Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur tien
De ta bouche à moi
J’étais allongée dans le noir.
Je dormais.
Soudainement je sentais ta chaleur réveiller mes rêves.
Mes yeux d’un coup ouverts dans le noir de la nuit, tu étais là dans mon lit introduit sous les draps à me caresser tes lèvres contre mes lèvres.
Je te serra très fort dans mes bras quand tes mains m’entouraient tendrement.
INSISTANT à me montrer que tu m’aimais,
j’ai imaginé tes traits et j’ai imaginé en premier lieu quel serait pour moi le visage de l’amour, même si je devais me tromper.
J’en devins aveugle.
DEVIN DE TOI.
DE VIN DE TOI.
QUI? QUI pour moi aurait le sourire idéal de l’amour de ma vie?
Tel un nuage entre mes songes des idées me viennent, un nom aussi, un seul d’abord, celui qui pour moi était celui désiré.
Pour me surprendre, tu retournes mes pensées.
Tu criais tout ton amour comme pour réveiller les sourds et j’ai aimé Tes cris D’amour fou.
T’écris d’amour fou.
Tu avais envie et tu me faisais craquer.
Tu m’excitais volontairement, souhaitant me charmer, me séduire et tu faisais tout pour ça.
Tu faisais tout pour et tu y arrivais extatique.
Je devais deviner ton visage dans les pénombres de ma chambre à présent.
Je devais sentir ton odeur, reconnaître ton parfum parmi mille, celui que tu laisses sur mon cœur, celui qui est tien, celui qui est ta trace.
Mon corps et mon cœur s’emballaient au fur et à mesure.
Au contact de tes gestes, au contact de tes formes, de tes muscles à présent contractés, de ton cœur palpitant si fort qu’il dressait en moi une musique, un battement.
Il battait de plein bruit et je colla mon oreille pour l’entendre comme tu envahissais mes pensées désormais.
Rien ne comptait plus dans ma vie que tes mots murmurés qui m’épousaient.
RIEN ne comptait plus que ce que tu chantais en mon âme enchantée de toi.
Tu fredonnais notre vie, tu l’inventais en un souffle imaginé, et tu la nommais désir.
Nos cœurs battaient tellement forts que la peur ressemblait à l’amour, que l’amour, que notre amour était notre VIE.
Nous ne pouvions plus laisser quoi que ce soit nous séparer.
De ta bouche tu glissais dans la mienne ta langue douce et sauvage, et j’embrassais ta lumière.
Tu dessinais au plafond un ciel, une galaxie, une voie lactée d’étoiles où nous pouvions nous reposer en paix, où l’ardeur était le signe que nous tombions d’amour.
Je sentais ton être de plus en plus, révélé au grand jour,
et je t’ai aimé.
J’ai appris à te lire, j’ai appris à t’aimer,
J’ai appris toi, je t’ai appris,
j’ai appris qui tu es.
Je ne peux l’oublier.
On n’oublie pas, on avance avec nos souvenirs,
et nos bonheurs.
Je dormais.
Soudainement je sentais ta chaleur réveiller mes rêves.
Mes yeux d’un coup ouverts dans le noir de la nuit, tu étais là dans mon lit introduit sous les draps à me caresser tes lèvres contre mes lèvres.
Je te serra très fort dans mes bras quand tes mains m’entouraient tendrement.
INSISTANT à me montrer que tu m’aimais,
j’ai imaginé tes traits et j’ai imaginé en premier lieu quel serait pour moi le visage de l’amour, même si je devais me tromper.
J’en devins aveugle.
DEVIN DE TOI.
DE VIN DE TOI.
QUI? QUI pour moi aurait le sourire idéal de l’amour de ma vie?
Tel un nuage entre mes songes des idées me viennent, un nom aussi, un seul d’abord, celui qui pour moi était celui désiré.
Pour me surprendre, tu retournes mes pensées.
Tu criais tout ton amour comme pour réveiller les sourds et j’ai aimé Tes cris D’amour fou.
T’écris d’amour fou.
Tu avais envie et tu me faisais craquer.
Tu m’excitais volontairement, souhaitant me charmer, me séduire et tu faisais tout pour ça.
Tu faisais tout pour et tu y arrivais extatique.
Je devais deviner ton visage dans les pénombres de ma chambre à présent.
Je devais sentir ton odeur, reconnaître ton parfum parmi mille, celui que tu laisses sur mon cœur, celui qui est tien, celui qui est ta trace.
Mon corps et mon cœur s’emballaient au fur et à mesure.
Au contact de tes gestes, au contact de tes formes, de tes muscles à présent contractés, de ton cœur palpitant si fort qu’il dressait en moi une musique, un battement.
Il battait de plein bruit et je colla mon oreille pour l’entendre comme tu envahissais mes pensées désormais.
Rien ne comptait plus dans ma vie que tes mots murmurés qui m’épousaient.
RIEN ne comptait plus que ce que tu chantais en mon âme enchantée de toi.
Tu fredonnais notre vie, tu l’inventais en un souffle imaginé, et tu la nommais désir.
Nos cœurs battaient tellement forts que la peur ressemblait à l’amour, que l’amour, que notre amour était notre VIE.
Nous ne pouvions plus laisser quoi que ce soit nous séparer.
De ta bouche tu glissais dans la mienne ta langue douce et sauvage, et j’embrassais ta lumière.
Tu dessinais au plafond un ciel, une galaxie, une voie lactée d’étoiles où nous pouvions nous reposer en paix, où l’ardeur était le signe que nous tombions d’amour.
Je sentais ton être de plus en plus, révélé au grand jour,
et je t’ai aimé.
J’ai appris à te lire, j’ai appris à t’aimer,
J’ai appris toi, je t’ai appris,
j’ai appris qui tu es.
Je ne peux l’oublier.
On n’oublie pas, on avance avec nos souvenirs,
et nos bonheurs.
Dim 08 Déc 2013, 14:24 par
inlove sur Parler d'amour
L'amour est-il un crime ? chapitre 5
Eh bien, bonjour à tous, me voila avec le chapitre 5, j’espère que cela vous plaira ^^ et merci à inlove ton dernier commentaire ma beaucoup touché merci :)
Chapitre 5 : Un anniversaire inoubliable
Point de vue Narrateur.
Point de vue Narrateur.
Depuis que le devoir de l’exposé est passé une semaine venais de s’écouler et les vacance de la Toussain est enfin arrivé. Aujourd’hui nous sommes le 21 octobre, jour ou notre petite Michi passe dans la cour des grands. Nous nous retrouvons devant l’appartement d’Haruka, et si nous tendions un peut plus l’oreille, on pouvais entendre du bruit.
Haruka – Michi, tu viens !
Michiru – oui oui j’arive.
Cette dernière après quelques minutes d’attente interminable celon Haruka fit enfin son entré devant les escaliers. La jeune femme blonde eu un tendre sourire en voyant sa cher et tendre habillé ainsi. Elle lui dis alors :
Haruka – je comprend mieux pourquoi tu mettait autant de temps … Alala je vous jure ses filles.
Michiru – dois-je te rappeller que tu en est une aussi !
Haruka – peut être, mais je ne passe pas des heures devant le miroir.
Michiru – c’est un peut normal, puisque toi, tu est belle au naturelle, tu n’as nulle besoin de rajouter des babioles car tu est déjà ravissante.
Haruka touché de ses propos monte les escaliers, et comme Michiru était toujours sous béquilles, elle la porta tel une princesse. Arrivé en-bas elle la dépose sur le sol, et la dévisage avec douceur.
Michiru bien que le temps se soit un peut rafraîchit, avait opté pour une jolie robe bleu vert, il y avait 4 petits boutons bleu marine sur le haut. Ses cheveux qui habituellement son lâchés sont retenue par une couette basse sur le côté gauche. Elle était vraiment très jolie aux yeux d’Haruka qui ne cesser de la dévorer du regard.
Haruka – tu est vraiment très jolie.
Michiru – merci !
Elle lui caresse sa joue, et la jeune femme blonde lui déposa un léger baiser. Un petit instant bien à elles, voilà maintenant 3 semaines qu’elle partagées leurs vies à deux, et elles étaient très épanouie ensemble.
Après ce petit échange, les deux jeunes femmes sortir de l’appartement.
Michiru – ah bonheur, je vais peut être me débarrasser de ses foutue béquilles.
Haruka – ah ah, mais sa dépendra de comment est ta hanche !
Michiru – Haru … Ne casse pas mon rêve !
Cette dernière ce met à rire, et toutes deux entames leur marche dans le long couloir de la résidence. Arrivé au bord de la première marche Haruka prit Michiru dans ses bras, et descend les quatre étages prudemment. Quand elle furent arrivées jusqu’au parking, la jeune blonde déverrouillé l’alarme, et ouvrant la porte passager posa sa jeune protégé sur le siège.
Michiru – merci !
Haruka – de rien chaton.
Elle lui dépose un léger baiser, et à son tour monte dans sa voiture. Allumant le conteur de cette dernière, Haruka fit une marche arrière, et partie enfin direction le médecin.
Point de vue Haruka.
Ah … Je me demande par quoi je vais commencer aujourd’hui, car étant donné que c’est son anniversaire, j’avais quelques surprises en réservation, mais je ne sais pas par laquel commencer.
Michiru – au faite Haru …
Moi – oui qui y’a t-il ?
Michiru – c’est quand que le directeur envoie nos bulletin de premier trimestre ?
Moi – dans la semaine qui va suivre tout au plus.
Michiru – eh bien, j’espère juste de ne pas encore avoir baisser de niveau !
Moi – comment sa baisser de niveau ?
Je fut surprise de ses mots car de toute la classe, elle est la meilleur, c’est elle qui tiens la meilleure moyenne et pas que dans mes cours.
Michiru – bah tu sais je n’aie jamais était supère forte en cour, je me rappelle encore se que sa donné au collège !
Moi – j’ai du mal à te croire, car ce n’aie pas du tout le cas depuis la rentrée.
Michiru – ah mais sa, c’est parce ce que j’ai un supère professeur !
Je me suis mise à sourire, et voulant jouer la curieuse je lui demande :
Moi – ah … Et comment est ce professeur si particulier ?
Je voie un petit sourire apparaître sur son visage, ses yeux fixent l’horizon et sa voix que j’aime tant entendre résonne.
Michiru – eh bien … Par ou commencer, il y a tellement de choses à dire sur ce professeur. Depuis ma rencontre avec elle, je ne sais pas, mais la vie est devenue nettement plus agréable, je l’admir beaucoup, et en plus d’être mon professeur de mathématique de langue vivante et d’histoire géo, elle est avant tout la femme que j’aime. Sans la regarder, je connais les moindre petites chose qui la rende si belle. De magnifique yeux vert émeraude, un regard qui m’envoûte à chaque fois, une chevelure doré, une taille fine et élancé, et puis elle a ce petit quelque chose qui m’attire encore plus que tout ses détails, son côté masculin que je trouve vraiment attirant, sa la rend si belle … Et en fin de compte, cette femme qui fait tant chavirer mon cœur à deux personnalité, en cour, c’est le professeur sur d’elle qui ne se laisse pas marcher sur les pieds, alors qu’à la maison c’est tout autre, j’ai pue découvrir avec joie qu’elle était en fin de compte très douce, gentil, aimable et très câline, se que j’aprécie car étant moi même très câline, j’aime ses câlins, me retrouver dans ses bras tout contre elle et son cœur. Non vraiment ce professeur je l’aime et l’admir !
À plusieurs reprise mon cœur loupe plusieurs battements, je suis heureuse vraiment heureuse de constater qu’elle tiens autant à moi que moi je tiens à elle. Je m’arrête à un feu rouge, et vint lui prendre la main.
Moi – et ce professeur qu’est t-il ?
Michiru – elle est la moitié de mon cœur, et … Elle est ma partenaire, ma petite femme à moi.
Je sourit tendrement, et m’approche de son visage, je lui prend délicatement le menton, et lui caresse la joue.
Moi – je t’aime !
Michiru – moi aussi Haru je t’aime.
On se sourit, et pour quelques secondes nos lèvres s’unirent dans un doux et long baiser. Je sens sa main se poser sur ma cuisse, ses doigts caresse le fin tissu qui sépare ma peau. Sa langue qui se mêle tendrement à la mienne, c’est un véritable bonheur pour moi, c’est la première fois en 23 ans que je me sens véritablement aimé, et en 23 ans c’est la première fois que je suis autant amoureuse.
On se détachent doucement, et je vint faire frotter mon nez tendrement contre le sien. Elle avait le sourire, un sourire magnifique que j’aime et que je ne me lacerais jamais de regarder. Je lui embrasse le nez et lui murmure avant de reprendre la route :
Moi – quand arrêteras tu de me rendre folle ?
Michiru – folle ? Et de quoi ?
Moi – folle et éperdument amoureuse.
Michiru – je ne le fait pas exprès, mais toi aussi, tu me rend folle chaque jours, chaque minutes et chaque seconde … Ma douce et jolie blonde.
Je lui sourit, un sourire prête à m’en décrocher la mâchoire, je l’embrasse avec douceur, et repris la route direction le parking souterrain. Après quelques minutes de recherche, je rentre dans le parking, essayant de trouver une place.
Michiru- Haru, la tu en a une !
Elle me montre du doigt une place effectivement vide, je sourit et partit me garer.
Moi – merci princesse.
J’éteins le moteur, et sortie de la voiture, remetant ma chemise noire en place. Je me dirige vers la porte passager de Michi, ouvre cette dernière, et vint l’aider à sortir.
Michiru – merci.
Je ferme la porte, pose ses béquilles contre la Porshe, et vint l’enlacer tendrement dans mes bras. Ses bras s’allonge sur mes épaules, et ses mains se mettent à caresser ma nuque. Alors que les miennes descendait le long de son dos. Posant de tant à autre mes lèvres sur son cou.
Moi – quoiqu’il arrive promet moi une chose !
Michiru – tout se que tu veux.
Je lui soulève le menton et lui murmure en caressant sa joue :
Moi – promet moi, que … Que quoiqu’il advienne rien ne pourra se mettre entre nous Michi.
Michiru – je ne sais pas se que va nous reserver l’avenir, mais je te fais la promesse de te garder auprès de moi ma chérie et sa quoiqu’il arrive.
Moi – je t’aime.
Michiru – plus que tout !
Je lui sourit tendrement, et ses lèvres prirent possession des miennes. Ses mains se posent sur mes joues, et ses doigts me caresse. Je laisse mes mains crée une sensation de douceur sur son dos m’approchant doucement d’elle afin d’être serrer contre son cœur. A cet instant j’étais vraiment la plus heureuse.
Je me décolle doucement, écarte quelques mèches bleutée de ses yeux, et lui embrasse le nez. Je lui tend ses béquilles, et c’est en discutant que nous nous avançons vers la sortie du parking.
Michiru – rah lala, j’ai hâte de pouvoir quitter ses chose.
Moi – ah ah, tu est bien impatiente dis moi !
Michiru – oh mais tu c’est je peut me montrer très patiente et coopérente quand t-il le faut.
Moi – ah et dans quoi par exemple ?
Michiru – je c’est me montrer patiente lorsqu’il s’agit de construir un avenir à deux.
Je sourit, continuant de marcher, on prit l’assenceur, et une fois en-bas on se dirige vers le cabinet du médecin qui n’était plus très loin.
Moi – au faite Michi, tu as prit ton roman ?
Michiru – oui oui ne t’inquiète pas, bien que je me demande pourquoi !
Moi – tu verra bien.
Je lui fit un clin d’oeil, et une fois arriver au cabinet je pousse la porte et la laisse rentrer. Je passe à mon tour et parti m’asseoir sur une chaise juste à sa droite. Sa tête se pose sur mon épaule, et ma main prit la sienne. Nos doigts s’entrelacent automatiquement, et je vint lui caresser à l’aide de mon pouce.
Médecin – mademoiselle Kaio ?
Michiru – oui c’est moi !
Médecin – bonjour, vous venez ?
Je me lève, et suivit Michi à l’intérieur du bureau, j’allai prendre place sur une chaise à la gauche de ma douce, et le médecin ce mit à parler.
Médecin – alors comment te sent tu ?
Michiru – ben, nettement mieux, même si parfois j’ai des douleurs qui me lance !
Médecin – me permet tu que je jette un œil ?
Michiru – euh … Oui !
Médecin – suis moi alors.
