Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur tendrement - Page 5 sur 7
A toi, petite mère
Pour celle qui a porté ma vie, a porté mes jours
Et veillé sur les nuits de mon enfance ;
Lorsque la fièvre, la maladie, m’avaient clouée au lit.
Pour celle qui chantait pour moi des mélopées,
jouait et savait des histoires qui m’enchantaient.
Pour celle qui mettait son cœur à cuisiner,
Coudre, repasser, laver et tout autre labeur...
Pour celle qui n’a pas compté son temps, son amour et ses heures
Et pour tout ça n’a pas reçu un seul trophée.
A toi, Maman, qui a vieilli, que le temps a affaibli,
Dans mon cœur encore aujourd’hui, maman chérie,
Laisse-moi te prendre dans mes bras et tendrement te dire : « merci »...
Dolce
Et veillé sur les nuits de mon enfance ;
Lorsque la fièvre, la maladie, m’avaient clouée au lit.
Pour celle qui chantait pour moi des mélopées,
jouait et savait des histoires qui m’enchantaient.
Pour celle qui mettait son cœur à cuisiner,
Coudre, repasser, laver et tout autre labeur...
Pour celle qui n’a pas compté son temps, son amour et ses heures
Et pour tout ça n’a pas reçu un seul trophée.
A toi, Maman, qui a vieilli, que le temps a affaibli,
Dans mon cœur encore aujourd’hui, maman chérie,
Laisse-moi te prendre dans mes bras et tendrement te dire : « merci »...
Dolce
Dim 28 Mai 2006, 08:10 par
dolce vita sur Mille choses
Nos routes se sont croisées
A toi qui es si proche de moi,
A toi qui me ressemble tant.
Je ne suis en rien ce que tu espères,
Tu n’as rien de celui que j’attends.
Et ce soir, nos êtres en prière
Nous nous aimerons tendrement :
Un peu comme une sœur, comme un frère,
Un peu aussi comme deux amants.
Et au creux de tes bras la tendresse
De se savoir aimés vraiment.
On laissera dehors la colère,
Le mal, la souffrance, les jugements...
Comme deux enfants solitaires
Vivant d’Amour intensément.
Un jour viendra où, sur cette terre,
Tous deux nous nous éloignerons
Ce soir peut-être, ou demain même
Chacun reprendra son bâton...
A toi qui me ressemble tant.
Je ne suis en rien ce que tu espères,
Tu n’as rien de celui que j’attends.
Et ce soir, nos êtres en prière
Nous nous aimerons tendrement :
Un peu comme une sœur, comme un frère,
Un peu aussi comme deux amants.
Et au creux de tes bras la tendresse
De se savoir aimés vraiment.
On laissera dehors la colère,
Le mal, la souffrance, les jugements...
Comme deux enfants solitaires
Vivant d’Amour intensément.
Un jour viendra où, sur cette terre,
Tous deux nous nous éloignerons
Ce soir peut-être, ou demain même
Chacun reprendra son bâton...
Ven 26 Mai 2006, 12:41 par
dolce vita sur Parler d'amour
Voyage initiatique
La séparation
Ils s’étaient retrouvés une fois encore loin de tout et de tout le monde.
A chaque rencontre, ils se sentaient de plus en plus attirés l’un par l’autre.
Ils se voulaient libres, tout les rapprochait : les mots qu’ils savaient si bien
se dire et se murmurer tendrement, le son de leur voix qui éveillait leur sensualité,
leurs souffrances qu’ils avaient partagées, leur désir de jouir infiniment et sans tabou
Ils avaient vibré très fort ensemble, ils auraient voulu ne faire qu’un dans un orgasme
sans fin mais lui n’était pas encore totalement prêt.
Il a décidé de partir, de prendre la mer, de naviguer à la recherche de la Vérité Absolue
Elle l’a laissé partir car elle l’aimait libre, lui a offert un poême, lui a dit un dernier
« Je t’aime ».
En guise d’adieu, il a posé son doigt sur ses lèvres, lui a pris la main, l’a entrainée dans la nuit
pour rejoindre son embarcation où il l’a quittée dans le silence du soir………….
Coup de Coeur ..........
Ils s’étaient retrouvés une fois encore loin de tout et de tout le monde.
A chaque rencontre, ils se sentaient de plus en plus attirés l’un par l’autre.
Ils se voulaient libres, tout les rapprochait : les mots qu’ils savaient si bien
se dire et se murmurer tendrement, le son de leur voix qui éveillait leur sensualité,
leurs souffrances qu’ils avaient partagées, leur désir de jouir infiniment et sans tabou
Ils avaient vibré très fort ensemble, ils auraient voulu ne faire qu’un dans un orgasme
sans fin mais lui n’était pas encore totalement prêt.
Il a décidé de partir, de prendre la mer, de naviguer à la recherche de la Vérité Absolue
Elle l’a laissé partir car elle l’aimait libre, lui a offert un poême, lui a dit un dernier
« Je t’aime ».
En guise d’adieu, il a posé son doigt sur ses lèvres, lui a pris la main, l’a entrainée dans la nuit
pour rejoindre son embarcation où il l’a quittée dans le silence du soir………….
Coup de Coeur ..........
Mar 16 Mai 2006, 11:52 par
coupdecoeur sur Histoires d'amour
Promenade poétique.
Allée des poètes,
Bois du Grand Bon Dieu
Ce petit bois qui sent l’amour
L’amour nature, l’amour passion, qui sent nous, mon amour
Deux adolescents se promènent main dans la main
Corps contre corps
Deux adolescents ou deux enfants?
On est si jeune lorsqu’on aime encore
Les yeux dans les yeux dans un corps à corps
Un bouleau à l’écorce si lisse et si douce
Les regarde tendrement passer
Les branches se penchent pour mieux les caresser
Si lisse et si douce et eux si tendrement enlacés
Le sol du petit sous-bois constamment en mouvance
Crie doucement sous leurs pas
Les moineaux devenus soudain silencieux
Ecoutent leurs tendres baisers
Les mésanges se racontent les soupirs
Au détour du chemin ils se tiennent par la main
Et le Bon Dieu veille sur eux.
