Sexcape game

Laurent sortait de la salle de musculation requinqué,douché de frais,et heureux de sa nouvelle silhouette. Ces quelques mois d’efforts sur les machines avaient payé. Son corps était plus ferme,plus musclé,et il était particulièrement fier de ses abdominaux.
Ayant gagné en confiance, il espérait rebooster sa libido,en osant être plus entreprenant avec sa femme Natacha,qui,lui semblait-il s’ennuyait dans cette routine.
Aujourd’hui était l’occasion rêvée pour cela,car ils fêtaient leurs dix ans de mariage ce soir,et pour marquer le coup,il lui offrait un ensemble de lingerie sexy et un petit jouet pour adultes.
De son côté,Natacha n’en revenait pas de son audace,et appréhendait la réaction de Laurent quant au déroulement du reste de la soirée,mais il était trop tard pour faire marche arrière.
Ils s’étaient donné rendez vous au "sex crimes",un pub chic et glamour.
Natacha commanda un "surprends-moi", le cocktail surprise,et Laurent"un bonne nuit les petits",à base de red bull,sensé donner du peps,mais chez lui,il eut l’effet de son nom,car à la moitié du verre,il sombra dans les bras de Morphée.

Quand il se réveilla,il se trouvait dans une grande pièce,couché sur un lit taille XL avec Natacha à ses côtés.Ne sachant pas où ils étaient,ils se mirent à arpenter la pièce,encore groggy. L’ endroit était meublé avec goùt,mélangeant meubles anciens et déco moderne.
De chaque côté du lit,il y avait un guéridon sur lequel était posée un seau à champagne,deux verres et une coupelle de fraises.
Il y avait aussi,un fauteuil posé sur un piédestal,orienté de façon à donner une vue plongeante sur le lit,une table sur laquelle trônait un vase contenant de magnifiques roses, en s’ approchant,ils virent une carte au milieu des fleurs,ils s’en saisirent et lurent:
-mon premier est le petit du cerf
-mon deuxième est un amas de choses
-mon troisième est un pronom personnel
-mon tout est une représentation imaginaire de l’inconscient

-Mais c’est quoi ces conneries? s’exclama Laurent.

Au même instant,une voix se fit entendre:

-Bonjour Laurent,et Bienvenue à notre escape Game version érotique.
Des indices ont été disséminés dans cette pièce,et à vous de les trouver,afin de deviner ce que vous devrez faire pour gagner la partie.
Votre femme,Natacha nous à engagés pour vous concocter un programme aux petits oignons.
- Quoi ?Cest toi qui a organisé tout ça?
-Oui,bon anniversaire de mariage mon chéri! dit-elle en déposant un baiser sur ses lévres.

Laurent fut agréablement surpris que sa femme ai pris une telle initiative,et décida de jouer le jeu.
- Je crois que c’est fantasme,la réponse à la charade
-Oui,bien répondit Natacha toute excitée.
L’exploration reprit,ils trouvèrent une paire de menottes dissimulée sous un coussin. Ils ouvrirent les tiroirs du secrétaire,et dans l’un d"entre eux,il y avait une autre carte:" quel est le fantasme de 80%des hommes?
- Voir sa femme faire l’amour aves une autre femme,dit Laurent bien réveillé tout à coup,mais en ce qui me concerne,j’aimerais bien te voir faire l’amour avec un homme et une femme
-Ah bon? répondit Natacha d’un air malicieux
Une lumière s’alluma dans l’esprit de Laurent.
-On est là pour réaliser mon fantasme
-Bongo!!! Mais es tu prêt à le concrétiser ce soir?
-Seulement si tu en as vraiment envie,et pas pour me faire plaisir
-J’en ai envie,et si ça ne va pas,on peut toujours arrêter. Bon il faut que je me prépare,dit elle avec un clin d’oeil.
La porte s’ouvrit et elle sortit.