Son regard se pose sur moi, je lui tapote le nez et lui fit un clin d’oeil. Elle parti donc derrière un rideau, et je vint attendre.
Médecin – ou mais c’est que sa c’est grandement améliorer, on ne voie quasiment plus rien. Donc je suggère que nous te retirons les béquilles.
Michiru – oh bonheur … Si vous savait comme je suis contente de me séparer de ses choses.
Médecin – ah ah, aller viens, je vais tout de même te préscrire une pomade qu’il faudra appliquer sur la cicatrice et sa pendant deux semaine tout les soir.
Michiru – d’accord !
Je la voie revenir, et elle reprend place, m’adressant un grand sourire signe qu’elle était heureuse et soulagé de se débarrasser des béquilles et cela me fait bien rire. Après que le médecin m’est remis l’ordonnance, je sort de mon sac mon porte feuille et en sort ma carte vital, ayant mis Michi dessus pour qu’elle soit couverte et qu’elle est droit aux soins depuis son accident. Je met la carte dans la machine et laissa cette dernière faire les manipulations.
Médecin – merci. Aller je vous liber !
Moi – merci docteur, au revoir !
Michiru – merci encore.
Médecin – mais je vous en prie. Passez une bonne journée mesdames !
Ah, je croix que c’est le premier à remarquer que je suis une femme, due à ma masculinité je suis souvent prise pour un homme.
Quand on fut dehors, je me tourne vers Michi qui souriait.
Michiru – ah … Bonheur je vais enfin pouvoir faire ce que j’avais envie de faire sans les béquilles.
Moi – ah, et quoi donc ?
Michiru – bah déjà pouvoir prendre la main de celle que j’aime sans difficulté !
Je sourit, elle est vraiment adorable. Je lui prend sa main, et ses doigts s’emmêlent avec les miens, je mit mes lunettes de soleil sur le nez, et commence à marcher avec elle. Librement comme un vrai couple.
Michiru – dis moi Haru, on pourrais passer à la banque ?
Moi – oui pas de souci trésor.
On se sourit, et parti direction la banque. Une fois arrivé devant cette dernière j’en profite pour sortir un peut de liquide car je compter bien lui faire quelques cadeaux. Bien que les deux premiers soit gros.
Je me dirige vers elle, et me place à ses côtés.
Michiru – excusez moi, j’aimerais savoir combien me reste t-il se ma carte.
Conseiller – oui bien sur mademoiselle, quel est votre nom ?
Michiru – Kaio !
Conseiller – un instant je vous prit.
Pendant que l’homme cherché les informations souhaiter par Michi, nos yeux se croisent, je lui écarte quelques mèches, et lui offre un doux sourire.
Conseiller – mademoiselle Kaio !
Michiru – oui ?
Conseiller – voilà vous disposé d’un total de 20 876 €.
C’est énorme, Michi n’a pas l’air surprise.
Michiru – et vous savez si mon compte est encore en suspension ? Sachant que je viens d’atteindre ma majorité.
Conseiller – non nous avons réussi à vous débloquer !
Michiru – je vous remercie, passé une bonne journée.
Conseiller – mais je vous en prit.
Et après sa, nous sortîmes de la banque. Je remis mes lunettes de soleil, prit sa main dans la mienne, et commence à marcher avec elle.
Michiru – eh bien, je n’aurais jamais crue posséder une tel sommes.
Moi – c’est tout de même énorme … et comment se fait t-il que tu en est accumulé autant ?
Michiru – en faite, ma mère avant sa mort vivez dans un milieu très aisé, c’est pour sa que mon père a tant voulu sa mort pour pouvoir récupérer ses biens pas la suite. Quand je me suis retrouvait en famille d’accueil cette dernière disant que j’étais trop jeune pour avoir une tel sommes à fermé mon compte. Mais bon maintenant que j’ai 18 ans, j’ai le droit d’y toucher !
Moi – je comprend mieux … Aller tu me suis ?
Michiru – où sa ?
Moi – ah ah.
Je lui sourit, et la traina avec moi jusqu’à un bâtiment qu’elle connaissait que trop bien. Arrivé devant ce dernier, Michi fut surprise, elle se tourne vers moi et dit :
Michiru – Haru mais pourquoi on est devant l’édition Tomoé ?
Moi – et si on entré ?
Michiru – d’accord !
Et après ses quelques mots, on entrâmes à l’intérieur de l’édition.
Point de vue Michiru.
Je me demande se qu’elle a en tête. Je m’approche, et voie un homme de vieil âge avec une femme assez grande, un tailleur noir et blanc la couvrait.
Monsieur Tomoé – ah vous devez être mademoiselle Tenoh et mademoiselle Kaio ?
Haruka – c’est exact, bonjour monsieur Tomoé ! Bonjour madame.
Madame Tomoé – bonjour, venez assayez-vous.
Sans que je ne comprenne la tournure des événement qui défilent devant mes yeux, je prend place sur une chaise, à la gauche de ma jolie blonde.
Monsieur T – alors qui est mademoiselle Kaio ?
Moi – euh … C’est moi monsieur.
Monsieur T – bonjour à toi, alors je supose que tu te demande se que tu fait ici !
Moi – oui !
L’homme me passe un calpin avec une feuille dessus. J’observe cette dernière et remarque que c’est un contrat … Un contrat ? Mais bien que je connaisse parfaitement cet édition, je n’aie jamais envoyer mon roman, du moins je n’ose pas l’envoyer de peur que cela ne soit pas à la hauteur de leur attentes. Je regarde Haruka qui me souriait tendrement. Ce pourrait t-il que …
Monsieur T – en fait ton ami nous a contacté il y a quelques semaines et nous a fait comprendre que tu aimer écrire, et que tu avait par la même occasion terminé ton roman …
Madame T – elle nous la envoyée par mail … Et sa nous a beaucoup plus. Donc si tu es d’accord, nous pouvons le publier. Et je serait ton agent.
Je … Je n’arrive pas à y croire. Je retiens mes larmes qui son prête à couler, je suis tellement heureuse, un bonheur immense m’enivre, et je regarde Haruka le sourire aux lèvres.
Moi – euh … Je ne sais pas quoi dire, sa fait longtemps que je rêve du jour ou je pourrais me faire connaître dans ce domaine, mais je suis encore lycéenne.
Monsieur T – oui nous le savons, et comme tout a déjà était réglé, nous avons réfléchit ma femme et moi afin de te construire un emploi du temps adapter à ton statut scolaire. Donc serait tu d’accord pour faire de ton roman une première parution ?
Moi – oui.
Dans peut de temps j’allais exploser de joie, c’est elle qui a fait sa pour moi, car elle c’est que c’est ma passion. Je retiens au maximum mes larmes qui me menace, Haruka ainsi que moi signons, car il ne faut pas oublier que c’est aussi ma tutrice.
Les minutes s’écoulent et après avoir sérieusement parlé de ce futur projet, Haru et moi sortons du bâtiment.
Je me tourne, et sauta littéralement dans ses bras, laissant mes larmes de bonheur couler.
Moi – oh merci … Merci beaucoup pour ce que tu viens de faire. Si tu savais à quel point je suis heureuse !
Haruka – joyeux anniversaire ma chérie !
J’arrive pas à le croire, c’est pour mon anniversaire qu’elle a fait sa. C’est le plus beau cadeaux que l’ont puisse me faire.
Moi – merci infiniment mon amour … Tu est vraiment génial.
Et sans me retenir je dépose mes lèvres sur les sienne. Heureuse et décidément éperdument amoureuse.
Point de vue Haruka.
Je suis vraiment heureuse, ma surprise la rendu heureuse, et sa me faisait beaucoup de bien, de la voir ainsi. Je lui caresse la joue et répond à son baiser . Tout se que je voulais c’est la voir heureuse et épanoui.
On se décolent doucement, et je lui écarte une mèche de ses yeux.
Moi – je suis heureuse que cela te plaise !
Michiru – merci beaucoup Haruka, tu viens de me rendre encore plus heureuse que je ne le suis déjà !
Moi – contente de l’apprendre … Aller ont continue ?
Michiru – oui.
J’allonge mon bras droit sur ses épaule, alors que son bras gauche se pose sur mon dos. Nous continuons notre chemin, ignorant le regard des autres. Sa tête se pose sur mon épaule, et ses doigts se mirent à caresser ma hanche. On arrivent devant un magasin de vêtements féminin, Michi se tourne vers moi et me demande :
Michiru – dis Haru, on peut y aller ?
Moi – bien sur mon ange, aller je te suis.
Ses lèvres se pose sur ma joue, elle me sourit, et je la suivit à l’intérieur du petit commerce. Je la voie se diriger vers les robes, se qui me fait sourire. Alors qu’elle me fait signe qu’elle allait dans une cabine d’essayage. Je lui fit un clin d’oeil et me dirige vers un petit stand de bijou et fantaisie féminin. Je regarde et aperçut une paire de boucle d’oreille argenter en forme de goûte de pluie, accompagné de petits diamants plus brillant les uns que les autre. Je sourit et vint prendre le bijou en main.
Je sent soudain mon téléphone vibrer, je prend se dernier en main, et le déverrouille et consulte ma messagerie. C’est un message de Michi qui me demande de venir la voir. Je souris, range mon cellulaire dans la poche de mon pantalon noir, et me dirige vers le font, la ou se trouve les cabines.
Moi – je suis la Michi.
Je voie le rideau se tirer vers la gauche, et fut ébloui de la voir aussi jolie. La robe qu’elle portée est de couleur noire, il y avait un petit cœur ou l’ont pouvais voir sa peau, relié par une large ficelle noire au cou. Le contour du cœur est de couleur argenter.
Elle est tellement belle, elle fait plus femme dans cette robe et cela me fait encore plus chavirer.
Moi – tu est vraiment très belle dans cette robe Michi !
Michiru – c’est vrai ? Merci … C’est gentil. Donc allait je la prend.
Elle me sourit, et tire le rideau pour se couvrir afin de se changer. Je ne sais vraiment plus quoi dire … Tant de chose se sont passé depuis notre rencontre, et je voulais à tout prit la garder prêt de moi et pouvoir la chérir tendrement chaque jours.
Quelques petites minutes après, ma douce revint vers moi avec la robe noire, je lui prit, et vint saisir sa main.
Michiru – attend, j’ai vue des chaussures qui vont avec la robe !
Je sourit et la suivit à travers le magasin. Arriver prêt de ses fameuse chaussures, je jette un œil à ses dernière et effectivement elles étaient assortie à la robe, ouverte sur le dessus un fin talon et le contour de l’ouverture en argent.
Moi – quel pointure fais tu ?
Michiru – du 38.
Je me baisse, et chercha la taille 38. J’en trouve une, je vint doucement prendre le carton en faisant attention de ne pas faire tomber les autres. Je me tourne vers Michi, et ouvre le carton, prend une des paire, et vint lui prendre doucement le pied droit. Je lui retire sa ballerine, et lui passa la chaussure noire au pied. Je lève mes yeux vers elle et lui sourit tendrement.
Moi – comment tu te sent ?
Michiru – ça va oui, je ne suis pas sérré dedant !
Moi – dans ce cas.
Je remet la chaussure dans le carton, lui remis la balerine, me lève, prit sa main, et je nous dirige vers la caisse.
Moi – tu m’attend dehors ?
Michiru – mais Haru … Tu, tu en as déjà asse …
Moi – chuut … C’est ton anniversaire non ? Alors laisse moi te faire plaisir ma chérie d’accord ?
Michiru – tu est trop … C’est d’accord, je t’attend dehors.
Je lui tapote le nez, lui pose un délicat baiser, et la laissa filer. Je l’observe pendant quelques minutes, heureuse qu’elle soit devenue mienne qu’elle soit devenue … Ma petite femme à moi.
Quand ce fut mon tour, je passe les articles, et vint payer ce qu’il falait. Puis enfin je sorti avec une poche et les boucles d’oreilles que je garde en main. Arrivé à l’extérieur, je la vit en train de regarder le ciel. Je sourit, et me dirige vers elle.
Moi – c’est bon, je suis là !
Michiru – merci, tu est vraiment gentil, jusque là personne n’en avait fait autant pour moi !
Moi – c’est parce ce que je t’aime et que je tiens à toi que je fait tout sa car …
Je vint la prendre dans mes bras, et dit en caressant sa joue :
Moi – pour toi rien n’est trop beau !
Michiru – je t’aime tu sais … Je t’aime de tout mon cœur.
Moi – moi aussi Michi je t’aime et te désir plus que tout.
Je la regarde dans les yeux et déposa mes lèvres sur les siennes, lui offrant un doux baiser. Ses mains se posent sur mes épaules, et les miennes reste sur ses joues. Mon cœur bat tellement fort … Je suis si heureuse.
Nos lèvres se détachent, et je la dévisage avec tendresse. Je prend les petite boucles, retire le plastique, enlève les attaches et vint doucement lui mettre les boucles. Je met les fermoirs pour ne pas qu’elle les perde. Je lui caresse la joue, et vint la prendre par les épaules. Sa main se place sur ma hanche gauche, et sa tête se pose sur mon épaule.
Michiru – merci …
Moi – ce n’aie rien, sa ma fait plaisir.
On se sourit, et nous continuâmes de marcher dans la rue marchande. Après quelques heures de promenade, nous étions enfin rentrée à la maison. Je me trouver face à ma douce, mes mains dans son dos, et mon front contre le sien. Ses bras s’allongent sur mes épaules et son nez se met à caresser le mien.
Michiru – merci pour cette journée, elle a était magnifique passé à tes côtés.
Moi – mais ce n’est pas fini.
Michiru – alors, si ce n’est pas fini … Haru fait moi goûtter au bonheur !
Moi – tes désirs son des ordre mon amour.
Et d’une manière très amoureuse je l’embrassa avec toute ma tendresse et mon amour. Je laisse mes mains la serrer contre moi, mes doigts caressant le tissu qui couvrait sa peau si douce. Ses mains attrape le haut de ma chemise, et elle me tire vers elle. Ma jambe gauche se met entre ses jambes, mon corps est préssé contre le sien, et mes mains montent afin de se poser sur ses joues.
Je me sent tellement bien, ce que je ressent est indescriptible, tout mes sens s’affolent, et mon cœur bat de plus en plus vite. Nos langue se trouvent, et se chamaillent tendrement entre elles, je pouvais rester des heures à savourer ce bonheur qui m’est à présent offert. Et je ne suis pas prête à le laisser filer. Nos lèvres se détachent doucement, nos front se caresse, et je vint lui caresser la joue, plongeant mes yeux dans les siens.
Michiru – je n’aurais jamais crue … Que la vie puisse m’offrir ce cadeau, je remercie de tout mon cœur le ciel de m’avoir offert ce bonheur qui m’enivre de plus en plus …
Sa main se met à caresser ma joue, et je continue de l’admirer avec avec douceur un petit sourire au coin des lèvres.
Michiru – malgré mon jeune âge, je ne veux pas faire se que font les filles de mon âge, à se dévêtir pour les plaisirs d’autrui, à ruiner ma santé avec des subtance chimique, parce ce que ce que je désir plus que tout je le tiens dans mes bras, j’ai 18 ans et bien que je pense sérieusement à mes études, j’aimerais de tout mon être construir un futur avec la femme que j’aime et désir plus que tout, je veux pouvoir me réveiller chaque matins dans ses bras, pouvoir partager ma vie mes secrets et rêves avec elle, pouvoir … Me voir vieillir à ses côté, et lui porter tout l’amour que je ressent pour elle. Car là … Maintenant je c’est qu’elle est la femme de ma vie.
Je sourit, l’envie de pleurer de joie me tiens, mon cœur bat tellement fort, je ne contrôle plus les pulsassions de ce dernier, je me sent mourir, ses paroles résonne dans ma tête, et s’enferme à l’intérieur de mon cœur, je lui caresse la joue, et la dévisage avec douceur, je ne voyais rien mais je savait que mes yeux brillait de bonheur, je lui sourit et elle aussi.
Je vint la prendre dans mes bras, et tout en la regardant avec tendresse, monta les escaliers et me dirige vers ma chambre … Enfin je veux dire notre chambre. Arrivé dans cette dernière je ferme la porte, et vint l’allonger sur le lit, me mettant doucement au dessus d’elle. Je plaque tendrement mes mains sur ses oreilles et caresse ses tempes, ses mains caressent mes joues, et mon front caresse le sien.
Moi – alors … Construisons notre futur toute les deux maintenant … Afin de se crée de merveilleux souvenirs mon trésor … Je ne souhaite que pouvoir vivre et t’aimer sincèrement tout au long de notre vie.