Bois du Grand Bon Dieu
Ce petit bois qui sent l’amour
L’amour nature, l’amour passion, qui sent nous, mon amour
Deux adolescents se promènent main dans la main
Corps contre corps
Deux adolescents ou deux enfants?
On est si jeune lorsqu’on aime encore
Les yeux dans les yeux dans un corps à corps
Un bouleau à l’écorce si lisse et si douce
Les regarde tendrement passer
Les branches se penchent pour mieux les caresser
Si lisse et si douce et eux si tendrement enlacés
Le sol du petit sous-bois constamment en mouvance
Crie doucement sous leurs pas
Les moineaux devenus soudain silencieux
Ecoutent leurs tendres baisers
Les mésanges se racontent les soupirs
Au détour du chemin ils se tiennent par la main
Et le Bon Dieu veille sur eux.
Mar 25 Avril 2006, 12:05 par
Hécate sur L'amour en vrac
Le souffle... silencieux
Entre toi et moi il y a la tendresse avant tout ,
et puis l’amour simplement
mais si fort, si là
avec le besoin de se voir
de se toucher, de s’aimer
tendrement... Passionnément...
Intensément... Tout le temps
notre amour est dans ce mouvement-là
celui qui dit plus
celui qui dit encore
toi dans mes bras
Nous... Ensemble... Enfin...
Et plonger dans le regard de l’autre
dans ton regard mon amour
être dans tes yeux
tant je saisis leur fraîcheur
ceux là, si doux, si denses, si flamboyants
ceux qui disent les mots silencieux
ceux que je sais
ceux que je devine
ceux que j’espère
et oui je veux partager tout ce temps avec toi
notre temps à nous
ce temps si précieux
et oublier...
Celui perdu qui ne reviendra plus
et pester de ce qui nous sépare
chaque instant hors de toi
est comme un égarement
mais je sais dans ta voix
comme dans la mienne
monter le ton de la révolte
et dans cette émotion-là
tu sais celle
qui nous laisse dans cet état
d’un souffle silencieux qui nous submerge brusquement
et dont on ne se remet pas
une onde magnifique qui nous traverse
de part en part et qui se s’arrête pas...
Qui ne s’arrête plus...
Mon amour... Mon amour
et puis l’amour simplement
mais si fort, si là
avec le besoin de se voir
de se toucher, de s’aimer
tendrement... Passionnément...
Intensément... Tout le temps
notre amour est dans ce mouvement-là
celui qui dit plus
celui qui dit encore
toi dans mes bras
Nous... Ensemble... Enfin...
Et plonger dans le regard de l’autre
dans ton regard mon amour
être dans tes yeux
tant je saisis leur fraîcheur
ceux là, si doux, si denses, si flamboyants
ceux qui disent les mots silencieux
ceux que je sais
ceux que je devine
ceux que j’espère
et oui je veux partager tout ce temps avec toi
notre temps à nous
ce temps si précieux
et oublier...
Celui perdu qui ne reviendra plus
et pester de ce qui nous sépare
chaque instant hors de toi
est comme un égarement
mais je sais dans ta voix
comme dans la mienne
monter le ton de la révolte
et dans cette émotion-là
tu sais celle
qui nous laisse dans cet état
d’un souffle silencieux qui nous submerge brusquement
et dont on ne se remet pas
une onde magnifique qui nous traverse
de part en part et qui se s’arrête pas...
Qui ne s’arrête plus...
Mon amour... Mon amour
Jeu 20 Avril 2006, 13:41 par
Tanit sur La vie à deux
PIGEONS
PIGEONS,
Deux pigeons roucoulent sur le bord d’une corniche
Ils se tiennent du bout de l’aile et se parlent tendrement
Parfois ils s’éloignent
De peur de montrer leur complicité amoureuse
Leurs becs se touchent et se caressent tendrement
La douceur se tient juste à côté sur le bord de la corniche
L’amour est juste de l’autre côté discret et secret
Veillant tous deux sur cet amour naissant
Leur amour est si neuf qu’il ne faut pas l’ébruiter
Leur amour est si tendre qu’il ne faut pas le brusquer
Leur amour est si doux qu’il doit être cocooné
Leur amour est si fort qu’il doit être calmé
Roucoulez mes chers amis
Aimez-vous tendrement
Repoussez le temps
Ignorez les vents.
Deux pigeons roucoulent sur le bord d’une corniche
Ils se tiennent du bout de l’aile et se parlent tendrement
Parfois ils s’éloignent
De peur de montrer leur complicité amoureuse
Leurs becs se touchent et se caressent tendrement
La douceur se tient juste à côté sur le bord de la corniche
L’amour est juste de l’autre côté discret et secret
Veillant tous deux sur cet amour naissant
Leur amour est si neuf qu’il ne faut pas l’ébruiter
Leur amour est si tendre qu’il ne faut pas le brusquer
Leur amour est si doux qu’il doit être cocooné
Leur amour est si fort qu’il doit être calmé
Roucoulez mes chers amis
Aimez-vous tendrement
Repoussez le temps
Ignorez les vents.
Lun 10 Avril 2006, 14:23 par
Hécate sur Histoires d'amour
Merci
MERCI,
Merci pour ces moments partagés
Merci pour cette promenade
Où tendrement enlacés nous avons déambulé
Des rues étroites et complices
De notre intimité
Merci d’avoir si bien su m’entendre et m’écouter
Afin de me permettre d’avoir accès à mon Ame
Merci pour tout merci pour rien
Merci pour les rires merci pour les larmes
Et surtout merci pour le chagrin
Mes larmes ont pu nettoyer
Mes rêves et mes pensées
Aujourd’hui je regarde l’avenir dans sa réalité
Et j’ai abandonné l’illusion de ma vie
Le chagrin est toujours présent
Mais bientôt je sais qu’il me propulsera
Vers une merveilleuse création de moi
Merci, merci, merci, merci.