Laurent de resta pas seul longtemps,une jeune femme entra, se présenta comme s’appellant Zoé,et l’invita à s’ asseoir sur le fauteuil,sortit de sa poche des liens,et lui attacha les mains en arrière et les chevilles aux pieds du siége,puis elle s’en alla comme elle était venue.
Et Natacha réapparut,il ne la vit pas tout de suite car il tournait le dos à la porte,elle se posta devant lui,et il eut une érection.
Elle s’était métamorphosée en déesse. Ses cheveux était lachés et coiffés en boucles souples qui encadraient son visage,ses yeux étaient auréolés d’un trait d’eye liner,accentuant la beauté de son regard,ses lévres teintées de rouge sang,elle portait un corset noir bordé de dentelle rouge et le slip assorti,des bas noirs avec une couture rouge à l’ arrière et des chaussures à talons noires.
Une autre femme entra,très sexy elle aussi,en guêpière de dentelle blanche,le string assorti,des bas blancs à la jarretière de dentelle blanche,elle aussi,des mules à talons. Blonde,grande et fine avec un visage doux,mais un regard foudroyant. Elle approcha sa bouche de l’oreille de Laurent,et posant la main sur son entrejambe,dit:
- moi c’est Bridget,mais dis donc,tu bandes déjà,tu vas avoir du mal à tenir le coup jusqu’à la fin du spectacle!
Puis,elle attira doucement Natacha,et l’embrassa à pleine bouche,elles se dirigèrent vers le lit,s’embrassèrent,et la blonde déposa des baisers dans le cou de Natacha,sur ses épaules,son décolleté,entreprit de dégrafer son corset,lentement,agrafe par agrafe,le jeta à terre,embrassa ses seins,suça ses tétons,en fit le tour avec sa langue,souffla dessus,les mordilla tout en délicatesse. Comme sa partenaire semblait apprécier,car elle gémissait,Bridget continua et caressa le corps de natacha avec ses cheveux,fit courir sa langue sur son ventre,descendit,lui enleva son slip,embrassa son vagin,fit tourner sa langue autour du clitoris de sa partenaire qui gémissait de plus belle,continua de jouer aves son bouton de plaisir.
A cet instant,Brice,le mari de bridget,fit son entrée,il était grand,les cheveux grisonnants qui lui donnaient un air de Richard Gere,il portait juste un boxer qui moulait ses parties intimes.
Il rejoignit les deux belles,qui l’accueillirent en lui ôtant son boxer et l’embrassèrent chacune leur tour,le firent s’allonger,leurs langues glissèrent sur son torse,descendirent jusqu’à son sexe qui était déjà dur,elles le léchèrent en même temps,leurs langues se caressant,puis le suçèrent alternativement,chacune à leur manière,mais divinement bien,l’une faisant des mouvements de va et vient,resserrant sa bouche en remontant le long de sa verge,faisant tourner sa langue autour en même temps qu’elle l’avalait,l’autre l’enfonçant profondément dans sa gorge,donnant des petits coups de langue sur le gland.
C’était très érotique,et Laurent n’en pouvait plus,il avait l’impression que son baton allait craquer tant il était dur.
Les deux déesses,arrêtèrent avant que Brice ne jouisse,Bridget s’allongea,et natacha que le côté transgressif de la chose excitait fut sur elle en moins de temps qu’il ne faut pour le dire,l’embrassa avec fougue,caressa sa poitrine, lui ôta son string,posa une main sur son sexe et trouva cela très doux,elle l’embrassa doucement,puis le lécha,caressa le clitoris avec son pouce,puis le suça,elle s’avérait douée,et Bridget prenait beaucoup de plaisir.
La posture de Natacha offrait une vue imprenable sur sa croupe,et Brice ne put se retenir plus longtemps,il caressa ce cul magnifique,y déposa des baisers,introduisit sa langue dans son intimité trempée,et la pénétra pendant qu’elle faisait jouir Bridget,il alla doucement d’abord,puis voyant que la belle appréciait,il se laissa aller,et accéléra la cadence progressivement jusqu’à ce que Natacha jouisse,puis il jouit à son tour.
Pendant ce temps,les mains de Laurent avaient été détachées pour qu’il puisse se masturber,car il était tellement excité qu’il en avait des froides.
Quand tout le monde fut remis de ses émotions et rhabillé,ils sabrèrent le champagne.
Dim 03 Juin 2018, 20:57 par Bridget sur Les liaisons sulfureuses

Que ne ferais-je pour un baiser de vous ?

Chère Diane,

Que ne ferais-je pour un baiser de vous ?
N’avez vous donc jamais lu dans mes regards
Les lueurs vastes et rondes telles au sommet d’un phare ?
Confesserai-je ici mes émois les plus doux
Ou pourrai-je à loisir les couler à vos pieds
De verbes inventés pour mieux les habiller
Sans risquer dissonances auprès de votre cœur ?
Vous tenir dans mes bras, et tout devient lueur
Hélas j’en suis loin, n’en prends aucun chemin
J’évite au quotidien de vous frôler la main.
Quand je vous lis poème, le soir à ma chandelle
le mot est sage, celui d’un cœur épris.
J’ose incliner de vous pourtant, quand se pose ma nuit
Un corps à mes côtés dansant dans la dentelle
Des doigts qui vous pianotent ces mois désespérés
Des vents contraires au temps et pour tout emporter
De nos chairs qui se mêlent à nos perlées.
Au matin qui dessine votre vide journalier
Je crache mes fumées sur l’astre du lever
Il n’est d’étoile que vous, pour lustrer mes journées,
Le reste n’est que dédain impropre a consommer.
Je dessine au cadran l’esquisse de vos lèvres
Qui rejoindraient les miennes même d’une brève aiguille
Et ainsi le temps passe dans la ferveur des fièvres
Jusqu’à l’heure des bougies dont les flammes vacillent.
Diane, vous dirais-je encore vous êtes caresse des yeux
Quand sur moi en valet vous vous poser un peu
Que cela me suffit, tant que vivra l’espoir
Qu’au bout léger d’une plume me rejoindrez le soir
Qu’il m’est permis dans l’ombre de me couler en vous
Vous écrire des billets les uns aux autres plus fous

Jime
Lun 19 Jan 2015, 16:38 par Jime sur L'amour en vrac

L'amour est-il un crime ?

Bon eh bien, bonjour à tous, je suis nouvelle sur ce forum, et j’espère m’y plaire :) par contre faut t-il se présenter avant de poster ? dites le moi s’il vous plais. En attendant voici une fiction basé sur l’amour féminin entre un professeur de mathématique et son élève, je m’excuse d’avance pour les fautes je ne suis pas très doué pour sa :/ donc voici le premier chapitre bonne lecture ^^


Chapitre 1 : La rentrée et une rencontre bouleversante


Point de vue Haruka.

Le matin commence à ce lever, et je me hâte à quitter mes draps afin d’aller me rafraîchir. Encore une fois cette nuit j’ai fait ce rêve où je me retrouve devant ce pont debout sur la rem bard les bras allongés horizontalement, je ne comprend pas pourquoi ce rêve me hante, pourquoi me provoque t-il des froide dans le dos.

