Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur t’entends
Peinarde !
Aujourd’hui, j’ai entendu chanter le coucou. Enfin il me semble. J’étais complètement à l’ouest. J’avais pas mal fumé la moquette faut dire !
Il parait que quand t’entends chanter le coucou, si t’as du fric dans ta poche, ça rapporte gros. Peu de temps après tu te trouves pété de thunes.
Moi, ça m’est jamais arrivé. Je suis souvent plutôt raide côté pognon. Pourtant j’en rêverais d’être pleine aux as pour pouvoir enfin me dorer la pilule au soleil des tropiques !
ça me rappelle Marcel. J’avais le béguin pour ce mec. Seulement, j’en tenais une couche pour ne même pas voir qu’il était méchant comme la gale.
J’ai compris le jour où il s’est radiné avec une gonzesse maquillée comme une voiture volée. J’ai voulu lui demander des comptes à cette perruche mais elle s’est mise à faire sa mijaurée. Et le Marcel, il m’a dit :
- Dégage, c’est pas tes oignons !
En vraie soupe au lait, je me suis mise en pétard, puis je me suis dégonflée. Je suis partie en chialant.
Heureusement que notre histoire elle a fait pschitt ! J’étais pas de taille à me tirer la bourre avec d’autres femelles, surtout pour un type comme Marcel !
Aujourd’hui, je suis peinarde, j’écoute le chant du coucou.
Il parait que quand t’entends chanter le coucou, si t’as du fric dans ta poche, ça rapporte gros. Peu de temps après tu te trouves pété de thunes.
Moi, ça m’est jamais arrivé. Je suis souvent plutôt raide côté pognon. Pourtant j’en rêverais d’être pleine aux as pour pouvoir enfin me dorer la pilule au soleil des tropiques !
ça me rappelle Marcel. J’avais le béguin pour ce mec. Seulement, j’en tenais une couche pour ne même pas voir qu’il était méchant comme la gale.
J’ai compris le jour où il s’est radiné avec une gonzesse maquillée comme une voiture volée. J’ai voulu lui demander des comptes à cette perruche mais elle s’est mise à faire sa mijaurée. Et le Marcel, il m’a dit :
- Dégage, c’est pas tes oignons !
En vraie soupe au lait, je me suis mise en pétard, puis je me suis dégonflée. Je suis partie en chialant.
Heureusement que notre histoire elle a fait pschitt ! J’étais pas de taille à me tirer la bourre avec d’autres femelles, surtout pour un type comme Marcel !
Aujourd’hui, je suis peinarde, j’écoute le chant du coucou.
Mer 22 Juin 2016, 00:36 par
FB sur Histoires d'amour
Mecano à l'usage des amantes
je n’avais pas d’amour
alors j’en ais fabriqué un de toutes pièces
ce n’est pas bien dur
a faire
un amour
ce n’est pas bien dur
lorsque dans sa tête
naissent des mondes à l’infini
l’arbre bleu
le perroquet vert
le chat mauve
dansent sous deux lunes
pleines
les seins célestes de l’univers
tu le savais
que je courais le monde
a cheval
sur un étalon rouge
toi tu pensais
ordonner le monde
comme un jardin à la française
clôturer les roses
dans une réserve indienne
de terres consenties
mais c’était pas du jeu
ce n’était pas mon jeu
le fou prend la dame
dans le creux de son lit
c’est l’échiquier maboule
de trappes et d’oublis
sans logique
pas de queue
pas de tête
pas d’arrêtes
tu vois
je joue encore
a fabriquer des délires
pratique
il me fallait un amour
aussi
je l’ai bricolé:
des images de toi
et quelques paroles
un peu de sang
non, beaucoup !
rouge comme le suc des grenages trop mûre
des nerfs
je te veux nerveux comme
un enfant
ceux des grandes familles
prodige et maudit
indomptable
comme le vent sur la dune
oui
je te l’avais bien dit
ce n’est pas bien dur
d’être amoureuse
suffit
d’être débrouillarde
et
très méthodique
et puis
surtout
un tout petit peu
têtu
non je ne t’entends pas
non je ne t’entends plus
mon âme en ballon libre
vol sur la plaine
l’amour est ivresse
dansent les lunes rondes
la migration des flamands
pas forcement roses
le chant des baleines
le cri du loup
c’est l’amour qu’on bricole
mon amour.
