Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur tourmente
En attendant
En attendant( texte modifié)
En attendant que tu arrives, juste pour m’aimer de nouveau
Je tourne en rond dans ma chambre et je gamberge
Mes pensées passent la fenêtre et voguent sur la berge
D’une petite rivière pénétrant un vaste champ de coquelicots
Qu’une fine pluie tombant du ciel détrempe abondamment
Malgré ce temps maussade et si gris, ils sont toujours aussi beaux.
Et je ne me lasse jamais de les regarder s’agiter au vent qui passe.
J’aime dans ton attente entendre ricocher les gouttes sur ma fenêtre,
Elles font telle une petite plainte, un long sanglot qui me tourmente
Qu’on dirait que même le ciel semble pleurer la peine qui me contient
Et qui s’exprime ainsi tant j’ai en moi cette affreuse absence de toi
Alors il me semble entendre les accents de ta voix si lointaine
Lorsque le vent souffle et vient me murmurer tes paroles si douces,
Tu ne peux savoir l’ampleur du tracas qu’il déclenche
Et ses souvenirs qui me reviennent troublant mon attente
Où je sens toujours les caresses de tes mains sur mes hanches,
Lorsque l’une remontait mon corps sitôt enfiévré de tressaillements
La sentant se glisser lentement sur mon buste et ma poitrine
Quand l’autre plus avenante se fait moins discrète et si coquine
En gérant l’antre des attentions mutines ou perle la rosée divine
Plus haut tes lèvres s’enhardirent en effleurant ma bouche,
Lors tes bras m’emmenèrent tendrement jusqu’à la couche,
Puis ton corps prit le mien pour m’aimer passionnément jusqu’au matin,
Où tu repartis comme de coutume sans faire le moindre bruit,
Me laissant ainsi dormir allongée comblée rassasiée de plaisir
Et posée à côté sur la table de chevet, une lettre de plus
Qui s’en fut rejoindre toutes ces lettres, soigneusement conservées,
Au fond de l’armoire dans cette vieille boîte à chaussure
Que j’ouvre tous les jours pour les relire en boucle, et si souvent
Nostalgique d’un temps où en elles s’écoulent tes déclarations enflammées....
Seuls vestiges de cette brève aventure qui ne dura qu’un été...
Avec l’oreiller en prière, où ton odeur restera ancrée à jamais,
Et que je prends chaque nuit le désir de humer intensément
De le serrer très fort contre moi, comme s’il était toi
Avant de me coucher solitaire dans ce grand lit, si triste et si froid
Et dans lequel, en attendant, je rêve, sans fin
Je rêve de pouvoir te revoir un jour, enfin.
En attendant que tu arrives, juste pour m’aimer de nouveau
Je tourne en rond dans ma chambre et je gamberge
Mes pensées passent la fenêtre et voguent sur la berge
D’une petite rivière pénétrant un vaste champ de coquelicots
Qu’une fine pluie tombant du ciel détrempe abondamment
Malgré ce temps maussade et si gris, ils sont toujours aussi beaux.
Et je ne me lasse jamais de les regarder s’agiter au vent qui passe.
J’aime dans ton attente entendre ricocher les gouttes sur ma fenêtre,
Elles font telle une petite plainte, un long sanglot qui me tourmente
Qu’on dirait que même le ciel semble pleurer la peine qui me contient
Et qui s’exprime ainsi tant j’ai en moi cette affreuse absence de toi
Alors il me semble entendre les accents de ta voix si lointaine
Lorsque le vent souffle et vient me murmurer tes paroles si douces,
Tu ne peux savoir l’ampleur du tracas qu’il déclenche
Et ses souvenirs qui me reviennent troublant mon attente
Où je sens toujours les caresses de tes mains sur mes hanches,
Lorsque l’une remontait mon corps sitôt enfiévré de tressaillements
La sentant se glisser lentement sur mon buste et ma poitrine
Quand l’autre plus avenante se fait moins discrète et si coquine
En gérant l’antre des attentions mutines ou perle la rosée divine
Plus haut tes lèvres s’enhardirent en effleurant ma bouche,
Lors tes bras m’emmenèrent tendrement jusqu’à la couche,
Puis ton corps prit le mien pour m’aimer passionnément jusqu’au matin,
Où tu repartis comme de coutume sans faire le moindre bruit,
Me laissant ainsi dormir allongée comblée rassasiée de plaisir
Et posée à côté sur la table de chevet, une lettre de plus
Qui s’en fut rejoindre toutes ces lettres, soigneusement conservées,
Au fond de l’armoire dans cette vieille boîte à chaussure
Que j’ouvre tous les jours pour les relire en boucle, et si souvent
Nostalgique d’un temps où en elles s’écoulent tes déclarations enflammées....
Seuls vestiges de cette brève aventure qui ne dura qu’un été...
Avec l’oreiller en prière, où ton odeur restera ancrée à jamais,
Et que je prends chaque nuit le désir de humer intensément
De le serrer très fort contre moi, comme s’il était toi
Avant de me coucher solitaire dans ce grand lit, si triste et si froid
Et dans lequel, en attendant, je rêve, sans fin
Je rêve de pouvoir te revoir un jour, enfin.
Sam 31 Jan 2015, 13:07 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Tu me manques!
Les heures ont passé, les jours ont défilé et
même la distance s’est installée. La distance, oui.
Celle dont je ne voulais pas qu’elle m’arrache à toi.
Mais pas celle qui m’aurait empêché de croiser
ton regard, tantôt si pétillant, tantôt si tourmenté;
de m’approcher de ta bouche qui, fermée, raconte
tellement de tes chagrins; d’entendre ton rire
que j’aime tant.
Cet éloignement-là, je l’ai refusé.
La distance actuelle est autre et peut-être plus douloureuse pour moi, parce qu’elle a été agie par nous, dans l’inter-dit, sans un "au revoir".
Dans cet espace-temps qui nous sépare, j’ai appris.
Du désir qui me poussait si fortement vers toi, j’avais peur et y ai résisté avec vigueur.
Depuis, la haine a, un temps, rempli l’espace d’un vide.
Aujourd’hui, tu me manques
même la distance s’est installée. La distance, oui.
Celle dont je ne voulais pas qu’elle m’arrache à toi.
Mais pas celle qui m’aurait empêché de croiser
ton regard, tantôt si pétillant, tantôt si tourmenté;
de m’approcher de ta bouche qui, fermée, raconte
tellement de tes chagrins; d’entendre ton rire
que j’aime tant.
Cet éloignement-là, je l’ai refusé.
La distance actuelle est autre et peut-être plus douloureuse pour moi, parce qu’elle a été agie par nous, dans l’inter-dit, sans un "au revoir".
Dans cet espace-temps qui nous sépare, j’ai appris.
Du désir qui me poussait si fortement vers toi, j’avais peur et y ai résisté avec vigueur.
Depuis, la haine a, un temps, rempli l’espace d’un vide.
Aujourd’hui, tu me manques
Dim 20 Avril 2014, 17:27 par
évènement sur Histoires d'amour
Regrets!
Au beau milieu d’un rêve, je me suis réveillée...
L’interruption de ce scénario tourmenté
a provoqué un sursaut, qui m’a remis en
phase avec la réalité...
Dire que je pensais n’avoir pas de regrets...
Mensonge, ment-songe...
Oui, j’ai follement aimé fantasmé!
Oui, tu as habité mes rêveries!
Oui, j’ai mis fin à une relation amoureuse
avec un homme sincère, en pensant
à "Nous"...
Oui, je l’ai blessé.
Oui, j’aurais surement été plus épanouie
qu’avec toi, qui m’offre... du leurre!
Et, aujourd’hui?
Je me dis que ces créations imaginaires
étaient de belles illusions, des mi-rages...
Je ne suis plus dupe de ton jeu de séduction
et désire partager mon rêve avec Lui, celui
avec lequel nous en ferons une réalité...
L’interruption de ce scénario tourmenté
a provoqué un sursaut, qui m’a remis en
phase avec la réalité...
