Mes amis, mes amants.

Mes amis, mes amants...

Quand je rencontré, j’ai su immédiatement que je pouvais mer.
Je me suis fait toute petite pour ne pas me faire remarquer.
Ben oui tu étais accompagné...
La vie t’a alors isolé et je laissé en paix car je croyais qu’un chagrin devait se vivre seul.
Je soignais tes plantes vertes en rêvant te caresser comme je le faisais avec elles; je les humidifiait comme je rêvait ma peau contre la tienne.
Toi tu avais d’autres pensées, seul tu ne pouvais rester.
Quel choc le jour où tu m’as annoncé en toute "Amitié" que tu avais rencontré une âme pour partager tes soirées trop longues.
J’ai alors prit du recul et me suis à nouveau éloignée.
Grâce ou a cause d’une amie nous nous sommes rapprochés dans une course effrénée; ou bien l’ai-je aussi rêvé?
Pourquoi pendant tant d’années suis-je restée accrochée à une histoire que seule j’avais imaginée?
Elle fait aussi partie des bagages trop lourd à porter.
Aujourd’hui tu es à nouveau planté au beau milieu d’une famille reconstituée et moi je laissé.
Un autre amour est arrivé, mais c’était du copier coller.
Que n’ais je pas compris la première fois pour que la vie m’amène encore ce nouveau choix?
Je suis sans doute la seule à ne pas comprendre alors éclairez-moi pour que je puisse grandir à çà.
J’ai bien tenté de résister à ces histoires sans lendemain mais mon besoin de tendresse, d’amour et de contact humain était si grand que même en le sachant je me suis noyée dedans.
Mes amis mes amants vous avez été merveilleux et troublants.
Vous avez égayés certains jours, certaines nuits; trop peu sans doute mais le souvenir ne me quittera pas.
Je ne vous oublierez jamais tout comme vous; je le sait.
Ma vie je veux la vivre plutôt que la rêver; j’ai assez "imaginé". rose
Mer 19 Avril 2006, 10:15 par Hécate sur L'amour en vrac

Pour un Oui ou pour un Non

Est-ce bon signe ? Si près de te revoir, j’ai envie de mourir.
Je ne suis que le courage parmi les éboulis, avec des signes de faiblesse. Á vrai dire je n’en peux plus.
Oh, que je sache, : un « oui », un « non », ne serait-ce qu’en te détournant, quoi qu’il en soit, je prends le large.
Je vais tenir, de mes deux mains, jusqu’à demain, après tant pis.
Dans l’intervalle, je te remets ma vie, je tiens en suspension, jusqu’à ton point final.
Oui : la mer se soulève
Non : je pars à marée basse, plutôt l’enfer, mais emportant le paradis.
Oui : c’est toi plus toi.
Non : alors tant pis, je m’ouvre à d’autres.
Oui : la vie est Vie.
Non : je vis de ma vie morte, comme un ressuscité.
Oui : Oui.
Non : Non.
J’ai pris le temps, je choisie.
Et toi aussi, tu dois le faire, oui ou non, je t’en prie, il serait temps de nous aimer.
C’est dans mon ventre que je prie, de là que je t’écris.
Mar 11 Avril 2006, 13:07 par Iris sur La première fois

Mon amour

Mon amour,


Toi que j’ai appelé mon amour
A qui j’ai ouvert mon âme
Qui a connu mes moindres pensées
Mes moindres faiblesses

Toi qui ne voulait pas de mon amour
Mais simplement de mon corps
Pour le sport disais-tu

J’ai pensé naïvement que tout mon amour
Aurait raison de ta réserve
Et comme d’autres avant toi
Tu m’as jetée comme un kleenex

Tu m’as niée comme si je n’étais rien
Et comme pour lui
Je ne peux t’en vouloir

Je aimé de toute mon Ame
Avec la force du désespoir
Pour enfin être reconnue
Et enfin exister!!!!
Dim 09 Avril 2006, 10:53 par Hécate sur Histoires d'amour

Aimer d'amour

Un ami, un frère, un jour m’a posé la question qu’il se posait lui-même : « je ne sais si je l’aime ou si c’est l’amour que j’aime »... Cette question je me la suis posée sincèrement à mon tour sans pouvoir vraiment y répondre jusqu’à ce jour, tant tu étais confondu à l’amour dans mon cœur, l’amour avait ton nom, il avait ton visage. Mais aujourd’hui, je me rends bien compte que c’est l’amour que j’aime, tu en étais l’incarnation. Et puis, tu n’as plus représenté que le silence et une image jaunie du passé, de mon passé. Tu n’as plus représenté que la fuite du temps de ce qui est passé. Je aimé dans ta pauvreté, je aimé tel que tu t’es donné à connaître, je connu du plus profond de toi-même, dans ta beauté aussi. Aujourd’hui c’est l’Amour que je veux continuer d’aimer et pas son reflet plus ou moins fidèle, plus ou moins contrefait. L’Amour ne fait pas souffrir, l’amour élève l’âme. Je attendu, je espéré ; aujourd’hui, j’ai ouvert la porte sur ta liberté : pars mon amour, va, retourne à l’immensité d’où tu es né... Et cependant, en mon cœur l’amour croît à volonté.
Jeu 30 Mars 2006, 14:12 par dolce vita sur Parler d'amour

