Dis moi...

- Je t’aime ! timide
- Tu m’aimes ? Comme ça? Mais qu’ai-je fait?ange
- Je ne sais pas, c’est venu tout seul, sans que je m’en aperçoive...timide
- Moi... je sais... confiant

Ce sont mes mots qui te séduisent
Ma présence qui te grise
Ta volonté qui s’amenuise


- Non, ce n’est pas que ça, il y a autre chose, de bien plus profond.
- Ah oui? Alors je sais! sourire

C’est ma douceur qui t’envahit
Ma qui t’éblouit
Ton espérance qui refleurit


- Oui, mais ce n’est pas tout, il y a quelque chose de plus intense.
- Voyons voir, peut-être alors ... ahmoui

Ce sont mes passions qui te plaisent
Mes excès qui te donnent l’ivresse
Tes peurs qui disparaissent


- Je ne pense pas, c’est un petit détail, une petite chose, un petit plus, un quelque chose d’unique...
- Serait-ce... tsur

Mon sourire qui te fait pâlir?
Mes soupirs qui te font rougir?
Ta raison qui est prête à s’enfuir


- Non, tu cherches trop loin, réfléchis mieux, regarde bien
- Je ne vois pas, que reste-t-il? huh

Ma voix qui le soir résonne?
Mes yeux qui te voient comme une unique personne?
Pour que ton coeur s’emballe et déraisonne.



- Tu te rapproches, tu n’es plus très loin.
- Dis-moi! Dis moi pourquoi tu m’aimes! timide
Sam 15 Mai 2004, 10:24 par la marquise de sade sur La séduction

La grosse pluie

La grosse pluie

Sous l’une de ces grosses pluies …
Elle court sous les larmes…

Sa de toujours s’en va…

Elle pousse la porte vitrée…
Se dirige exactement là où il faut…
Elle sait comment…
Elle cherche du regard

L’entrée d’une pièce…

… elle l’aperçoit…

DIEU! …

Quelle tristesse…
Quel désoeuvrement
Cet environnement…

Sale…

Abandonné,

Casé…

Numéroté,

Diagnostiqué…

Ouf !!

La s’avance se penche et dépose des baisers…
Les bras s’ouvrent, se serrent…
C’est la chaleur dans un lit qui n’en est pas …
Les mots prennent du temps à venir…
Il y en aura… mais avant……
…la à savourer…
À s’offrir en cadeaux précaires mais certains…
Les larmes s’entremêlent…
Les corps s’abandonnent…

DIEU!

Puis les corps se quittent sans se quitter…
les yeux se mangent…

l’amour…

durable… éternel…

--------------

Tu es debout au pied d’un lit blanc…
Des machines qui dérangent…
Des liquides étrangers qui dégoulinent dans une veine de plastique…

Tu ouvres bien grand le moment… UNIQUE…

Tu surveilles la vie… son terme…

Tu penses aux cadeaux… les souvenirs…

Doux parfums
Secrets de coeur
Odeurs chaudes des corps
Bouffées de sieste

Précieux souvenirs
Fêtes d’amour
Ambiances taquines
Parfums sauvages

Maisonnées fougueuses
Caresses, caresses
Caresses de soleil
Caresses encore

Pages parfumées
Cadeaux partagées
Accolades consolantes
Enlacements confidences

Fleurs surprises
Embrassades généreuses
Douceur du regard

Douces visions

Beauté

La lumière, les nuances

Toile de la vie
Toiles de vie

C’est juste de l’amour


La fin…


Aucune attente... du moins c’est ce qui m’a semblé.
On l’installa sur une table d’aluminium chauffée.
On me demanda de rester…
On m’instruisit de la nécessité des examens…
…les plaintes se faisaient faibles et pénétrantes.

Je posai des questions…

Puis le diagnostic…

... Le moment qu’on voit venir arrive…
Il n’y a rien à faire…
On sait toujours ces choses-là….
Plus d’espoir de revenir en arrière…

Caresses arrachantes

Alors, on voit son chagrin scruter en soi d’autres chagrins….

Les images sans soleil, les images de pendule, les images sous la pluie….
... Les images... Les images...
Tout s’est vite passé…

Puis je suis rentrée...


