Le virtuel tue, tu, elle

Comment en finir quant on n’a pas commencé
comment commencer quand tout se finit avant le début
à trop idéaliser certains ne font plus rien
les gestes restent figés, tel un dessin
le virtuel tue tout autant qu’il donne une vie ou un but
mais les mots restent que de nobles projets
accommodés dans un système qui a finit par tout dépasser
les masques tombent ou se forment aigus
les violons se déchaînent mais le futur reste impromptu
les basses raisonnent comme des échos
mais la foule est devenue d’un côté
les yeux restent aveugles comme le cœur
et certaines mains tendues nous réchauffent l’âme
le temps d’un sourire ou de partager
les courants se forment et tous viennent disjoncter
ils viennent pleurer sur nos pages
toute la tristesse de ce monde
tandis que d’autres sages
guident l’harmonie des ondes
les mains deviennent des sondes
et les larmes les inondent
et les armes se lèvent
quant il n’y a plus de trêve.
On veut tous cette flamme
mais sans s’y brûler
chaque homme et chaque femme
ne fait qu’y passer.
Ven 15 Mai 2015, 21:15 par inlove sur Amour internet

Elle


Elle cache pudiquement son visage,
La jeune et jolie demoiselle
De peur de rougir de plus belle
Il dit que sa beauté fait des ravages
Qu’elle est la plus magnifique femme
À ses souhaits, son idéal, la plus conforme
Dont il rêve et aime tant les formes
Qu’à genoux, il lui déclare sa flamme
De ces douces et exquises rondeurs
De ses galbes et ses belles courbes
La raison portant reste
Au suppliques de son cœur
Il aimerait déposer son visage
Et respirer ses effluves vanillées
Dans ces creux et ces lignes aimées
Se perdre dans ce délicieux paysage
Il la trouve sublime et au grand esprit vif
Cette femme dont l’amour le traverse
Et dont la grande fragilité le bouleverse
D’un sentiment qu’il sait excessif
Déclaration de mots si beaux, si forts
Prononcés avec ardeur et tendresse
Quand à elle avec amour il s’adresse
Qui l’atteignent jusqu’au fond du corps
Son cœur en est ravi et touché
Elle y croit , elle se sent revivre,
Désirable, ses mots l’enivrent
Elle ressent ce qu’est d’être aimé
Pour la première fois de sa vie..........
Et ne veut partager cela qu’avec lui
Mar 10 Déc 2013, 14:45 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