Désert

Oui, c’est entre l’Alpha et l’Omega que j’ai dû me tromper, au croisement des routes... A l’orée des doutes. Lorsque j’ai laissé la raison l’emporter et mon cœur transpercer. Pourtant comme une soif vive, le désir de l’amour, ce rêve de toujours qui s’accroche à ma vie. Les rires et les larmes sont si doux quelques fois... Accepter l’impossible, accueillir la souffrance, mourir dans la distance. En vain je cherché : amour, -je dit, est-ce toi que j’attends ? Non, m’as-tu répondu à chaque fois, j’appartiens à une autre, je ne suis pas pour toi... Où te caches-tu donc, où donc te trouverai-je ? J’ai voulu me suffire de ces amours prêts à porter que l’on me proposait, mais peine perdue, aucun ne convenait. Chaque fois, malgré ma faiblesse croissante et mon épuisement, sans un mot, sans un cri, j’ai repris mon bâton de pèlerin, j’ai parcouru la route, je ne me suis point arrêtée. J’ai cru t’avoir trouvé ; Seigneur, mais alors, quelle souffrance ! Voilà ce que l’illusion de l’amour m’a apporté : oh ! Quel oiseau de proie. Et mon cœur s’en est allé, à moitié déchiré par les serres cruelles. Comment vivre sans lui ? La blessure est profonde, je cherche par le monde, quelqu’un pour la soigner... Hélas, de médecin je n’en ai point trouvé qui puisse me guérir. Parfois, comme un mirage je crois l’avoir rejoint mais que je m’en approche et je vois que c’est feint : il disparaît dans l’air comme brumes au matin. Que mon espoir s’envole et je retombe à terre. Ma soif est languissante, ma vie est éphémère. Mes heures me semblent vaines et vraiment éloignées de la joie qui naguère avait fleuri en moi. Comme je veux l’oublier, mes larmes coulent, amères, j’ai soif de la tendresse qui habillait nos pas. Allons, viens, n’attends pas. Le silence est cruel, coupant comme une pierre, faisant saigner tout bas...
Mar 21 Mars 2006, 21:29 par dolce vita sur Histoires d'amour

Entre nous...

Que de jours loin de toi, que de jours à mer !
Mais qui es-tu, ma foi, si loin de mes pensées ?
Tu t’effaces en moi, sans doute, as-tu changé ?
Et ton cœur et ta voix, mon âme en est privée.

Comme je attendu ! Comme je espéré !
Parfois n’y croyant plus, souvent désabusée ;
Mais mon cœur tant et plus, ne s’est jamais lassé
Au calice il a bu, il n’en a rien laissé.

A présent, dans le soir, un cri soudain s’élève,
Il fait nuit, sombre et noir, mon nom, dit-on, est « Eve »
Elle veut tout laisser choir, abandonner son rêve,
Non pas par désespoir mais vidée de sa sève.

Sur la berge endormie, je me suis retrouvée,
Je pleuré, ami, dans les bras de Morphée,
Tu me disais « s’Il vit » et je te souriais,
Dans mon rêve joli, l’Amour nous unissait.
Jeu 16 Mars 2006, 22:16 par dolce vita sur La vie à deux

Vivre l'amour

Et l’amour alors, c’est si beau dit le lutin à la fée ! L’on en rêve, on l’imagine sans le vivre, on le désire, on le voudrait telle une image que l’on créée parfois et pourtant c’est le hasard qui décide de la rencontre. On sait des choses : on sait ce que l’on ne veut pas, de peur de le revivre, l’on sait aussi ce que l’on espère trouver comme qualité et si l’on est sage, on s’en remet au hasard, au naturel de la vie, à la magie des situations, aux rencontres impromptues. L’on apprend à connaître virtuellement l’autre, ou réellement, enfin si l’on est sage... La sagesse c’est un gage pour vivre un amour qui voguera sur cet océan où l’on voyage au gré du temps qu’il fait en soi, du temps qui passe, du temps qui fuit, de la fuite tout court de peur d’abandonner autre chose qui parfois nous est chère. Mais qui y a-t-il de plus précieux que la personne avec qui l’on a choisi de partager sa vie sur le chemin de l’amour? Il y a quelque chose de plus précieux, c’est une histoire commune et souvent rêvée aussi, je vais vous la conter....

C’est l’histoire de la vie, de deux vies, de vies....

L’amour est comme le soleil, parfois il se couche en nos cœurs éperdus, pour se réveiller et briller de mille feux, il illumine nos visages pour mener à l’épanouissement et nous offrir les joies vivantes dans cette vie qui est tellement belle pour peu qu’on s’en donne la peine.

