Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur trahit
Triste poésie
Le regard triste et le visage amaigri,
Dissimulant par des sourires, ce qui ronge sa vie,
Emprisonnée d’un amour tyrannique sans limite,
Vivant dans le déni de ce que chaque jour, elle subit,
Le moindre coup dur, tour à tour la détruit.
Ses rêves et ses joies ne sont plus que des miettes,
Enterrés par les actes de ce type qui la maltraite,
Bafouant les lois, son esprit et son corps il meurtrit,
Elle qui croyait en lui, son amour il a trahit.
Le miroir ne reflète que le teint de sa mine blafarde,
Epuisée par la haine et la rage dont il la bombarde,
Ses mots sont des armes auxquelles elle répond par les larmes,
Ses coups de trop sont des couteaux qui déchirent sa peau,
Ennivrant son corps d’un breuvage passionnel,
Qui n’a rien de charnel.
Drôle de dame que cette femme éprise d’amour pour un fou,
Cet homme sans âme ni charme qui la met à genou.
Elle se complaît sans répit dans ce drame qu’est sa vie,
Malgré les souffrances que lui valent sa dépendance,
Portant sa passion destructrice à l’apogée du vice,
Elle prône le silence qui la mène vers sa dernière danse,
Où un air mélodieux la berce en pleine utopie.
Il lui construit un avenir bien digne d’une chimère,
Un monde tant convoité où elle pourrait être mère,
Et lui, prendrait la place de ce père éphémère,
Il le lui a promis, il n’y aura point d’adultère.
Prisonnière d’une tour de verre et d’un amour bien amère,
Elle songe enfin à s’échapper vers un autre univers,
Ne supportant plus le poids des actes de son infidèle,
Elle ne s’y méprend plus, il lui a brûlé les ailes.
La flamme de son coeur à petit feu se meurt,
Plus de place pour la peur et encore moins pour les pleurs,
La passion laissant place à des cendres endiablées,
Des sentiments de glaces, aucun meuble à sauver,
C’est sans le moindre regret, ni même se retourner,
Qu’un beau matin d’été, loin de lui elle s’en est allée.
Dissimulant par des sourires, ce qui ronge sa vie,
Emprisonnée d’un amour tyrannique sans limite,
Vivant dans le déni de ce que chaque jour, elle subit,
Le moindre coup dur, tour à tour la détruit.
Ses rêves et ses joies ne sont plus que des miettes,
Enterrés par les actes de ce type qui la maltraite,
Bafouant les lois, son esprit et son corps il meurtrit,
Elle qui croyait en lui, son amour il a trahit.
Le miroir ne reflète que le teint de sa mine blafarde,
Epuisée par la haine et la rage dont il la bombarde,
Ses mots sont des armes auxquelles elle répond par les larmes,
Ses coups de trop sont des couteaux qui déchirent sa peau,
Ennivrant son corps d’un breuvage passionnel,
Qui n’a rien de charnel.
Drôle de dame que cette femme éprise d’amour pour un fou,
Cet homme sans âme ni charme qui la met à genou.
Elle se complaît sans répit dans ce drame qu’est sa vie,
Malgré les souffrances que lui valent sa dépendance,
Portant sa passion destructrice à l’apogée du vice,
Elle prône le silence qui la mène vers sa dernière danse,
Où un air mélodieux la berce en pleine utopie.
Il lui construit un avenir bien digne d’une chimère,
Un monde tant convoité où elle pourrait être mère,
Et lui, prendrait la place de ce père éphémère,
Il le lui a promis, il n’y aura point d’adultère.
Prisonnière d’une tour de verre et d’un amour bien amère,
Elle songe enfin à s’échapper vers un autre univers,
Ne supportant plus le poids des actes de son infidèle,
Elle ne s’y méprend plus, il lui a brûlé les ailes.
La flamme de son coeur à petit feu se meurt,
Plus de place pour la peur et encore moins pour les pleurs,
La passion laissant place à des cendres endiablées,
Des sentiments de glaces, aucun meuble à sauver,
C’est sans le moindre regret, ni même se retourner,
Qu’un beau matin d’été, loin de lui elle s’en est allée.
Sam 08 Jan 2011, 23:51 par
Atina sur L'amour en vrac
Morphine [Yaoi]
5. Aiguille
Ils se levèrent sans se lâcher et retournèrent à deux dans la cuisine. Ils ouvrirent le frigidaire une seconde fois. Ils prirent alors tout l’alcool qu’ils purent y trouver. Bière, vodka, whisky, passoa, smirnoff. Tout. Ils débouchèrent toutes les bouteilles, pataugeant dans la flaque de lait qui trempait toujours le carrelage. Puis, les bouteilles dans les bras, ils retournèrent au salon. Là allait commencer la dernière partie. La plus dangereuse. Mais seul Bill savait. Il savait ce qu’il ferait, car après ça, il savait comment ils réagiraient tout les deux. Il avait soigneusement caché le couteau sous les coussins du canapé.