Merci pour ces moments partagés
Merci pour cette promenade
Où tendrement enlacés nous avons déambulé
Des rues étroites et complices
De notre intimité
Merci d’avoir si bien su m’entendre et m’écouter
Afin de me permettre d’avoir accès à mon Ame
Merci pour tout merci pour rien
Merci pour les rires merci pour les larmes
Et surtout merci pour le chagrin
Mes larmes ont pu nettoyer
Mes rêves et mes pensées
Aujourd’hui je regarde l’avenir dans sa réalité
Et j’ai abandonné l’illusion de ma vie
Le chagrin est toujours présent
Mais bientôt je sais qu’il me propulsera
Vers une merveilleuse création de moi
Merci, merci, merci, merci.
Dim 09 Avril 2006, 11:05 par
Hécate sur Histoires d'amour
Une chanson triste.
Entre tous il y avait ce petit garçon qui l’attendait. Avec son bout de papier. Avec ses yeux perdus. Avec ses yeux déterminés, aussi. Il oublia un instant les appels des admiratrices aux visages marqués de liesse désespérée, celles qui hurlaient son nom dans la supplique et il avança vers le petit bout d’homme.
Le gamin devait avoir une dizaine d’années. Son visage encore rondelet prenait les traits de l’adolescence, mais son regard était déjà celui d’un homme. Campé dans ses tennis, il résistait à la houle pressante des admirateurs massée autour de lui. Il le regardait, droit dans les yeux, il le regardait plus comme quelqu’un qu’on attend que comme quelqu’un qu’on espère.
Il s’arrêta devant lui. Le gamin fouilla dans la poche arrière de son pantalon et sortit une photo. Sans le quitter des yeux une seule seconde. Et il tendit la photo au chanteur.
« C’est ta sœur ? Vous avez les mêmes yeux… »
Le gamin opina.
« Et elle n’a pas pu venir au concert ? » poursuivit le chanteur.
Le gamin opina de rechef.
Le chanteur sortit son stylo, et alors qu’il s’apprêtait à faire son autographe, il suspendit son geste. Il ne savait pas où écrire sur cette photo, quelque chose l’empêchait de raturer le visage de cette admiratrice. Il arrêta la contemplation de ce visage inconnu et replongea ses yeux dans ceux du garçon.
« Ecrivez au dos … » suggéra l’enfant comme s’il avait compris le doute du chanteur.
« Pas bête. Et… tu veux que j’écrive quelque chose de spécial pour elle ? » enchaîna-t-il tout en retournant la photo.
« Oui. »
« Vas y, dis moi »
« Vous allez écrire : pardon de t’avoir fait pleurer. »
Le chanteur resta un instant dans les yeux du gamin, puis s’exécuta docilement. Il signa avec attention cet étrange petit mot et relut une dernière fois l’ensemble. Il retourna la photo et contempla à nouveau le visage.
« Si elle vous plaît tant, pourquoi vous la faites pleurer ? », demanda le petit garçon en reprenant des mains du chanteur la photo de sa sœur.
« Elle pleure sur mes chansons, c’est ça ? », demanda le chanteur.
« Oui, tout le temps et elle dit qu’elle vous aime, que vous êtes beau. »
« Et toi, tu ne m’aimes pas trop, on dirait, hein ? »
« Non. Vous n’êtes pas beau et vous êtes triste. Je ne vous aime pas. Je vous déteste», cria le gamin dans un sanglot.
Devant la force de cet enfant, le chanteur se trouva désarmé. Le gamin avait raison, ce qu’il chantait, c’était très bien pour bouleverser les âmes, mais ça ne pouvait pas tromper un enfant. Combien comme ce gamin avaient une sœur qui l’adorait parce qu’il les rendait triste. Combien ? Un frisson de tristesse le parcourut. Il s’accroupit pour se mettre à la hauteur des yeux du petit garçon sanglotant. De sa main, il lui souleva le menton et il essuya tendrement les petits ruisseaux de larmes sur les joues innocentes.
« Ecoute, tu diras à ta sœur que je suis sincèrement désolé de lui faire de la peine avec mes textes. Tu lui diras aussi que pour elle j’écrirai une chanson. Cette chanson ça sera comme un médicament pour sa peine. Et ce sera un médicament pour toutes celles à qui j’ai fait de la peine. Ca ne sera pas triste, ca ne sera plus jamais triste »
« C’est vrai, vous allez faire ça ? », demanda le gamin aux yeux mouillés.
« Oui, je commence ce soir, je te le jure »
Le gamin regarda la photo, puis la remit précieusement dans la poche arrière de son pantalon. Il regarda le chanteur dans le fond des yeux, cherchant à comprendre qu’est ce qui pouvait bien y avoir dans ces yeux là.
« Alors, peut être que si vous faites ça, je vous trouverai beau. »
Il pivota sur ses talons et s’en alla dans la foule.
Le gamin devait avoir une dizaine d’années. Son visage encore rondelet prenait les traits de l’adolescence, mais son regard était déjà celui d’un homme. Campé dans ses tennis, il résistait à la houle pressante des admirateurs massée autour de lui. Il le regardait, droit dans les yeux, il le regardait plus comme quelqu’un qu’on attend que comme quelqu’un qu’on espère.
Il s’arrêta devant lui. Le gamin fouilla dans la poche arrière de son pantalon et sortit une photo. Sans le quitter des yeux une seule seconde. Et il tendit la photo au chanteur.
« C’est ta sœur ? Vous avez les mêmes yeux… »
Le gamin opina.
« Et elle n’a pas pu venir au concert ? » poursuivit le chanteur.
Le gamin opina de rechef.
Le chanteur sortit son stylo, et alors qu’il s’apprêtait à faire son autographe, il suspendit son geste. Il ne savait pas où écrire sur cette photo, quelque chose l’empêchait de raturer le visage de cette admiratrice. Il arrêta la contemplation de ce visage inconnu et replongea ses yeux dans ceux du garçon.