alors j’en ais fabriqué un de toutes pièces
ce n’est pas bien dur
a faire
un amour
ce n’est pas bien dur
lorsque dans sa tête
naissent des mondes à l’infini
l’arbre bleu
le perroquet vert
le chat mauve
dansent sous deux lunes
pleines
les seins célestes de l’univers
tu le savais
que je courais le monde
a cheval
sur un étalon rouge
toi tu pensais
ordonner le monde
comme un jardin à la française
clôturer les roses
dans une réserve indienne
de terres consenties
mais c’était pas du jeu
ce n’était pas mon jeu
le fou prend la dame
dans le creux de son lit
c’est l’échiquier maboule
de trappes et d’oublis
sans logique
pas de queue
pas de tête
pas d’arrêtes
tu vois
je joue encore
a fabriquer des délires
pratique
il me fallait un amour
aussi
je l’ai bricolé:
des images de toi
et quelques paroles
un peu de sang
non, beaucoup !
rouge comme le suc des grenages trop mûre
des nerfs
je te veux nerveux comme
un enfant
ceux des grandes familles
prodige et maudit
indomptable
comme le vent sur la dune
oui
je te l’avais bien dit
ce n’est pas bien dur
d’être amoureuse
suffit
d’être débrouillarde
et
très méthodique
et puis
surtout
un tout petit peu
têtu
non je ne t’entends pas
non je ne t’entends plus
mon âme en ballon libre
vol sur la plaine
l’amour est ivresse
dansent les lunes rondes
la migration des flamands
pas forcement roses
le chant des baleines
le cri du loup
c’est l’amour qu’on bricole
mon amour.
Mer 15 Fév 2012, 08:59 par
adeleH sur L'amour en vrac
Je suis malade... et vous !?
Paroles: Serge Lama. Musique: Alice Dona 1971
© Productions & Edition Serge Lama
autres interprètes: Dalida, Lara Fabian, Thierry Amiel (2003)
Je ne rêve plus je ne fume plus
Je n’ai même plus d’histoire
Je suis sale sans toi je suis laid sans toi
Je suis comme un orphelin dans un dortoir
Je n’ai plus envie de vivre ma vie
Ma vie cesse quand tu pars
Je n’ai plus de vie et même mon lit
Se transforme en quai de gare
Quand tu t’en vas
Je suis malade complètement malade
Comme quand ma mère sortait le soir
Et qu’elle me laissait seul avec mon désespoir
Je suis malade parfaitement malade
T’arrives on ne sait jamais quand
Tu repars on ne sait jamais où
Et ça va faire bientôt deux ans
Que tu t’en fous
Comme à un rocher comme à un péché
Je suis accroché à toi
Je suis fatigué je suis épuisé
De faire semblant d’être heureux quand ils sont là
Je bois toutes les nuits mais tous les whiskies
Pour moi ont le même goût
Et tous les bateaux portent ton drapeau
Je ne sais plus où aller tu es partout
Je suis malade complètement malade
Je verse mon sang dans ton corps
Et je suis comme un oiseau mort quand toi tu dors
Je suis malade parfaitement malade
Tu m’as privé de tous mes chants
Tu m’as vidé de tous mes mots
Pourtant moi j’avais du talent avant ta peau
Cet amour me tue et si ça continue
Je crèverai seul avec moi
Près de ma radio comme un gosse idiot
Écoutant ma propre voix qui chantera
Je suis malade complètement malade
Comme quand ma mère sortait le soir
Et qu’elle me laissait seul avec mon désespoir
Je suis malade c’est ça je suis malade
Tu m’as privé de tous mes chants
Tu m’as vidé de tous mes mots
Et j’ai le cœur complètement malade
Cerné de barricades t’entends je suis malade
© Productions & Edition Serge Lama
autres interprètes: Dalida, Lara Fabian, Thierry Amiel (2003)
Je ne rêve plus je ne fume plus
Je n’ai même plus d’histoire
Je suis sale sans toi je suis laid sans toi
Je suis comme un orphelin dans un dortoir
Je n’ai plus envie de vivre ma vie
Ma vie cesse quand tu pars
Je n’ai plus de vie et même mon lit
Se transforme en quai de gare
Quand tu t’en vas
Je suis malade complètement malade
Comme quand ma mère sortait le soir
Et qu’elle me laissait seul avec mon désespoir
