Nadia la Polymorphe

Nadia

Mon Horacio, quelle femme aimes-tu en moi ?
Celle qui te fait courir les expositions,
Qui glorifie l’art suisse et les contes chinois,
Et qui admire toutes les grandes créations ?

Horacio

Nadia, ma douce esthète, c’est pour ça que je .
Parce que tu sais la valeur de la culture.
Pour toi, une fortune ne vaut pas un poème.
J’adore ton coup d’œil et ton jugement sûr.

Nadia

Mon grand python royal, ne préfères-tu pas
La Nadia qui sent le soufre luciférien,
Qui t’électrocute à minuit vingt, sous les draps,
Puis qui s’endort, K.O., jusqu’au petit matin ?

Horacio

Quand la nuit vient, j’aime assez avoir des nouvelles
De cette Nadia qui est mon garde du corps.
Elle en connaît tous les ressorts et manivelles.
Entre ses mains, la fusée prend bien son essor.

Nadia

Mon Flash Gordon des îles, aimes-tu ta Nadia
Quand se réveille en elle l’écolo impulsive,
Et quand elle ressent le besoin immédiat
D’exalter la nature… et qui l’aime me suive !

Horacio

Ma belle orchidée, j’admire sans réserves
La fougue qui t’enflamme quand tu défends tes causes.
J’applaudis quand tu exiges que l’on préserve
Les arbres et les fleurs de toutes ecchymoses.

Nadia

Voudrais-tu que parfois, je calme mes ardeurs
Quand je me jette dans une belle bagarre ?
Quand je laisse parler mes instincts batailleurs,
Dans ma féminité, ai-je l’air de déchoir ?

Horacio

Ma lionne à crinière, je suis, bien au contraire,
Heureux que tu sois cette tornade indomptable.
Je te chéris aussi pour ton fort caractère.
Quand nous nous battons, je te trouve formidable.

Nadia

C’est la magie de l’être humain, nous sommes tous
Des hydres de Lerne aux innombrables visages.
Et maintenant, dis-moi, mon Caius Brutus,
Quelle Nadia veux-tu, ce soir, prendre en otage ?

Horacio

L’esthète pour me dire des vers romantiques,
La bagarreuse pour jouer au mufle et à la peste,
L’écolo pour choisir un cadre bucolique,
Et la luciférienne pour s’occuper du reste.
Lun 21 Mai 2007, 23:20 par Nadia et Horacio sur La vie à deux

Nuit

Je préfère de loin le soleil à toi
Et les longues journées d’été.

Pourtant…

Quand tu arrives le soir,
Tu m’enveloppes,
Tu me réconfortes,
Tu me protèges,
Et je sens en paix.

Parce que je sais que
Personne ne viendra me déranger
Jusqu’à demain.

Je comprends mieux ces poètes
De la nuit qui t’adorent :
Nerval, Novalis…


Nuit…
Mon amie fidèle,
Ma confidente,
Complice de mes folies
De mes chagrins
De mes amours,
De mon repos aussi…

Plus je vieillis,
Et plus je .
Lun 30 Avril 2007, 08:33 par Lorely sur Mille choses

Nadia et Horacio

Ile ensoleillée.
Décor de série télé.
Allez-vous zapper ?

La belle Nadia,
Serveuse au bar des Tadornes,
Boit sa menthe à l’eau.
Elle a les épaules nues,
C’est sa tenue favorite.

Ensuite, elle rejoint
Son aimé, son Horacio,
Le bouillant maître nageur.

Horacio l’attend,
Torse nu, comme souvent,
Dans son boxer short.

Il se précipite
Vers Nadia, qui le repousse :
Arrière, mon Belzébuth !

Voyez, mains aux hanches,
L’amazone qui provoque
Le fier étalon.

Nadia

Viens donc si tu l’oses,
Mon Apollon d’archipel,
Mon Clyde Barrow.


Horacio

Ma rose panthère,
Ton côté Felix the Cat
Est émoustillant.


Horacio s’approche.
Son sourire un peu macho
Amuse et agace
Nadia qui s’approche aussi,
Remuant les poings.

Défi réciproque,
Amoureuse invitation
Au ring sur la plage.

Tous les deux sont prêts
Pour une belle bagarre.
Ils reculent, avancent.
C’est : je , moi non plus ?
Non : je , viens te battre !

Nuage de poussière
Sur le sable fin et chaud.
Les poings, les pieds valsent.
Et les étoiles jaillissent.
A la fois tendresse et fight.

