Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur soupirs
Addictions -nous encore
Addictions-nous encore
Vivons notre amour encore
Mon corps contre ton corps
Petite mort qui nous chamboule encore
Celle qui nous ronge encore s’empreigne dans nos pores
S achemine jusqu’à la pointe de notre cœur
Cœur limpide,grenadine qui bat plus fort
frissons, soupirs,gémissements
Désirons -nous, nous encore!
Je t ’embrasse, je te bois
J’ aime le gout de toi
Baisers sur ta bouche
Tendre retrouvailles , sous la douche
Dans notre "couche"
Je m’étend contre toi...
Baisers sur tes doigts
Je ne compte pas m’en aller
Je veux te respirer
Approche toi un peu plus près
Tend l’oreille
Je te raconterais des merveilles..
addictions nous .. ( c’est un NF..)
ne se conjugue pas
addiction , assuétude
NOM FEMININ...
nf :: (psychologie) dépendance à l’égard d’une drogue
Jeu 07 Mars 2013, 19:35 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
D'un soir
Le silence cotonneux un soir à cet étage
Vide des gens du jour déjà rentrés chez eux
Nos présences tardives avec pour seul bagage
De hautes envies d’ébats se lisant dans nos yeux
Comme une récompense d’être resté si tard
Pour extraire le sensuel, l’excitant exutoire.
Elle, une chance vêtue en si court de sa grâce
Me souffle un long bonsoir auquel je ne fais face
Je la retiens par la main, cela fait si longtemps
Qu’elle vit recluse dans mon convoitement.
Elle se laisse faire lascive comme à une évidence
Et déjà sans un mot elle se dit consentante.
De cet accord tacite quelques approches lentes
Au rythme de nos corps qui sans bruit se balancent.
De frêles carrés de peau sous des bouches gourmandes
Puis les armes intimes comme ultimes offrandes.
Elle m’interpelle doucement de ses doigts cavaliers
M’agite quelques instants avant de m’avaler.
Les minutes se figent, mon sang me coule averse
Une explosion des sens tout en moi me traverse ;
D’une invitante posture s’enroule autour de moi
Liane serpent, qui me pousse en elle, à jaillir dans l’étroit.
Dès lors tout n’est plus que saccades, soubresauts et soupirs
Envolées frénétiques dans cet intense plaisir.
Cramponnés l’un à l’autre nous nous abandonnons
Dans l’estocade ravageuse portée au plus profond.
Je me parsème en elle dans son beau regard bleu.
De guerre lasse, le repos, allongés tous les deux
Nos corps encore frissons des braises de ce feu
Se séparent enfin marqués de la mémoire
D’avoir troublé à cet étage le silence cotonneux de ce soir.
Puis chacun se laisse filer sur la route de sa nuit
Demain un autre jour, surement d’autres envies
Jime
Vide des gens du jour déjà rentrés chez eux
Nos présences tardives avec pour seul bagage
De hautes envies d’ébats se lisant dans nos yeux
Comme une récompense d’être resté si tard
Pour extraire le sensuel, l’excitant exutoire.
Elle, une chance vêtue en si court de sa grâce
Me souffle un long bonsoir auquel je ne fais face
Je la retiens par la main, cela fait si longtemps
Qu’elle vit recluse dans mon convoitement.
Elle se laisse faire lascive comme à une évidence
Et déjà sans un mot elle se dit consentante.
De cet accord tacite quelques approches lentes
Au rythme de nos corps qui sans bruit se balancent.
De frêles carrés de peau sous des bouches gourmandes
Puis les armes intimes comme ultimes offrandes.
Elle m’interpelle doucement de ses doigts cavaliers
M’agite quelques instants avant de m’avaler.
Les minutes se figent, mon sang me coule averse
Une explosion des sens tout en moi me traverse ;
D’une invitante posture s’enroule autour de moi
Liane serpent, qui me pousse en elle, à jaillir dans l’étroit.
Dès lors tout n’est plus que saccades, soubresauts et soupirs
Envolées frénétiques dans cet intense plaisir.
