...

Que l’on désire
La mort...

Pour ne plus
Et trouver la paix...


Marie
Lun 09 Avril 2007, 16:59 par Satine sur Parler d'amour

Dieu, que c'est bon ! La chanson du ravi !

On peut se faire mal, se blesser sur la route et parfois, mais Dieu comme c’est bon de vivre ! ! !
De vivre pleinement !
Respirer cet air unique : prendre le temps de savourer !
Chaque seconde est bonne à vivre, une étincelle de paradis, un soupçon d’éternité !
Dieu, comme c’est bon de vivre !
Si tu savais, Seigneur, la joie que j’ai !
Et le cadeau que tu m’as fait !
Comme c’est bon de vivre !
Comme c’est bon d’aimer !
Et à peine tombé, à nouveau espérer !
Les yeux vers les sommets !
Oh ! Oui ! Que c’est bon de vivre !
Ciel, quelle joie de sentir son cœur battre et de se mettre en route ! Quelle félicité !
Oh, oui, mon Dieu !
Que c’est bon de vivre !
Un cœur, de la joie, de la force en soi !
Qui peut les ravir ?
Qui peut les enlever ?
Oh, mon cœur n’est pas frileux !
Que je suis heureuse de vivre !
Mon Dieu, si tu savais !
Oh, oui, Dieu que c’est bon de vivre !
Et que c’est bon d’aimer ! ! !
Lun 15 Jan 2007, 13:48 par dolce vita sur L'amour en vrac

Ce soir encore je pense a toi

Ce soir encore je pense à toi,
j’ai du mal à m’y résigner,
mais je dois faire ce dur choix,
par amour pour toi.

Comprendras-tu mon choix ?
Je ne le pense pas et je sais....
que tu m’en veux terriblement
d’avoir éveillé ce désir en toi.

Comment pourrais-je vivre ?
Comment pourrais-je me regarder ?
Dans le miroir du matin,
dans le reflet de tes yeux pétillants de ces mille étoiles...
En me culpabilisant de te faire porter mon lourd fardeau !

Laisser chanter mon coeur, mon âme, mon émoi,
écouter la douce raison de mon amour pour toi
serait de la folie amère et égoïste.
Je ne veux pas être responsable de cette douleur,
que tu pourrais ressentir en me voyant,
chaque nuit revivre des flashs back.
Je ne veux pas brider ton amour si merveilleux,
parce que tu mérites vraiment d’être heureux.
Auprès d’une femme qui te comblera de bonheur,
qui saura être ta femme, ton amie, ta maîtresse et la mère de tes enfants.

Comment pourrais-je te faire vivre tout ça ?
Mon coeur, lui, chante les douces mélodies de l’amour,
mais ma raison refuse de te faire .
Et pour cela, je dois faire en sorte que ton désir passe.
Pourtant, j’aurais aimé être la femme que je décris plus haut,
mais je n’en serais pas capable.
Sam 06 Jan 2007, 23:06 par joullia sur Parler d'amour

Noël...

Devenir adulte, c’est reconnaître, sans trop ,
que le "Père Noël" n’existe pas.

Hubert Reeves

Extrait de " L’Espace prend la forme de mon regard "
Dim 24 Déc 2006, 12:38 par Satine sur Citations