Elle ma sourit, et dans un accord harmonieux nos lèvres se scellèrent amoureusement. Partageant avec délice et tendresse notre petit bout de bonheur qui grandissait à chaque instant passer ensemble. Je laisse mes mains prendre soin de son corps, lui offrant diverses caresse plus douce les unes que les autres.
Nos langues, après un petit moment de recherche finissent par se trouver, et une bataille tendre et câline commencent entre ses dernières. Je sent ses mains m’approcher encore plus d’elle, cela me fit sourire laissant mes mains se livrer à son dos, je remonte doucement afin d’être à sa hauteur et continue de l’embrasser avec toute ma passion et ma tendresse.
Je sent un léger courant d’aire sur ma poitrine, et je sent ses mains retirer ma chemise. Laissant mes mains dénuder doucement son corps. Ma chemise ainsi que sa robe se retrouvent sur le sol, et nos lèvres continuent de se goûter avec amour se découvrant un peut plus chaque seconde.
Au bout de quelques minutes entre nos câlins et baisers enflammés nous étions à présent sous la couette, nue et toujours enlacé l’une contre l’autre. Je me trouvais toujours au dessus d’elle, et jouer tendrement avec ses lèvres qui s’amuser à me mordre, se qui me faisait bien rire. Nos yeux se rencontrent et se caressent tendrement, laissant doucement mes lèvres embrasser son nez.
Moi – si tu savais, à quel point je me sent bien avec toi, je n’est pas de mots assez fort pour te dire ce que je ressent, mais se que je peux te dire c’est que tu est la femme de ma vie, que tu est celle qui enflame mon cœur … Que tu es celle avec qui je veux partager ma vie.
Michiru – moi aussi … Ma si jolie blonde, je t’aime d’un amour sincère et véritable.
Moi – moi aussi mon ange, l’amour que j’éprouve à ton égard est sincère.
On se sourit, et nos lèvres s’unirent dans un tendre baiser. Ainsi enlacé tendrement dans les bras de l’être aimé nous nous échangions avec amour notre bonheur et quoi de plus doux que de faire passer ce bonheur dans un doux et long baiser suivit d’une longue étreinte amoureuse. Ah … Décidément je suis véritablement [i]la plus heureuse et amoureuse.
Quelques heures plus tard. Après ce moment très agréable passé avec elle, je me trouvait dans la cuisine en train de préparer à manger. Pour ce soir j’ai prévue de faire son plat préféré qui est du riz avec des quenelles. Logeant au quatrième étages donc au dernier, je possède un balcon bien étrange pour un appartement me diriez-vous. Mais tout de même agréable quand j’avais besoin de me vider l’esprit. Je prit les couverts nécessaires, et pendant que le riz cuisez et les quenelles réchauffer, j’allais dresser la table dehors, quoi de beau pour un anniversaire que de le terminer par un dîner en tête à tête. Michi devait sûrement se trouver dans la salle de bain en train de prendre sa douche. J’espère qu’elle verra le petit mot que je lui est laisser sur le lit là ou j’avais prit soin de mettre la robe noire que je lui avait offert il y a quelques heures plus tôt. [/i]
Ah … Si un jour ont m’aurait dit que je serait au petit soin de quelqu’un je ne l’aurais jamais crue.
Point de vue Michiru.
Ah … Sa fait du bien une bonne douche. Je vint rapidement m’enrouler dans une serviette sentant le froid me gagner. Je commence à me sécher de toute part, je met le bout de la serviette entre ma poitrine pour que la serviette puisse tenir. Je prend le sèche cheveux branche la machine, et active le soufflement.
Je regarde mon reflet dans le miroir, et aperçoit un sourire … Un sourire heureux, tout se qui c’est passé aujourd’hui j’ai encore du mal à y croire, surtout au sujet de l’édition, quand je pense que j’allais me faire connaître pour de vrai. Je suis tellement heureuse, et ma relation avec ma jolie blonde me rend encore plus heureuse de savoir que nous désirons la même chose, construire et fonder notre vie ensemble, cette journée avec elle ma permis une bonne fois pour toute de mettre mes sentiments dans l’ordre, car à présent, je sais que je veux terminer ma vie à ses côtés, et sa quelque soit le prix à payer.
Quand j’eu terminé, je sort de la salle de bain et me dirige vers notre petit nid d’amour, et m’enferme à l’intérieur. Je remarque la robe noire sur le lit, il y avait un petit mot dessus, je m’approche et prend ce dernier en main et le lue silencieusement.
« s’il te plait met cette robe ma chérie »
je sourit tendrement, je pose le mot sur la petite table de chevet, et alla chercher ma lingerie dans l’armoire. Sa fait bizarre tout de même de se retrouver dans ce genre de situation, un vrai petit couple sommes nous, car en y repensant, on partage tous, nos rire on mangent ensemble on fait des chose ensemble que se soit en public ou en toute intimité, bien que j’avais une préférence pour nos petit moments intime, tel que tout à l’heure, je n’aurais jamais crue pouvoir dépasser ma peur depuis que père m’est fait des attouchements. Mais sa prouver que je grandissait et que j’avais vraiment l’ambition de ne pas laisser cette perle rare s’échaper.
Quand je fut totalement habiller et maquillé, je me dirige vers le miroir, et me regarde longuement. J’avais du mal à me reconnaître. J’avait enfiler la robe qu’elle ma offerte, des collants noir couvrait mes jambes, les boucles aussi je les aie mise, j’avais laisser mes cheveux détacher, les tirant juste vers le côté gauche, et une rose noir trônait dans ma chevelure. Comme maquillage j’avais choisi simple, du laïner noir et d’un rouge à lèvres rouge. Et m’étais légèrement parfumer avec une eau de parfum portant le nom de « Intime » de Arno Sorel.
Je me demande tout de même pourquoi Haru ma demander de porter la robe. Avant de descendre, j’enfile les chaussures noir qui se marie avec ma robe, et le cœur battant à la chamade je sort de la pièce. Je remarque que tout est éteins, il y a juste de la lumière provenant du balcon, donc doucement je descend les marche.
Hm, sa sent délicieusement bon, je me rend au balcon, et mon cœur se serra en voyant la scène qui s’offrait à moi. Un … Un dîner en tête à tête, au milieu du balcon est dresser une petite table ronde couverte par une soyeuse nappe blanche, sur cette dernière se tient les couverts, il y a deux cloches argentés sur les assiettes gardant les aliments chaud, et au milieu de la table se trouvé un bougeoir avec trois bougies. C’est vraiment magnifique, en plus avec un ciel noir parsemé d’étoiles c’est encore plus magique.
Moi – c’est vraiment magnifique. Dis-je en m’avançant
je voie Haruka se tourner, et elle eu un doux sourire accroché aux lèvres en me voyant. Je m’approche d’elle, et vint caresser ses yeux avec les miens.
Haruka – c’est toi qui est magnifique ce soir mon trésor.
Moi – merci et … Tu est aussi vraiment très belle ce soir Haruka !
Mon cœur battait à mille à l’heures, et je n’arriver pas à contrôler mes pulsions. Sa main c’est posée sur ma joue et ses doigts crée une douce sensation de légèreter. Je m’approche, et pose mes mains sur sa poitrine, plongeant mes yeux azur de le sien, lui souriant avec tendresse.
Haruka – cette robe te va à ravir, et ce maquillage te rend tellement belle.
Je sourit, je m’approche et déposa tendrement mes lèvres sur les siennes. Ses mains vinrent me serrer contre elle, allant caresser mon dos, une légère brise se fait sentir, et mes cheveux virevolte donnant à cette instant, un aspect romantique et magique. Nos lèvres se détachent doucement, et sa main monte à ma joue gauche et ce met à la caresser. Je porte ma main droite à son visage et lui écarte quelques mèches blonde de ses yeux descendant mes doigts en une caresse vers sa joue.
Haruka – et si … On allaient manger ?
Moi – d’accord.
Je te pose un petit baiser sur le nez, et alla prendre place sur l’une des chaises face à toi. Mes yeux te fixaient intensément depuis tout à l’heure, n’en revenant toujours pas de se que tu as fait pour moi tout au long de cette journée.
En prenant ma main droite dans la sienne, Haru à soulevé nos cloches, et un tendre sourire apparue sur mes lèvres, elle avait donc déjà tout prévue, cela me remplissait de joie et de bonheur. Je lève mes yeux et lui dis avec un doux sourire :
Moi – tu y a pensé … Merci, merci ma chérie.
Haruka – bien sûr, après tout c’est un jour important.
Je t’aime … Je n’arrête pas de sourire tant le bonheur frappe mon cœur. Je nous serre de l’eau, et tout en la regardant je me suis dit « tu as vraiment de la chance de l’avoir à tes côtés. »
Haruka – bonne appétit mon ange.
Moi – à toi aussi … Ma jolie blonde !
On c’est sourit, et nous avons commencés à manger. Hm que c’est bon, en plus d’être la femme parfaite à mes yeux, c’est un vrai cordon bleu. J’enlace mes doigts avec les siens, et la dévisage avec le sourire, tout sa … J’avais l’impression de vivre un véritable compte de fée comme Cendrillon.
Moi – si un jour on m’aurais dit que je serait heureuse … Je ne l’aurais jamais crue, merci beaucoup pour tout se que tu as fait, c’est … C’est vraiment beaucoup et sa représente tant pour moi.
Haruka – c’est parce ce que je t’aime et que je tiens à toi que j’ai fait tout sa.
Je lui sourit, prête à verser mes larmes qui depuis le début de la soirée me menace de couler. Puis quand ont eu fini, Haru c’est levé et sous mon regard doux et surpris elle c’est dirigé vers moi.
Se mettant derrière moi, je lève mes yeux et lui sourit tendrement. Je voie sa main piocher dans unes de ses poches de pantalon, et elle sortie une petite boîte marron, qu’elle me mit devant les yeux. Je me demande bien se que sa peut être, mon cœur bat tellement vite.
Doucement elle a ouvert la petite boîte, et mon cœur se mit à tanguer fortement dans ma poitrine. A l’intérieur de l’étui se trouvé un petit cœur en argent, sur ce dernier, il y avait des lettres qui formé le mot « Je t’aime » je touche doucement le bijou, me demandant ce que cela pouvais être.
Haruka enlève le bijou de la boîte et je remarque que c’est une petite chaîne argenté, elle est magnifique, vraiment je ne sais quoi dire. Ma jolie blonde me le passe au tour du cou, et sa voix résonne au creux de mon oreille.
Haruka – joyeux anniversaire mon trésor.
J’ai levé mes yeux, et heureuse, j’ai déposé mes lèvres sur les siennes. Lui offrant un long et doux baiser. Caressant sa cheveulure, mêlant tendrement mes doigts à l’intérieur. Ses bras à elle entourés mon cou, et ses mains caresser ce dernier.
Jusqu’à présent personne n’avait fait sa pour moi, jamais on m’avait t’émoigner autant de tendresse et d’amour. Et cela me rendait éperdument heureuse.
Doucement ont se détachent, mais nos yeux continuent de se caresser, chacune habitant un sourire heureux.
Moi – il est magnifique … Merci mon amour.
Haruka – chuut … Pour toi, rien est trop beau !
Elle est vraiment adorable, puis doucement, elle ma prit la main et me conduit jusqu’à sa chaise. Elle prit place sur cette dernière, et me prit dans ses bras. Je me retrouve assise sur ses jambes, mes bras s’allongent sur ses épaules, et les siens s’avanturent dans mon dos. Un vent léger souffle et fait virevolté nos cheveux, elle est tellement belle, j’emène ma main gauche à sa joue et la caresse.
Moi – cette journée … Je ne l’oublierais jamais, merci Haruka !
Haruka – tu sais … Il est évident que pour toi, je serait prête à tout pour te rendre heureuse et te voir sourire tu … Tu compte tellement à mes yeux Michi.
Moi – toi aussi … Tu compte beaucoup pour moi, et pour rien au monde je ne t’échangerais pour voir de simple sourire de satisfaction.
Elle ma sourit et ma doucement embrassé. Je répond délicatement à sa douceur, posant mes mains sur ses joues et caressant sa peau avec mes pouce. Sans que je m’en rende compte Haru me mit des écouteurs aux oreilles, suivit d’un petit mp3, nos lèvres jouaient toujours ensemble, et une voix … Sa voix résonne dans la petite machine.
« Michi, je te souhaite un très joyeux anniversaire. Voila maintenant un mois que je vis un véritable bonheur à tes côtés, depuis que mes yeux ont croisé les tiens, je me suis demandé ce qui se passer pour que je soit autant subjugé. Le simple fait qu’en même pas un mois tu est devenu importante à mes yeux, je vais être honnete, mais je n’aie jamais pue connaître le véritable amour … Avant de tomber sur toi, se que je souhaite plus que tout ma chérie et qu’un jour tu devienne ma femme, quand j’ai appris ce qui tes arrivé, j’ai tout fait pour le cacher, mais voilà je t’aime et suis profondément amoureuse de toi. L’autre jour, tu m’as posé une question, tu m’as posé se dont je rêvé, et bien maintenant je peux te répondre, se que je rêve c’est de construir un futur avec toi, pouvoir un jour fonder notre propre famille ainsi que de te voir en robe blanche. Il n’y a que toi qui me rende ainsi, il n’y a que toi avec qui je veux terminer ma vie. Mon trésor, je t’aime je t’aime et je t’aime, tu est la femme de ma vie, et je ne veux pas te perdre. Je te souhaite un très bon anniversaire et te fait mille gros baisers, je t’aime ma chérie, ne l’oublie jamais. »
Alors que mes yeux la dévisagent, des larmes roule le long de mes joues, je … Je suis si heureuse, je pose le mp3 sur la table, et la regarde en pleurant de joie, mon cœur battait tellement vite, je ferme mes yeux et respire profondément, mordant ma lèvres inférieur et lâchant un petit rire.
Haruka – joyeux anniversaire ma chérie !
Je lui prend les mains, tourne ma tête vers la droite et mes yeux encore embués de larmes fixent les étoiles.
Moi – moi aussi … Ce que je souhaite plus que tout et de construir un futur à tes côtés, je rêve chaque jour de ma vie avec toi, je n’aie jamais ressentie de tel émotions avant de te connaître, mais je t’aime d’un amour sincère et profond, je souhaite de tout mon cœur pouvoir un jour devenir ta femme et porter ton nom, je souhaite plus que tout te rendre heureuse, et te chérir tendrement chaque jours de notre vie …
je tourne ma tête, et la regarde les larmes aux yeux, elle me sourit, effaçant de sa main douce mes larmes.
Haruka – alors … Je souhaite plus que tout pouvoir unir mon cœur au tien mon trésor. Je t’aime tu sais.
Moi – moi aussi Haru je t’aime … Je t’aime bien plus qu’il ne le faut !
On c’est sourit, et nos lèvres se sont unies. Je me sentit soulever, mais je ne fait rien pour me débattre, juste à continuer de l’embrasser avec tendresse. J’entends une porte se fermer, et me sentit allonger. Nous étions dans notre chambre, et je sentait son souffle chaud sur ma peau, elle se trouvée au dessus de moi, et malgré la pénombre je pouvais voir ses magnifique yeux pétiller.
Haruka – ma chérie … Pour ce jour si exceptionnelle, me laisserais tu te faire goûter au bonheur ?
Moi – oui … Je suis toute à toi ma jolie blonde.
Elle me sourit, et nos lèvres se scellèrent amoureusement. Je vint doucement la dévêtir, laissant tomber sa chemise sur le sol, je laisse mes main parcourir son corps, sa peau qui est douce et chaude à la fois.
Je me retrouver à présent nue sous les draps mon corps frissonnant de plaisir. Pour la première fois, je me sentait bien, et je n’avais pas peur. Je dirige mes lèvres vers son cou et lui embrasse longuement. Ses mains parcourent mon être, et ses lèvres se perdent dans mon cou. Jusqu’à ma poitrine, le désir prenait de plus en plus d’ampleur, et j’avais irrésistiblement envie d’elle.
Moi – oh Haru … Je t’aime.
Haruka – moi aussi mon ange !