... SEULE ...
Ven 14 Mai 2004, 03:31 par mOTSaRT sur Un monde parfait

Pourquoi les oiseaux s arrêtent de chanter ?

Voyez mon port élancé,
Regardez mes feuilles danser,
En parasol, j’offre aux timides créatures,
J’étale fièrement mon ombre, mes branches, ma verdure.

Mes rameaux jouent avec le vent,
Caressent les nuages calmement,
Le soleil elles tentent d’accrocher,
Avec la lune, n’ont de cesse de jongler.

Une à une, je compte, j’effeuille,
Je fais l’inspection de mes feuilles,
Elles frissonnent, frétillent,
Du bout de leurs brindilles.

Soudain, se réveille l’enfer,
Un cri strident déchire la forêt,
Un cri métallique, ils assassinent mon frère
Ne pourrons-nous jamais trôner en paix ?

J’ai remarqué, plus haut que mes racines,
Les funestes créatures ont apposé du chimique,
Je connais cette douleur, je la devine,
Ils vont arriver, d’un papillon à l’autre, avec leur mécanique.

Ne se rappellent-ils pas ?
Les entailles, cœurs gravés sur mon tronc,
Ne se remémorent-ils pas ?
Les baisers volés sous mon cocon ?

Les créatures approchent, je sens leurs vibrations,
Empruntes de beaucoup de détermination.
Me voici à happer quelques onces d’air frais,
Rassurant mon monde, que personne ne l’effraie…

Les bébés insectes jouent à saute-nervure,
S’amusent, me chatouillent, vibrent….
Ils ne savent rien du danger qui s’aventure….
Mes locataires se sentent protégés et libres….

Je sens leur présence, ils sont là,
Leur musique ne m atteint même pas,
Ils me touchent, avec leurs drôles de branches effeuillées,
C’est étrange, pourtant, cette chaleur constatée…

Je me gonfle une dernière fois
Je capte les vibrations de mes habitants
Et tente de rassurer, mais, je crois
Qu’ils ont compris, un peu tard, ce qui m’attend.

Mes plus grandes branches j’étire vers le haut
Vers les courants de ce souffle d’air,
Je lance au ciel mon impuissance et ma haine contre cette Terre,
La résignation est le plus terrible des mots…

Les dents métalliques m’arrachent l’écorce,
Pourtant j’avais abusé de la force,
Pour grandir, m’élever au plus haut chercher la lumière,
Cruelle Mère, qu’as-tu engendré, tu les laisses faire ?

Les créatures s acharnent, mon tronc est entamé,
Une blessure mortelle, je le sens, je le sais,
Et je ne puis rien tenter
Pour les arrêter.

Aux oiseaux : trouvez un autre Prince des Bois,
L’aube fraîche cogne sur mon désarroi.
Je ne sens plus mes racines, je vais tomber
Retrouver sur cette Terre, mes feuilles mortes par milliers…

J’envoie des signaux, dans une totale indifférence
Brouhaha mécanique, les créatures semblent en transe.
Je sens, non, je ne suis pas poussé par le vent
Je perds l équilibre… je… tombe sur le sol, violemment.........

Combien de tempêtes avais-je défiées ?
Le vieux saule pleureur caresse lentement mon tronc
Avec une infinie , de ses feuilles, mon dernier frisson,
Pourquoi… les oiseaux, à l’instant…, s’arrêtent de chanter….
Lun 10 Mai 2004, 00:17 par à mon étoile sur L'amour en vrac

Ces petits mots...

Avec tous ces petits mots,
Qui s’alignent sur ta peau,
Avec tous ces grands frissons,
Dis, on se pose pas de questions.

Une soirée dans un pré, éclairés d’une bougie,
Les rossignols martèlent de leurs chants,
Sifflent goulûment à la vie, déchirent la nuit.
Le temps, de s’arrêter, fait semblant.

Puis, le début, d’une valse lente,
Un mot, des rires, les caresses,
Il y a une complicité presque offensante,
Sous ces instants de tourmente.

Tu me prends la main, car ce soir,
Oui, tu vas me faire découvrir ton endroit à toi,
Ile secrète, ta cabane au fond des bois,
Ton lieu de solitude, ta cathédrale de désespoirs.

