Fleurs apprivoisées

Fleurs apprivoisées

Fleur femelle, ton calice m’enveloppe à ravir.
Tes odeurs charment, l’arôme ultime pour m’éblouir.
Une brise caresse ta tige, un spectacle embaumant.
La gracieuseté de l’instant, un charmant.

Fleur mâle, la fierté de tes pétales, un régal!
Le sublime, un fleuron incontesté, l’ornemental.
Jouissance d’une présence reproductive, savoureuse.
Se déployer, la beauté masculine, juteuse.

Fleur hermaphrodite, nature complexe à comprendre.
Un duvet mystérieux qui se déploie sans attendre
À la recherche de son identité, couleurs diverses.
Le mérite de s’arrêter malgré mille averses.

Fleurs des pois, le mâle recherché, grandeur physique.
L’élégance assurée, boutonnière magique.
Pollinisation approuvée, inflorescence.
Des regards non modérés, douce cadence.

Fleurs en pot, de l’eau, je vous en prie!
L’asphyxie totale, se déployer m’Amie!
Près de la fenêtre, souffrance, chaleur silencieuse.
Se retirer, un peu d’ombre, vie spacieuse.

Fleur cultivée, la conduite assurée, coloris magnifiques.
La bienséance aveugle, des semences aristocratiques.
D’une droiture exemplaire, la royauté avantagée.
Légère timidité, fleuraison non fanée.

Fleurs de rhétorique, l’ombrelle odorante.
Des mots légers, une gerbe palpitante.
La flore des phrases, bouquetière de rimes.
Royauté d’une plume qui s’exprime…

Fleurs du mal, déchirure du poète, le spleen dévasté.
Vacillement d’une écriture, un paradis désespéré.
La luxure morbide, le flétrissement cervical.
Fraîcheur malodorante, espoir floral.

Fleurer malgré tout l’existence d’une beauté flexible.
Floraison, l’épanouissement à la mesure du tangible.
Fleurage, un piétinement gracieux, la volupté.
Floralies, tu m’entoures sans épines vers l’éternité.
André, épervier

http://epervierlepoete.iquebec.com/index1.html
Sam 26 Juil 2008, 20:06 par epervier sur Mille choses

Les libertins

Les libertins



A une étoile filante,


Elle l’a vu sur Internet
Il a l’air sympa, une bonne tête,
Et surtout, pour être honnête,
Il a, wow !, entre les jambes
Une sâcrée bête !

Lui, il en a marre des cam to cam
Le sexe virtuel c’est pas ad vitam eternam,
Toutes ces femmes qu’il a excité
Il voudrait bien les .

Elle lui demande son adresse
Tout en lui montrant ses fesses
Ca tombe bien, elle habite tout prêt
Et, hum... putain ce qu’elle lui plait !

Entre eux deux c’est l’osmose
Chaque journée est une apothéose
De stupre et de luxure
De nouvelles aventures...

Mais quand vient à s’épuiser leur imagination
Ayant usé tant de jeux et de positions
Que faire ?
Sinon s’adjoindre d’autres partenaires
Pour parfaire
Le tableau de leurs ébats, déjà digne de l’Enfer !

En quelques clics ils trouvent
Une autre femme, à leur goût,
Qui de son corps leur ouvre
Les plaisirs goudoux,

Puis, un autre homme
Pour un trio sans tabou
Qu’ils consomment
Par tout les bouts,

Puis un couple, et tout un groupe !
Car ce ne peut être que des plaisirs sans fin
Auxquels s’adonne cette troupe
De fiéfés libertins !