Elle a caresser ma joue, et ses lèvres ont repris les miennes en otage. Cette nuit pour la première fois fut la plus magique de toutes, pour la première fois depuis 18 ans je me laisser envahir par le plaisir que l’ont ressent à deux. Cette nuit, elle ma rendu heureuse, cette nuit elle a prit définitivement prit possession de mon cœur. Cette nuit ou Haruka me fit tendrement l’amour. Cette nuit ou je suis réellement tombé encore plus amoureuse.
Et voila la fin de ce chapitre ^^ à la prochaine :)
Chapitre 5 : Un anniversaire inoubliable
Point de vue Narrateur.
Point de vue Narrateur.
Depuis que le devoir de l’exposé est passé une semaine venais de s’écouler et les vacance de la Toussain est enfin arrivé. Aujourd’hui nous sommes le 21 octobre, jour ou notre petite Michi passe dans la cour des grands. Nous nous retrouvons devant l’appartement d’Haruka, et si nous tendions un peut plus l’oreille, on pouvais entendre du bruit.
Haruka – Michi, tu viens !
Michiru – oui oui j’arive.
Cette dernière après quelques minutes d’attente interminable celon Haruka fit enfin son entré devant les escaliers. La jeune femme blonde eu un tendre sourire en voyant sa cher et tendre habillé ainsi. Elle lui dis alors :
Haruka – je comprend mieux pourquoi tu mettait autant de temps … Alala je vous jure ses filles.
Michiru – dois-je te rappeller que tu en est une aussi !
Haruka – peut être, mais je ne passe pas des heures devant le miroir.
Michiru – c’est un peut normal, puisque toi, tu est belle au naturelle, tu n’as nulle besoin de rajouter des babioles car tu est déjà ravissante.
Haruka touché de ses propos monte les escaliers, et comme Michiru était toujours sous béquilles, elle la porta tel une princesse. Arrivé en-bas elle la dépose sur le sol, et la dévisage avec douceur.
Michiru bien que le temps se soit un peut rafraîchit, avait opté pour une jolie robe bleu vert, il y avait 4 petits boutons bleu marine sur le haut. Ses cheveux qui habituellement son lâchés sont retenue par une couette basse sur le côté gauche. Elle était vraiment très jolie aux yeux d’Haruka qui ne cesser de la dévorer du regard.
Haruka – tu est vraiment très jolie.
Michiru – merci !
Elle lui caresse sa joue, et la jeune femme blonde lui déposa un léger baiser. Un petit instant bien à elles, voilà maintenant 3 semaines qu’elle partagées leurs vies à deux, et elles étaient très épanouie ensemble.
Après ce petit échange, les deux jeunes femmes sortir de l’appartement.
Michiru – ah bonheur, je vais peut être me débarrasser de ses foutue béquilles.
Haruka – ah ah, mais sa dépendra de comment est ta hanche !
Michiru – Haru … Ne casse pas mon rêve !
Cette dernière ce met à rire, et toutes deux entames leur marche dans le long couloir de la résidence. Arrivé au bord de la première marche Haruka prit Michiru dans ses bras, et descend les quatre étages prudemment. Quand elle furent arrivées jusqu’au parking, la jeune blonde déverrouillé l’alarme, et ouvrant la porte passager posa sa jeune protégé sur le siège.
Michiru – merci !
Haruka – de rien chaton.
Elle lui dépose un léger baiser, et à son tour monte dans sa voiture. Allumant le conteur de cette dernière, Haruka fit une marche arrière, et partie enfin direction le médecin.
Point de vue Haruka.
Ah … Je me demande par quoi je vais commencer aujourd’hui, car étant donné que c’est son anniversaire, j’avais quelques surprises en réservation, mais je ne sais pas par laquel commencer.
Michiru – au faite Haru …
Moi – oui qui y’a t-il ?
Michiru – c’est quand que le directeur envoie nos bulletin de premier trimestre ?
Moi – dans la semaine qui va suivre tout au plus.
Michiru – eh bien, j’espère juste de ne pas encore avoir baisser de niveau !
Moi – comment sa baisser de niveau ?
Je fut surprise de ses mots car de toute la classe, elle est la meilleur, c’est elle qui tiens la meilleure moyenne et pas que dans mes cours.
Michiru – bah tu sais je n’aie jamais était supère forte en cour, je me rappelle encore se que sa donné au collège !
Moi – j’ai du mal à te croire, car ce n’aie pas du tout le cas depuis la rentrée.
Michiru – ah mais sa, c’est parce ce que j’ai un supère professeur !
Je me suis mise à sourire, et voulant jouer la curieuse je lui demande :
Moi – ah … Et comment est ce professeur si particulier ?
Je voie un petit sourire apparaître sur son visage, ses yeux fixent l’horizon et sa voix que j’aime tant entendre résonne.
Michiru – eh bien … Par ou commencer, il y a tellement de choses à dire sur ce professeur. Depuis ma rencontre avec elle, je ne sais pas, mais la vie est devenue nettement plus agréable, je l’admir beaucoup, et en plus d’être mon professeur de mathématique de langue vivante et d’histoire géo, elle est avant tout la femme que j’aime. Sans la regarder, je connais les moindre petites chose qui la rende si belle. De magnifique yeux vert émeraude, un regard qui m’envoûte à chaque fois, une chevelure doré, une taille fine et élancé, et puis elle a ce petit quelque chose qui m’attire encore plus que tout ses détails, son côté masculin que je trouve vraiment attirant, sa la rend si belle … Et en fin de compte, cette femme qui fait tant chavirer mon cœur à deux personnalité, en cour, c’est le professeur sur d’elle qui ne se laisse pas marcher sur les pieds, alors qu’à la maison c’est tout autre, j’ai pue découvrir avec joie qu’elle était en fin de compte très douce, gentil, aimable et très câline, se que j’aprécie car étant moi même très câline, j’aime ses câlins, me retrouver dans ses bras tout contre elle et son cœur. Non vraiment ce professeur je l’aime et l’admir !
À plusieurs reprise mon cœur loupe plusieurs battements, je suis heureuse vraiment heureuse de constater qu’elle tiens autant à moi que moi je tiens à elle. Je m’arrête à un feu rouge, et vint lui prendre la main.
Moi – et ce professeur qu’est t-il ?
Michiru – elle est la moitié de mon cœur, et … Elle est ma partenaire, ma petite femme à moi.
Je sourit tendrement, et m’approche de son visage, je lui prend délicatement le menton, et lui caresse la joue.
Moi – je t’aime !
Michiru – moi aussi Haru je t’aime.
On se sourit, et pour quelques secondes nos lèvres s’unirent dans un doux et long baiser. Je sens sa main se poser sur ma cuisse, ses doigts caresse le fin tissu qui sépare ma peau. Sa langue qui se mêle tendrement à la mienne, c’est un véritable bonheur pour moi, c’est la première fois en 23 ans que je me sens véritablement aimé, et en 23 ans c’est la première fois que je suis autant amoureuse.
On se détachent doucement, et je vint faire frotter mon nez tendrement contre le sien. Elle avait le sourire, un sourire magnifique que j’aime et que je ne me lacerais jamais de regarder. Je lui embrasse le nez et lui murmure avant de reprendre la route :
Moi – quand arrêteras tu de me rendre folle ?
Michiru – folle ? Et de quoi ?
Moi – folle et éperdument amoureuse.
Michiru – je ne le fait pas exprès, mais toi aussi, tu me rend folle chaque jours, chaque minutes et chaque seconde … Ma douce et jolie blonde.
Je lui sourit, un sourire prête à m’en décrocher la mâchoire, je l’embrasse avec douceur, et repris la route direction le parking souterrain. Après quelques minutes de recherche, je rentre dans le parking, essayant de trouver une place.
Michiru- Haru, la tu en a une !
Elle me montre du doigt une place effectivement vide, je sourit et partit me garer.
Moi – merci princesse.
J’éteins le moteur, et sortie de la voiture, remetant ma chemise noire en place. Je me dirige vers la porte passager de Michi, ouvre cette dernière, et vint l’aider à sortir.
Michiru – merci.
Je ferme la porte, pose ses béquilles contre la Porshe, et vint l’enlacer tendrement dans mes bras. Ses bras s’allonge sur mes épaules, et ses mains se mettent à caresser ma nuque. Alors que les miennes descendait le long de son dos. Posant de tant à autre mes lèvres sur son cou.
Moi – quoiqu’il arrive promet moi une chose !
Michiru – tout se que tu veux.
Je lui soulève le menton et lui murmure en caressant sa joue :
Moi – promet moi, que … Que quoiqu’il advienne rien ne pourra se mettre entre nous Michi.
Michiru – je ne sais pas se que va nous reserver l’avenir, mais je te fais la promesse de te garder auprès de moi ma chérie et sa quoiqu’il arrive.
Moi – je t’aime.
Michiru – plus que tout !
Je lui sourit tendrement, et ses lèvres prirent possession des miennes. Ses mains se posent sur mes joues, et ses doigts me caresse. Je laisse mes mains crée une sensation de douceur sur son dos m’approchant doucement d’elle afin d’être serrer contre son cœur. A cet instant j’étais vraiment la plus heureuse.
Je me décolle doucement, écarte quelques mèches bleutée de ses yeux, et lui embrasse le nez. Je lui tend ses béquilles, et c’est en discutant que nous nous avançons vers la sortie du parking.
Michiru – rah lala, j’ai hâte de pouvoir quitter ses chose.
Moi – ah ah, tu est bien impatiente dis moi !
Michiru – oh mais tu c’est je peut me montrer très patiente et coopérente quand t-il le faut.
Moi – ah et dans quoi par exemple ?
Michiru – je c’est me montrer patiente lorsqu’il s’agit de construir un avenir à deux.
Je sourit, continuant de marcher, on prit l’assenceur, et une fois en-bas on se dirige vers le cabinet du médecin qui n’était plus très loin.
Moi – au faite Michi, tu as prit ton roman ?
Michiru – oui oui ne t’inquiète pas, bien que je me demande pourquoi !
Moi – tu verra bien.
Je lui fit un clin d’oeil, et une fois arriver au cabinet je pousse la porte et la laisse rentrer. Je passe à mon tour et parti m’asseoir sur une chaise juste à sa droite. Sa tête se pose sur mon épaule, et ma main prit la sienne. Nos doigts s’entrelacent automatiquement, et je vint lui caresser à l’aide de mon pouce.
Médecin – mademoiselle Kaio ?
Michiru – oui c’est moi !
Médecin – bonjour, vous venez ?
Je me lève, et suivit Michi à l’intérieur du bureau, j’allai prendre place sur une chaise à la gauche de ma douce, et le médecin ce mit à parler.
Médecin – alors comment te sent tu ?
Michiru – ben, nettement mieux, même si parfois j’ai des douleurs qui me lance !
Médecin – me permet tu que je jette un œil ?
Michiru – euh … Oui !
Médecin – suis moi alors.
Son regard se pose sur moi, je lui tapote le nez et lui fit un clin d’oeil. Elle parti donc derrière un rideau, et je vint attendre.
Médecin – ou mais c’est que sa c’est grandement améliorer, on ne voie quasiment plus rien. Donc je suggère que nous te retirons les béquilles.
Michiru – oh bonheur … Si vous savait comme je suis contente de me séparer de ses choses.
Médecin – ah ah, aller viens, je vais tout de même te préscrire une pomade qu’il faudra appliquer sur la cicatrice et sa pendant deux semaine tout les soir.
Michiru – d’accord !
Je la voie revenir, et elle reprend place, m’adressant un grand sourire signe qu’elle était heureuse et soulagé de se débarrasser des béquilles et cela me fait bien rire. Après que le médecin m’est remis l’ordonnance, je sort de mon sac mon porte feuille et en sort ma carte vital, ayant mis Michi dessus pour qu’elle soit couverte et qu’elle est droit aux soins depuis son accident. Je met la carte dans la machine et laissa cette dernière faire les manipulations.
Médecin – merci. Aller je vous liber !
Moi – merci docteur, au revoir !
Michiru – merci encore.
Médecin – mais je vous en prie. Passez une bonne journée mesdames !
Ah, je croix que c’est le premier à remarquer que je suis une femme, due à ma masculinité je suis souvent prise pour un homme.
Quand on fut dehors, je me tourne vers Michi qui souriait.
Michiru – ah … Bonheur je vais enfin pouvoir faire ce que j’avais envie de faire sans les béquilles.
Moi – ah, et quoi donc ?
Michiru – bah déjà pouvoir prendre la main de celle que j’aime sans difficulté !
Je sourit, elle est vraiment adorable. Je lui prend sa main, et ses doigts s’emmêlent avec les miens, je mit mes lunettes de soleil sur le nez, et commence à marcher avec elle. Librement comme un vrai couple.
Michiru – dis moi Haru, on pourrais passer à la banque ?
Moi – oui pas de souci trésor.
On se sourit, et parti direction la banque. Une fois arrivé devant cette dernière j’en profite pour sortir un peut de liquide car je compter bien lui faire quelques cadeaux. Bien que les deux premiers soit gros.
Je me dirige vers elle, et me place à ses côtés.
Michiru – excusez moi, j’aimerais savoir combien me reste t-il se ma carte.
Conseiller – oui bien sur mademoiselle, quel est votre nom ?
Michiru – Kaio !
Conseiller – un instant je vous prit.
Pendant que l’homme cherché les informations souhaiter par Michi, nos yeux se croisent, je lui écarte quelques mèches, et lui offre un doux sourire.
Conseiller – mademoiselle Kaio !
Michiru – oui ?
Conseiller – voilà vous disposé d’un total de 20 876 €.
C’est énorme, Michi n’a pas l’air surprise.
Michiru – et vous savez si mon compte est encore en suspension ? Sachant que je viens d’atteindre ma majorité.
Conseiller – non nous avons réussi à vous débloquer !
Michiru – je vous remercie, passé une bonne journée.
Conseiller – mais je vous en prit.
Et après sa, nous sortîmes de la banque. Je remis mes lunettes de soleil, prit sa main dans la mienne, et commence à marcher avec elle.
Michiru – eh bien, je n’aurais jamais crue posséder une tel sommes.
Moi – c’est tout de même énorme … et comment se fait t-il que tu en est accumulé autant ?
Michiru – en faite, ma mère avant sa mort vivez dans un milieu très aisé, c’est pour sa que mon père a tant voulu sa mort pour pouvoir récupérer ses biens pas la suite. Quand je me suis retrouvait en famille d’accueil cette dernière disant que j’étais trop jeune pour avoir une tel sommes à fermé mon compte. Mais bon maintenant que j’ai 18 ans, j’ai le droit d’y toucher !
Moi – je comprend mieux … Aller tu me suis ?
Michiru – où sa ?
Moi – ah ah.
Je lui sourit, et la traina avec moi jusqu’à un bâtiment qu’elle connaissait que trop bien. Arrivé devant ce dernier, Michi fut surprise, elle se tourne vers moi et dit :
Michiru – Haru mais pourquoi on est devant l’édition Tomoé ?
Moi – et si on entré ?
Michiru – d’accord !
Et après ses quelques mots, on entrâmes à l’intérieur de l’édition.
Point de vue Michiru.
Je me demande se qu’elle a en tête. Je m’approche, et voie un homme de vieil âge avec une femme assez grande, un tailleur noir et blanc la couvrait.
Monsieur Tomoé – ah vous devez être mademoiselle Tenoh et mademoiselle Kaio ?
Haruka – c’est exact, bonjour monsieur Tomoé ! Bonjour madame.
Madame Tomoé – bonjour, venez assayez-vous.
Sans que je ne comprenne la tournure des événement qui défilent devant mes yeux, je prend place sur une chaise, à la gauche de ma jolie blonde.
Monsieur T – alors qui est mademoiselle Kaio ?
Moi – euh … C’est moi monsieur.
Monsieur T – bonjour à toi, alors je supose que tu te demande se que tu fait ici !
Moi – oui !
L’homme me passe un calpin avec une feuille dessus. J’observe cette dernière et remarque que c’est un contrat … Un contrat ? Mais bien que je connaisse parfaitement cet édition, je n’aie jamais envoyer mon roman, du moins je n’ose pas l’envoyer de peur que cela ne soit pas à la hauteur de leur attentes. Je regarde Haruka qui me souriait tendrement. Ce pourrait t-il que …
Monsieur T – en fait ton ami nous a contacté il y a quelques semaines et nous a fait comprendre que tu aimer écrire, et que tu avait par la même occasion terminé ton roman …
Madame T – elle nous la envoyée par mail … Et sa nous a beaucoup plus. Donc si tu es d’accord, nous pouvons le publier. Et je serait ton agent.
