En attendant

En attendant( texte modifié)



En attendant que tu arrives, juste pour m’aimer de nouveau

Je tourne en rond dans ma chambre et je gamberge

Mes pensées passent la fenêtre et voguent sur la berge

D’une petite rivière pénétrant un vaste champ de coquelicots

Qu’une fine pluie tombant du ciel détrempe abondamment

Malgré ce temps maussade et si gris, ils sont toujours aussi beaux.

Et je ne me lasse jamais de les regarder s’agiter au vent qui passe.

J’aime dans ton attente entendre ricocher les gouttes sur ma fenêtre,

Elles font telle une petite plainte, un long sanglot qui me tourmente

Qu’on dirait que même le ciel semble pleurer la peine qui me contient

Et qui s’exprime ainsi tant j’ai en moi cette affreuse absence de toi

Alors il me semble entendre les accents de ta voix si lointaine

Lorsque le vent souffle et vient me murmurer tes paroles si douces,

Tu ne peux savoir l’ampleur du tracas qu’il déclenche

Et ses souvenirs qui me reviennent troublant mon attente

Où je sens toujours les caresses de tes mains sur mes hanches,

Lorsque l’une remontait mon corps sitôt enfiévré de tressaillements

La sentant se glisser lentement sur mon buste et ma poitrine

Quand l’autre plus avenante se fait moins discrète et si coquine

En gérant l’antre des attentions mutines ou perle la rosée divine

Plus haut tes lèvres s’enhardirent en effleurant ma bouche,

Lors tes bras m’emmenèrent tendrement jusqu’à la couche,

Puis ton corps prit le mien pour m’aimer passionnément jusqu’au matin,

Où tu repartis comme de coutume sans faire le moindre bruit,

Me laissant ainsi dormir allongée comblée rassasiée de plaisir

Et posée à côté sur la table de chevet, une lettre de plus

Qui s’en fut rejoindre toutes ces lettres, soigneusement conservées,

Au fond de l’armoire dans cette vieille boîte à chaussure

Que j’ouvre tous les jours pour les relire en boucle, et si souvent

Nostalgique d’un temps où en elles s’écoulent tes déclarations enflammées....

Seuls vestiges de cette brève aventure qui ne dura qu’un été...

Avec l’oreiller en prière, où ton odeur restera ancrée à jamais,

Et que je prends chaque nuit le désir de humer intensément

De le serrer très fort contre moi, comme s’il était toi

Avant de me coucher solitaire dans ce grand lit, si et si froid

Et dans lequel, en attendant, je rêve, sans fin

Je rêve de pouvoir te revoir un jour, enfin.
Sam 31 Jan 2015, 13:07 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

Joli texte caressedesyeux

je réponds à votre ode à l’hiver

de l’hiver à des cendres


Branches immobiles,
Terres infertiles,
Triste des cendres,
Tout meurt d’attendre

Tout s’éteint et se crève,
Du long froid de l’hiver
S’endorment jusqu’à nos rêves,
La nuit dort sur nos pierres

Disparus nos ciels de bleu
D’un vent froid irrespectueux
Qui glace nos cœurs qui s’aiment
Nos yeux qui brillent et s’éteignent

Frissonique est le songe
Du blanc sur un mensonge
Du grand manteau étrange
De l’incolore qui nous dérange

Laconiques silences
De la mort des mésanges,
Plus de couleurs n’arrangent
Les mots des cœurs vides de sens.

Lancinants chants de mort
Dans la plaine qui s’endort
Où dansent et se parsèment
Les premiers matins blêmes
Qui souffrent au pied des cinq lettres
Des pleurs de l’hiver aux fenêtres

Nos cahiers sont de glace
Nos plumes y glissent et cassent,
De rage maudissent l’orfèvre
De l’hiver à mes lèvres,
Grand blanc sans je t’aime

Jime
Mar 16 Déc 2014, 08:56 par Jime sur L'amour en vrac

Le perce-neige



L’hiver n’est pas encore de rigueur,
Mais je pointe déjà le bout de mon nez
Parmi toutes ces ravissantes fleurs
Qui embellissent votre petit jardinet
Où s’épanouissent violettes et primevères.
Et toute une floraison printanière,
Odorante et parfumée
Qui perdure de vives couleurs;
À ébaudir votre pensée.

Moi, je ne suis qu’une fleur de passage
Le modeste perce-neige si éphémère
Qui pousse là que pour délivrer un édit
Si petit, si blanc, si gentil
D’une beauté si pure
Mais qui, hélas, ne perdure
Tant je viens vous annoncer la fin de l’hiver,
Lorsque je me sens si de vous quitter
Car je fais partie de ces fleurs rares
Que l’on n’effleure pas pour aimer
Et qui de parfum odorant est avare
Puisque je niche sur les sols enneigés
Je suis de celles qu’on oublie facilement.
Comment puis-je vous tenter de me ramasser de me cueillir
Vous qui ne me voyez pas, je passe si rapidement
Pourtant je voudrais bien vous appartenir
Mais tout cela n’est qu’un beau rêve
Qui ne se produit que parfois
Et je retourne vite auprès de ma mère,
Car ma vie, près de vous, est hélas si brève
Que je m’en retourne fané et flétri
Vers ma belle, riche et si nourrissante terre,
Qui prend si bien soin de moi.
Pour que je puisse réapparaître,
Dans quelque mois, lorsque la neige reviendra.
Dim 14 Déc 2014, 19:14 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

Chaque feuille qui tombe me rapproche de toi

Oui, chaque feuille qui tombe me rapproche de toi
Elle signifie la mort qui rôde autour de moi
Je cherche au dehors ce que je n’attends plus
J’écoute le ciel qui pleure de sa nouvelle mue

Les pétales en brouillons jalonnent la terre grasse
Offrant peu résistance à ce vent qui les chasse
Les arbres plient et ploient dans quelques rebuffades
Et gémissent aux tortures de ce marquis de Sade

Ce tableau gris vêtu hante mes heures solitaires
Passées en revisite d’un été de chimères
Où nos corps enlacés ne sentaient rien venir
De cet morne automne et son élixir

il fut quelques orages comme pour nous prévenir
Mais n’en avions que faire sous le poids du désir
Et lentement la feuille à guetter le moment
De choir sans un bruit, inéluctable instant.

