Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur t’aime - Page 17 sur 18
Lacheté
Il y deux jours que tu ne m’as pas appelée...Tu as erré, certainement, cherchant à comprendre, à oublier , ou que sais-je encore?
Mais maintenant tu es là, au bout du fil...tu dois être misérable, cerné,hagard, en manque de sommeil...
Tu me racontes ta douleur, tu reconnais tes erreurs, tu pleures... et moi je reste impassible, stoïque, silencieuse...j’écoute mais n’entends pas... heureuse et triste à la fois...triste parce que je te connais grand et fier et j’ai peine à te savoir dans cet état , triste parce que je t’aime aussi...mais pardonne moi si ce soir je ne peux m’empêcher d’éprouver un sentiment de joie. Ce n’est pas la joie du vainqueur mais bien celle du vaincu qui connaît sa revanche...car tous ces mots d’amour, toute cette souffrance ne sont pas pour moi mais pour une autre. Moi je suis l’amie...celle que tu connais depuis toujours, celle à qui tu dis tout, tout sauf ce qu’elle voudrait entendre... Oui je suis celle qui est toujours présente, tellement présente qu’elle en devient invisible. Et aujourd’hui encore tu viens vers moi...mais je t’aime et c’est pour ça que je dis: "Allez arrête je t’en prie , je vais l’appeler et tu verras je vais arranger ça!" Je raccroche...et je pleure ma lacheté.
Mais maintenant tu es là, au bout du fil...tu dois être misérable, cerné,hagard, en manque de sommeil...
Tu me racontes ta douleur, tu reconnais tes erreurs, tu pleures... et moi je reste impassible, stoïque, silencieuse...j’écoute mais n’entends pas... heureuse et triste à la fois...triste parce que je te connais grand et fier et j’ai peine à te savoir dans cet état , triste parce que je t’aime aussi...mais pardonne moi si ce soir je ne peux m’empêcher d’éprouver un sentiment de joie. Ce n’est pas la joie du vainqueur mais bien celle du vaincu qui connaît sa revanche...car tous ces mots d’amour, toute cette souffrance ne sont pas pour moi mais pour une autre. Moi je suis l’amie...celle que tu connais depuis toujours, celle à qui tu dis tout, tout sauf ce qu’elle voudrait entendre... Oui je suis celle qui est toujours présente, tellement présente qu’elle en devient invisible. Et aujourd’hui encore tu viens vers moi...mais je t’aime et c’est pour ça que je dis: "Allez arrête je t’en prie , je vais l’appeler et tu verras je vais arranger ça!" Je raccroche...et je pleure ma lacheté.
Dim 06 Juin 2004, 20:06 par
personnel.et.confidentiel sur Un monde parfait
L'abandon
(Oh! Tristement beau ce texte, imaginative et inspirant...)
L’abandon
Elle s’arrache du vert-de-gris de son corps corail minutieusement inaccessible …
Elle perce une autre bouteille engouffrée de solitude blanche.
Le rouge ferait mieux pleurer en vain son coeur qui n’arrive plus à soûler le silence.
Elle se verse à déborder dans la fosse de son âme.
Elle s’enracine délaissée encore une fois à côté de son armoire à deux.
Des larmes saumâtres de mers musicales battent dans ses souvenirs.
Elle évapore d’une grande boîte métallique…. ces lettres et …ces cartes usées et déformées…
Depuis si loin toujours les mots renégats d’amour s’échappent à la queue leuleu
sur le tablier de sa robe déprimée.
Ils se bousculent là …dans d’avares mains pour lire
…ces battements titubant de passion modeste qui ont navigués jusqu’à elle sans biffure.
C’est si passé…comme liaison…
Mille centième de ses souvenirs plus ou moins,
c’est quelque part une croûte cruelle de je t’aime qui a séché sur son vieux coeur.
Il avait fait naufrage dans un versant joyeux de son lit. C’était le hasard voisin.
Elle était douce comme une nouvelle étoile et il avait mangé la couleur de son sourire et dîné dans sa chambre et soupé dans son lit.
Deux enfants pareils à l’eau en étaient sortis puis il était parti son jeune marin arpenter une autre meilleure vie.
Elle ferme les yeux sur l’odeur de ses fleurs punies…
Il lui fait toujours parvenir en pensée des fleurs puisqu’il ne sait plus dire les mots…
Il a cessé d’écrire depuis longtemps… son poète…
mOTSaRT
L’abandon
Elle s’arrache du vert-de-gris de son corps corail minutieusement inaccessible …
Elle perce une autre bouteille engouffrée de solitude blanche.
Le rouge ferait mieux pleurer en vain son coeur qui n’arrive plus à soûler le silence.
Elle se verse à déborder dans la fosse de son âme.
Elle s’enracine délaissée encore une fois à côté de son armoire à deux.
Des larmes saumâtres de mers musicales battent dans ses souvenirs.
Elle évapore d’une grande boîte métallique…. ces lettres et …ces cartes usées et déformées…
Depuis si loin toujours les mots renégats d’amour s’échappent à la queue leuleu
sur le tablier de sa robe déprimée.
Ils se bousculent là …dans d’avares mains pour lire
…ces battements titubant de passion modeste qui ont navigués jusqu’à elle sans biffure.
C’est si passé…comme liaison…
Mille centième de ses souvenirs plus ou moins,
c’est quelque part une croûte cruelle de je t’aime qui a séché sur son vieux coeur.
Il avait fait naufrage dans un versant joyeux de son lit. C’était le hasard voisin.
Elle était douce comme une nouvelle étoile et il avait mangé la couleur de son sourire et dîné dans sa chambre et soupé dans son lit.
Deux enfants pareils à l’eau en étaient sortis puis il était parti son jeune marin arpenter une autre meilleure vie.
Elle ferme les yeux sur l’odeur de ses fleurs punies…
Il lui fait toujours parvenir en pensée des fleurs puisqu’il ne sait plus dire les mots…
Il a cessé d’écrire depuis longtemps… son poète…
mOTSaRT
Ven 04 Juin 2004, 20:16 par
mOTSaRT sur Le grimoire d'amour
Un cadeau!