L’on ne vit qu’une fois, alors autant que ce soit du mieux possible.

Les éléments parfois se déchaînent et déchirent nos cœurs meurtris comme du papier buvard qui a trop absorbé nos désaccords.

Et puis le repos devient alors nécessaire pour se réveiller sous un soleil éblouissant.

Et la vie nous surprend alors et l’amour revient comme le cheval au galop, mais point de maîtrise de cet amour là puisqu’on le vit, on ne décide pas, il vit comme nos cœurs qui ont tant besoin d’amour, aimer c’est ce qu’il y a de plus beau, vivre un amour beau et fort.

Alors on parvient à toucher des instants de bonheur que l’on saisit et qui se gravent en nos mémoires.

Et puis la vie se déroule au jour le jour, la joie émerveille nos yeux ébahis qui brillent à la seule vue de l’autre.

Alors nos cœurs se mettent à battre et l’on transmet notre bonheur en donnant le meilleur de nous-mêmes aux autres, on n’en tire pas de profit puisque tellement heureux de partager notre gaieté, de grands sourires, des mots gentils et la vie devient merveilleuse.

Alors une chose étonnante se produit et notre amour donne naissance à des êtres qui font que notre bonheur nous fait pleurer de joie.

La vie nous réserve tellement de belles choses, il n’y a qu’à tendre la main pour les saisir.

C’est vrai que parfois l’adversité nous met à l’épreuve, il faut alors redoubler d’effort pour affronter des choses parfois insurmontables.

Il existe dans notre cœur des choses insoupçonnables, il faut en prendre conscience pour évoluer vers un certain bonheur...

Je me dis parfois que j’aimerais marcher sur le chemin de la vie et cueillir les plus belles fleurs sur le bas coté, puis arriver au bout de ce chemin qui n’est qu’une impasse, la plus belle des impasses où se trouve la maison du bonheur, avec femme à chérir et jouer avec nos enfants.

Qu’y a t’il de plus beau ? Je pense qu’il n’y a rien d’autre...

Ah si, peut-être regarder en arrière en étant âgé et voir ce que l’on a bâti ensemble, jouer avec nos petits-enfants et se dire que la vie nous a gâté et vivre ce bonheur d’avoir bien vécu au coin du feu et continuer de profiter de la vie.

Et un jour, l’enfant lui demanda.....

Ce jour là, alors il sentit que le moment était privilégié.

Il faisait un temps magnifique, le soleil brillait, c’était une belle journée d’été où le soleil réchauffait les cœurs, le ciel était bleu, les oiseaux gazouillaient, un vent léger caressait le tapis d’herbe folle où ils se promenaient le long de la rivière…

L’enfant demanda à son père : « c’est quoi l’amour Papa ? »

Une question d’enfant simple et vraie que tant de grands ne donnent un sens que si pauvre, un sens qui leur est propre.

- "Tu vois mon fils, l’amour est là tout autour de toi, dans la chaleur du soleil, dans la beauté du ciel, le chant des oiseaux.
L’amour est dans le simple fait de croquer une pomme, de voir une chose qui plaît au regard, de ressentir les sons dans l’écho de son cœur comme si il était une montagne."

- "C‘est chouette l’amour, papa, alors je connais déjà l’amour papa "? !

- "Oh mon fils, l’amour c’est beaucoup d’autres choses.

Tu vois, j’ai beaucoup d’amour pour toi, chaque seconde qui passe, ce que je fais, je le fais aussi pour toi, tu es celui qui prolonge ma vie, tu es ce que j’ai de plus précieux avec ta maman."

- "Et maman tu as de l’amour pour elle aussi alors ?"

- "Oui je l’aime, c’est elle qui a donné un véritable sens à ma vie.

Lorsque j’ai rencontré ta maman, je croyais connaître l’amour, tout l’amour mais je n’en connaissais qu’une partie.

J’ai découvert d’autres parties de l’amour.

Avec celle que tu rencontreras et avec laquelle tu choisiras de fonder une famille, tu auras une part de l’amour qui résonne en toi, qui réchauffe ton cœur comme le soleil nous réchauffe aujourd’hui.
Tu la trouveras belle, plus belle que le ciel bleu et tu aimeras toujours entendre sa voix comme les oiseaux chantent pour chanter la vie.

Alors tu auras envie de partager, de vivre, de profiter de la vie avec elle.
De partager les joies mais aussi les peines, d’être là pour elle. Tu penseras à elle plus qu’à toi, tu auras beaucoup d’espoir de vie avec elle, de croquer cette pomme, de la partager avec elle, de partager tous les plaisirs de la vie, de l’écouter, la chérir, la soutenir si elle en ressent le besoin.

Tu la respecteras aussi en la laissant respirer parce que dans l’amour, il y a aussi besoin de liberté. "

- "C’est drôlement beau l’amour, papa, j’ai envie d’être grand. Mais papa l’amour c’est être libre alors et vouloir partager, c’est difficile, on ne peut pas forcément savoir si l’autre est libre."