Je suis malade parfaitement malade
T’arrives on ne sait jamais quand
Tu repars on ne sait jamais où
Et ça va faire bientôt deux ans
Que tu t’en fous
Comme à un rocher comme à un péché
Je suis accroché à toi
Je suis fatigué je suis épuisé
De faire semblant d’être heureux quand ils sont là
Je bois toutes les nuits mais tous les whiskies
Pour moi ont le même goût
Et tous les bateaux portent ton drapeau
Je ne sais plus où aller tu es partout
Je suis malade complètement malade
Je verse mon sang dans ton corps
Et je suis comme un oiseau mort quand toi tu dors
Je suis malade parfaitement malade
Tu m’as privé de tous mes chants
Tu m’as vidé de tous mes mots
Pourtant moi j’avais du talent avant ta peau
Cet amour me tue et si ça continue
Je crèverai seul avec moi
Près de ma radio comme un gosse idiot
Écoutant ma propre voix qui chantera
Je suis malade complètement malade
Comme quand ma mère sortait le soir
Et qu’elle me laissait seul avec mon désespoir
Je suis malade c’est ça je suis malade
Tu m’as privé de tous mes chants
Tu m’as vidé de tous mes mots
Et j’ai le cœur complètement malade
Cerné de barricades t’entends je suis malade
Sam 15 Déc 2007, 01:37 par
encredelune sur L'amour en vrac
Ces mots là...
Pourquoi ne pas oser me dire ces mots là
Au delà du dialogue : virtuel toi et moi
Le printemps n’est plus là, la nature, elle, explose
Et les allées du Parc sont parsemées de roses
Il suffit de les lire, ces mots tracés pour moi
Ils me parlent d’amour, ils me parlent d’émois
Et mon enchantement s’approche de l’extase
Vers les dernières lignes, à la dernière phrase
Si tu ne peux les dire, ces mots là, je les lis
Tes pensées transparaissent dés franchi le parvis
De cette cathédrale d’où ton requiem s’élève
Comme un chant Grégorien dans une nef de rêve
Prolongement du rêve en réveil extasié
C’est plus qu’une lueur ce qui m’a enchanté
Rêver ta vie réelle, tes yeux et ton sourire
Les baisers envoyés me font chanter et rire
Je t’entends, je te lis, je te vois ! mon émoi
Me fait trembler de joie. Mon cœur bat fort pour toi
Au delà des espaces, au delà des années
Mon amour vole vers toi, et je te sais charmée…
Jan
Au delà du dialogue : virtuel toi et moi
Le printemps n’est plus là, la nature, elle, explose
Et les allées du Parc sont parsemées de roses
Il suffit de les lire, ces mots tracés pour moi
Ils me parlent d’amour, ils me parlent d’émois
Et mon enchantement s’approche de l’extase
Vers les dernières lignes, à la dernière phrase
Si tu ne peux les dire, ces mots là, je les lis
Tes pensées transparaissent dés franchi le parvis
De cette cathédrale d’où ton requiem s’élève
Comme un chant Grégorien dans une nef de rêve
Prolongement du rêve en réveil extasié
C’est plus qu’une lueur ce qui m’a enchanté
Rêver ta vie réelle, tes yeux et ton sourire
Les baisers envoyés me font chanter et rire
Je t’entends, je te lis, je te vois ! mon émoi
Me fait trembler de joie. Mon cœur bat fort pour toi
Au delà des espaces, au delà des années
Mon amour vole vers toi, et je te sais charmée…
Jan
Lun 06 Août 2007, 16:45 par
jan goure sur La déclaration d'amour
En confidence
Je me disais, tantôt, se blottir sous la couette
Et que les jeux d’Eros provoquent la tempête :
Réchauffant notre sang, allumant notre peau,
Faisant trembler le lit de désir noble et beau !
Que nous fassions s’enfuir l’hiver qui nous étreint,
Qui fait geler nos coeurs et qui glace nos reins ;
Je t’entends murmurer et tu me fais sourire
Dans tes accents chantants c’est l’été qui s’étire...
Merci d’avoir osé, d’avoir su patienter,
Cultivant la confiance quand mes mots tergiversent
J’ai pu, sans le savoir, faire tomber la herse.
Merci d’avoir crû fort qu’on se rencontrerait.