Quand j’arrive dans la salle de bain, je ferme la porte, et commence à me dénuder j’avais tellement chaud, j’enclenche l’eau, eau froide, je laisse mon corps se détendre, mes yeux se ferme, ma tête se pose lourdement sur le mur blanc. Ma respiration est saccadée, j’ai l’impression d’étouffer, vraiment que m’arrive t-il ?

Alors que les minutes s’écoulés unes à unes, je vint sortir de la douche et m’enroule dans une serviette afin de m’essuyer et de ne pas attraper froid. J’observe pendant quelques minutes mon reflet dans le miroir, un teint pâle cerner de cernes plus voyante les unes que les autre, ah ... Il faut vraiment que j’arrête de me torturer, je retourne dans la pièce ou je résidait quelques minutes plus tôt, et alla m’habiller de mon costume blanc et noir avec une cravate noire. Je rentre mon chemisier blanc dans mon pantalon.

Une fois que je fut prête, je prend mon sac, ou disposé plusieurs tats de feuilles que je distribuerais à chaque élèves de ma classe. Je descend, et vint enfiler une paire de chaussure noire avec un fin talon carré avec un lacet. Je prend les clés de ma voiture, et parti de chez moi, n’oubliant pas de fermer à clés.

Je descend quatre étages, et sort de l’établissement et me dirige vers ma Porsche noire. Je pose mon sac à l’arrière, m’attache, allume le contacte, et parti direction le lycée. Je me demande tout de même comment aller se passer ma première journée de travail, sachant que ce lycée, c’est celui d’où j’ai étudié pendant 3 années consécutive. Donc je me demande si se sont les même professeurs.

Quand je fut arrivé, je vint garer ma voiture, éteins le moteur, et sort. J’enclenche l’alarme, et mettant les clés de ma voiture dans mon sac, je me dirige vers l’entrée.

Un petit sourire naquis mes lèvres, c’est toujours pareil, rien a changer, à part quelques banc de plus mais sinon rien na bougé. Je croise plusieurs élèves qui me salue. Et au loin, je voie une jeune fille au long cheveux bleu, une couleur assez particulière, tout en m’avançant, je voie qu’elle est en train de lire.

Je sourit, je l’observe quelques minutes, et décide de rompre se silence :


Moi - bonjour !
? - bonjour professeur.

Houa, elle est vraiment très belle, de grand yeux bleu comme ses cheveux, un nez fin et droit, un visage ovale sans imperfection, je lui sourit, et poursuit mon chemin jusqu’à là salle des professeurs.

Moi - bonjour à tous !
Mme Clife - Haruka c’est ... C’est bien toi ?
Moi - ravi de vous revoir madame Clife !
Mme Clife - tu as bien changer, mais que fais tu ici ?
Moi - eh bien je suis ici pour montrer et apprendre mon savoir aux élèves !
Mme Clife - alors tu vas travailler avec nous, et tu sais dans quel matière ?
Moi - oui je serait professeur de mathématique et de langue vivante. Et vous ?
Mme Clife - enfin tu peux me tutoyer nous sommes collègue, appelle moi Betty ! moi je suis chargé de la section physique chimie !
Moi : très bien.

Après cette brève retrouvaille, la sonnerie du premier cour retentit, je prend donc mon sac, et sort de la salle des professeurs. Je me dirige vers une porte, ouvre cette dernière et longe le grand couloir menant à ma salle de cour. Une fois prêt de celle-ci, je glisse une petite clé et tourne deux fois vers la droite, et entra.

Ah, que de souvenirs dans cette salle, à l’époque c’était monsieur Torbin qui nous faisait cour de français. Je pose mon sac à côté du bureau, me tourne vers le tableau blanc, et avec un crayon fais exprès, je me met à écrire « Bienvenue à tous » rebouche l’objet, et sort les feuilles et cahiers de liaisons que je distribuerais quand ils seront tous présent. J’allai monter les stores afin d’avoir un peut plus de clairettes.


Ah... Les voilà qui arrivent, j’entends des paroles inaudible venant du couloir, puis ils entrèrent tous un à un allant s’installer à une table. Je remarque avec un petit sourire, la jeune fille de tout à l’heure, alors je vais l’avoir en classe, intéressant, je la voie qui prend place au fond de la pièce prêt de la baie vitrée au dernier rang. Cela me surpris, alors que tous le monde venais de s’installer j’allai fermer la porte et alla prendre place à mon bureau.


Moi - bonjour et bienvenue à tous, je m’appelle Haruka Tenoh et serait votre professeur de mathématique et de langue vivante et pour certains je serait leur tutrice. Bon avant de commencer nous allons mettre au point quelques petite chose au clair, et chacun d’entre vous se présentera quand je l’appellerais c’est compris ?
Tous - oui !!!
Moi - très bien, alors commençons avec ... Tran !
Elève - bonjour, je m’appelle Mélanie Tran, je suis d’origine japonaise, et j’arrive tout droit d’Osaka. Je cherche à persévérer dans l’art et d’atteindre la studieuse université Todaï !
Moi - c’est parfait Mélanie, tu peut t’asseoir.

Et dans le silence la jeune brune prit place, ajustant ses lunettes sur ses yeux.

Moi - ensuite Guilard !
Elève - euh... Je.... Je m’appelle Pierre Guilard, j’aime jouer au foot, je suis d’origine canadien, et tout comme la dis Mélanie, je veux réaliser uns de mes plus grand rêve et entrer à Todaï !
Moi - très bien... Hm Kaio !