Tom prit une première bouteille, sans regarder ce que c’était, et la fit boire à Bill, presque d’une traite. Celui-ci toussa car l’alcool lui brûlait la gorge: whisky, le plus fort. Il prit à son tour n’importe quelle bouteille et soumit Tom à la boire. Ça pétillait et c’était sucrée: smirnoff, le plus léger. Puis Tom s’aggripa à Bill et le fit s’allonger de force. Celui-ci gémissait déjà. Tom lécha son sexe, le mordilla, le suça, fit comme s’il aspirait une paille. Bill griffait les coussins du canapé et soupirait très fort, si fort que ça ressemblait à des cris. Il se griffait même tout seul jusqu’au sang. Tom s’arrêta un instant pour boire, puis cloua le goulot de la bouteille dans la bouche de son petit frère, qui étouffait à moitié, toujours allongé. Il y avait de la boisson partout. Tom reversa le reste de la bouteille sur tout le corps de Bill et le lécha. Puis il reprit son affaire. Bill s’arrêta de respirer au moment de l’orgasme, fermant les yeux, serrant les dents, enfonçant ses ongles dans sa peau. Tom avala la semence de son frère avait de remonter à ses lèvres qu’il mordit, les faisait saigner. Bill faisait de même en mordant sa langue et en griffant son dos.
Puis Tom passa à la vitesse supérieur, car le temps les pressait. Après avoir vider une autre bouteille avec son frère, il le retourna et lui fit écarter les jambes jusqu’à ce qu’il est mal. Puis il mordit ses petites fesses, tout en passant son doigt sur l’orifice. Bill gémissait de plaisir, il croulait. Malgré tout, il pleurait, car l’aiguille s’approchait de la fin à une vitesse trop alarmante. Sans prévenir, Tom enfonça son index, Bill tressaillit. Il remua son doigt, le faisait aller et venir, le tournant puis ajouta son majeur. Le petit frère n’en pouvait plus de soupirer, il attrapa une nouvelle bouteille, qu’il tendit à Tom à moitié vide. Tom retira ses doigts et pénétra son frère avec son sexe. Bill avait mal, c’était sa première fois. Le grand frère ne bougea pas vraiment au début, laissant le petit frère s’habituer à son intrusion tout en caressant ses côtes. Puis il se mit en route, allant et venant, partant et revenant, accélérant et ralentissant, tournant à gauche ou à droite. Bill… se mordait tellement c’était intense. Puis il sentit les violentes pulsions du sexe de Tom qui venait d’atteindre le septième ciel. Lequel se retira.
Puis ils finirent les bouteilles, devenant vraiment ivres. Mais ils restaient étonnement maître d’eux. Bill, par pure volonté, se jeta sur Tom, le faisant tomber et le claquant sur le sol. Il le mordait sauvagement, enfonçant ses dents, sur sa poitrine, dans son cou, sur ses joues. Tom saignait beaucoup et commençait à se demander pourquoi Bill faisait ça. Ce dernier se rattrapa en s’introduisant en lui, le faisant jouir et couiner, tout en jouant avec son sexe en même temps. Tom ne se rendait pas compte une seule seconde que la fin approchait, et Bill cachait soigneusement ses larmes. Le sent se mêlait à l’alcool par terre et Tom baignait dedans. Il ne voyait pas Bill sangloter. Il le sentait juste s’activer en lui, jusqu’à ce qu’il s’arrête, épuisé. Lui aussi saignait. Il embrassa follement son frère. Tous les deux avaient du sang sur les lèvres. Bill plantait ses ongles partout sur le torse du pauvre Tom qui commençait à se débattre. Il ne voulait plus, Bill était fou, trop ivre. Mais en fait non, Bill n’était pas si ivre que ça et, assit à califourchon sur le bassin de son frère, il le coinçait entre la table de salon et le canapé. Tom commença à avoir peur et repoussa son frère. Mais celui-ci résista. Il continua de l’embrasser, de morde ses lèvres et sa langue. Tom criait et s’agitait.
Bill s’arrêta soudainement se redressant un peu. Il regardait Tom en souriant. Lui il ne souriait pas du tout. Il souffrait, mais Bill aussi avait mal. Mais c’était fait exprès. Bill ne prit pa le temps de lui expliquait, l’heure redoutée sonnait. Il prit le couteau caché entre les coussins tout en restant assit sur Tom. Ce dernier s’apeura à sa vue. Mais Bill ne lui laissa pas le temps de paniquer. Il enfonça résolument la lame dans la poitrine de son frère, lequel le regardait sans vraiment comprendre. Là, il fallait faire vite pour qu’il voit que Bill ne le trahit pas. L’androgyne retira le lame du corps encore vivant de son frère puis l’enfonça dans sa propre poitrine. Tom comprit, il sourit. Bill retira la lame et s’allongea sur lui. Ils eurent simplement le temps de s’enlacer et de se serrer ensemble avant que leurs deux cœurs de s’arrêtent exactement au même moment. Ils étaient partit tout les deux vers un autre monde pour une nouvelle aventure qui pourrait durer.
Dans le salon, l’aiguille était arrêtée. Elle sonnait toute seule, ça faisait des années que sa sonnerie ne marchait plus. Elle pleurait, la petite aiguille, elle se serrait en bas du cadran avec sa grande sœur.
Les âmes habitant le corps des jumeaux s’extirpèrent, enlacées, des ailes dans le dos, voguant pour une autre vie, quelque part, à deux, rien qu’à deux. Leur amour continuerait là haut, que les anges le veuillent ou non.
Le temps s’était arrêté, mais pour eux, tout allait continuer…
Fin
Lyra
Ils se levèrent sans se lâcher et retournèrent à deux dans la cuisine. Ils ouvrirent le frigidaire une seconde fois. Ils prirent alors tout l’alcool qu’ils purent y trouver. Bière, vodka, whisky, passoa, smirnoff. Tout. Ils débouchèrent toutes les bouteilles, pataugeant dans la flaque de lait qui trempait toujours le carrelage. Puis, les bouteilles dans les bras, ils retournèrent au salon. Là allait commencer la dernière partie. La plus dangereuse. Mais seul Bill savait. Il savait ce qu’il ferait, car après ça, il savait comment ils réagiraient tout les deux. Il avait soigneusement caché le couteau sous les coussins du canapé.