Comme tous les soirs à la même heure, on sonne à ma porte. Je sais que c’est toi et mon cœur bat à rompre…
J’aime faire durer cet instant pour mieux savourer ce qui va suivre, car je sais exactement ce que tu vas faire en franchissant le pas de la porte. Je sais que tu vas me sourire, que tu vas t’avancer vers moi, que tu vas passer ta main sur mon dos et que tu vas m’embrasser de ce baiser -synapse qui transmet de ma bouche à mon cœur et mon corps une mer de sentiments qui se déchaîne en moi. Et tu sais, en m’embrassant de ce baiser là, que je vais perdre pied, que mon corps va s’affoler et que je vais fondre dans tes bras.
Je connais aussi le langage secret de tes lèvres ; par exemple, ce soir, ton baiser me dit que tu ne resteras pas longtemps car elle est là, elle t’attend… elle, celle qu’on appelle « ta femme », celle qui t’appelle quand nous sommes allongés côte à côte dans le grand lit défait et à qui tu réponds très vite en t’enfuyant presque de ma chambre.
Elle, celle qui vit sous le même toit que toi, celle qui croit partager ta vie. Mais ta vie, c’est avec moi que tu la partages car c’est bien à moi que tu confies tes espoirs et tes déceptions. C’est moi qui devine tes peines, qui te permets de t’oublier et de vivre libéré de ces carcans qui t’empêchent de respirer.
J’ai su dès le premier instant où je t’ai vu que j’allais souffrir de t’aimer mais je t’ai aimé.
Je m’étais fait , depuis longtemps, depuis toujours, une certaine idée de l’amour, telle que je l’avais lu dans les romans, un amour fait de douleur et de frustration.
… Tu as arrêté de m’embrasser, tu me regardes, tu sais que j’ai compris, « Arrête s’il te plaît… tu en fait tout une montagne, tu sais bien qu’il n’y a que toi qui compte ! Mais je … », tu n’en diras pas plus ; tu vois mes larmes couler sans s’arrêter comme si toute l’eau de mon corps se transformait en un flot de larmes ininterrompues…
J’ai l’impression d’être dans un théâtre de marionnettes où toi et moi serions manipulés par elle, par l’autre, celle dont je ne peux prononcer le nom…
Tu me portes dans tes bras et me pose délicatement sur le lit ; tu te débarrasses de tes vêtements, m’enlèves les miens … je me laisse faire, poupée de chiffons entre tes mains.
Tes lèvres caressent mes cheveux, ma bouche, mes joues, mes yeux pour assécher le trop-plein d’eau que j’ai pleuré. Tes doigts glissent sur ma peau, tantôt courant, tantôt s’attardant sur un grain de beauté ou sur mon nombril dont tu dis qu’il te fascine par sa forme.
Je reste indifférente à tes caresses, à tes va-et-vient sur mon corps mais mon désir s’éveille peu à peu et je coule sur ton torse pour tester le goût de ta peau. Elle est douce, sucrée. Je la goûte, je l’explore, je palpe le moelleux, sonde les aspérités.
A ton contact, j’oublie tout et il me semble que je pourrai tout accepter de toi. Je pourrai ainsi rester des heures à te prouver que j’aime jouir de ta peau, de ton odeur que j’accepte et fait mienne et qui est tout ce qu’il me reste de toi quand tu me quittes.
Mais je n’aime que trop ce moment où les deux ne font plus qu’un, fusionnés l’un dans l’autre.
Soudain je m’arrête, tu me regardes étonné… mais tu sais très bien ce que je vais dire car tu me devines mieux que quiconque et je le dis pour que tu en prennes toute la mesure : « je veux un enfant de toi ».
Car si je ne peux pas t’avoir entièrement à moi, laisse moi quelque chose qui soit toi…je t’en prie… je t’aime.
J’aime faire durer cet instant pour mieux savourer ce qui va suivre, car je sais exactement ce que tu vas faire en franchissant le pas de la porte. Je sais que tu vas me sourire, que tu vas t’avancer vers moi, que tu vas passer ta main sur mon dos et que tu vas m’embrasser de ce baiser -synapse qui transmet de ma bouche à mon cœur et mon corps une mer de sentiments qui se déchaîne en moi. Et tu sais, en m’embrassant de ce baiser là, que je vais perdre pied, que mon corps va s’affoler et que je vais fondre dans tes bras.
Je connais aussi le langage secret de tes lèvres ; par exemple, ce soir, ton baiser me dit que tu ne resteras pas longtemps car elle est là, elle t’attend… elle, celle qu’on appelle « ta femme », celle qui t’appelle quand nous sommes allongés côte à côte dans le grand lit défait et à qui tu réponds très vite en t’enfuyant presque de ma chambre.
Elle, celle qui vit sous le même toit que toi, celle qui croit partager ta vie. Mais ta vie, c’est avec moi que tu la partages car c’est bien à moi que tu confies tes espoirs et tes déceptions. C’est moi qui devine tes peines, qui te permets de t’oublier et de vivre libéré de ces carcans qui t’empêchent de respirer.
J’ai su dès le premier instant où je t’ai vu que j’allais souffrir de t’aimer mais je t’ai aimé.
Je m’étais fait , depuis longtemps, depuis toujours, une certaine idée de l’amour, telle que je l’avais lu dans les romans, un amour fait de douleur et de frustration.
… Tu as arrêté de m’embrasser, tu me regardes, tu sais que j’ai compris, « Arrête s’il te plaît… tu en fait tout une montagne, tu sais bien qu’il n’y a que toi qui compte ! Mais je … », tu n’en diras pas plus ; tu vois mes larmes couler sans s’arrêter comme si toute l’eau de mon corps se transformait en un flot de larmes ininterrompues…
J’ai l’impression d’être dans un théâtre de marionnettes où toi et moi serions manipulés par elle, par l’autre, celle dont je ne peux prononcer le nom…
Tu me portes dans tes bras et me pose délicatement sur le lit ; tu te débarrasses de tes vêtements, m’enlèves les miens … je me laisse faire, poupée de chiffons entre tes mains.
Tes lèvres caressent mes cheveux, ma bouche, mes joues, mes yeux pour assécher le trop-plein d’eau que j’ai pleuré. Tes doigts glissent sur ma peau, tantôt courant, tantôt s’attardant sur un grain de beauté ou sur mon nombril dont tu dis qu’il te fascine par sa forme.