Cramponnés l’un à l’autre nous nous abandonnons
Dans l’estocade ravageuse portée au plus profond.
Je me parsème en elle dans son beau regard bleu.
De guerre lasse, le repos, allongés tous les deux
Nos corps encore frissons des braises de ce feu
Se séparent enfin marqués de la mémoire
D’avoir troublé à cet étage le silence cotonneux de ce soir.
Puis chacun se laisse filer sur la route de sa nuit
Demain un autre jour, surement d’autres envies
Jime
Mar 26 Fév 2013, 10:48 par
Jime sur Les liaisons sulfureuses
Saint valentin sans teint
Combien de Saint Valentin se blessent
Et se meurent aux petits matins meurtris
D’acteurs fatigués d’avoir menti de cesse
A des milliers de roses qui n’ont jamais fleuries.
Combien dites le moi de mots d’amours se noient
Dans le champagne tiède et les bulles saumâtres
Qui humectent ces lèvres sèches de tant de fois
Où elles n’ont rencontré qu’une routine grisâtre.
Combien de ces soupirs doucement déposés
Sur le coin de sourires qu’on verse sans y penser
Dans les yeux d’une silhouette dessinée à la craie
Que le temps comme par jeu ne veut pas effacer
Jime
Et se meurent aux petits matins meurtris
D’acteurs fatigués d’avoir menti de cesse
A des milliers de roses qui n’ont jamais fleuries.
Combien dites le moi de mots d’amours se noient
Dans le champagne tiède et les bulles saumâtres
Qui humectent ces lèvres sèches de tant de fois
Où elles n’ont rencontré qu’une routine grisâtre.
Combien de ces soupirs doucement déposés
Sur le coin de sourires qu’on verse sans y penser
Dans les yeux d’une silhouette dessinée à la craie
Que le temps comme par jeu ne veut pas effacer
Jime
Jeu 14 Fév 2013, 18:42 par
Jime sur L'amour en vrac
Encore, ou quand l'amitié évolue.
Tembrasser encore. Ne jamais s’arrêter. Menfoncer sur tes lèvres tendres et douces. Membarquer avec toi dans ces moments privilégies. Sentir ta bienveillante main dans ma nuque. Qui fouille mes cheveux. Être au cœur de ta générosité. Encore. Longtemps. Notre espace temps a nous. Un jardin qui fleurit toujours un peu plus mes nuits. Un jardin qui bénéficie de la beauté du secret, de l’ombre du qu’en dira t on. La fluidité , la pudeur dans laquelle nous nous prions de nous aimer manque au plus grand nombre. A tâtons nous effleurons l’envie de l’autre. Nos tâtonnements saffirment. S’unissent. Le contact de ma peau avec la tienne. La plus banale parcelle de peau devient une promesse. Un chant. Une alliée. Une amie. Une amante. Tes soupirs se fondent au rythme de nos corps. Tandis que sur ton cou je dépose le souffle de lerotisme. Encore.
Dim 03 Juil 2011, 15:27 par
Colombine sur Les liaisons sulfureuses
Prends mes soupirs
Prends mes soupirs,
Pour t’en nourrir.
Prends mes caresses, pour de la tendresse.
Mes bisous sur tes joues....
Prends ma joie de vivre
Mes rires jusqu’aux larmes,
Mes euphories, volubiles
Mes excès de gaminerie.
Mon côté fleur bleue
Ou je plongerai dans tes yeux.
Mon côté rêveur où tu n’auras plus peur.
Prends mon esprit, pour t’en nourrir,
Prends mon corps pour le serrer un peu plus fort.
Prends mon âme qui veillera juste au-dessus de toi ...
CARESSEDESYEUX
Mar 07 Sep 2010, 17:32 par
caressedesyeux sur Mille choses
Un bonheur
Quelques caresses tu mérites,
De la tendresse
Te prendre dans mes bras
Et simplement sentir la chaleur de ton corps............
En humer tes effluves,
Et ce laisser emporter à autre part
La ou on ne serait que tout les deux
Pour des tendres jeux........
