une petite pause...

Les heures passent trop vite et il y a toujours tant à faire; elle est "dé-bor-dée!" mon amoureuse. Le téléphone n’arrête pas de sonner et la liste des mails n’en finit plus!
Elle s’accorde un petit moment de repos, déchausse ses lunettes, s’étire longuement, bâille...oh, un tout petit bâillement, qui n’en finit pas...masse sa nuque et se laisse aller, les yeux attirés par le ciel si bleu, tellement lumineux: son naturel rêveur se rappelle à son .
Dans peu de temps, la cloche de l’église sonnera les douze coups de la mi-journée...elle semble s’en soucier si peu. Ses yeux sont clos maintenant...défense de la réveiller!
Elle laisse filer la matinée...
Lun 23 Mai 2005, 22:37 par danslalune sur Mille choses

Une amitié parfaite.

Il ne reste rien autour de moi.
Autour de moi ne subsiste que la neige.
La Neige tombe, tombe, tombe.
Blanche et froide.
Totalement pure.
Son ombre bleue suit mes pas.
Et pourtant, je te sens près de moi.
Toi mon ami.
Pourquoi me suis-tu?
Pourquoi restes-tu avec moi?
Pourquoi m’aider?
Je tombe, je suis déjà tombé.
Je sombre dans les affres du désespoir.
Je ne pourrais plus jamais esquisser un sourire.
J’entends tes pas sourds dans la neige.
Je suis content de percevoir ce son.
J’ai peur en même temps.
La Neige tombe, tombe, tombe.
C’est fini pour moi.
Il me dit :
Pourquoi tu restes là? Prends ma main. Sortons d’ici, d’accord?
Et face à son sourire, je n’ai pu résister.
J’ai pris sa main.
J’ai pleuré et il m’a serré dans ses bras comme un frère.
Après ce jour, il est mort. Je ne l’ai plus jamais revu.
Mais son subsiste en moi quoi qu’il arrive.
Et quand je vois la neige tomber...
Je repense à son coeur pur.
Je me dis, s’il me voyait maintenant !
Je crois qu’il serait fier de moi.
La Neige tombe plus fort que jamais.
A ce moment, dans mon coeur, il me dit, c’est mon dernier cadeau pour toi.
Ne m’oublie jamais.
Adieu, et merci pour tout.

Je t’entends, mon ami, ta voix résonne en moi !
Ven 06 Mai 2005, 15:56 par Yoshitaka sur Un monde parfait

Simplement en parler

...simplement parler du premier amour...il me vient plein de qualificatifs et je ne voudrais pas tomber dans la surenchère...troublant lorsqu’il commence à naître, le premier amour se nourrit d’interrogations, de doutes, de mauvaises journées passées au fond du lit, sous la couette...
Plus tard, on devient plus serein, non pas que tout soit devenu simple et limpide...seulement, cet amour on le vit avec une telle intensité qu’il "occupe" tout entier...on acquiert une assurance, un sentiment de certitude dont on ignorait l’existence...on apprend naturellement à lire dans les yeux de l’autre, les mots deviennent superflus...ce que vous éprouvez alors s’écrit dans vos yeux dès que vous les posez sur les siens...
La mémoire nous joue des tours, ou est-ce nous qui nous jouons d’elle...le premier amour reste...il est inoubliable.
Qu’il ait été douloureux ou heureux, son ne s’effacera pas...le premier amour, le mien fait partie de ma vie, de moi...il m’a construite telle que je voulais être...à son contact je me suis révélée telle qu’aujourd’hui je suis...au gré des rencontres que je fis ensuite, ma personnalité s’est affirmée, avec au fond de moi la frustration d’être obigée de...de paraître sans qu’il me soit donné d’être...
Ven 04 Fév 2005, 08:26 par danslalune sur La première fois

Balade des mains

Quand tes mains
Deviennent du venin
Je ne m’abrite pas de ce crachin
Tu te fais plus douce que la mie de pain

Quand tes mains
M’abandonnent je suis orphelin
Il y a toujours une suite à ses joutes des mains
Par des baisers bien plus malins

Quand tes mains
Frauduleuses traversent le périmètre divin
Je sens ce satin
Qui recouvre mon corps sans fin

Quand tes mains
Sont plus agiles qu’un félin
Elles sortent de leur écrin
Elles me rappellent un lointain

Quand tes mains
Coulent comme de l’étain
Je sens la douceur du vin
Aussi doux que ce raisin

Quand tes mains
Dans un futur prochain
M’ouvriront les portes de tes reins
Je dirais oui pour un câlin.

zorgx hihi
Lun 31 Jan 2005, 01:09 par zorgx sur L'amour en vrac

Car en oeuf...