De mots et de moeurs

Je tords tous tes tords qui à tort s’attardent sur mon corps.
Tu me mords et sur mon cou se font alors les traces pourpres de ton amour.
Je m’acharne à fuir tes charmes, mais sur ma chair tu t’incarnes.
J’inspire l’air que tu expires, mais j’attends que tu t’en ailles.
Alors je m’enfuis, trop honteuse de ton mal, mon absence d’amour rejette ta passion malhabile.
Et j’inhale un air plus pur, loin de toi loin de moi, auprès de lui.
Je profite de son cœur innocent, j’accepte se vertueux sentiments tandis que moi, souriante, pour t’oublier je crois que je lui mens.
Je ne sais si j’aime ou si je hais, je ne sais si mon cœur sent ou s’il est de pierre.
Toi ou lui. Je ne sais si c’est haine ou amour. Pourrais-je espérer avoir la paix un jour ?
J’ai beau essayer de calmer mon cœur, mes pensées reprennent leur galop incessant dans ma tête.
Entre cette haine mal feinte et cet amour coupable. Où est la morale où est l’entente ?
Où suis-je sinon qu’entre deux cœurs, moi qui n’ai pas de sentiments.
Je le sais, je le sens, je serais la première à en mais je crois bien que j’en souffre déjà trop. Qui je hais ? Qui j’aime ? Qui je mens ?
J’en suis encore à y repenser, alors que je devrais jubiler, au lieu de d’aimer et d’être aimé.
Jeu 02 Nov 2006, 03:36 par Lindsey sur Parler d'amour

Feria

Quelque fois, j’ai un peu honte de faire partie d’une espèce qui se délecte de faire . Plus je grandis, et plus je vois à quel point l’homme a besoin de se sentir puissant, usant de n’ importe quel moyen pour poser le doigt sur cette faim et son assouvissement.
Du plus petit au plus grand de notre instinct destructeur, je me pose là, ce lundi, devant Nîmes et son antre de calcaire, de sable rougi du sang de beautés à cornes, qui courageusement se battent … devant ce courage vain qui fait si plaisir à nombre d’entre nous et qui regardent.
Quelque fois, je ne suis plus humaine ; parce que j’espère que le taureau et le cheval ne seront point blessés, mais que l’homme fasse voltige, qu’il morde la poussière, souffre de sa propre condition avant d’être rappelé à ses neurones et ses hormones qu’il gère souvent de façon ridiculement petite.

Stéphanie Auger. En Mai 2005, un jour de Pente pas ascendante, en ce qui concernait certains autres...
Jeu 12 Oct 2006, 19:19 par Chogokinette sur Un monde parfait

Carresse au fil de l' Homme

J’ai fui depuis un jour Paris la belle, par besoin d’air pur et envie de me revoir vibrante au beau et pas au sombre.
Nature sensible passe ses saisons et n’apprend toujours pas à faire cocon, à se protéger du mal des autres qui fait injustement ceux qui les aiment.

Je suis à ta surface, naviguant enfin sur ton calme plat.
Le soleil vient … chaleur sur la coque de mon kayak, je tends les bras sur la proue et y colle mon profil dans un câlin.

Pas de silence, mélopées oisives car c’est le printemps ; vrombissements d’insectes … l’été est presque là.
Mes yeux sont emplis de la rivière, des arbres, des algues et du ciel qui se reflète,

Mes yeux n’ont jamais été aussi beaux, grands ouverts, béats et en paix ; ils te rendent hommage, Petite rivière.
Jeu 12 Oct 2006, 11:18 par Chogokinette sur Mille choses

Je l'aimais

Bon ben c’est mon premier texte enjoy it or not.


C’est en marchant sur les quais de Seine que je l’ai rencontrée. La chevelure brune dans le vent, la peau matte, les yeux verts, elle était belle. Le soleil couchant teintait l’eau d’un reflet doré, un léger vent faisait voler les feuilles d’automne. Je me décide à lui parler, je demande une cigarette mais elle ne fume pas. Je ne sais pas pourquoi je perds mes moyens, je souris bêtement, je bafouille, je regarde mes pieds n’osant affronter son regard. Elle se demande ce que j’attends mais elle sourit finalement. Ce sourire, ô ce sourire, cette sorte de sourire que sont parfois les fleurs au milieu d’herbes graves, cette sorte de sourire qui font que le temps s’arrête, cette sorte de sourire qui vous fait perdre la tête. Je m’assoie timidement à ses côtés et nous parlons. Nous parlons encore et encore, de tout et de rien, du beau temps de la pluie, des amours, des ennemis, suis je lucide ou atteint de folie, je tombe amoureux, ô funeste ennemie !Comment pourrais-je la quitter, celle que j’aime, ma destinnée ? J’ose alors lui demander un numéro où je peux la rappeler. Elle accepte, je suis heureux, je pourrais peut-être la revoir, et ce tout petit espoir, rend ce monde merveilleux.