Dire que je pensais n’avoir pas de regrets...
Mensonge, ment-songe...
Oui, j’ai follement aimé fantasmé!
Oui, tu as habité mes rêveries!
Oui, j’ai mis fin à une relation amoureuse
avec un homme sincère, en pensant
à "Nous"...
Oui, je l’ai blessé.
Oui, j’aurais surement été plus épanouie
qu’avec toi, qui m’offre... du leurre!
Et, aujourd’hui?
Je me dis que ces créations imaginaires
étaient de belles illusions, des mi-rages...
Je ne suis plus dupe de ton jeu de séduction
et désire partager mon rêve avec Lui, celui
avec lequel nous en ferons une réalité...
Dim 27 Jan 2013, 17:51 par
évènement sur L'amour en vrac
Confidentiel...
Assis à la terrasse d’un café, il attend son ami.
Alors, il regarde les passants et écoute les
conversations des inconnus, installés à la table
voisine. Il leur invente une vie...
Une interrogation le taraude: Sont-ils heureux?
Oui ?
Mais, comment font-ils?
Ne se posent-ils donc aucune question?
Peut-être acceptent-ils...
Ah! Voilà son ami qui arrive.
Il va enfin pouvoir lui raconter ce qui le tourmente,
même s’il sait que son confident ne détient pas
La solution...
Sa situation lui paraît compliquée, parce qu’il
se demande si elle l’aimera encore, après...
Pourtant, il dispose d’éléments qui pourraient
le rassurer...
De son côté, est-ce le moment de changer
de vie? De renoncer à ses habitudes?
En effet, la routine... Elle est usante, mais
confortable...Surtout si elle abrase le désir...
Mais, évite-t-elle la souffrance et la solitude?
Alors, il regarde les passants et écoute les
conversations des inconnus, installés à la table
voisine. Il leur invente une vie...
Une interrogation le taraude: Sont-ils heureux?
Oui ?
Mais, comment font-ils?
Ne se posent-ils donc aucune question?
Peut-être acceptent-ils...
Ah! Voilà son ami qui arrive.
Il va enfin pouvoir lui raconter ce qui le tourmente,
même s’il sait que son confident ne détient pas
La solution...
Sa situation lui paraît compliquée, parce qu’il
se demande si elle l’aimera encore, après...
Pourtant, il dispose d’éléments qui pourraient
le rassurer...
De son côté, est-ce le moment de changer
de vie? De renoncer à ses habitudes?
En effet, la routine... Elle est usante, mais
confortable...Surtout si elle abrase le désir...
Mais, évite-t-elle la souffrance et la solitude?
Mar 15 Juin 2010, 02:49 par
évènement sur Parler d'amour
Toi et moi....
Gargantuesques furent les baisers que s’échangèrent les amants maudits,
Ceux qui d’un souffle anéantissent mille morts, mille mondes,
Ceux qui régissent les célestes cieux au profit du plaisir qui les irradient,
Ceux qui lancent au défi de faire meilleur que cette immonde
Scène que s’octroient diverses fantaisies. Le paraître… Mais tu me vois ?
N’est ce pas que tu me vois, telle que je suis là, devant toi, sans masque, ni artifice,
Ni prodige, ni tour pendable… Seulement moi… et mes mots qui me trahissent….
Qui me vendent d’être moi en étant avec toi… , qui m’enhardissent au delà de ma foi,
Ces mots qui se guettent au coin sombre de mon esprit, me possèdent et mon font amante,
Et me laissent pantelante quand grandit mon envie de nos corps dans la tourmente,
Dans la béatitude de nos sexes réunis, qui nous prend et nous rend fous, l’un de l’autre…
Du ying et du yang, blottis au fin fond de cette incroyable antre,
Que je nous ai construit. Loin de tout et de tous… Loin de cette franche parodie,
Qu’est la vie. Vois-tu, mon ange, je nous ai bâti un prodigieux et ahurissant paradis.
Ceux qui d’un souffle anéantissent mille morts, mille mondes,
Ceux qui régissent les célestes cieux au profit du plaisir qui les irradient,
Ceux qui lancent au défi de faire meilleur que cette immonde
Scène que s’octroient diverses fantaisies. Le paraître… Mais tu me vois ?
N’est ce pas que tu me vois, telle que je suis là, devant toi, sans masque, ni artifice,
Ni prodige, ni tour pendable… Seulement moi… et mes mots qui me trahissent….
Qui me vendent d’être moi en étant avec toi… , qui m’enhardissent au delà de ma foi,
Ces mots qui se guettent au coin sombre de mon esprit, me possèdent et mon font amante,
Et me laissent pantelante quand grandit mon envie de nos corps dans la tourmente,
Dans la béatitude de nos sexes réunis, qui nous prend et nous rend fous, l’un de l’autre…
Du ying et du yang, blottis au fin fond de cette incroyable antre,
Que je nous ai construit. Loin de tout et de tous… Loin de cette franche parodie,
Qu’est la vie. Vois-tu, mon ange, je nous ai bâti un prodigieux et ahurissant paradis.
Ven 21 Mars 2008, 23:03 par
Jenny les mains rouges sur La vie à deux
Comment réussir en amour? suite...
Stéphane,
Je les avais posé mes valises mais on m’a congédié, comme ça un beau matin après tous ces mots d’engagement, d’amour pour la vie auxquels j’ai bêtement cru. Alors ce n’est pas que je crois qu’il ne faut pas poser ses valises, c’est seulement que je l’ai appris à mes dépends.
Mais bien sûr que je me souhaite de pouvoir le faire avec un homme qui me correspondra et à qui je correspondrait, reste à le rencontrer sur ma route!
Une des clefs peut-être pour trouver la bonne personne est, je crois, de ne pas la chercher... je m’explique. Il me semble, lorsque je regarde autour de moi, des couples d’amis qui s’entendent plutôt bien, qui ont fondé une famille, que ce qui a uni leur relation c’est cette évidence qui s’est imposée à eux. Ils se sentaient bien ensembles, avaient le regard porté vers la même direction mais avec chacun leur alterité. Peut-être est cela la clef? Juste "sentir" comme une évidence que c’est la bonne personne? Avoir le coeur serein et non rempli de doutes? Avoir le sentiment que l’autre est prêt à nous épauler dans tous les moments de la vie? se sentir bien, même sans mots ensembles. Avoir confiance. Bien sûr la vie n’est pas un conte de fées, bien sûr que des coups durs un couple en traverse, mais si il y a du respect, de la confiance et de l’amour ce sont déjà de bonnes bases. Et puis savoir être honnête, communiquer, construire sur des bases saines, pour que la maison puisse s’étoffer, d’étage en étage. Je vois les choses un peu comme ça, mais je ne sais pas de quoi sera fait mon lendemain amoureux? Je verrai bien, je vais laisser faire le temps, et le hasard des rencontres.
Je suis étonnée de tes mots à mon égard car nous ne nous connaissons pas, et je doute, pardonne-moi ma franchise, que je sois la meilleure chose qui te soit arrivée alors que tu ne sais rien de moi et moi de toi.
Je ne recherche pas ici à ce que quelqu’un d’autre panse mes blessures à ma place ou inversement, ce serait je pense une erreur. il n’y a que moi qui puisse le faire.
Je peux par contre donner mon point de vue féminin sur la relation amoureuse en toute amitié.
j’espère que tu ne me tiendra pas rigueur d’être directe mais j’ai besoin ces jours ci de me préserver. j’ai le cœur trop embrouillé, et douloureusement abimé et je ne veux pas qu’il y ait d’ambigüité.
Mais je suis prête à être une oreille attentive et si je peux t’aider à y voir plus clair, si de ton côté tu peux m’apporter un éclairage sur le point de vue de l’homme en amour alors j’en serai heureuse!
Et si mes mots ont pu te redonner de l’énergie et t’apporter ne serait-ce qu’un peu? Alors c’est une belle récompense pour moi.