Tom prit une première bouteille, sans regarder ce que c’était, et la fit boire à Bill, presque d’une traite. Celui-ci toussa car l’alcool lui brûlait la gorge: whisky, le plus fort. Il prit à son tour n’importe quelle bouteille et soumit Tom à la boire. Ça pétillait et c’était sucrée: smirnoff, le plus léger. Puis Tom s’aggripa à Bill et le fit s’allonger de force. Celui-ci gémissait déjà. Tom lécha son sexe, le mordilla, le suça, fit comme s’il aspirait une paille. Bill griffait les coussins du canapé et soupirait très fort, si fort que ça ressemblait à des cris. Il se griffait même tout seul jusqu’au sang. Tom s’arrêta un instant pour boire, puis cloua le goulot de la bouteille dans la bouche de son petit frère, qui étouffait à moitié, toujours allongé. Il y avait de la boisson partout. Tom reversa le reste de la bouteille sur tout le corps de Bill et le lécha. Puis il reprit son affaire. Bill s’arrêta de respirer au moment de l’orgasme, fermant les yeux, serrant les dents, enfonçant ses ongles dans sa peau. Tom avala la semence de son frère avait de remonter à ses lèvres qu’il mordit, les faisait saigner. Bill faisait de même en mordant sa langue et en griffant son dos.
Puis Tom passa à la vitesse supérieur, car le temps les pressait. Après avoir vider une autre bouteille avec son frère, il le retourna et lui fit écarter les jambes jusqu’à ce qu’il est mal. Puis il mordit ses petites fesses, tout en passant son doigt sur l’orifice. Bill gémissait de plaisir, il croulait. Malgré tout, il pleurait, car l’aiguille s’approchait de la fin à une vitesse trop alarmante. Sans prévenir, Tom enfonça son index, Bill tressaillit. Il remua son doigt, le faisait aller et venir, le tournant puis ajouta son majeur. Le petit frère n’en pouvait plus de soupirer, il attrapa une nouvelle bouteille, qu’il tendit à Tom à moitié vide. Tom retira ses doigts et pénétra son frère avec son sexe. Bill avait mal, c’était sa première fois. Le grand frère ne bougea pas vraiment au début, laissant le petit frère s’habituer à son intrusion tout en caressant ses côtes. Puis il se mit en route, allant et venant, partant et revenant, accélérant et ralentissant, tournant à gauche ou à droite. Bill… se mordait tellement c’était intense. Puis il sentit les violentes pulsions du sexe de Tom qui venait d’atteindre le septième ciel. Lequel se retira.
Puis ils finirent les bouteilles, devenant vraiment ivres. Mais ils restaient étonnement maître d’eux. Bill, par pure volonté, se jeta sur Tom, le faisant tomber et le claquant sur le sol. Il le mordait sauvagement, enfonçant ses dents, sur sa poitrine, dans son cou, sur ses joues. Tom saignait beaucoup et commençait à se demander pourquoi Bill faisait ça. Ce dernier se rattrapa en s’introduisant en lui, le faisant jouir et couiner, tout en jouant avec son sexe en même temps. Tom ne se rendait pas compte une seule seconde que la fin approchait, et Bill cachait soigneusement ses larmes. Le sent se mêlait à l’alcool par terre et Tom baignait dedans. Il ne voyait pas Bill sangloter. Il le sentait juste s’activer en lui, jusqu’à ce qu’il s’arrête, épuisé. Lui aussi saignait. Il embrassa follement son frère. Tous les deux avaient du sang sur les lèvres. Bill plantait ses ongles partout sur le torse du pauvre Tom qui commençait à se débattre. Il ne voulait plus, Bill était fou, trop ivre. Mais en fait non, Bill n’était pas si ivre que ça et, assit à califourchon sur le bassin de son frère, il le coinçait entre la table de salon et le canapé. Tom commença à avoir peur et repoussa son frère. Mais celui-ci résista. Il continua de l’embrasser, de morde ses lèvres et sa langue. Tom criait et s’agitait.
Bill s’arrêta soudainement se redressant un peu. Il regardait Tom en souriant. Lui il ne souriait pas du tout. Il souffrait, mais Bill aussi avait mal. Mais c’était fait exprès. Bill ne prit pa le temps de lui expliquait, l’heure redoutée sonnait. Il prit le couteau caché entre les coussins tout en restant assit sur Tom. Ce dernier s’apeura à sa vue. Mais Bill ne lui laissa pas le temps de paniquer. Il enfonça résolument la lame dans la poitrine de son frère, lequel le regardait sans vraiment comprendre. Là, il fallait faire vite pour qu’il voit que Bill ne le trahit pas. L’androgyne retira le lame du corps encore vivant de son frère puis l’enfonça dans sa propre poitrine. Tom comprit, il sourit. Bill retira la lame et s’allongea sur lui. Ils eurent simplement le temps de s’enlacer et de se serrer ensemble avant que leurs deux cœurs de s’arrêtent exactement au même moment. Ils étaient partit tout les deux vers un autre monde pour une nouvelle aventure qui pourrait durer.