Je reste indifférente à tes caresses, à tes va-et-vient sur mon corps mais mon désir s’éveille peu à peu et je coule sur ton torse pour tester le goût de ta peau. Elle est douce, sucrée. Je la goûte, je l’explore, je palpe le moelleux, sonde les aspérités.
A ton contact, j’oublie tout et il me semble que je pourrai tout accepter de toi. Je pourrai ainsi rester des heures à te prouver que j’aime jouir de ta peau, de ton odeur que j’accepte et fait mienne et qui est tout ce qu’il me reste de toi quand tu me quittes.
Mais je n’aime que trop ce moment où les deux ne font plus qu’un, fusionnés l’un dans l’autre.
Soudain je m’arrête, tu me regardes étonné… mais tu sais très bien ce que je vais dire car tu me devines mieux que quiconque et je le dis pour que tu en prennes toute la mesure : « je veux un enfant de toi ».
Car si je ne peux pas t’avoir entièrement à moi, laisse moi quelque chose qui soit toi…je t’en prie… je t’aime.
Mer 02 Juin 2004, 21:52 par
personnel.et.confidentiel sur L'amour en vrac
Blues sans une rose
Blues sans une rose
Mélancolie vient, les jours perpétuellement fuient!
Ma seule et unique amie... la solitude t’envie
Chante-moi un chant qui chantignole une compagnie
Un air de romance, un vieil air, une pôvre musique
Allez j’insiste... triste-moi quelque chose de difficile
Des notes longues, qui m’entortillent l’âme de bleus
Des cris de peines qui regrettent tous mes je t’aime
Tu sais ceux qui pleurent longtemps... minutieusement
Tu sais bien mélancolie! Il y a l’amour qui me châtie
Moi je l’écoute... qu’est-ce qu’un coeur bleu peut faire
Déniche-moi quelque chose de vraiment malheureux
Un son qui veut bien faire osciller l’aiguille des émotions
Celles qui vont me mettre au même diapason que lui
Celui qui m’apostrophe... Non! pas d’exultations heureuses
Tiens je te sers un verre, ça va t’inspirer à me jongler
Je ne modérerai pas les remords à te détailler, à le chercher
Un rappel... en larmes... allez! mélancolie allez!... dis oui...
C’est ma nostalgie! J’ai bien le droit, pleurer de peur d’oublier
Ah oui, je veux pas de papotage et je ne permets aucun tapage
Mets tout le paquet de réserves de tes inaltérables tristesses
Que je m’en nuit pour toutes ces nuits... sans lui... Moi fragile
Minablement... tristement... c’est presque, presque... presque ça!
Oh oui... c’est vraiment ça... sans pause; ---repeat one---
Indéfiniment, musique-moi l’âme... pour m’attendrir...
Enfin, un autre jour ivre et bleui... qui fuit...
mOTSaRT
Mélancolie vient, les jours perpétuellement fuient!
Ma seule et unique amie... la solitude t’envie
Chante-moi un chant qui chantignole une compagnie
Un air de romance, un vieil air, une pôvre musique
Allez j’insiste... triste-moi quelque chose de difficile
Des notes longues, qui m’entortillent l’âme de bleus
Des cris de peines qui regrettent tous mes je t’aime
Tu sais ceux qui pleurent longtemps... minutieusement
Tu sais bien mélancolie! Il y a l’amour qui me châtie
Moi je l’écoute... qu’est-ce qu’un coeur bleu peut faire
Déniche-moi quelque chose de vraiment malheureux
Un son qui veut bien faire osciller l’aiguille des émotions
Celles qui vont me mettre au même diapason que lui
Celui qui m’apostrophe... Non! pas d’exultations heureuses
Tiens je te sers un verre, ça va t’inspirer à me jongler
Je ne modérerai pas les remords à te détailler, à le chercher
Un rappel... en larmes... allez! mélancolie allez!... dis oui...
C’est ma nostalgie! J’ai bien le droit, pleurer de peur d’oublier
Ah oui, je veux pas de papotage et je ne permets aucun tapage
Mets tout le paquet de réserves de tes inaltérables tristesses
Que je m’en nuit pour toutes ces nuits... sans lui... Moi fragile
Minablement... tristement... c’est presque, presque... presque ça!
Oh oui... c’est vraiment ça... sans pause; ---repeat one---
Indéfiniment, musique-moi l’âme... pour m’attendrir...
Enfin, un autre jour ivre et bleui... qui fuit...
mOTSaRT
Jeu 20 Mai 2004, 20:53 par
mOTSaRT sur L'amour en vrac
Dis moi...
- Je t’aime !
- Tu m’aimes ? Comme ça? Mais qu’ai-je fait?
- Je ne sais pas, c’est venu tout seul, sans que je m’en aperçoive...
- Moi... je sais...
Ce sont mes mots qui te séduisent
Ma présence qui te grise
Ta volonté qui s’amenuise
- Non, ce n’est pas que ça, il y a autre chose, de bien plus profond.
- Ah oui? Alors je sais!
C’est ma douceur qui t’envahit
Ma tendresse qui t’éblouit
Ton espérance qui refleurit
- Oui, mais ce n’est pas tout, il y a quelque chose de plus intense.
- Voyons voir, peut-être alors ...
Ce sont mes passions qui te plaisent
Mes excès qui te donnent l’ivresse
Tes peurs qui disparaissent
- Je ne pense pas, c’est un petit détail, une petite chose, un petit plus, un quelque chose d’unique...
- Serait-ce...
Mon sourire qui te fait pâlir?
Mes soupirs qui te font rougir?
Ta raison qui est prête à s’enfuir
- Non, tu cherches trop loin, réfléchis mieux, regarde bien
- Je ne vois pas, que reste-t-il?
Ma voix qui le soir résonne?
Mes yeux qui te voient comme une unique personne?
Pour que ton coeur s’emballe et déraisonne.
- Tu te rapproches, tu n’es plus très loin.
- Dis-moi! Dis moi pourquoi tu m’aimes!
- Tu m’aimes ? Comme ça? Mais qu’ai-je fait?
- Je ne sais pas, c’est venu tout seul, sans que je m’en aperçoive...
- Moi... je sais...
Ce sont mes mots qui te séduisent
Ma présence qui te grise
Ta volonté qui s’amenuise
- Non, ce n’est pas que ça, il y a autre chose, de bien plus profond.