Nous marchons dans les herbes, les obstacles évitons,
Ta voix est calme, déterminée, tu me tiens fort la main,
Nous arrivons dans ton antre, ton boudoir à toi,
Les rais de lune auréolent cet endroit.

Cette clairière, au milieu des bois, isolée,
Et cette cabane, fière d’y trôner.
Nous escaladons, arrivons sur le foin, cela sent bon,
Il fait presque tiède, et pourtant, nous tremblons.

Sur ma tempe ta main, tendre, étonnée,
N’a cesse de m’arracher
A cette douce torpeur,
A cette envie de cocon tendrement enlacés.

Avec beaucoup de douceur et de fermeté
Ta main parcourt sur moi, la nuque, le cou,
Je sens ta chaleur, je te sens me convoiter,
J’aime ces mots, leur force, ils sont doux…

Ta main se fait de plus en plus expérimentée,
Sur mon dos, dessine des cercles entrelacés,
Je savoure, me laisse séduire par tant de talent,
Mon corps, hypnotisé, répond à tes douceurs tendrement.

Ces minutes semblent durer à jamais,
Rien ne bouge, pas un bruit, la nuit est comme arrêtée
Ces frissons montent , prennent leur temps,
Comme sous ta main, mon corps se fait docile, captivé.

Je t’encourage par des soupirs impossibles à réfréner,
Et, lentement, nous nous laissons glisser,
Vers les sulfureux délices
Et de leurs formidables abysses….

(Ce qu’il s’est passé ensuite, la question vous vous posez !
Ces instants trop intenses ne vous seront pas contés !
Ils sont gardés, en secret,
Tout au fond de mon jardinet….!)

De notre coma idyllique peu à peu,
Nous reprenons nos esprits,
Étonnés quelque peu,
De nous trouver ici….

Le silence, puis, peu à peu les bruits de la nuit,
Du foin dans les cheveux, tu souris,
Pas un mot, dans ce silence quasi-absolu,
Nos muscles engourdis, nos corps repus.

C’est un soir de plein lune,
De question aucune….
Un moment d’intense ,
Et de terribles confesses…

Balade nocturne, entremêlée de frissons….
Avec tous ces petits mots
Ainsi que cette ponctuation,
Qui peu à peu… s’éteignent sur ta peau…
Lun 26 Avril 2004, 23:52 par à mon étoile sur Les liaisons sulfureuses

Ouvrir sa vie à l'Amour

En ouvrant mon coeur et mon esprit à l’amour, j’ouvre ma vie aux autres.

Je cherche à créer un climat d’entraide, de communication
et de avec tous ceux qui désirent me connaître et partager ma vie.

Évidemment, lorsque j’ouvre mon coeur à l’amour,
je prends le risque d’être blessée
et même peut-être de vivre le rejet ou la déception.

Mais les récompenses de l’amour véritable sont beaucoup plus tendres et enrichissantes et je dois prendre le risque.

Aujourd’hui j’ouvre ma vie à l’amour.
Sans pour autant négliger mon sens développé de l’amitié.

Ainsi donc, une carapace n’est pas une bonne manière de protection finalement...
Elle m’étouffe, me ralenti, m’empêche d’évoluer...

Le feeling reste donc d’actualité, je ne cherche plus à lutter.
Jeu 22 Avril 2004, 08:11 par Mout sur Un monde parfait

Je croyais...

Je croyais que la Vie
ne m’était plus possible
Je n’avais plus envie
De cerner mes possibles.
Me laisser contenter
Par des fuites en avant,
Et de ne plus chercher
A vivre dans l’instant !

Cette joie inconnue
Qui guide mes pas
Et me cueille, ingénue
Bien avant le trépas.
Quelle est donc cette élue
Qui sonne le glas
de mes doutes incongrus
De tout ce fatras !
Des émotions perdues
de tous mes faux pas ?

Je sais maintenant
ici, et dans l’instant,
Qu’un futur meilleur
Où je serai amante,
Me prendra dans ses bras
Comme une petite enfante
Et me bercera
D’une lumière d’argent !