Dans le salon, l’aiguille était arrêtée. Elle sonnait toute seule, ça faisait des années que sa sonnerie ne marchait plus. Elle pleurait, la petite aiguille, elle se serrait en bas du cadran avec sa grande sœur.
Les âmes habitant le corps des jumeaux s’extirpèrent, enlacées, des ailes dans le dos, voguant pour une autre vie, quelque part, à deux, rien qu’à deux. Leur amour continuerait là haut, que les anges le veuillent ou non.
Le temps s’était arrêté, mais pour eux, tout allait continuer…
Fin
Lyra
Sam 24 Mars 2007, 14:14 par
Lyra sur Les liaisons sulfureuses
Jeux de regards
Il est des regards obséquieux, obsédants..
Un regard troublant, un regard qui me sourit,
Un regard que la raison trahit,
Le pire est le faux-semblant, le faux-fuyant..
Ce regard blafard, hagard
Qui défie ma colère, fait trembler ma rage
Ce regard con_descendant
Je le toise de ma prunelle glacée_glaciale
Mon iris vert vire au noir
Le violente en silence pour ne pas céder..
Qu’il ose se poser une seconde
Sur la douceur de l’amour de ma vie
Qu’il essaie juste un instant de le scruter ..
Et je lui darde une oeillade fulgurante ..
Puis, les yeux bandés,
Je finis par loucher ma jalousie,
Bourreau de ma vie, sans répit..
Tu me fais les yeux doux,
Voulant te faire mon garde_fou
Je voudrais tant m’y noyer,
Sans douleur, sans pudeur,
Sans paroles,
Juste ton regard dans le mien,
Ma main dans la tienne..
Joue moi nos coeurs à quatre yeux,
Le mien ne bat que pour essayer d’y croire,
Fais vite, il lutte, il s’essouffle.
Un regard troublant, un regard qui me sourit,
Un regard que la raison trahit,
Le pire est le faux-semblant, le faux-fuyant..
Ce regard blafard, hagard
Qui défie ma colère, fait trembler ma rage
Ce regard con_descendant
Je le toise de ma prunelle glacée_glaciale
Mon iris vert vire au noir
Le violente en silence pour ne pas céder..
Qu’il ose se poser une seconde
Sur la douceur de l’amour de ma vie
Qu’il essaie juste un instant de le scruter ..
Et je lui darde une oeillade fulgurante ..
Puis, les yeux bandés,
Je finis par loucher ma jalousie,
Bourreau de ma vie, sans répit..
Tu me fais les yeux doux,
Voulant te faire mon garde_fou
Je voudrais tant m’y noyer,
Sans douleur, sans pudeur,
Sans paroles,
Juste ton regard dans le mien,
Ma main dans la tienne..
Joue moi nos coeurs à quatre yeux,
Le mien ne bat que pour essayer d’y croire,
Fais vite, il lutte, il s’essouffle.
Lun 20 Fév 2006, 01:45 par
Luna_Lou sur Mille choses
Rêve ou réalité
Pour celle qui m’a fait découvrir ce site... Elle trouvera suffisamment d’indices dans ce texte pour se reconnaitre...
Les 4 premiers vers sont de Musset... Ils ont été une révélation pour moi et j’ai décidé quelques jours, après les avoir lus, d’en écrire une suite personnelle...
"Une heure est à Venise, heure des sérénades,
Lorsqu’autour de minuit, sous les sombres arcades,
Les pieds dans la rosée, et son masque à la main,
Une nuit de printemps joue avec le matin."
"Tourbillon de la vie, mélangeant nos désirs,
L’Amour nous réunit, à chacun de saisir
Le trait que Cupidon, invisible nous lance.
Le cœur battant plus fort, imprime la cadence
Qui régit chaque instant d’un quotidien morose.
L’aube déchire enfin d’une lumière rose
Le manteau cotonneux qui masquait l’horizon,
La chaleur m’envahit et je perds la raison,
Ma vision me trahit : Venise est à Paris !
D’un jardin endormi, une nymphe me sourit…
Je dépose cape et masque à ses pieds aussitôt
Si ces vers lui ont plu, elle le dira tantôt,
Des années de perdues à caresser l’espoir
De sauver un amour pâlissant dans le noir.
Ayant cru trouver la Pierre Philosophale,
L’Alchimie délicate s’est avérée fatale.
Deux cœurs se sont brisés, retombant dans l’oubli,
Le voile est déchiré, séparant de ses plis,
Deux amants enlacés que l’amour a quittés.
Le Temps a fait son œuvre, l’Hiver après l’Eté.
Mais la flamme magique qui sommeille dans mon cœur
Attendit le signal du retour au bonheur."
J’y ajouterai en guise de dédicace codée :
"Merci pour vos messages et pour leur contenu,
En un mot comme en cent, merci Douce Inconnue.
Pour terminer enfin avec toutes ces rimes,
Acceptez cet hommage en gage de mon estime."
Les 4 premiers vers sont de Musset... Ils ont été une révélation pour moi et j’ai décidé quelques jours, après les avoir lus, d’en écrire une suite personnelle...
"Une heure est à Venise, heure des sérénades,
Lorsqu’autour de minuit, sous les sombres arcades,
Les pieds dans la rosée, et son masque à la main,
Une nuit de printemps joue avec le matin."
"Tourbillon de la vie, mélangeant nos désirs,
L’Amour nous réunit, à chacun de saisir
Le trait que Cupidon, invisible nous lance.
Le cœur battant plus fort, imprime la cadence
Qui régit chaque instant d’un quotidien morose.