2008 © Cyr
reproduction interdite sans mon accord - texte déposé
http://www.poesie-erotique.net/mespoemes.html
Dim 01 Juin 2008, 19:55 par cyrpoete sur Amour internet

Belius et Ancéline

Belius et Ancéline

Amoureux passioné, Belius était heureux naguère
Son coeur désormais arraché repose à terre
Sa douce Ancéline n’est plus
Sa voix cristalline s’est tue
Maudit soit à jamais ce chauffeur hâté de rentrer en son royaume
Qui dans un hoquet d’ivrogne transforma la vie de notre homme
Rampant, sanglotant, écorchant son ventre
Dans une dernière larme décida de se pendre
Débarrassé de son enveloppe matérielle
Heureux qu’il était de la rejoindre au ciel
Aux portes du paradis rencontra Saint Pierre
Mais ne peuvent jamais entrer les suicidaires
Aux flammes de la damnation il se croyait condamné
Mais Satan en personne par son cas était fort contrarié
Une âme habitée par un amour si pur, Lucifer ne pouvait
Ainsi un compromis fut trouvé, aux enfer il pouvait rester
Mais pour celà, l’âme des pécheurs il devrait supplicier
Très peu de temps à ce régime
Suffirent à lui faire perdre toute estime
Anéanti, déboussolé, la terre il regagna
En ectoplasme, l’humanité il explora
Guerre, meurtre, viol, rien ne lui fut épargné
De génocide en mutilation il se sentit balloté
Quand un jour, de nouveau bascula sa destinée
Dieu, sans doute, de lui avait eu pitié
Tout d’abord par ses yeux il se crut trompé
Mais sa bien aimée il venait bien de croiser
Elle-même du paradis s’était échappée
Pour qu’enfin, en ce jour, il se soient retrouvés
Lui montra l’autre face de ce qu’il avait vu
L’amour, la compassion, enfin il reconnut
Dans des corps d’enfants, les deux amants vinrent se réincarner
Avec la promesse de très bientôt reprendre leur passion passée
Lun 26 Nov 2007, 21:01 par Maneki Neko sur Histoires d'amour

Quelques années, et quelques siècles...

Comme aujourd’hui, elle avait d’abord caressé tout son corps, longtemps, lentement.
Comme aujourd’hui, bien après qu’il se soit abandonné à elle, il osait encore à peine la .
Comme aujourd’hui, il n’avait d’abord cédé qu’au besoin de laisser ses doigts découvrir le grain de sa peau, de permettre à ses mains, enfin, d’apprendre son corps.
Comme aujourd’hui, bientôt il s’était laissé gagner par le désir jusque là réprimé de la découvrir autrement, et s’était étonné de l’harmonie de leurs souffles.
Comme aujourd’hui, leurs corps enfin s’étaient unis, s’enflammant ensemble, se consumant l’un l’autre, s’épuisant presque, jusqu’à atteindre la crête de l’ultime déferlante qui les avait laissés comme échoués dans les bras l’un de l’autre.
Comme aujourd’hui, elle était restée lovée contre lui de tout son corps, les yeux fermés, pendant qu’il la regardait en continuant à la caresser doucement, et il sait que de même que cette autre fois, l’aube sera là déjà qu’ils seront encore éveillés du bonheur d’être ensemble.
Il sait, aussi, que le petit matin, cette fois, ne les séparera pas.

Aeryn

Sláinte agus saol agaibh...
Ven 29 Juin 2007, 16:48 par Aeryn sur La première fois

J'ai encore rêvé d'elle...

Obsession de mes jours
Elles s’imicie jusque dans mon lit
Pour n’être là que dans mes rêves
Malheureusement...
Et pourtant qu’elle pure extase
De pouvoir vivre l’espace d’une nuit
Une vie en sa compagnie.
Les restes de ces moments de bonheur
Ne restent que flous dans ma mémoire
Mais tellement vifs dans mon coeur
Comme si amnesique de quelques heures
Tous mes sens cherchaient à me souvenir
Du de sa main sur ma peau
Et du goût de ses lévres sur les miennes...
Ven 22 Juin 2007, 22:59 par Loyd sur Parler d'amour

Attente...

Vivre dans l’attente de son appel
Dans l’attente de la voir
Elle me laisse dans un goût de pas assez
Un goût d’encore
Ma voix est faible
Mon pouls est fort
Je veux la prendre dans mes bras
Et déposer sur ses lèvres
Le baiser brûlant
Qui me dévore l’âme
La serrer d’une étreinte charnelle
Et sentir son corps frémir
Toucher sa peau
Qui me nargue à chaque entrevue
La caresser doucement
Et sentir sa douceur
Me pénétrer par tous les sens
Goûter le creux de son cou
Dans un parfum qui déjà se moque de moi
Glisser mes doigts sous son pull
Et mettre enfin une réalité sur mes rêves...