Arrive, plus tard, la concrétisation de mes espoirs, enfin je vais la revoir. Le premier rendez-vous, celui qui te fait à la fois si peur et si plaisir, celui qui fait battre ton coeur si fort, si fort. Celui qui accélère ta respiration et rend tes mains moites, celui que tu attends et redoutes à la fois. La place St michel - où veille l’ange Gabriel, où le bruit de la fontaine berce les artistes - est le lieu où je la reverrai. Je la vois, elle me voit, elle sourit, je flamboie, elle s’avance, mon coeur bat, je l’aime et je ne sais pas. Je ne sais pas si c’est réciproque, je ne sais pas si elle m’aime ou pas, ô amour tu me tueras, ô toi comble de l’union de la folie et de la sagesse. Je lui fais la bise, sa peau est si douce, son parfum ô son parfum, les parfums sont les sentiments des fleurs et le sien fait battre mon coeur, mais comment décrire le monde des odeurs? Je ne le sais pas. Je suis amoureux, étrange bonheur malheureux. Nous marchons, nous parlons, nous dînons et nous remarchons. Je sens des goutes de pluie sur mon visage, elle ouvre son parapluie, je me rapproche. Je me perds dans l’océan de ses yeux, elle les ferme, je me rapproche encore, j’ai mal aux côtes à cause de mon coeur, je sens son souffle chaud puis doucement nos lèvres se touchent, humides et douces nos langues se frolent puis s’unissent, unissant de même les deux êtres, les deux coeurs, les deux âmes que nous sommes. Je l’aime. Le sablier s’est arrêté, la terre ne tourne plus, les étoiles ne brillent plus il n’y a qu’elle. Je la regarde, les moindres petits défauts de son visage ou de ce qu’elle représente sont devenus des qualités. Je dois la quitter ce soir mais j’ai hâte de la revoir. Sentiment de bonheur indescriptible, joie inextinguibe, je l’aime, je l’aime, je l’aime.


Je la revois souvent maintenant, je lui consacre mon temps, ce que je suis, ma vie. Je l’acceuille ce soir dans mon humble demeure. De jour en jour, sa beauté grandit, elle est belle, elle m’éblouit. Nous buvons, nous parlons, je l’embrasse, je l’aime. Elle me prend par la main et m’enmène vers le lit. La lumière d’un lampadaire tamise la pièce, je tremble comme une feuille, elle s’allonge. Je me sens mal, je vais exploser. Je m’allonge à ses cotés, elle passe sa main dans mes cheveux, je sens le désir brulant dans mes veines. Mes tempes boudonnent, je brule.Nos langues s’unissent, je passe ma main sur son corps, j’ai des frissons.Je passe ma main sous son chemisier, elle gémit. Elle me caresse le ventre puis descend lentement. Son souffle chaud sur ma nuque, son parfum m’ennivrent. J’ai du mal à respirer. J’ai chaud et poutant je frisonne. Je déboutonne son jean, et doucement, doucement je glisse ma main vers son bas ventre. Je la caresse, elle gémit encore. Je sens son sexe humide et chaud. Je l’embrasse encore et encore. J’embrasse sa nuque, ses seins, son sexe, je l’aime, je l’aime, je l’aime. Nous sommes nus à présent, je sens ses seins contre mon torse. Mon sexe contre le sien, je la pénétre lentement. Mes bras tremblent, je tremble, elle me sert contre elle si fort. Je vais et reviens en elle au rythme lent d’une mélodie depuis longtemps oubliée. Je l’embrasse. Je respire vite, très vite, le plaisir monte, monte, encore et encore, et c’est l’explosion, le loup hurle, la mélodie culmine, moment si bref et si fort pourtant, union sacrée à son paroxisme. Union ultime de nos êtres, de nos âmes, de nos vies. Je m’allonge à ses côtés, je la regarde, elle me sourit. On ne dit rien les mots sont inutiles. Après un long moment, elle s’endort. Je la regarde toujours, je l’aimerais toujours. Merci.