- "Oh si, il est libre d’aimer, de partager, de vouloir."

- "Tu sais papa, c’est bizarre, mais tu parles d’amour de liberté de partage et moi au catéchisme, il parle de la même chose, pourtant Monsieur le curé, lui il vit seul, est-ce qu’il connaît l’amour ?"

- "Il a choisi de vivre qu’une part de l’amour, de dire que l’amour est ailleurs et d’aimer les gens à travers des valeurs de liberté, de partage, d’égalité. Ce sont des choses de l’amour dont il parle à travers l’histoire d’un homme qui a vécu il y a longtemps. Il parle aussi de quelqu’un d’autre… Tu te souviens de qui ? "

- "Oui, il parle tout le temps d’un grand homme qu’il appelle Dieu. C’est qui ? Il est où Dieu ? Il dit qu’il est partout, c’est bizarre ! "

- "Oui, il a raison, Dieu est partout autour de nous dans tout ce qui nous entoure, mais il est surtout en un endroit très particulier, tu sais où ? "

- "Dans la pomme peut-être ? ! "

- "Oui il est là aussi, si tu veux, mais il vit avant tout dans un endroit particulier, je te laisse chercher. "

- "Dans le soleil, il est fort le soleil et Dieu il a l’air d’avoir de grands pouvoirs."

- "Oui dans le soleil aussi, mais Dieu n’a pas de pouvoir, il n’y a de pouvoir que dans l’amour. Un pouvoir incontrôlable. Cette envie si belle de partager, de prendre soin, de se lier, de profiter de la vie.

Je vais éclaircir tout ce mystère mon fils…

L’amour est partout mais avant tout en chacun de nous, c’est pour cela que monsieur le curé dit que Dieu est partout et en chacun de nous, en nous, à l’intérieur de notre cœur qui est chaud comme le soleil quand la beauté d’une femme embellit le bleu de notre regard.

Tu as envie de partager, d’être là pour elle, alors tu lui dis tout simplement "je t ‘aime" parce que tu ressens beaucoup d’amour pour elle. Tu dois alors toujours avoir à l’esprit que c’est dans la liberté que vit l’amour, chacun a besoin de respirer, les oiseaux chantent, c’est comme la respiration d’une femme qui a besoin de vivre aussi pour elle.
C’est dans le partage de la vie de deux êtres libres que l’amour est le plus beau. Alors tu découvres le trésor que tu as toujours eu en toi, à l’intérieur de ton cœur. Tu désires alors lui offrir ta vie et partager tout l’amour qui nous entoure, ces pommes dans ce bel arbre, être sous le soleil avec elle, se balader le long de cette rivière. "

- "Mais papa, pourquoi si l’amour est si beau et qu’il est partout, pourquoi les gens crient ? se font tant de mal parfois ? "

- "Beaucoup de gens ont du mal à comprendre cela, je vais te révéler la vérité des Dieux, celle qui dit que Dieu et l’amour est partout.
Je crois que l’amour est partout, même dans les cris, les pleurs, les peines, je crois même qu’il y a de l’amour dans la violence des mots, dans la souffrance que l’on a lorsque l’on pleure parfois.

Je crois que dans tous les mots que l’on dit, il y a de l’amour, le plus grand des amours est dans la beauté de ton cœur d’enfant, tu as une vie d’un enfant qui apprend la vie, qui a beaucoup de joie, qui profite de la vie parce que maman et moi, on veut te donner le meilleur de la vie et de notre amour pour toi.

Tous les enfants n’ont pas cette chance là, leurs parents peut-être ne s’aiment pas vraiment. Est-ce qu’ils ont compris ce que je te livre aujourd’hui ? Est-ce qu’ils ont compris que c’est dans la liberté que l’amour vit ? Si tu prives de liberté l’autre, alors il a moins d’amour pour soi, plus tu lui donnes de liberté, plus il te donne d’amour.

Les grands ont chacun vécu une histoire différente et ils ont tant besoin d’amour, de beaucoup d’amour, c’est le véritable sens de la vie, l’amour.

Ils devraient prendre d’avantage conscience que l’amour est partout, dans la nature, partager des bons moments avec ses amis, dans le travail aussi parfois.
Car pour aimer il faut vivre libre, plus tu es libre, plus l’amour est grand. Et plus l’amour est grand, plus tu seras heureux, heureux de compter pour elle, de partager ses joies, des peines, de l’écouter te parler de ce qu’elle veut.
Alors elle te le rendra mille fois et la vie que tu auras sera riche d’un amour libre. Alors naturellement, tu fonderas, une famille à travers des projets communs, tu apporteras ta pierre comme l’on construit sa vie pierre après pierre.