Un silence s’installe, surprise je lève mes yeux et voie la jeune fille de tout à l’heure se lever, alors c’est elle. Elle ne dis rien, son regard est encrer dans le mien, et delà ou je me trouve, je peux apercevoir une lueur de tristesse.

Moi - allais présente toi !
Michiru - eh bien, bon... Bonjour je m’appelle Michiru Kaio j’ai 17 ans, et suis d’origine italienne venant tout droit de Venise. Euh... J’aime étudier et j’aimerais acquérir tout au long de ses trois ans du savoir afin de poursuivre mon rêve qui est de devenir professeur de mathématique.
Élève - pff, arrête de délirer, toi, tout ce que tes bonne à faire c’est les trottoirs, et de rejoindre ta mère !
Moi - SILENCE !!!!

je voie Michiru baisser la tête, ainsi qu’une petite larme rouler sur sa joue. Je fut prit d’une colère noir, et je vint prendre la parole :

Moi - toi au fond au deuxième rang quel est ton nom ?
Élève - moi, ben Jolie !
Moi - dans ce cas mademoiselle Jolie vous me copierais cent fois le règlement concernant les propos injurieux de ce lycée !
Jolie - quoi ?? mais c’est pas juste !
Moi - il n’y a pas de mais qui tienne les propos que tu as eu son disproportionné et injurieux.
Jolie - pff sa commence bien !

Je ne répond pas, et les présentations continuèrent. A la fin, je vint passer à toute les tables et donne quelques feuilles ainsi que le cahier de liaison. Quand je fut à la hauteur de Michiru, je lui pose un dossier et son cahier de liaison, ses yeux remonte et me regarde. Ils étaient embués par les larmes, je vint sortir de ma poche un morceau de tissue et lui tend avec un sourire tendre.

Moi - allais c’est fini !

Elle me sourit timidement, et je vint retourner à mon bureau. Je prend un stylo, et effaçant ce que j’avais écrit quelques minutes au paravent, je retire le bouchon et vint écrire.

Moi - maintenant que chacun prenne un cahier et recopier ce que je note au tableau. Pour ce premier cour, je vais seulement évaluer vos connaissances afin de voir quel niveau vous avez.

Je pose le stylo, et vint prendre place à mon bureau. Alors que tous se mettait au travail, je trie plusieurs papiers, et au bout de quelques seconde une voix retenti... Celle de Michiru que je trouvais très douce au passage.

Moi - oui Michiru ?
Michiru - j’ai terminé !
Moi - déjà ? Très bien j’arrive.

Eh bien, c’est une petite rapide, je sourit, me muni d’un stylo rouge et alla jusqu’au fond de la classe. Une fois prêt d’elle, je me penche et observe son travaille.

Je comprend pourquoi elle a l’ambition de devenir professeur de mathématique, aucune faute de calcul, alors que je ne voyais aucune calculatrice à ses côtés. Je me baisse, m’appui sur mon bras droit, et vint lui écrire un exercice.

Moi - c’est parfait, maintenant tu vas me remplir ce tableau de proportionnalité, d’accord !
Michiru - oui, j’ai compris, je ferait de mon mieux professeur Tenoh !

Je sourit, vraiment elle est adorable, je retourne à mon bureau et voie une copie.

Moi : A qui appartient ce torchon !

Aucun bruit ne sort. Ce qui eu le dont de m’irriter.

Moi - si dans la minutes qui suis je n’aie pas le nom du propriétaire de cette copie, je prive toute la classe de récréation es ce clair ?
Jolie - mais...
Moi - il n’y a pas de mais mademoiselle Jolie !
Jolie - c’est à moi !
Moi - en plus, ne t’avons nous pas déjà appris à écrire proprement ? Ton écriture n’est pas lisible, donc refait moi sa !
Jolie - mais...
Moi - je t’ai donner un ordre, alors exécute !

Je l’entend ronchonner, puis je reprend place et observe tour à tour chaque élève, et mon regard s’arrête sur Michiru que je voyais compter avec ses doigts, j’esquive un mince sourire, en y repensant quand j’étais prêt d’elle mon cœur c’était accélérais, une bouffé de chaleur avait enivrait mon corps, plus je la dévisage, moins je comprend ce sentiment qui se diffuse dans mon être.

Puis quelques minutes après la sonnerie de la pause retenti, chaque élèves me remet son cahier et parti en récréation. Seul Michiru resté en retrait, assise sur sa chaise, elle regardais le paysage l’air monotone. Je ferme le cahier que je consulter, et alla à sa rencontre.

Je prend la chaise de devant et la place face à son bureau. Je prend place et lui dit :


Moi - Michiru, tu ne sort pas ?
Michiru - non, je ne préfère pas !
Moi - pourquoi sa ?
Michiru - je... C’est compliqué !
Moi - tu veux m’en parler ? Pour ses trois année je serait ta tutrice donc si tu veux te confier n’hésite pas, je t’écouterais !
Michiru - merci, c’est très gentil à vous... Mais je ne suis pas sûr de...
Moi - bon, ce n’est pas grave, prend ton temps, mais tu dois sortir !
Michiru - bon... D’accord, mais, restez avec moi !
Moi - très bien.

Je me lève, et replace l’objet à sa place et me dirige vers la sortie. Je longe le couloir avec Michiru qui ne disait rien.