16 : 49

... Galipettes pédestres
Au trop, souvent galop

L’absence séquestre
L’infini des maux

Ni plaintes, ni dépositions
Juste une amertume

Souvenir, nous te vouons
Une haine posthume

Galbe échancré
Promesse ébréchée
Sacrifice écrasé
D’un amouraché

... ...
Ven 28 Jan 2005, 16:56 par Rose sur L'amour en vrac

Comme je vous querelle...

Sable chaud de bon matin…
Rivière salée non accompagnée…
Pâté de soleil et joie dissimulée…

Brise de lune, chagrin…
Caresse échaudée sans prier…
Bain de minuit à l’année…

Crustacé s’en languit…
Carapace de bout d’espoir…
Passoire avenante…

Pêche aux merveilles…
Polissables sans écailles…
Pas son pareil… Pour tromper…

Elle lui glissa du bout des doigts, tant bien même une huître vous coule le long du gosier… Faisant sa place au chaud, toute gesticulante… Couverture de son amertume citronnée, et s’en presse, et se laisse différée sans faiblesse…

Il l’attrape et l’attache de sangles ardentes… Cinquième étage pour brûlure irréparable, il jure la fouetter, l’entacher… L’assassinera, la salira, la souillera… Tapis de pied pour rentrée boueuse du pas de porte au pas de sans Lys… S’enlise et s’y glisse, silhouette sans selle, serpette alléchante…

Coquine réserve sans détour effacée par l’oubli inadvertance de l’usure la plus pure… Présente passée au futur composé des antérieurs parfaits… Cassonade poivrée sur lit imagé… Accumulation anaphorique d’antagonismes lyriques…

Je lui aurais promit… Epine de Rose sur plateau d’argent… Champagne allant, Bourgogne cédant… Je lui aurais juré… Souvenir morose de ces soirs parfumés au bonheur de nos doigts sous la croupe des voix… Je lui avais dit… Bedeau tardif sous la nef ensorcelée de nos prières inachevées par les soupirs de nos âmes s’envolant loin en Enfer…

Je m’étais juré… Elle et Moi… Moi et Lui… Jamais Elle sans Lui… Toujours Lui sans Elle…

Trépas bleuté des couleurs de nos rêves soufreurs…

Je serais l’Œil…

Cinglante défaite des champs de blé brûlé par l’hiver abasourdit sur les tréteaux de l’été…

Je serais la Main…

Cuisse ardente, mouillé des milles désirs d’un esprit alourdit par la pauvreté d’une oreille riche en calomnies…

Je serais la Voix…

Je serais de Celles, qui toujours sur un drap de soie admire votre membrure à la loupe grossissante… Fidèle à mes chiens… Je serais carnassièrement opposée à ces débats de chères et de sels…

Je serais de Celles… Qui feront de vous un Paradis…

De vos cauchemars un suprême Délice…

Je suis donc Celle… Qui vous dit…

« Je t’aime »

...
Mar 04 Jan 2005, 00:26 par Rose sur L'amour en vrac

La vie à trois

Chaque matin, une pensée pour elle
Dans les rues, tout lui rapelle son sourire
Sur ses lèvres, le de ses baisers d’une nuit
Dans son coeur, ses mots qui résonnent

Je t’aime prononcé quand il l’appelle
Tu me manques murmuré dans un soupir
Quand viens-tu demandé avec envie
A demain en raccrochant le téléphone

Chaque jour, il construit leur archipel
Dans un message, il l’a fait rire
Dans un espoir, il l’a séduit
Elle ne résiste pas et frissonne

Chaque soir, un espoir s’éveille
D’encore quelques minutes embellir
Avant d’oublier le délit
Retrouver celle à qui il se donne

Chaque nuit, dans ces rêves de merveilles
Il cherche ses baisers pour jouir
Il entend qu’elle gémit
C’est à une autre qu’il s’abandonne
Mar 31 Août 2004, 13:00 par la marquise de sade sur La vie à deux

Ô bus ! ô désespoir ! ô terminus ennemi !