Tu m’as ouvert ainsi
Lentement sans soucis
A tout ce que je sais,
Je serais, je suis
Me chuchote tout bas
Au creux de l’oreille
Qu’il ne faut pas douter
de recevoir des merveilles !
Que la du monde
nous accueille en son sein
Qu’elle est là sans effort
Que l’amour enfin
Nous amène au bord
de nos corps enlacés
Et qu’une fièvre alors
Nous prend si bien serrés !

Je revois en mirage,
Mais sans arrière pensée
Tous les lointains rivages
de nos rivières bleutées
Comme une âme sans peine
Par le bonheur bercée
Je viens vers Toi, mon roi
Mon doux, mon aimé !
Jeu 22 Avril 2004, 07:48 par Mout sur L'amour en vrac

Songe d'une nuit de printemps

Une fois, encore...
Lutter contre l’effroi de ce grand lit froid
Et cette envie de toi plus forte que moi
Aussi, le besoin de partager un peu mon émoi
Surtout, bercer ma nuit de la douceur de ta voix

Une fois, encore...
Apaiser ma trop constante souffrance
Et ne plus résister à mon amère défiance
Aussi, te dire combien en toi j’ai confiance
Surtout, que j’ai besoin de ta présence

Une fois, encore...
Partager avec toi des bouts de temps
Et échanger les rêves de nos coeurs vacants
Aussi, plonger au fond de nos soupirs un instant
Surtout, des sentiments que l’on se donne se nourrir avidement

Une fois, encore...
Dévoiler dans l’obscur mes faiblesses
Et me saoûler de tes mots en
Aussi, pour mieux briser ma soif de détresse
Surtout, de ton affection démesurée apprécier les caresses

Une fois, encore...
Une nuit,
Et de toute ma vie,
Aussi, tu me guéris
Surtout, tu me redonnes l’envie

La tulipe Noire
Mer 21 Avril 2004, 13:19 par la_tulipe_noire sur Un monde parfait

Calins

Qu’il est doux de poser ma tête au creux de ton épaule.

Qu’il est doux de te serrer bien fort contre mon coeur.

Qu’il est doux de goûter tes lèvres qui s’offrent à mes lèvres,

Qu’il est doux de respirer ton souffle, de respirer ton être,

Qu’il est doux de caresser ton corps, ta chair, tes formes

Lentement, lentement,

Et sentir ce désir qui brûle en toi... et moi...

Et tes mains qui me cherchent, et ta bouche contre ma bouche,

Et tes yeux qui me cherchent... Et mes yeux qui te cherchent

Comme pour partir pour un mystérieux voyage

Sur une mer infinie qui s’appellerait ,

Sans cri, sans fureur, dans un calme bonheur,

Comme dans un rêve, un rêve qui ne finirait pas...



Viens ! Viens un instant ! Viens une minute,

Viens faire un câlin...

Tout s’efface, tout s’oublie...

Un moment d’éternité.
Mar 20 Avril 2004, 08:07 par Mout sur L'amour en vrac

Pour toi

Quand je pense à toi
Mon coeur s’emballe de joie.
Je sens mon bonheur si grand
Que j’ai peur par moment.

Quand je vois ton sourire
Tu n’as qu’un seul désir.
Je vois dans ton visage
De merveilleux présages.

Quand j’attends ta voix
Mon coeur est en émoi.
J’écoute ton coeur plein de ,
Pour me nourrir de richesse.

Quand je rêve de cieux
Toujours tu es mon dieu.
Paradis ou sur terre
C’est toi que je préfère.

Quand je suis avec toi
Je sens cette folle passion
Tu me cherches à ta façon
Et dans mon coeur est gravé ton nom.
Mar 20 Avril 2004, 07:56 par Mout sur L'amour en vrac

C'était en juin....

Absence
Création du mot « insoutenance »
Je suis vidée de toute cette errance
Aide-moi, emmène-moi
Dans ton dos derrière toi
Cette dernière tolérance
Ce besoin de défaillance
Cette inéluctable connivence
Cet insoutenable délivrance

Je ne suis qu’onomatopée,
Face à ce silence
J’existe en pointillé
Face à ton absence

J’implore de toi, ta délicieuse
Imprévision, ton étonnant
Pouvoir de facilité
Ton toi, ton rire, ton âme incontrôlée
Fais-moi signe, je suis d’une fragilité
Digne de l’arc-en-ciel, riche en sentiments
Regarde-moi, je suis prodigieuse…

Laisse-moi tes mots, tes phrases abrégées
Enivre-moi de cette douce volupté
Emmène-moi au pays des étoiles nées
Et de leur incroyable destinée.