Je crois que lorsqu’on écrit c’est toujours avec l’espoir qu’un autre que soi y trouvera quelque chose qui l’éclairera. Quand je lis un livre ou un texte c’est ce que je cherche, des clefs de compréhension dans tous les domaines de la vie.
En tous les cas ce soir est un soir de blues, de bleus à l’âme, mais je suppose que cela ira mieux demain?
Accepter qu’un amour se meurt est toujours une terrible douleur... Je dois l’accepter mais j’ai terriblement mal et rien ni personne ne peut me soulager, c’est ainsi... Je dois traverser cette tourmente intérieure pour renaitre un peu plus loin. je n’ai malheureusement pas le choix.
Pourquoi certains êtres ne savent-ils que blesser ceux qui les aiment? je n’en sais rien... Je ne suis plus sûre ce soir d’être la meilleure personne pour t’éclairer tellement je me sens confuse.
Bon courage à toi Stéphane, et bonne soirée. à bientôt!
Sophy
Je les avais posé mes valises mais on m’a congédié, comme ça un beau matin après tous ces mots d’engagement, d’amour pour la vie auxquels j’ai bêtement cru. Alors ce n’est pas que je crois qu’il ne faut pas poser ses valises, c’est seulement que je l’ai appris à mes dépends.
Mais bien sûr que je me souhaite de pouvoir le faire avec un homme qui me correspondra et à qui je correspondrait, reste à le rencontrer sur ma route!
Une des clefs peut-être pour trouver la bonne personne est, je crois, de ne pas la chercher... je m’explique. Il me semble, lorsque je regarde autour de moi, des couples d’amis qui s’entendent plutôt bien, qui ont fondé une famille, que ce qui a uni leur relation c’est cette évidence qui s’est imposée à eux. Ils se sentaient bien ensembles, avaient le regard porté vers la même direction mais avec chacun leur alterité. Peut-être est cela la clef? Juste "sentir" comme une évidence que c’est la bonne personne? Avoir le coeur serein et non rempli de doutes? Avoir le sentiment que l’autre est prêt à nous épauler dans tous les moments de la vie? se sentir bien, même sans mots ensembles. Avoir confiance. Bien sûr la vie n’est pas un conte de fées, bien sûr que des coups durs un couple en traverse, mais si il y a du respect, de la confiance et de l’amour ce sont déjà de bonnes bases. Et puis savoir être honnête, communiquer, construire sur des bases saines, pour que la maison puisse s’étoffer, d’étage en étage. Je vois les choses un peu comme ça, mais je ne sais pas de quoi sera fait mon lendemain amoureux? Je verrai bien, je vais laisser faire le temps, et le hasard des rencontres.
Je suis étonnée de tes mots à mon égard car nous ne nous connaissons pas, et je doute, pardonne-moi ma franchise, que je sois la meilleure chose qui te soit arrivée alors que tu ne sais rien de moi et moi de toi.
Je ne recherche pas ici à ce que quelqu’un d’autre panse mes blessures à ma place ou inversement, ce serait je pense une erreur. il n’y a que moi qui puisse le faire.
Je peux par contre donner mon point de vue féminin sur la relation amoureuse en toute amitié.
j’espère que tu ne me tiendra pas rigueur d’être directe mais j’ai besoin ces jours ci de me préserver. j’ai le cœur trop embrouillé, et douloureusement abimé et je ne veux pas qu’il y ait d’ambigüité.
Mais je suis prête à être une oreille attentive et si je peux t’aider à y voir plus clair, si de ton côté tu peux m’apporter un éclairage sur le point de vue de l’homme en amour alors j’en serai heureuse!
Et si mes mots ont pu te redonner de l’énergie et t’apporter ne serait-ce qu’un peu? Alors c’est une belle récompense pour moi.
Je crois que lorsqu’on écrit c’est toujours avec l’espoir qu’un autre que soi y trouvera quelque chose qui l’éclairera. Quand je lis un livre ou un texte c’est ce que je cherche, des clefs de compréhension dans tous les domaines de la vie.
En tous les cas ce soir est un soir de blues, de bleus à l’âme, mais je suppose que cela ira mieux demain?
Accepter qu’un amour se meurt est toujours une terrible douleur... Je dois l’accepter mais j’ai terriblement mal et rien ni personne ne peut me soulager, c’est ainsi... Je dois traverser cette tourmente intérieure pour renaitre un peu plus loin. je n’ai malheureusement pas le choix.
Pourquoi certains êtres ne savent-ils que blesser ceux qui les aiment? je n’en sais rien... Je ne suis plus sûre ce soir d’être la meilleure personne pour t’éclairer tellement je me sens confuse.
Bon courage à toi Stéphane, et bonne soirée. à bientôt!
Sophy
Mer 28 Nov 2007, 22:27 par
Sophy sur Histoires d'amour
Suivre le courant...
J’ai longé le fleuve
parcouru de sursauts,
écouté son murmure
partagé ses sanglots.
J’ai plaint ses tempêtes
de l’aube au crépuscule
et frôlé de ma main
le cœur de sa tourmente...
il n’était pas assez grand
pour tout contenir
de mon amour pour elle.
Elle, passagère sur l’autre rive,
voulait remonter le courant.
Parfois calme,
d’une humeur d’étale
il se cabrait soudainement
contrariant son mouvement.
Elle, entre la caresse de l’eau
et la dureté de la pierre,
a traversé le fleuve,
s’est arrêtée de l’autre côté,
le mien, celui que je longeais.
J’allais en suivant le courant
jusqu’au bord de cette déchirure
balayée par le vent,
marquée par le temps
que les eaux sont venues cacher.
Et je l’ai rencontrée...elle...
d’une beauté troublante
à ne plus quitter son regard,
à suspendre mon souffle
au rythme de sa respiration
à ne plus tolérer
qu’un battement de mes paupières
me prive de son sourire
plus d’une fraction de seconde...
le charme d’un sourire
presque millénaire
gravé dans la pierre...
parcouru de sursauts,
écouté son murmure
partagé ses sanglots.
J’ai plaint ses tempêtes
de l’aube au crépuscule
et frôlé de ma main
le cœur de sa tourmente...
il n’était pas assez grand
pour tout contenir
de mon amour pour elle.
Elle, passagère sur l’autre rive,
voulait remonter le courant.
Parfois calme,
d’une humeur d’étale
il se cabrait soudainement
contrariant son mouvement.
Elle, entre la caresse de l’eau
et la dureté de la pierre,
a traversé le fleuve,
s’est arrêtée de l’autre côté,
le mien, celui que je longeais.
J’allais en suivant le courant
jusqu’au bord de cette déchirure
balayée par le vent,
marquée par le temps
que les eaux sont venues cacher.
Et je l’ai rencontrée...elle...
d’une beauté troublante
à ne plus quitter son regard,
à suspendre mon souffle
au rythme de sa respiration
à ne plus tolérer
qu’un battement de mes paupières
me prive de son sourire
plus d’une fraction de seconde...
le charme d’un sourire
presque millénaire
gravé dans la pierre...
Mar 09 Jan 2007, 09:28 par
danslalune sur La première fois
VOYAGE INITIATIQUE 4
Espoir….. dans la tourmente
Il lutta toute la nuit car la mer était déchainée
Il faillit tomber plusieurs fois à la mer
Heureusement à chaque fois il sut s’accrocher à une bouée
Qui portait le signe de la Vérité
Il voulait mourir à ses ténèbres
Et renaître à la Lumière
C’est pourquoi il n’abandonna pas la lutte malgré la fatigue.
Au petit matin, la mer se calma et il s’endormit
Quand il se réveilla il se sentit apaisé
Il s’était éloigné d’elle mais se sentait plus proche par la Vérité.
Il voulut s’unir à elle dans la bouée qui portait le signe de la Vérité
Mais il eut peur des vibrations………..
Il lutta toute la nuit car la mer était déchainée
Il faillit tomber plusieurs fois à la mer
Heureusement à chaque fois il sut s’accrocher à une bouée
Qui portait le signe de la Vérité
Il voulait mourir à ses ténèbres
Et renaître à la Lumière
C’est pourquoi il n’abandonna pas la lutte malgré la fatigue.