Tu vois, là on parle, on se promène au bord la rivière, tu construis déjà ta vie, d’enfant, jour après jour tu empiles des briques comme lorsque tu faisais une maison en légo. Lorsque tu vas à l’école tu empiles d’autres briques, si tu as des amis fidèles et vrais, tu empiles d’autres briques et avec nous tu construis ta vie dans tout l’amour que l’on te donne en s’occupant bien de toi. On prend soin de toi, que tu ne manques de rien, que tu travailles bien à l’école, on t’apprend les choses de l’amour, le partage dans les repas que l’on prend tous les jours, la liberté dont tu as besoin lorsque tu veux regarder tranquillement un dessin animé, les sentiments d’amour ne s’apprennent pas, ils sont naturels. Il faut connaître les valeurs de l’amour pour ressentir de vrais sentiments.

On peut vouloir aimer quelqu’un mais on ne peut pas choisir d’avoir de vrais sentiments, de vouloir partager avec lui parce que tout simplement, on a pas les mêmes valeurs ou que les même envies.

On peut aussi aimer éperdument un être qui brille dans son cœur et que l’on voit plus beau que le ciel bleu azur, à qui l’on a envie d’apporter tout son amour, tout son trésor à l’intérieur de son cœur, de lui vouer sa vie et de faire des projets ensemble.

Mais alors là, c’est drôlement beau l’amour.
Pas forcément, l’amour entre un homme et une femme doit être partagé et si tu ne prends pas garde de préserver la liberté de l’autre alors son amour petit à petit diminue pour toi."

- "Mais papa pourquoi tu dis que l’amour est dans tous les mots que l’on prononce ? Je comprends pas papa… "

- "C’est difficile à expliquer mais je vais essayer…. Si j’arrive à t’expliquer et que petit à petit, tu comprends cela alors tu auras la chance de comprendre ce que les autres disent tout le temps…. De les comprendre lorsqu’eux ne se comprennent pas.

Les gens ont besoin d’amour et sans le savoir, ils en parlent tout le temps. Ils croient qu’ils parlent de banalité ou parfois de chose plus difficiles, parfois, ils se disputent.

C’est dans les mots que l’on dit, que l’on dit que l’on a besoin d’amour, de partager, de vivre, de désirer avoir du plaisir, dans le fait de posséder pour remplacer un manque, avoir le sentiment d’exister parfois aux yeux des autres à travers ce que les autres voient.
Ce que l’on possède comme objets n’est que le moyen d’avoir une vie plus agréable, de voir aussi le fruit des efforts de son travail. Il ne faut pas se flouer en croyant exister dans les objets que l’on possède.
Les objets peuvent être utiles, permettre d’avoir un certain plaisir aussi, mais on n’existe pas à travers les objets.
C’est dans l’amour de son cœur que l’on existe et ce que l’on est capable de partager.

Parfois deux personnes ne sont pas d’accord pour partager, et pourtant l’un d’elle le veut alors elles se disputent pour prendre cet amour dont elle a besoin, alors elle prend aussi la liberté de l’autre et l’amour n’est plus.

Le partage, l’amour, les sentiments, il faut être deux et pour être deux il faut être libres.

C’est pareil entre un homme et une femme et entre deux personnes qui ont moins de lien.

Celle qui crie, elle crie son amour, son manque, son vide d’amour, elle parle d’amour à travers des mots parfois violent.

La liberté voilà la chose la plus importante mon fils.

Tu es libre de me poser des questions et je suis libre d’y répondre.
Tu es libre de vouloir me serrer dans tes bras pour me montrer ton amour et là c’est aussi ma liberté de te serrer dans mes bras parce que peut-être qu’un jour, j’aurais besoin d’être libre, tu auras du mal à comprendre alors peut-être que tu te souviendras de notre discussion au bord de cette rivière par cette journée pleine d’amour sous ce ciel bleu sous ce soleil qui fait briller nos yeux lorsque l’on se regarde.

Tu te souviendras que les gens parlent d’amour sans cesse, chacun trouve de l’amour là où il peut, le plus grand des amours sera toujours entre un homme et une femme qui partagent leur vie dans la liberté et les sentiments qu’ils ont l’un pour l’autre.

Si tu empiles jour après jour des briques, tu construiras ta vie mais sans cet amour là, ta vie ne sera pas pleine de tout ce qui fait vivre ce trésor que l’on a chacun en nous et que l’on pourrait nommer Dieu, car en chacun de nous vit un Dieu, le Dieu de l’amour.

Il y a autant d’hommes que de Dieu mais les hommes ne savent pas forcément aimer oubliant que plus il y a d’égalité entre l’amour et la liberté, plus l’amour est grand et plus l’amour est grand, plus la liberté est belle, plus les cœurs sont chauds, plus la vie est merveilleuse.
La liberté existe dans tout l’amour qui nous entoure et la liberté de laisser vivre ce que chacun de nous souhaite : une passion, une activité, son travail, la nature, le voyage, un livre, la musique, un fruit.

Tu auras alors envie de donner et de prendre soin des personnes qui font ta vie comme moi je prends soin de ta maman et de toi.