L’aube déchire enfin d’une lumière rose
Le manteau cotonneux qui masquait l’horizon,
La chaleur m’envahit et je perds la raison,
Ma vision me trahit : Venise est à Paris !
D’un jardin endormi, une nymphe me sourit…
Je dépose cape et masque à ses pieds aussitôt
Si ces vers lui ont plu, elle le dira tantôt,
Des années de perdues à caresser l’espoir
De sauver un amour pâlissant dans le noir.
Ayant cru trouver la Pierre Philosophale,
L’Alchimie délicate s’est avérée fatale.
Deux cœurs se sont brisés, retombant dans l’oubli,
Le voile est déchiré, séparant de ses plis,
Deux amants enlacés que l’amour a quittés.
Le Temps a fait son œuvre, l’Hiver après l’Eté.
Mais la flamme magique qui sommeille dans mon cœur
Attendit le signal du retour au bonheur."
J’y ajouterai en guise de dédicace codée :
"Merci pour vos messages et pour leur contenu,
En un mot comme en cent, merci Douce Inconnue.
Pour terminer enfin avec toutes ces rimes,
Acceptez cet hommage en gage de mon estime."
Jeu 03 Fév 2005, 22:03 par
Vénitien sur La séduction
Voyage au pays des elfes
C’était une aube magnifique, qui n’avait rien à envier au plus beau des couchers de soleil. Le ciel s’illuminait de toutes les teintes de violet jusqu’au rose, une aube laissant deviner une belle journée ensoleillée.
Lilou, princesse du pays des papillons, voletait de-ci de-là au dessus des fleurs d’un magnifique jardin dont les senteurs se réveillaient tout doucement sous la chaleur naissante du soleil... elle était belle ce matin, très en forme et chantonnait tout en passant d’une fleur à l’autre; se désaltérant sur les pétales veloutées d’une belle rose pourpre.
Elle choisit un beau lys blanc au parfum envoûtant pour faire sa toilette. Au même moment, Yanis roi des Elfes cherchait quelque nourriture pour son petit déjeuner. Il entend la voix cristalline de la divine princesse et cherche à voir d’où vient cette douce musique, il la voit, touché par tant de grâce, il se pose sur le pommier en fleur qui surplombe la belle.
Il est ému par la beauté de la femme papillon, c’est une jolie jeune femme au corps de jolies proportions, de longs cheveux noirs encadrent un visage à l’ovale parfait, de grands yeux violets illuminent son regard bordé de longs cils; une bouche pulpeuse, finement ourlée du plus beau rose, un joli nez un peu retroussé et fin.
Elle est nue comme toutes les femmes de sa race, nue, sauf une ceinture de fleurs joliment tressée qui descend, pudiquement, sur son pubis. Elle se lave, ignorant que quelqu’un la regarde, d’une pétale de fleur, elle se savonne le corps, elle s’attarde sur ses beaux seins généreux qui dardent leur pointes sous la caresse. Elle descend et c’est au tour de ses longues jambes...interminables au galbe parfait...elle déploie ses grandes ailes finement ciselées...quel chatoiement de couleurs...du bleu foncé au mauve, de petites touches de rose aussi et le tout pailleté d’argent...elle les fait battre tout doucement pour les sécher.
Yanis ne bouge plus, il respire à peine, la belle l’émerveille. Son corps commence à vibrer à la vue de tant de sensualité. Le battement des ailes lui envoie une bouffée de son doux parfum. Oh, comme il la désire! Il faut qu’il l’approche, mais comment faire? Il ne veut pas qu’elle puise deviner qu’il l’a épiée en un moment si intime.
Il prend son envol et va se poser un peu plus loin, priant pour qu’elle passe devant lui. La belle n’est pas sotte, elle l’a vue du coin de l’œil se poser sur l’arbre elle l’a trouvé si beau que troublée elle s’est laissée regarder.
Elle se tourne, se cache derrière le feuillage luxuriant des ancolies et l’observe à son tour, il s’affaire dans la cueillette de baies appétissantes, hum, elle a faim elle aussi. Aussi blond qu’elle est brune, il porte les cheveux longs sur la nuque et frisés, il a de magnifiques yeux bleus. Son corps n’a rien à envier aux sportifs de la Grèce antique. Ses muscles roulent sous l’effort et il arbore de beaux abdominaux bien dessinés. Il porte juste un pagne fait de feuilles fraîches, ses cuisses laissent voir sa puissance de male. Ses ailes repliées laissent deviner leur beauté, elles sont colorées de multiples dégradés de bleus et pailletées de jaune et d’or.
Elle le regarde surprise de ces sensations inconnues qui montent en elle. Quelle est cette chaleur au fond de son bas ventre qui irradie en elle un plaisir naissant. Elle s’avance effrontée, que faire, que dire? Elle ne veut pas le perdre! Il s’immobilise, il lui tourne le dos mais sent sa présence, il ferme les yeux, les sens en éveil, il la respire, perçoit son odeur de Lys. Il se retourne tout doucement, et si elle disparaissait, si elle n’était que mirage?
Ils sont face à face, plus de bruit, plus de pépiement d’oiseaux comme si la nature retenait son souffle, étonnée par tant de beauté réunie...Il lui sourit s’attendant à tout moment qu’elle s’évanouisse , simple illusion. Elle lui répond et il sait alors qu’elle est bien réelle. Le soleil complice les illumine de sa chaude lumière. Il se penche, ramassant une fleur, orchidée assortie à ses yeux et s’approche tout doucement la lui accrocher dans les cheveux...ils n’échangent aucun mots, ils sont superflus. L’air vibre d’amour et de désir autour d’eux.