Au petit matin, la mer se calma et il s’endormit
Quand il se réveilla il se sentit apaisé
Il s’était éloigné d’elle mais se sentait plus proche par la Vérité.
Il voulut s’unir à elle dans la bouée qui portait le signe de la Vérité
Mais il eut peur des vibrations………..
Jeu 14 Sep 2006, 12:25 par
coupdecoeur sur Histoires d'amour
Quand janvier sera passé...
Tout ça, ça fait pas mal, ça fait beaucoup...
il y a ces choses qui arrivent sans prévenir, qu’il faut promener jusqu’à ce qu’elles restent en arrière pour finalement être distancées.
Et il faut si peu pour qu’en un rien de temps elles reviennent: elles sont douloureusement récurrentes et moi, je fais comme si...comme si...
Alors je me débrouille, je compose avec…à défaut de, et c’est certainement ainsi que cela doit être…
et janvier passera...forcément...
Et puis, il y a dans ma vie ces deux femmes...
elles sont là, en moi; elles me donnent tant...tous les mots, tous les textes qu’elles m’offrent me touchent tellement: elles me savent, connaissent mes failles, mes blessures.
Moi, je prends chacun de leurs sourires et tous leurs silences...j’apaise leurs craintes, je les regarde, je les rassure...je les aime...
Tout ça, ça fait pas mal, ça fait beaucoup…
alors je pose les choses au plus juste, au plus vrai…enfin j’essaie et ce que je vis là, en ce moment ne me laisse pas de répit…
Tant pis, je me poserai quand janvier sera passé…
quand la tourmente se sera calmée, là, au fond de moi…
il y a ces choses qui arrivent sans prévenir, qu’il faut promener jusqu’à ce qu’elles restent en arrière pour finalement être distancées.
Et il faut si peu pour qu’en un rien de temps elles reviennent: elles sont douloureusement récurrentes et moi, je fais comme si...comme si...
Alors je me débrouille, je compose avec…à défaut de, et c’est certainement ainsi que cela doit être…
et janvier passera...forcément...
Et puis, il y a dans ma vie ces deux femmes...
elles sont là, en moi; elles me donnent tant...tous les mots, tous les textes qu’elles m’offrent me touchent tellement: elles me savent, connaissent mes failles, mes blessures.
Moi, je prends chacun de leurs sourires et tous leurs silences...j’apaise leurs craintes, je les regarde, je les rassure...je les aime...
Tout ça, ça fait pas mal, ça fait beaucoup…
alors je pose les choses au plus juste, au plus vrai…enfin j’essaie et ce que je vis là, en ce moment ne me laisse pas de répit…
Tant pis, je me poserai quand janvier sera passé…
quand la tourmente se sera calmée, là, au fond de moi…
Mer 04 Jan 2006, 23:40 par
danslalune sur Histoires d'amour
Nuit noire...
Je suis lasse de t’attendre. Lasse de l’inconsistance de nos deux solitudes. Je suis lasse de ne plus rien savoir de toi, de cette trop grande distance entre nos deux êtres... J’ai soif de cette communion si intense entre nous, de ce pont de lumière qui nous envahit et nous rejoint, cette joie si profonde et qui éclaire tout. Je suis lasse de ces ténèbres contre lesquelles je ne puis lutter lorsque le doute vient, me faisant grelotter au plus chaud de l’été. J’ai mal à toi. J’ai mal en moi. J’ai mal à nous. Pourquoi, dis, pourquoi ton silence ? Je suis lasse de lutter. D’où vient que je ne puisse guérir du mal que j’ai nommé et si bien reconnu ? Le vent emporte mes cris et seule l’immensité répond à mes questions... Seule fasse à la mer. Seule face aux montagnes. Viens en moi la vie, j’ai soif de toi et j’ai soif d’amour ! Viens en moi la vie, je t’appelle, pourquoi me fuis-tu ? Partout je te cherche et crois te reconnaître mais, de pardon en méprises, ma recherche me brise : je ne fais qu’entrevoir que tu es parti. Toi que je cherche dans un inconnu qui creuse en moi le manque de toi, en croyant t’oublier je te guette comme on attend l’aurore... Quand viendra le repos et la paix ? Quand de guerre lasse mon coeur va abandonner sa recherche insensée ? Quand les larmes et la tourmente vont-ils s’éloigner de ma vie ? Quand vais-je enfin me retrouver au rivage infini que rien ne trouble plus. J’ai gravi la montagne et mes forces s’épuisent... Je ne puis plus rien faire que m’abandonner à l’infini qui déjà me relève et je ne le vois pas. Non pas pour disparaître mais pour mieux rencontrer l’immensité qui m’a fait naître... Où te caches-tu, toi que mon coeur aime ? Où te caches-tu même dans la nuit noire mon coeur saura encore te reconnaître...
Ven 02 Déc 2005, 12:38 par
dolce vita sur L'amour en vrac
c'était en février....
Que j’étais dans mes petits souliers ce jour-là...le jour où tu es arrivée vraiment dans ma vie…avec tout ce que je n’avais jamais vu de toi mais que j’avais deviné..
Et le T G V s’est arrêté…
Je guettais sans en avoir l’air l’ouverture de la porte de ton compartiment, te voir…oui, te voir…je n’ai vu que ton sourire et mes yeux se sont baissés, perdus sur le quai : mes yeux je leur avais dit de ne pas trop en faire, ou plutôt de faire bonne impression !
Ta peau était fraîche ; j’étais glacée et mon cœur, qui s’était mis à battre un peu plus vite à ta descente du train, ne s’est pas calmé...je crois bien qu’il a gardé ce rythme tout au long de ce week-end…
«deux bises ? –non, ici c’est quatre…-alors, va pour quatre… »
Oui, ta peau était fraîche et tes lèvres tièdes sur mes joues…
Pas très animé, le trajet en voiture… Nous avons dû parler, de tout, de rien…il fallait ne pas laisser le silence s’installer, alors je t’ai écoutée…je répondais comme je pouvais, entre deux pensées contraires qui me projetaient déjà entre tes bras...faut-il déjà ?...ne faut-il pas? Un délice, ta voix…un enfer, mes doutes!
« la maison est là…nous y sommes… » et tu es entrée chez moi…J’étais dans la tourmente, au beau milieu de mes interrogations, incapable de me résoudre à….à passer mes bras autour de toi… à juste prendre ta main…à seulement te regarder…
J’étais chez moi, en terrain connu mais voilà, j’avais perdu tous mes repères…choisir le fauteuil et mettre un peu de distance entre nous, m’installer sur le canapé à côté de toi ?
Tu as pris l’initiative et d’un mot accompagnant ton sourire tu m’as invitée à m’asseoir près de toi sur le canapé…
Ta main s’est appropriée la mienne, nos doigts se sont trouvés. Naturellement ta tête s’est posée sur mon épaule…mon autre main s’est trouvée bête au bout de mon bras, bête à ne pas savoir où se poser : ton bras ? ta cuisse ? ton visage ? La tienne s’en est prise à ma chemise...déjà, il te fallait t’accrocher…nous en étions là lorsque le téléphone a sonné.
Sans le savoir, mon frère venait de sauver mon autre main du naufrage…tes doigts jouaient avec le pli de mon jean’s, le parcouraient, défaisaient, refaisaient…et mon frère me parlait, il ne se doutait pas. La conversation n’en finissait pas, mais moi pendant ce temps, je refaisais surface…petit à petit, je me suis retrouvée.