Emmène-moi loin de tout cela
Laisse-moi croire à ça
Laisse-moi y croire, j en ai besoin
Vivre au loin
Ensemble même longueur d’onde
Vite, n’attendons pas que le monde
Reste sur ce canal
Quelque peu banal

L’un sans l’autre
Impossible, violence dans mes mots
Que veux-tu que j’y fasse…. Nous sommes l’autre.….
Toi sans moi, souffrance soubressaut
Besoin de toi, mon doux, mon tendre, mon château….

Besoin de toi, chaleur, , complicité
Envie de rire, de chahuter, de pleurer
Etrange sensation de liberté
Des nuages se moquer….
Avec la pluie se laver

Il me faut toi
Il me faut ton toi, ton âme, tes rires
Il me faut, en soi,
Qu’un irrésistible besoin de parcourir
Cette vie avec toi…..

Écoute-moi, regarde-moi
Je sens les choses, je les vis
Entends-moi, accompagne-moi
Aide-moi, je t’en prie……
Je t’aime
Dim 18 Avril 2004, 22:57 par à mon étoile sur L'amour en vrac

Re: le jeu de la vérité : question 4 ...

la marquise de sade a écrit:
Qu’est-ce qui chez vous peut déclencher un élan de que vous ne pouvez réfreiner?


Un couple d’enfants jouant les amoureux fougueux...
Une caresse qui s’échappe sous la table de mes voisins...
Un clin d’oeil entre mes grands-parents...
Un bébé qui tète au sein de sa mère...
Un père qui sourit à son enfant...
Un humain qui rougit et tourne la tête gêné...
Un animal qui se blottit contre moi...
Un couple d’aventuriers derrière les arbres qui croise mon regard taquin…
Une nuit étoilée…

Mais plus encore… M’enticher de quelqu’un qui sourit à la vie… hug
Mar 13 Avril 2004, 20:29 par Rose sur La séduction

Je me souviens...

Aujourd’hui je n’arrête pas d’y penser
Et je ne sais pas très bien ce que je fais ici
Tu t’en es allée et as laissé
Un vide au fond de moi
Je me souviens pourquoi tu étais
L’étincelle qui me faisait vivre
A tes côtés je me sentais protégé
Et maintenant il n’existe plus de sourire
Il n’y a plus rien qui puisse te faire rire
Et je me souviens de la et des baisers
Que parfois je ne donnais pas

Depuis je ne vois plus
Autre chose dans mon être
Et maintenant que tu es partie
Je ne te reverrai plus
On ne sera plus seuls
Je ne verrai plus tes yeux

Je marche seul et je pense
A toutes les choses que nous avions à faire
En ces gestes qui étaient nôtres
Que désormais seul je ne peux plus avoir
Et je me souviens de la et des baisers
Que parfois je ne donnais pas...


SadLoyd à travers le chant du fou.
Ven 09 Avril 2004, 09:26 par Loyd sur L'amour en vrac

mon é-toile

Tu es mon holocauste
Mon âme en enfer tu transportes
Mon billet pour nulle part tu compostes
Et si à la vie l’amour était une riposte ?

Tu disais que j’étais différent
Sans doute pour ça tu m’as choisi
Puis enfin martyrisé durement
Pourtant à train d’enfer je t’ai suivi

Comme un tyran tu t’es comporté
Dans ton bas monde tu m’as cloturé
Tu as bien essayé d’y mettre les formes
Me faire rentrer dans l’uniforme

De ton poignard sournois tu as pénétré mon âme
Aveuglé, je n’ai jamais osé t’adresser un blâme
Enfermé dans tes wagons de , sans le jour
J’étais ligoté à mon coeur, à attendre mon tour

Ici dans ce pays de brûlures
Tu es dans l’air, je te respire
Tu es dans l’air, tu m’empoisonnes
Que mon amour meure à tes pieds

Tu es mon holocauste
Mon âme en mes vers tu déportes
Mon billet pour nulle part tu compostes
Et si de ma vie tu étais le despote ?
Lun 05 Avril 2004, 22:13 par la_tulipe_noire sur L'amour en vrac

Un merci, tout simplement...