Voilà, mon fils, je dis beaucoup de chose sur l’amour, une chose encore, l’amour a besoin de sincérité car c’est dans la sincérité qu’existe la liberté des sentiments d’amour, alors sois vrai avec les autres, sois toi-même, ne leur mens pas ni sur toi, ni sur ce que tu leur dis, alors tu te sentiras bien avec toi-même et tu préserveras ce que l’on a de plus précieux, le trésor de l’amour à l’intérieur de ton cœur. Ainsi tu pourras aimer librement."
Mer 15 Mars 2006, 00:10 par Dauphinor sur Parler d'amour

Sonnez l'amour sans point ni virgule

Hélas ô doux amour n’ai je donc tant aimé
Que pour vivre ce jour et ne point ému
Quelle que soit ma douleur pour être mise à nue
Sur mon âme les pleurs ont déversé l’éther

Le chagrin qui déborde et qui se rit de moi
Le temps n’assèche pas ni s’épuise le sort
Sur cet amour unique en un mot le plus fort
Qui a conquis ma vie et impose ses lois

Hélas ô doux ami quand donc te reverrai-je
Me seras-tu ravi qu’il vente ou bien qu’il neige
En nom cœur un refrain tout doucement murmure

Nos deux noms en font un il est doux il est pur
Aux Cieux les séraphins le lancent dans l’azur
Il éclaire le matin et calme les blessures
Ven 10 Mars 2006, 14:21 par dolce vita sur L'amour en vrac

A dieu, la fleur

Petite fleur sauvage
Sais-tu ce que tu as fait dans mon cœur
Ô oui tu peux le deviner
Tu es fine sensible n’est-ce pas ô oui
De loin tu m’as aperçu
Je bien vue venir
Et j’avais juste le temps de m’éloigner.
Ta timidité n’a d’égale que la mienne
Devant tant de fragilité.

Si tu savais petite fleur
Comment ce que j’aime de toi
M’étreint encore

Je ne te voulais presque rien
Mais c’est toi qui as raison
Que faire de ce garçon
En trop dans ma vie
Et qui n’en est plus un

Si tu savais petite fleur
Comme tu me touches encore
Même de loin
Ô oui
Ne crois pas que je t’invente
Telle que tu es
Et tout ce que ta silhouette dessine
Dans ma mémoire

Sais-tu ce que je te voulais
Ô oui tu le sais
J’avais des mots pour toi
Des mots nés en moi à cause de toi
Et toute ma vie retournée

Ce ne sont pas des mots

En une heure tu aurais compris
Et ton sourire m’aurait suffi

Petite fleur
Tu ne pourras jamais faner en moi

Si j’étais fille
Je serais toi
Mar 28 Fév 2006, 11:48 par Iris sur Parler d'amour

Les sommets bleus de ton absence

Tout me parle de toi. Je reçois un dessin, et ce dessin, c’est toi. Je ne pense qu’à toi.
Dans des conditions ordinaires, je l’aurais déjà fait, ce pas vers toi, ; un petit pas de rien du tout, après tant de signes échangés entre nous, et j’aurais le cœur net. Mais comment faire ?
Ce n’est simple ni pour moi, ni pour toi. Je comprends que parfois tu doutes, je vais peut-être te perdre, qui sait ? Pourtant tu me vas bien, et moi aussi, je te vais bien, ne le sens-tu pas ainsi ? Mais si. Il y a longtemps sinon que tes yeux auraient quitté les miens.
Quand tu t’éloignes un peu, je le vois bien, comme un aimant ton pas revient, je suis la cible de tes yeux, et je veux bien. Ne le sens-tu pas ainsi ? Qui de nous deux osera ?
J’en ai assez ! Assez de ce vide où je suis plein de toi, assez des soleils sans toi, des matins sans pouvoir t’appeler, de mes mains retenues, de l’élan contenu, des sommets bleus de ton absence, de la vague creusée. T’enlacer de mes mots, m’élancer tout au bout de tes doigts, t’ouvrir la piste de mon cœur, chanter pour toi l’immensité qui se prépare, la mélodie secrète, te l’apporter, te voir étoile, filer radieuse dans le ciel que j’ai tressé pour toi.
Tu manques à ma vie, de tous côtés. Evidence voilée, je dis ton nom, le vent attend pour toi, j’ai dessiné la mer, et sur la mer, notre voyage.
Je te dirai sur la jetée des mots que nulle n’a entendue, des mots si vrais, si purs - comme des pierres, les ricochets ; de l’amour, l’infinie ritournelle, par où nous évader. Et l’on dira de nous : c’était la mer sur la montagne, le sommet bleu des îles, l’arche amoureuse.
Et l’on nous rejoindra comme je rejointe, comme on étreint l’éternité.
Dim 26 Fév 2006, 23:44 par Iris sur Parler d'amour

Parce que tu es toi

Quoique tu fasses, où que tu sois...
Je aimé, je me et je merai.