Après…après, ma main a suivi le chemin de ton bras, s’y est promenée, est allée découvrir ta peau douce et tiède sous la manche de ton pull…
Voilà…c’est toi que je caressais, toi qui me donnais chaud soudainement, toi qui me faisais frissonner et trembler…ma main s’est faite un peu plus insistante, je crois pour cacher ce tremblement…un baiser sur ma joue, la coin de ma bouche, tes lèvres sur les miennes...enfin…
Là…ce premier baiser et ton premier soupir lorsque nos langues se sont mêlées, quand ma main s’est glissée sous ton pull…mon désir et mon doute mélangés. Ton corps, je l’ai senti se tendre…mes mains, ma bouche je les savais faites pour lui…
Tu t’es allongée et tu m’as guidée… je ressentais ton envie et tu savais la mienne : tes yeux me le disaient. Les miens ont suivi la montée de ton plaisir. Je t’ai apprise…j’ai appris tes frémissements, tes attentes, tes mots, les parties de ton corps sensibles, si réactives…tu m’as laissée te faire l’amour…je suis devenue ton amante…
A cet instant, celui de ton abandon, celui où pour la première fois je t’ai vue faible au creux de mes bras, mon regard s’est un peu troublé; j’ai mis ma tête tout près de ton cou…c’était chaud ce qui coulait sur ma joue…ça aussi, c’était la première fois…
Et le T G V s’est arrêté…
Je guettais sans en avoir l’air l’ouverture de la porte de ton compartiment, te voir…oui, te voir…je n’ai vu que ton sourire et mes yeux se sont baissés, perdus sur le quai : mes yeux je leur avais dit de ne pas trop en faire, ou plutôt de faire bonne impression !
Ta peau était fraîche ; j’étais glacée et mon cœur, qui s’était mis à battre un peu plus vite à ta descente du train, ne s’est pas calmé...je crois bien qu’il a gardé ce rythme tout au long de ce week-end…
«deux bises ? –non, ici c’est quatre…-alors, va pour quatre… »
Oui, ta peau était fraîche et tes lèvres tièdes sur mes joues…
Pas très animé, le trajet en voiture… Nous avons dû parler, de tout, de rien…il fallait ne pas laisser le silence s’installer, alors je t’ai écoutée…je répondais comme je pouvais, entre deux pensées contraires qui me projetaient déjà entre tes bras...faut-il déjà ?...ne faut-il pas? Un délice, ta voix…un enfer, mes doutes!
« la maison est là…nous y sommes… » et tu es entrée chez moi…J’étais dans la tourmente, au beau milieu de mes interrogations, incapable de me résoudre à….à passer mes bras autour de toi… à juste prendre ta main…à seulement te regarder…
J’étais chez moi, en terrain connu mais voilà, j’avais perdu tous mes repères…choisir le fauteuil et mettre un peu de distance entre nous, m’installer sur le canapé à côté de toi ?
Tu as pris l’initiative et d’un mot accompagnant ton sourire tu m’as invitée à m’asseoir près de toi sur le canapé…
Ta main s’est appropriée la mienne, nos doigts se sont trouvés. Naturellement ta tête s’est posée sur mon épaule…mon autre main s’est trouvée bête au bout de mon bras, bête à ne pas savoir où se poser : ton bras ? ta cuisse ? ton visage ? La tienne s’en est prise à ma chemise...déjà, il te fallait t’accrocher…nous en étions là lorsque le téléphone a sonné.
Sans le savoir, mon frère venait de sauver mon autre main du naufrage…tes doigts jouaient avec le pli de mon jean’s, le parcouraient, défaisaient, refaisaient…et mon frère me parlait, il ne se doutait pas. La conversation n’en finissait pas, mais moi pendant ce temps, je refaisais surface…petit à petit, je me suis retrouvée.
Après…après, ma main a suivi le chemin de ton bras, s’y est promenée, est allée découvrir ta peau douce et tiède sous la manche de ton pull…
Voilà…c’est toi que je caressais, toi qui me donnais chaud soudainement, toi qui me faisais frissonner et trembler…ma main s’est faite un peu plus insistante, je crois pour cacher ce tremblement…un baiser sur ma joue, la coin de ma bouche, tes lèvres sur les miennes...enfin…
Là…ce premier baiser et ton premier soupir lorsque nos langues se sont mêlées, quand ma main s’est glissée sous ton pull…mon désir et mon doute mélangés. Ton corps, je l’ai senti se tendre…mes mains, ma bouche je les savais faites pour lui…
Tu t’es allongée et tu m’as guidée… je ressentais ton envie et tu savais la mienne : tes yeux me le disaient. Les miens ont suivi la montée de ton plaisir. Je t’ai apprise…j’ai appris tes frémissements, tes attentes, tes mots, les parties de ton corps sensibles, si réactives…tu m’as laissée te faire l’amour…je suis devenue ton amante…
A cet instant, celui de ton abandon, celui où pour la première fois je t’ai vue faible au creux de mes bras, mon regard s’est un peu troublé; j’ai mis ma tête tout près de ton cou…c’était chaud ce qui coulait sur ma joue…ça aussi, c’était la première fois…
Mar 04 Oct 2005, 21:06 par
danslalune sur La première fois
Une histoire d'amour
Martin ferma la porte de sa boutique. La journée avait été longue et chaude. Il s’appuya le dos sur la porte. Il n’avait pas envie d’entrer chez lui. Depuis quelques mois, ça n’allait pas bien entre lui et sa femme. Elle était froide et distante envers lui. Il avait essayé de lui parlé mais elle lui répondait qu’il se trompait, elle l aimait tout comme avant. Qu’il s’en faisait pour rien. "Peut-être que c’est moi qui ne tourne pas rond ?" "Qu’est ce que je ressens envers elle ?" "Suis-je encore amoureux d’elle" "Peut-être ai-je peur de répondre a mes propres questions".
Les voitures passaient dans la rue soulevant la poussière. Des papiers virevoltaient ici et là. Il se sentait bien seul. Il n’arrêtait pas de chercher pourquoi il n’était plus heureux. Une petite voix au fond de lui savait pourquoi. Mais il refusait de l’écouter. Il finit par faire quelques pas. Il passa devant les autres boutiques qui fermaient. Le soleil déclinait à l’horizon. Même ce spectacle merveilleux ne réussissait a lui donner un sourire. Les gens passaient autour de lui si pressés d’entrer chez eux. Il vit un café au coin de la rue. Il décida d’y entrer.
Le café était sombre et enfumé. Les toiles avaient été tirées pour empêcher le soleil d’y entrer. Des ventilateurs projetaient avec peine une fraîcheur. Quelques clients étaient assit aux tables. Ils semblaient tous fatigués. Une chanson de Joe Dassin roulait dans le juke-box. Il reconnu le titre ! Et si tu n’existait pas" Il s’approcha du comptoir service pour commander.
Quand il leva les yeux et rencontra des yeux si verts et profond que son coeur se mit a battre.
- Que puis-je pour vous ?
Il était suspendu, comme si il était dans un autre monde. Incapable de répondre. Il elle regardait, ses cheveux châtain descendant sur ses épaules entourant son visage ovale. Sa petite bouche semblait attendre de nombreux baisers. Il la dévisageait comme un adolescent. Des frissons électriques lui parcouraient le corps. Il n’avait pas ressentit chose de pareil depuis, depuis....si longtemps qu’il ne savait quoi en faire sauf qu il ne pouvait détacher son regard de cette inconnue......
-Monsieur ? Elle lui tendit une tasse de café.
-Oui ? finit-il par dire.
Pendant qu’elle lui versait le breuvage. Il se mit à rêver qu’il lui demandait à quelle heure elle finissait son travail et s’il elle pourrait envisagé d’aller marché avec lui ou prendre un verre quelque part.
-Dans 30 minutes monsieur et ca me ferait plaisir fit elle avec sourire.
-Quoi ? fit-il ne sachant de quoi elle parlait.
-Vous ne semblez pas être dans votre assiette. Je m appelle Sandra fit le jeune femme.
-Martin fit-il en attendant la main. Heu vous disiez ?
-Vous venez de me demandez si je voulais aller marcher avec vous et oui ça me plairait pourquoi pas !
***************************************************************
Il attendait à la sortie des employés se demandant qu’es qu il faisait là.