Elle lui tend la main et il la prend, l’attirant vers un lit de mousse, moelleux tapis où ils s’installent. Ils piochent chacun à leur tour dans la provision de baies sucrées se donnant la becquée tour à tour. Il glisse les doigts dans sa bouche, elle lèche les délicatement le regardant droit dans les yeux. Elle en fait de même; il attrapé sa main et l’embrasse au creux de la paume, du poignet, de l’avant bras, du coude, sur l’épaule, au creux du cou. Il lui susurre des mots d’amour au creux de l’oreille, doux langage qui la trouble au plus profond de son être.
Elle ferme les yeux, s’allonge et s’abandonne à ses caresses. Il n’est que force et se fait douceur, la caressant partout de ses larges mains; elle se cambre sous le plaisir qui l’envahie. Ses mains partent du cou et descendent en coupe sur les seins tendus, il agace les deux pointes de ses pouces et index, les faisant rouler. Elle gémie et ça l’excite, son sexe vient se dresser d’un cran de plus...ohhh, ces seins ! il les palpe, les savoure, prenant les pointes dans sa bouche tour à tour, elle est si cambrée qu’il passe un main sous ses reins pour les caresser.
Il touche la naissance de ses fesses, sa peau est une merveille de douceur. Ses mains sont comme aimantées, il ne pourra plus la lâcher. Il descend encore plus bas sans cesser de l’embrasser, déposant des coups de langue de-ce de-là, glissant le bout de sa langue dans le nombril. Il est sur ses cuisses prenant bien soin d’en éviter le centre, préférant la faire languir un peu. Elle écarte les jambes lui signifiant qu’il est temps de butiner son bouton d’amour. Soit, il s’y dirige avec une lenteur calculée, il y est; mon dieu, elle est si mouillée, quel divin nectar, la reine des fleurs. Il en écarte les pétales veloutées et va s’y enivrer. Son sexe est tellement dressé qu’il lui fait mal, il n’a jamais désiré quelqu’un comme elle.
Ne pas s’affoler, il faut l’honorer comme il se doit. Il prend son bouton en bouche et le tête tout doucement., il le lâche, tourne autour, lèche la surface de son sexe émoustillé, il veut la pénétrer de sa langue et , surprise, la belle est vierge! Très ému par le cadeau qu’elle lui fait, il s’applique à la caresse, il ne veut pas la blesser; la sentant pas loin de l’orgasme, il retourne vers son clitoris et d’un doigt doux et chaud s’active sur le petit gland dressé.
Elle resserre les jambes et secouée de soubresaut se met à pousser des petits cris plaintif de jouissance extrême. Ohhh, cette vague de chaleur soudaine qui l’envahie des pieds à la tête, elle n’aurait cru pareille sensation possible, elle vole mais ne se sert pas de ses belles ailes, elle plane dans le soleil sentant sa lumière et sa chaleur.
Il la prend dans ses bras, la laissant savourer la jouissance, il l’accompagne dans sa descente sur terre en la berçant et en lui disant des mots doux. Elle se sent si bien, elle veut le caresser à son tour, elle ne sait comment faire pour donner du plaisir à un homme, elle fait confiance au désir qu’elle a de le toucher, de l’embrasser. Elle le caresse comme il l’a caressé, sans précipitation, elle découvre son sexe un peu inquiète de ce qu’elle voit.
Le gland est énorme sous le puissant désir qu’il a d’elle, gorgé du plus doux des sucs, elle le veut dans sa bouche. Elle le déguste, elle aime son goût et sa douceur. Humm ! elle ne s’en lasse pas, le faisant sortir de sa bouche pour mieux l’aspirer à nouveau, elle en est gourmande, elle le lèche, s’attardant sur le prépuce puis sur le méat, étonnée de la saveur sucrée de la goûte qui y perle, elle monte et descend, l’engloutissant de plus en plus profondément;
Elle masse ses deux belles boules et les lèches aussi goulûment. Il est comme fou sous sa caresse et bredouille des mots sans queue ne tête. Elle a de nouveau envie de lui, envie qu’il la pénètre malgré la peur de la douleur. Elle vient donc s’allonger à ses côtés et d’une voix rauque d’où on sent tant d’émotions elle lui dit:
- "fais-moi l’amour mon coeur, fais-moi femme".
Tant de douceur, de désir et d’abandon le tétanise, son sexe pourtant bien dur, se raffermit encore! Il se positionne au dessus d’elle, choisissant une position pas bien originale mais dans laquelle il pourra maîtriser toute sa fougue. Il place son gland à l’entrée de son puits d’amour, dont il allait être le premier visiteur. Lentement, sans à-coup, il commence à s’introduire dans ce fourreau de soie dont la chaleur et la moiteur trahit le plaisir qu’il lui donne.
Lorsqu’il fût au contact de la fine membrane qui protége l’entrée, il cesse la progression pour qu’elle se détende, elle le saisit aux hanches dans un geste d’acceptation totale et puis tout doucement, il appuie pour franchir cette barrière de chair. Dans un petit cri, elle l’enlace et comme il ne bouge plus, craintif, elle l’encourage avec un râle de plaisir.