Moi - alors comme sa, tu veux devenir professeur ?
Michiru - oui, c’est l’uns de mes plus grand rêve !
Moi - tu c’est que tu m’as impressionné, c’était parfait ce que tu m’as rendu !
Michiru - merci, mais on va dire que c’est assez simple pour moi, donc ...
Moi - je comprend, allait moi je vais en salle des professeurs ! On se voient après ?
Michiru - oui, moi je vais allais au toilette !
Moi - ok.

Je lui sourit, lui fit un signe de la main et entre dans la salle. Je fut surprise de voir tout les anciens professeurs me regarder avec un sourire, même le directeur était là.

Moi - euh... Que se passe t-il ?
Betty - tu as était tout simplement...
Clément - génial, nous t’avons observé depuis cette écran, et pour ton premier cour Haruka tu as était impressionnante.
Moi - merci.
Directeur - content de vous revoir parmi nous mademoiselle Tenoh, j’espère que vous trouverais vite votre place avec nous !
Moi - ne vous inquiétez dont pas, ce lycée... Il ne ma jamais quittée !

Tous me sourit, et c’est dans la bonne humeur que plusieurs discutions commencent. Moi je vint prendre place au cotés de Betty qui corrigé des copies.

Moi - au faite Betty !
Betty - ravi de voir que tu y prend goût ! Oui qui y’a t-il ?
Moi - j’aimerais te poser une question !
Betty - oui vas y !
Moi - c’est à propos de Michiru Kaio !
Betty - oh cette petite... La pauvre, elle en a vécu des choses !
Moi - oui c’est ce que j’ai pue voir, elle a était victime de discrimination par mademoiselle Jolie, et comme je suis sa tutrice, j’aurais aimé en savoir un peut plus.

Je voie la jeune femme se pencher, et elle remonte avec un assez gros dossier, qu’elle me tendit. Je le prend et le met face à moi, beaucoup de chose était inscrit sur la première page.

Betty - tiens, c’est son dossier depuis la maternelle, il y a toute les informations que tu veux savoir.
Moi - merci, c’est très gentil à toi !
Betty - mais voyons ce n’est rien.

Je lui sourit et continue de discuter. La journée était passé bien vite et quand fut l’heure de rentrer, je voie Michiru se diriger avec précipitation vers la sortie, je la suivit quelques minutes en voiture, et pour ma plus grande surprise, je la voie se mettre sous un pont ! Mais que fait t-elle là ? J’ai envie d’aller la voir, mais j’ai peur de crée un fossé entre elle et moi, c’est donc à contre cœur que je parti direction mon appartement. Une fois rentrée, j’alla prendre une bonne douche, et parti directement me coucher, en pensant à Michiru seule sous ce pont. C’est inhumain de ma part de la laisser là, c’est même cruel sans cœur.

Demain, il faut à tout prix que j’arrive à lui parler.

Voila ce qui est du premier chapitre, si cela vous plais faite moi un signe il y a déjà 4 chapitres de terminé, donc vooila :)
Mar 15 Oct 2013, 14:05 par HaruxMichi sur Histoires d'amour

Inventaire en meninge...

si je devais casser ma tête
dans un geste de raison désespérée

si je devais casser ma tête
dans les morceaux répandus
on trouvera
certainement
enfin
je crois
on trouvera
quelques bout de cervelle
mais aussi
des bouts de taffetas en soie
des écharpes en pur angora
des draps roses tout emplis encore de nocturnes
quelques clichés du ciel
de ceux des tempêtes d’Ouessant
des bleues cristallin
d’hivers en cote d’azur
l’eau salée
des écumes des bords de manche

on trouvera aussi
jeter à l’aveugle
ces photos
que je n’ai pu tirer de toi

reprenons le tri
savourant l’outrance
d’un grand verre
de fièvre éthyliques
reprenons le tri

je n’ai jamais développé
tout ces baisers que m’a refusé

je n’ai jamais apprivoiser
ta distance devant
mes mains emplis de mauvaises intentions

si je devais casser ma tête
il faudrait aussi
ne pas manquer
couper tout les chemins
qui de la tête
mènent au cœur
plus encore
les sens inverses

me souvenir
d’oublier
un amour
que je n’ai pu confisquer

dans ma tête répandu
j’attendrai décidément
que le vent se lève
et emporte
ce que je n’ai pu voler
Ven 03 Fév 2012, 10:37 par adeleH sur L'amour en vrac

Reve


J’arrive, sur la pointe des pieds
Et sans faire de bruit,
Derrière toi, je suis caché.
Je t’observe, et rêve
Rêve de poser un foulard sur tes yeux.
Et d’y déposer, de doux baisers, sur ta peau couleur ambre
Tachetés de grain de beauté
Splendeur de ta féminité
Humer, tes doux recoins
De tes beaux vallons veloutés
Dont sous la coupe de mes mains tu en frissonnera
Liqueur onctueuse,
Ou je boirai à la source sans me rassasier de toi
Souffle de ton odorat qui s’accélèrera,je viendrai , cueillir le gout de ta bouche
Nos ,s’emmêleront
Nos corps tourmentés de délice
Doux calice qui viendra se frotter contre toi
Mon ardeur attendra encore
Mes doigts se feront caresses
Mes gestes tendresse
Ton regard deviendra brulant
Tes yeux pétillants
Je te voudrai maintenant......

caressedesyeux
Mer 21 Juil 2010, 20:02 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