Un mois passe, puis deux, arriva alors ce jour maudit par les dieux. Hermes m’apporta le message malheureux : elle me quitte. Son coeur bat pour un autre ; le mien s’est arrêté. Ah douleur non encore éprouvée, poignardé de l’intérieur, je meurs. Je souffre, je hurle à la mort pourquoi, pourquoi? Pourquoi elle, source de tant d’amour me cause tant de souffrance? Tourments indescriptibles, rage innexprimable, désespoir insurmontable. Je revois son visage, son souvenir me hante : comment vivre après une telle souffrance et cette soufrance est sans partage. Je noie mon malheur dans l’alcool dans une pièce autrefois joyeuse et aujourd’hui si triste. J’allume la radio et entends "What a wonderful world" de Louis Amstrong. Ironie du sort, les dieux me maudissent et je les maudis. Une lame de rasoir entre les mains je pense à elle. Une gorgée d’absynthe pour ne pas .
I see trees of green, red roses too
I see them bloom for me and you
And I think to myself what a wonderful world.
Une autre gorgée, ma trachée brule, je fais un essai, la lame pénétre la chair de mon poignet. Le sang coule, j’hurle, je pleure. Une autre gorgée encore une.

I see skies of blue and clouds of white
The bright blessed day, the dark sacred night
And I think to myself what a wonderful world.
Ma vision se brouille à cause des larmes et de l’alcool. Je réenfonce l’acier dans ma chair, j’ai coupé une veine cette fois, le sang gicle sur ma chemise. Je contemple mon poignet posé sur la table au milieu de mon sang. Une autre gorgée encore une.
The colors of the rainbow so pretty in the sky
Are also on the faces of people going by
I see friends shaking hands saying how do you do
They’re really saying I love you.
Je n’ai plus de force, je ne vois presque plus. J’ai perdu trop de sang, je crois. Ma tête devenue trop lourde commence à pencher, puis tombe sur la table dans le sang, je pleure. Un dernier effort, je reprends la lame mais cette fois je coupe un tandon puis je rencontre l’os. J’ai du sang dans la bouche. Un dernier effort pour une dernière gorgée je meurs. Adieu je t’aimais.

I hear babies crying, I watch them grow
They’ll learn much more than I’ll never know
And I think to myself what a wonderful world
Yes I think to myself what a wonderful world.
Mar 10 Oct 2006, 20:50 par Evidance sur Histoires d'amour

Aimons nous vivants

Comme une envie de dire je t’aime
Quand on est au bout de soi même
Quand il n’y a plus aucune raison de le cacher
Comme une envie de rêver tout haut
Te dire enfin les mots qu’il faut
Les mots faciles qui ont le pouvoir de déranger

Et ce soir,
Je veux briser les ponts
Du silence
Franchir le mur du son, le temps d’une chanson

Aimons-nous vivants
N’attendons pas que la mort nous trouve du talent
Aimons-nous vivants
S’il faut danser, je veux danser maintenant
Aimons-nous vivants

Aimons-nous debout
Faisons la paix, faisons l’amour entre nous
Aimons-nous surtout
Pour ne plus jamais, jamais vivre à genoux
Aimons-nous vivants

Combien de larmes et de sourires
De mots qu’on n’a pas osés dire
Dieu que le silence est une arme qui fait !
Combien d’amours inavouées
Combien de passions condamnées
Au nom de ceux qui ne pourront jamais en mourir?