Alors, il accentue ses mouvements et en quelques va et viens la fait devenir femme, ils gémissent de concert, s’accordant dans cette danse du plaisir. Ses puissants coup de reins les amènent au portes du plaisir sentant sa jouissance monter, il déplie ses grandes ailes, les couvrant à tous deux de poussière dorée et c’est à ce moment là qu’elle atteint le plaisir pour la deuxième fois en sentant sa chaude semence l’inonder au plus profond de son corps. Une nuée de papillons multicolores prend son envol mais bien moins haut que là où se trouvent Yanis et Lilou.
Si vous vous levez, à l’aube, un de ces jours, au moment où le ciel se pare de mille teintes, vous les verrez certainement voletant main dans la main parmi les fleurs, rois des cieux accompagnés de leurs enfants aux couleurs éclatantes ...
Lilou, princesse du pays des papillons, voletait de-ci de-là au dessus des fleurs d’un magnifique jardin dont les senteurs se réveillaient tout doucement sous la chaleur naissante du soleil... elle était belle ce matin, très en forme et chantonnait tout en passant d’une fleur à l’autre; se désaltérant sur les pétales veloutées d’une belle rose pourpre.
Elle choisit un beau lys blanc au parfum envoûtant pour faire sa toilette. Au même moment, Yanis roi des Elfes cherchait quelque nourriture pour son petit déjeuner. Il entend la voix cristalline de la divine princesse et cherche à voir d’où vient cette douce musique, il la voit, touché par tant de grâce, il se pose sur le pommier en fleur qui surplombe la belle.
Il est ému par la beauté de la femme papillon, c’est une jolie jeune femme au corps de jolies proportions, de longs cheveux noirs encadrent un visage à l’ovale parfait, de grands yeux violets illuminent son regard bordé de longs cils; une bouche pulpeuse, finement ourlée du plus beau rose, un joli nez un peu retroussé et fin.
Elle est nue comme toutes les femmes de sa race, nue, sauf une ceinture de fleurs joliment tressée qui descend, pudiquement, sur son pubis. Elle se lave, ignorant que quelqu’un la regarde, d’une pétale de fleur, elle se savonne le corps, elle s’attarde sur ses beaux seins généreux qui dardent leur pointes sous la caresse. Elle descend et c’est au tour de ses longues jambes...interminables au galbe parfait...elle déploie ses grandes ailes finement ciselées...quel chatoiement de couleurs...du bleu foncé au mauve, de petites touches de rose aussi et le tout pailleté d’argent...elle les fait battre tout doucement pour les sécher.
Yanis ne bouge plus, il respire à peine, la belle l’émerveille. Son corps commence à vibrer à la vue de tant de sensualité. Le battement des ailes lui envoie une bouffée de son doux parfum. Oh, comme il la désire! Il faut qu’il l’approche, mais comment faire? Il ne veut pas qu’elle puise deviner qu’il l’a épiée en un moment si intime.
Il prend son envol et va se poser un peu plus loin, priant pour qu’elle passe devant lui. La belle n’est pas sotte, elle l’a vue du coin de l’œil se poser sur l’arbre elle l’a trouvé si beau que troublée elle s’est laissée regarder.
Elle se tourne, se cache derrière le feuillage luxuriant des ancolies et l’observe à son tour, il s’affaire dans la cueillette de baies appétissantes, hum, elle a faim elle aussi. Aussi blond qu’elle est brune, il porte les cheveux longs sur la nuque et frisés, il a de magnifiques yeux bleus. Son corps n’a rien à envier aux sportifs de la Grèce antique. Ses muscles roulent sous l’effort et il arbore de beaux abdominaux bien dessinés. Il porte juste un pagne fait de feuilles fraîches, ses cuisses laissent voir sa puissance de male. Ses ailes repliées laissent deviner leur beauté, elles sont colorées de multiples dégradés de bleus et pailletées de jaune et d’or.
Elle le regarde surprise de ces sensations inconnues qui montent en elle. Quelle est cette chaleur au fond de son bas ventre qui irradie en elle un plaisir naissant. Elle s’avance effrontée, que faire, que dire? Elle ne veut pas le perdre! Il s’immobilise, il lui tourne le dos mais sent sa présence, il ferme les yeux, les sens en éveil, il la respire, perçoit son odeur de Lys. Il se retourne tout doucement, et si elle disparaissait, si elle n’était que mirage?
Ils sont face à face, plus de bruit, plus de pépiement d’oiseaux comme si la nature retenait son souffle, étonnée par tant de beauté réunie...Il lui sourit s’attendant à tout moment qu’elle s’évanouisse , simple illusion. Elle lui répond et il sait alors qu’elle est bien réelle. Le soleil complice les illumine de sa chaude lumière. Il se penche, ramassant une fleur, orchidée assortie à ses yeux et s’approche tout doucement la lui accrocher dans les cheveux...ils n’échangent aucun mots, ils sont superflus. L’air vibre d’amour et de désir autour d’eux.
Elle lui tend la main et il la prend, l’attirant vers un lit de mousse, moelleux tapis où ils s’installent. Ils piochent chacun à leur tour dans la provision de baies sucrées se donnant la becquée tour à tour. Il glisse les doigts dans sa bouche, elle lèche les délicatement le regardant droit dans les yeux. Elle en fait de même; il attrapé sa main et l’embrasse au creux de la paume, du poignet, de l’avant bras, du coude, sur l’épaule, au creux du cou. Il lui susurre des mots d’amour au creux de l’oreille, doux langage qui la trouble au plus profond de son être.