Nadia s’écrie : Aïe !
Elle fronce les sourcils
D’un air combatif.

Horacio crie : Au secours !
Puis replonge dans la lutte.
Aucun des deux ne se rend.

Comme ils se régalent !
Ils avaient faim de bataille.
Quel appétit d’ogre !

Après dix minutes,
Le nuage de poussière
Se dissipe enfin.

Les deux tourtereaux
Emergent de la fumée,
Riant aux éclats,
Et, se tenant par la taille,
Regagnent leur bungalow.

Nadia

Ah, quelle bagarre !
Je vais me boire un lait-fraise,
Mon Martin Mystère !


Horacio

Ma Wonder Woman,
Je me sens d’attaque pour
Un tout autre sport.


Nadia

Football ? Volley ? Badminton ?

Horacio

Fausse candeur que j’adore !

Humble bande-annonce
Pour vous présenter déjà
Les deux lousticos.

La jolie Nadia,
Fonceuse et garçon manqué,
Mais très féminine.

Et son Horacio,
Un tigre dans le moteur,
Neveu de Tarzan.
On les reverra parfois.
Du moins, si ça vous agrée.
Dim 08 Avril 2007, 09:32 par Nadia et Horacio sur La vie à deux

Trouble

Ce sentiment tremblant, certitude qui se perd
Cette émotion troublante qui s’imprime et perdure
J’aimerais les maîtriser, les inscrire au futur
Ils sont miens, vrais et purs, en perte de repères.

Aujourd’hui je suis bien mais en manque de toi
Ton indolence me gène, me heurte et me secoue
Tu m’attires me retiens, viens t’inscrire dans mon flou
Je cherche à m’éloigner, peut-être loin de toi

Je te donne rendez-vous dans un prochain poème
Où je te raconterai de quelle façon je
Comment je te désire, te cherche et t’entrevois

C’est une litanie, un ouvrage en naissance
Un poème décati, érodé par l’absence
Qui se veut symbolique et cherche ton émoi.
Ven 06 Avril 2007, 16:58 par jatea sur L'amour en vrac

Pensées fugaces

Le ciel d’un bleu foncé
la lune en ascendance
pensées focalisées
sur le doute et l’absence

Je pense à toi toujours
tu es là dans mes cieux
dans mes rêves d’Amour
mes songes inharmonieux

Je ne resterai pas
dans cet indéfini
je guiderai mes pas
je dois rester en vie

Je vais partir sûrement
t’échapper pour de vrai
m’éloigner tendrement
effacer cet attrait

Qui nous lie maintenant
depuis longtemps déjà
semblant nier le temps
se nourrir de combats.

Je veux rester sereine
éternelle et vivante
ou bien partir sans peine
heureuse et dilétante

Tu resteras pour moi
cet espoir de promesse
cette brume, cet émoi
cet élan de tendresse.

Je encore bien sûr
je te désire toujours
je pars vers d’autre azur
sans espoir de retour

Ces mots sont là pour toi
qu’ils te nourrissent enfin
qu’ils rencontrent ta foi
qu’ils te fassent être bien

Dans tes incertitudes
ta peur d’aimer vraiment
sache que ma solitude
s’inscrit comme un aimant

Le ciel d’un bleu foncé
la lune en ascendance
je renie le passé
et poursuis ma sentence

La vie est ainsi faite
que les choses essentielles
se cachent et se répètent
sous l’aval du ciel.
Lun 26 Mars 2007, 17:36 par jatea sur L'amour en vrac

Amour lové

Replié dans ton nid tu es bien loin encore
Des tracas de la vie et de ses mauvais sorts

Nous essaierons pour toi de garder sa douceur
L’attrait de ses richesses et son goût de bonheur

Sans voiler à tes yeux tout ce qui en est laid
Nous guiderons tes pas aussi droit que l’on sait



Bien au chaud dans ton nid ne pense pas à ça
Ta mère te porte encore et je déjà
Jeu 22 Fév 2007, 19:20 par l'homme de sable sur Parler d'amour

Conquérir la liberté d'être soi-même

"Je suis libre lorsque...