Juste cote à cote
Te sentir respirer
De bouffées exaltantes..............
Que mon cœur aurait du mal à supporter
De tes soupirs qui me feraient frémir
Poser mes lèvres sur ton cou
Te parsemer de mes "bisous"
Sur tes taches de rousseur que je ne compterais même plus
Ma langue qui glisserait sur ta joue si velouté,
Mes mains s’amuseraient d ’effleurage tactile
Belle à mes yeux,
Tu le restera.............
caressedesyeux
Mer 31 Mars 2010, 14:51 par
caressedesyeux sur La déclaration d'amour
Un bon saint...
Finie la fête de beaux nénés, il est bientôt l’heure de voir ce que les seins valent en teint. Aucun jeu de maux ce jour-ci il ne faudra faire, pas plus que de jeux de mot laids, avec des gens bêtes.
Je préconise plutôt les jeux de mollets, avec des jambettes ! Et vos cris, mesdames, vos soupirs de plaisir dans cette nuit aux cloisons de papier.
Je préconise plutôt les jeux de mollets, avec des jambettes ! Et vos cris, mesdames, vos soupirs de plaisir dans cette nuit aux cloisons de papier.
Dim 31 Jan 2010, 19:44 par
PetitPrince sur Edito
Les mots tendres
Je voudrais t’apprendre
Les mots tendres
Que tu ne sais pas dire
Et éveiller tout ton désir
Je voudrais que tu connaisses
Chaque parcelle de ma peau
Et qu’avec volupté tu caresses
Tous mes points chauds
Je voudrais que tu pétrisses
Mon corps avec délice
Et que tu empoignes mes seins
De tes grandes mains
Je voudrais que tu parcoures
Toutes mes zones érogènes
Sans aucune gêne
Ni le moindre détour
Je voudrais vouer tous tes sens
A la plus grande démence
Et que tu explores
Ma faune et ma flore
Je voudrais que tu me chuchotes
Plein de choses idiotes
Qu’on partage des fous rires
Et tout un monde de délires
Je voudrais t’accueillir
Dans mon antre, doux à loisir
Et te faire hurler de plaisir
Pour que tu puisses enfin me dire
Entre deux soupirs
«Je t’aime à en mourir»
Car souviens-t-en
Mon bel amant
Ce sont les seules paroles
Qui ne soient pas frivoles
Et tout le reste, c’est du ven
Les mots tendres
Que tu ne sais pas dire
Et éveiller tout ton désir
Je voudrais que tu connaisses
Chaque parcelle de ma peau
Et qu’avec volupté tu caresses
Tous mes points chauds
Je voudrais que tu pétrisses
Mon corps avec délice
Et que tu empoignes mes seins
De tes grandes mains
Je voudrais que tu parcoures
Toutes mes zones érogènes
Sans aucune gêne
Ni le moindre détour
Je voudrais vouer tous tes sens
A la plus grande démence
Et que tu explores
Ma faune et ma flore
Je voudrais que tu me chuchotes
Plein de choses idiotes
Qu’on partage des fous rires
Et tout un monde de délires
Je voudrais t’accueillir
Dans mon antre, doux à loisir
Et te faire hurler de plaisir
Pour que tu puisses enfin me dire
Entre deux soupirs
«Je t’aime à en mourir»
Car souviens-t-en
Mon bel amant
Ce sont les seules paroles
Qui ne soient pas frivoles
Et tout le reste, c’est du ven
Jeu 11 Sep 2008, 13:31 par
AFDM sur La déclaration d'amour
On veut du sérieux
Des petits moment fugaces
D’amour un peu salace
De sexe pur, de sexe dur
De sexe pur et dur
Juste le plaisir
Pas la routine
Juste des soupirs
Pas devoir mentir
Seulement être coquine
Aimer ses yeux de biche
Le reste, on s’en fiche
On dit qu’on veut du sérieux
Mais quand une belle paire d’yeux
Se présente à nous, on craque
Adieu les rêves de baraque!
On donne son corps
Et un ptit bout d’âme
Que voulez-vous encore
Nous sommes de faibles femmes...