Attends! Bientôt...
Sam 16 Juin 2007, 01:55 par Loyd sur Histoires d'amour

Doux mélange

Femme enfant
Malicieuse et craintive
Regardant d’un oeil troublé
Jettant des regards cachés
Lançant des sourires troublés
Des rires peut être même forcés
Attentive et interessée
Elle veut se faire remarquer
Sans trop vouloir le montrer

Femme séductrice
Nous carressant d’un soit disant anodin mais attentionné
Animant la conversation de quelques connotations osées
Jouant de ses courbes sensuelles pour nous provoquer
Dansante pour achever de nous enivrer
Souhaitant nous voir l’enlever
Pour des nuits endiablées

Femme de plusieurs futurs
Qui rêve d’être aimée pour l’éternité
Et qui ne demande qu’à rêver
A des voyages au bout de l’été
Des aventures toutes les plus risquées
Mais aussi de la douceur d’un foyer
Où gambaderaient une poignée de bébés

Et c’est tout ça qui aussi nous fait craquer!

Loyd
Mer 13 Juin 2007, 01:11 par Loyd sur La séduction

NOTRE HISTOIRE

Une nuit entière à se raconter
A se découvrir, à se chercher
Une nuit entière sans se
Sans s’effleurer, sans s’embrasser

L’impression de se connaître sans le savoir
L’impression d’être devant un miroir

Un désir qui né, qui emprisonne nos sens
Une histoire qui commence en dépit du bon sens

Une matinée entière à assouvir nos instincts
A se donner du plaisir, sans penser à demain
Une matinée entière où nos corps n’ont fait qu’un
Sans jamais se douter qu’il y aurait un demain

L’impression fugitive d’une lumière dans le noir
L’impression que peut-être, il y aurait un espoir

Des sentiments naissants, nous rendant impatients
Une histoire qui s’installe, nos deux cœurs qui s’emballent

Une nuit entière à se déclarer notre amour
A s’apaiser l’un de l’autre sans plus aucun détour
Une nuit entière à rêver au toujours
En espérant que cela puisse arriver un jour

L’impression que l’âme sœur est enfin arrivée
L’impression que soudain notre vie s’est éclairée

L’angoisse reprend ses droits, elle nous rend maladroits
Une histoire qui perdure, avec des moments durs

Une vie entière à nous rendre plus forts
A ne plus se demander qui a raison où tort
Une vie entière sans regrets, sans remords
A se rendre heureux, à la vie à la mort
Sam 19 Mai 2007, 10:21 par asbarak sur Histoires d'amour

T'éveiller

J’aime tout ce que tu es que tu ne perçois pas,
Qui pourrait te surprendre si tu l’apercevais,
J’aime tout ce que tu caches, veux garder en retrait,
Tout ce que tu exprimes lorsque tu n’es pas toi.

Tes doutes indécisions, tes regards pleins d’émoi
Ce contrôle d’illusions, ce semblant d’assurance,
Qui dévoilent à mes yeux ton amer repentance
Tes regrets infondés de ne pas être droit.

Aimer c’est ressentir, être bien malgré tout,
Respirer, être heureuse, sereine malgré le flou,
Imaginer ta vie, désirer la nourrir

Je voulais te , te goûter, te ravir,
M’abandonner discrète, éventuellement mourir,
à cette histoire réelle que tu ne perçois pas.
Ven 13 Avril 2007, 16:29 par jatea sur Parler d'amour

Morphine [Yaoi]

Petite fiction bisard en 5 petits chapitres!
Attention toutefois, ce sont des relations homosexuelles, et la fin peut choquer.