Et l’horizon n’est plus qu’un long trait de déclin
Forçant la colline lointaine à s’aplatir en vain
Sous le poids d’un manteau aux fibres cotonneuses
Pour disparaître enfin dans quelques heures brumeuses.

Drapé dans les effluves qui émanent de toi
Je dance avec les feuilles qui quittent les sous bois
Derrière cette fenêtre, ce rempart si fragile,
Qui t’a vu hier éclore au prime soleil d’Avril.

Alors dans un sourire pour accueillir la larme
J’effiloche la veine d’un geste vif comme la lame
J’entrevoie le filet qui libère la couleur
Pour l’amour que j’avais et pour lequel je meurs.

Jime
Mar 02 Déc 2014, 16:47 par Jime sur L'amour en vrac

La fille d'avril ( duo caressedesyeux /arnoux patrick)

La fille d’avril

La fille d’avril a de biens jolis sourcils, gracile, la voilà perchée sur un fil regardant le temps qui défile. En bas les rangées de livres s’empilent...
Judicieusement elle touche du bout de ses doigts les pages où les images pas si sages viendront coloré ce ciel si foncé.
Chaque feuille est dessinée et colorée...
Quelques beaux pétales rouge coquelicot, loin d’être des idiots, effleurent discrètement les bleuets qui sont aux aguets. Les pissenlits rebelles n’iront pas à la queue leu leu, persiste la peur qu’on les mange en salade, en marmelade où écrasés en tapenade...
Les coccinelles porteront sur leurs ailes, les effluves de miel avec les abeilles pour escorte...

Le bouffon des rayonnages sourit. Voilà donc le pouvoir de la fille d’avril . Elle s’est endormi comme un bébé après avoir ouvert le livre qui contient la clé ; la clé des rêves défragmentés.
Il était temps, la bibliothèque allait être fermée définitivement. L’enchanteur avait donc raison, c’était l’ultime solution. Chercher et trouver l’esprit catalyseur capable de recréer la réalité.
Ça n’a pas été facile de dénicher la bonne personne. Tout l’hiver et une partie du printemps
à errer dans la mégapole vêtu passe-partout, décodant les visages. Des milliers de fois l’espoir puis la désillusion. Soudain cet après midi, cette fille les yeux rougis, seule, attablée dans ce fast-food. Dès le premier regard il a su, en elle ce grain d’énergie résiduelle des premiers temps.
En prenant l’aspect de ce vieil ami, l’entraîner vers la bibliothèque puis lui présenter le livre ne fût qu’une formalité. Le grimoire a fait le reste. Dès la première page le miracle s’est opéré... Connexion dite d’avril... Prophétie dormant depuis la veille de l’an mil...
Le songe de l’âme clé ouvre une faille dans le continuum. La vieille bibliothèque est aspirée de l’autre côté, vers l’ailleurs coloré. L’espace d’un instant les lois de la mécanique quantique sont oubliées.
Dans un hors temps incertain la fille d’avril va se réveiller. Son retour à la conscience va redonner la stabilité qui manquait depuis si longtemps au monde damier.

Alice enfin exfiltrée de l’Absurde...

Le bouffon va pouvoir enfin prendre du repos.
Mar 22 Avril 2014, 20:02 par caressedesyeux sur Mille choses

Le pouvoir d'un média (duo inconnu /caressedesyeux)



Installé dans sa cuisine la radio allumé
Un tacos il est en train de déguster
Confronté à un piquant problème
Qui le fait devenir un peu blême
Sur le piment il a eu la main lourde
ça annonce un après-midi vide gourde
Sa langue commence à être anesthésiée
Mais ses oreilles sont d’un coup interpellées
Dans le poste cause Jean Pierre Mocky
Bien sûr fidèle à ses facéties
Le cinéaste aurait pu monopoliser l’émission
Mais l’autre invitée attire son attention
Une femme de lettre a maintenant le micro
Elle commence à déclamer un drôle de topo

Un petit verre de Bordeaux
Certainement pas de menthe à l’eau
Me voilà à la radio
Y a une chose de l’autre côté
Qui n’arrête pas de me taquiner
J’irais bien jouer avec ses fourchettes
En plus s’il avait des couettes
Pour peu il pourrait me faire la tête
Et si je passait ma main dans les ondes traçantes
Puis pourquoi pas mon corps de géante
Enchanté moi c’est Marrante
Le voilà piquant un fard !!
Et ne sachant trop quoi dire
Il balbutie un... Bonjour moi c’est Pas
J’ai la dalle ! J’ai que dalle !
Finalement je le tire si fort
Qu’il atterrit dans mon décors
Sympa, ce petit repas m’épate
J’en reste béate
Il m’a fourré de la mie de pain
Je ne suis pourtant pas un lapin
Je tousse, je m’étrangle
Il me donne un grand coup de paluche
Me prenant vraiment pour une grosse peluche
Merci pour le repas
Je m’en vais de ce pas

La nénette a l’air un peu déjantée
Pas trop, juste assez pour l’aider à digérer
C’est pas du luxe vu l’état du palais
Entre les dents c’est même plus très frais
En plus à un moment s’est produit un truc bizarre
Il s’est senti vraiment autre part
Comme s’il était passé de l’autre côté du miroir
Ou que le miroir avait déboulé dans son histoire
Quel phénomène à bien pu faire déplacer sa fourchette
Pendant un moment il s’est senti des couettes
C’est lorsque son chat a coupé la radio
Qu’il s’est extrait de ce hors temps porte à faux
Qu’est ce que ce songe barjot en plein jour
Va falloir prévenir la psy qu’on n’a pas fait le tour
Dim 16 Mars 2014, 16:02 par caressedesyeux sur Mille choses

En attendant... ( les maux d'amour conjugués)