Ô bus ! ô désespoir ! ô terminus ennemi !
N’ai-je donc tant rêvé que pour cet instant maudit?
Et ne me suis-je préparée avec soin en la salle de bain
Que pour voir en un instant partir celui que je désire ?
Mon visage, qu’avec respect tout les hommes admirent,
Mon corps, qui tant de fois a provoqué leurs soupirs,
Tant de fois affolé le leur des émois les plus intenses .
Mon corps pantelant n’est il plus animé par le désir de mon coeur ?
Ô cruel de mes fantasmes insensés!
Rêverie de tant de jours en une seconde effacée !
Première déconvenue, fatale à mon bonheur !
Alors que je l’avais a portée de main tout à l’heure !
Fallait-il ne pas rester digne et révéler mon désir
Et éviter ainsi, sans moi du bus de le voir sortir?
Beau voyageur, promet moi de revenir demain même heure,
De t’asseoir en face de moi, à l’arrêt des cardeurs;
Que mon stupide jaloux orgueil, par cette chance divine,
Malgré la peur de moi et l’envie de toi, se taise,
Et vous poitrine fatale, et jambes de vestales,
Mais d’un cœur transit d’angoisse inutiles ornements,
Beautés, toujours convoitées, et qui, dans cet instant
M’ont servi de rempart, et non pas de filet gourmand,
Allez, quittez ce terminus désormais esseulé,
Passez, pour vous consolez chez quelque fameux pâtissier.
Ven 27 Août 2004, 11:53 par PetitPrince sur Exercices de style

Les raisons de ma présence après ta longue absence.

Oui, j’y tenais.

De nombreux songes tu as effacés
De nombreuses fois, ton spleen, tu as livré
Seul un bref éclair traversait tes mots
Seul un court espoir se glissait dans tes propos

Souvent j’ai voulu t’écrire, et dans tes blessures je me suis retrouvée
J’ai saigné mon âme et tranché mon passé

Pour ne plus me , ne plus me rapeller
Mais ta solitude m’a fait revenir.
Ven 27 Août 2004, 03:01 par la marquise de sade sur Citations

Lettre

Sarah,


J’aurais voulu ne plus jamais te voir, j’aurais voulu devenir amnésique, j’aurais voulu que les blessures de cette nuit à tout jamais quittent mon esprit. Hélas, il n’en est rien. Plus le temps passe, plus elles se font vives et me consument peu à peu.
Le de cette nuit, où dans l’embrasure de la porte de salle de bain je vis ton corps halletant, encore tiède de notre union qui, je l’avoue fut courte, étreint par cet autre, aurait du à jamais me faire te haïr. Pourtant, je t’aime encore plus, je te désire encore plus, je te veux mienne, encore et toujours.
Je sais que tout est ma faute. Je sais que si je ne m’étais pas empressé de te posséder, tu serais encore à moi. Je te désirais tant, je voulais te faire découvrir un univers de plaisirs, te donner l’extase, t’offrir tout mon être. Et qu’ai-je fait? Je t’ai dévorée, goulûment, egoïstement, rassasiant ma soif de toi. Je me suis repu de ton corps, j’en ai oublié d’assouvir ton âme. J’étais si bien en toi, si bien avec toi, que j’ai tout oublié. Même d’être présent. Je me suis endormi...

Ce sont tes soupirs étouffés qui m’ont réveillé. J’ai d’abord pensé que je rêvais, que c’était le de notre étreinte, voire même sa poursuite. Le désir est de nouveau monté en moi, j’ai voulu te prendre dans mes bras, caresser ta peau, encore. Mais le lit était vide et froid. Seule une faible lueur émanait de la salle de bain, seul le reflet de ton visage dans le miroir se superposait à mon . J’ai cru un instant que seule, tu comblais mes manques... puis je vis son corps se presser contre le tien, ses reins bousculer les tiens. Tu mordais tes lèvres rosées, tes ongles meutrissaient ses épaules, tu t’abandonnais toute entière, t’offrais à lui, jouissais avec lui, là où j’avais honteusement échoué.

Quand tu l’as quitté sur le pas de la porte et que tu es venue te recoucher à mes côtés, tu as cru que je dormais. Tu ne pouvais pas me voir, je te tournais le dos... tu n’as pas vu que je pleurais...


A toi,


Eric
Jeu 26 Août 2004, 22:08 par la marquise de sade sur Exercices de style

Un ami fiable.