« Ecrivez au dos … » suggéra l’enfant comme s’il avait compris le doute du chanteur.
« Pas bête. Et… tu veux que j’écrive quelque chose de spécial pour elle ? » enchaîna-t-il tout en retournant la photo.
« Oui. »
« Vas y, dis moi »
« Vous allez écrire : pardon de t’avoir fait pleurer. »
Le chanteur resta un instant dans les yeux du gamin, puis s’exécuta docilement. Il signa avec attention cet étrange petit mot et relut une dernière fois l’ensemble. Il retourna la photo et contempla à nouveau le visage.
« Si elle vous plaît tant, pourquoi vous la faites pleurer ? », demanda le petit garçon en reprenant des mains du chanteur la photo de sa sœur.
« Elle pleure sur mes chansons, c’est ça ? », demanda le chanteur.
« Oui, tout le temps et elle dit qu’elle vous aime, que vous êtes beau. »
« Et toi, tu ne m’aimes pas trop, on dirait, hein ? »
« Non. Vous n’êtes pas beau et vous êtes triste. Je ne vous aime pas. Je vous déteste», cria le gamin dans un sanglot.
Devant la force de cet enfant, le chanteur se trouva désarmé. Le gamin avait raison, ce qu’il chantait, c’était très bien pour bouleverser les âmes, mais ça ne pouvait pas tromper un enfant. Combien comme ce gamin avaient une sœur qui l’adorait parce qu’il les rendait triste. Combien ? Un frisson de tristesse le parcourut. Il s’accroupit pour se mettre à la hauteur des yeux du petit garçon sanglotant. De sa main, il lui souleva le menton et il essuya tendrement les petits ruisseaux de larmes sur les joues innocentes.
« Ecoute, tu diras à ta sœur que je suis sincèrement désolé de lui faire de la peine avec mes textes. Tu lui diras aussi que pour elle j’écrirai une chanson. Cette chanson ça sera comme un médicament pour sa peine. Et ce sera un médicament pour toutes celles à qui j’ai fait de la peine. Ca ne sera pas triste, ca ne sera plus jamais triste »
« C’est vrai, vous allez faire ça ? », demanda le gamin aux yeux mouillés.
« Oui, je commence ce soir, je te le jure »
Le gamin regarda la photo, puis la remit précieusement dans la poche arrière de son pantalon. Il regarda le chanteur dans le fond des yeux, cherchant à comprendre qu’est ce qui pouvait bien y avoir dans ces yeux là.
« Alors, peut être que si vous faites ça, je vous trouverai beau. »
Il pivota sur ses talons et s’en alla dans la foule.
Sam 25 Mars 2006, 14:09 par
PetitPrince sur Un monde parfait
Pluie de nuits
Il pleut tendrement dirait-on
Les toits s’égouttent sur les pas des portes ... entre-ouvertes
Comme délicatement
Le ciel essore ses derniers nuages
L’espace humide flotte
Ça s’écoute sans bruit
Et des brumes
Dans l’air
Et un chuchotement
Les gouttes
Embrassent la mer
Les toits s’égouttent sur les pas des portes ... entre-ouvertes
Comme délicatement
Le ciel essore ses derniers nuages
L’espace humide flotte
Ça s’écoute sans bruit
Et des brumes
Dans l’air
Et un chuchotement
Les gouttes
Embrassent la mer
Ven 03 Mars 2006, 14:27 par
Kit sur Un monde parfait
La photo cornée
La photo est cornée et légèrement abîmée. Elle fut tellement vue, tellement regardée, qu’elle en a gardé des marques à tout jamais. Les visages se sont illuminés en voyant le regard pétillant de malice et de bonheur de la mariée. Elle est coiffée d’un joli voile blanc, parsemé de petites perles nacrées. La jeune femme sourit à cet homme qui se trouve à ses cotés. Combien ils semblent heureux en ce jour si particulier !
Le marié, car il ne fait aucun doute sur son identité, a le sourire charmeur et fixe son épouse avec tendresse. Regardez l’étincelle d’humour et d’amour qui illumine son regard. Ils ont à peine 30 ans, et l’on sent qu’ils ont le bonheur entre les mains, pour tous leurs lendemains. Leurs mains sont jointes, entrelacées comme pour ne jamais se séparer. Ils semblent coupés du monde, comme si ils ne vivaient pas sur la même planète que nous, tant leur amour semble fort et hors du temps.
Lentement on referme l’album dans lequel se trouve cet instant de pur bonheur. La main ridée passe tendrement sur la couverture pour se poser sur celle qui se trouve à coté. La femme et l’homme aux visages marqués par le temps, se lancent alors le même regard d’amour qu’il y a quelques années.... sur la photo cornée.
Le marié, car il ne fait aucun doute sur son identité, a le sourire charmeur et fixe son épouse avec tendresse. Regardez l’étincelle d’humour et d’amour qui illumine son regard. Ils ont à peine 30 ans, et l’on sent qu’ils ont le bonheur entre les mains, pour tous leurs lendemains. Leurs mains sont jointes, entrelacées comme pour ne jamais se séparer. Ils semblent coupés du monde, comme si ils ne vivaient pas sur la même planète que nous, tant leur amour semble fort et hors du temps.
Lentement on referme l’album dans lequel se trouve cet instant de pur bonheur. La main ridée passe tendrement sur la couverture pour se poser sur celle qui se trouve à coté. La femme et l’homme aux visages marqués par le temps, se lancent alors le même regard d’amour qu’il y a quelques années.... sur la photo cornée.
Lun 13 Fév 2006, 19:38 par
Alvyane sur La vie à deux
Rue du Regard
Rue du regard
Couleurs de rêves et couleurs de féeries,
La rue de Rennes , la rue du cherche midi,
Croisent prés de Saint –Sulpice la rue du regard,
C’est là que j’aime déambuler au hasard.