D’amour un peu salace
De sexe pur, de sexe dur
De sexe pur et dur
Juste le plaisir
Pas la routine
Juste des soupirs
Pas devoir mentir
Seulement être coquine
Aimer ses yeux de biche
Le reste, on s’en fiche
On dit qu’on veut du sérieux
Mais quand une belle paire d’yeux
Se présente à nous, on craque
Adieu les rêves de baraque!
On donne son corps
Et un ptit bout d’âme
Que voulez-vous encore
Nous sommes de faibles femmes...
Jeu 11 Sep 2008, 13:28 par
AFDM sur Les liaisons sulfureuses
Le bon et le mauvais amant.
- Antoine, c’est Laure.
- Ah, salut, la belle, content de t’entendre, ça fait un bail...
- Oui, tu es toujours par monts et par vaux.
- Je rentre de Thaïlande. Pourquoi chuchotes-tu?
- Je ne suis pas seule.
Martine raconte sa mésaventure avec ce Marc dont elle dit pis que pendre, jurant qu’elle ne lui ouvrirait plus sa porte.
Antoine, ravi, demande des détails. Insidieusement, sans qu’elle s’en rende compte, il glane des informations sur les caresses qu’elle aurait voulu recevoir, la libido frustrée de son amie l’inspire, il commence à s’exciter. Une idée germe dans son esprit alerte.
- Laure. L’olibrius, là, il dort toujours?
- Oui, il ronfle.
- J’arrive.
- Quoi?
- Rappelle-moi le code de ton immeuble, j’arrive je te dis.
Une demie heure plus tard, Marc ronfle toujours du sommeil de l’homme repu, sûr de son bon droit, dans les draps frais de son hôtesse qu’il croit avoir conquis pour l’éternité.
Un frôlement à la porte, Laure ouvre à Antoine qui apparait, un bouquet de fleurs à la main.
- Où diable as-tu trouvé des fleurs à cette heure?
Pour toute réponse, Antoine clôt sa jolie bouche par un baiser profond, chaud et humide, tandis que ses mains entrainent la belle sur le divan du salon.
Ils sont amis depuis belle lurette, jamais ils n’ont flirté, mais devant le savoir-faire de son copain, Laure se reproche de n’avoir pas connu cet aspect de sa personnalité plus tôt.
De l’étonnement, elle tombe peu à peu sous le charme de ses caresses, ses sens prennent le dessus sur son entendement.
Antoine, quant à lui, met tout en œuvre pour tirer de sa compagne des soupirs de moins en moins discrets, ayant pour projet secret de réveiller le rustre qui s’est servi de son amie.
Laure, si reconnaissante qu’il comble sa faim, met elle aussi tout son cœur dans les caresses prodiguées, si bien que le couple navigue sur les flots divins des plaisirs et sensations multiples qu’ils se jurent de se prodiguer de nouveau les jours suivants.
Quand, enfin, ils font une pause, épuisés, Laure, en allant chercher la bouteille de champagne entamée dans sa chambre, s’aperçoit avec stupéfaction que Marc est parti, emportant toutes ses affaires. Toutes? Non, pas tout à fait, il lui manque une chaussette, tombée dans le seau à champagne!
- Viens! dit Laure depuis le lit où elle s’est affalée.
Antoine, hilare, surgit et se rend compte que sa manœuvre a fonctionné, il a vengé son amie. Le cuistre est parti la queue entre les jambes, c’est le cas de le dire.
Tout ragaillardi par l’image de l’homme fuyant et passant devant eux sur le divan, sans qu’ils s’en rendent compte, Antoine sent son membre se dresser de nouveau.
- Ah, salut, la belle, content de t’entendre, ça fait un bail...
- Oui, tu es toujours par monts et par vaux.
- Je rentre de Thaïlande. Pourquoi chuchotes-tu?
- Je ne suis pas seule.
Martine raconte sa mésaventure avec ce Marc dont elle dit pis que pendre, jurant qu’elle ne lui ouvrirait plus sa porte.