Depuis quelques mois, un petit havre de paix sans prétention
Accueille nos passions, nos questions, nos déceptions
En quelques mots, quelques phrases, quelques allusions
Nous décrivons sans relâche ce sentiment si trouble qui déchaîne les passions.

Chaque jour un peu plus, il s’étoffe et se réveille
Déclenchant parfois en nous des amours qui sommeillent
Nous initiant au plaisir et à la douleur, il m’émerveille
Quand entre deux connections, je le parcours d’un oeil.

La séduction nous dévoile chasseresse,
L’amour en vrac accueille nos joies ou nos tristesses
Les amours Internet, ses excès, son ivresse
Le grimoire de l’amour ou l’art des caresses
Les citations où nous reprenons les mots des autres avec adresse
Les liaisons sulfureuses joliment parlent de fesses
Les premières fois et tout ce que ça comporte de liesses
La vie à deux autour de nous construit une forteresse
Et un monde parfait où moi je salue pleine de
Celui qui chaque jour s’évertue à améliorer ce petit coin plein de finesse.

PetitPrince, merci pour tout ce temps que tu passes
Pour que chaque jour nous puissions ôter notre carapace.
Juste pour toi ces quelques vers
Que doucement je dépose ici ... petit frère


La markissssss hihi
Lun 05 Avril 2004, 20:56 par la marquise de sade sur Un monde parfait

Ce qui me fait craquer, c'est le savoir faire

Ce qui me plait le plus en matière de séduction, c’est de savourer le jeu de séduction parfait que l’autre me fait subir. La beauté s’allie au charme, les rires se succedent aux regards, de serieux en légereté, la soumission est ponctuée de rebellion. Afin que la saveur soit aussi douce qu’épicée, cette parade doit être orchestrée à partir d’une compréhension quasi intime de mes gouts, mes humeurs, mes peurs et mes désirs.

Me séduire, c’est donc faire monter la mayo, comme on dit chez moi...

Me faire craquer, c’est faire alors un break tendre et amoureux quand la formidable tension atteint son paroxysme, que la fiévre est brulante de désir et d’extase.

C’est d’un coup changer de rythme, pour s’enfoncer dans le registre de la et y gouter toutes ses promesses.
Dim 28 Mars 2004, 13:59 par PetitPrince sur La séduction
Page 18 sur 20 Aller à la page Précédente  1, 2, 3 ... 17, 18, 19, 20  Suivante

Ecrire sur tendresse

Ecrire sur tendresse Dis moi..., La grosse pluie, Pourquoi les oiseaux s arrêtent de chanter ?, Ces petits mots..., Ouvrir sa vie à l'Amour, Je croyais..., Songe d'une nuit de printemps, Calins, Pour toi, C'était en juin...., Re: le jeu de la vérité : question 4 ..., Je me souviens..., mon é-toile, Un merci, tout simplement..., Ce qui me fait craquer, c'est le savoir faire,
Il y a 294 textes utilisant le mot tendresse. Ces pages présentent les textes correspondant.

Bonne lecture !

Derniers textes

Livres recommandables


Retrouvez toutes nos bonnes lectures sur : La boutique des âmes tendres

La citation d'amour

L'amour est borgne, la haine est aveugle.

Proverbe allemand.

Qui est en ligne ?

  • Toutes les heures sont au format GMT + 1 Heure
  • La date/heure actuelle est Jeu 28 Mars 2024, 17:20
  • Nos membres ont écrit un total de 4446 textes
    Nous avons 1234 membres enregistrés
    L'utilisateur enregistré le plus récent est brancher
  • Il y a en tout 40 utilisateurs en ligne :: 0 Enregistré, 0 Invisible, 40 Invités et 0 Bots   [ Administrateur ]   [ Modérateur ]
  • Le record du nombre d'utilisateurs en ligne est de 311 le Sam 21 Juil 2012, 20:22
  • Utilisateurs parcourant actuellement ce forum : Aucun
    Bots : Aucun
  • Ces données sont basées sur les utilisateurs actifs des cinq dernières minutes
  Connexion
Nom d'utilisateur:
Mot de passe:
Se connecter automatiquement à chaque visite