Je … Je n’arrive pas à y croire. Je retiens mes larmes qui son prête à couler, je suis tellement heureuse, un bonheur immense m’enivre, et je regarde Haruka le sourire aux lèvres.
Moi – euh … Je ne sais pas quoi dire, sa fait longtemps que je rêve du jour ou je pourrais me faire connaître dans ce domaine, mais je suis encore lycéenne.
Monsieur T – oui nous le savons, et comme tout a déjà était réglé, nous avons réfléchit ma femme et moi afin de te construire un emploi du temps adapter à ton statut scolaire. Donc serait tu d’accord pour faire de ton roman une première parution ?
Moi – oui.
Dans peut de temps j’allais exploser de joie, c’est elle qui a fait sa pour moi, car elle c’est que c’est ma passion. Je retiens au maximum mes larmes qui me menace, Haruka ainsi que moi signons, car il ne faut pas oublier que c’est aussi ma tutrice.
Les minutes s’écoulent et après avoir sérieusement parlé de ce futur projet, Haru et moi sortons du bâtiment.
Je me tourne, et sauta littéralement dans ses bras, laissant mes larmes de bonheur couler.
Moi – oh merci … Merci beaucoup pour ce que tu viens de faire. Si tu savais à quel point je suis heureuse !
Haruka – joyeux anniversaire ma chérie !
J’arrive pas à le croire, c’est pour mon anniversaire qu’elle a fait sa. C’est le plus beau cadeaux que l’ont puisse me faire.
Moi – merci infiniment mon amour … Tu est vraiment génial.
Et sans me retenir je dépose mes lèvres sur les sienne. Heureuse et décidément éperdument amoureuse.
Point de vue Haruka.
Je suis vraiment heureuse, ma surprise la rendu heureuse, et sa me faisait beaucoup de bien, de la voir ainsi. Je lui caresse la joue et répond à son baiser . Tout se que je voulais c’est la voir heureuse et épanoui.
On se décolent doucement, et je lui écarte une mèche de ses yeux.
Moi – je suis heureuse que cela te plaise !
Michiru – merci beaucoup Haruka, tu viens de me rendre encore plus heureuse que je ne le suis déjà !
Moi – contente de l’apprendre … Aller ont continue ?
Michiru – oui.
J’allonge mon bras droit sur ses épaule, alors que son bras gauche se pose sur mon dos. Nous continuons notre chemin, ignorant le regard des autres. Sa tête se pose sur mon épaule, et ses doigts se mirent à caresser ma hanche. On arrivent devant un magasin de vêtements féminin, Michi se tourne vers moi et me demande :
Michiru – dis Haru, on peut y aller ?
Moi – bien sur mon ange, aller je te suis.
Ses lèvres se pose sur ma joue, elle me sourit, et je la suivit à l’intérieur du petit commerce. Je la voie se diriger vers les robes, se qui me fait sourire. Alors qu’elle me fait signe qu’elle allait dans une cabine d’essayage. Je lui fit un clin d’oeil et me dirige vers un petit stand de bijou et fantaisie féminin. Je regarde et aperçut une paire de boucle d’oreille argenter en forme de goûte de pluie, accompagné de petits diamants plus brillant les uns que les autre. Je sourit et vint prendre le bijou en main.
Je sent soudain mon téléphone vibrer, je prend se dernier en main, et le déverrouille et consulte ma messagerie. C’est un message de Michi qui me demande de venir la voir. Je souris, range mon cellulaire dans la poche de mon pantalon noir, et me dirige vers le font, la ou se trouve les cabines.
Moi – je suis la Michi.
Je voie le rideau se tirer vers la gauche, et fut ébloui de la voir aussi jolie. La robe qu’elle portée est de couleur noire, il y avait un petit cœur ou l’ont pouvais voir sa peau, relié par une large ficelle noire au cou. Le contour du cœur est de couleur argenter.
Elle est tellement belle, elle fait plus femme dans cette robe et cela me fait encore plus chavirer.
Moi – tu est vraiment très belle dans cette robe Michi !
Michiru – c’est vrai ? Merci … C’est gentil. Donc allait je la prend.
Elle me sourit, et tire le rideau pour se couvrir afin de se changer. Je ne sais vraiment plus quoi dire … Tant de chose se sont passé depuis notre rencontre, et je voulais à tout prit la garder prêt de moi et pouvoir la chérir tendrement chaque jours.
Quelques petites minutes après, ma douce revint vers moi avec la robe noire, je lui prit, et vint saisir sa main.
Michiru – attend, j’ai vue des chaussures qui vont avec la robe !
Je sourit et la suivit à travers le magasin. Arriver prêt de ses fameuse chaussures, je jette un œil à ses dernière et effectivement elles étaient assortie à la robe, ouverte sur le dessus un fin talon et le contour de l’ouverture en argent.
Moi – quel pointure fais tu ?
Michiru – du 38.
Je me baisse, et chercha la taille 38. J’en trouve une, je vint doucement prendre le carton en faisant attention de ne pas faire tomber les autres. Je me tourne vers Michi, et ouvre le carton, prend une des paire, et vint lui prendre doucement le pied droit. Je lui retire sa ballerine, et lui passa la chaussure noire au pied. Je lève mes yeux vers elle et lui sourit tendrement.
Moi – comment tu te sent ?
Michiru – ça va oui, je ne suis pas sérré dedant !
Moi – dans ce cas.
Je remet la chaussure dans le carton, lui remis la balerine, me lève, prit sa main, et je nous dirige vers la caisse.
Moi – tu m’attend dehors ?
Michiru – mais Haru … Tu, tu en as déjà asse …
Moi – chuut … C’est ton anniversaire non ? Alors laisse moi te faire plaisir ma chérie d’accord ?
Michiru – tu est trop … C’est d’accord, je t’attend dehors.
Je lui tapote le nez, lui pose un délicat baiser, et la laissa filer. Je l’observe pendant quelques minutes, heureuse qu’elle soit devenue mienne qu’elle soit devenue … Ma petite femme à moi.
Quand ce fut mon tour, je passe les articles, et vint payer ce qu’il falait. Puis enfin je sorti avec une poche et les boucles d’oreilles que je garde en main. Arrivé à l’extérieur, je la vit en train de regarder le ciel. Je sourit, et me dirige vers elle.
Moi – c’est bon, je suis là !
Michiru – merci, tu est vraiment gentil, jusque là personne n’en avait fait autant pour moi !
Moi – c’est parce ce que je t’aime et que je tiens à toi que je fait tout sa car …
Je vint la prendre dans mes bras, et dit en caressant sa joue :
Moi – pour toi rien n’est trop beau !
Michiru – je t’aime tu sais … Je t’aime de tout mon cœur.
Moi – moi aussi Michi je t’aime et te désir plus que tout.
Je la regarde dans les yeux et déposa mes lèvres sur les siennes, lui offrant un doux baiser. Ses mains se posent sur mes épaules, et les miennes reste sur ses joues. Mon cœur bat tellement fort … Je suis si heureuse.
Nos lèvres se détachent, et je la dévisage avec tendresse. Je prend les petite boucles, retire le plastique, enlève les attaches et vint doucement lui mettre les boucles. Je met les fermoirs pour ne pas qu’elle les perde. Je lui caresse la joue, et vint la prendre par les épaules. Sa main se place sur ma hanche gauche, et sa tête se pose sur mon épaule.
Michiru – merci …
Moi – ce n’aie rien, sa ma fait plaisir.
On se sourit, et nous continuâmes de marcher dans la rue marchande. Après quelques heures de promenade, nous étions enfin rentrée à la maison. Je me trouver face à ma douce, mes mains dans son dos, et mon front contre le sien. Ses bras s’allongent sur mes épaules et son nez se met à caresser le mien.
Michiru – merci pour cette journée, elle a était magnifique passé à tes côtés.
Moi – mais ce n’est pas fini.
Michiru – alors, si ce n’est pas fini … Haru fait moi goûtter au bonheur !
Moi – tes désirs son des ordre mon amour.
Et d’une manière très amoureuse je l’embrassa avec toute ma tendresse et mon amour. Je laisse mes mains la serrer contre moi, mes doigts caressant le tissu qui couvrait sa peau si douce. Ses mains attrape le haut de ma chemise, et elle me tire vers elle. Ma jambe gauche se met entre ses jambes, mon corps est préssé contre le sien, et mes mains montent afin de se poser sur ses joues.
Je me sent tellement bien, ce que je ressent est indescriptible, tout mes sens s’affolent, et mon cœur bat de plus en plus vite. Nos langue se trouvent, et se chamaillent tendrement entre elles, je pouvais rester des heures à savourer ce bonheur qui m’est à présent offert. Et je ne suis pas prête à le laisser filer. Nos lèvres se détachent doucement, nos front se caresse, et je vint lui caresser la joue, plongeant mes yeux dans les siens.
Michiru – je n’aurais jamais crue … Que la vie puisse m’offrir ce cadeau, je remercie de tout mon cœur le ciel de m’avoir offert ce bonheur qui m’enivre de plus en plus …
Sa main se met à caresser ma joue, et je continue de l’admirer avec avec douceur un petit sourire au coin des lèvres.
Michiru – malgré mon jeune âge, je ne veux pas faire se que font les filles de mon âge, à se dévêtir pour les plaisirs d’autrui, à ruiner ma santé avec des subtance chimique, parce ce que ce que je désir plus que tout je le tiens dans mes bras, j’ai 18 ans et bien que je pense sérieusement à mes études, j’aimerais de tout mon être construir un futur avec la femme que j’aime et désir plus que tout, je veux pouvoir me réveiller chaque matins dans ses bras, pouvoir partager ma vie mes secrets et rêves avec elle, pouvoir … Me voir vieillir à ses côté, et lui porter tout l’amour que je ressent pour elle. Car là … Maintenant je c’est qu’elle est la femme de ma vie.
Je sourit, l’envie de pleurer de joie me tiens, mon cœur bat tellement fort, je ne contrôle plus les pulsassions de ce dernier, je me sent mourir, ses paroles résonne dans ma tête, et s’enferme à l’intérieur de mon cœur, je lui caresse la joue, et la dévisage avec douceur, je ne voyais rien mais je savait que mes yeux brillait de bonheur, je lui sourit et elle aussi.
Je vint la prendre dans mes bras, et tout en la regardant avec tendresse, monta les escaliers et me dirige vers ma chambre … Enfin je veux dire notre chambre. Arrivé dans cette dernière je ferme la porte, et vint l’allonger sur le lit, me mettant doucement au dessus d’elle. Je plaque tendrement mes mains sur ses oreilles et caresse ses tempes, ses mains caressent mes joues, et mon front caresse le sien.
Moi – alors … Construisons notre futur toute les deux maintenant … Afin de se crée de merveilleux souvenirs mon trésor … Je ne souhaite que pouvoir vivre et t’aimer sincèrement tout au long de notre vie.
Elle ma sourit, et dans un accord harmonieux nos lèvres se scellèrent amoureusement. Partageant avec délice et tendresse notre petit bout de bonheur qui grandissait à chaque instant passer ensemble. Je laisse mes mains prendre soin de son corps, lui offrant diverses caresse plus douce les unes que les autres.
Nos langues, après un petit moment de recherche finissent par se trouver, et une bataille tendre et câline commencent entre ses dernières. Je sent ses mains m’approcher encore plus d’elle, cela me fit sourire laissant mes mains se livrer à son dos, je remonte doucement afin d’être à sa hauteur et continue de l’embrasser avec toute ma passion et ma tendresse.
Je sent un léger courant d’aire sur ma poitrine, et je sent ses mains retirer ma chemise. Laissant mes mains dénuder doucement son corps. Ma chemise ainsi que sa robe se retrouvent sur le sol, et nos lèvres continuent de se goûter avec amour se découvrant un peut plus chaque seconde.
Au bout de quelques minutes entre nos câlins et baisers enflammés nous étions à présent sous la couette, nue et toujours enlacé l’une contre l’autre. Je me trouvais toujours au dessus d’elle, et jouer tendrement avec ses lèvres qui s’amuser à me mordre, se qui me faisait bien rire. Nos yeux se rencontrent et se caressent tendrement, laissant doucement mes lèvres embrasser son nez.
Moi – si tu savais, à quel point je me sent bien avec toi, je n’est pas de mots assez fort pour te dire ce que je ressent, mais se que je peux te dire c’est que tu est la femme de ma vie, que tu est celle qui enflame mon cœur … Que tu es celle avec qui je veux partager ma vie.
Michiru – moi aussi … Ma si jolie blonde, je t’aime d’un amour sincère et véritable.
Moi – moi aussi mon ange, l’amour que j’éprouve à ton égard est sincère.
On se sourit, et nos lèvres s’unirent dans un tendre baiser. Ainsi enlacé tendrement dans les bras de l’être aimé nous nous échangions avec amour notre bonheur et quoi de plus doux que de faire passer ce bonheur dans un doux et long baiser suivit d’une longue étreinte amoureuse. Ah … Décidément je suis véritablement [i]la plus heureuse et amoureuse.
Quelques heures plus tard. Après ce moment très agréable passé avec elle, je me trouvait dans la cuisine en train de préparer à manger. Pour ce soir j’ai prévue de faire son plat préféré qui est du riz avec des quenelles. Logeant au quatrième étages donc au dernier, je possède un balcon bien étrange pour un appartement me diriez-vous. Mais tout de même agréable quand j’avais besoin de me vider l’esprit. Je prit les couverts nécessaires, et pendant que le riz cuisez et les quenelles réchauffer, j’allais dresser la table dehors, quoi de beau pour un anniversaire que de le terminer par un dîner en tête à tête. Michi devait sûrement se trouver dans la salle de bain en train de prendre sa douche. J’espère qu’elle verra le petit mot que je lui est laisser sur le lit là ou j’avais prit soin de mettre la robe noire que je lui avait offert il y a quelques heures plus tôt. [/i]
Ah … Si un jour ont m’aurait dit que je serait au petit soin de quelqu’un je ne l’aurais jamais crue.
Point de vue Michiru.
Ah … Sa fait du bien une bonne douche. Je vint rapidement m’enrouler dans une serviette sentant le froid me gagner. Je commence à me sécher de toute part, je met le bout de la serviette entre ma poitrine pour que la serviette puisse tenir. Je prend le sèche cheveux branche la machine, et active le soufflement.
Je regarde mon reflet dans le miroir, et aperçoit un sourire … Un sourire heureux, tout se qui c’est passé aujourd’hui j’ai encore du mal à y croire, surtout au sujet de l’édition, quand je pense que j’allais me faire connaître pour de vrai. Je suis tellement heureuse, et ma relation avec ma jolie blonde me rend encore plus heureuse de savoir que nous désirons la même chose, construire et fonder notre vie ensemble, cette journée avec elle ma permis une bonne fois pour toute de mettre mes sentiments dans l’ordre, car à présent, je sais que je veux terminer ma vie à ses côtés, et sa quelque soit le prix à payer.
Quand j’eu terminé, je sort de la salle de bain et me dirige vers notre petit nid d’amour, et m’enferme à l’intérieur. Je remarque la robe noire sur le lit, il y avait un petit mot dessus, je m’approche et prend ce dernier en main et le lue silencieusement.
« s’il te plait met cette robe ma chérie »
je sourit tendrement, je pose le mot sur la petite table de chevet, et alla chercher ma lingerie dans l’armoire. Sa fait bizarre tout de même de se retrouver dans ce genre de situation, un vrai petit couple sommes nous, car en y repensant, on partage tous, nos rire on mangent ensemble on fait des chose ensemble que se soit en public ou en toute intimité, bien que j’avais une préférence pour nos petit moments intime, tel que tout à l’heure, je n’aurais jamais crue pouvoir dépasser ma peur depuis que père m’est fait des attouchements. Mais sa prouver que je grandissait et que j’avais vraiment l’ambition de ne pas laisser cette perle rare s’échaper.
Quand je fut totalement habiller et maquillé, je me dirige vers le miroir, et me regarde longuement. J’avais du mal à me reconnaître. J’avait enfiler la robe qu’elle ma offerte, des collants noir couvrait mes jambes, les boucles aussi je les aie mise, j’avais laisser mes cheveux détacher, les tirant juste vers le côté gauche, et une rose noir trônait dans ma chevelure. Comme maquillage j’avais choisi simple, du laïner noir et d’un rouge à lèvres rouge. Et m’étais légèrement parfumer avec une eau de parfum portant le nom de « Intime » de Arno Sorel.