- Ah oui? Alors je sais!
C’est ma douceur qui t’envahit
Ma tendresse qui t’éblouit
Ton espérance qui refleurit
- Oui, mais ce n’est pas tout, il y a quelque chose de plus intense.
- Voyons voir, peut-être alors ...
Ce sont mes passions qui te plaisent
Mes excès qui te donnent l’ivresse
Tes peurs qui disparaissent
- Je ne pense pas, c’est un petit détail, une petite chose, un petit plus, un quelque chose d’unique...
- Serait-ce...
Mon sourire qui te fait pâlir?
Mes soupirs qui te font rougir?
Ta raison qui est prête à s’enfuir
- Non, tu cherches trop loin, réfléchis mieux, regarde bien
- Je ne vois pas, que reste-t-il?
Ma voix qui le soir résonne?
Mes yeux qui te voient comme une unique personne?
Pour que ton coeur s’emballe et déraisonne.
- Tu te rapproches, tu n’es plus très loin.
- Dis-moi! Dis moi pourquoi tu m’aimes!
Sam 15 Mai 2004, 10:24 par
la marquise de sade sur La séduction
Le premier.
Qui sera le premier sur qui tu poseras tes grands yeux verts?
A qui offriras-tu tes lèvres charnues et fraîches?
Comment sera celui qui te fera monter le rouge aux joues?
Lequel sera le premier à passer ses doigts dans tes longues boucles noires?
Qui sera l’ami avec qui tu referas le monde allongée dans l’herbe tendre?
Qui sera le premier à s’enivrer de tes "je t’aime" ?
A qui permettras-tu de glisser lentement ses doigts sur ta peau?
Comment sera celui qui t’ouvrira aux délices de la chair?
Lequel saura te prendre dans ses bras et te protéger?
Qui sera le salaud à remplir tes yeux de larmes pour la première fois?
Qui sera le premier avec qui tu franchiras la vie?
A qui donneras-tu ton ventre pour s’arrondir d’un bébé?
Comment sera celui qui te fera rêver toujours comme aux premiers instants?
Lequel verra le temps avancer sur ton corps.
Quelle sera ta vie petite fille assise au fond de ce train?
La marquise ... visionnaire
A qui offriras-tu tes lèvres charnues et fraîches?
Comment sera celui qui te fera monter le rouge aux joues?
Lequel sera le premier à passer ses doigts dans tes longues boucles noires?
Qui sera l’ami avec qui tu referas le monde allongée dans l’herbe tendre?
Qui sera le premier à s’enivrer de tes "je t’aime" ?
A qui permettras-tu de glisser lentement ses doigts sur ta peau?
Comment sera celui qui t’ouvrira aux délices de la chair?
Lequel saura te prendre dans ses bras et te protéger?
Qui sera le salaud à remplir tes yeux de larmes pour la première fois?
Qui sera le premier avec qui tu franchiras la vie?
A qui donneras-tu ton ventre pour s’arrondir d’un bébé?
Comment sera celui qui te fera rêver toujours comme aux premiers instants?
Lequel verra le temps avancer sur ton corps.
Quelle sera ta vie petite fille assise au fond de ce train?
La marquise ... visionnaire
Lun 10 Mai 2004, 10:02 par
la marquise de sade sur La première fois
De son côté à lui...
Les cheveux en bataille rejetés sur les épaules
ELLE est assise en tailleur sur le sol
Une feuille sur ses genoux, elle grifonne
Quelques phrases, quelques pardons, quelques je t’aime
Le coeur palpitant terré dans sa piaule
IL l’observe par dessus la rue, découvre son atoll
Suit le tracé de ses lettres, envie celui à qui elle se donne
Suit le tracé de ses lèvres, déteste cet être suprême.
Un mot qui se répète sans cesse, sans répit
ELLE voudrait qu’il le comprenne, le reprenne
Comme une même chanson, une promesse à jamais
Lui envoyer cette lettre, pour une fois, oser.
Une déchirure qui s’éternise, qui le ternit
IL voudrait qu’elle s’eprenne, le retienne
Comme une moitié, un toujours désormais
Lui avouer qu’il l’aime, pour une fois, traverser
Un soupir, encore, qui s’enfuit
ELLE n’en peut plus de celui qui vit
De l’autre coté de ses fenetres,
Qui jamais ne l’a vue, ignore l’emoi qui l’habite
Une envie, encore, qui l’envahit
IL n’en peut plus celle qui sourit
Tout au fond de son être
Qui jamais ne le voit, ne sait qu’il existe
ELLE a tourné son visage, IL l’a vue
ELLE a regardé ses fenêtres, l’a apercu
ELLE a fermé les yeux, l’a occulté
IL a espéré encore, rêvé...
Du bout des lèvres, IL lui: " Attendez..."
Un murmure dans le silence s’est fait entendre
Un frisson qui vient la pourfendre
Comme une vibration suave et tendre
Provenant d’un autre antre
Un dégoût monte de son ventre
Un revers qui lui donne envie de se pendre
Comme une brulure qui le réduit en cendres
Provenant de ce secret qu’elle doit apprendre ...
ELLE est assise en tailleur sur le sol
Une feuille sur ses genoux, elle grifonne
Quelques phrases, quelques pardons, quelques je t’aime
Le coeur palpitant terré dans sa piaule
IL l’observe par dessus la rue, découvre son atoll
Suit le tracé de ses lettres, envie celui à qui elle se donne
Suit le tracé de ses lèvres, déteste cet être suprême.
Un mot qui se répète sans cesse, sans répit
ELLE voudrait qu’il le comprenne, le reprenne
Comme une même chanson, une promesse à jamais
Lui envoyer cette lettre, pour une fois, oser.
Une déchirure qui s’éternise, qui le ternit
IL voudrait qu’elle s’eprenne, le retienne
Comme une moitié, un toujours désormais
Lui avouer qu’il l’aime, pour une fois, traverser
Un soupir, encore, qui s’enfuit
ELLE n’en peut plus de celui qui vit
De l’autre coté de ses fenetres,
Qui jamais ne l’a vue, ignore l’emoi qui l’habite
Une envie, encore, qui l’envahit
IL n’en peut plus celle qui sourit
Tout au fond de son être
Qui jamais ne le voit, ne sait qu’il existe
ELLE a tourné son visage, IL l’a vue
ELLE a regardé ses fenêtres, l’a apercu
ELLE a fermé les yeux, l’a occulté
IL a espéré encore, rêvé...