Antoine, ravi, demande des détails. Insidieusement, sans qu’elle s’en rende compte, il glane des informations sur les caresses qu’elle aurait voulu recevoir, la libido frustrée de son amie l’inspire, il commence à s’exciter. Une idée germe dans son esprit alerte.
- Laure. L’olibrius, là, il dort toujours?
- Oui, il ronfle.
- J’arrive.
- Quoi?
- Rappelle-moi le code de ton immeuble, j’arrive je te dis.
Une demie heure plus tard, Marc ronfle toujours du sommeil de l’homme repu, sûr de son bon droit, dans les draps frais de son hôtesse qu’il croit avoir conquis pour l’éternité.
Un frôlement à la porte, Laure ouvre à Antoine qui apparait, un bouquet de fleurs à la main.
- Où diable as-tu trouvé des fleurs à cette heure?
Pour toute réponse, Antoine clôt sa jolie bouche par un baiser profond, chaud et humide, tandis que ses mains entrainent la belle sur le divan du salon.
Ils sont amis depuis belle lurette, jamais ils n’ont flirté, mais devant le savoir-faire de son copain, Laure se reproche de n’avoir pas connu cet aspect de sa personnalité plus tôt.
De l’étonnement, elle tombe peu à peu sous le charme de ses caresses, ses sens prennent le dessus sur son entendement.
Antoine, quant à lui, met tout en œuvre pour tirer de sa compagne des soupirs de moins en moins discrets, ayant pour projet secret de réveiller le rustre qui s’est servi de son amie.
Laure, si reconnaissante qu’il comble sa faim, met elle aussi tout son cœur dans les caresses prodiguées, si bien que le couple navigue sur les flots divins des plaisirs et sensations multiples qu’ils se jurent de se prodiguer de nouveau les jours suivants.
Quand, enfin, ils font une pause, épuisés, Laure, en allant chercher la bouteille de champagne entamée dans sa chambre, s’aperçoit avec stupéfaction que Marc est parti, emportant toutes ses affaires. Toutes? Non, pas tout à fait, il lui manque une chaussette, tombée dans le seau à champagne!
- Viens! dit Laure depuis le lit où elle s’est affalée.
Antoine, hilare, surgit et se rend compte que sa manœuvre a fonctionné, il a vengé son amie. Le cuistre est parti la queue entre les jambes, c’est le cas de le dire.
Tout ragaillardi par l’image de l’homme fuyant et passant devant eux sur le divan, sans qu’ils s’en rendent compte, Antoine sent son membre se dresser de nouveau.
Ven 07 Mars 2008, 10:46 par
Positive sur Exercices de style
Effets spéciaux
Dès que l’aurore pointe,
Nadia et Horacio
Se lancent de jolies pointes,
Epigrammes et bons mots.
Les petites vacheries
Sont leur manie, leur coutume.
Au p’tit-déj’, ils se charrient,
S’entartent et s’enclument.
Ils n’ont qu’à contempler
Leurs T-shirts de cartoon
Pour aussitôt s’appeler
Cunégonde et Bille de Clown.
Sur celui de Nadia,
Vil Coyote a l’air idiot.
Charlie Brown est béat
Sur celui d’Horacio.
Déclic, suite humoristique.
C’est l’effet T-shirt BD
Qui provoque, automatique,
Leurs délires débridés.
Ils se mettent au travail,
Horacio veille aux baignades,
Et Nadia ravitaille
Le bar en citronnades.
A la fin du service,
L’esprit dans les nuages,
Ils se promènent, complices,
Main dans la main, sur la plage.
Nadia, les épaules nues,
Fredonne une mélodie,
Osant des mots saugrenus,
Mots frondeurs de parodie.
Tifao les rejoint là.
C’est le guide pour touristes,
Frère de lait de Nadia.
Leur trio, c’est pas triste.
Horacio et son beau-frère,
En deux ou trois minutes,
Se mettent le torse à l’air
Et commencent une lutte.
Déclic pugilistique.
C’est l’effet torse nu
Qui déclenche, magique,
La bataille attendue.