1. Révélations

Ils avaient attendu d’être totalement seuls, que la maison soit abandonnée d’individus susceptibles de les juger pour ce qu’ils feront. Ils n’étaient pas anormales, simplement différents des autres. Ce qu’ils feront serait à jamais leur secret. Depuis toujours ils en rêvaient, mais jamais ils n’avaient osé s’en parler l’un à l’autre. Mais, ce jour-ci, sans prévenir, ils s’étaient révélé leur amour. Et tous leurs deux avaient été surpris par l’autre. Sans parler, ils s’étaient mis d’accord pour ne jamais révéler ce sentiment à personne. Maintenant, plus rien ne les retiendrait.
Bill était sous la couette, tout nu dans le lit, et regardait son frère qui lui souriait, assit à côté. Tom était complètement dévêtu, lui aussi. Et tous les deux, ils attendaient que la voie soit libre. Tom caressait les longs cheveux noirs de son petit frère, petit frère d’à peine dix minutes, mais petit frère quand même. Il sentait qu’il devait le protéger, s’occuper de lui. Il voulait l’aimer plus qu’on aime son frère jumeau. Bill, lui, avait sortit sa main de dessous la couette et tirait son frère pour qu’il s’allonge sur son corps. Tom se mit sur le ventre, et seul leurs visages pouvaient se car la couette empêcher le reste de leurs corps d’être en contact. Tom parcourait le visage de Bill en l’effleurant du bout des lèvres. L’androgyne aux cheveux corbeau passa sa main dans la nuque de son frère et tira doucement pour ramener le visage de Tom encore plus près du sien. Leurs lèvres se touchèrent définitivement. Chacun jouissait d’un bonheur si longtemps attendu et désiré. Ils avaient tellement voulu que cet instant devienne réalité, sans savoir que l’autre le voulait aussi.
Tom prit le visage de son frère dans les mains, et Bill entoura le cou de son jumeau de ses bras. Ce fût Bill qui demanda à débuter la danse. Il fit délicatement passer sa langue percée entre les lèvres désirantes de son frère. Tom laissa sa cavalière pénétrer dans son domaine et l’accueillit en s’enroulant autour. Ce baiser dura on ne sait combien de temps. Leurs langues dansèrent ensemble sans jamais vouloir se reposer. Bill arrêta la danse qu’il avait demandé. Mais Tom ne semblait pas vouloir suivre cet ordre. Aussi, quand son frère resserra les lèvres, il continua à les lécher. Bill faisait aller et venir sa main sur les flancs de son frère, pendant que celui-ci passait sa langue sur son nez, puis sur ses paupières closes. Ils sentaient le désire grimper. Mais ce désir était loin d’arriver au bout du chemin. Ils s’étaient promis d’aller… loin.
Quand ils entendirent la porte de la maison claquer, ils surent qu’ils étaient enfin seuls. Rien que eux deux. Alors, ils descendirent dans la cuisine pour accomplir ce qu’on pourrait définir comme le Premier Rituel.
Sam 24 Mars 2007, 14:09 par Lyra sur Les liaisons sulfureuses

Écriture automatique

Il est certain de ne pas refuser les amoures des gens
car on est jamais seul dans son propre règne,
celui du plein et de l’instinct
cette folle humeur qui rappelle que l’on aime sa faute comme un sermon,
je ne sais pas faire cas de mes bras en croix,
les sourires angéliques des "passantes" qui font de la vie une image latente me disent de revoir mes années futures en cercles ...
et je tournerai dans un manège pris par le dégoût de voir ma propre femme et mes amoures sans qu’ils puissent me , ce que je suis : un être humain qui aime...
Alors prenez le temps de composer avec le silence, prenez le temps de voir les compositions musicales de la vie, prenez le temps de vous juger comme sur le pilori... soyez honnête avec vous-même et réfléchissez que vous êtes les âmes de mon amour, un amour qui n’est jamais vide...celui que l’on regarde dans son cerveau comme une idée impressionnante et soulève le néant pour le rendre tel qu’il est...
northenwolves.
Voici un message écrit comme ça il est maintenant à vous de le lire, voir, juger...bref je suis présent pour en discuter...
Jeu 22 Mars 2007, 11:46 par northenwolves sur La vie à deux

L'amour existe t-il ?