Du bout des lèvres, IL lui: " Attendez..."
Un murmure dans le silence s’est fait entendre
Un frisson qui vient la pourfendre
Comme une vibration suave et tendre
Provenant d’un autre antre
Un dégoût monte de son ventre
Un revers qui lui donne envie de se pendre
Comme une brulure qui le réduit en cendres
Provenant de ce secret qu’elle doit apprendre ...
Mer 05 Mai 2004, 17:20 par
la marquise de sade sur La séduction
chanson à écouter, puis à lire....
Depuis toujours.
Je t’aime depuis toujours
Et je viens seulement te dire
Je t’aime pour longtemps encore
Tes mots de velours
Ta peau jusqu’à en éblouir
Tes yeux de chercheur d’or
Toutes ces nuits d’hiver
Ces longues, longues journées de pluie
J’en entends parler chez les autres
Moi, quel que soit le ciel
T’es mon éternelle éclaircie depuis toujours
Et je viens seulement te dire
Pour longtemps encore
Le monde autour
N’est rien qu’un brumeux souvenir
Rien qu’un lointain décor
Comme sur ces horloges
Les mêmes aiguilles, jour et nuit
S’en retournent l’une vers l’autre
Moi comme tu vois
Je retourne vers celle que j’aime depuis toujours
Pour seulement lui dire
Pour longtemps encore
Même au bout du monde
C’est le même ciel, le même lit
La même chaleur qui m’entoure
Les mêmes parfums
Ceux qui enveloppent mes nuits depuis toujours...........
Reprise de Francis Cabrel,
Paroles et musique Othis Redding
voilà La chanson, c’est pour laquelle, lors de sa première écoute, j’ai ’vibré’. Si vous avez l’occasion, allez l’entendre... (le plus vite possible !)
Je t’aime depuis toujours
Et je viens seulement te dire
Je t’aime pour longtemps encore
Tes mots de velours
Ta peau jusqu’à en éblouir
Tes yeux de chercheur d’or
Toutes ces nuits d’hiver
Ces longues, longues journées de pluie
J’en entends parler chez les autres
Moi, quel que soit le ciel
T’es mon éternelle éclaircie depuis toujours
Et je viens seulement te dire
Pour longtemps encore
Le monde autour
N’est rien qu’un brumeux souvenir
Rien qu’un lointain décor
Comme sur ces horloges
Les mêmes aiguilles, jour et nuit
S’en retournent l’une vers l’autre
Moi comme tu vois
Je retourne vers celle que j’aime depuis toujours
Pour seulement lui dire
Pour longtemps encore
Même au bout du monde
C’est le même ciel, le même lit
La même chaleur qui m’entoure
Les mêmes parfums
Ceux qui enveloppent mes nuits depuis toujours...........
Reprise de Francis Cabrel,
Paroles et musique Othis Redding
voilà La chanson, c’est pour laquelle, lors de sa première écoute, j’ai ’vibré’. Si vous avez l’occasion, allez l’entendre... (le plus vite possible !)
Mar 20 Avril 2004, 14:24 par
à mon étoile sur L'amour en vrac
Une journée de plus...
Hier soir,
J’ai fait un rêve fou
Un voeu m’était donné,
Un désir m’était accordé,
Juste pour moi,
Il pouvait être pour quoique ce soit,
Je pouvais souhaiter,
N’importe quoi.
D’argent je n’ai pas demandé,
Non plus d’une maison j’ai désiré,
J’ai simplement rêvé,
D’une journée de plus avec toi.
Juste un jour,
Juste une fois,
Encore,
Juste un autre coucher de soleil,
Mais je connais ce rêve,
Ce qu’il ferait,
Le goût amer qu’il me laisserait,
Ce voeu silencieux,
De passer,
Encore avec toi,
Une autre journée.
Si ce privilège m’était accordé,
Une chose que je ferais,
Une prière j’adresserais,
Le temps j’arrêterais,
Le téléphone je débrancherais,
La télé je fermerais,
Dans mes bras je te serrerais,
Des millions de baisers je te donnerais,
Des millions de je t’aime je te dirais,
C’est ce que je ferais,
Pour un jour de plus avec toi.
Laisse-moi souhaiter encore pendant ce jour,
De passer une autre journée avec toi...
J’ai fait un rêve fou
Un voeu m’était donné,
Un désir m’était accordé,
Juste pour moi,
Il pouvait être pour quoique ce soit,
Je pouvais souhaiter,
N’importe quoi.
D’argent je n’ai pas demandé,
Non plus d’une maison j’ai désiré,
J’ai simplement rêvé,
D’une journée de plus avec toi.
Juste un jour,
Juste une fois,
Encore,
Juste un autre coucher de soleil,
Mais je connais ce rêve,
Ce qu’il ferait,
Le goût amer qu’il me laisserait,
Ce voeu silencieux,
De passer,
Encore avec toi,
Une autre journée.
Si ce privilège m’était accordé,
Une chose que je ferais,
Une prière j’adresserais,
Le temps j’arrêterais,
Le téléphone je débrancherais,
La télé je fermerais,
Dans mes bras je te serrerais,
Des millions de baisers je te donnerais,
Des millions de je t’aime je te dirais,
C’est ce que je ferais,
Pour un jour de plus avec toi.
Laisse-moi souhaiter encore pendant ce jour,
De passer une autre journée avec toi...
Mar 20 Avril 2004, 07:54 par
Mout sur L'amour en vrac
C'était en juin....
Absence
Création du mot « insoutenance »
Je suis vidée de toute cette errance
Aide-moi, emmène-moi
Dans ton dos derrière toi
Cette dernière tolérance
Ce besoin de défaillance
Cette inéluctable connivence
Cet insoutenable délivrance
Je ne suis qu’onomatopée,
Face à ce silence
J’existe en pointillé
Face à ton absence
J’implore de toi, ta délicieuse
Imprévision, ton étonnant
Pouvoir de facilité
Ton toi, ton rire, ton âme incontrôlée
Fais-moi signe, je suis d’une fragilité
Digne de l’arc-en-ciel, riche en sentiments
Regarde-moi, je suis prodigieuse…
Laisse-moi tes mots, tes phrases abrégées
Enivre-moi de cette douce volupté
Emmène-moi au pays des étoiles nées
Et de leur incroyable destinée.