Singapore

La première fois où je me suis arrêté à Singapore c’était lors d’un voyage qui me ramenait de France vers l’Australie
J’avais passé en France quelques jours de vacances dans ma famille après avoir fais une expo de photo dans une galerie parisienne.
La moiteur de la ville la décontraction après les vacances, je n’ai pas dis non lorsque le portier de l’hôtel m’a proposé une "escorte"
Il me donnait le choix entre une jeune fille ou un garçon ou les deux a la fois !
Belle jeune malaise de 18 ans environ, soumise, je pouvais la garder à l’heure ou à la nuit. La nuit a suffi, trop soumise, je n’aime pas les déversoirs à sperme.
Le souvenir que je garde d’elle c’est qu’elle aimait s’inonder de mon parfum, et en asperger mon sexe et le sien.
Lors de mes autres passages à Singapore le fait d’avoir une "escorte" était si facile que je n’en éprouve plus le besoin et que mon plus grand bonheur était de me masturber.
Je me mettais nu dans cette grande chambre climatisée au Xxeme étage de cet hôtel de luxe qui dominait ce morceau de ville pays.
J’ouvrais cet immense lit et je m’allongeais savoureusement sur le drap frais, bras et jambes en croix.
Le seul frottement de mon sexe en érection sur le drap appelait immédiatement le plaisir.
Je coupais la climatisation pour que la chaleur humide monte dans la chambre, un immense whisky d’une main, mon sexe en demi-érection, je m’asseyais sur le bras du fauteuil de mon bureau face à la baie vitrée. Le contact de mon anus sur le bois dur me mettait dans une érection savoureuse mon corps prenait un mouvement de va et vient comme pour me pénétrer de ce sexe improvisé, je déglutissais mon whisky au rythme des légers spasmes que ce plaisir m’apportait.
La corbeille de fruit de bien-venue était bien tentante surtout cet ananas surmonté de cette petite touffe de verdure qui a la rudesse de la pilosité des femmes noires.
C’est dans la partie inférieure du fruit que je perçais un trou du diamètre de mon sexe et de sa longueur, je mangeais les morceaux du fruit, le jus coulait le long de mon torse nu se mêlant à ma transpiration.
Je faisais régulièrement des essayages du trou, jusqu’à ce que je le trouve idéal. Je replaçais sur le trou l’écorce de l’ananas comme un opercule.
Il était vierge en quelque sorte !
Je plaçais précieusement ce fantasme de sexe féminin dans le frigidaire.
Une douche fraîche, une chemise de soie légère un pantalon de toile, découvrit une fois encore cette ville grouillante qui a comme symbole l’orchidée.
Les marchands ambulants vendent entre autres la banane poingeau, fruit vert qui sert à la cuisine chinoise ce fruit à la particularité d’être très dur, sa vue ma remémoré une amie qui en faisait une consommation vaginale importante.
J’ai cédé à la tentation d’en acheter quelques-unes unes, pour comprendre ce poème chinois qui dit :
Ho banane qui réjouissent le cœur de vierges, vous seules parmi les fruits êtes dotées d’un cœur pitoyable, ho consolatrice des veuves et des solitaires.
En entrant dans ma chambre je me précipitais pour couper la climatisation.
Je voulais sentir la chaleur de la nuit, par la fenêtre entre ouverte une odeur d’orchidée mouillée faisait naître en moi un désir trouble.
J’avais dîné dans une petite échoppe de quelques nems et de canard laqué le tout arrosé de la bière du tigre.
Mes vêtements étaient imprégnés de cette odeur , odeur que j’aime, qui imprègne les grands cheveux noirs des asiatiques, odeur un peu sure qui peu gêner le matin au réveil, mais qui met en émoi mes sens si par hasard la rue m’apporte en effluve le souvenir de la nuit.
Les bananes étaient sur la table enroulée dans ce papier journal aux caractères chinois.
Comme une pesanteur se faisait sentir dans mes reins !
La lumière de la chambre éteinte, les rideaux largement ouverts permettaient à des milliers de fenêtres de plonger dans mon lit, que j’avais ouvert largement.
L’atmosphère était idéale pour mon intimité.
Je sortis l’ananas du frigidaire, en le posant sur la table près des bananes devant le miroir celui-ci se couvrit de buée.
J’avais là devant moi les fruits de ma passion d’un soir.
Comme par pudeur je me déshabillais dans la salle de bain !
En voyant mon érection je suis sûr que l’ananas et la banane furent fiers d’eux.
Je m’allonge au travers du lit, prenant entre mes mains le fruit jaune l’amenant vers mon sexe comme on tire la tête d’une femme vers son sexe pour qu’elle l’engloutisse.
Mon gland poussa l’opercule vers le fond de ce vagin parfaitement adapté à mon sexe plus je le pénétrais plus je sentais la fraîcheur du plaisir. La rigidité de mon sexe maintenait le fruit droit comme une tête entre mes jambes.
Doucement je glissais la banane en moi plus elle me pénétrait plus mon sexe gonflait, les spasmes commencèrent à me secouer, la jouissance fut terrible. Mon sperme empli le fruit que mes doigts écrasaient.
C’est la fraîcheur du matin qui me réveilla, le spectacle était un peu triste, mais l’odeur plus forte que l’odeur d’une "escorte".
Mar 04 Jan 2011, 00:24 par antoine sur Les liaisons sulfureuses

Absence minée-râle...

