Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur tais
Rien bordélique
Je me dis tu ...
putain, t’es là à crever dans ton espace,
à pas pouvoir crier ta douleur,
alors tu l’écris ici,
pour la poser,
pour rien,
pour personne,
juste parce que tu ne sais plus quoi en faire,
elle t’étouffe, tu suffoques ..
et l’acide de tes larmes ébauche le labyrinthe de l’histoire ...
y’a des gens autour de toi qui s’aiment,
y’a ceux qui baisent comme des pauvres,
sans amour,
y’a tous les semblanteux de la vie ...
qui sourient à à un ersatz d’happyness
alors, fonce toi aussi
frime en t’inventant une vie,
fais "l’atypique" ,
le monde webien tout entier l’est tu sais,
du coup t’en deviens si banal ,
Clopes, sex and drug sur le net
les blogs et autres sites d’écriture ou de rencontres sont un bordel phénoménal
qui veut faire Mme Claude ?
Le Cac claque en crac
et toi, tu prends un risque ...
celui de crever de cet amour,
personne pour te couvrir...
t’as mal, t’en peux plus et tu dois la fermer ...
alors tais toi ..
Même si tu crèves de son souvenir
tu t’épuises à rêver son regard
Il voit pas ta souffrance lui,
il s’en tape de ta douleur ..
et t’es là avec ton envie de chialer latente
tu te prends à espérer bêtement
tu veux y croire encore mais jamais ...
T’as pas tout lu ?
ça m’étonne pas, dans la vie, personne n’écoute personne,
sur le net, personne ne lit personne ..
c’est la loi du CPSG
putain, t’es là à crever dans ton espace,
à pas pouvoir crier ta douleur,
alors tu l’écris ici,
pour la poser,
pour rien,
pour personne,
juste parce que tu ne sais plus quoi en faire,
elle t’étouffe, tu suffoques ..
et l’acide de tes larmes ébauche le labyrinthe de l’histoire ...
y’a des gens autour de toi qui s’aiment,
y’a ceux qui baisent comme des pauvres,
sans amour,
y’a tous les semblanteux de la vie ...
qui sourient à à un ersatz d’happyness
alors, fonce toi aussi
frime en t’inventant une vie,
fais "l’atypique" ,
le monde webien tout entier l’est tu sais,
du coup t’en deviens si banal ,
Clopes, sex and drug sur le net
les blogs et autres sites d’écriture ou de rencontres sont un bordel phénoménal
qui veut faire Mme Claude ?
Le Cac claque en crac
et toi, tu prends un risque ...
celui de crever de cet amour,
personne pour te couvrir...
t’as mal, t’en peux plus et tu dois la fermer ...
alors tais toi ..
Même si tu crèves de son souvenir
tu t’épuises à rêver son regard
Il voit pas ta souffrance lui,
il s’en tape de ta douleur ..
et t’es là avec ton envie de chialer latente
tu te prends à espérer bêtement
tu veux y croire encore mais jamais ...
T’as pas tout lu ?
ça m’étonne pas, dans la vie, personne n’écoute personne,
sur le net, personne ne lit personne ..
c’est la loi du CPSG
Jeu 13 Jan 2011, 23:53 par
Luna_Lou sur L'amour en vrac
Glace, chocolat et autres compensations...
Je suis femme
Dans mon corps et dans mon âme.
Je suis feu et flamme.
Je peux te décrire toute une gamme
De ce que je te ferais pour que tu te pâmes.
Je peux t’écrire toute une trame
Des coins sombres de Paname
Je suis à la fois bohème et glam’
Je suis à la fois une sauvage et une dame.
J’aimerais tellement te dire mes pensées quand je te regarde... Miam !
Je pourrais. Mais j’ai trop peur que tu me blames.
Alors, je me tais et ouvre une nouvelle plaquette de chocolat aux noix de macadam...
Dans mon corps et dans mon âme.
Je suis feu et flamme.
Je peux te décrire toute une gamme
De ce que je te ferais pour que tu te pâmes.