Emmène-moi loin de tout cela
Laisse-moi croire à ça
Laisse-moi y croire, j en ai besoin
Vivre au loin
Ensemble même longueur d’onde
Vite, n’attendons pas que le monde
Reste sur ce canal
Quelque peu banal
L’un sans l’autre
Impossible, violence dans mes mots
Que veux-tu que j’y fasse…. Nous sommes l’autre.….
Toi sans moi, souffrance soubressaut
Besoin de toi, mon doux, mon tendre, mon château….
Besoin de toi, chaleur, tendresse, complicité
Envie de rire, de chahuter, de pleurer
Etrange sensation de liberté
Des nuages se moquer….
Avec la pluie se laver
Il me faut toi
Il me faut ton toi, ton âme, tes rires
Il me faut, en soi,
Qu’un irrésistible besoin de parcourir
Cette vie avec toi…..
Écoute-moi, regarde-moi
Je sens les choses, je les vis
Entends-moi, accompagne-moi
Aide-moi, je t’en prie……
Je t’aime
Création du mot « insoutenance »
Je suis vidée de toute cette errance
Aide-moi, emmène-moi
Dans ton dos derrière toi
Cette dernière tolérance
Ce besoin de défaillance
Cette inéluctable connivence
Cet insoutenable délivrance
Je ne suis qu’onomatopée,
Face à ce silence
J’existe en pointillé
Face à ton absence
J’implore de toi, ta délicieuse
Imprévision, ton étonnant
Pouvoir de facilité
Ton toi, ton rire, ton âme incontrôlée
Fais-moi signe, je suis d’une fragilité
Digne de l’arc-en-ciel, riche en sentiments
Regarde-moi, je suis prodigieuse…
Laisse-moi tes mots, tes phrases abrégées
Enivre-moi de cette douce volupté
Emmène-moi au pays des étoiles nées
Et de leur incroyable destinée.
Emmène-moi loin de tout cela
Laisse-moi croire à ça
Laisse-moi y croire, j en ai besoin
Vivre au loin
Ensemble même longueur d’onde
Vite, n’attendons pas que le monde
Reste sur ce canal
Quelque peu banal
L’un sans l’autre
Impossible, violence dans mes mots
Que veux-tu que j’y fasse…. Nous sommes l’autre.….
Toi sans moi, souffrance soubressaut
Besoin de toi, mon doux, mon tendre, mon château….
Besoin de toi, chaleur, tendresse, complicité
Envie de rire, de chahuter, de pleurer
Etrange sensation de liberté
Des nuages se moquer….
Avec la pluie se laver
Il me faut toi
Il me faut ton toi, ton âme, tes rires
Il me faut, en soi,
Qu’un irrésistible besoin de parcourir
Cette vie avec toi…..
Écoute-moi, regarde-moi
Je sens les choses, je les vis
Entends-moi, accompagne-moi
Aide-moi, je t’en prie……
Je t’aime
Dim 18 Avril 2004, 22:57 par
à mon étoile sur L'amour en vrac
Retour insipide...
Il fallu bien en parler un jour
Se rappeler, se souvenir
De tous ces détours
Illuminés par les rires…
Voilà trois ans,
Pas moins tentant
Que j’aimais…
T’admirais…
Echange de mots,
Echange de rêves,
Assassinat de sots,
Assassinat de trêves…
Il a bien fallu commencer
Un jour, trépasser.
Il aura bien fallu finir
Un jour, tout se dire.
Milles et une nuits
Sur le net à détruire
L’éducation de ma mère
Qu’elle avait mit tant de temps à faire naître…
Des dizaines,
Des centaines,
Des milliers,
De « je t’aime »…
Qu’il n’est pas bon d’être enfant
Qu’il ne vaut pas mieux d’être adulte…
Voilà deux ans,
Pas moins effrayants
Que l’on se regardait...
S’admirait…
Mélange de sens,
Mélange d’envie,
Parfum intense,
Parfum de vie…
Troquer les mots pour les rires,
Dealer les doctes pour frémir,
Vanter l’amour et le sexe
Briser nos tours, et tu te vexes…
Le temps passe,
Les corps s’échauffent
Les caresses se tassent
Et s’effacent…
Et d’une,
Et de deux,
Et de trois,
Encore cette fois…
Qu’il n’est pas bon d’être crédule
Qu’il ne vaut pas mieux d’être certain…
Voilà un an
Qu’il était temps
D’en finir…
De souffrir…
Les chemins se croisent
Nos regards se toisent
Nos mains se serrent
Et nous privent de nos serres…
Elle me raconte encore vos ébats,
Il te raconte toujours mes trépas,
Il a bien fallu tirer un trait
Et garder nos besoins au frais…
Les rêves sont morts,
Nos espoirs ont eu torts…
Que peut-on faire
A part ne plus nous taire ?
06…
03...
4 Allée…
Des adresses effacées…
Qu’il est si agréable de se souvenir
Qu’il est encore plus doux de m’endormir…
On se brise,
On s’excite,
On se mort,
Toujours plus fort…
Parfois on s’aime,
Souvent on se déteste…
Parfois on se sème,
Souvent on teste…
Un jour de mot doux,
Une nuit à se chercher des poux…
Un jour de dispute,
Une nuit à jouer sous nos huttes…
Qu’il est bien bon, de savoir qu’au fond…
Le net a des avantages, que l’on partage…
Qu’il est précieux de comprendre qu’au pieu …
Il faudra quand même mieux se regarder dans les yeux…
Se rappeler, se souvenir
De tous ces détours
Illuminés par les rires…
Voilà trois ans,
Pas moins tentant
Que j’aimais…
T’admirais…
Echange de mots,
Echange de rêves,
Assassinat de sots,
Assassinat de trêves…
Il a bien fallu commencer
Un jour, trépasser.
Il aura bien fallu finir
Un jour, tout se dire.
Milles et une nuits
Sur le net à détruire
L’éducation de ma mère
Qu’elle avait mit tant de temps à faire naître…
Des dizaines,
Des centaines,
Des milliers,
De « je t’aime »…
Qu’il n’est pas bon d’être enfant
Qu’il ne vaut pas mieux d’être adulte…
Voilà deux ans,
Pas moins effrayants
Que l’on se regardait...