En attendant que tu arrives,
Je tourne en rond et je gamberge
Mes pensées voguent sur la berge
D’un vaste champ de coquelicots
Qu’une fine pluie détrempe abondamment
Malgré ce temps gris, ils sont toujours aussi beaux.
Et je ne me lasse jamais de les regarder.
J’aime entendre ricocher les gouttes sur ma fenêtre,
Elles font telle une petite plainte, un long sanglot
Qu’on dirait que même le ciel semble pleurer la peine
Que j’ai de cette affreuse absence de toi
Le vent qui vient me murmurer tes paroles si douces,
Alors que ta voix est si lointaine
Ne sait l’ampleur du tracas qu’il déclenche
Je ressens encore tes mains sur mes hanches,
Puis l’une glissant sur mon buste et ma poitrine
Quand l’autre se fait discrète et coquine
Tes lèvres effleurant ma bouche,
Tes bras m’emmenant tendrement jusqu’à la couche,
Ton corps m’aimant passionnément jusqu’au matin,
Où tu repartiras sans faire le moindre bruit,
Me laissant un copieux petit déjeuner
Comme tu sais que je les aime,
Et la belle écriture de tes déclarations enflammées.
Dans toutes ces lettres, soigneusement conservées,
Au fond de l’armoire dans cette boîte à chaussure
Que je relis, en boucle, très souvent...
Seuls vestiges de cette brève aventure...
Avec l’oreiller, où ton odeur restera à jamais,
Et que je prendrai la peine de humer intensément
Et de serrer très fort contre moi
Avec ce grand lit, si et froid
Dans lequel, en attendant, je rêve, sans fin
Je rêve de pouvoir te revoir, enfin.
Mer 25 Déc 2013, 15:34 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

L'amour est-il plus fort que tout ?

Eh bien voila une seconde histoire d’amour entre Zane et Elena, j’espère que cela vous plaira ^^ bonne lecture :

Chapitre 1.

Point de vue Zane.

Si seulement, la vie pouvait être simple … Si elle pouvait être belle alors peut être que j’arriverais à lui donner une seconde chance. Une seconde chance à croire en l’amour … Ce sentiment si fort mais qui peut tout briser en une fraction de seconde. Encore cette nuit, j’ai fait nuit blanche, accoudé contre mon balcon à admirer les rayons du soleil qui se lève.

Je souffle, et entre dans ma chambre, pour aller me rafraîchir. Je passe à côté de mon lit et remarque un cadre avec à l’intérieur la photo de la femme que j’aime et désir plus que tout. Je passe mon doigt sur la vitre et laisse mon esprit vagabonder. Un autre soupir mais cette fois heureux s’échappe de ma bouche, si seulement j’avais assez de courage pour lui avouer ce que je ressent.

Elena … Toi cette si jolie brune qui a su recoller chaque morceau de mon cœur, toi qui a su trouver les bon mot pour m’apaiser et me faire sourire. Je souris et me dirige vers ma salle de bain. J’entre à l’intérieur de cette dernière, et ferme la porte. Je commence à me dénuder laissant mes vêtements tomber au sol, j’ouvre la porte de la cabine et tout en allumant l’eau, laisse mon corps se détendre sous le liquide chaud.

Je suis Zane Kazama j’ai dix neuf ans et suis d’origine italienne, née un vingt deux janvier en Italie, et je réside à Naples. Je suis de grande et fine taille, mes cheveux qui sont de couleur sable, un blond vénicien son court formant un dégrader sur le côté gauche. Mon regard est chocolaté et tiré quelques peut en arrière, ma peau clair possède des petites faussettes. Ma bouche rose et fine.

Mes yeux se ferment, et je repensent à tout se qui c’est passé depuis ma séparation avec Giulia du a une forte dispute. En y repensant, c’est vrai que je me suis nettement rapproché d’Elena, passant presque tout mon temps avec elle, mais aussi Dolce et Shiwa qui sont mes deux meilleures amies, je peux toujours compter sur elles en cas de besoin, et même si Giulia et moi sommes devenue de simple amies il est vrai que je me confie beaucoup plus à mes deux pimprenelles.

Une fois que l’eau m’a débarassé de tout liquide coloré, j’éteins, et m’enroule rapidement dans une serviette sentant le froid me gagner. Je fais coulisser la porte vers la gauche et sort de la cabine pour ainsi me sécher. Je me place devant le miroir, et m’observe de longues minutes en me séchant. Un mince sourire se dessine sur mes lèvres mouillées en repenssant à ce que je suis … A cet heure là si je n’aurais jamais eu le courage d’affronter cette personnalité je serait sûrement en train de pleurer sur mon sort.

Se que je suis aujourd’hui j’en suis fière, même si je cache des défauts, je me rattrape toujours à sa, cette personnalité qui fait de moi la femme forte que je suis devenue au file es années. Et maintenant que j’étais prête à laisser une seconde chance à la vie parce ce que j’avais réussi à oublier tout ce qui se rapporte à Giulia et moi, j’étais prête à avancer et dont à être de nouveau heureuse.

Je me dirige vers ma chambre, et mène mon corps jusqu’à mon armoire afin de m’habiller. Aujourd’hui est un jour spécial, pour deux raisons. Ce soir il y a le bal de l’automne un événement important pour nous lycéens qui n’avons ce mot à la bouche depuis plus d’un mois. Et il y a aussi un anniversaire, celui d’Elena qui allait sur ses dix neuf ans, et j’avais pour ambition de lui délivrer mon cœur de me mettre à nue devant elle. Je sourit rien que le fait d’y penser, après quelques minutes de réfléxion, je sort de l’armoir un jean noir, un chemisier de couleur blanc, et une veste en cuir noire.

Je commence donc à m’habiller tout en laisser mon esprit s’évader, j’ajuste le col de ma chemise, et surmonte cette dernière par ma veste en cuire que je prit soin de fermer. Après sa, je réchauffe mon cou par un keffier noir et roug en damiern et je reviens par la suite dans la salle de bain. Je me place en face de la vitrerie, et comme je laisse souvent mon maquillage traîner sur le bord de l’évier, je me munie d’un laïner noir et commence à me faire le tour des yeux.

C’est la seule chose que je met, cela suffit, quand je me maquille c’est pour des occasions spécial. Avec l’aide de mon peigne je remet en place le petit dégrader sur la gauche, me parfum légèrement avec une eau de toilette, et enfin sort de la salle d’eau. Je prend place sur mon lit, et commence à enfiller mes chaussette, pour après mettre une paire de baskette noire. Je me lève, prend mon sac de cour, mon téléphone, et sort de ma chambre.

Je descend les escaliers, et alla dans la cuisine pour me préparer un café et une tartine de confiture. Je vis seul dans un petit studio, que mes parents me paye tout les mois car je leur est ramener de bon bulletin et que j’avais fait comme demande celle de vivre seule pour ainsi gagner l’autonomie. Je commence à beurrer deux tartines, et saisi mon portable.

Tiens un message, je me demande qui cela peut être « lili » je sourit, lili et le surnom que je donne à Elena, et sa c’est dû à un petit jeu entre nous.