Nadia regarde, amusée,
Ce beau combat du soir.
Ses épaules dénudées
Remuent, rythmant la bagarre.
Mais la belle a aussi
Des choses à exprimer.
Elle plonge, et voici
Qu’ils sont trois à cogner.
La nuit, sur leur lit mutin,
Dans le plus simple appareil,
A une heure du matin,
Nadia et Horacio veillent.
Sans chemise et sans futal,
Sans short et sans bustier,
Longs soupirs de cristal,
Grincements de sommier.
Déclic, suite érotique.
C’est l’effet nudité
Qui allume, féerique,
L’ardente vivacité.
Rire, se battre, s’aimer,
C’est la vie des deux loustics.
Sont pas près de se calmer
Dans leurs effets artistiques.
Nadia et Horacio
Se lancent de jolies pointes,
Epigrammes et bons mots.
Les petites vacheries
Sont leur manie, leur coutume.
Au p’tit-déj’, ils se charrient,
S’entartent et s’enclument.
Ils n’ont qu’à contempler
Leurs T-shirts de cartoon
Pour aussitôt s’appeler
Cunégonde et Bille de Clown.
Sur celui de Nadia,
Vil Coyote a l’air idiot.
Charlie Brown est béat
Sur celui d’Horacio.
Déclic, suite humoristique.
C’est l’effet T-shirt BD
Qui provoque, automatique,
Leurs délires débridés.
Ils se mettent au travail,
Horacio veille aux baignades,
Et Nadia ravitaille
Le bar en citronnades.
A la fin du service,
L’esprit dans les nuages,
Ils se promènent, complices,
Main dans la main, sur la plage.
Nadia, les épaules nues,
Fredonne une mélodie,
Osant des mots saugrenus,
Mots frondeurs de parodie.
Tifao les rejoint là.
C’est le guide pour touristes,
Frère de lait de Nadia.
Leur trio, c’est pas triste.
Horacio et son beau-frère,
En deux ou trois minutes,
Se mettent le torse à l’air
Et commencent une lutte.
Déclic pugilistique.
C’est l’effet torse nu
Qui déclenche, magique,
La bataille attendue.
Nadia regarde, amusée,
Ce beau combat du soir.
Ses épaules dénudées
Remuent, rythmant la bagarre.
Mais la belle a aussi
Des choses à exprimer.
Elle plonge, et voici
Qu’ils sont trois à cogner.
La nuit, sur leur lit mutin,
Dans le plus simple appareil,
A une heure du matin,
Nadia et Horacio veillent.
Sans chemise et sans futal,
Sans short et sans bustier,
Longs soupirs de cristal,
Grincements de sommier.
Déclic, suite érotique.
C’est l’effet nudité
Qui allume, féerique,
L’ardente vivacité.
Rire, se battre, s’aimer,
C’est la vie des deux loustics.
Sont pas près de se calmer
Dans leurs effets artistiques.
Sam 12 Mai 2007, 22:10 par
Nadia et Horacio sur La vie à deux
Sans oublier les seins ;-)
j’aime les parfums en rondeurs... ces rondeurs de femme : cuisses, sexe en O (eau de parfum...), fesses, bouches (exhalant leurs soupirs en volutes...), et seins dont les sens m’hypnotisent...
Les Hypnotiseurs
Ta poitrine flotte gonflée comme deux grosses larmes,
Dans la mer elle étale ses charmes
Et il n’est pas plus divine vision
De contempler ces beaux ballons.
Quand leur plasticité sphérique
Remonte le courant,
Ces lourds paquebots roses
S’enfoncent dans l’eau bleue
Et entament une danse hypnotique
Qui ravive en moi de profonds élans,
Comme une prose virtuose,
Un vin capiteux.
Alors chavirent mes sens
Vers le désir d’absorber l’essence
Des vertigineux parfums
S’exhalant d’entre ses seins.
Ah, lunes fières et vallonnées !
Vos surfaces si soyeuses
M’enveloppent du Léthé
Où mon âme coule, heureuse...