Mais ce soir,
On va se dépasser
Faire la fête,
Au nom de l’amitié, simplement pour chanter


C’est vrai, on ne peut pas changer le monde
Je sais, mais je veux y croire une seconde
Aimons-nous vivants
Maintenant




Ces quelques paroles de chanson comme le témoignage qu’il ne faudrait jamais oubier de dire aux gens qu’on les aime...
ne pas les abandonner dans leur solitude...et qu’un jour il soit trop tard.

Ces quelques paroles de chanson comme le témoignage que demain je penserais à toi, car je sais que demain ta famille et tes proches t’accompagneront dans ton dernier voyage, tu as choisi de partir il y a une semaine.
Moi je ne pourrais pas t’accompagner, cette histoire pourrait être la mienne...
Tu as voulu partir, on n’ a pas pu te sauver...trop tard.

Tu es morte de chagrin par amour....

Marie
Mar 19 Sep 2006, 11:53 par Satine sur Parler d'amour

Il y a longtemps

Il y a longtemps on m’avait dit :
Que j’étais bien trop jeune pour aimer de cette façon un homme.
Que la vie allait être remplie de haine et de déception.
Que j’allais très souvent pleurer.
Que je ne pouvais et devrais pas accorder une confiance aveugle.
Que je devrais toujours croire en moi quoi qu’il puisse arriver.
Que l’amour ça pourrait faire extrêmement mal,
Au point de vouloir mourir pour sauver l’être aimé.
Que pleurer ça pourrait m’aider à me soulager,
Mais ne résoudrait pas la situation.
Que crier ça pourrait me libérer
Des pressions de la vie.
Que allait souvent m’arriver.
De ne jamais baisser les bras face à la difficulté de la vie.
De voir la vie en face et la prendre à bras le corps.
Et de ne surtout pas reculer.

On m’avait dit...
De ne pas m’attacher à toi
De ne pas vouloir que toi
De ne pas croire en toi
De ne pas t’espérer

Mais on ne m’avait jamais dit...
Que de toi, j’allais être si éperdument amoureuse,
Au point de quitter ma famille si chère à mes yeux.
Que sans toi, ma vie n’allait plus avoir de sens, de raison d’être,
Au point que chaque seconde sans toi m’ont plonger dans le néant.
Que pour toi, j’allais tout faire pour décrocher la lune,
Au point de réaliser ton rêve le plus fou.
Qu’avec toi, j’allais accomplir mes rêves de femme et de mère.
Que je serais si amoureuse de toi Franck, avec cette Amour Vrai, Celui que tout le monde cherche.
Que je passerais par où je suis passée,
Que chaque jour je devrais me donner une raison de poursuivre,
Cette route tortueuse et si longue.
Sans toi et sans notre ange.

aime julia timide
Mar 29 Août 2006, 20:26 par joullia sur Histoires d'amour

N'avez vous jamais aimé à un point inimaginable ?

Vous n’avez qu’une envie :
être avec lui, le regarder, lui parler, l’écouter,
vous adresser tous vos sourires et recevoir les siens en
échange.
Juste parce que c’est lui, juste parce que vous l’aimez, juste pour ça.
Il est comme un rêve, une illusion qui vous poursuit.
Lorsque vous regardez les étoiles s’illuminer dans le ciel,
vous voyez s’inscrire son prénom dans les astres.
Lorsque vous êtes seule, vous avez l’impression
qu’il est là, tout près de vous.
Lorsque vous fermez les yeux, vous imaginez sa présence.
Il vous tient dans ses bras comme pour vous protéger.
Partout où vous allez vous apercevez son reflet et
ce beau sourire qui vous hante vous sourit.
Vous ne pensez qu’à lui, vous ne parlez que de lui,
vous ne vous levez le matin que pour le voir, vous
ne vivez que pour lui.
Vous l’aimez tellement, que parfois, ça vous détruit,
vous étouffe complètement.