Y’a des journuits comme ça, où je voudrais être statique,
me cacher derrière une ombre sans faille,
personne pour me trouver,
respirer le parfum un peu suave de l’oubli complet ...
Je ferme les yeux, je laisse mon corps s’alourdir,
j’enferme mon esprit pour ne bientôt plus rien sentir ni ressentir.
Sourde, aveugle, insensible à tout.
Je deviens une absence minérale.
Je veux être une pierre,
pas penser...
pas sentir...
pas aimer...
pas haïr...
pas parler...
pas bien...
pas mal...
pas mourir.
Une pierre...
insensible, inconsciente, froide :
c’est bon de ne rien sentir, de ne rien vouloir, ne rien croire, ne rien attendre...
L’inconscience toute proche, qui me guette, qui me gagne.
Bientôt, me promet-elle, tu n’y verras plus rien.
Une pierre...
J’attends.
Je laisse venir.
Je veux devenir une pierre...
perdue ou lunaire pour ne pas être ramassée,
ne pas être touchée ni même regardée,
ne pas être jetée...
Je m’applique.
J’oublie.
Je m’en fous
Jeu 27 Sep 2007, 21:20 par Luna_Lou sur Mille choses

Pluie

L’aube inonde à peine les prairies que déjà je laissse vagabonder mes pensées. Dans un souffle, comme une brise légère, je pousse un soupir. Je rêve de toi, celui que je ne connais même pas. Je t’imagine au travers d’une morale, je te sculpte un visage, je t’invente un regard. Je fouille dans ma mémoire pour éviter des pièges qu’un coup de foudre sans réflexion peut cacher.

J’entends même ton rire malgré le chant des crapauds qui ce matin ressemblait à un glas triste et froid. Appel à la pluie

Je perçois la douceur de tes mots silencieux. Je t’invente sans retenu, pareil à un poème d’une midinette de quinze ans que seul l’âge peut excuser cette naïveté. Indolence d’une jeunesse qui s’étire sur le verbe aimer. Je perçois le son grave de tes paroles tandis que le vent s’offusque de la tiédeur de ce matin.

Un peu comme le pas lourd des chevaux galopants sur les pages d’un cahier de l’écolier furieux d’être là plutôt que dehors pour siffler dans une herbe verte et fraîche de ce printemps.

Je désaltére mes pensées dans un puits de fantasmes imaginaires dont je connais la fantaisie. Imagination avide sans limite que je lâche sans bride. Je peux respirer le parfum de ta peau, le deviner, le saisir pour le laisser rouler sur mes pensées. Indolente, insouciante de cette léthargie charnue de tendresse je pose autour de toi une lumière pleine de clarté, de saveur, d’appétit.

Ciel violacé, ambiance jaunâtre qui annonce un orage.
L’odeur même de la pluie se fait sentir lorsque coléreuse elle tombe sur la terre battue pour agglutiner la poussière sur le sol.. Climat lourd qui colle à la peau pour transpirer un instant dans l’attente d’une émotion qui va éclater
Une hirondelle rase la terre, un vol parfait avant que la pluie vienne éternuer sa mélodie sur l’étang du champ voisin.

Perdue dans mes pensées je continue à t’écouter, plus présent mais si imaginaire. Je sens ta main dans mes cheveux, je sens ta bouche sur la mienne. Je ferme les yeux pour ressentir cet imaginaire.

La pluie s’abat brutale sur le bitume de la rue, ricoche, rebondit pour s’affaler et ruisseler dans le caniveau. Les crapauds se sont tus, ravis de ce déluge.

J’ai dessiné tes cheveux, j’ai façonné ton buste sans entendre la pluie chanter sur les vitres de ma maison. Je laisse ta main courir sur mon visage, parcourir les courbes de mon corps. Chaque caresse est silencieuse, muette d’encore. Je te raconte, tu te livres sans parole.

Le tonnerre gronde, pour sans doute me réveiller.
Je suis à son appel

. Je m’invente un monde de couleurs, de miel, de douceur où le salé se mêle au sucré. Sueur entrelace le charnel. Parfum boisé se mêle avec l’arôme de la menthe. Tout devient confus, tout monte en puissance. Accélération. Souffle. Endiguée.
Après la pluie, le calme revient. Les rayons du soleil envahissent les prairies, les crapauds redoublent d’allégresse, toi tu t’évanouies comme la vapeur de l’eau sur le bitume.