Mon voeu, lors, est ceci et que tu t’en souviennes
Quand tu viendras ici : que le désir nous prenne.
Et que les jeux d’Eros provoquent la tempête :
Réchauffant notre sang, allumant notre peau,
Faisant trembler le lit de désir noble et beau !
Que nous fassions s’enfuir l’hiver qui nous étreint,
Qui fait geler nos coeurs et qui glace nos reins ;
Je t’entends murmurer et tu me fais sourire
Dans tes accents chantants c’est l’été qui s’étire...
Merci d’avoir osé, d’avoir su patienter,
Cultivant la confiance quand mes mots tergiversent
J’ai pu, sans le savoir, faire tomber la herse.
Merci d’avoir crû fort qu’on se rencontrerait.
Mon voeu, lors, est ceci et que tu t’en souviennes
Quand tu viendras ici : que le désir nous prenne.

Jeu 25 Jan 2007, 12:03 par
dolce vita sur L'amour en vrac
Juste toi
Je te vois, je te veux
Je te sens, te désire
Je t’entends parmi eux
Et je voudrais te dire
Que je n’entends que toi,
Que toi seul m’éblouis,
Que tu guides mes pas
Réajustes ma vie.
Je m’accepte avec toi,
je m’aime dans tes regards,
Tu me fais être moi,
Nier le désespoir.
Je voudrais t’apporter
Ce qui manque à ta vie,
J’aimerais te compléter,
Inscrire ton infini,
Dans mon incomplétude
Mes doutes, mon incertain,
T’offrir ma solitude
Et te prendre la main.
Je te sens, te désire
Je t’entends parmi eux
Et je voudrais te dire
Que je n’entends que toi,
Que toi seul m’éblouis,
Que tu guides mes pas
Réajustes ma vie.
Je m’accepte avec toi,
je m’aime dans tes regards,
Tu me fais être moi,
Nier le désespoir.
Je voudrais t’apporter
Ce qui manque à ta vie,
J’aimerais te compléter,
Inscrire ton infini,
Dans mon incomplétude
Mes doutes, mon incertain,
T’offrir ma solitude
Et te prendre la main.
Mer 17 Jan 2007, 20:07 par
jatea sur Parler d'amour
Oser te dire : Je t'aime...
Jamais je n’oserai te dire je t’aime,
Jamais je n’oserai te dire ces mots là
Pourtant j’aimerais que le printemps lui même,
Accepte ce matin de les conter pour moi.
Pourquoi ne pas oser me dire ces mots là
Ne serait-ce qu’un e mail : virtuel toi et moi
Le printemps est bien là, et la nature explose
Ce matin au jardin s’est ouverte une rose
Jamais je n’oserai te dire je t’aime,
Et cet amour grandit en moi.
Pourtant je souhaite qu’en lisant ce poème
Mes mots se distillent en toi.
Il suffit de les lire ces mots tracés pour moi
Ils me parlent d’amour, ils me parlent d’émois
Et mon enchantement s’approche de l’extase
Vers le dernier quatrain, à la dernière phrase
Jamais je n’oserai te dire je t’aime,
Taire ces pensées qui naissent en moi
Dans le plus beau des requiems,
Ces mots d’amour flottent vers toi.
Si tu ne peux les dire, ces mots là je les lis
Tes pensées transparaissent dés franchi le parvis
De cette cathédrale d’où ton requiem s’élève
Comme un chant Grégorien dans une nef de rêve
Jamais je n’oserai te dire je t’aime
Même si une lueur j’entrevois,.
Tu dois savoir que cette vie de bohème,
Je veux la vivre rien que pour toi.
Prolongement du rêve en réveil extasié
C’est plus qu’une lueur ce qui m’a enchanté
Web cam : ta vie réelle, tes yeux et ton sourire
Les baisers envoyés me font chanter et rire
Cette fois j’ose dire que je t’aime
Je te l’écris non sans émoi...
Ces belles paroles que tu essaimes,
Font que mon cœur vibre pour toi
Je t’entends, je te lis, je te vois ! mon émoi
Me fait trembler de joie. Mon cœur bat fort pour toi
Au delà des espaces, au delà des années
Mon amour vole vers toi, et je te sais charmée…
Eve & Jan
Jamais je n’oserai te dire ces mots là
Pourtant j’aimerais que le printemps lui même,
Accepte ce matin de les conter pour moi.