On vit dans une dimension totalement étrangère.
Il n’y a plus que son doux prénom, lui qui a un sens pour vous.
Vous avez l’impression qu’à chaque regard,
qu’à chaque parole de lui, qu’à chaque sourire
qu’il vous adresse, votre coeur s’embrase, votre
rythme cardiaque s’accélère, vous avez une bombe
dans le ventre près à exploser au moindre instant,
votre bouche est sèche et votre imagination se
retrouve plongée dans un monde féerique : tout ça
pour lui.
Vous sentez que lorsque vous êtes avec lui plus
rien n’est impossible juste parce qu’il est à vos cotés.
Vous avez le sentiment que tout est facile,
que la vie vous sourit. Avec lui vous voulez
découvrir le monde.
Quand vous le voyez , vous ressentez sa
douleur mais ça vous fait beaucoup plus mal car sa
souffrance est dans votre coeur qui saigne à blanc.
Lorsqu’il pleure en vous disant qu’il va mourir, vous avez peur.
Vous ne savez pas comment réagir et au fond de vous,
vous trouvez cela débile de vouloir mourir pour une illusion qui
ressemble vaguement à la passion mais qui ne sert
à rien sauf à faire du mal à ceux qu’on aime.
Vous l’aimez tel qu’il est : de ses joues mal rasées à
son regard profond, de ses cheveux en bataille à
son parfum et de sa beauté à chacun de ses
défauts. Vous êtes heureuse avec lui malheureuse
sans lui.

Du jour au lendemain, tout se bouleverse : les
coups de fil moins fréquents, les mots doux plus
absents, sa présence plus superficielle. D’une
seconde à l’autre, tous vos rêves, vos espérances
se brisent tel du cristal sur le sol.
Il écrit déjà la fin du début de votre romance. A
cet instant, vous désirez le détester. Un rien
vous fait penser à lui. Vous basculez entre la vie
et la mort. Vous en êtes consciente enfui en vous
mais vous préférez faire apparaître l’excusable.
Mais en fait ce placebo vous revoit à la
simplicité de la vie : un rire, un chat qui
ronronne, la pluie qui tombe,... Nul ne se
souvient de ces instants. Vous voulez le voir, lui
parler, l’entendre, le toucher mais vous êtes
prisonnière de votre mal être. Pour empirer les
choses, vous vous mettez à sangloter... Il
recommence sa vie sans vous.
Sa brève présence dans votre longue existence a été pour vous votre
premier amour inoubliable.
Et vous recherchez ce premier amour dans un autre homme ...
Mer 23 Août 2006, 22:50 par joullia sur Parler d'amour

Combattre encore et toujours pour ne pas retomber

La douleur intérieure est éphémère.
Les blessures profondes,
Le cœur se serre,
L’estomac se noue.
La faim apaise le mal interne.
Manger gonfle le mal être,
Elle estompe mes angoisses.
Est-ce le mal de vivre, ou plutôt le mal être ?
La blessure physique est vue,
Mais la douleur intérieure est cachée.
Ne plus penser au mal être ;
Mal ! Oui, mais là dedans, dans le cœur.
L’estomac vide, mais la tête lourde.
La nourriture pèse et alourdit
Ce corps que je regarde d’un œil.
Dans le miroir, c’est mon intérieur qui reflète,
Rempli de douleurs enfuies, de chagrins cachés,
De blessures tantôt cicatrisées, tantôt réouvertes.
Lourdeur de solitude et de tristesse.
Mon corps peut paraître plume,
Mais l’intérieur est un lieu où tout se garde.
Parfois les secrets, les souvenirs enfuis ressurgissent.
L’enfant et l’adolescente que j’étais
Ne sont que peines et blessures.
L’adulte que je suis maintenant
S’est construite de ce mal et de beaucoup d’espoir.