Perdue dans mes pensées, à l’ombre des platanes
Alors que la lumière du jour décroît, je flâne
Les coins de rues se succèdent à l’infini
Guidant mes pas, rue du regard, sans un bruit
Ma vue est flattée par une silhouette,
Le visage couvert d’une fine voilette.
La ligne est élégante, féline, racée,
Emu, troublé, mes yeux ne peuvent s’en détacher
Dans le reflet des vitrines encore éclairées
J’entr’aperçois derrière ma voilette abaissée
Celui qui, timidement m’adresse un sourire,
Son regard rivé au mien… à m’en faire rougir
Tout me revient en désordre dans ma mémoire,
Cette élégance, ce galbe et ce regard !
Intact en moi j’ai gardé , telle une empreinte,
Nos rires, nos complicités,et nos étreintes
Sans l’ombre d’un doute, les souvenirs m’assaillent
C’est bien lui qui m’enlaçait tendrement par la taille
Des années en arrière, le temps des jours heureux
Me couvrant des pieds à la tête de baisers fougueux
Elle me couve du regard, ses yeux pétillent,
Là dans cette rue les souvenirs défilent.
Les frissons de son corps exalté et éperdu,
Sa peau perlée de sueur, sa bouche ingénue.
Le parfum de sa peau, je n’ai pas oublié
Alors qu’il s’approche de moi de plus en près
Son regard de braise, son souffle dans mon cou
Réveillent en moi la flamme du désir, je l’avoue
J’effleure sa main, une lueur traverse ses yeux bleus,
Je le perçois très bien, l’occurrence l’émeu !
J’ai toujours su et m’en suis douté du reste,
Elle m’a encore dans la peau c’est manifeste…
Tout mon corps en appelle aux douces caresses
Que ses mains me prodiguaient avec tendresse
Il sait très bien que je n’ai jamais pu résister
A ce feu que dans mes veines il savait distiller
Les prunelles chargées de désirs et d’audaces,
Elle dépose sur mes lèvres un baiser fugace.
Puis prends ma main dans un geste de connivence,
Sourit et me conduit vers de nouvelles outrances.
De murmures en soupirs, nos corps enlacés
S’étreignent d’une passion à peine dissimulée
Là, sous le porche, dans la rue du regard
A l’encre de feu renaissent nos espoirs.
Gemma et Vers à soi
Couleurs de rêves et couleurs de féeries,
La rue de Rennes , la rue du cherche midi,
Croisent prés de Saint –Sulpice la rue du regard,
C’est là que j’aime déambuler au hasard.
Perdue dans mes pensées, à l’ombre des platanes
Alors que la lumière du jour décroît, je flâne
Les coins de rues se succèdent à l’infini
Guidant mes pas, rue du regard, sans un bruit
Ma vue est flattée par une silhouette,
Le visage couvert d’une fine voilette.
La ligne est élégante, féline, racée,
Emu, troublé, mes yeux ne peuvent s’en détacher
Dans le reflet des vitrines encore éclairées
J’entr’aperçois derrière ma voilette abaissée
Celui qui, timidement m’adresse un sourire,
Son regard rivé au mien… à m’en faire rougir
Tout me revient en désordre dans ma mémoire,
Cette élégance, ce galbe et ce regard !
Intact en moi j’ai gardé , telle une empreinte,
Nos rires, nos complicités,et nos étreintes
Sans l’ombre d’un doute, les souvenirs m’assaillent
C’est bien lui qui m’enlaçait tendrement par la taille
Des années en arrière, le temps des jours heureux
Me couvrant des pieds à la tête de baisers fougueux
Elle me couve du regard, ses yeux pétillent,
Là dans cette rue les souvenirs défilent.
Les frissons de son corps exalté et éperdu,
Sa peau perlée de sueur, sa bouche ingénue.
Le parfum de sa peau, je n’ai pas oublié
Alors qu’il s’approche de moi de plus en près
Son regard de braise, son souffle dans mon cou
Réveillent en moi la flamme du désir, je l’avoue
J’effleure sa main, une lueur traverse ses yeux bleus,
Je le perçois très bien, l’occurrence l’émeu !
J’ai toujours su et m’en suis douté du reste,
Elle m’a encore dans la peau c’est manifeste…
Tout mon corps en appelle aux douces caresses
Que ses mains me prodiguaient avec tendresse
Il sait très bien que je n’ai jamais pu résister
A ce feu que dans mes veines il savait distiller
Les prunelles chargées de désirs et d’audaces,
Elle dépose sur mes lèvres un baiser fugace.
Puis prends ma main dans un geste de connivence,
Sourit et me conduit vers de nouvelles outrances.
De murmures en soupirs, nos corps enlacés
S’étreignent d’une passion à peine dissimulée
Là, sous le porche, dans la rue du regard
A l’encre de feu renaissent nos espoirs.
Gemma et Vers à soi
Ven 10 Fév 2006, 17:18 par
vers à soi sur Histoires d'amour
Premier rendez-vous
Je vis la préparation pour un premier rendez-vous en amoureux, comme un rituel, telles les geishas attendant la visite de leur époux. L’avant fait partie intégrante de la rencontre en elle-même, la conditionne. J’aime avoir mon esprit concentré pendant quelques heures sur lui, sur la réussite de ces premiers instants pour qu’ils soient magiques.
Quels bijoux ? Quelle coiffure ? Et le soin du corps pour que je sois soyeuse sous ses mains, l’épilation, totale pour être lisse sous sa bouche, et toute à lui. Quel repas ? Quelle ambiance ? Quelle tenue pour m’offrir à lui, pour le surprendre, pour qu’il m’effeuille facilement ? Quelle lingerie ?
Ce moment de préparation est une délectation. Je me sens sereine, légèrement excitée, joyeuse. Ses quelques mots m’avaient déjà mise en transe. Je le sens, je le sais : cela va très bien fonctionner entre nous.
L’interphone sonne. Il est là.
Je sors le champagne rosé.