... je suis capable de te dire que je et que ton amour est crucial pour moi [ou tout autre ressenti ]
... je peux risquer d’être ridicule pour faire ce qui me plaît
... j’ose montrer que je ne suis pas sûr de moi
... je suis capable de te demander de t’occuper de moi quand j’en ai besoin [ou de me lâcher les basquets quand tu es trop collant(e) grin ]
... je suis capable d’avouer mon inconfort même devant des gens importants pour moi
... je supporte facilement la critique
... je suis capable de te montrer à quel point je te trouve attirant [repoussant]
... je prends le risque de demander des critiques [si cela rendait meilleur !!!]
... je suis prête à t’avouer mon amour sans être certaine de tes sentiments [ou autre sentiment !]
... "

Michelle Larivey
Mer 17 Jan 2007, 10:03 par dolce vita sur Citations

Sentiment coupable

Encore une journée d’ennui
Et je me laisse aller à la mélancolie
Pour rien au monde je ne changerais de vie
A croire que j’aime sombrer dans la folie.

Les yeux mouillés je suis debout dans les ténèbres
Je me prépare à mon destin funèbre
Mais au loin je vois une apparition, un ange,
Qui seul pourra me sortir de cette fange !

Devant toi, ô sublime créature, je suis à genoux !
Tu ne t’en doutes pas et ne songes pas à nous
Tu me fais accepter la vie, le temps et l’ennui
Reste simplement dans l’ombre et la nuit.

Je me sens coupable de trahison
Mais je à en perdre la raison !
Sam 06 Jan 2007, 18:55 par obsession sur L'amour en vrac

Les trois voeux

Je voudrais te détester pour arriver à ne plus r,
Transformer l’amour en haine comme tu me l’as suggéré
Je voudrais ne plus y croire que mon cœur cesse de s’affoler
Quand il croise ton regard même en pensée
Mais je , je
Et si mon coeur est lourd de peine
Je n’arrive pas à oublier

Je voudrais en dormant au moins que mon cœur se délivre
Mais même mes sentiments semblent partir à la dérive
Je ne commande rien je n’arrive pas à tourner
La page que pourtant tu as bien voulu déchirer
Oui, je , je
Malgré tout bien malgré moi
Mon cœur me répète tout bas
Je mais c’est bien vain pour toi

Je voudrais te redire que c’est l’amour qui appelait
C’est que je t’attendais à chaque mn : l’éternité
Et pour t’avoir trop aimé tu as choisi de tout casser
Mais je sais que tes regards continuent de me chercher
Et que seul dans le noir tes larmes peuvent aussi bien couler
J’ai voulu te le dire
J’ai voulu t’entendre m’aimer
Tu as choisi le pire
Et le rideau est tombé

Je n’ai pas choisi, non, je n’ai pas choisi de r
Mais c’est toute ma volonté que je mettrai à oublier
Puisque tu parles de nous comme une image du passé
Je mettrai toute mon âme
A oublier
A t’oublier...
Mer 13 Déc 2006, 13:08 par dolce vita sur Mille choses