Je me demande tout de même pourquoi Haru ma demander de porter la robe. Avant de descendre, j’enfile les chaussures noir qui se marie avec ma robe, et le cœur battant à la chamade je sort de la pièce. Je remarque que tout est éteins, il y a juste de la lumière provenant du balcon, donc doucement je descend les marche.
Hm, sa sent délicieusement bon, je me rend au balcon, et mon cœur se serra en voyant la scène qui s’offrait à moi. Un … Un dîner en tête à tête, au milieu du balcon est dresser une petite table ronde couverte par une soyeuse nappe blanche, sur cette dernière se tient les couverts, il y a deux cloches argentés sur les assiettes gardant les aliments chaud, et au milieu de la table se trouvé un bougeoir avec trois bougies. C’est vraiment magnifique, en plus avec un ciel noir parsemé d’étoiles c’est encore plus magique.
Moi – c’est vraiment magnifique. Dis-je en m’avançant
je voie Haruka se tourner, et elle eu un doux sourire accroché aux lèvres en me voyant. Je m’approche d’elle, et vint caresser ses yeux avec les miens.
Haruka – c’est toi qui est magnifique ce soir mon trésor.
Moi – merci et … Tu est aussi vraiment très belle ce soir Haruka !
Mon cœur battait à mille à l’heures, et je n’arriver pas à contrôler mes pulsions. Sa main c’est posée sur ma joue et ses doigts crée une douce sensation de légèreter. Je m’approche, et pose mes mains sur sa poitrine, plongeant mes yeux azur de le sien, lui souriant avec tendresse.
Haruka – cette robe te va à ravir, et ce maquillage te rend tellement belle.
Je sourit, je m’approche et déposa tendrement mes lèvres sur les siennes. Ses mains vinrent me serrer contre elle, allant caresser mon dos, une légère brise se fait sentir, et mes cheveux virevolte donnant à cette instant, un aspect romantique et magique. Nos lèvres se détachent doucement, et sa main monte à ma joue gauche et ce met à la caresser. Je porte ma main droite à son visage et lui écarte quelques mèches blonde de ses yeux descendant mes doigts en une caresse vers sa joue.
Haruka – et si … On allaient manger ?
Moi – d’accord.
Je te pose un petit baiser sur le nez, et alla prendre place sur l’une des chaises face à toi. Mes yeux te fixaient intensément depuis tout à l’heure, n’en revenant toujours pas de se que tu as fait pour moi tout au long de cette journée.
En prenant ma main droite dans la sienne, Haru à soulevé nos cloches, et un tendre sourire apparue sur mes lèvres, elle avait donc déjà tout prévue, cela me remplissait de joie et de bonheur. Je lève mes yeux et lui dis avec un doux sourire :
Moi – tu y a pensé … Merci, merci ma chérie.
Haruka – bien sûr, après tout c’est un jour important.
Je t’aime … Je n’arrête pas de sourire tant le bonheur frappe mon cœur. Je nous serre de l’eau, et tout en la regardant je me suis dit « tu as vraiment de la chance de l’avoir à tes côtés. »
Haruka – bonne appétit mon ange.
Moi – à toi aussi … Ma jolie blonde !
On c’est sourit, et nous avons commencés à manger. Hm que c’est bon, en plus d’être la femme parfaite à mes yeux, c’est un vrai cordon bleu. J’enlace mes doigts avec les siens, et la dévisage avec le sourire, tout sa … J’avais l’impression de vivre un véritable compte de fée comme Cendrillon.
Moi – si un jour on m’aurais dit que je serait heureuse … Je ne l’aurais jamais crue, merci beaucoup pour tout se que tu as fait, c’est … C’est vraiment beaucoup et sa représente tant pour moi.
Haruka – c’est parce ce que je t’aime et que je tiens à toi que j’ai fait tout sa.
Je lui sourit, prête à verser mes larmes qui depuis le début de la soirée me menace de couler. Puis quand ont eu fini, Haru c’est levé et sous mon regard doux et surpris elle c’est dirigé vers moi.
Se mettant derrière moi, je lève mes yeux et lui sourit tendrement. Je voie sa main piocher dans unes de ses poches de pantalon, et elle sortie une petite boîte marron, qu’elle me mit devant les yeux. Je me demande bien se que sa peut être, mon cœur bat tellement vite.
Doucement elle a ouvert la petite boîte, et mon cœur se mit à tanguer fortement dans ma poitrine. A l’intérieur de l’étui se trouvé un petit cœur en argent, sur ce dernier, il y avait des lettres qui formé le mot « Je t’aime » je touche doucement le bijou, me demandant ce que cela pouvais être.
Haruka enlève le bijou de la boîte et je remarque que c’est une petite chaîne argenté, elle est magnifique, vraiment je ne sais quoi dire. Ma jolie blonde me le passe au tour du cou, et sa voix résonne au creux de mon oreille.
Haruka – joyeux anniversaire mon trésor.
J’ai levé mes yeux, et heureuse, j’ai déposé mes lèvres sur les siennes. Lui offrant un long et doux baiser. Caressant sa cheveulure, mêlant tendrement mes doigts à l’intérieur. Ses bras à elle entourés mon cou, et ses mains caresser ce dernier.
Jusqu’à présent personne n’avait fait sa pour moi, jamais on m’avait t’émoigner autant de tendresse et d’amour. Et cela me rendait éperdument heureuse.
Doucement ont se détachent, mais nos yeux continuent de se caresser, chacune habitant un sourire heureux.
Moi – il est magnifique … Merci mon amour.
Haruka – chuut … Pour toi, rien est trop beau !
Elle est vraiment adorable, puis doucement, elle ma prit la main et me conduit jusqu’à sa chaise. Elle prit place sur cette dernière, et me prit dans ses bras. Je me retrouve assise sur ses jambes, mes bras s’allongent sur ses épaules, et les siens s’avanturent dans mon dos. Un vent léger souffle et fait virevolté nos cheveux, elle est tellement belle, j’emène ma main gauche à sa joue et la caresse.
Moi – cette journée … Je ne l’oublierais jamais, merci Haruka !
Haruka – tu sais … Il est évident que pour toi, je serait prête à tout pour te rendre heureuse et te voir sourire tu … Tu compte tellement à mes yeux Michi.
Moi – toi aussi … Tu compte beaucoup pour moi, et pour rien au monde je ne t’échangerais pour voir de simple sourire de satisfaction.
Elle ma sourit et ma doucement embrassé. Je répond délicatement à sa douceur, posant mes mains sur ses joues et caressant sa peau avec mes pouce. Sans que je m’en rende compte Haru me mit des écouteurs aux oreilles, suivit d’un petit mp3, nos lèvres jouaient toujours ensemble, et une voix … Sa voix résonne dans la petite machine.
« Michi, je te souhaite un très joyeux anniversaire. Voila maintenant un mois que je vis un véritable bonheur à tes côtés, depuis que mes yeux ont croisé les tiens, je me suis demandé ce qui se passer pour que je soit autant subjugé. Le simple fait qu’en même pas un mois tu est devenu importante à mes yeux, je vais être honnete, mais je n’aie jamais pue connaître le véritable amour … Avant de tomber sur toi, se que je souhaite plus que tout ma chérie et qu’un jour tu devienne ma femme, quand j’ai appris ce qui tes arrivé, j’ai tout fait pour le cacher, mais voilà je t’aime et suis profondément amoureuse de toi. L’autre jour, tu m’as posé une question, tu m’as posé se dont je rêvé, et bien maintenant je peux te répondre, se que je rêve c’est de construir un futur avec toi, pouvoir un jour fonder notre propre famille ainsi que de te voir en robe blanche. Il n’y a que toi qui me rende ainsi, il n’y a que toi avec qui je veux terminer ma vie. Mon trésor, je t’aime je t’aime et je t’aime, tu est la femme de ma vie, et je ne veux pas te perdre. Je te souhaite un très bon anniversaire et te fait mille gros baisers, je t’aime ma chérie, ne l’oublie jamais. »
Alors que mes yeux la dévisagent, des larmes roule le long de mes joues, je … Je suis si heureuse, je pose le mp3 sur la table, et la regarde en pleurant de joie, mon cœur battait tellement vite, je ferme mes yeux et respire profondément, mordant ma lèvres inférieur et lâchant un petit rire.
Haruka – joyeux anniversaire ma chérie !
Je lui prend les mains, tourne ma tête vers la droite et mes yeux encore embués de larmes fixent les étoiles.
Moi – moi aussi … Ce que je souhaite plus que tout et de construir un futur à tes côtés, je rêve chaque jour de ma vie avec toi, je n’aie jamais ressentie de tel émotions avant de te connaître, mais je t’aime d’un amour sincère et profond, je souhaite de tout mon cœur pouvoir un jour devenir ta femme et porter ton nom, je souhaite plus que tout te rendre heureuse, et te chérir tendrement chaque jours de notre vie …
je tourne ma tête, et la regarde les larmes aux yeux, elle me sourit, effaçant de sa main douce mes larmes.
Haruka – alors … Je souhaite plus que tout pouvoir unir mon cœur au tien mon trésor. Je t’aime tu sais.
Moi – moi aussi Haru je t’aime … Je t’aime bien plus qu’il ne le faut !
On c’est sourit, et nos lèvres se sont unies. Je me sentit soulever, mais je ne fait rien pour me débattre, juste à continuer de l’embrasser avec tendresse. J’entends une porte se fermer, et me sentit allonger. Nous étions dans notre chambre, et je sentait son souffle chaud sur ma peau, elle se trouvée au dessus de moi, et malgré la pénombre je pouvais voir ses magnifique yeux pétiller.
Haruka – ma chérie … Pour ce jour si exceptionnelle, me laisserais tu te faire goûter au bonheur ?
Moi – oui … Je suis toute à toi ma jolie blonde.
Elle me sourit, et nos lèvres se scellèrent amoureusement. Je vint doucement la dévêtir, laissant tomber sa chemise sur le sol, je laisse mes main parcourir son corps, sa peau qui est douce et chaude à la fois.
Je me retrouver à présent nue sous les draps mon corps frissonnant de plaisir. Pour la première fois, je me sentait bien, et je n’avais pas peur. Je dirige mes lèvres vers son cou et lui embrasse longuement. Ses mains parcourent mon être, et ses lèvres se perdent dans mon cou. Jusqu’à ma poitrine, le désir prenait de plus en plus d’ampleur, et j’avais irrésistiblement envie d’elle.
Moi – oh Haru … Je t’aime.
Haruka – moi aussi mon ange !
Elle a caresser ma joue, et ses lèvres ont repris les miennes en otage. Cette nuit pour la première fois fut la plus magique de toutes, pour la première fois depuis 18 ans je me laisser envahir par le plaisir que l’ont ressent à deux. Cette nuit, elle ma rendu heureuse, cette nuit elle a prit définitivement prit possession de mon cœur. Cette nuit ou Haruka me fit tendrement l’amour. Cette nuit ou je suis réellement tombé encore plus amoureuse.
Et voila la fin de ce chapitre ^^ à la prochaine :)
Dim 20 Oct 2013, 13:50 par
HaruxMichi sur Histoires d'amour
Qualification au final
L’amour est indéfinissable.
L’amour ne peut se dire
ni même s’écrire
ou peut-être seulement dans L’ART...
le réel amour...
l’art dans le réel, l’imaginaire et le symbolique:
l’art comme un langage d’une jouissance mais non absolue,
du corps et de l’inconscient...
le Réel Autre,
alors il est bien cette VOIX.
Il ne faut pas rester sans voie.
Il ne faut pas perdre sa voie,
notre bonne direction.
L’amour est passé
l’amour est présent
l’amour est avenir
L’AMOUR EST à venir...?
L’amour est nôtre si il nous appartient...
en nos corps et âmes...
ou bien disons plutôt il nous appartient si il est Nôtre...
Notre réciproque.
Notes réciproques.
Notes qualifiées au final.
Musique seule en mon Cœur qui est Tien:
étreintes pures mais au-delà du plaisir.
Au-delà du principe de plaisir.
Au-delà même de l’amitié.
Au-delà de LA VIE.
au-delà de la mort.
Au-delà de nos corps...
au-delà de nos âmes...
en plein dans nos cœurs...
Un Instant inoubliable
au-delà du souvenir
au-delà de l’oubli.
Au-delà du Désir, Je T’AIME.
Réalité qui m’écorche parfois, car l’amour pose sa marque,
pose ton nom sur le mien.
Telle une souffrance qui ne s’efface,
mais laisse sa TRACE...
qui enfin se termine sous tes yeux
qui m’aiment.
Un bonheur partagé.
Un bonheur salvateur.
Curateur.
Réparateur et sauveteur en MER.
Nos projets sur le même chemin.
Nos futurs main dans la Main.
Nos lendemains.
Nos nuits éclairées.
Nos jours, ensoleillés,
et ceux avec juste un peu de pluie,
mais ceux d’une pluie qui nourrit
la Terre, notre terre.
Notre TERRAIN.
Ce que je n’ai pas: tu me le donnes Puissance Mille
comme une Bombe Atomique.
Tu réduis l’incomplétude de l’être à Néant.
L’amour ne peut se dire
ni même s’écrire
ou peut-être seulement dans L’ART...
le réel amour...
l’art dans le réel, l’imaginaire et le symbolique:
l’art comme un langage d’une jouissance mais non absolue,
du corps et de l’inconscient...
le Réel Autre,
alors il est bien cette VOIX.
Il ne faut pas rester sans voie.
Il ne faut pas perdre sa voie,
notre bonne direction.
L’amour est passé
l’amour est présent
l’amour est avenir
L’AMOUR EST à venir...?
L’amour est nôtre si il nous appartient...
en nos corps et âmes...
ou bien disons plutôt il nous appartient si il est Nôtre...
Notre réciproque.
Notes réciproques.
Notes qualifiées au final.
Musique seule en mon Cœur qui est Tien:
étreintes pures mais au-delà du plaisir.
Au-delà du principe de plaisir.
Au-delà même de l’amitié.
Au-delà de LA VIE.
au-delà de la mort.
Au-delà de nos corps...
au-delà de nos âmes...
en plein dans nos cœurs...
Un Instant inoubliable
au-delà du souvenir
au-delà de l’oubli.
Au-delà du Désir, Je T’AIME.
Réalité qui m’écorche parfois, car l’amour pose sa marque,
pose ton nom sur le mien.
Telle une souffrance qui ne s’efface,
mais laisse sa TRACE...
qui enfin se termine sous tes yeux
qui m’aiment.
Un bonheur partagé.
Un bonheur salvateur.
Curateur.
Réparateur et sauveteur en MER.
Nos projets sur le même chemin.
Nos futurs main dans la Main.
Nos lendemains.
Nos nuits éclairées.
Nos jours, ensoleillés,
et ceux avec juste un peu de pluie,
mais ceux d’une pluie qui nourrit
la Terre, notre terre.
Notre TERRAIN.
Ce que je n’ai pas: tu me le donnes Puissance Mille
comme une Bombe Atomique.
Tu réduis l’incomplétude de l’être à Néant.
Echec et mat
Après une petite entrevue fructueuse
Nous voici enfin, face à face,
Et subitement tu deviens bien sérieuse :
Finies les hésitations de la préface
Tu as mis tous tes atouts en évidence
Afin de me faire céder facilement
Mais ne crois pas trop à la chance
J’ai un sacré tempérament !
Ton regard implacable soutient le mien,
Sans qu’un frisson ne fasse bouger un cil
Je décide, de prendre la facette du fou
Jouant à la marionnette sans fil.
Pour te déstabiliser du premier coup
J’improvise une jonglerie de balles multicolores
Mais cela ne semble t’impressionner guère
Tu connais les trucs et les manières
De ceux qui disent qu’ils t’adorent.
Je prends alors la place de la tour
Pour t’en jouer un bien astucieux
Me transforme en gentil troubadour
Ma harpe fredonne un chant mélodieux.
Où l’amour parle de douceur et tendresse,
De quelques baisers t’effleurant le corps
Mais tu es déjà une belle princesse
Et connais les écueils du décor
Tu parais être subitement endormie
Mais ta conscience retrouve vite ses esprits.
Le cavalier arrive alors fougueux
Plongeant son regard brûlant dans le tien
Surprise, tu baisses ta garde un petit peu.