Que je puisse te voir ou je ne te vois pas :
Je aimé, je me et je merai.

L’amour a eu le désir de naître en moi :
Je aimé, je me et je merai.

Ce que je vis n’est pas de tout repos ;
Je aimé, je me et je merai.

Tu as ouvert mon coeur aux autres parce que
Je aimé, je me et je merai.

Contre tout espoir, contre toute logique
Je aimé, je me et je merai.

ici ou là-bas, un jour, on se retrouvera :
Je aimé, je me et je merai.

Ce jour-là, dans nos regards on lira :
Je aimé, je me et je merai...
Lun 20 Fév 2006, 12:48 par dolce vita sur La vie à deux

Aimer à en mourir

Un amour impossible entre l’eau et le feu a pourtant vu le jour :
c’était un bel amour et qui m’a fait franchir les sommets escarpés. Mon âme et la tienne communiaient dans la joie ; nos coeurs s’étaient donnés. Plusieurs fois, avant cela, nous nous étions surpris de la complicité intime de nos êtres... Plusieurs fois, tu avais posé tes yeux sur moi et les miens ne s’étaient pas dérobés. Ce soir là, nos regards durèrent tant et tant qu’ils détruisirent le temps et l’espace entre nous, dans une innocence avide, nos âmes aspirées - en communion d’amour qu’on ne peut retracer, qu’on ne peut inventer, indicible, bien au delà de tout - se trouvèrent enlacées, brillant de bel amour. Seigneur, que j’étais bien ! J’avais ton cœur, tu possédais le mien ! Mais, sans trahir nulle femme tu n’avais pas le droit à cet amour pour moi. Oh, oui, je le savais ! Je n’en conçus nulle peur. Te voir me suffisait, me comblait de bonheur ! J’avais goûté au Ciel ! Tout nous faisait comprendre que nous étions ensemble et pour l’éternité ! Je me crûs forte. Je fus sage. Trop sage... Un jour heureux après moult combats, au téléphone tu osas une déclaration qui réveilla ma joie. Le lendemain fut funeste, c’est l’œuvre de mes mains ! Je niais les désirs de mon corps et du tien, je brisais l’élan de mon cœur qui m’appelait vers toi qui me tendis les bras. Tu t’étais arrangé pour que nous soyons seuls, nous êtions à l’aube de l’été... Je pris peur de nous, du désir qui jaillissait de nous, consciente de l’interdit formel répondant à tes voeux... Je partis en courant, te laissant chancelant... Ah, ciel, tes regards, lorsque je te retrouvais au milieu de ces gens qui nous dévisageaient, attendant le faux pas. Devinant tout l’amour nous unissant déjà. Je ne répondis pas aux questionnements que tes yeux murmuraient apeurés : pourquoi ? Pourquoi... Peu après ta décision fut prise de m’éloigner de toi... Mais, tant que nous étions amenés à nous voir, nous ne le pouvions pas, tantôt toi, tantôt moi, nous revenions vers l’autre. Alors, tu pris la décision de partir sans retour. J’ai crû mourir, l’ai souhaité plus souvent qu’à mon tour... Et puis, j’ai essayé de reprendre le chemin de la vie, de t’oublier et de renaître à l’amour pour un autre que toi... Mais non, hélas, c’est toujours impossible, je ne le puis pas, malgré ma soif d’aimer, malgré tout le désir qui a pris corps en moi, il ne s’adresse qu’à toi qui ne me lira pas. Combien de lettres -je écrites dont la plupart ne te parvinrent pas ? ! Quelle importance ?! Un jour, n’y tenant plus, je appelé et c’est ta voix qui m’a répondu, une dernière fois, avec toute la douceur que je n’oublierai pas... Je sais que tes yeux ne se poseront pas sur ces lignes, je ne sais si ton cœur est loin de moi aujourd’hui, comme la raison le voudrait... Parfois, la douleur s’atténue et je me crois guérie et puis, un mot, un geste et en moi tout jaillit... je dois laisser mon coeur se reposer. Ils sont nombreux aujourd’hui à me parler de toi, ceux qui, hier encore, me montraient du doigt, moi dont le crime demeure impuni : oser aimer, voilà de quoi je suis coupable, aimer un homme à en mourir...
Dim 19 Fév 2006, 17:10 par dolce vita sur Histoires d'amour

La vague est dans mon âme

La vague est dans mon âme

Je sais ce que je veux au plus profond de moi ; n’être bien que de rien, ne plus attendre quoi que ce soit, être la bonne nouvelle, quand le facteur n’y est pas.

Que ma joie ne soit pas dans un sourire de toi, mais comme cette tristesse en moi ; universelle et sans frontière.