Un regard qui n’existe pas
Une voix que l’on entend pas
Une odeur qui n’a pas de parfum
Un que l’on n’atteindra jamais
Mais des fantasmes nourris
Qui font tourner en rond
L’amour existe
Mais pas sur internet
Mar 20 Fév 2007, 14:18 par coupdecoeur sur Amour internet

Ton cou

Ne me laisse pas te
humer ta vie
sauvage et femme
goûter tes courants
vivants
tellement vivants
qui glissent
le long de ton cou.

Je pourrais prendre envie
de te basculer
de te bousculer
dans toutes les directions
par toutes tes odeurs.

Je pourrais prendre envie
d’y saoûler
toutes mes retenues
d’y laisser frémir
toutes mes fibres d’homme.

Et si
tu me laissais
me perdre en toi
y défaire nos lois ?
Mar 23 Jan 2007, 19:49 par Alex sur Parler d'amour

Incendie

Tes yeux qui me rejoignent
Atteignent les miens
A la source de mon feu et du tien

Mes mains qui t’atteignent
Te touchent les hanches
Remontent doucement, à fleur de paumes
Jusqu’à tes seins qui m’adressent
Se dressent pour me
Frémissent avec ton souffle qui s’échauffe
Ces douceurs que je palpe, évalue
Suce goulûment, pétri avec gourmandise
Pour que tu m’offres ton cou
Que je le parcoure et caresse de ma langue affamée
De l’épaule à l’oreille, doucement
Bécottant de mon haleine, de mes lèvres en retenant mon ardeur

L’incendie est sans appel
Impossible à retenir

Il me faut te parcourir
Te repérer, évaluer chaque creux, chaque vallée
Goutter ta peau, boire tes sucs
Siroter tes eaux
Te mordre, chaque morceau de ton corps
Par ma bouche et mes mains
Me nourrir et te prendre
Jusqu’à ce que mon sexe questionne le tien
Qu’il se rassasie de ta pluie
Le visite, l’interroge
Se retienne et le bouscule

Alors que toute ma vie se promène sur ma peau
Qu’à partir d’elle, toute l’énergie humaine se gémisse
Que mon corps s’affole avec le tien
Au rythme intemporel de nos vies suspendues

Que je te délire, te désespère
Tu supplie, te quémande
Te violente, te bouscule
Te repousse et te garde
Incrédule, perdu, noyé
Par ta vie, ta peau sucrée
Ta chair et ton humidité
Jusqu’à la rupture du temps
De toutes les énergies primitives
Les effluves de vie, la foudre violente qui me nourrit
Se concentre, se hérisse
Me crispe et me tue

Le temps que je te donne
T’appartienne au delà de moi
Le temps que je te transmette la vie
Plus que la mienne
Celle qui s’enracine dans celle de toutes les autres vies
Qui ont généré la mienne
Et qui rejoignent la tienne
Pour un temps suspendu
Infini d’intensité

Le temps que j’en meure
Que j’en oublie jusqu’à ma vie
Totalement rendu à toi
Égaré, transféré en toi
Heureux d’être l’origine de la foudre
Le médium de l’univers
Qui se génèse dans nos corps
Dans ce moment qui nous dépasse
Par sa beauté, son altitude

Il ne reste à ma bouche
Qu’à te chanter mon amour
Qu’à te couvrir de gratitude
Et à savourer le ravissement de ta chaleur
La nourriture de ta chair de femme

Laisse-moi nous aimer encore
Te prendre et m’appartenir
Jusqu’à en guérir, en mourrir et en vivre
Lun 22 Jan 2007, 03:43 par Alex sur Parler d'amour

Re: Les rêves

dolce vita a écrit:
Je souhaite que tu puisses non seulement les de près mais vraiment les vivre pleinement !!

amuse

Dolce


Merci, je crois que je suis presque sur la route qui me correspond vraiment et je suis presque sûre que je pourrai les vivre tout simplement. Alors je m’y prépare comme tu le proposais plus tôt afin d’en profiter pleinement. rolleyes
Dim 21 Jan 2007, 17:42 par CLAUDE sur Citations
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Proverbe espagnol.

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