« purée il caille dehors, j’espère que ta prévue de mettre des gant et un bonnet mdr, tu me manques »

le sourire que j’aborde s’agrandit, je fut amusé et attendris à la fois. Je me dirige vers la cafetière et tout en me versant du café dans une tasse, je décide de lui répondre.


« ne t’inquiète pas pour moi va … Je ne suis pas frileuse. Tu me manques aussi <3 »

je relie le message, et sourit de nouveau. Et je lui envoya, je m’installe sur une chaise et commence à déjeuner tranquilement, tout en pensant à l’évènement de ce soir à l’anniversaire, et au courage que je vais devoir prendre pour lui avouer ce que je ressent.

Ce n’est pas tout les jours que je fait ce genre de chose, et il est vrai, que si nos sentiments sont réciproque j’aimerais pouvoir m’engager dans une relation sincère et durable cette fois. J’emmène la tasse à ma bouche, et commence à boire le liquide caféïner.

Quand j’eu terminé, je met la tasse dans le lave vaisselle, et commence à tout ranger pour ainsi partir direction le lycée. Mon téléphone vibre, je me tourne et le prend pour ainsi consulter l’appareil. C’est Elena qui viens de me répondre par un smiley et un cœur. Le mien se met à battre fugacement contre ma poitrine, si seulement nos sentiments pouvaient être réciproque, je l’espérer à chaque fois depuis que je me suis décider à lui dire.

Je prend mon sac, prend les clés de chez moi, et enfin partie tout en prenant soin de fermer à clés. Je descend quatre étages, et me dirige vers l’extérieur. Ouh … C’est vrai qu’il fait frais, je met mon keffier bien en place, et commence à marcher le long du trottoir.

Ah … Elena, si tu savait à quel point je t’aime, à quel point je te désir. Depuis notre rencontre il y a un an, c’est vrai que l’ont c’est beaucoup attacher l’une à l’autre, partageant nos rires, nos délires, et même nos chagrins. Et c’est quand je pense à tout ses petit détails qui me font sourire que je suis plus forte pour affronter la vie car je sais que j’ai mes amis et la femme que j’aime à mes côtés.

Après quelques minutes de marche, j’arrive enfin devant l’entrée du lycée, et pénètre à l’intérieur de ce dernier. Je voie Shiwa et Dolce me faire signe, alors que Giulia et Elena se tourne dans ma direction.


Shiwa – salut jolie blonde, ça rool ?
Moi – tout baigne, et vous ?

Je leur fait la bise à chacun, et arrivé prêt d’Elena qui me sourit avec douceur, je vint collé mes lèvres à sa joue.

Dolce – oh … C’est trop mignon.
Shiwa – ah les filles …
Giulia – c’est beau l’amour !

Je me décolle doucement, et plonge mon regard caramélisé dans ses prunelle noisette. Elle me sourit, et je lui rendit avec un petit clin d’oeil.

Moi – bon anniversaire la miss !
Elena – merci Zane.

Ont se sourient, et pendant quelques minutes nos yeux se caressent. J’aime me retrouver comme sa avec elle qu’il y est du monde ou pas, mon cœur bat si vite, je n’arrive pas à métriser les pulsions qu’il difuse dans mon corps. Sa main s’approche de mon visage, et ses doigts écartent quelques mèches de mes yeux.

Dolce – ah … Sa fait rêver.
Giulia – c’est bien vrai !

Nos lèvres s’étirent de nouveau, et ses lèvres se sont posées sur ma joue. Mes yeux se ferment, et je me laisse envahir par ce flot de tendresse qu’elle m’envoie. Ses mains se posent sur mes bras, et je sourit. Qu’es ce que je pouvais me sentir bien, là tout prêt d’elle.

Moi * si tu savais comme je t’aime. *

doucement je m’approche et laisse mes bras s’allonger sur ses épaules, alors que les siens viennent réchauffer mon dos. Ah, Elena je me sens si bien la avec toi. Ma douce et jolie brune, ses lèvres quittent ma joue, et ses yeux viennent effleurer les miens avec douceur.

Nos fronts se sont rapprochés, et se caressent, nous étions si prêt l’une de l’autre, et l’envie de l’embrasser me tenaille, je lui caresse la joue et lui offre un doux sourire.


Elena – Zane …
Moi – chuut …

Je lui caresse doucement ses lèvres de mon pouce, et vint lui déposer un léger baiser sur son nez.

Shiwa – je croix que je vais finir par exploser si vous continuer toutes les deux, c’est trop …
Dolce/Giulia – mignon !!!!

je me suis mise doucement à rire à l’entente de ses mots, je sent ses bras se serrer, et je me laisse emporter par cette étreinte qui m’est agréable. Malheuresement nous fûmes bien vite redescendut sur terre, à cause de la sonnerie que je maudit à cet instant.

Ont se détachent l’une de l’autre, et avant de partir en cour, je lui prend tendrement son menton et lui murmure :


Moi – on se retrouvent tout à l’heure !
Elena – compte sur moi.

Ont s’échangent un sourire, je lui embrasse la joue, et partie direction ma salle de cour avec Dolce Shiwa et Giulia.

Dolce – dis donc je ne te savait pas si entreprenante !
Shiwa – ah sa … Tu ma coupé le souffle.
Moi – ne dis pas n’importe quoi voyons !
Giulia – mais si, elle a raison.
Moi – oh non pas toi Giulia, ne t’y met pas non plus !
Dolce – mort de rire.

Je vous jures, elles sont pas possible. Ont montent plusieurs étages, et arriver au cinquième, je commence à longer le couloir tout en discutant avec les filles.

Dolce – dis moi Zane je peut te poser une question ?
Moi – oui vas y !
Dolce – ce que tu ressent pour Elena, c’est bien plus fort que de l’amitié pas vrai ?

Je sourit, et repense à ce moment que nous avions partagé elle et moi tout à l’heure, un moment qui a bien réchauffé mon cœur, et qui ma permise d’être heureuse durant quelques instant.

Moi – oui … Et pour être honnette, je compte lui faire ma déclaration ce soir !
Shiwa – c’est pas vrai ? Oh lala faut pas louper sa, Zane qui laisse libre court à ses sentiments, va falloir prévoir le matosse.
Moi – dis pas n’importe quoi Shishi !
Giulia – j’espère que tu y arrivera, et que cela te rende heureuse.
Moi – ne t’inquiète pas pour sa … Je compte bien la garder avec moi !