S’admirait…
Mélange de sens,
Mélange d’envie,
Parfum intense,
Parfum de vie…
Troquer les mots pour les rires,
Dealer les doctes pour frémir,
Vanter l’amour et le sexe
Briser nos tours, et tu te vexes…
Le temps passe,
Les corps s’échauffent
Les caresses se tassent
Et s’effacent…
Et d’une,
Et de deux,
Et de trois,
Encore cette fois…
Qu’il n’est pas bon d’être crédule
Qu’il ne vaut pas mieux d’être certain…
Voilà un an
Qu’il était temps
D’en finir…
De souffrir…
Les chemins se croisent
Nos regards se toisent
Nos mains se serrent
Et nous privent de nos serres…
Elle me raconte encore vos ébats,
Il te raconte toujours mes trépas,
Il a bien fallu tirer un trait
Et garder nos besoins au frais…
Les rêves sont morts,
Nos espoirs ont eu torts…
Que peut-on faire
A part ne plus nous taire ?
06…
03...
4 Allée…
Des adresses effacées…
Qu’il est si agréable de se souvenir
Qu’il est encore plus doux de m’endormir…
On se brise,
On s’excite,
On se mort,
Toujours plus fort…
Parfois on s’aime,
Souvent on se déteste…
Parfois on se sème,
Souvent on teste…
Un jour de mot doux,
Une nuit à se chercher des poux…
Un jour de dispute,
Une nuit à jouer sous nos huttes…
Qu’il est bien bon, de savoir qu’au fond…
Le net a des avantages, que l’on partage…
Qu’il est précieux de comprendre qu’au pieu …
Il faudra quand même mieux se regarder dans les yeux…
Mar 13 Avril 2004, 12:06 par
Rose sur Amour internet
la langue de l'amour
lundi 15 mars - 22h06
De longues heures de frustration en prévision de cette semaine
Le téléphone, les messages et nos pensées seul remède à ce problème
Moi, pour faire passer mon impatience, j’aurai recours à ce poème
Chaque jour en quelques mots, j’écrirai sur un même thème
Cinq jours pour te dire dans toutes les langues que je t’aime...
mardi 16 mars - 19h45
Tes yeux posés sur mes genoux
Tes lèvres flirtant dans mon cou
Embrasse-moi. Encore, partout.
Surprends-moi, emmène-moi, loin de tout
Quand je m’endors, réveille-moi, comme ça, d’un coup
Pour me dire dans un souffle, I love you
mercredi 17 mars - 18h21
Les caresses, les baisers, les regards que je te prodigue
Quand sur ton esprit se dépose un voile de fatigue
Pas d’habitude, pas de barrière, franchissons les digues
Tes soupirs, tes silences, tes envies m’intriguent
Au pays des glaciers et des volcans écoute ... èg elska big
jeudi 18 mars - 23h49
La semaine touche à sa fin presque
Mes mots pour autant ne sont jamais à sec
Laisse moi une dernière fois te dépeindre la fresque
Encore une fois jouer avec ces arabesques
Pour te répéter ...te iubesc
vendredi 19 mars - 18h23
Dans quelques heures, ce sera la fin de ces maux
Dans quelques heures, l’échange de nouveaux mots
Ils diront sans aucun doute que nous ne sommes que deux sots
Que nous avons oublié nos âges, ne sommes plus des ados
Pourtant une nouvelle fois .. ti amo
La marquise... multilangue
De longues heures de frustration en prévision de cette semaine
Le téléphone, les messages et nos pensées seul remède à ce problème
Moi, pour faire passer mon impatience, j’aurai recours à ce poème
Chaque jour en quelques mots, j’écrirai sur un même thème
Cinq jours pour te dire dans toutes les langues que je t’aime...
mardi 16 mars - 19h45
Tes yeux posés sur mes genoux
Tes lèvres flirtant dans mon cou
Embrasse-moi. Encore, partout.
Surprends-moi, emmène-moi, loin de tout
Quand je m’endors, réveille-moi, comme ça, d’un coup
Pour me dire dans un souffle, I love you
mercredi 17 mars - 18h21
Les caresses, les baisers, les regards que je te prodigue
Quand sur ton esprit se dépose un voile de fatigue
Pas d’habitude, pas de barrière, franchissons les digues
Tes soupirs, tes silences, tes envies m’intriguent
Au pays des glaciers et des volcans écoute ... èg elska big
jeudi 18 mars - 23h49
La semaine touche à sa fin presque
Mes mots pour autant ne sont jamais à sec
Laisse moi une dernière fois te dépeindre la fresque
Encore une fois jouer avec ces arabesques
Pour te répéter ...te iubesc
vendredi 19 mars - 18h23
Dans quelques heures, ce sera la fin de ces maux
Dans quelques heures, l’échange de nouveaux mots
Ils diront sans aucun doute que nous ne sommes que deux sots
Que nous avons oublié nos âges, ne sommes plus des ados
Pourtant une nouvelle fois .. ti amo
La marquise... multilangue
Ven 19 Mars 2004, 18:37 par
la marquise de sade sur L'amour en vrac
Une envie de festin...
Envie de savourer tes silences quand mes je t’aime te paralysent
Envie de déguster tes mots quand tu me parles de toi
Envie de dévorer tes lèvres quand tes mains me révisent
Envie de me repaître des saveurs de ta peau quand tu t’allonges près de moi
Envie de croquer le fruit défendu quand ta langue provoque mes soupirs
Envie de me sustenter de ton corps quand je me laisse tenter à te ...
Envie d’engloutir la vie avec toi quand nos rêves nous font sourire
Envie d’absorber la mort quand sur ta joue tes larmes ont coulé
Envie de grignoter l’espace entre nous quand la distance devient insupportable
Envie de me régaler du temps quand nos minutes sont si précieuses
Envie d’avaler le passé quand nos blessures sont inexplicables
Envie de goûter à l’avenir quand tes promesses sont si savoureuses
Envie de gober ta peine quand l’angoisse te submerge
Envie de consommer tes joies quand nos pensées se trouvent
Toutes ces envies comble-les, quand tu m’entraines sur de nouvelles berges
Toutes ces faims, rassasie-les quand mon amour je te prouve ...