Je peux t’écrire toute une trame
Des coins sombres de Paname
Je suis à la fois bohème et glam’
Je suis à la fois une sauvage et une dame.
J’aimerais tellement te dire mes pensées quand je te regarde... Miam !
Je pourrais. Mais j’ai trop peur que tu me blames.
Alors, je me tais et ouvre une nouvelle plaquette de chocolat aux noix de macadam...
Mar 17 Nov 2009, 20:10 par
Asma sur L'amour en vrac
Sans peur de rien
Je t’en supplie ne t’en va pas mon amour
Je me meurs d’entendre les choses que jamais tu ne m’a dis
Donc je me tais et tu t’en vas
J’ai encore l’esperance d’être capable un de ces jours
De ne pas cacher les blessures qui me font mal
A penser que je t’aime chaque jour un peu plus fort
Combien de temps allons nous attendre encore
Je souhaite tant te serrer et que tu me serres si fort
Je me meurs pour te faire rire
Et que tu m’embrasses quand tu te reveilles
Lové en ton sein jusqu’au levé du soleil
me perdant dans ton parfum
Me perdant sur tes èvres qui s’approchent
Chuchotant des mots qui atteignent
Ce pauvre coeur qu’est le mien
Je smonter le feu en mon intérieur
Je souhaite tant deviner ce que tu penses
Ouvrir toutes portes et vaincre tes tourments
Qui essayent de nous détruire
Fixer mes yeux dans ton regard
Chanter avec toi au soleil levant
Nous baiser jusqu’au bout de nos lèvres
Et voir dans ton visage chaque jour cette etincelle
Grandir; rever, laisser tout surgir laissant la peur s’effrir
Je souhaite tant t’expliquer ce qui passe dans ma tete
Je me meurs pour réussir à t’intriguer
Et continuer d’être capable de te surprendre
Sentir chaque jour cette caacité
De voir que peu importe ce qu’ils disent
Peu importe ce qu’ils pensent
Si je suis fou c’est mon choix
Et maintenant je recommence à voir un monde meilleur
Je recommence à voir briller la lueur du soleil
Je me meurs d’entendre les choses que jamais tu ne m’a dis
Donc je me tais et tu t’en vas
J’ai encore l’esperance d’être capable un de ces jours
De ne pas cacher les blessures qui me font mal
A penser que je t’aime chaque jour un peu plus fort
Combien de temps allons nous attendre encore
Je souhaite tant te serrer et que tu me serres si fort
Je me meurs pour te faire rire
Et que tu m’embrasses quand tu te reveilles
Lové en ton sein jusqu’au levé du soleil
me perdant dans ton parfum
Me perdant sur tes èvres qui s’approchent
Chuchotant des mots qui atteignent
Ce pauvre coeur qu’est le mien
Je smonter le feu en mon intérieur
Je souhaite tant deviner ce que tu penses
Ouvrir toutes portes et vaincre tes tourments
Qui essayent de nous détruire
Fixer mes yeux dans ton regard
Chanter avec toi au soleil levant
Nous baiser jusqu’au bout de nos lèvres
Et voir dans ton visage chaque jour cette etincelle
Grandir; rever, laisser tout surgir laissant la peur s’effrir
Je souhaite tant t’expliquer ce qui passe dans ma tete
Je me meurs pour réussir à t’intriguer
Et continuer d’être capable de te surprendre
Sentir chaque jour cette caacité
De voir que peu importe ce qu’ils disent
Peu importe ce qu’ils pensent
Si je suis fou c’est mon choix
Et maintenant je recommence à voir un monde meilleur
Je recommence à voir briller la lueur du soleil
Ven 03 Oct 2008, 00:54 par
Loyd sur La déclaration d'amour
Ecrire ?
Ecrire:
il y a cri
et
il y a rire.
Cri devenu, éternel solitaire:
je me tais.
il y a cri
et
il y a rire.
Cri devenu, éternel solitaire:
je me tais.
Mer 11 Juin 2008, 14:38 par
styraxbenzoe sur Mille choses
Eros&Thanatos
Amour-passion; mort-érosion. C’est un jeu morbide mais excitant qui nous tient en haleine. Celui du tour de passe-passe entre désir et néant.