Je lui sourit, et lui tapotte le nez, même si nous ne sommes plus ensemble, cela ne m’empêche pas d’avoir un petit geste tendre à son égard, car il est vrai et sa je ne peux pas l’oublier que je les fortement aimé.

Dolce – en tout cas, je ne veux pas louper sa !
Shiwa – tu m’étonnes.
Moi – vous êtes bêtes vous deux alors !

Je sourit, et finit par rentrer dans la salle pour aller m’installer à ma table avec Giulia. Le professeur n’étant pas encore là, j’en profite pour regarder mon portable afin de vérifier ce je n’ai pas reçu de messages ou appels.

? - eu Giulia !
Giulia – oui ?

Après avoir répondu au deux messages d’Elena, je met mon téléphone dans ma poche et lève la tête pour aperçevoir Emilie, une jolie blonde aux yeux chocolat. Je suit attentivement la discussion, et pue voir du coin de l’oeil Giulia rougir.

Emilie – je euh … En faite, je me demander si tu … Tu voulais bien être ma cavalière pour ce soir !

Je sourit, et d’ailleurs Giulia aussi, elle se lève, et sous mes yeux attendris, elle pris le menton d’Emilie et lui murmure :

Giulia – avec plaisir Emi, j’en serait ravi.
Emilie – c’est vrai ? Enfin je veux dire …
Giulia – chuut …

Elle lui caresse la joue, et lui a déposer un baiser sur le front. Cela me fait sourire, le fait de savoir que même après notre séparation nous sommes arrivé à refaire notre vie, et sa sans avoir peur du jugement de l’autre. Emilie et repartie s’asseoir, et Giulia a repris place à mes côtés.

Giulia – ah … Emilie !
Moi – Tu as enfin trouvé ta perle rare ?
Giulia – oui, et il est vrai que je l’aime éperdument.
Moi – dans ce cas, je te souhaite bon courage !
Giulia – à toi aussi … Tu sais, c’est une bonne chose je trouve que l’ont est réussi à refaire notre vie avec la séparation !
Moi – je suis bien d’accord avec toi.

Ont se sourit, et enfin le cour pue commencer car le professeur était enfin arrivé. Pendant l’heure de cour, je ne fit que penser à Elena, à son message de tout à l’heure me disant que ce soir elle voulais passer la soirée avec moi. Rien que d’y penser me provoque des frissons de plaisir. Elena, si tu savait à quel point tu hante mon esprit.

Enfin, quand l’heure de la pause sonna, je pose mes lunettes, et suivit Giulia jusqu’à la sortie avec Dolce et Shiwa.


Shiwa – bon alors, et si ont allaient au foyer !
Dolce – ok.
Moi – sa marche !
Giulia – dack.

Ont s’échangent toutes quatre un sourire, et parti direction le foyer. Arrivé dans ce dernier, je remarque Elena qui est assise sur un des fauteuil, je me dirige vers elle suivit de prêt par les filles.

Elena – ah vous êtes là !
Dolce – tes une rapide dit donc sa viens juste de sonner.
Elena – non, je suis là depuis une heure !
Shiwa – comment ça ?
Elena – notre professeur est malade !
Moi – tu t’embête pas quoi ?
Elena – c’est sa.
Moi – toi alors !

Elle me fit un clin d’oeil, et je prit place à ses côtés juste à sa droite. Giulia prend place à mes côté et Shishi juste à la gauche de ma douce.

Dolce – aller, aujourd’hui c’est ma tournée, qui veux quoi ?
Moi – hm aller un coca !
Elena – un chocolat chaud.
Shishi – hm j’hésite entre un orangina et toi mon amour !
Dolce – Shishi !!
Giulia – ah ah ah …
Moi – que c’est mignon !
Elena – vous n’êtes pas ensemble pour rien vous deux !
Dolce – les filles !!!! vous m’êtes pas d’une grande aide la !
Shiwa – aller, c’est bon j’arrête de t’embêter, je prendrait un orangina.
Dolce – enfin et toi Giulia ?
Giulia – un thé suffira merci miss.
Dolce – alors je récapitule, un coca un chocolat chaud un thé et un orangina, ok c’est bon c’est noté.

Et notre petite rousse partie direction le bar. Alors qu’une discussion commence, je sens soudainement un bras se glisser derrière mon dos, et une main se pose sur ma hanche. Je me tourne et voie que c’est Elena, je lui sourit, et passe mon bras gauche derrière son dos, pour doucement lui caresser la hanche. Sa tête c’est lové au creux de mon cou, et mon cœur c’est mit à tanguer plus fort.

Dolce reviens quelques petites minutes après avec nos boissons , qu’elle nous tendis à chacune. Shiwa c’est lové dans ses bras, et Dolce à replier ses bras autour d’elle, je les trouve vraiment mignonne ensemble.


Dolce – au faite, vous compter y aller avec qui au bal ?
Shiwa – moi avec toi !
Elena – sa, ont sens doute bien !
Dolce – tu as trouver quelqu’un Giulia ?
Giulia – oui, j’y vais avec Emilie.
Shiwa – Emile … La blonde ?
Giulia – oui la brune !

Je me met à rire en entendant sa, et continue de serrer mon ange contre moi. Un frisson me parcours lorsque je senti ses lèvres se poser sur mon cou, que c’est agréable, je me laisse faire tout en lui offrant une douce caresse sur sa joue. Sa tête c’est relever, et ses yeux se sont perdu dans les miens. Je caresse doucement sa joue, et caresse son front avec le mien.

Sa main prend la mienne, et alors que ses yeux me défi, sa voix résonne dans l’air, une voix que j’aime entendre.


Elena – et toi ?
Moi – de quoi moi ?
Elena – avec qui vas tu au bal ?
Moi – sa t’intéresse ?

Elle me sourit, et dépose un léger baiser sur ma main se qui me fit rougir. Nos yeux se happent, se caressent, et se dévisagent avec insistance comme si chacun chercher à savoir qui aurait le dessus sur l’autre.

Elena – peut être …
Moi – toi alors … Non je n’est personnes !
Elena – dans ce cas, accepteriez-vous mademoiselle Kazama de m’y accompagner ?
Moi – j’en serait ravie … Ma jolie brune !

Ont se sourient, et pendant de longue minutes nous restons ainsi confortablement enlacé contre l’autre. Je m’approche doucement, et vint lui déposer un doux baiser sur le nez.