Reste….
Mer 02 Mai 2007, 22:00 par Fille du peuple sur L'amour en vrac

Ne plus te dire...

"Tu me manques": cette expression, je l’ai rayée de mes tablettes depuis un bon moment...tu crisais, mon amour, dès que tu la lisais ou l’entendais.
Naturellement, elle suggère un état de dépendance et ça te mettait dans tous tes états, pas ceux que je préfère...toi, l’indépendante de la première heure, l’affranchie, la libérée, tu as besoin (il faut bien employer le mot juste) d’air, d’espace; alors non, pas d’entraves de ce genre!
Je ne conçois pas un amour sans un soupçon de manque: "je t’aime, tu n’es pas avec moi, oui, tu me manques!" Si tu ne me manquais pas, je ne pourrais pas prétendre t’aimer.
Je n’imagine pas un amour qui ne déborderait pas d’un cadre strict; pour qu’il s’épanouisse il lui faut de l’espace, connaître les sentiments les plus doux...tendresse, sérénité, plénitude...et d’autres encore, si forts qu’ils en sont à peine tolérables...passion, doute, angoisse et toutes les nuits qui vont avec...
Je ne t’écrirai plus ce mot, j’éviterai même d’y penser...dommage, je lui trouvais un côté rassurant, il me plaisait assez, dans sa sonorité aussi: et ronde au début, qui se termine sur un claquement sec...mais si jamais il m’arrivait de te le dire, ne m’en veux pas et considère ça comme un "je t’aime".
Lun 22 Août 2005, 06:56 par danslalune sur L'amour en vrac

Matin gris

Pourquoi, comment en sommes-nous arrivés là?
Amis et complices, on nous voyait partout,
avec les uns ou les autres mais,
comme par hasard toujours ensemble.

Je n’ai rien demandé d’autre
Lequel de nous a provoqué le glissement?
Qui nous a fait retomber en enfance?
En adolescence ?
Charmante impression
Charmante illusion
C’était trop beau trop tendre ...
Qui resisterait ?

Je savais que mes limites te lasseraient
Je ne voulais pas nous afficher
Mêler les autres à nos allusions
Toi, tu voulais m’affirmer tienne
Tu m’as amenée presque où tu voulais
Mais ... je ne sais toujours pas ce que tu voulais

Quand je me sens bien, tu es insatisfait
Quand c’est moi qui avance ... des avances
C’est toi qui fais la oreille
Tu m’as entrainée dans tes conflits,
Blessée de tes blessures,
Notre légèreté s’émousse.
Les ados ont vieilli.
Nous inventons notre histoire
Mais inventons nous la meme ?

J’attends que tu me devines,
Tu attends que je te raconte.
Voilà que tu débordes dans ma vie,
Voilà que mes barrières oscillent.
Il est serait temps que je les referme,
Que je me renferme ...
D’y penser quelque chose me manque déjà
Ce qui a existé,
Ce qui est inachevé
Il vaut peut être mieux laisser les rêves rester rêves.

Une fleur non éclose aurait été la plus belle...
Lun 31 Mai 2004, 10:27 par virtuelle sur La vie à deux

La vie de Madeleine

Madeleine, je ne la connais pas si bien que ça pour tout dire. Je sais simplement qu’elle est blonde, de taille moyenne, avec un derrière rebondi et des seins en pomme. On prétend que Madeleine a les yeux si bleus que leur éclat en est presque insupportable. Insupportable, seulement à ce moment précis où votre cœur s’emballe à sa vue, et que le sien s’emballe de même.

Elle doit avoir dans les trente-six ans environ, et une vie amoureuse si l’on puit dire, qui remonte aux débuts de l’adolescence. Car, la vie amoureuse, selon Madeleine, est sans aucune concession. Pleine, intense, destructrice. Elle ne vit pas pour l’amour, mais elle ne le dédaigne pas. Fraîche et simple, aucun homme ne laisse courir son regard sur elle sans avoir une petite envie qui . Comment dire. Madeleine s’habille simplement, une robe de coton souple pour les beaux jours, ou un pantalon et un haut simple pour les jours plus tristes sont sa mode à elle.