Petite histoire

J’étais appuyée contre la porte du bahut. Il avait plus d’une demi-heure de retard. Je soupirai. C’était habituel… Puis je le vis arriver. Toujours l’air décontracté, comme avant… Les larmes me montèrent aux yeux. Mon cœur se noua. Ma gorge se noua. Je me sentis oppressée. Je voulus lui sourire, je grimaçao. Je voulus lui faire signe mais mon bras ne bougea pas, comme si une force extérieure lui avait interdit. Que m’arrivait-il ? Je baissai la tête. Il s’avança vers moi et voulut me faire la bise. Je me laissai embrasser sans rien faire et lui demandai où il comptait m’emmener.. « Où ? Eh bien, où tu veux… ». Comment lui expliquer ? Comment lui dire que tous les endroits me conviendrait, s’il m’aimait comme je l’aimait ? Il souriait. Il avait l’air heureux… Comme s’il avait oublié ce qui s’était passé. Il me prit par la main, me souria et me demanda si j’allais bien, comme deux amoureux… Que nous étions. Je fis un petit sourire et lui parlai. Il m’emmena au jardin du sacré cœur. Comme la première fois. On s’assit au même endroit… Je retrouva le A+J entouré d’un cœur que j’avais tracé pendant qu’il était allé me chercher une glace. Il me demanda si j’avais rencontré quelqu’un. Je mis du temps à répondre. Il aurait rencontré quelqu’un ? Non… Je ne le croyais pas. Et puis… Pourquoi n’aurait-il pas d’autres aventures désormais ? J’avais l’insouciance d’une gamine… Et le cœur donné à un garçon qui ne s’en rendait pas compte. Je lui répondis par la négative et lui retournai la question. J’avais peur de la réponse. Il me répondit tranquillement, comme s’il m’eut raconté son dernier rêve… « Eh bien… Oui. » Il rougit légèrement et poursuivit. « Une fille… ». Comme si je ne m’en doutais pas ! Eh puis quoi encore ? Un dinosaure ? « Elle est dans ma classe et… ça va plutôt bien. ». Je n’en peux plus. Les larmes montèrent aux yeux. Je baissai la tête en signe de désespoir. Des larmes coulèrent sur mes yeux. Je les laissai couler. Je ne cherchai plus à les essuyer. C’était inutile. Il mit sa main sur mon épaule. Il me demanda gentiment quel était le problème. Je le regardais et émis un faible sourire. Il ne comprenait pas que c’était lui le problème… Il voulait comprendre. Je lui expliquai… « Je . ». Ce n’était pas bien long comme explication. Trois mots… Mais ces trois mots sont les plus difficiles à prononcer. Il fit une drôle de tête. Son visage devint blême. Il s’écarta un peu et me regarda bizarrement.
- Vraiment ? demanda-t-il.
Je ne répondis même pas. Il comprit.
-désolée, Alicia…
Il rouvrit la bouche pour parler mais je lui mit la main devant. « Inutile. Vas–t-en. ».
Il ne contesta pas comme à son habitude et s’en alla. Je le regardais partir, ses cheveux bruns au vent… Il se retourna. Ses yeux noisettes croisèrent les miens. J’eu l’impression que mon âme était reliée à la sienne, l’espace d’un instant. J’eu l’impression qu’un jet de lumières invisibles reliait nos regards. Puis il cligna des yeux et tout s’arrêta. Je baissais la tête. Je ne pouvais continuer à le voir. Il partit du jardin… Et de mon cœur en même temps. Mon amour pour lui partit au fur et à mesure qu’il s’éloignait... Ce fut comme s’il avait prit tout ce que j’avais de lui en moi…
Il m’avait dit qu’il m’aimait. Je lui avait dit que je l’aimais. Et puis un jour il m‘a quittée…Je n’ai pas compris pourquoi. Et je ne comprendrai sans soute jamais. Il m’avait dit qu’on resterait amis. J’avais approuvé. Mais j’espérais au fond de moi que tout redevienne comme avant. Puis il est parti du collège… Il était revenu me voir. Et maintenant il est parti de ma vie. Pour toujours.
Quelle est cette force que l’on appelle l’amour ? Quelle est cette chose mystérieuse qu’aucun de nos cinq sens ne peut interpréter ? Elle nous remplit de joie aussi vite qu’elle nous remplit de haine. Elle nous trouve… Et ne nous quitte plus. Elle nous harcèle jusqu’à qu’on perde tout ce qui nous faisait vivre. Elle peut nous démoraliser lors de nos jours les plus heureux comme nous faire vivre les jours où on pense que tout est fini.
Mer 29 Nov 2006, 17:11 par Gabouloo sur Mille choses

Aimer

Je me fou de leur monde
En regardant dans tes yeux
A la prochaine nuit sombre
Ne seront-ils point heureux?
Bien des choses me font r toi
Tout ton être
Il me fait frémir,
Vouloir l’impossible, te vouloir toi.
Je ne sais pas comment ...
Je ne veux pas le savoir!!
Rien ne pourra m’éloigner
je suis otage de ton amour
Mais jusqu’a quand?
En fait peu importe
Je et voilà tout..

aime Unebabydoll
timide
Ven 10 Nov 2006, 00:52 par unebabydoll sur Parler d'amour

Chut !

Chut...Ne dit plus rien
Ecoute moi attentivement...

Les courbes de ton corps developpe en moi.
Le désir incompreansible de m’élancer contre toi.

Tes lèvres si delicate me donne le goût de t’embrasser,
D’une façon si toride jamais ateinte jusqu’a present.

Tes yeux petillant, d’un Air charmeur me fais chaviré de pulsions.
Je ne peu plus les contrôlés...

Ton doux regard me donne des chaleurs et des envies folles.
Si je pourrai arrêté le temps de la vie, je le ferai,
Pour t’admirer et te cherire comme aucune femme ne la jamais fait.

Dans le nuit noir, même si je suis aveugle...je te sens,
Et je ne peu pas m’empêché de chanté ton prenom.

J’ai teriblement envie de me perdre dans les etoiles de tes yeux.
De sentir la chaleur petillante de ton corps m’envahir toridement.

J’ai envie d’entendre tes tendres soupires dans cette vague de silence.
De sentir ta douce main tremblante me caressé le visage aprés l’extase.