© Cyr - www.poesie-erotique.net
Les Hypnotiseurs
Ta poitrine flotte gonflée comme deux grosses larmes,
Dans la mer elle étale ses charmes
Et il n’est pas plus divine vision
De contempler ces beaux ballons.
Quand leur plasticité sphérique
Remonte le courant,
Ces lourds paquebots roses
S’enfoncent dans l’eau bleue
Et entament une danse hypnotique
Qui ravive en moi de profonds élans,
Comme une prose virtuose,
Un vin capiteux.
Alors chavirent mes sens
Vers le désir d’absorber l’essence
Des vertigineux parfums
S’exhalant d’entre ses seins.
Ah, lunes fières et vallonnées !
Vos surfaces si soyeuses
M’enveloppent du Léthé
Où mon âme coule, heureuse...
© Cyr - www.poesie-erotique.net
Mar 08 Mai 2007, 16:18 par
cyrpoete sur Les liaisons sulfureuses
En d'autres mots.
Il y a les mots cadeaux, pleins de tendresse
qui rendent à l’amour ses lettres de noblesse.
Il y a les mots fous, les "je t’aimes" voluptueux
qui forment à eux seuls, le langage des amoureux.
Il y a les mots osés, murmurés au summum du plaisir
des fantasmes inavoués qui se dessinent dans les soupirs.
Il y a les mots menteurs, qu’on prononcent quelquefois,
pour avoir moins peur, et se leurrer parfois...
Et puis il y a tes mots à toi, tantôt ombres, tantôt lumières
c’est au son de ta voix que se nourrissent toutes mes chimères.
qui rendent à l’amour ses lettres de noblesse.
Il y a les mots fous, les "je t’aimes" voluptueux
qui forment à eux seuls, le langage des amoureux.
Il y a les mots osés, murmurés au summum du plaisir
des fantasmes inavoués qui se dessinent dans les soupirs.
Il y a les mots menteurs, qu’on prononcent quelquefois,
pour avoir moins peur, et se leurrer parfois...
Et puis il y a tes mots à toi, tantôt ombres, tantôt lumières
c’est au son de ta voix que se nourrissent toutes mes chimères.
Mer 20 Sep 2006, 22:56 par
syolann sur Mille choses
Garderais-je l'espoir
Garderais-je l’espoir qui m’anime en ces jours
De prendre tendrement ton visage en mes mains
Goûter sur tes lèvre un doux baiser divin
Et réchauffer mon coeur au creux de ton amour
Quand saurons-nous briser les démons qui nous hantent
Aller l’un vers l’autre sans la peur en nos coeurs
De se troubler d’amour de joies et de bonheur
En sachant accueillir ces temps qui nous enchantent
J’ai peur du temps et que la vie se joue de nous
Je rêve à l’heure où je serai à tes genoux
Où je pourrais goûter l’éclat de ton sourire
J’ai peur de ce lointain et de toutes ces autres
De ces choses j’ai peur et encor combien d’autres
Qui m’éloignent de toi, m’abîment en soupirs
De prendre tendrement ton visage en mes mains
Goûter sur tes lèvre un doux baiser divin
Et réchauffer mon coeur au creux de ton amour
Quand saurons-nous briser les démons qui nous hantent
Aller l’un vers l’autre sans la peur en nos coeurs
De se troubler d’amour de joies et de bonheur
En sachant accueillir ces temps qui nous enchantent
J’ai peur du temps et que la vie se joue de nous
Je rêve à l’heure où je serai à tes genoux
Où je pourrais goûter l’éclat de ton sourire
J’ai peur de ce lointain et de toutes ces autres
De ces choses j’ai peur et encor combien d’autres
Qui m’éloignent de toi, m’abîment en soupirs
Dim 20 Août 2006, 22:58 par
joullia sur Histoires d'amour
Je ne goûterai plus de ta vie
Ton prénom a refusé de caresser mes jours et bercer mes nuits.
Tes mains ont repoussé mon coeur par désamour.
Ton âme a repoussé mon être par déraison.
La gomme de ton âme veut rayer mon souvenir.