Aller au plus profond de moi, c’est la douleur qui revient.
Vivre autour de la haine, de la colère, de la violence, du mensonge….
Combattre encore et toujours pour ne pas retomber.
J’en ai montées des marches ! Mais la chute fait mal.
Se rattraper, s’accrocher à un petit rien
Pour ne plus descendre au fond du gouffre.
C’est un soulagement d’extérioriser ce mal.
C’est difficile de faire semblant pour ne pas blesser.
Paraître bien pour ne pas faire .
Se cacher, s’enfuir vers d’autres horizons.
Eloigner les pensées néfastes pour se rapprocher de l’espoir.
Ne plus faire mal, cacher ses angoisses
Qui rongent l’esprit et le corps, encore si fragiles.
Paraître forte et ne pas laisser ses idées noires prendre le dessus.
Faire semblant, tricher mais ne pas trahir.
Difficile mais pas impossible.
Reculer pour sûrement,
Avancer vers un futur peut-être plus clair.
La vie est faite de chemins incertains.
Parfois il suffit d’un petit rien,
Pour prendre le mauvais.
Les directions sont multiples,
Etre guidé peut aider.
Ne pas s’enfermer dans cette bulle atroce et sans issue,
Peut paraître impossible à certains moments.
Le destin nous amène vers d’autres horizons.
Une autre porte s’ouvre ! Est-ce la bonne ?
La franchir tant qu’il est encore temps !
Oui, difficile ! Mais pas impossible.
L’espoir est toujours là.
Lun 21 Août 2006, 23:36 par joullia sur Mille choses

Le rêve aux lucioles

La nuit est magique, les rêves deviennent lucioles.

Ils marchent côte à côte et se tiennent la main, mais ce n’est pas l’amour qui les unit, c’est un lien profond qu’ils partagent mais qui les fait . L’envie de mourir.

La nuit est magique, les rêves deviennent lucioles.

Ce lien les réunit et les sépare. Il n’aime pas la mort. Elle n’aime pas la vie. Il veut la protéger. Elle s’accroche à lui. Ils sont faits l’un pour l’autre, mais ils ne le sauront jamais.

La nuit est magique, les rêves deviennent lucioles.

Mais leur lien est si fort, jamais ils ne sauront ce qu’est devenu leur amour. Ils marchent ensemble, se tiennent inconsciemment la main.
La nuit est magique, les rêves deviennent lucioles.

Mais leur lien s’est resserré si fort, qu’ils ont dépassé leurs frayeurs. Ils ont tellement souhaité être forts pour l’autre. Elle vit pour lui. Il est mort pour elle.

La nuit est magique, les rêves deviennent lucioles.

Elle marche à présent seule dans la magie de la nuit, rêvant que parmi les lucioles, son esprit à lui virevolte aussi.
Ven 18 Août 2006, 19:47 par Lindsey sur Histoires d'amour

Je ne supporterais pas

Des fois, j’imagine,
Je ne sais pas pourquoi,
Que tu pourrais
Me quitter.
A cause de nos différences,
Nos disputes ou
Je ne sais quelle raison.
La pire serait que cela soit une autre;
Une autre du net,
Une du même tchat,
Je vois tant de filles te draguer,
Tants de pseudos, qui rôdent près de toi,
Un tout particullier d’ailleurs....
Et rien que de l’imaginer,
Cela me fait énormément ,
Cela me fait pleurer...
J’ai vraiment peur
Que cela puisse
Se produire un jour,
J’espère que ce jour
Sera celui de ma mort,
Car je ne supporterais pas
De te perdre,
Je ne sais pas ce que je ferais,
Mais je pense
Que je ferais quelque chose de pas bien
Toi même tu sais de quoi
J’ai déjà été capable,
Car je tiens trop à toi,
Et je ne vois pas continuer sans toi...
Mer 09 Août 2006, 09:24 par joullia sur Amour internet
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L'amitié finit parfois en amour, mais rarement l'amour en amitié.

C.C. Colton.

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