Pourquoi ne pas oser me dire ces mots là
Ne serait-ce qu’un e mail : virtuel toi et moi
Le printemps est bien là, et la nature explose
Ce matin au jardin s’est ouverte une rose
Jamais je n’oserai te dire je t’aime,
Et cet amour grandit en moi.
Pourtant je souhaite qu’en lisant ce poème
Mes mots se distillent en toi.
Il suffit de les lire ces mots tracés pour moi
Ils me parlent d’amour, ils me parlent d’émois
Et mon enchantement s’approche de l’extase
Vers le dernier quatrain, à la dernière phrase
Jamais je n’oserai te dire je t’aime,
Taire ces pensées qui naissent en moi
Dans le plus beau des requiems,
Ces mots d’amour flottent vers toi.
Si tu ne peux les dire, ces mots là je les lis
Tes pensées transparaissent dés franchi le parvis
De cette cathédrale d’où ton requiem s’élève
Comme un chant Grégorien dans une nef de rêve
Jamais je n’oserai te dire je t’aime
Même si une lueur j’entrevois,.
Tu dois savoir que cette vie de bohème,
Je veux la vivre rien que pour toi.
Prolongement du rêve en réveil extasié
C’est plus qu’une lueur ce qui m’a enchanté
Web cam : ta vie réelle, tes yeux et ton sourire
Les baisers envoyés me font chanter et rire
Cette fois j’ose dire que je t’aime
Je te l’écris non sans émoi...
Ces belles paroles que tu essaimes,
Font que mon cœur vibre pour toi
Je t’entends, je te lis, je te vois ! mon émoi
Me fait trembler de joie. Mon cœur bat fort pour toi
Au delà des espaces, au delà des années
Mon amour vole vers toi, et je te sais charmée…
Eve & Jan

Ven 17 Mars 2006, 12:00 par
jan goure sur Parler d'amour
Lettre à une enfant
Je ne t’ai pas choisie et encore moins faite,
Mais ton absence est là, douloureuse pourtant.
Toi qui m’as fait grandir du haut de tes six ans,
Je ne serai pas là pour te fêter les sept.
Et j’en pleure crois moi en tapant cette lettre.
Je pleure de ce silence qui m’entoure à présent,
De n’avoir joué assez à tous tes jeux d’enfants
Qu’en toute joie et rire j’apprenais à connaître.
Ne m’attends pas jeudi, je ne serai pas là.
Une histoire de grands me pousse à disparaître.
Tu comprendras plus tard te souvenant de moi,
Que j’aurais préféré descendre pour y être.
Je te vois du balcon, courir et t’amuser,
Je sais je n’y suis pas, mais je t’entends crier,
Rire et parfois pleurer, mais jamais t’arrêter.
A écouter ces rêves mon cœur devient amer,
Car il désirait tant au côté de ta mère,
Te voir grandir longtemps, se sentir cœur de père.
Prends soin de toi enfant, avant que tu ne glisses
Dans des histoires de grands, petite Marie au Lys.
Joyeux anniversaire…
Mais ton absence est là, douloureuse pourtant.
Toi qui m’as fait grandir du haut de tes six ans,
Je ne serai pas là pour te fêter les sept.
Et j’en pleure crois moi en tapant cette lettre.
Je pleure de ce silence qui m’entoure à présent,
De n’avoir joué assez à tous tes jeux d’enfants
Qu’en toute joie et rire j’apprenais à connaître.
Ne m’attends pas jeudi, je ne serai pas là.
Une histoire de grands me pousse à disparaître.
Tu comprendras plus tard te souvenant de moi,
Que j’aurais préféré descendre pour y être.
Je te vois du balcon, courir et t’amuser,
Je sais je n’y suis pas, mais je t’entends crier,
Rire et parfois pleurer, mais jamais t’arrêter.
A écouter ces rêves mon cœur devient amer,
Car il désirait tant au côté de ta mère,
Te voir grandir longtemps, se sentir cœur de père.
Prends soin de toi enfant, avant que tu ne glisses
Dans des histoires de grands, petite Marie au Lys.
Joyeux anniversaire…
Dim 11 Déc 2005, 17:59 par
l'homme de sable sur L'amour en vrac
Une amitié parfaite.
Il ne reste rien autour de moi.