Madeleine, c’est une femme qui a eu un très grand amour, il y a très longtemps, au tout début. Au tout début de sa vie de femme. Elle en était très amoureuse, et lui, il parait qu’il s’en occupait bien. Pour les raisons que l’aventure amoureuse finit aussi souvent qu’elle perdure, celle-ci s’est terminée, assez abruptement. Et personne n’a su le fin mot de l’histoire. Madeleine qui riait, Madeleine qui souriait tout le temps, qui disait bonjour dans la rue, chez le boulanger, faisait toujours un baiser de ses lèvres fraîches au vieil Emile, Madeleine, qui par sa joie de vivre faisait finalement un peu la fierté du bourg, Madeleine s’est éteinte le jour où son bel amour s’est terminé.

Elle ne pleura pas, parce que cette femme avait la fierté et le courage des siens qui lui coulait dans les veines. Elle resta prostrée des jours et des jours, sans que rien ni personne ne puisse lui arracher une once de joie. Elle s’enfermât progressivement dans un mutisme obscur et sourd, et la vie du bourg en fut irrémédiablement atteinte.

On ne la vit plus que très occasionnellement, lorsqu’elle faisait ses courses à la superette. Elle répondait aux bonjours, mais ce n’était plus elle qui avec sa voix fluette les lançait la première comme une nuée de notes malicieuses à la compagnie.

Cet état dura à peu prés huit ans. Durant ces années, elle se consacra à sa maison, à son petit jardin potager, à ses lapins. Lorsque l’après-midi s’avançait sur sa maison à l’écart du bourg, elle se plongeait dans les livres dont regorgeait la fantastique bibliothèque de famille. Là, elle parlait à Montesquieu, écoutait Marc Aurèle, doutait de la relativité d’Einstein, pour mieux absorber celle de Lao Tseu. Elle reconstruisit des maisons avec les trois petits cochons, fit la guerre plein de fois au troisième Reich, découvrit l’Himalaya, traversa maintes fois le Sahara.

Ce n’est que lorsque sa douleur fut passée, qu’on la revit plus souvent flâner en ville, boire des cafés et des limonades en terrasse. De jeunes hommes parfois lui parlaient, tentant leur chance sans trop vraiment insister. Bien souvent, ils repartaient après de longues discussions, ayant partagé rires et sourires avec elle. Toujours subjugués par la beauté que cette femme laissait paraître, dans son âme, par ses yeux.

Quelques fois, on les revoyait ses jeunes hommes, quelques jours, quelques semaines après qu’on les ai vus avec Madeleine à une terrasse. Dans leurs yeux, une grande tristesse d’un éclat magnifique. Dans leur cœur, des champs de fleurs se bousculaient avec des forêts immenses, et des cascades de miel ruisselaient sur des champs de fruits sauvages. Ils marchaient dans le bourg un peu hagards, un peu perdus. Malheureux probablement parce que Madeleine leur manquait, mais autre chose dardait dans leurs yeux. Comme une étrange lumière, celle qui rend tout possible.

On dit que Madeleine aurait découvert le secret de l’amour, et que celui-ci est si terrible qu’il rend fou ceux qui veulent le conquérir. On dit aussi, mais ça c’est autre chose, que Madeleine, est atteinte du mal sans nom, et qu’elle le transmet à ceux qui partagent un peu sa vie et goûtent un peu son cœur.

Ce soir c’est moi, qui ai rendez vous avec Madeleine, à huit heures à la Terrasse du Merle Rouge. Je crois que je suis amoureux.
Ven 28 Mai 2004, 11:06 par PetitPrince sur L'amour en vrac
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Ecrire sur sourde Le virtuel tue, tu, elle, Elle, Singapore, Absence minée-râle..., Pluie, Ne plus te dire..., Matin gris, La vie de Madeleine,
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La citation d'amour

Ce qui me tue, dans l'écriture, c'est qu'elle est trop courte. Quand la phrase s'achève, que de choses sont restées au-dehors !

J.M.G. Le Clézio.

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