Pour mieux m’attirer dans ton guet-apens
Et pointer ton épée si aiguisée sur mon cœur
Mais ne suis dupe et te désarçonne à ma manière
D’un sourire radieux et d’un compliment flatteur,
Qui touche et n’a pas l’air de te déplaire
Mais tu n’es pas tombée de la dernière
Et me contre en experte cavalière.
Je sors dés lors ma dernière carte
Le roi qui s’avance avec détermination
Sur mon passage, les pion s’écartent
Je vais sur la reine sans hésitation.
Je baise ta main si délicatement
Que ton sourire me fait comprendre
Qu’il est temps que je m’applique sérieusement.
Que ton cœur est prêt à se rendre
Qu’il faut que j’abatte mon dernier coup,
Je t’enlace et te serre tout contre moi
Avec force et en même temps très doux
Je sens ton corps frissonner d’un émoi.
Ton cœur taper si fort dans ta poitrine
Je t’embrasse alors si passionnément
Que tu entends une chorale divine
Te voila étourdie, toute retournée
Mes baisers te font l’effet d’un soudain sommeil
Tu en tombes à mes pieds subjuguée
Jamais tu n’as connu trouble pareil
Tu n’aurais cru que je te battes
Échec et mat !
CARESSEDESYEUX
Jeu 17 Mars 2011, 17:40 par
caressedesyeux sur Mille choses
Je vais jouer avec toi.
Je te rencontrai dans un bar, où tu fumais ta dernière cigarette, et buvait tes soucis. Mon tablier autour de ma fine taille, tu me fasais pitié. J’alternais entre nettoyer des verres et remplir le tien. Je te regardais, mais n’osais pas te parler. C’était une voix soul et exigeante que tu m’ordonnais de te servir, et moi j’obeïssais. Tu relevais souvent la tête pour reluquer mon postérieure ou encore mon décolleté. Tu ouvrais de grand yeux devant mon opulente poitrine remontée, et ouverte sous ton nez. Au moment où j’arrête enfin de te servir, tu relèves entièrement la tête et tu me fixe. Je pose le verre que j’essuyais, et m’approche de toi. Je passe ma main dans tes cheveux, sur ton visage, je descend dans ton cou. Je passe de l’autre coté sur bar, et je te prends par le bras. Je t’emène dans un coin, et là je passe doucement mes mains, sous ton sweat. A moitié soul, tu te laisse faire. Tu m’embrasse langoureusement. Je t’embrasse dans le cou, et sourit secrètement. Mon jeu de séduction a commencer, et tu seras ma proie.
Jeu 16 Déc 2010, 18:17 par
Ahna sur La séduction
Je te reve encore
Je ferme les yeux sur la réalité
Pour me plonger dans un rêve sans fin.
Ou nous sommes si bien...
Je pose mon regard dans le tien,
Une caresse sur ta joue
J’effleure de ma langue tes cils
Mes mains se posent sur les tiennes
Le poids de ton corps sur le mien...
Un peu d’huile,au creux de tes paumes
Afin que j’embaume d’arôme que tu aura choisi.
Ta respiration se fait entendre
Et je viens cueillir tout l’air qui s’en échappe.
Ta soupape, devenant incontrôlable
Ton cœur chavirant, et au bord de l’extase
Nos corps en parfaite harmonie
Nos hanches s’accouplent.
Dans un ballet sans fin... caressedesyeux
Sam 13 Nov 2010, 12:52 par
caressedesyeux sur Mille choses
Plonger dans des yeux menthe a l'eau
Liquéfié dans un bain d’eau douce,
Gout menthe diffusant son puissant arôme,
Je respire,à m’en saouler.
Plongeant mon regard dans le tien
Je deviens sirop soudain...
je serai ta liqueur chocolatée
Ton nectar divin.
Un after -eight fondant.
Tes yeux brulent de désir de vouloir m’appartenir.
Je glisse, je coule me mélange, et me love contre toi.
Mélange de chaud et de froid.
Menthe verte glacée, qui me frigorifie
Chocolat chaud qui regorge de passion
Perdrai-je la raison?
Je pose ma bouche sur tes yeux,
Les effleurant de doux bisous.
Effeuillage de ta robe mentholée
Copeau de chocolat concassé
Je vais t’aimer..................... caressedesyeux
Dim 22 Août 2010, 14:57 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Une envie
Au bord de l’eau mon amour,
J’aimerai être avec toi
T’ écouter me raconter tant de choses;
Je "boirai" tes paroles si douces,
Aussi douce que du miel
Aussi douce qu’une mélodie
Qui m’engourdirait l’esprit
Qui m’engourdirait le cœur
En posant mes lèvres sur les tiennes
Et en les effleurant,
Juste pour gouter à la saveur de celle -ci.
Te caresser de mes yeux
En plongeant mon regard dans le tien
Nous serions si bien.
Ta main descend doucement à la base de mes reins
Et nous sommes si bien.
Cette façon de vouloir te protéger
En te serrant dans mes bras
Te donner de la tendresse
Malgré ma maladresse
Car je t’apprécie telle que tu es
CARESSEDESYEUX
J’aimerai être avec toi
T’ écouter me raconter tant de choses;
Je "boirai" tes paroles si douces,
Aussi douce que du miel
Aussi douce qu’une mélodie
Qui m’engourdirait l’esprit
Qui m’engourdirait le cœur
En posant mes lèvres sur les tiennes
Et en les effleurant,
Juste pour gouter à la saveur de celle -ci.
Te caresser de mes yeux
En plongeant mon regard dans le tien
Nous serions si bien.
Ta main descend doucement à la base de mes reins
Et nous sommes si bien.
Cette façon de vouloir te protéger
En te serrant dans mes bras
Te donner de la tendresse
Malgré ma maladresse
Car je t’apprécie telle que tu es
CARESSEDESYEUX

Sam 27 Mars 2010, 18:13 par
caressedesyeux sur Mille choses
L'extase totale
Du regard, tu m’invites vers ce corps lové sur ta couche
ma langue qui s’agite , ton corps qui se voute;
Un coup d’œil échangé complice, trouble magistral;
je te déguste tel un enragé, désir subliminal.
Regard brillant, sourire au coin,
La c’est toi qui me goute.
mon corps "glisse" sur le tien, nos sexes se touchent;
A contre cour je me retire juste un peu,
Puis je reviens........puis reviens;
des perles de sueur roulent sur tes seins;
Les mouvements deviennent mécaniques;
le rythme effréné,
Tu deviens trop chaude....... le décompte final à commencé
Toi aussi ...viens
Ultime cri suave, corps inertes..........
Partir pour un monde lointain.
caressedesyeux
ma langue qui s’agite , ton corps qui se voute;
Un coup d’œil échangé complice, trouble magistral;
je te déguste tel un enragé, désir subliminal.
Regard brillant, sourire au coin,
La c’est toi qui me goute.
mon corps "glisse" sur le tien, nos sexes se touchent;
A contre cour je me retire juste un peu,
Puis je reviens........puis reviens;
des perles de sueur roulent sur tes seins;
Les mouvements deviennent mécaniques;
le rythme effréné,
Tu deviens trop chaude....... le décompte final à commencé
Toi aussi ...viens
Ultime cri suave, corps inertes..........
Partir pour un monde lointain.
caressedesyeux
Jeu 25 Fév 2010, 06:49 par
caressedesyeux sur Les liaisons sulfureuses
Un réveil...
Le réveil venait juste de sonner, je l’avais arrêté à tâtons. C’était un de ces petits matins où l’on n’a pas vraiment envie de se lever. On entendait la pluie, on la devinait froide et l’on préférait savourer la tiédeur d’un lit qui nous avait accueillis pour cette nuit de tendresse. L’épaisseur des couettes, la chaleur de nos corps en avaient fait un nid douillet.
Mes mains avaient, tout doucement, frôlé tout ton corps, faisant frissonner ta peau. Je prenais du plaisir à te réveiller ainsi, très doucement, à voir ton corps s’étirer délicieusement. Cette nuit, c’est de mes lèvres que j’avais fait ce parcours sur toute ta peau, et c’était bien plus que des frissons qu’elles y avaient fait naitre ! J’avais encore le gout de ton corps sur ma bouche et m’en délectait.
Puis j’ai pris beaucoup de plaisir à accompagner de tout mon corps les étirements du tien, un peu comme un ballet immobile, comme la pose prise par deux danseurs qui seraient parfaitement à l’unisson.
Nos jambes se sont mélangées, nos torses se sont plaqués l’un contre l’autre. Même dans l’obscurité, je devinais ainsi la pointe de tes seins, tendus contre ma poitrine. Il a fallu bien des baisers dans ton cou pour déclencher ta première parole : « quelle heure est-il ? » De mon côté, j’avais largement dépassé ce stade, en glissant au creux de ton oreille tous les mots doux, ceux que nous avions échangés hier au soir, avant de s’endormir, éreintés…
Ton corps semblait brûlant contre le mien : était ce le résultat de nos ébats, ou plus simplement celui des deux couettes que tu affectionnais de prendre sur toi ? Mais cette chaleur douce qui émanait de ton corps était un si beau début à cette froide journée de novembre… J’avais l’impression d’y recharger mes batteries, pour une journée qui s’annonçait difficile.
Que s’est il passé alors ? Pourquoi ce réveil, que j’étais sur d’avoir arrêté, reprenait il sa sonnerie qui tranchait autant avec la douceur de ce moment ?
Je l’arrêtais à nouveau, puis me retournai vers toi… Plus rien, ta place vide et froide, le sentiment de vacuité d’un cœur que l’on m’arrache… les esprits me revenaient : bien sûr, je t’avais raccompagnée hier au soir… Je ne savais plus si je devais maudire ce rêve qui se terminait si mal, ou au contraire le bénir pour avoir prolongé un peu cette soirée trop courte pour la grandeur de notre amour.
Alors, mes pensées se sont portées vers une idée bien plus concrète : cette touche « snooze », il fallait que je la rebaptise « bon pour un dernier rêve »…
Et si un fabriquant de réveille-matin me lit, je lui fais cadeau de cette idée... Pour que d’autres amoureux puissent rêver!
Mes mains avaient, tout doucement, frôlé tout ton corps, faisant frissonner ta peau. Je prenais du plaisir à te réveiller ainsi, très doucement, à voir ton corps s’étirer délicieusement. Cette nuit, c’est de mes lèvres que j’avais fait ce parcours sur toute ta peau, et c’était bien plus que des frissons qu’elles y avaient fait naitre ! J’avais encore le gout de ton corps sur ma bouche et m’en délectait.
Puis j’ai pris beaucoup de plaisir à accompagner de tout mon corps les étirements du tien, un peu comme un ballet immobile, comme la pose prise par deux danseurs qui seraient parfaitement à l’unisson.
Nos jambes se sont mélangées, nos torses se sont plaqués l’un contre l’autre. Même dans l’obscurité, je devinais ainsi la pointe de tes seins, tendus contre ma poitrine. Il a fallu bien des baisers dans ton cou pour déclencher ta première parole : « quelle heure est-il ? » De mon côté, j’avais largement dépassé ce stade, en glissant au creux de ton oreille tous les mots doux, ceux que nous avions échangés hier au soir, avant de s’endormir, éreintés…
Ton corps semblait brûlant contre le mien : était ce le résultat de nos ébats, ou plus simplement celui des deux couettes que tu affectionnais de prendre sur toi ? Mais cette chaleur douce qui émanait de ton corps était un si beau début à cette froide journée de novembre… J’avais l’impression d’y recharger mes batteries, pour une journée qui s’annonçait difficile.
Que s’est il passé alors ? Pourquoi ce réveil, que j’étais sur d’avoir arrêté, reprenait il sa sonnerie qui tranchait autant avec la douceur de ce moment ?
Je l’arrêtais à nouveau, puis me retournai vers toi… Plus rien, ta place vide et froide, le sentiment de vacuité d’un cœur que l’on m’arrache… les esprits me revenaient : bien sûr, je t’avais raccompagnée hier au soir… Je ne savais plus si je devais maudire ce rêve qui se terminait si mal, ou au contraire le bénir pour avoir prolongé un peu cette soirée trop courte pour la grandeur de notre amour.
Alors, mes pensées se sont portées vers une idée bien plus concrète : cette touche « snooze », il fallait que je la rebaptise « bon pour un dernier rêve »…
Et si un fabriquant de réveille-matin me lit, je lui fais cadeau de cette idée... Pour que d’autres amoureux puissent rêver!
Jeu 04 Fév 2010, 22:03 par
piertiteuf sur L'amour en vrac
Sors...
J’vais pas pleurer sur toi parce que t’es grand t’es fort t’es dur,
Mais j’te prendrai bien dans mes bras, là, quand j’vois ces yeux sur ta
figure.
Je n’aurai pas pitié de toi, parce que c’est le plus vil sentiment,
J’ai du respect pour toi bien plus que ça... Evidemment !
J’ai un sac à réconfort tout plein tout prêt à te sortir,
Des phrases surfaites que j’adore, j’arriverai même à t’faire sourire...
Je ferai pas mon faon malade et mon regard d’embourgeoisée,
Mais j’me mettrai sous ton épaule même bien plus lourd que moi j’le ferais
Je verrai pas l’humidité qui pointe aux coins de tes paupières,
Même si je sais que c’est la douleur, je pens’rai que c’est la lumière.
Et je te porterai debout jusqu’à c’que tes sourires sonnent vrais.
Et quand tu tiendras tout seul j’dirai que t’as presque tout fait.
Ah, sors de là, sors de ton purin
Sors j’te dis de ton chagrin
Ah ! J’fais des pieds j’fais des mains
J’veux faire chanter tes lendemains...
Laisse sur le côté laisse les choses couler les larmes et les regrets...
Même si t’es fatigué lève lève tes yeux de sur tes pieds
J’vais pas trop t’écouter, sinon c’est moi qui vais lâcher.
Mais tu pourras parler des heures pour vider le mal intérieur.
Et je vais t’emmener te faire voir toutes les couleurs,
Te faire sentir que, quand on croit plus en l’espoir y’en a qui peuvent nous en
sortir.
Je sortirai ta tête de l’eau, quitte à y perdre un peu la mienne...
Moi je te trouve beau et j’veux qu’tu reviennes.
Ah, sors de là, sors de ton purin
Sors j’te dis de ton chagrin
Ah ! J’fais des pieds j’fais des mains
J’veux faire chanter tes lendemains...
Laisse sur le côté laisse les choses couler les larmes et les regrets...
Même si t’es fatigué lève lève tes yeux de sur tes pieds
Et puis j’vais t’remettre dans la course en te tirant vers des sommets.
Et si l’amour se joue en bourse on en atteindra des milliers.
Y’aura des jours mauvais et puis y’aura des jours meilleurs...
Mais si tu restes, je te promets que bientôt tu n’auras plus peur.
Je dis tout ça j’sais pas comment, pourtant j’y crois presque pour deux.
Alors mets-y du tien, mets c’que tu peux !
Ah, sors de là, sors de ton purin
Sors j’te dis de ton chagrin
Ah ! J’fais des pieds j’fais des mains
J’veux faire chanter tes lendemains...
Laisse sur le côté laisse les choses couler les larmes et les regrets
Même si t’es fatigué lève lève tes yeux de sur tes pieds !
Même si t’es fatigué lève lève tes yeux de sur tes pieds !
Buridane
Mais j’te prendrai bien dans mes bras, là, quand j’vois ces yeux sur ta
figure.
Je n’aurai pas pitié de toi, parce que c’est le plus vil sentiment,
J’ai du respect pour toi bien plus que ça... Evidemment !
J’ai un sac à réconfort tout plein tout prêt à te sortir,
Des phrases surfaites que j’adore, j’arriverai même à t’faire sourire...
Je ferai pas mon faon malade et mon regard d’embourgeoisée,
Mais j’me mettrai sous ton épaule même bien plus lourd que moi j’le ferais
Je verrai pas l’humidité qui pointe aux coins de tes paupières,
Même si je sais que c’est la douleur, je pens’rai que c’est la lumière.
Et je te porterai debout jusqu’à c’que tes sourires sonnent vrais.
Et quand tu tiendras tout seul j’dirai que t’as presque tout fait.
Ah, sors de là, sors de ton purin
Sors j’te dis de ton chagrin
Ah ! J’fais des pieds j’fais des mains
J’veux faire chanter tes lendemains...
Laisse sur le côté laisse les choses couler les larmes et les regrets...
Même si t’es fatigué lève lève tes yeux de sur tes pieds
J’vais pas trop t’écouter, sinon c’est moi qui vais lâcher.