Autour de moi ne subsiste que la neige.
La Neige tombe, tombe, tombe.
Blanche et froide.
Totalement pure.
Son ombre bleue suit mes pas.
Et pourtant, je te sens près de moi.
Toi mon ami.
Pourquoi me suis-tu?
Pourquoi restes-tu avec moi?
Pourquoi m’aider?
Je tombe, je suis déjà tombé.
Je sombre dans les affres du désespoir.
Je ne pourrais plus jamais esquisser un sourire.
J’entends tes pas sourds dans la neige.
Je suis content de percevoir ce son.
J’ai peur en même temps.
La Neige tombe, tombe, tombe.
C’est fini pour moi.
Il me dit :
Pourquoi tu restes là? Prends ma main. Sortons d’ici, d’accord?
Et face à son sourire, je n’ai pu résister.
J’ai pris sa main.
J’ai pleuré et il m’a serré dans ses bras comme un frère.
Après ce jour, il est mort. Je ne l’ai plus jamais revu.
Mais son souvenir subsiste en moi quoi qu’il arrive.
Et quand je vois la neige tomber...
Je repense à son coeur pur.
Je me dis, s’il me voyait maintenant !
Je crois qu’il serait fier de moi.
La Neige tombe plus fort que jamais.
A ce moment, dans mon coeur, il me dit, c’est mon dernier cadeau pour toi.
Ne m’oublie jamais.
Adieu, et merci pour tout.
Je t’entends, mon ami, ta voix résonne en moi !
Autour de moi ne subsiste que la neige.
La Neige tombe, tombe, tombe.
Blanche et froide.
Totalement pure.
Son ombre bleue suit mes pas.
Et pourtant, je te sens près de moi.
Toi mon ami.
Pourquoi me suis-tu?
Pourquoi restes-tu avec moi?
Pourquoi m’aider?
Je tombe, je suis déjà tombé.
Je sombre dans les affres du désespoir.
Je ne pourrais plus jamais esquisser un sourire.
J’entends tes pas sourds dans la neige.
Je suis content de percevoir ce son.
J’ai peur en même temps.
La Neige tombe, tombe, tombe.
C’est fini pour moi.
Il me dit :
Pourquoi tu restes là? Prends ma main. Sortons d’ici, d’accord?
Et face à son sourire, je n’ai pu résister.
J’ai pris sa main.
J’ai pleuré et il m’a serré dans ses bras comme un frère.
Après ce jour, il est mort. Je ne l’ai plus jamais revu.
Mais son souvenir subsiste en moi quoi qu’il arrive.
Et quand je vois la neige tomber...
Je repense à son coeur pur.
Je me dis, s’il me voyait maintenant !
Je crois qu’il serait fier de moi.
La Neige tombe plus fort que jamais.
A ce moment, dans mon coeur, il me dit, c’est mon dernier cadeau pour toi.
Ne m’oublie jamais.
Adieu, et merci pour tout.
Je t’entends, mon ami, ta voix résonne en moi !
Ven 06 Mai 2005, 15:56 par
Yoshitaka sur Un monde parfait
Un homme avertit en vaut deux...
- Catherine? C’est moi, je ne te réveille pas? J’ai un truc incroyable à te raconter!!!
- Disons qu’il est à peine 6h du mat, que je travaille dans deux heures et que je me suis couchée assez tard, mais non, tu ne me déranges pas... Que t’arrive-t-il raconte!
- Ce soir, j’avais rendez-vous avec Thibault, tu te souviens, ce gars méga géant que j’avais rencontré à la galerie la semaine dernière.
- Oui, je me souviens... 34 ans, divorcé, beau, romantique, attentionné, et bla, bla, bla...
- Voilà! Celui-là même. Donc ce soir, il m’a invité à l’expo de son jeune poulain. Nous avons ensuite été dîner, et il m’a raccompagnée chez moi..
- Hé, hé, hé... vas-y dis-moi? Aussi fantastique au lit qu’il n’était prometteur?
- C’est là que les problèmes ont commencé ! Dix minutes! Préliminaires comprises! Je ne te raconte pas ma déception!!
- Ma pauvre... excuse-moi, je ne peux m’empêcher de sourire!
- De carrément te marrer tu veux dire! Arrête Cath! Tu n’es pas sympa! Et attends, tu ne connais pas le pire!