Boris, ton corps contre le mien. Je sens le souffle chaud de ton existence contre mon cœur meurtri. Je chavire d’amour. Tes mains ont dénoué lentement les nœuds de mon appréhension, alors que la nuit fuyait à l’aube blafarde. Boris, ton parfum prédateur sur ma peau oubliée, qui me rappelle doucement que oui, je suis. Mais Boris, déjà tu m’échappes, criblé de balles ennemies, alors que ton dernier baiser résonne encore contre ma joue. Tu as cessé d’être, sur le champ de bataille, embourbé dans cette gadoue minée, sans me laisser le moindre espoir de survie.
Et pourtant.
Gregor, ton charme naissant dans mon regard velours. Je te souris, un peu amère, mais tu sais bien, pour Boris, et tu m’offres ta patience. Gregor, tes bras, ton regard, tes mots. Je ne suis plus sensuelle, habituelle, simplement ravagée de chagrin. Tes silences sont exutoire et ta présence espoir. Je n’ai pas encore succombé, il reste une lueur, au loin. Gregor, dans ton bonheur silencieux, ma renaissance. Mais Gregor, déjà tu halètes, dans ce lit noir. Tu souffles, tu gémis, tu cris. Puis tu te tais. La sueur recouvre ton front, ainsi que les noirs bubons. Dans la souffrance sordide de la maladie, tu me quittes. Noirs horizons.
Et pourtant.
Piotr, tes yeux de braises, ton cœur de cendres. Tout contre ton âme, j’ai trouvé le repos. Mots de velours, ponctuation de satin, chaque instant est alexandrin, sonnet. Nous sommes heureux, Piotr, ma main dans la tienne. Il ne nous reste guère qu’une commune douleur, mais elle s’atténue dans nos complicités implicites. Piotr, amant de secrets, comme si rien ne devait jamais finir. Mais Piotr, mon souffle est court, mes mains tremblent. La ride court de mon front à mon frêle sourire. Me voilà qui m’enfonce peu à peu dans le bienfait d’un sommeil sans lendemain.
Et pourtant.
Boris, Gregor, Piotr. Amours perdus. La mort vous guettent, amants furtifs, comme elle a brisé mes pas. L’Eternité est un mensonge glacé, mais peut-être faut-il simplement apprendre à La déjouer ?
Piotr, et pourtant. Mais qui nous en dira la fin, à présent ?
Surtout pour Boris. Parce que c’est mon amant vocabulaire. Vous savez, Boris, avec un V.
Boris, ton corps contre le mien. Je sens le souffle chaud de ton existence contre mon cœur meurtri. Je chavire d’amour. Tes mains ont dénoué lentement les nœuds de mon appréhension, alors que la nuit fuyait à l’aube blafarde. Boris, ton parfum prédateur sur ma peau oubliée, qui me rappelle doucement que oui, je suis. Mais Boris, déjà tu m’échappes, criblé de balles ennemies, alors que ton dernier baiser résonne encore contre ma joue. Tu as cessé d’être, sur le champ de bataille, embourbé dans cette gadoue minée, sans me laisser le moindre espoir de survie.
Et pourtant.
Gregor, ton charme naissant dans mon regard velours. Je te souris, un peu amère, mais tu sais bien, pour Boris, et tu m’offres ta patience. Gregor, tes bras, ton regard, tes mots. Je ne suis plus sensuelle, habituelle, simplement ravagée de chagrin. Tes silences sont exutoire et ta présence espoir. Je n’ai pas encore succombé, il reste une lueur, au loin. Gregor, dans ton bonheur silencieux, ma renaissance. Mais Gregor, déjà tu halètes, dans ce lit noir. Tu souffles, tu gémis, tu cris. Puis tu te tais. La sueur recouvre ton front, ainsi que les noirs bubons. Dans la souffrance sordide de la maladie, tu me quittes. Noirs horizons.
Et pourtant.