Je lui ouvre ma porte. Il entre. Il pénètre dans une ambiance feutrée. Chandelles, encens, lumière tamisée, musique douce. Un ou deux baisers légers. Tout dans la juste mesure. Il ne me saute pas dessus.
Une coupe de champagne et un baiser un peu plus appuyé.
Et son émerveillement, tel un regard d’enfant qui me fait craquer...J’aime sa lenteur, sa délectation à me découvrir, centimètre carré par centimètre carré. Il s’intéresse à mon décolleté assez profond. Pose son visage dessus, l’embrasse délicatement, ses doigts parcourant doucement mes seins. Comme s’il prenait maintes précautions à ne pas abîmer l’amante qu’il désire, et qu’il découvre dans la sublimité. Il veut savourer chaque moment pleinement. Il est totalement présent, là dans l’instant. Il a toujours ce regard émerveillé, tout en vérifiant où j’en suis, si j’apprécie ce qu’il me fait, si je m’abandonne à lui…
Il dégage légèrement mes seins opulents emprisonnés, pour embrasser mes tétons. Là encore il est comme subjugué comme s’il découvrait des merveilles.
Ses mains se baladent sous ma jupe, découvrent mes jarretelles sur mes cuisses, mes bas noirs en nylon, qui crissent. Je porte une culotte en dentelle fine noire. Une culotte coquine, fendue. Ses doigts parcourent légèrement et caressent mes lèvres lisses qui apparaissent parmi les dentelles. Ce tableau, cette sensation le ravit. Moi aussi. Avec toute cette douceur, ma tête part en arrière. Il ne résiste pas à venir embrasser mon sexe offert à lui tel une fleur épanouie, doucement, puis plus vigoureusement, puis doucement, de surprise en surprise…
Il est complètement en empathie, s’adapte totalement à moi, en fonction de mes réactions, de mes désirs. Il se donne entièrement à moi. Seul mon plaisir semble compter pour lui. Il me suce divinement. Je ressens qu’il adore le faire.
Je ne l’ai pas encore touché. Nous nous embrassons profondément.
La banquette n’était pas très confortable, nous poursuivons dans ma chambre, je me débarrasse de quelques vêtements et lui aussi. Je viens sur lui en masturbant mon sexe lisse avec son gland si doux. Puis l’inévitable se produit : il me pénètre, sa queue est idéale pour moi, je la ressens bien en moi sans qu’elle ne me fasse mal.
Il aime scruter mon plaisir dans mes yeux, me voir chavirer, et me demande, quand je pars : « regarde-moi », pendant qu’il me fait jouir amoureusement. Il m’envahi alors de son regard plein, brillant, d’aimant-amant…
Alors mon amant, jusqu’alors très féminin reprend sa virilité, sa puissance. Je n’ai de cesse d’embrasser de goûter ce beau sexe, mélangé à mes propres saveurs, et de m’amuser avec, jusqu’à ce qu’il jouisse au bord de ma bouche.
Nous nous embrassons tendrement, ravis. Il me caresse le visage. Il a toujours ses yeux plongés dans les miens, nous nous entendons si bien.
Nous nous restaurons un peu, discutons. Puis nous reprenons nos ébats cette fois un peu plus sauvages : il prend la place de mon rosebud rouge (le bijou anal que je porte spécialement pour lui, pour qu’il en découvre les délices), et me possède ainsi longuement, délicieusement et dans plusieurs positions. J’aime alors être sienne, chienne, à lui.
Nous nous endormons ensuite affectueusement.
Dans la nuit, ses mains douces et câlines me cherchent, comme pour vérifier que je suis bien là. Parfois, il s’emboîte derrière moi, tout contre moi, son sexe entre mes fesses, et il me fait un bisou dans le dos, croyant que je dors.
Je n’ai presque pas dormi. A chaque première rencontre, je n’arrive pas à dormir, malgré la fatigue. Je suis toute excitée de ces nouveautés partagées avec l’élu. Je récapitule ce qu’on s’est dit, ce qu’on a fait. J’ai rarement connu un homme aussi sensuel, aussi câlin et autant dans le don de soi. Tant d’hommes craignent de montrer leur affection, par peur de s’engager ensuite. Il m’a honorée comme si j’étais une reine. Je plane un peu et savoure mon bonheur.
Au petit matin, un dernier moment de plaisir avant de se dire au revoir. Cela réveille et met en forme. Je prépare le petit-déjeuner pendant qu’il se douche.
Il est temps de se quitter, baisers doux d’au revoir.
Il est à peine sorti que j’ai déjà hâte de me retrouver ses bras…
Lorely
Quels bijoux ? Quelle coiffure ? Et le soin du corps pour que je sois soyeuse sous ses mains, l’épilation, totale pour être lisse sous sa bouche, et toute à lui. Quel repas ? Quelle ambiance ? Quelle tenue pour m’offrir à lui, pour le surprendre, pour qu’il m’effeuille facilement ? Quelle lingerie ?
Ce moment de préparation est une délectation. Je me sens sereine, légèrement excitée, joyeuse. Ses quelques mots m’avaient déjà mise en transe. Je le sens, je le sais : cela va très bien fonctionner entre nous.
L’interphone sonne. Il est là.
Je sors le champagne rosé.
Je lui ouvre ma porte. Il entre. Il pénètre dans une ambiance feutrée. Chandelles, encens, lumière tamisée, musique douce. Un ou deux baisers légers. Tout dans la juste mesure. Il ne me saute pas dessus.
Une coupe de champagne et un baiser un peu plus appuyé.