Mais tu pourras parler des heures pour vider le mal intérieur.
Et je vais t’emmener te faire voir toutes les couleurs,
Te faire sentir que, quand on croit plus en l’espoir y’en a qui peuvent nous en
sortir.
Je sortirai ta tête de l’eau, quitte à y perdre un peu la mienne...
Moi je te trouve beau et j’veux qu’tu reviennes.
Ah, sors de là, sors de ton purin
Sors j’te dis de ton chagrin
Ah ! J’fais des pieds j’fais des mains
J’veux faire chanter tes lendemains...
Laisse sur le côté laisse les choses couler les larmes et les regrets...
Même si t’es fatigué lève lève tes yeux de sur tes pieds
Et puis j’vais t’remettre dans la course en te tirant vers des sommets.
Et si l’amour se joue en bourse on en atteindra des milliers.
Y’aura des jours mauvais et puis y’aura des jours meilleurs...
Mais si tu restes, je te promets que bientôt tu n’auras plus peur.
Je dis tout ça j’sais pas comment, pourtant j’y crois presque pour deux.
Alors mets-y du tien, mets c’que tu peux !
Ah, sors de là, sors de ton purin
Sors j’te dis de ton chagrin
Ah ! J’fais des pieds j’fais des mains
J’veux faire chanter tes lendemains...
Laisse sur le côté laisse les choses couler les larmes et les regrets
Même si t’es fatigué lève lève tes yeux de sur tes pieds !
Même si t’es fatigué lève lève tes yeux de sur tes pieds !
Buridane
Mer 16 Déc 2009, 17:11 par
Loyd sur La vie à deux
D'un temps à l'autre...
C’est une île,
un point en équilibre posé à fleur d’eau…
Des parcelles d’amour oubliées
dans le silence bercé par la mer qui érode la pierre.
Tout est si fuyant
tout est si instable sous mon pas…
J’écoute la rumeur paisible
qui accompagne l’obscurité,
elle se taira à l’aube,
se laissera gagner par les bruits du jour.
Je suis attentive à ce souffle familier suspendu à la nuit,
il s’accroche à moi,
m’absorbe doucement,
j’y retrouve le mien désenlacé du tien.
Mon regard glisse sur la courbe d’un pont
poursuit lentement son chemin
vers une silhouette à l’allure élégante
et l’épouse entièrement
C’est une histoire ouverte sur un autre temps…
un point en équilibre posé à fleur d’eau…
Des parcelles d’amour oubliées
dans le silence bercé par la mer qui érode la pierre.
Tout est si fuyant
tout est si instable sous mon pas…
J’écoute la rumeur paisible
qui accompagne l’obscurité,
elle se taira à l’aube,
se laissera gagner par les bruits du jour.
Je suis attentive à ce souffle familier suspendu à la nuit,
il s’accroche à moi,
m’absorbe doucement,
j’y retrouve le mien désenlacé du tien.
Mon regard glisse sur la courbe d’un pont
poursuit lentement son chemin
vers une silhouette à l’allure élégante
et l’épouse entièrement
C’est une histoire ouverte sur un autre temps…
Mar 21 Juil 2009, 22:52 par
Lou sur La première fois
Voeux à l'envers
Si tu veux
je ne poserai pas mes lèvres
sur tes paupières baissées
je ne ferai qu’y penser,
et j’y pense
je ne pense qu’à ça...
Si tu veux
je ne frôlerai pas de mon souffle
la douceur de ta bouche
je ne ferai qu’y penser,
et j’y pense
je ne pense qu’à ça...
Si tu veux
je ne jetterai pas mon regard
au plus profond du tien
je ne ferai qu’y penser,
et j’y pense
je ne pense qu’à ça...
Si tu veux
je ne galberai pas de mes mains
les courbes de tes seins
je ne ferai qu’y penser,
et j’y pense
je ne pense qu’à ça
quelquefois...
je ne poserai pas mes lèvres
sur tes paupières baissées
je ne ferai qu’y penser,
et j’y pense
je ne pense qu’à ça...
Si tu veux
je ne frôlerai pas de mon souffle
la douceur de ta bouche
je ne ferai qu’y penser,
et j’y pense
je ne pense qu’à ça...
Si tu veux
je ne jetterai pas mon regard
au plus profond du tien
je ne ferai qu’y penser,
et j’y pense
je ne pense qu’à ça...
Si tu veux
je ne galberai pas de mes mains
les courbes de tes seins
je ne ferai qu’y penser,
et j’y pense
je ne pense qu’à ça
quelquefois...
Mar 08 Juil 2008, 15:43 par
Lou sur L'amour en vrac
Un monde
« Ma bien aimée, je ne cesse de penser a toi, et Dieu sait qu’un homme amoureux peut écrire les plus beaux vers sur la créature qu’il aime.
Je cherche encore ton odeur sur ma peau, je me perds dans mes rêves pour retrouver la douceur de tes lèvres, je m’enfonce dans les enfers pour apercevoir ton regard. Mais je ne trouve rien, je cherche en vain et vain chaque jour, mais je ne trouve plus ton visage. Mon cœur cesse alors de battre quand je ne sens plus ta peau en contact avec la mienne, il me suffit juste d’une réanimation, il me suffit juste de te revoir, de revoir une parcelle de ta peau, de tes cheveux pour qu’il rebatte encore plus fort.
Mon amour, mon cœur se nourrit de cet amour, il a besoin de tes yeux, de ta main, de ton cou, il a besoin de ton nez, de ta jambe et de tes doigts, pour faire fonctionner mon corps afin que je ne tombe pas dans l’éternelle folie. Mon amour pour toi est le carburant et mon cœur est ce moteur qui peut tomber en panne à tout moment. Il ne me suffit que de 3 mots pour qu’il devienne une fusée. Pour qu’il grimpe au sommet des étoiles les plus lointaines, s’en aille dans l’espace a la conquête du satellite rechercher par toutes les femmes, et qu’il te la ramène rien que pour toi cette lune tant désirée.
Ma chère, mon cœur me souffle à l’oreille que tu n’as guère besoin de cette lune, que tu brilles plus sur Terre que n’importent quels astres dans les cieux. Mon cœur susurre qu’il n’a plus besoin du soleil comme lumière, tu réussi a l’illuminer, a l’éclairer chaque secondes, chaque minutes et chaque heures, le jour et la nuit n’existe plus quand tu es la.
Mon souffle, mon éternel désire, mon chant d’espoir, ma passion ininterrompue, mon trésor, ma seule raison de guerre, tu es plus pour moi que tous les êtres existants dans la galaxie. Et je compte les jours où l’on serra enfin réuni, toi et moi a jamais.
Tu as déposé sur mon cœur, une fleur qui ne cesse d’éclore, qui pousse, et devient belle, qui ne fane pas. Tu as déposé sur mon cœur une flamme grandissante, qui ne brûleras pas mon cœur peut importe le destin, qui ne s’éteint pas a l’eau et renaît sans cesse de cette étincelle que tu sais rallumer.
Tu as emporté mon cœur dans ton univers, un endroit ou les oiseaux n’ont plus besoin de chanter, ou la paix n’a pas besoin d’exister, ou la colère peut être présente, tu as emporté mon cœur et tu l’as déposé sur le tien pour que je l’écoute aussi battre. Et même quand mon corps ne serra plus pourvu d’aucune vie, même quand mon esprit l’aura déserté, mon cœur continuera de battre pour toi.
Ma tendre, le sourd bruit du battement de mon cœur provoque dans mon corps des frissonnements terribles qui font bouger ma raison et mon esprit. Mon corps se lasse de ce manque, mon cœur loin, près de toi ne lui donne plus l’énergie nécessaire a son bon fonctionnement, mon corps est lui fatigué de t’attendre, et d’attendre que nos deux cœurs réunis reviennent a lui. Ma chère, quand je m’en irai de ce monde, je déposerais mon âme et ma raison dans un endroit inconnue de mon corps pour que l’on se retrouve enfin.
Mon ange, bientôt je viens te rejoindre au paradis, bientôt mon cœur s’arrêtera sur Terre, mais continueras à battre dans le monde dans lequel tu m’attends maintenant. Le seul monde qui le fait encore vibrer, qui fait secouer mes sentiments et bousculer mes émotions, un monde si vieux, et si nouveau a la fois car il est toujours autant à la mode, un monde ou le temps n’existe plus , le monde de l’amour…
Tu as capturé mon cœur et il est maintenant présent en toi, a toi et pour toi, près du tien à jamais, il mourra la bas… »
Je cherche encore ton odeur sur ma peau, je me perds dans mes rêves pour retrouver la douceur de tes lèvres, je m’enfonce dans les enfers pour apercevoir ton regard. Mais je ne trouve rien, je cherche en vain et vain chaque jour, mais je ne trouve plus ton visage. Mon cœur cesse alors de battre quand je ne sens plus ta peau en contact avec la mienne, il me suffit juste d’une réanimation, il me suffit juste de te revoir, de revoir une parcelle de ta peau, de tes cheveux pour qu’il rebatte encore plus fort.
Mon amour, mon cœur se nourrit de cet amour, il a besoin de tes yeux, de ta main, de ton cou, il a besoin de ton nez, de ta jambe et de tes doigts, pour faire fonctionner mon corps afin que je ne tombe pas dans l’éternelle folie. Mon amour pour toi est le carburant et mon cœur est ce moteur qui peut tomber en panne à tout moment. Il ne me suffit que de 3 mots pour qu’il devienne une fusée. Pour qu’il grimpe au sommet des étoiles les plus lointaines, s’en aille dans l’espace a la conquête du satellite rechercher par toutes les femmes, et qu’il te la ramène rien que pour toi cette lune tant désirée.
Ma chère, mon cœur me souffle à l’oreille que tu n’as guère besoin de cette lune, que tu brilles plus sur Terre que n’importent quels astres dans les cieux. Mon cœur susurre qu’il n’a plus besoin du soleil comme lumière, tu réussi a l’illuminer, a l’éclairer chaque secondes, chaque minutes et chaque heures, le jour et la nuit n’existe plus quand tu es la.
Mon souffle, mon éternel désire, mon chant d’espoir, ma passion ininterrompue, mon trésor, ma seule raison de guerre, tu es plus pour moi que tous les êtres existants dans la galaxie. Et je compte les jours où l’on serra enfin réuni, toi et moi a jamais.
Tu as déposé sur mon cœur, une fleur qui ne cesse d’éclore, qui pousse, et devient belle, qui ne fane pas. Tu as déposé sur mon cœur une flamme grandissante, qui ne brûleras pas mon cœur peut importe le destin, qui ne s’éteint pas a l’eau et renaît sans cesse de cette étincelle que tu sais rallumer.
Tu as emporté mon cœur dans ton univers, un endroit ou les oiseaux n’ont plus besoin de chanter, ou la paix n’a pas besoin d’exister, ou la colère peut être présente, tu as emporté mon cœur et tu l’as déposé sur le tien pour que je l’écoute aussi battre. Et même quand mon corps ne serra plus pourvu d’aucune vie, même quand mon esprit l’aura déserté, mon cœur continuera de battre pour toi.
Ma tendre, le sourd bruit du battement de mon cœur provoque dans mon corps des frissonnements terribles qui font bouger ma raison et mon esprit. Mon corps se lasse de ce manque, mon cœur loin, près de toi ne lui donne plus l’énergie nécessaire a son bon fonctionnement, mon corps est lui fatigué de t’attendre, et d’attendre que nos deux cœurs réunis reviennent a lui. Ma chère, quand je m’en irai de ce monde, je déposerais mon âme et ma raison dans un endroit inconnue de mon corps pour que l’on se retrouve enfin.
Mon ange, bientôt je viens te rejoindre au paradis, bientôt mon cœur s’arrêtera sur Terre, mais continueras à battre dans le monde dans lequel tu m’attends maintenant. Le seul monde qui le fait encore vibrer, qui fait secouer mes sentiments et bousculer mes émotions, un monde si vieux, et si nouveau a la fois car il est toujours autant à la mode, un monde ou le temps n’existe plus , le monde de l’amour…
Tu as capturé mon cœur et il est maintenant présent en toi, a toi et pour toi, près du tien à jamais, il mourra la bas… »
Dim 29 Juin 2008, 22:20 par
Arual sur La déclaration d'amour
Dans la pénombre du plaisir
Ce soir là, quand nos yeux se sont croisés dans ton rétro, une petite flamme s’est embrasée dans mon corps pour devenir un véritable incendie.
A ce moment précis, je n’ai eu qu’une envie sentir ta peau contre la mienne, parcourir ton corps que je devinai doux et svelte de mes mains avides, gouter tes lèvres et la langue.
Je ne saurais encore aujourd’hui dire pourquoi ce soir là, cette envie est née en moi, d’ailleurs, je ne puis encore aujourd’hui me séparer de ce désir de toi, de cette envie de t’avoir contre ma peau, te voir et t’entendre gémir.
Et puis ton sourire m’a ensorcelé. Quand tu m’as demandé si j’avais un numéro de tél, je n’osai y croire ! Cette envie était donc réciproque, partagée et bel et bien réelle dans nos deux corps.
Aprés de multiples rencontres demeurées trés chastes, et des sms de plus en plus suggestifs, malgré un désir débordant se laissant deviner dans nos regards fiévreux, enfin le jour béni ou nos lèvres s’unirent arriva...
Quand je ferme les yeux, je revois ...
Nos corps vibrants, tressautant de cette envie qui nous rongent, nos mains avides de connaître le corps de l’autre, nos langues se cherchant, se frolant pour ne faire plus qu’une.
Tes lèvres si douces, tes yeux si bleus, ton corps si désirable, si tendre, si sensuel. Ton souffle dans mon cou, ta bouche parcourant mon corps criant famine du tien.... Puis une union tant attendue de nos deux âmes, dans un moment de plaisir intense, brûlant, nous amenant tous deux à une extase dont nous ignorions qu’elle serait à ce point magique....
Tes gémissements mêlés aux miens s’estompent doucement dans les soubresauts de nos corps encore tendus de plaisir, tes bras qui entourent les miens, mes mains qui caressent ton torse, les yeux dans les yeux malgré une pénombre douce qui nous enveloppe tous deux, caressante, énivrante.
Cette pénombre du plaisir qui nous rejoint chaque fois que nos corps se retrouvent, chaque fois que nous nous possédons, que nos âmes s’unissent.
A ce moment précis, je n’ai eu qu’une envie sentir ta peau contre la mienne, parcourir ton corps que je devinai doux et svelte de mes mains avides, gouter tes lèvres et la langue.
Je ne saurais encore aujourd’hui dire pourquoi ce soir là, cette envie est née en moi, d’ailleurs, je ne puis encore aujourd’hui me séparer de ce désir de toi, de cette envie de t’avoir contre ma peau, te voir et t’entendre gémir.
Et puis ton sourire m’a ensorcelé. Quand tu m’as demandé si j’avais un numéro de tél, je n’osai y croire ! Cette envie était donc réciproque, partagée et bel et bien réelle dans nos deux corps.
Aprés de multiples rencontres demeurées trés chastes, et des sms de plus en plus suggestifs, malgré un désir débordant se laissant deviner dans nos regards fiévreux, enfin le jour béni ou nos lèvres s’unirent arriva...
Quand je ferme les yeux, je revois ...
Nos corps vibrants, tressautant de cette envie qui nous rongent, nos mains avides de connaître le corps de l’autre, nos langues se cherchant, se frolant pour ne faire plus qu’une.
Tes lèvres si douces, tes yeux si bleus, ton corps si désirable, si tendre, si sensuel. Ton souffle dans mon cou, ta bouche parcourant mon corps criant famine du tien.... Puis une union tant attendue de nos deux âmes, dans un moment de plaisir intense, brûlant, nous amenant tous deux à une extase dont nous ignorions qu’elle serait à ce point magique....
Tes gémissements mêlés aux miens s’estompent doucement dans les soubresauts de nos corps encore tendus de plaisir, tes bras qui entourent les miens, mes mains qui caressent ton torse, les yeux dans les yeux malgré une pénombre douce qui nous enveloppe tous deux, caressante, énivrante.
Cette pénombre du plaisir qui nous rejoint chaque fois que nos corps se retrouvent, chaque fois que nous nous possédons, que nos âmes s’unissent.
Sam 07 Juin 2008, 19:16 par
asbarak sur Les liaisons sulfureuses
Ecrire sur tien

Il y a 53 textes utilisant le mot tien. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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J. Dryden.
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