Elena – si seulement le temps pouvais s’arrêter !
Moi – pourquoi sa ?
Elena – car je pourrais proffiter pleinement de ces instant magique avec toi.

Je lui sourit, et vint doucement emêler mes doigts avec les siens. Se pourrais t-il … Qu’elle ressente la même chose que moi ? Que son cœur frémi à chaque fois que nous sommes avec l’autre comme le mien ? Si c’était le cas, j’en serait vraiment heureuse.

Shiwa – franchement toute les deux, je me demande comment vous ne pouvait pas finir ensemble !
Dolce – vous êtes trop craquante !

Je sourit, et continue d’admirer ce magnifique regard chocolater. Oui si seulement le temps pouvais s’arrêter, alors je pourrais sans aucun regret proffiter de ces instants magique qui n’appartiennent cas nous.

Elena – tu est sûr que tu veux aller en cour ?
Moi – non, mais il le faut bien.
Elena – reste avec moi !

Je m’approche de son oreille et lui murmure en caressant sa main :

Moi – on aura … Toute la soirée pour proffiter de ces moments magique !
Elena – Zane je …
Moi – chuut ne dis rien ma belle.

Je remonte ma main à sa joue, et la caresse avec douceur. Nos front se caressent de nouveau, et nos nez créer un mouvement négatif, je mens tellement bien avec elle, que oui, j’aimerais pouvoir rester là au creux de ses bras.

Mais ont dirais que la sonnerie annonçant le deuxième cour, n’est pas du même avis que moi, je lui sourit, lui embrasse tendrement le front, et me sépare d’elle avec regret.


Elena – bon, d’accord, je te laisse filer, mais à partir de quatre heures je ne te laisse plus tranquille !
Moi – comment ça tu ne me laissera plus tranquille !
Elena – ah beh sa mademoiselle Kazama vous verrez bien.
Moi – dites moi, je vous trouve bien arrogante mademoiselle Agostui.

Je pose mes mains sur ses jambes, et la regarde un air de défi sur le visage.

Elena – vous ne me faite pas peur !
Moi – vous ne dirais sûrement pas la même chose lorsque je vous aurais kidnappé ma cher.

Je lui fait un clin d’oeil, elle m’embrasse la joue, et c’est avec le sourire aux lèvres et le cœur prêt à faillir que je me rendit en cour avec les filles qui à dire vrai hurlé du moins Shiwa et Dolce, Giulia elle était au téléphone. C’est ainsi que durant toute l’heure de cour et ceux jusqu’à midi que je pensa à ma soirée avec elle.
Jeu 28 Nov 2013, 03:19 par HaruxMichi sur Histoires d'amour

L'amour est-il un crime ? chapitre 6

Hello hello, voici le chapitre 6 un peut court, mais toujours regorgé de douceur et d’amour ^^ bonne lecture :


Chapitre 6 : Une belle preuve d’amour

Point de vue Narrateur.

Voila maintenant deux petit mois qui se sont écoulés sur la capitale Japonaise. Depuis l’anniversaire de Michiru beaucoup de chose se sont produite, cette dernière était partie en stage pour une durée de 4 semaines pour parfaire ses connaissance en mathématique pour ainsi pouvoir réaliser le rêve de sa défunte mère. Pendant ce temps Haruka continuer son train train quotidien, bien que la vie lui semblais un peut plus sans Michiru. Elle n’avait qu’une seule hâte : que cette dernière revienne, car avec son stage, et les réunions de parents d’élèves ainsi que de conseils de discipline elles n’avaient pas pue se revoir et passer du temps ensemble. Nous nous retrouvons devant chez la jeune blonde ou la bonne humeur régnais. A l’intérieur de ce petit studio se trouvait Michiru et Betty qui faisait de la cuisine préparant un gâteau pour l’anniversaire d’Haruka.

Point de vue Michiru.

Ah … Me tarde que Haru revienne, elle ma tellement manquée. Je suis rentré aujourd’hui de Tokyo, et même si c’est 4 semaines de stages ont étaient très longues c’était très constructif et j’ai aquis bien plus de connaissance ce qui me rendait de très bonne humeur.

Malgré sa, comme Haru et moi on a pas pue se voir, nous n’avons pas pue faire son anniversaire, et même si nous étions le 15 décembre, je voulais lui fêter ses 24 ans avec madame Clife qui est une ses plus proche collègue.

Madame Clife – alors Michiru dis moi comment c’est passé ton stage ?
Moi – parfaitement bien, j’ai appris beaucoup de choses au cours de ses 4 semaines comme résoudre des équations comment faire pour placer le x en tant voulut dans un calcul mental. C’était tout bonnement génial.
Madame Clife – c’est très bien tout sa … Oh mais, c’est jolie ce que tu as autour du cou. C’est ton petit ami qui te la offert ?

Si vous saviez qui m’a offert cette petite chaîne vous serez bien surprise. Ah cette chaîne, je les garder tout au long de mon apprentissage, sa me faisait penser à elle à chaque fois. Ah ma jolie blonde j’ai hâte que tu revienne à la maison, car bien des choses ont changé durant ses 4 semaines d’absence.

Soudain je sent mon téléphone vibrer, surprise, je prend ce dernier en main et regarde qui cela peut être. J’eue un grand sourire en voyant que c’était Haru qui m’appeller, je met les écouteurs et répond à l’apel, le cœur battant à la chamade.

Haruka – bonjour ma chérie !
Moi – Ah … Si tu savais comme il est bon d’entendre ta voix.
Haruka – oui c’est vraiment agréable de pouvoir t’entendre de nouveau. Alors comment c’est passé ce stage.

Je sourit, c’est un bonheur de l’entendre de nouveau, je verse du lait dans un récipiant et madame Clife qui me sourit se met à remuer.

Moi – bah sa c’est supère bien passé, j’ai appris beaucoup de chose, et cela était une expérience très enrichissante.
Haruka – tant mieux alors.
Moi – oui, et toi alors comment ça va ?
Haruka – ça va, un peut fatigué de ses réunions et conseils, le directeur est parti faire des photocopies d’un dossier, donc j’en aie profité pour t’appeller.
Moi – c’est vraiment très gentil. Si tu savait à quel point tu m’as manquer Haru.
Haruka – toi aussi chaton tu m’as beaucoup manqué, et je n’aie qu’une hâte, c’est celle de rentrer.
Moi – ah bonheur, je vais pouvoir retrouver tes bras !
Haruka – oui moi aussi, vite que la réunion se termine, je t’envoie un message dès que je sort du lycée.
Moi – d’accord pas de souci ma jolie blonde.
Haruka – aller je te laisse, le directeur reviens, bisou mon cœur je t’aime à ce soir !
Moi – bisou ma chérie je t’aime aussi !