La marquise ... trop gourmande
Envie de déguster tes mots quand tu me parles de toi
Envie de dévorer tes lèvres quand tes mains me révisent
Envie de me repaître des saveurs de ta peau quand tu t’allonges près de moi
Envie de croquer le fruit défendu quand ta langue provoque mes soupirs
Envie de me sustenter de ton corps quand je me laisse tenter à te ...
Envie d’engloutir la vie avec toi quand nos rêves nous font sourire
Envie d’absorber la mort quand sur ta joue tes larmes ont coulé
Envie de grignoter l’espace entre nous quand la distance devient insupportable
Envie de me régaler du temps quand nos minutes sont si précieuses
Envie d’avaler le passé quand nos blessures sont inexplicables
Envie de goûter à l’avenir quand tes promesses sont si savoureuses
Envie de gober ta peine quand l’angoisse te submerge
Envie de consommer tes joies quand nos pensées se trouvent
Toutes ces envies comble-les, quand tu m’entraines sur de nouvelles berges
Toutes ces faims, rassasie-les quand mon amour je te prouve ...
La marquise ... trop gourmande
Sam 13 Mars 2004, 13:41 par
la marquise de sade sur L'amour en vrac
La solitude
Cette nuit là je dormais chez toi …
Tu avais tout éteint dans l’appartement. Tu t’es couché près de moi, je faisais semblant de dormir. Timidement tu passas ta main sur mon dos avant de te retourner.
Ta présence me manque parfois (je soupire). Ton silence me fait souffrir mais surtout ton passé me fait souffrir, le manque de confiance que tu portes aux femmes te rend méfiant.
A l’intérieur de toi, il y a quelque chose qui est mort et que je ne peux pas réanimer. Tu ne veux plus aimer, tu ne veux pas m’aimer ! De peur d’avoir mal.
Je ne peux pas t’aider, parce que la porte est fermée. Le passé compte-t-il pour toi tellement plus que le présent et le futur ? C’est si facile de renoncer par nostalgie, quelle formidable douleur passive, quelle admirable mort lente.
Aux premiers jours de notre rencontre tu me racontais tes rêves, tes envies, j’ai cru que tu m’appelais, je suis venue et toi tu es resté prisonnier de ta peur, de l’amour que tu appelles solitude.
Que faire pour que tu m’aimes, te dire que mon amour pour toi est infini, que je t’aimerai pour la vie, que tu es l’homme avec qui je veux avoir des enfants…
Je te fais de la peine à ce point là ?
Beaucoup plus. Il n’est de pire solitude que celle que l’on éprouve quand on est deux. J’ai voulu te quitter alors que je t’aime, quelle incroyable incohérence!
…
Que faut-il faire ? Laisser faire les choses ? Je ne sais pas, je ne sais même plus si j’en ai envie.
Seul Dieu le sait !!!!
muse
Tu avais tout éteint dans l’appartement. Tu t’es couché près de moi, je faisais semblant de dormir. Timidement tu passas ta main sur mon dos avant de te retourner.
Ta présence me manque parfois (je soupire). Ton silence me fait souffrir mais surtout ton passé me fait souffrir, le manque de confiance que tu portes aux femmes te rend méfiant.
A l’intérieur de toi, il y a quelque chose qui est mort et que je ne peux pas réanimer. Tu ne veux plus aimer, tu ne veux pas m’aimer ! De peur d’avoir mal.
Je ne peux pas t’aider, parce que la porte est fermée. Le passé compte-t-il pour toi tellement plus que le présent et le futur ? C’est si facile de renoncer par nostalgie, quelle formidable douleur passive, quelle admirable mort lente.
Aux premiers jours de notre rencontre tu me racontais tes rêves, tes envies, j’ai cru que tu m’appelais, je suis venue et toi tu es resté prisonnier de ta peur, de l’amour que tu appelles solitude.
Que faire pour que tu m’aimes, te dire que mon amour pour toi est infini, que je t’aimerai pour la vie, que tu es l’homme avec qui je veux avoir des enfants…
Je te fais de la peine à ce point là ?
Beaucoup plus. Il n’est de pire solitude que celle que l’on éprouve quand on est deux. J’ai voulu te quitter alors que je t’aime, quelle incroyable incohérence!
…
Que faut-il faire ? Laisser faire les choses ? Je ne sais pas, je ne sais même plus si j’en ai envie.
Seul Dieu le sait !!!!
muse
Sam 06 Mars 2004, 10:23 par
Muse sur L'amour en vrac
education tendre
Maman? C’est quoi la tendresse?
La tendresse mon fils, c’est quand ton coeur s’enivre à ses mots.
La tendresse mon fils, c’est quand tes mots se libèrent à son contact.
La tendresse mon fils, c’est quand la vie t’apparait comme unique
La tendresse mon fils, c’est quand tu me souris
La tendresse mon fils, c’est quand je t’aime
La tendresse mon fils, c’est quand mes mains nous caressent
La tendresse mon fils, c’est ici, quand mon coeur, mes mots, ma vie, tes sourires, mes je t’aime, mes mains se livrent.
La tendresse mon fils, c’est ici, et c’est partout.
La marquise... une âme tendre
La tendresse mon fils, c’est quand ton coeur s’enivre à ses mots.
La tendresse mon fils, c’est quand tes mots se libèrent à son contact.
La tendresse mon fils, c’est quand la vie t’apparait comme unique
La tendresse mon fils, c’est quand tu me souris
La tendresse mon fils, c’est quand je t’aime
La tendresse mon fils, c’est quand mes mains nous caressent
La tendresse mon fils, c’est ici, quand mon coeur, mes mots, ma vie, tes sourires, mes je t’aime, mes mains se livrent.
La tendresse mon fils, c’est ici, et c’est partout.
La marquise... une âme tendre
Sam 28 Fév 2004, 15:10 par
la marquise de sade sur Un monde parfait
Ecrire sur t’aime
Lacheté, L'abandon, Un cadeau!, Blues sans une rose, Dis moi..., Le premier., De son côté à lui..., chanson à écouter, puis à lire...., Une journée de plus..., C'était en juin...., Retour insipide..., la langue de l'amour, Une envie de festin..., La solitude, education tendre,Il y a 259 textes utilisant le mot t’aime. Ces pages présentent les textes correspondant.
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