Ma vie s’essouffle, mon visage disparaît.
Mon jour a perdu tous ses pétales vermeil.
L’azur m’abandonne et engloutit mon soleil.
Par ta défiance, ma passion devient honteuse ;
Pourtant, mon image était fière et fougueuse.
Ton silence détruit l’amour qu’on a construit.
C’est dans tes yeux que toutes mes larmes s’enfuient.
Tant d’heures si douces ont délaissé mon coeur.
Tant d’amour aurait dû connaître ta douceur.
Je ne goûterai plus de ta vie les délices.
Le sablier du temps a rendu son terrible office.
Les mois deviennent trop courts ; l’hiver m’envahit.
Où sont passées les saisons, que les dieux m’ont pris ?
Les quatres saisons ne sont plus qu’une à mes yeux.
T’avouer ma passion et ne pas être aimée.
La flamme de mon amour ne peut te blâmer.
Je t’ai perdu ; peux-tu entendre mes soupirs ?
Mon voyage se termine seule, sans tes désirs.
Mon coeur tombe en cendres du feu de ton dédain ;
Je dépose ces reliques entre tes mains.
Ma belle âme s’étouffe dans ton infini.
Dans l’avenir, mes jours ne seront qu’avanis.
Je ne garde pour tout soleil que ton étoile.
Dans l’Au-delà, les nuages seront mes toiles.
Jamais une femme n’a pu et ne pourra te dire
Tous les mots d’amour que mon coeur a pu t’écrire.
Et seule ma toile a le privilège de lire les mots.
L’amour reprend ce que je n’ai pas mérité.
Ne te verrai-je plus que dans l’éternité ?
Tes mains ont repoussé mon coeur par désamour.
Ton âme a repoussé mon être par déraison.
La gomme de ton âme veut rayer mon souvenir.
Ma vie s’essouffle, mon visage disparaît.
Mon jour a perdu tous ses pétales vermeil.
L’azur m’abandonne et engloutit mon soleil.
Par ta défiance, ma passion devient honteuse ;
Pourtant, mon image était fière et fougueuse.
Ton silence détruit l’amour qu’on a construit.
C’est dans tes yeux que toutes mes larmes s’enfuient.
Tant d’heures si douces ont délaissé mon coeur.
Tant d’amour aurait dû connaître ta douceur.
Je ne goûterai plus de ta vie les délices.
Le sablier du temps a rendu son terrible office.
Les mois deviennent trop courts ; l’hiver m’envahit.
Où sont passées les saisons, que les dieux m’ont pris ?
Les quatres saisons ne sont plus qu’une à mes yeux.
T’avouer ma passion et ne pas être aimée.
La flamme de mon amour ne peut te blâmer.
Je t’ai perdu ; peux-tu entendre mes soupirs ?
Mon voyage se termine seule, sans tes désirs.
Mon coeur tombe en cendres du feu de ton dédain ;
Je dépose ces reliques entre tes mains.
Ma belle âme s’étouffe dans ton infini.
Dans l’avenir, mes jours ne seront qu’avanis.
Je ne garde pour tout soleil que ton étoile.
Dans l’Au-delà, les nuages seront mes toiles.
Jamais une femme n’a pu et ne pourra te dire
Tous les mots d’amour que mon coeur a pu t’écrire.
Et seule ma toile a le privilège de lire les mots.
L’amour reprend ce que je n’ai pas mérité.
Ne te verrai-je plus que dans l’éternité ?
Mer 16 Août 2006, 22:21 par
joullia sur L'amour en vrac
Ecrire sur soupirs
Addictions -nous encore, D'un soir, Saint valentin sans teint, Encore, ou quand l'amitié évolue., Prends mes soupirs, Un bonheur, Un bon saint..., Les mots tendres, On veut du sérieux, Le bon et le mauvais amant., Effets spéciaux, Sans oublier les seins ;-), En d'autres mots., Garderais-je l'espoir, Je ne goûterai plus de ta vie,Il y a 61 textes utilisant le mot soupirs. Ces pages présentent les textes correspondant.
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