"Mais a quoi je pensais bordel " Il s’apprêtait a partir quand la porte s’ouvrit. Elle était la. Belle comme un lever de soleil. Son coeur battait à la folie. Il pouvait sentir son parfum qui lui enivrait le corps.
-Bonsoir fit-elle de sa voix chaude.
Il murmura un bonsoir. Il regardait ses lèvres avec un envie folle des les couvrir. Puis leva lentement les yeux pour se perdre dans l océan vert.
Elle fit un mouvement de tête ce qui le tira de sa stupeur.
-Un café où nous marchons fit il d’une voix mal assurée.
-Marchons un peu, ça va me faire du bien après une journée dans ce bar.
Ils marchèrent cote à cote. Dans un silence chacun dans ses pensées. "Elle est tellement belle Je me demande qui est-elle "
-Vous faites quoi dans la vie demande t-elle
Martin ce tourna vers elle
-Conseillé en orientation de la clientèle. "je ne peux quand même pas lui dire vendeur"
-Vous êtes marié ?
Martin détourna la tête et répondit
-Non et vous
-Non, j’ai pas rencontré celui qui fera battre mon coeur.
"Tant mieux" se dit-il
-Cela m’étonne vous êtes fort jolie Sandra. J’ai du mal a concevoir que vous n’ayez pas de petit ami.
-Les gens de mon age ne m intéresse pas. Il ne pense qu’à vous sauter en premier. Et vous Martin ?
-Moi, c’est une longue histoire qui n’est pas intéressante.
Ils arrivent à la marina. Quelques vagues remuaient sur le lac poussé par une brise chaude. Il regarda Sandra dont les cheveux volaient au vent. Elle avait fermé les yeux et semblait être presque en transe. Il n’osait faire de geste. Une pulsation lui montait à l’esprit. Il voulait l’embrasser. Il s approcha quand son téléphone cellulaire sonna. Tous les deux faillir mourir.
-Allo fit il avec une certaine rage.
**************************************
La soupe mijotait. Il préparait un boeuf a l ancien. Une recette qui venait de sa mère. La table était mise. Une jolie nappe de dentelle, des bougies. Il avait mise de la musique douce. Tout, lui paraissait parfait il ne manquait plus qu’elle.
"19h45 dans quelques minutes elle sera la. Juste le temps de prendre une douche." Il se dirigea vers la salle de bain quand le téléphone sonna. Une appréhension lui vint a l’esprit. Il secoua la tête en se disant qu’il devenait parano.
-Oui ? fit-il
-Chéri ! Je vais entrer tard, Nancy et moi, avons des petits problèmes à régler au bureau. Alors ne m’attend pas.
"Salope" pensa t-il
-Tu es là ? demanda t-elle
-Oui oui ok je vais lire un peu et me coucher fit-il
-Bye et elle raccrocha sans dire un seul mot d’amour ou autre chose.
"Putain de salope j’en ai rien a faire moi de ton crisss de bureau à la con, je t’emmerde puis tiens ton souper de merde" Il tira le boeuf et la soupe dans l’évier. Eteignit les chandelles et les foutu à la poubelle, prit la nappe la déchira. Quand il fut calmé il regarde la désastre.
"Qu’est qui m’arrive suis-je en train de devenir fou ?"
Il s’écrasa sur la chaise et pleura....
***********************************************
Sandra prit son service à 20h00 comme d’habitude le café était bondé à cette heure la. Les filles étaient sur les genoux. Il avait fait très encore aujourd’hui. L’intérieur du café était confortable. Elle travaillait depuis 2 ans dans ce café enfin de payé ses études. Elle rêvait de devenir enseigne au primaire et de voyager a travers le monde. Les gens qui la côtoyait disait d’elle que c’était une bonne personne, aimable toujours prête a aider.
Depuis quelques jours Sandra avait l’esprit tourmenté par sa rencontre avec cet inconnu. Si bref fut-elle, avait éveillé une émotion en elle. Elle guettait chaque client qui entrait espérant secrètement que ce serait lui. Elle regarde par la grande vitrine qui donnait sur la rue principale. Des travailleurs étaient à finir l installation du terrain de volley-ball. Bientôt il y aurait une grande foule. Cette année la ville avait décidé de tenir un tournoi sur le boulevard principal de la municipalité. Du sable avait été déposé en grande quantité au centre de la place.
"Je ne connais que son nom. Je suis vraiment idiote d’attendre comme ça. Et j’attends quoi et qui ?"La petite clochette d’entrée la ramena de ses pensées. Elle se retourna pour voir qui venant d’entrer. Hélas, la déception ce n’est pas celui qu’elle attendait. Elle ragea un peu contre elle-même et reprit son travail avec plus de vigueur.
La clochette raisonna encore. Sandra leva la tête ne pouvant résisté. "Grrr" fit-elle dans un murmure.
Une femme venait d’entrer. En faits, on aurait pu dire des yeux venait d entrée tant le bleu était pur azur. Ses cheveux noirs et longs semblaient voler autour de son visage rond. Un petit nez retroussé deux petites pommettes et une bouche tout a fait exacte avec des lèvres pulpeuses. Cette femme devait faire des ravages sur son passage.
Elle se dirigea vers le coin le plus sombre du café. Sa démarche montrait une certain classe. Elle faisait contraste avec les clients habituels. Si elle voulait passer inaperçu, elle avait très mal choisis l’endroit. Ce genre de femme sophistiquée n’était pas coutume. Elle s’assit et d un mouvement de la main nettoya la table. Déjà Sandra ne l aimait pas sans même la connaître. Elle s approcha d’elle.
-Vous désirez ! lui demanda Sandra
La femme prit tout son temps pour dévisager Sandra. C’était comme-ci elle la mettais à nue. Avec un haussement d épaule qui signifiait qu elle l avait mesuré pesé et jugé insignifiante.
-J’attends quelqu’un, alors je commanderai qu’a son arrivé. Mais avant serait-elle trop d’avoir un verre d’eau propre dit elle d’une voix sec et perché.
"Pétasse " pensa Sandra
-Bien sur madame fit Sandra en souriant de toutes ses dents.
***************************************************
Les voitures passaient dans la rue soulevant la poussière. Des papiers virevoltaient ici et là. Il se sentait bien seul. Il n’arrêtait pas de chercher pourquoi il n’était plus heureux. Une petite voix au fond de lui savait pourquoi. Mais il refusait de l’écouter. Il finit par faire quelques pas. Il passa devant les autres boutiques qui fermaient. Le soleil déclinait à l’horizon. Même ce spectacle merveilleux ne réussissait a lui donner un sourire. Les gens passaient autour de lui si pressés d’entrer chez eux. Il vit un café au coin de la rue. Il décida d’y entrer.
Le café était sombre et enfumé. Les toiles avaient été tirées pour empêcher le soleil d’y entrer. Des ventilateurs projetaient avec peine une fraîcheur. Quelques clients étaient assit aux tables. Ils semblaient tous fatigués. Une chanson de Joe Dassin roulait dans le juke-box. Il reconnu le titre ! Et si tu n’existait pas" Il s’approcha du comptoir service pour commander.
Quand il leva les yeux et rencontra des yeux si verts et profond que son coeur se mit a battre.
- Que puis-je pour vous ?
Il était suspendu, comme si il était dans un autre monde. Incapable de répondre. Il elle regardait, ses cheveux châtain descendant sur ses épaules entourant son visage ovale. Sa petite bouche semblait attendre de nombreux baisers. Il la dévisageait comme un adolescent. Des frissons électriques lui parcouraient le corps. Il n’avait pas ressentit chose de pareil depuis, depuis....si longtemps qu’il ne savait quoi en faire sauf qu il ne pouvait détacher son regard de cette inconnue......
-Monsieur ? Elle lui tendit une tasse de café.
-Oui ? finit-il par dire.
Pendant qu’elle lui versait le breuvage. Il se mit à rêver qu’il lui demandait à quelle heure elle finissait son travail et s’il elle pourrait envisagé d’aller marché avec lui ou prendre un verre quelque part.