Et son émerveillement, tel un regard d’enfant qui me fait craquer...J’aime sa lenteur, sa délectation à me découvrir, centimètre carré par centimètre carré. Il s’intéresse à mon décolleté assez profond. Pose son visage dessus, l’embrasse délicatement, ses doigts parcourant doucement mes seins. Comme s’il prenait maintes précautions à ne pas abîmer l’amante qu’il désire, et qu’il découvre dans la sublimité. Il veut savourer chaque moment pleinement. Il est totalement présent, là dans l’instant. Il a toujours ce regard émerveillé, tout en vérifiant où j’en suis, si j’apprécie ce qu’il me fait, si je m’abandonne à lui…
Il dégage légèrement mes seins opulents emprisonnés, pour embrasser mes tétons. Là encore il est comme subjugué comme s’il découvrait des merveilles.
Ses mains se baladent sous ma jupe, découvrent mes jarretelles sur mes cuisses, mes bas noirs en nylon, qui crissent. Je porte une culotte en dentelle fine noire. Une culotte coquine, fendue. Ses doigts parcourent légèrement et caressent mes lèvres lisses qui apparaissent parmi les dentelles. Ce tableau, cette sensation le ravit. Moi aussi. Avec toute cette douceur, ma tête part en arrière. Il ne résiste pas à venir embrasser mon sexe offert à lui tel une fleur épanouie, doucement, puis plus vigoureusement, puis doucement, de surprise en surprise…
Il est complètement en empathie, s’adapte totalement à moi, en fonction de mes réactions, de mes désirs. Il se donne entièrement à moi. Seul mon plaisir semble compter pour lui. Il me suce divinement. Je ressens qu’il adore le faire.
Je ne l’ai pas encore touché. Nous nous embrassons profondément.
La banquette n’était pas très confortable, nous poursuivons dans ma chambre, je me débarrasse de quelques vêtements et lui aussi. Je viens sur lui en masturbant mon sexe lisse avec son gland si doux. Puis l’inévitable se produit : il me pénètre, sa queue est idéale pour moi, je la ressens bien en moi sans qu’elle ne me fasse mal.
Il aime scruter mon plaisir dans mes yeux, me voir chavirer, et me demande, quand je pars : « regarde-moi », pendant qu’il me fait jouir amoureusement. Il m’envahi alors de son regard plein, brillant, d’aimant-amant…
Alors mon amant, jusqu’alors très féminin reprend sa virilité, sa puissance. Je n’ai de cesse d’embrasser de goûter ce beau sexe, mélangé à mes propres saveurs, et de m’amuser avec, jusqu’à ce qu’il jouisse au bord de ma bouche.
Nous nous embrassons tendrement, ravis. Il me caresse le visage. Il a toujours ses yeux plongés dans les miens, nous nous entendons si bien.
Nous nous restaurons un peu, discutons. Puis nous reprenons nos ébats cette fois un peu plus sauvages : il prend la place de mon rosebud rouge (le bijou anal que je porte spécialement pour lui, pour qu’il en découvre les délices), et me possède ainsi longuement, délicieusement et dans plusieurs positions. J’aime alors être sienne, chienne, à lui.
Nous nous endormons ensuite affectueusement.
Dans la nuit, ses mains douces et câlines me cherchent, comme pour vérifier que je suis bien là. Parfois, il s’emboîte derrière moi, tout contre moi, son sexe entre mes fesses, et il me fait un bisou dans le dos, croyant que je dors.
Je n’ai presque pas dormi. A chaque première rencontre, je n’arrive pas à dormir, malgré la fatigue. Je suis toute excitée de ces nouveautés partagées avec l’élu. Je récapitule ce qu’on s’est dit, ce qu’on a fait. J’ai rarement connu un homme aussi sensuel, aussi câlin et autant dans le don de soi. Tant d’hommes craignent de montrer leur affection, par peur de s’engager ensuite. Il m’a honorée comme si j’étais une reine. Je plane un peu et savoure mon bonheur.
Au petit matin, un dernier moment de plaisir avant de se dire au revoir. Cela réveille et met en forme. Je prépare le petit-déjeuner pendant qu’il se douche.
Il est temps de se quitter, baisers doux d’au revoir.
Il est à peine sorti que j’ai déjà hâte de me retrouver ses bras…
Lorely
Lun 06 Fév 2006, 00:15 par
Lorely sur Les liaisons sulfureuses
Passion
La passion que nous avons l’Un pour l’Autre s’exprime...
Cette Passion qui ne se soumet à rien, et à qui,
au contraire, toutes choses se soumettent.
Notre désir est à fleur de peau et
chaque caresse offerte amène nos corps
vers une excitation grandissante.
Mes seins durcis par le plaisir du toucher,
le torse de l’Etre aimé bombé par l’Envie
font que nos corps commencent
à entrer en totale communion prêts
à recevoir des caresses plus intimes.
Nos corps s’entrelacent et les caresses deviennent si intenses...
Que nous nous aventurons vers un chemin plus intime de nos corps.
Ma main s’aventure à caresser son ventre
Pendant que la sienne continue à découvrir les formes de mon corps.
Les effleurements de nos doigts nous procurent un plaisir immense,
Celui du désir pas encore consommé,
Ces préliminaires qui nous préparent à ressentir d’autant plus fort
Le plaisir, puisqu’il nous envahit
Lentement, doucement, intensément..
Ma main descend encore et encore,
prête à offrir de tendres caressses
à cet organe de son corps
qui représente la masculinité
au plus profond de son sens.
Je vois l’Etre aimé réceptif à mes offrandes de plaisir
Et lentement seul le plaisir est Notre communion.
Sa main tente d’approcher ce jardin si secret
Qu’est celui d’une femme,
Là où les plaisirs sont cachés.
A cet instant présent, nous sommes en parfaite osmose
Où ce n’est plus la raison qui commande nos actes mais la passion....
Il découvre lentement la douceur de mon désir
Pendant que je m’attarde tendrement
Sur cette partie si intime de lui
Et qui à elle seule me montre son Envie.
Cette Passion qui ne se soumet à rien, et à qui,
au contraire, toutes choses se soumettent.
Notre désir est à fleur de peau et
chaque caresse offerte amène nos corps
vers une excitation grandissante.
Mes seins durcis par le plaisir du toucher,
le torse de l’Etre aimé bombé par l’Envie
font que nos corps commencent
à entrer en totale communion prêts
à recevoir des caresses plus intimes.