Reve


J’arrive, sur la pointe des pieds
Et sans faire de bruit,
Derrière toi, je suis caché.
Je t’observe, et rêve
Rêve de poser un foulard sur tes yeux.
Et d’y déposer, de doux baisers, sur ta peau couleur ambre
Tachetés de grain de beauté
Splendeur de ta féminité
Humer, tes doux recoins
De tes beaux vallons veloutés
Dont sous la coupe de mes mains tu en frissonnera
Liqueur onctueuse,
Ou je boirai à la source sans me rassasier de toi
Souffle de ton odorat qui s’accélèrera,je viendrai , cueillir le gout de ta bouche
Nos ,s’emmêleront
Nos corps tourmentés de délice
Doux calice qui viendra se frotter contre toi
Mon ardeur attendra encore
Mes doigts se feront caresses
Mes gestes tendresse
Ton regard deviendra brulant
Tes yeux pétillants
Je te voudrai maintenant......

caressedesyeux
Mer 21 Juil 2010, 20:01 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

Un corps à corps








Une soif intense de te dévorer
Une parfaite harmonie
D’un mélange de nos deux corps
De nos salées et sucrées
Ce besoin si fort de te serrer.
Basculons, dans cette passion dévastatrice
Tu ne sera que tentatrice.
Je veux bien être soumis.
Tes yeux jubilent
Toi ma dominatrice
A mon tour je le serai
Car, je sais que cela te plairai.

caressedesyeux
Dim 18 Avril 2010, 19:58 par caressedesyeux sur Les liaisons sulfureuses

Un soleil brulant

Les lattes de bois se mettent soudain à craquer
Nos corps brulant sous ce soleil perçant
Nous donne envie de quitter nos vêtements
Qui collent contre nos corps en ............
Ton parfum me monte soudain à la tête
Cette envie de gouter à ta peau
Est plus fort que tout.......
Te serrer dans mes bras ,
Te couvrir de baisers,
Prendre le temps de se savourer
Et a chaque moment , à chaque instant
Me perdre en toi
Et ne me laisse jamais en paix.
Un bonheur, que du bonheur..

caressedesyeux





Jeu 01 Avril 2010, 14:19 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

Une leçon de piano







Elle avait rendez-vous, avec un professeur de piano, et elle s’imaginait déjà que ce serait un vieux monsieur qui allait lui donner son premier cours.Un quartier mal éclairé en ce jour et très tard le soir, car en hiver , il faisait nuit de bonne heure.Elle arrivait essoufflée, d’avoir monté ces trente marches;Une seule porte sue ce pallier si usé par le temps elle se mit à sonner.Pas de réponse;Elle se demandait si elle ne s’était pas trompée.,et jetait de nouveau un coup d’œil sur la porte.Non c’était bien ici, pas de doute! Elle entendait des talons et elle se disait finalement que son professeur devait être une femme.........
La porte s’ouvrit.Une petite "vieille"coiffée d’un chignon blanc et très ridée me souriait et me fit entrer.Elle me pria
de m’assoir dans une salle d’attente qui n’avait pas l’air d’en être une.Un salon douillet,avec un canapé moelleux de part sa texture, et de ses coussins aux couleurs chatoyantes.J’attendais , et je regardais ma montre.Cette fois-ci elle était en retard..........
La porte s’ouvrit; "MERDE"! c’était pas une femme .Un homme, un bel homme et pas "vieux " du tout.je dirai , très grand, une beauté glaciale à m’en donner des frissons, des yeux gris cheveux ébène,pas d’alliance , mais de nos jours les hommes ou femmes mariés ne portaient pas d’alliance.Il se présentait, me serrait la main et je m’introduisais dans une pièce très claire , avec un magnifique piano, un bouquet posé sur un guéridon à coté.
Appréhension palpitation, "gauche" des .Je ne me reconnaissais pas.Il me demandait si je savais ce qu’était une portée, et si je savais en jouer.Oui avec deux doigts lui répondis-je;
Je revenais trois fois par semaine, et je m’améliorais très vite.j’ai même eu droit à toutes les félicitations de mon professeur.Une grande tendresse, s’était instaurée entre nous puis de la complicité.
Puis des désirs inavoués et une envie folle, et réciproque de faire l’amour sur ce piano.Nous l’avons fait finalement tellement de fois que je ne suis jamais repartis après.

caressedesyeux
Sam 27 Fév 2010, 18:05 par caressedesyeux sur Histoires d'amour

Un rêve parfumé (poème érotique)

Un rêve parfumé


Après une folle soirée
De stupre et de luxure
Passée à vive allure,
C’est divinement fatigué
Que nous nous sommes assoupis
Dans le théâtre de nos ébats : le lit...

J’ai fermé les yeux
Entre tes seins chaleureux
Et, doucement, venant chatouiller mes sens,
J’ai senti la volupteuse et paresseuse essence
Du parfum de tes douces mamelles,
Du souffle de ma bouche sur elles,
Raviver en mes inconscientes narines
Un ressac d’ardeurs sous-marines
Ouvrant la voie de rêves aphrodisiaques
En des rivages paradisiaques...

Sous mes yeux fermés et frémissants
Des songes allument des feux d’illusions
Qui se consument lentement
Telle une fumée de tison,

Son corps surgit alors du brouillard
Gonflé d’un désir charnel
Qui fait s’élever au ciel
Mon phallus fier étandard !

Mes envies laissent libres leur cours
Elle m’enlace - Je la possède
Je me prélasse - Elle m’obsède

Maintes fois nous faisons l’amour
Sexes ou bouches - Enchevêtrés
et frissons - Embaumés

Au solstice de la nuit
Dans l’odeur chaude des ombres
Où toujours plus je sombre,
M’agitant dans le lit
Savourant cet échange,
Se produit soudain un évènement étrange...