-Dans 30 minutes monsieur et ca me ferait plaisir fit elle avec sourire.
-Quoi ? fit-il ne sachant de quoi elle parlait.
-Vous ne semblez pas être dans votre assiette. Je m appelle Sandra fit le jeune femme.
-Martin fit-il en attendant la main. Heu vous disiez ?
-Vous venez de me demandez si je voulais aller marcher avec vous et oui ça me plairait pourquoi pas !
***************************************************************
Il attendait à la sortie des employés se demandant qu’es qu il faisait là.
"Mais a quoi je pensais bordel " Il s’apprêtait a partir quand la porte s’ouvrit. Elle était la. Belle comme un lever de soleil. Son coeur battait à la folie. Il pouvait sentir son parfum qui lui enivrait le corps.
-Bonsoir fit-elle de sa voix chaude.
Il murmura un bonsoir. Il regardait ses lèvres avec un envie folle des les couvrir. Puis leva lentement les yeux pour se perdre dans l océan vert.
Elle fit un mouvement de tête ce qui le tira de sa stupeur.
-Un café où nous marchons fit il d’une voix mal assurée.
-Marchons un peu, ça va me faire du bien après une journée dans ce bar.
Ils marchèrent cote à cote. Dans un silence chacun dans ses pensées. "Elle est tellement belle Je me demande qui est-elle "
-Vous faites quoi dans la vie demande t-elle
Martin ce tourna vers elle
-Conseillé en orientation de la clientèle. "je ne peux quand même pas lui dire vendeur"
-Vous êtes marié ?
Martin détourna la tête et répondit
-Non et vous
-Non, j’ai pas rencontré celui qui fera battre mon coeur.
"Tant mieux" se dit-il
-Cela m’étonne vous êtes fort jolie Sandra. J’ai du mal a concevoir que vous n’ayez pas de petit ami.
-Les gens de mon age ne m intéresse pas. Il ne pense qu’à vous sauter en premier. Et vous Martin ?
-Moi, c’est une longue histoire qui n’est pas intéressante.
Ils arrivent à la marina. Quelques vagues remuaient sur le lac poussé par une brise chaude. Il regarda Sandra dont les cheveux volaient au vent. Elle avait fermé les yeux et semblait être presque en transe. Il n’osait faire de geste. Une pulsation lui montait à l’esprit. Il voulait l’embrasser. Il s approcha quand son téléphone cellulaire sonna. Tous les deux faillir mourir.
-Allo fit il avec une certaine rage.
**************************************
La soupe mijotait. Il préparait un boeuf a l ancien. Une recette qui venait de sa mère. La table était mise. Une jolie nappe de dentelle, des bougies. Il avait mise de la musique douce. Tout, lui paraissait parfait il ne manquait plus qu’elle.
"19h45 dans quelques minutes elle sera la. Juste le temps de prendre une douche." Il se dirigea vers la salle de bain quand le téléphone sonna. Une appréhension lui vint a l’esprit. Il secoua la tête en se disant qu’il devenait parano.
-Oui ? fit-il
-Chéri ! Je vais entrer tard, Nancy et moi, avons des petits problèmes à régler au bureau. Alors ne m’attend pas.
"Salope" pensa t-il
-Tu es là ? demanda t-elle
-Oui oui ok je vais lire un peu et me coucher fit-il
-Bye et elle raccrocha sans dire un seul mot d’amour ou autre chose.
"Putain de salope j’en ai rien a faire moi de ton crisss de bureau à la con, je t’emmerde puis tiens ton souper de merde" Il tira le boeuf et la soupe dans l’évier. Eteignit les chandelles et les foutu à la poubelle, prit la nappe la déchira. Quand il fut calmé il regarde la désastre.
"Qu’est qui m’arrive suis-je en train de devenir fou ?"
Il s’écrasa sur la chaise et pleura....
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Sandra prit son service à 20h00 comme d’habitude le café était bondé à cette heure la. Les filles étaient sur les genoux. Il avait fait très encore aujourd’hui. L’intérieur du café était confortable. Elle travaillait depuis 2 ans dans ce café enfin de payé ses études. Elle rêvait de devenir enseigne au primaire et de voyager a travers le monde. Les gens qui la côtoyait disait d’elle que c’était une bonne personne, aimable toujours prête a aider.
Depuis quelques jours Sandra avait l’esprit tourmenté par sa rencontre avec cet inconnu. Si bref fut-elle, avait éveillé une émotion en elle. Elle guettait chaque client qui entrait espérant secrètement que ce serait lui. Elle regarde par la grande vitrine qui donnait sur la rue principale. Des travailleurs étaient à finir l installation du terrain de volley-ball. Bientôt il y aurait une grande foule. Cette année la ville avait décidé de tenir un tournoi sur le boulevard principal de la municipalité. Du sable avait été déposé en grande quantité au centre de la place.
"Je ne connais que son nom. Je suis vraiment idiote d’attendre comme ça. Et j’attends quoi et qui ?"La petite clochette d’entrée la ramena de ses pensées. Elle se retourna pour voir qui venant d’entrer. Hélas, la déception ce n’est pas celui qu’elle attendait. Elle ragea un peu contre elle-même et reprit son travail avec plus de vigueur.
La clochette raisonna encore. Sandra leva la tête ne pouvant résisté. "Grrr" fit-elle dans un murmure.
Une femme venait d’entrer. En faits, on aurait pu dire des yeux venait d entrée tant le bleu était pur azur. Ses cheveux noirs et longs semblaient voler autour de son visage rond. Un petit nez retroussé deux petites pommettes et une bouche tout a fait exacte avec des lèvres pulpeuses. Cette femme devait faire des ravages sur son passage.
Elle se dirigea vers le coin le plus sombre du café. Sa démarche montrait une certain classe. Elle faisait contraste avec les clients habituels. Si elle voulait passer inaperçu, elle avait très mal choisis l’endroit. Ce genre de femme sophistiquée n’était pas coutume. Elle s’assit et d un mouvement de la main nettoya la table. Déjà Sandra ne l aimait pas sans même la connaître. Elle s approcha d’elle.
-Vous désirez ! lui demanda Sandra
La femme prit tout son temps pour dévisager Sandra. C’était comme-ci elle la mettais à nue. Avec un haussement d épaule qui signifiait qu elle l avait mesuré pesé et jugé insignifiante.
-J’attends quelqu’un, alors je commanderai qu’a son arrivé. Mais avant serait-elle trop d’avoir un verre d’eau propre dit elle d’une voix sec et perché.
"Pétasse " pensa Sandra
-Bien sur madame fit Sandra en souriant de toutes ses dents.
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Mar 07 Juin 2005, 22:52 par
JonPeters sur Histoires d'amour
tes yeux, trésor...
J’ai envie de te sourire, envie de te faire sourire maintenant, avec mes mots. Des mots qui, l’air de rien viendront là, tout près de toi, te frôleront, te toucheront et passeront comme ils sont arrivés ou bien resteront...il y a une place pour eux dans ton coeur, monange...peut-être alors feront-ils briller un peu plus intensément ton regard, celui qui s’offre au mien quand nous nous retrouvons.
Regard aimant, je le garde...regard triste, je le console...regard inquiet, je le rassure...regard tourmenté, je l’apaise...regard troublé, je l’aime...regard troublant, je m’y perds.
Regard aimant, je le garde...regard triste, je le console...regard inquiet, je le rassure...regard tourmenté, je l’apaise...regard troublé, je l’aime...regard troublant, je m’y perds.
Jeu 21 Avril 2005, 06:57 par
danslalune sur L'amour en vrac
Lundi après-midi
Dans la tourmente de ton ascension,
Dans le chagrin de ton obscession,
Emporte-moi,
Caresse-moi,
Epanouis-toi,
Ô mon âme, coule ta tendresse sauvage le long de ma rivière en feu,
Apaise notre envie de destruction maligne,
Engendre la crainte dans ta peur de mon noir,
Jouis de ton opiniâtreté et rassure ma véloce armure de ta douce attaque.