Alors il n’y a plus de moi qui tienne, larme je suis, perdue en haute mer, mer je suis, vague est mon âme.
Si je t’espère, c’est pour défaire mes rêves à chaque fois, le signe le plus sûr se dérobe à sa loi, aimer est pour moi l’absence de repère, le sang de tous les frères.
Je sue près de moi, je vue me vouloir, acheminer tes pas vers moi, et disparaître à chaque fois.
Ainsi en va ma vie, qui ne veut pas.
Un monde d’amour s’est invité tout au bout de mon âme, et j’ai lancé la voile, et tout s’est dérobé.
Ta jupe noire s’est envolée, loin de mes rêves, blanche est mon âme, d’avoir si froid.

Au réveil ce matin, je ne te voulais plus, enfin léger de toi, mais lourd encore de moi.
Et c’est ainsi que tu reviens, je n’ai rien d’autre à faire que de m’attendre à toi. Sachant ne pas savoir, quelque chose en moi veut quand même de toi.
Alors je te suivrai, mais détachée de moi, comme un soleil qui flotte, ou bien cette ombre qui s’évade, la flèche dans le ciel, qui n’a plus besoin d’arc.
Je ne veux donc que me défaire, tout perdre à chaque fois, être l’amour en son mystère, et puis surtout clouer le bec à cette croix, maudite croix, qui crie à chaque trahison. Et pour rien, dire merci.
Mon dieu, mon dieu, que j’abandonne enfin tous les pourquoi.

Et que sans fin je puisse de tout mon corps mourir et vivre comme la vague.
Sam 18 Fév 2006, 10:18 par Iris sur L'amour en vrac

La vague est dans mon âme

La vague est dans mon âme

Je sais ce que je veux au plus profond de moi ; n’être bien que de rien, ne plus attendre quoi que ce soit, être la bonne nouvelle, quand le facteur n’y est pas.

Que ma joie ne soit pas dans un sourire de toi, mais comme cette tristesse en moi ; universelle et sans frontière.

Alors il n’y a plus de moi qui tienne, larme je suis, perdue en haute mer, mer je suis, vague est mon âme.
Si je t’espère, c’est pour défaire mes rêves à chaque fois, le signe le plus sûr se dérobe à sa loi, aimer est pour moi l’absence de repère, le sang de tous les frères.
Je sue près de moi, je vue me vouloir, acheminer tes pas vers moi, et disparaître à chaque fois.
Ainsi en va ma vie, qui ne veut pas.
Un monde d’amour s’est invité tout au bout de mon âme, et j’ai lancé la voile, et tout s’est dérobé.
Ta jupe noire s’est envolée, loin de mes rêves, blanche est mon âme, d’avoir si froid.

Au réveil ce matin, je ne te voulais plus, enfin léger de toi, mais lourd encore de moi.
Et c’est ainsi que tu reviens, je n’ai rien d’autre à faire que de m’attendre à toi. Sachant ne pas savoir, quelque chose en moi veut quand même de toi.
Alors je te suivrai, mais détachée de moi, comme un soleil qui flotte, ou bien cette ombre qui s’évade, la flèche dans le ciel, qui n’a plus besoin d’arc.
Je ne veux donc que me défaire, tout perdre à chaque fois, être l’amour en son mystère, et puis surtout clouer le bec à cette croix, maudite croix, qui crie à chaque trahison. Et pour rien, dire merci.
Mon dieu, mon dieu, que j’abandonne enfin tous les pourquoi.

Et que sans fin je puisse de tout mon corps mourir et vivre comme la vague.
Ven 17 Fév 2006, 14:35 par Iris sur Un monde parfait

Des voiliers sur le monde

Je briserai le destin qui interdit d’élever son cœur plus haut et plus loin que les affreux pleurs désenchantés de tous les cris de toutes les faims.
L’océan qui m’emporte est couleur de cette lumière qui déferle impétueuse sur nos vies éteintes en renversant tout (sans que l’on n’en voit l’appel, sans que l’on sonne l’alerte), mais c’est pour moi la douceur inconnue qui se diffuse scintillante dans l’élan nouveau de mon corps, et y déborde les étoiles.
Et la non violence faite à l’ombre, dans ce duel avec le faux qui n’a pas eu à commencer. Dans le cœur un exploit, celui d’atteindre la rive qui n’existait pas. D’y éprouver une présence, que je ne saurais dire, à la source de l’amour, que je ne sais décrire.
Elle est pourtant bien là, radieuse dans la clairière, amusée de te voir si ému, te frôlant de son cœur.
Croyant, tu n’aurais pu y croire. Mais tu n’as eu ni à croire ni à voir, tu as su sans savoir.
Je vue avec tes yeux, je sentie dans ton souffle.
Et parfois mes pensées s’élevant à la verticale de mon âme volent vers toi et s’y recueillent, et tu me les retournes en pluie ensoleillée, en gouttes de clarté émerveillées, en vagues folles qui enroulent ma vie dans cette tendresse qui n’a pas de trêve.
Vous verrez des voiliers sur le monde.
Ils seront pour vous comme le signal des élans nouveaux de vos âmes interdites.
Jeu 16 Fév 2006, 23:21 par Iris sur Un monde parfait
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