Et heureuse la communication se coupa. Je retire les écouteurs et pose mon téléphone sur le plan de travail. Mon cœur battait tellement vite, j’abordais un magnifique sourire, trop heureuse de l’avoir entendue.

Madame Clife – eh bien, sa à l’air de bien se passer … Mais, tu aimes les filles ?
Moi – oui.

Sans prêter attention à son regard, je continue de préparer le gâteau. Par la suite, je mit se dernier au four, et alla me préparer. Je monte à l’étage, et m’enferme dans notre chambre. J’enfile simplement une robe bleu écume, avec un petit cache cœur bleu ciel.

Je met les boucles en argent qu’elle ma offert, est me maquille légèrement avec un peu de laïner noir et du rouge à lèvres rouge. Je laisse mes cheveux lâchés juste à les tenir avec de la laque pour les faire tenir sur le côté gauche. Puis enfin j’entend mon téléphone vibrer, avec précipitation je le saisit et consulte ma messagerie.

« je suis là dans 5 minutes »

Sa y’est elle arive, bonheur bonheur bonheur. Avec le grand sourire, je descend, et préviens madame Clife et monsieur Gastempête que Haruka allait bientôt arrivé.

Madame Clife – ok, on se tiens prêt !
Monsieur Gastempête – oui.

Contre toute attente j’allai me cacher derrière le frigidaire et attendit avec le cœur battant à la chamade que ma jolie blonde arrive.

Point de vue Haruka.

Une fois arrivé devant l’immeuble, j’allai me garer au parking, éteins le moteur me détache et sortie avec mon sac. Remettant ma chemise en place. J’avais hâte de la retrouver. J’enclenche l’alarme, et enfin me dirige vers l’entrée du bâtiment. Ah … Cette journée ma épuisée, j’espère que je n’aurais pas à faire sa tout les jours.

Une fois prêt de la porte de chez moi, j’ouvre la porte et la …

?? - SURPRISE !!!!

je reçu des confetti en pleine figure, et cela me fit sourire, me doutant bien de qui était derrière tout sa.

Moi – Betty, Clément ?? mais que faite vous ici ?
Betty – enfin Haruka, même si nous somme en retard, nous fêtons ton anniversaire.
Clément – bon anniversaire !!
Moi – euh … Merci.

Je pose mon sac, et regarde dans tout les coin si je ne la voie pas. Mon sourire s’agrandit en la voyant apparaître … Elle est tellement belle, je lui ouvre mes bras, et c’est avec le sourire elle se réfugia contre mon cœur.

Michiru – te voilà enfin de retour.
Moi – bonjour ma chérie, heureuse de te revoir !
Michiru – tu m’as tellement manqué sa était dure 1 mois sans toi.

Je lui caresse la joue, lui offrant un doux sourire, je m’approche d’elle et lui murmure :

Moi – toi aussi, tu m’as beaucoup manqué Michi …
Michiru – Haru …
Moi – chuut.

Et sans lui laisser le temps de répondre, je posa mes lèvres sur les siennes. Je descend mes mains à son dos, et le caresse, alors que ses doigts à elle caresser mes joues. Ah … Quel bonheur de pouvoir la retrouver, sa voix, son sourire, ses câlins tout ma manqué chez elle. On se détachent doucement, nos fronts se caresse, et je lui dit en écartant une petite mèche de ses yeux :

Moi – tu es magnifique.
Michiru – merci et … Même si c’est en retard, joyeux anniversaire … Ma jolie blonde.

Elle est vraiment adorable, je l’aime. Je caresse sa joue de mon index, lui embrasse le nez, et me dirige avec elle vers mes collègues qui afficher une mine décomposé.

Clément – Haruka tu …
Betty – ce n’est pas possible vous … Mais enfin c’est …
Moi – oui, je suis désolé si je ne vous en aie pas parlé avant, mais oui Michiru et moi sommes ensemble depuis 3 mois.
Betty – mais enfin Haruka, sais tu ce que tu fait, tu est son professeur.
Moi – peut être, mais en dehors du lycée nous sommes deux citoyennes tout à fait ordinaire, et je suis vraiment amoureuse d’elle.
Michiru – quant à moi, je tiens énormément à Haruka, et en suis éperdument amoureuse.
Clément – c’est vrai que vue comme sa …
Betty – mais enfin je … Sa ne peux pas être vrai, vous êtes peut êtes deux citoyennes, mais vous êtes professeur/élève.
Moi – oui mais …
Michiru – après ses 3 mois de bonheur …
Moi/Michiru – nous nous aimons énormément !
Moi – et je ferait tout pour la garder auprès de moi.

Elle me sourit, je lui caresse la joue, et vint l’embrasser avec douceur.

Moi – tu m’attend là je reviens !
Michiru – oui, mais fait vite …

Je l’embrasse sur le nez, lui caresse sa main, et parti à l’étage me dévêtir. En entrant dans notre petit nid d’amour, je remarque un mot sur la table de nuit suivi d’un petit appareil audio avec des écouteurs. Surprise je prend la petite machine met les écouteurs, prend place sur le lit, et lue le mot.

« j’y est mis tout mon cœur »

je sourit, et je vint mettre play, et sa voix sa si jolie voix résonne.