Piotr, tes yeux de braises, ton cœur de cendres. Tout contre ton âme, j’ai trouvé le repos. Mots de velours, ponctuation de satin, chaque instant est alexandrin, sonnet. Nous sommes heureux, Piotr, ma main dans la tienne. Il ne nous reste guère qu’une commune douleur, mais elle s’atténue dans nos complicités implicites. Piotr, amant de secrets, comme si rien ne devait jamais finir. Mais Piotr, mon souffle est court, mes mains tremblent. La ride court de mon front à mon frêle sourire. Me voilà qui m’enfonce peu à peu dans le bienfait d’un sommeil sans lendemain.
Et pourtant.
Boris, Gregor, Piotr. Amours perdus. La mort vous guettent, amants furtifs, comme elle a brisé mes pas. L’Eternité est un mensonge glacé, mais peut-être faut-il simplement apprendre à La déjouer ?
Piotr, et pourtant. Mais qui nous en dira la fin, à présent ?
Surtout pour Boris. Parce que c’est mon amant vocabulaire. Vous savez, Boris, avec un V.
Dim 20 Avril 2008, 11:28 par
Etrangloir sur Parler d'amour
Un si beau prénom
Un si beau prénom. Le sien. Pas le mien. Et sur ses lèvres, il l’est encore plus. Mais je ne suis pas jalouse. Je ne la déteste pas. Qui qu’elle soit. Je souhaite qu’elle soit heureuse. Tout comme je souhaite qu’il soit heureux. Avec elle ou pas.
Comme j’aimerais être le centre d’affection de quelqu’un. Mais je ne veux pas être égoïste, je prends sur moi.
Et pourtant, pour une fois, juste une fois, j’aimerais être le centre d’attention de quelqu’un. Me sentir aimée. Par un ami. Par un amant. Peu m’importe. Tant que c’est de l’affection sincère, de l’attention. Tant que ça me donne l’impression d’exister.
Mais c’est tellement égoïste de ma part… Ce serait trop demander, alors je me tais. Mais mes yeux me trahissent. Mon âme pleure, de n’être le centre d’affection de personne et de devoir faire semblant d’être heureuse ainsi. Ce que je peux être égoïste. Je ne devrais pas. Alors je prends sur moi.
Les choses sont beaucoup mieux ainsi. Je continuerais de rêver. A être à sa place, à porter un si beau prénom. Le sien. Pas le mien. Et sur ses lèvres, il le sera encore plus.
Sur toutes ces lèvres, tous ces prénoms. Le leur. Jamais le mien.
Comme j’aimerais être le centre d’affection de quelqu’un. Mais je ne veux pas être égoïste, je prends sur moi.
Et pourtant, pour une fois, juste une fois, j’aimerais être le centre d’attention de quelqu’un. Me sentir aimée. Par un ami. Par un amant. Peu m’importe. Tant que c’est de l’affection sincère, de l’attention. Tant que ça me donne l’impression d’exister.
Mais c’est tellement égoïste de ma part… Ce serait trop demander, alors je me tais. Mais mes yeux me trahissent. Mon âme pleure, de n’être le centre d’affection de personne et de devoir faire semblant d’être heureuse ainsi. Ce que je peux être égoïste. Je ne devrais pas. Alors je prends sur moi.
Les choses sont beaucoup mieux ainsi. Je continuerais de rêver. A être à sa place, à porter un si beau prénom. Le sien. Pas le mien. Et sur ses lèvres, il le sera encore plus.
Sur toutes ces lèvres, tous ces prénoms. Le leur. Jamais le mien.
Jeu 24 Août 2006, 01:31 par
Lindsey sur L'amour en vrac
Mon Homme
Mon Homme,
Quand tu marches près de moi,
Je te vois comme
Un être rare, l’être aimé,
Et je m’abandonne.
J’aimerais que l’on s’arrête,
Nos mains tièdes enlacées,
J’aimerais que tu tournes la tête,
Pour te prendre un baiser.
Mais je me contente de ton profil,
Comme tu es beau en cadence de nos pas,
Et je préfèrerais être tranquille,
Blottie bien au chaud dans tes bras.