Je pourrais faire tout ce que tu désir,
Les yeux fermés dans la nuit jusqu’à ce que l’aube se lève.

J’ai seulement envie de toi....de t’aimé
Mer 25 Oct 2006, 21:53 par joullia sur Parler d'amour

KEEP IN' TOUCH

Touche
Et, Vas y, Regarde!
Sâches que je ne pas.

Tu menace mon Épicerie Favorite alors que
Papa et Mama ont Adam depuis quelques mois...
Je te défonçe la G.., ac mes yeus de blonde
Je chausse du trente six par mes Cater Pilar
...

Un Coup est FATAL

Je le porte.

Tant que j’ habite dan cette rue
Aucun mal tu nous porte.

Et si, avant de mourir, il te manquait un souffle

Sâche que Biba n’ aurai aucun doute

À détourner regard, et à vriller Moustache

Elle serait sur Ton Torse, Et Moi, ...

En Demandant que l’ on change ce fameux Digicode.

Me dirais que je t’ Aime.

Mais...

BIB est en danger

Et MOI, DE MÊME.

Pouet pouet...
Dim 22 Oct 2006, 20:58 par Chogokinette sur Un monde parfait

Si un jour tu crois que tu m'aimes...

Ne crois pas que les souvenirs me gêne... Non ne le crois pas ...



Message personnel

Au bout du téléphone, il y a votre voix
Et il y a des mots que je ne dirai pas
Tous ces mots qui font peur quand ils ne font pas rire
Qui sont dans trop de films, de chansons et de livres
Je voudrais vous les dire
Et je voudrais les vivre
Je ne le ferai pas,
Je veux, je ne peux pas
Je suis seule à crever, et je sais où vous êtes
J’arrive, attendez-moi, nous allons nous connaître
Préparez votre temps, pour vous j’ai tout le mien
Je voudrais arriver, je reste, je me déteste
Je n’arriverai pas,
Je veux, je ne peux pas
Je devrais vous parler,
Je devrais arriver
Ou je devrais dormir
J’ai peur que tu sois sourd
J’ai peur que tu sois lâche
J’ai peur d’être indiscrète
Je ne peux pas vous dire que je peut-être


Mais si tu crois un jour que tu m’aimes
Ne crois pas que tes souvenirs me gênent
Et cours, cours jusqu’à perdre haleine
Viens me retrouver
Si tu crois un jour que tu m’aimes
Et si ce jour-là tu as de la peine
A trouver où tous ces chemins te mènent
Viens me retrouver
Si le dégoût de la vie vient en toi
Si la paresse de la vie
S’installe en toi
Pense à moi
Pense à moi

Mais si tu crois un jour que tu m’aimes
Ne le considère pas comme un problème
Et cours, cours jusqu’à perdre haleine
Viens me retrouver
Si tu crois un jour que tu m’aimes
N’attends pas un jour, pas une semaine
Car tu ne sais pas où la vie t’emmène
Viens me retrouver
Si le dégoût de la vie vient en toi
Si la paresse de la vie
S’installe en toi
Pense à moi
Pense à moi.

Françoise Hardy ...
Mer 18 Oct 2006, 06:27 par coeur lourd sur L'amour en vrac

Sans empreinte

Ma douce âme...
il y a mon amour
qui te porte
qui te suit par tous les temps
que tu trouves toujours
à peine éveillée
t’accompagne dans ta journée
veille sur ta nuit
garde ton sommeil.
J’ai appris à le brider
à ne pas le laisser t’envahir
à ne pas s’inviter au cœur de ta vie
là, où il n’est pas espéré.
J’ai lâché prise
avec mes envies d’être là
où tu ne veux pas que je sois,
avec moi auprès de toi
plus souvent
pour construire
un peu de cette vie.
Je de près, de loin
tu es au creux de moi
tu fais partie de moi..
Je , je regarde ta vie,
ton chemin entre lui et moi
et ton pas mal assuré,
tes errances, tes doutes,
au bord du renoncement quelquefois
tant la peur, tellement la douleur...
Je , j’écoute tes questionnements
perdus dans tes silences,
ta voix si pâle de crainte
en réponse à la mienne
qui parfois s’éteint.
Je depuis tout ce temps
malgré le vent
les bouleversements
malgré tout
oui, malgré tout...
alors je t’offre ce que tu veux de moi
et je garde ce que tu ne veux pas.
Lun 16 Oct 2006, 10:38 par danslalune sur Parler d'amour
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