- Ah bon? Quoi? Il a des moeurs bizarres? Il a voulu que tu l’attaches? Que tu le brûles avec tes clopes? Que tu aboies?
- Cath!! Si je t’entends encore une seule fois rire, je raccroche et je ne te dirai plus jamais rien!
- ...
- Je te disais donc... le pire... au bout de dix minutes, il s’endort. J’ai bien tenté de le réveiller par quelques caresses et baisers, mais plus je le touchais, plus ses ronflements devenaient bruyants. Excédée, j’ai donc appelé Etienne. Tu sais, mon ami d’enfance. Je lui ai tout raconté ! Et tu sais ce qu’il m’a proposé ?
- Non… si je le savais, tu ne me téléphonerais pas à 6h du mat pour me le dire.
- De venir terminer le travail !
- Sans blague ! Et tu as accepté ?
- Bien sur que j’ai accepté ! Tu parles ! Avec l’autre endormi, je n’allais pas me gêner !
- Et ?
- Et… et il est venu, il a commencé tout doucement, pour ne pas réveiller Thibault, c’était plutôt bien parti.
- Tu veux dire que vous avez fait ça à côté de l’autre ? Endormi ? Dans le même lit ?
- Oui, un tremblement de terre ne l’aurait pas réveillé ! Donc, je disais, c’était plutôt bien parti, quand au bout de 12 minutes…
- Non ?? !! Ne me dis pas qu’il t’a fait le même coup !!
- Siiiiiiiii ! Et là, ils dorment tous les deux comme deux souches ! Je hais les hommes…
- Disons qu’il est à peine 6h du mat, que je travaille dans deux heures et que je me suis couchée assez tard, mais non, tu ne me déranges pas... Que t’arrive-t-il raconte!
- Ce soir, j’avais rendez-vous avec Thibault, tu te souviens, ce gars méga géant que j’avais rencontré à la galerie la semaine dernière.
- Oui, je me souviens... 34 ans, divorcé, beau, romantique, attentionné, et bla, bla, bla...
- Voilà! Celui-là même. Donc ce soir, il m’a invité à l’expo de son jeune poulain. Nous avons ensuite été dîner, et il m’a raccompagnée chez moi..
- Hé, hé, hé... vas-y dis-moi? Aussi fantastique au lit qu’il n’était prometteur?
- C’est là que les problèmes ont commencé ! Dix minutes! Préliminaires comprises! Je ne te raconte pas ma déception!!
- Ma pauvre... excuse-moi, je ne peux m’empêcher de sourire!
- De carrément te marrer tu veux dire! Arrête Cath! Tu n’es pas sympa! Et attends, tu ne connais pas le pire!
- Ah bon? Quoi? Il a des moeurs bizarres? Il a voulu que tu l’attaches? Que tu le brûles avec tes clopes? Que tu aboies?
- Cath!! Si je t’entends encore une seule fois rire, je raccroche et je ne te dirai plus jamais rien!
- ...
- Je te disais donc... le pire... au bout de dix minutes, il s’endort. J’ai bien tenté de le réveiller par quelques caresses et baisers, mais plus je le touchais, plus ses ronflements devenaient bruyants. Excédée, j’ai donc appelé Etienne. Tu sais, mon ami d’enfance. Je lui ai tout raconté ! Et tu sais ce qu’il m’a proposé ?
- Non… si je le savais, tu ne me téléphonerais pas à 6h du mat pour me le dire.
- De venir terminer le travail !
- Sans blague ! Et tu as accepté ?
- Bien sur que j’ai accepté ! Tu parles ! Avec l’autre endormi, je n’allais pas me gêner !
- Et ?
- Et… et il est venu, il a commencé tout doucement, pour ne pas réveiller Thibault, c’était plutôt bien parti.
- Tu veux dire que vous avez fait ça à côté de l’autre ? Endormi ? Dans le même lit ?
- Oui, un tremblement de terre ne l’aurait pas réveillé ! Donc, je disais, c’était plutôt bien parti, quand au bout de 12 minutes…
- Non ?? !! Ne me dis pas qu’il t’a fait le même coup !!
- Siiiiiiiii ! Et là, ils dorment tous les deux comme deux souches ! Je hais les hommes…
Jeu 26 Août 2004, 13:31 par
la marquise de sade sur Exercices de style
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