Nos corps s’entrelacent et les caresses deviennent si intenses...
Que nous nous aventurons vers un chemin plus intime de nos corps.
Ma main s’aventure à caresser son ventre
Pendant que la sienne continue à découvrir les formes de mon corps.
Les effleurements de nos doigts nous procurent un plaisir immense,
Celui du désir pas encore consommé,
Ces préliminaires qui nous préparent à ressentir d’autant plus fort
Le plaisir, puisqu’il nous envahit
Lentement, doucement, intensément..
Ma main descend encore et encore,
prête à offrir de tendres caressses
à cet organe de son corps
qui représente la masculinité
au plus profond de son sens.
Je vois l’Etre aimé réceptif à mes offrandes de plaisir
Et lentement seul le plaisir est Notre communion.
Sa main tente d’approcher ce jardin si secret
Qu’est celui d’une femme,
Là où les plaisirs sont cachés.
A cet instant présent, nous sommes en parfaite osmose
Où ce n’est plus la raison qui commande nos actes mais la passion....
Il découvre lentement la douceur de mon désir
Pendant que je m’attarde tendrement
Sur cette partie si intime de lui
Et qui à elle seule me montre son Envie.
Mer 01 Fév 2006, 16:50 par
Satine sur Les liaisons sulfureuses
nous étrendre ...
notre amour est doux tendre et j’aime m’y étendre
j’aime y nager comme au milieu de ces herbiers de posidonies
retenir mon souffle et plonger
glisser dans les herbes, découvrir les êtres qui nous font vivre
qui font que nous sommes nous
qui font que nous nous aimons
notre amour est doux tendre et j’aime m’y étendre
j’aime le suivre comme ce chemin de montagne
marcher sur les mousses, les aiguilles des pins et les alpages
au tournant, découvrir la vue, un lac, notre paysage
nous ..
nous découvrir, toi et moi à chaque fois
à chaque fois que nous nous aimons
tendrement … nous étendre .. nous étrendre ..
j’aime y nager comme au milieu de ces herbiers de posidonies
retenir mon souffle et plonger
glisser dans les herbes, découvrir les êtres qui nous font vivre
qui font que nous sommes nous
qui font que nous nous aimons
notre amour est doux tendre et j’aime m’y étendre
j’aime le suivre comme ce chemin de montagne
marcher sur les mousses, les aiguilles des pins et les alpages
au tournant, découvrir la vue, un lac, notre paysage
nous ..
nous découvrir, toi et moi à chaque fois
à chaque fois que nous nous aimons
tendrement … nous étendre .. nous étrendre ..
Mar 08 Nov 2005, 11:13 par
treets sur Parler d'amour
âmes...
Je viens de la rencontrer,
l’âme qui fait écho à la mienne..
elles se sont trouvées
sans qu’elles aient eu besoin de se dire,
cela ne s’explique pas…
au début, elles ont batifolé, nos deux âmes,
tellement heureuses de s’être reconnues…
elles se sont écrits des mots forts…trop…
des mots qui les emmenaient sur une voie
qu’elles n’étaient pas prêtes à emprunter…
c’était une sorte d’exaltation, ces mots échangés…
presque une pulsion, un besoin, une nécessité…
c’était comme un mouvement, un flot continu
qui enfle et ne sait pas se contenir…
Aujourd’hui elles ont appris à se poser…
il le fallait, mais elles continuent de se surprendre…
tendrement, elles sont là l’une pour l’autre…
et cette âme m’est précieuse car entière, car fragile,
car comme la mienne, car en attente
même si elle sait que son chemin est celui de la solitude…
il me fait mal son chemin de solitude…il me pèse…
peut-être parce que mon âme, semblable à la sienne
doit aussi emprunter ce genre de chemin…
peut-être parce que mon âme pleine de ton amour
et si peu sereine jusqu’alors
est destinée à toucher la tienne, monange
je ne sais pas…non ça je ne le sais pas…
je suis tellement en devenir, en attente et en demande…
de moi…de beaucoup…de tout…
de toi…
l’âme qui fait écho à la mienne..
elles se sont trouvées
sans qu’elles aient eu besoin de se dire,
cela ne s’explique pas…
au début, elles ont batifolé, nos deux âmes,
tellement heureuses de s’être reconnues…
elles se sont écrits des mots forts…trop…
des mots qui les emmenaient sur une voie
qu’elles n’étaient pas prêtes à emprunter…
c’était une sorte d’exaltation, ces mots échangés…
presque une pulsion, un besoin, une nécessité…
c’était comme un mouvement, un flot continu
qui enfle et ne sait pas se contenir…
Aujourd’hui elles ont appris à se poser…
il le fallait, mais elles continuent de se surprendre…
tendrement, elles sont là l’une pour l’autre…
et cette âme m’est précieuse car entière, car fragile,
car comme la mienne, car en attente
même si elle sait que son chemin est celui de la solitude…
il me fait mal son chemin de solitude…il me pèse…
peut-être parce que mon âme, semblable à la sienne
doit aussi emprunter ce genre de chemin…
peut-être parce que mon âme pleine de ton amour
et si peu sereine jusqu’alors
est destinée à toucher la tienne, monange
je ne sais pas…non ça je ne le sais pas…
je suis tellement en devenir, en attente et en demande…
de moi…de beaucoup…de tout…
de toi…
Jeu 20 Oct 2005, 15:54 par
danslalune sur Histoires d'amour
Ecrire sur tendrement
A toi, petite mère, Nos routes se sont croisées, Voyage initiatique, Promenade poétique., Le souffle... silencieux, PIGEONS, Merci, Une chanson triste., Pluie de nuits, La photo cornée, Rue du Regard, Premier rendez-vous, Passion, nous étrendre ..., âmes...,Il y a 91 textes utilisant le mot tendrement. Ces pages présentent les textes correspondant.
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D.W. Jerrold.
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