Les flots de nous s’envolent par-delà nos terreurs
Et déversent leur colère dans le trop-plein de nos caresses.
Transpire et assoupis-toi,
Crie et souffre de moi,
Je suis tienne et tu ne refuses pas,
L’allégresse de nos ardeurs comblées.
Découd ta bouche de ma peau,
Relève tes mains de mon être,
Notre amertume est terminée.
Tu repars loin de l’autre côté
De mes pensées infidèles.
Oh, couvre-moi de tes baisers fragiles,
L’incertitude de mes gestes dociles.
Tu es mien, tu me gouvernes,
Accroche ta vie à la mienne
Je suis tes pas à la dérive.
Merveilleux voyage de ma mine impatiente.
Dans le chagrin de ton obscession,
Emporte-moi,
Caresse-moi,
Epanouis-toi,
Ô mon âme, coule ta tendresse sauvage le long de ma rivière en feu,
Apaise notre envie de destruction maligne,
Engendre la crainte dans ta peur de mon noir,
Jouis de ton opiniâtreté et rassure ma véloce armure de ta douce attaque.
Les flots de nous s’envolent par-delà nos terreurs
Et déversent leur colère dans le trop-plein de nos caresses.
Transpire et assoupis-toi,
Crie et souffre de moi,
Je suis tienne et tu ne refuses pas,
L’allégresse de nos ardeurs comblées.
Découd ta bouche de ma peau,
Relève tes mains de mon être,
Notre amertume est terminée.
Tu repars loin de l’autre côté
De mes pensées infidèles.
Oh, couvre-moi de tes baisers fragiles,
L’incertitude de mes gestes dociles.
Tu es mien, tu me gouvernes,
Accroche ta vie à la mienne
Je suis tes pas à la dérive.
Merveilleux voyage de ma mine impatiente.
Ven 12 Nov 2004, 19:36 par
Iuina sur La vie à deux
Ces petits mots...
Avec tous ces petits mots,
Qui s’alignent sur ta peau,
Avec tous ces grands frissons,
Dis, on se pose pas de questions.
Une soirée dans un pré, éclairés d’une bougie,
Les rossignols martèlent de leurs chants,
Sifflent goulûment à la vie, déchirent la nuit.
Le temps, de s’arrêter, fait semblant.
Puis, le début, d’une valse lente,
Un mot, des rires, les caresses,
Il y a une complicité presque offensante,
Sous ces instants de tourmente.
Tu me prends la main, car ce soir,
Oui, tu vas me faire découvrir ton endroit à toi,
Ile secrète, ta cabane au fond des bois,
Ton lieu de solitude, ta cathédrale de désespoirs.
Nous marchons dans les herbes, les obstacles évitons,
Ta voix est calme, déterminée, tu me tiens fort la main,
Nous arrivons dans ton antre, ton boudoir à toi,
Les rais de lune auréolent cet endroit.
Cette clairière, au milieu des bois, isolée,
Et cette cabane, fière d’y trôner.
Nous escaladons, arrivons sur le foin, cela sent bon,
Il fait presque tiède, et pourtant, nous tremblons.
Sur ma tempe ta main, tendre, étonnée,
N’a cesse de m’arracher
A cette douce torpeur,
A cette envie de cocon tendrement enlacés.
Avec beaucoup de douceur et de fermeté
Ta main parcourt sur moi, la nuque, le cou,
Je sens ta chaleur, je te sens me convoiter,
J’aime ces mots, leur force, ils sont doux…
Ta main se fait de plus en plus expérimentée,
Sur mon dos, dessine des cercles entrelacés,
Je savoure, me laisse séduire par tant de talent,
Mon corps, hypnotisé, répond à tes douceurs tendrement.
Ces minutes semblent durer à jamais,
Rien ne bouge, pas un bruit, la nuit est comme arrêtée
Ces frissons montent , prennent leur temps,
Comme sous ta main, mon corps se fait docile, captivé.
Je t’encourage par des soupirs impossibles à réfréner,
Et, lentement, nous nous laissons glisser,
Vers les sulfureux délices
Et de leurs formidables abysses….
(Ce qu’il s’est passé ensuite, la question vous vous posez !
Ces instants trop intenses ne vous seront pas contés !
Ils sont gardés, en secret,
Tout au fond de mon jardinet….!)
De notre coma idyllique peu à peu,
Nous reprenons nos esprits,
Étonnés quelque peu,
De nous trouver ici….
Le silence, puis, peu à peu les bruits de la nuit,
Du foin dans les cheveux, tu souris,
Pas un mot, dans ce silence quasi-absolu,
Nos muscles engourdis, nos corps repus.
C’est un soir de plein lune,
De question aucune….
Un moment d’intense tendresse,
Et de terribles confesses…
Balade nocturne, entremêlée de frissons….
Avec tous ces petits mots
Ainsi que cette ponctuation,
Qui peu à peu… s’éteignent sur ta peau…
Qui s’alignent sur ta peau,
Avec tous ces grands frissons,
Dis, on se pose pas de questions.
Une soirée dans un pré, éclairés d’une bougie,
Les rossignols martèlent de leurs chants,
Sifflent goulûment à la vie, déchirent la nuit.
Le temps, de s’arrêter, fait semblant.
Puis, le début, d’une valse lente,
Un mot, des rires, les caresses,
Il y a une complicité presque offensante,
Sous ces instants de tourmente.
Tu me prends la main, car ce soir,
Oui, tu vas me faire découvrir ton endroit à toi,
Ile secrète, ta cabane au fond des bois,
Ton lieu de solitude, ta cathédrale de désespoirs.
Nous marchons dans les herbes, les obstacles évitons,
Ta voix est calme, déterminée, tu me tiens fort la main,
Nous arrivons dans ton antre, ton boudoir à toi,
Les rais de lune auréolent cet endroit.
Cette clairière, au milieu des bois, isolée,
Et cette cabane, fière d’y trôner.
Nous escaladons, arrivons sur le foin, cela sent bon,
Il fait presque tiède, et pourtant, nous tremblons.
Sur ma tempe ta main, tendre, étonnée,
N’a cesse de m’arracher
A cette douce torpeur,
A cette envie de cocon tendrement enlacés.
Avec beaucoup de douceur et de fermeté
Ta main parcourt sur moi, la nuque, le cou,
Je sens ta chaleur, je te sens me convoiter,
J’aime ces mots, leur force, ils sont doux…
Ta main se fait de plus en plus expérimentée,
Sur mon dos, dessine des cercles entrelacés,
Je savoure, me laisse séduire par tant de talent,
Mon corps, hypnotisé, répond à tes douceurs tendrement.
Ces minutes semblent durer à jamais,
Rien ne bouge, pas un bruit, la nuit est comme arrêtée
Ces frissons montent , prennent leur temps,
Comme sous ta main, mon corps se fait docile, captivé.
Je t’encourage par des soupirs impossibles à réfréner,
Et, lentement, nous nous laissons glisser,
Vers les sulfureux délices
Et de leurs formidables abysses….
(Ce qu’il s’est passé ensuite, la question vous vous posez !
Ces instants trop intenses ne vous seront pas contés !
Ils sont gardés, en secret,
Tout au fond de mon jardinet….!)
De notre coma idyllique peu à peu,
Nous reprenons nos esprits,
Étonnés quelque peu,
De nous trouver ici….
Le silence, puis, peu à peu les bruits de la nuit,
Du foin dans les cheveux, tu souris,
Pas un mot, dans ce silence quasi-absolu,
Nos muscles engourdis, nos corps repus.
C’est un soir de plein lune,
De question aucune….
Un moment d’intense tendresse,
Et de terribles confesses…
Balade nocturne, entremêlée de frissons….
Avec tous ces petits mots
Ainsi que cette ponctuation,
Qui peu à peu… s’éteignent sur ta peau…
Lun 26 Avril 2004, 23:52 par
à mon étoile sur Les liaisons sulfureuses
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