Il était trois heure du mat’ quand mon téléphone sonna: Roseline était dans tous ses états! Elle me raconta une histoire tragi-comique. Après avoir passé une soirée plus que prometteuse avec Patrick, sur lequel elle avait tant fantasmé, ils s’étaient retrouvés au lit. Et là...déception! Son bel étalon n’avait du l’honorer que dix minutes pour se faire plaisir et, tout à fait indifférent à la frustration de Roseline, il avait à peine relâché son étreinte qu’il sombrait dans un profond sommeil!

Je ne me rappelais pas avoir entendu autant de "noms d’oiseaux" dans la bouche d’une femme! Je tentai de la calmer, puis, poussé par je ne sais quel petit démon pervers, je lui proposai de la rejoindre pour effacer l’affront de Patrick. Quelle ne fut pas ma surprise de l’entendre accepter!

Mi-amusé, mi-intrigué, je l’ai retrouvée dans son appartement. Les sens exacerbés, déchaînée, débridée, Roseline me fit vivre une fin de nuit inoubliable m’entraînant dans toutes les pièces de son habitation, me signifiant son plaisir à haute voix! Je détenais là mon le plus torride et le plus extravagant, car, malgré tout notre vacarme...Patrick ne s’était toujours pas réveillé!!
Mer 25 Août 2004, 19:37 par syolann sur Exercices de style

Le désamour.

Insidieusement, il se glisse en nous.

Au départ, il se fait tellement discret, qu’on ne remarque même pas qu’il s’installe, se dissimulant habilement derrière "les habitudes" et "la routine". On commence à le deviner quand notre regard change: Jusque là, on trouvait notre "chéri" un peu bohème, aujourd’hui on le qualifie carrément d’irresponsable. On ne voyait que lui, à présent, nos yeux s’attardent trop souvent sur d’autres hommes. Le simple fait de toucher la main de notre aimé nous électrisait, et on se retrouve là, à chercher des prétextes pour échapper à ses étreintes.

On est tombé amoureux lentement, progressivement, on prend de la distance doucement aussi.

En matière de relation amoureuse, rien ne sert d’insister lourdement lorsque la magie est rompue, sous peine de briser aussi ce qu’il y a eu de beau. Mieux vaut partir, garder le meilleur en et aller de l’avant; apprendre à accepter de désamour, comme on a un jour accueilli l’amour.

Syolann
Sam 21 Août 2004, 10:50 par syolann sur La séduction

L'empreinte amoureuse

Nous sommes toutes censées ne jamais oublier notre première fois, notre première histoire. Cette histoire, inscrite entre toutes, nous laisse, suivant les circonstances, un amusé, attendri ébloui ou vaguement déçu. Elle incarne le plus souvent notre passage à la vie adulte. En général, on y pense puis on oublie, pour se concentrer sur les amours du jour.

Que nous nous soyons confrontées à un premier amant trop parfait, volage, tendre, accusateur ou acrobate, nous sommes tellement investies qu’on en garde une trace indélébile, une marque une sorte d’empreinte qui conditionne nos vies amoureuses aujourd’hui.

Une empreinte, qui témoigne d’un engagement total de la pensée, de l’énergie vitale que l’on aura mise à faire vivre cette première fois.

Muse
Sam 21 Août 2004, 08:57 par Muse sur La première fois

Clandestine

Je t’attendais mais tu es passé à côté de moi, d’une part!
A tant te sentir prisonnier, à te couper du monde, te recroquevillant dans ta cellule où tu t’enfermais à clé, tu ne m’as pas vue, d’autre part!
T’acharnant à effacer mon de ta mémoire, tentant de m’oublier jusqu’à nier mon existence, ressassant ton malaise à en perdre la raison, tu ne m’as pas entendue.
A me chercher dans les endroits que je ne fréquentais pas, à me guetter sur les routes que je n’empruntais pas, tu m’espérais sans cesse, autre part.

N’avais-tu donc pas senti que j’étais en toi, toujours et partout?
Tu me cherchais si loin, j’étais si près...

Libère-toi, libère-moi!
Sinon, nous n’irons nulle part!

Syolann
Ven 20 Août 2004, 13:20 par syolann sur Citations

Noir

De glace est l’eau,
Qui se répand dans mon dos
Nu dans cette geôle dont je suis le bourreau
Au bord de mes yeux noirs ,
Les rats sont seuls, avec moi,
A ne pas se de toi.

J’aurais voulu que tu m’attendes, autre part.
Jeu 19 Août 2004, 22:40 par PetitPrince sur Citations
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L'amour, qui meut le soleil et les autres étoiles.

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