Elle ferme les yeux, s’allonge et s’abandonne à ses caresses. Il n’est que force et se fait douceur, la caressant partout de ses larges mains; elle se cambre sous le plaisir qui l’envahie. Ses mains partent du cou et descendent en coupe sur les seins tendus, il agace les deux pointes de ses pouces et index, les faisant rouler. Elle gémie et ça l’excite, son sexe vient se dresser d’un cran de plus...ohhh, ces seins ! il les palpe, les savoure, prenant les pointes dans sa bouche tour à tour, elle est si cambrée qu’il passe un main sous ses reins pour les caresser.
Il touche la naissance de ses fesses, sa peau est une merveille de douceur. Ses mains sont comme aimantées, il ne pourra plus la lâcher. Il descend encore plus bas sans cesser de l’embrasser, déposant des coups de langue de-ce de-là, glissant le bout de sa langue dans le nombril. Il est sur ses cuisses prenant bien soin d’en éviter le centre, préférant la faire languir un peu. Elle écarte les jambes lui signifiant qu’il est temps de butiner son bouton d’amour. Soit, il s’y dirige avec une lenteur calculée, il y est; mon dieu, elle est si mouillée, quel divin nectar, la reine des fleurs. Il en écarte les pétales veloutées et va s’y enivrer. Son sexe est tellement dressé qu’il lui fait mal, il n’a jamais désiré quelqu’un comme elle.
Ne pas s’affoler, il faut l’honorer comme il se doit. Il prend son bouton en bouche et le tête tout doucement., il le lâche, tourne autour, lèche la surface de son sexe émoustillé, il veut la pénétrer de sa langue et , surprise, la belle est vierge! Très ému par le cadeau qu’elle lui fait, il s’applique à la caresse, il ne veut pas la blesser; la sentant pas loin de l’orgasme, il retourne vers son clitoris et d’un doigt doux et chaud s’active sur le petit gland dressé.
Elle resserre les jambes et secouée de soubresaut se met à pousser des petits cris plaintif de jouissance extrême. Ohhh, cette vague de chaleur soudaine qui l’envahie des pieds à la tête, elle n’aurait cru pareille sensation possible, elle vole mais ne se sert pas de ses belles ailes, elle plane dans le soleil sentant sa lumière et sa chaleur.
Il la prend dans ses bras, la laissant savourer la jouissance, il l’accompagne dans sa descente sur terre en la berçant et en lui disant des mots doux. Elle se sent si bien, elle veut le caresser à son tour, elle ne sait comment faire pour donner du plaisir à un homme, elle fait confiance au désir qu’elle a de le toucher, de l’embrasser. Elle le caresse comme il l’a caressé, sans précipitation, elle découvre son sexe un peu inquiète de ce qu’elle voit.
Le gland est énorme sous le puissant désir qu’il a d’elle, gorgé du plus doux des sucs, elle le veut dans sa bouche. Elle le déguste, elle aime son goût et sa douceur. Humm ! elle ne s’en lasse pas, le faisant sortir de sa bouche pour mieux l’aspirer à nouveau, elle en est gourmande, elle le lèche, s’attardant sur le prépuce puis sur le méat, étonnée de la saveur sucrée de la goûte qui y perle, elle monte et descend, l’engloutissant de plus en plus profondément;
Elle masse ses deux belles boules et les lèches aussi goulûment. Il est comme fou sous sa caresse et bredouille des mots sans queue ne tête. Elle a de nouveau envie de lui, envie qu’il la pénètre malgré la peur de la douleur. Elle vient donc s’allonger à ses côtés et d’une voix rauque d’où on sent tant d’émotions elle lui dit:
- "fais-moi l’amour mon coeur, fais-moi femme".
Tant de douceur, de désir et d’abandon le tétanise, son sexe pourtant bien dur, se raffermit encore! Il se positionne au dessus d’elle, choisissant une position pas bien originale mais dans laquelle il pourra maîtriser toute sa fougue. Il place son gland à l’entrée de son puits d’amour, dont il allait être le premier visiteur. Lentement, sans à-coup, il commence à s’introduire dans ce fourreau de soie dont la chaleur et la moiteur trahit le plaisir qu’il lui donne.
Lorsqu’il fût au contact de la fine membrane qui protége l’entrée, il cesse la progression pour qu’elle se détende, elle le saisit aux hanches dans un geste d’acceptation totale et puis tout doucement, il appuie pour franchir cette barrière de chair. Dans un petit cri, elle l’enlace et comme il ne bouge plus, craintif, elle l’encourage avec un râle de plaisir.
Alors, il accentue ses mouvements et en quelques va et viens la fait devenir femme, ils gémissent de concert, s’accordant dans cette danse du plaisir. Ses puissants coup de reins les amènent au portes du plaisir sentant sa jouissance monter, il déplie ses grandes ailes, les couvrant à tous deux de poussière dorée et c’est à ce moment là qu’elle atteint le plaisir pour la deuxième fois en sentant sa chaude semence l’inonder au plus profond de son corps. Une nuée de papillons multicolores prend son envol mais bien moins haut que là où se trouvent Yanis et Lilou.
Si vous vous levez, à l’aube, un de ces jours, au moment où le ciel se pare de mille teintes, vous les verrez certainement voletant main dans la main parmi les fleurs, rois des cieux accompagnés de leurs enfants aux couleurs éclatantes ...
Dim 02 Mai 2004, 13:38 par
douce_minette sur Les liaisons sulfureuses
Ecrire sur trahit

Il y a 5 textes utilisant le mot trahit. Ces pages présentent les textes correspondant.
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