Tu penses à mille choses,
Tu ne souffles mot, tu réfléchis,
Je ne pense qu’à une chose,
Aux heures reculées de la nuit
Je me tais, je n’ose parler,
D’imaginer je me contente
Je rougirais de révéler,
Quelles pensées alors me hantent,
Le plus drôle à mes yeux,
Est d’observer les passants
Bien loin de ces fantasmes impétueux,
De ces pensées indécentes,
Car, en effet, qui pourrait croire,
Devant ce tableau si commun,
Que cette demoiselle-là,
A de telles pensées en chemin ?
Comme il est bon de pouvoir penser
Au su de tous et de toutes
De fantasmer, de divaguer,
Sans que personne ne se doute !
Mais revenons à nos moutons
A ce qui dans ma tête gigote,
Je ne parle pas de mes sentiments,
Juste de l’idée d’enlever ma culotte
Mais tu poursuis ta course folle,
Dépêche-toi on va être en retard !
Tu ne veux pas rater l’idole,
Qui joue ce soir un boulevard.
Alexandra
Quand tu marches près de moi,
Je te vois comme
Un être rare, l’être aimé,
Et je m’abandonne.
J’aimerais que l’on s’arrête,
Nos mains tièdes enlacées,
J’aimerais que tu tournes la tête,
Pour te prendre un baiser.
Mais je me contente de ton profil,
Comme tu es beau en cadence de nos pas,
Et je préfèrerais être tranquille,
Blottie bien au chaud dans tes bras.
Tu penses à mille choses,
Tu ne souffles mot, tu réfléchis,
Je ne pense qu’à une chose,
Aux heures reculées de la nuit
Je me tais, je n’ose parler,
D’imaginer je me contente
Je rougirais de révéler,
Quelles pensées alors me hantent,
Le plus drôle à mes yeux,
Est d’observer les passants
Bien loin de ces fantasmes impétueux,
De ces pensées indécentes,
Car, en effet, qui pourrait croire,
Devant ce tableau si commun,
Que cette demoiselle-là,
A de telles pensées en chemin ?
Comme il est bon de pouvoir penser
Au su de tous et de toutes
De fantasmer, de divaguer,
Sans que personne ne se doute !
Mais revenons à nos moutons
A ce qui dans ma tête gigote,
Je ne parle pas de mes sentiments,
Juste de l’idée d’enlever ma culotte
Mais tu poursuis ta course folle,
Dépêche-toi on va être en retard !
Tu ne veux pas rater l’idole,
Qui joue ce soir un boulevard.
Alexandra
Mer 07 Juin 2006, 14:48 par
harmonie sur Parler d'amour
La vie à deux
La vie à "Deux" est une drôle de vie!
Deux n’est jamais seule ,mais, est toujours en quête d’autonomie, de solitude, de nostalgie... Deux a le chic pour vous inviter dans sa vie et puis, un jour, de vous laisser, là, sur le bord du chemin.
Mais la vie a "Deux" je l’adore!!! Elle est pleine d’extravagance, de coups de folie, de remise en cause, d’énervements, de chagrin...
Je n’arrive pas à me passer de la vie à Deux. Ainsi, je me laisse aller au gré de la fureur , tout aussi bien, que de la plénitude la plus parfaite.
En fait, je suis peut-être fait pour la vie à Deux! Par contre, je ne lui dirai jamais celà en ces termes!!! Trop risqué! Trop difficile! Elle va m’envoyer une salve de commentaires ascerbes et certainement justifiés ( ce qui m’énervera d’autant plus...)!
Peu importe, je me tais et continue d’apprécier la vie à "Deux"!!!
Deux n’est jamais seule ,mais, est toujours en quête d’autonomie, de solitude, de nostalgie... Deux a le chic pour vous inviter dans sa vie et puis, un jour, de vous laisser, là, sur le bord du chemin.
Mais la vie a "Deux" je l’adore!!! Elle est pleine d’extravagance, de coups de folie, de remise en cause, d’énervements, de chagrin...