Dans la moiteur de mes rêves
Je sens monter un vent de fièvres
Jusqu’au bord de mes lèvres

Mon membre semble proche d’exploser
Telle une bouteille de champagne
Trop agitée avant de servir
Et de mon gland vient couler
Sur la cuisse de ma compagne
Quelques gouttes de plaisir...

La fragance poivrée
Animale
De ce précieux miel
Parvient jusqu’au nez
De ma belle
Et distille moultes phéromones mâles
En ces sens qui bientôt s’éveillent !

L’essence masculine et virile
Se difuse en elle avec force
La rendant soudain si fébrile
Qu’elle se redresse,
Bombe le torse
Cambre les fesses
Et vient s’empâler dans un râle
Sur mon sexe boréal !

Tandis que l’aurore soudain illumine
Mon rêve qui se termine...


© Cyr

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Lun 07 Mai 2007, 18:24 par cyrpoete sur Les liaisons sulfureuses

L’ardeur de tes flammes crépitantes

Je sens l’ardeur de tes flammes crépitantes
Et l’envie qui te brûle le bout des doigts,
J’entends aussi le désir que tu chuchotes au plus profond de toi
Et je vois ton corps qui grelotte de désir intense.
Il appelle timidement mes mains pour qu’elles le caressent.
Couine de plaisir et crie de rage.
Les mots de la passion ont un doux visage d’ange
Tes yeux langoureux et profonds !
Les mots du cœur ont une couleur rouge foudroyant
Des baisers tendres et une douce saveur subtile et délicate
D’un mélange de parfums et de
Où la douceur embrasse la douceur de nos corps.
Mes lèvres qui se penchent sur tes reins.
Je sens l’ardeur des flammes crépitantes
Et l’envie qui te brûle le corps,
Je te veux dans mes petit bras.
Je te veux dans mes draps.
Je te veux poème.
Je te veux poète.
Je te veux une tempête.
Que rien n’arrête.
Je te veux comme tu es.
Qu’on s’embrasse dans la différence, dans l’innocence
Et dans le silence de notre désir.
Qu’on s’embrasse à ne plus en finir,
Que la douce lueur du matin nous dévoile l’un à l’autre
Dans la plus merveilleuse lumière aux mille reflets de couleurs
Et qu’au petit matin nous formions plus qu’un Nous,
Et que ce Nous se transforme en Amour réel,
Celui dont même la mort ne peut défaire.

julia timide
Lun 21 Août 2006, 11:27 par joullia sur La séduction

Etre deux

Pour rouler au hasard, il faut être seul.
Dès qu’on est deux, on va toujours quelque part.

Alfred Hitchcock, Dialogue du film " froides "
Ven 12 Mai 2006, 10:56 par Satine sur Citations

Lui

Lui
Écrire sur lui… Le coucher sur le papier
Comme si Comme si… Il est le pied
Sur lequel s’érige les strophes et les versets
Indélébiles de notre poème.. IL est
Lui
Tout simplement

Un sentiment Une vague Un sourire Un regard
Qui doucement divague et envole le hasard
Quand tout s’écroule Ivre de bruits et d’odeurs
La violence repue de coups et de

Mais lui
Tout doucement
Endort les plaies et ravale les larmes amères
Des souvenirs laids pareils à des galets vulgaires
Jetés sur la grève du passé si loin, si loin, si là
Il caresse les épines traversées par le doute, si las

Lui
Oui

Me protège dans la vallée de l’ombre
Abat les falaises emballées qui font la nuit sombre
Etend un manteau de velours noir dans les catacombes
Pour y coucher nos peurs jumelles pétries d’absence
Sème des oasis luxuriantes dans les déserts de l’indifférence
Fait jaillir des cascades verdoyantes où gît l’ignorance
Allume des feux de joie sur les neiges éternelles
Réécrit les textes de la loi en un seul et même poème fraternel
Qui chante sur des mélodies universelles

Lui
Le connaître c’est me connaître
Le voir dans tout ce que l’univers crée
Jour après jour au fond de chaque être
Et appréhender l’Infini qui est sacré
Le savoir c’est me savoir
Quand tout s’obscurcit…
Que les enfants n’ont qu’un bavoir
Désespérément vide et aux lèvres un cri
Aussi muet que la mort
Triste agonie d’un bonheur à peine éclos
Qui garde jalousement ses trésors
Pour d’autres… car le sort choisit ses maux
À l’aveuglette… Clown du destin grotesque et torve

Mais lui
Certainement
Il survole les sept océans indomptables
Il foule l’écume des jours Il est capable
De tout ça et de tant d’autres choses
Quand son cœur bat à l’unisson des roses
Et qu’il arrache le mien de sa cage doré
Pour en faire un Eden de douceur sucrée

Lui

L’encre qui parle de lui coule de mes veines
Les mots qui le décrivent me font sienne
à travers les lignes lactées des antiennes
Que l’écriture murmure comme un divin amen…

Lui…
Jeu 25 Nov 2004, 19:05 par doody sur Parler d'amour

le tempo des mots

Bravo, mais bravo...
Quelle douce musique que la prosodie de cet hymne. Hymne à l’amour, hymne à la joie, hymne au bonheur, hymne de partage.
L’amour conviviale dont on se serre dans une soirée Tapas et flamenco. Robes colorées, jupes à volants, odeur sucrée, regard de braise et les mains tapent l’une sur l’autre dans une gymnastique frénétique en suivant le tempo de tes mots. mélange d’odeurs salées par les de corps dansant. Les talons cognent le sol en appel de l’autre matadore...