Je n’arrive pas à me passer de la vie à Deux. Ainsi, je me laisse aller au gré de la fureur , tout aussi bien, que de la plénitude la plus parfaite.
En fait, je suis peut-être fait pour la vie à Deux! Par contre, je ne lui dirai jamais celà en ces termes!!! Trop risqué! Trop difficile! Elle va m’envoyer une salve de commentaires ascerbes et certainement justifiés ( ce qui m’énervera d’autant plus...)!
Peu importe, je me tais et continue d’apprécier la vie à "Deux"!!!
Ven 03 Déc 2004, 09:59 par
morgana sur La vie à deux
Je sais pas, un peu tout et rien doit etre une déception
Bonjour, je me lance............. Il est joli ce site !!
Rien ne doit etre une deception... Et pourquoi pas ... Pourquoi a-t-on inventé le mot déception, si rien ne doit etre une déception.
Peut être que c’est un idéal de dire qu’on est jamais décu, une facon de dire qu’on a aimé et que rien n’y peut changer. Mais pourtant qui n’a jamais été décu ?
Qui n’a jamais cru et a finalement été cuit ...
Finalement peut etre oui, que comme dit le poete "je garde des séquelles et je sais qu’elle sait que le silence est d’or, alors je me tais"...
J’aimerais me taire mais je n’y arrive pas, combien j’admire ces gens qui ne regrettent ni ne sont décus, quelle force ou quelle liberté renferment-ils, quelle vérité ont ils compris que je n’ai pas encore touché du doigt.
Parfois je me demande si je souffre plus que d’autres ou si les autres souffrent autant. Sommes tous tous égaux devant l’amour ? Sommes nous si libres que cela ? Je sais pas.
L’amour enfant de bohème nous balade au gré du vent sans nous demander notre avis, il nous pénétre et s’échappe, oh le vilain !!
Courant de vie, courant d’air, courant de rien et pourtant courant de tout qui part parfois en courant ...
Et si je pouvais décider que j’aime ou pas, si je maitrisais ce zigoto qui viens et qui s’en va ... Courant d’air, parts pas par la !! A quoi servirais de pouvoir cela.
L’amour c’est une fleur, un arbre, le fruit d’une graine qui germe... Une pulsion de vie, la lumière d’un jour clair. Il égaie l’existance et demande ardemment d’être arrosé. Deux arrosoirs a amour s’échinent alors a l’entretenir, a le faire pousser tantot au goutte a goutte, tantot a grande eau quand la sécheresse survient. Deux arrosoirs qui s’usent, que l’on raccomode, que l’on essaie tant bien que mal de garder étanches. Deux arrosoirs de tailles différentes, de débits différents, deux arrosoirs qui se vident petit à petit, vivement l’aide de la pluie.
Bon et le net !!! Journal d’un poilu
: Dans leurs complets bleus sur le front, blottis dans le terrier humide d’une tranchée certains soldats écrivaient. Ils écrivaient a une bien aimée, une personne qu’ils aimaient a travers un courrier. J’ai entendu dire que certaines de ces couples épistolaires ne s’étaient jamais vus. Que leurs lettres avaient été un lien vital, un espoir, une source de vie. Pourtant la rencontre, la confrontation avec la réalité parfois remettait tout en question. De ce coté Internet, n’a rien inventé... Pourquoi je pense à ca
.
Et oui !! Ce qui manque dans tout ces paragraphes c’est plaisir. Je n’y voit que la peur de l’éphèmère, la peur du vivant, du début, de la fin... L’amour est vivant !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
L’amour c’est du plaisir. C’est un miroir arrangeant qui nous dit je t’aime !!!!!!! Parfois plus que ce que nous nous le disons. Mais notre amour aussi est un miroir pour l’autre dans lequel, espérons-le ils se sent aimé. Bon All We Need Is Love. PAPADAM PADAM...















Sam 15 Nov 2003, 23:49 par
Calimero,Steph & Cie sur Amour internet
Ecrire sur tais

Il y a 9 textes utilisant le mot tais. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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