Bravo, mille fois bravo..
Mar 08 Juin 2004, 11:51 par Imaginative sur L'amour en vrac

A l'aube

Il faut bien le dire, les premières fois c’est quand même pas une sinécure! Même si c’est avec un regard nostalgique et ému que l’on se souvient de ces moments, il n’en reste pas moins qu’on a tendance à omettre certains petits détails! grin

C’est qu’avant d’arriver à l’instant magique il faut se préparer! Si si parole de femme! amuse

Et oui il est dur le moment où avant le RDV galant il faut se raser, se maquiller, s’habiller, se coiffer, appeler ses amies pour nous aider, trouver ses chaussures... Et après des heures à courir on finit par s’asseoir sur le lit, désespérée, au bord de la crise de nerf parce qu’on ne sera jamais assez belle et que décidemment il faut se mettre régime parce que la raclette entre copines la veille c’était pas une bonne idée ouin

La semaine à été longue, très longue!

Etape.1: Il a fallu après des mois d’hibernation passer sous les mains expertes de notre esthéticienne adorée : " Mon Dieu et bien il était temps de venir nous voir, alors on commence par quelle jambe???", on s’en fout, même pas mal! snif
Et après des heures de conversation enrichissante sur le nouvel amant de madame Georgette, il est temps de penser à passer à l’étape suivante!

Etape.2 : Le matin en ouvrant le tiroir du bas le constat est dur mais il urgent de changer de lingerie, les culottes avec des petits nounours ça risque de casser l’ambiance. ahmoui Ca tombe bien il y a toujours un magasin de lingerie dans le coin. C’est à partir de là que votre vie de femme commence à se compliquer, et que de grandes questions existentielles se posent alors à vous... " Excusez moi mais ... ça se porte dans quel sens?" , " il est où le reste du tissu?", "mince ça existe?"," ça coûte combien?... ah...oui quand même", " je comprends pas d’habitude je rentre dans du 38!!"," votre miroir là! il grossit non?", " mouahaha! vous plaisantez! Vous m’avez vu?"
Et après quelques heures de débats on peut rentrer fièrement la récolte sous le bras. Mais quelques minutes plus tard et le portefeuille vide c’est la proie au doute, les froides et toujours la même conclusion " Mon Dieu, je suis sûr qu’il va me trouver grosse et moche!!" timide

Etape.3 : Sans doute une des plus longues. On se doute pas qu’une armoire peut contenir autant d’habits...et pourtant! A côté la caverne d’Ali baba ( au rhum debile ) c’est de la gnognote.
Parce qu’après avoir trouver le haut, il faut trouver la jupe qui va avec, puis les chaussures , le manteau, le pull, le collier, les boucles d’oreilles...raaaaaa atteint
Et après des heures de recherches dignes d’une fouille archéologique la sentence tombe : " oh m... je rentre plus dans la jupe...va falloir que je trouve autre chose!" Là les courageuse copines appelées à la rescousse quelques heures avant sont au bord de la syncope et ont commencé à entamer la bouteille de bordeaux que vous aviez soigneusement caché sous le lit.

Etape.4 : Le maquillage. Un manque d’entraînement se fait sentir, normal le dernier RDV date d’un an. Heureusement les valeureuses copines sont toujours là au cas où. "Le maquillage est notre ami il faut l’aimer aussi!"
Pas toujours si évident quand après 5 tentatives on finit généralement borgne et ressemblant à une star de film muet. Mais ça serait trop facile!!
La salle de bain c’est une chose, la lumière du jour c’en est une autre, et le regard incrédule de vos cheres et tendre amies (maintenant profondément imbibées de vin) sera là pour vous le rappeler! ohhh

Etape.5 : il ne reste plus que la coiffure et s’entraîner à porter des chaussures à talons. Enfin ça y est la ressemblance avec un femme, une vraie, approche!

Conclusion1: le grand moment tant attendu est là! Le travail du sourire et du regard n’aura pas été vain, le parfum semble avoir été à son goût, les précieux conseils des amies sur les 5 façons de séduire un homme (paru dans ELLE magasine la veille! ça c’est de la veine!) ont fonctionné, le maquillage n’a pas fait trop tâche, les habits c’était parfait, et les dessous sexy après un travail d’équipe ont finit par terre!
c’était parfait! ...

Conclusion2 : Le lendemain soirée entre copine pour une réunion de haute importance sur comment s’est déroulée la soirée ( avec les détails ça va de soit grin ) : " wouah!!! il est trop mignoooon!!!" , " la chaaaaaanceee!!!", " il a fait çaaaa???"

Après messieurs cela ne vous regarde pas! Nos conversations resteront à tout jamais un mystère pour le sexe masculin chut
Ven 12 Déc 2003, 15:21 par sobritish sur La première fois
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Ecrire sur sueurs

Ecrire sur sueurs Sexcape game, Que ne ferais-je pour un baiser de vous ?, L'amour est-il un crime ?, Inventaire en meninge..., Reve, Reve, Un corps à corps, Un soleil brulant, Une leçon de piano, Un rêve parfumé (poème érotique), L’ardeur de tes flammes crépitantes, Etre deux, Lui, le tempo des mots, A l'aube,
Il y a 15 textes utilisant le mot sueurs. Ces pages présentent les textes correspondant.

Bonne lecture !

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