« bon … Euh, par ou commencer ? Haruka aujourd’hui nous sommes le 2 novembre, un jour spécial pour toi … Je te souhaite un très joyeux anniversaire ma jolie blonde, et j’aimerais te dire quelque chose important et qui me tiens à cœur. Voila maintenant 3 mois que nous nous connaissons toutes les deux, je ne vais pas mentir, mais je suis vraiment très heureuse d’être avec toi. Lorsque je t’aie vue la première fois au lycée, je n’oser pas le dire, mais je t’admirer déjà, tu as vraiment fait fondre mon cœur sous tout les angles. J’étais tellement heureuse de savoir que tu éprouver la même chose que moi, je t’aime vraiment beaucoup et ne souhaite que te voir heureuse. Après j’ai beaucoup réfléchit, et je suis aller me renseigner à la mairie pour pouvoir se marier un jour, la femme qui ma reçu ma dit qu’il falait aller à la mairie et signer des papiers et après le mariage pourrais se faire, j’aimerais de tout mon cœur fonder notre propre famille à toute les deux afin que tu soit heureuse, car peut importe ce qu’il arrivera je serait toujours là pour toi pour t’épauler et te soutenir, des disputes il y en aura comme dans tout les couples mais je veux dire que je serait la avec toi dans les bons et les mauvais moment. Pour moi tu est toute, ma jolie blonde ma femme à moi que j’aime tant, ma chérie … Mais surtout tu est ma plus belle histoire d’amour Haruka, et avec toi, je sais que je pourrais avancer. Voila je tes dis tout se que je ressenter, je t’aime et sa éperdument mon amour je t’embrasse très fort et j’ai hâte de rentrer à la maison pour te serrer dans mes bras. Joyeux anniversaire ma chérie je t’aime. »

plusieurs larmes roulent sur mes joue, des larmes de joie et de bonheur. Se qu’elle a dit ma profondément touché, personne à part elle et Greg ne m’avait montré autant d’attachements, Greg est mon petit frère de trois ans seulement, mais pour des raison financière il est parti, et je me suis retrouvé seule avec des parents qui ne mon jamais porter dans leur cœur, qui ne mon jamais aimé, ma mère après quelques années de lutte acharné est morte d’un cancer, mais malgré tout je l’aime et la porte dans mon cœur. Je ne suis jamais tomber amoureuse … Jusqu’à ce que je rencontre Michi, elle a réussi à me faire changer d’air, elle ma comprise après lui avoir raconter une partie de ma vie. Elle ne ma jamais rejeter, et par moment j’ai l’impression d’en profiter, profiter de sa gentillesse, mais je l’aime et en suis profondément amoureuse, je ferait tout pour pouvoir la garder avec moi.

D’une main tremblante, je prend mon téléphone et lui envoya un sms. J’avais besoin d’elle là maintenant. Je l’entend monter, et la voilà. La porte se ferme et je sens ses mains se poser sur mes genoux.


Michiru – qu’es ce qu’il y a ma chérie ?

Je ne dit rien et vint la prendre dans mes bras, la serrant contre moi. Laissant mes larmes de bonheur se déverser.

Moi – merci … Merci d’être la chaque jour avec moi, se que tu as dis ma beaucoup touché, et je suis heureuse de voir que tu prend nos projet à cœur … Ma douce et tendre Michiru je t’aime si tu savais à quel point je peux t’aimer, peut importe se qui arrivera je ferait tout pour te garder avec moi, j’ai déjà perdu trop de personne que j’aime et je n’aie pas envie que tu soit la seconde.

Je lève mes yeux afin de la regarder, ses mains se sont posés sur mes joues et d’un geste tendre elle efface mes larmes.

Michiru – tu sais … Bien que jeune, j’étais sincère dans mes propos, tout se que j’ai dis, je l’aie dis avec le cœur … Mon amour, je t’aime plus que tout, et ferait moi aussi tout pour te garder prêt de moi, car j’en suis consciente je suis éperdument amoureuse de toi, et veux crée un avenir heureux avec toi, même si sa doit prendre 2 3 jusqu’à 4 ans, je m’en fiche, tout se qui m’importe et de t’aimer et te rendre heureuse, car … Tu es la femme de ma vie, je t’aime Haruka et sincèrement.

Je sourit tendrement, lui caresse la joue, et vint poser mes lèvres sur les siennes. Ses bras enroule ma nuque, et ses doigts caresse ma chevelure. Je laisse mes mains caresser son dos, allant tendrement caresser sa langue. Je l’aime, s’en est devenue ma drogue, et je ne veux pas que sa s’arrête, je vint la serrer dans mes bras, laissant mon cœur s’exprimer. Ont se détachent doucement, et je vint lui caresser la joue lui offrant mon plus beau sourire.


Moi – je t’aime ma chérie, je t’aime si fort.
Michiru – moi aussi Haru et vraiment très fort.

Je lui sourit, l’embrasse doucement, et c’est avec le cœur léger et sa main dans la mienne, que nous descendions les escaliers.

Betty – à vous voilà … Haruka ? Mais enfin qu’es ce qui t’arrive ?
Clément – ta les yeux rouge.
Moi – ce n’est rien, c’est juste un trop plein d’émotion !

Je prit tendrement Michi dans mes bras, et vint la câliner. Sa tête se pose sur mon épaule gauche, et ses mains s’emêlent avec les miennes.

Moi – en tout cas merci beaucoup, c’est très gentil d’avoir penser à mon anniversaire !
Clément – oh mais tu sais, c’est surtout Michiru qu’il faut remercier, c’est elle qui a tout organisée.

Je sourit, regarde ma douce dans les yeux et lui dit en caressant son ventre :

Moi – dans ce cas … Merci à toi mon trésor.
Michiru – ce n’est rien, c’est tout naturelle !

Je lui sourit, et dépose tendrement mes lèvres sur les siennes. Oui maintenant je c’est que avec elle je peux être heureuse.

Puis après ce doux baiser, Betty et Clément mon offert mes cadeaux. Clément m’a offert un livre sur les blagues, et cela me fit rire, repensant à nos petits délire en salle des professeurs. Betty elle m’avait donné un cadre avec comme photo toute l’équipe des enseignant avec chacun leur signature.


Moi – merci, sa me fait siupère plaisir !
Betty – j’espère que tu continuera à être une exélente professeur !
Moi – ne t’inquiète pas pour sa.

Puis j’ai vue Michi se mettre face à Betty, se qui me surpris.

Michiru – madame Clife, je ne vous demande pas de sauter de joie face à notre révélation, juste à accepter le fait que nous soyons ensemble, vous savez, je l’aime profondément et sincèrement, et ne souhaite que son bonheur.

Elle c’est tourné vers moi et a dis :

Michiru – peut importe notre statu, je continuerais à l’aimer aussi fort que je le peut, c’est pourquoi aujourd’hui mercredi 15 décembre j’ai quelque chose d’important à lui demander, et je ne prend pas sa à la légère, je suis tout à fait sérieuse.

Elle commence à me faire peur, bien qu’elle aborde un magnifique sourire, je me demande bien se qu’elle a derrière la tête. Je voie ses mains prendre les miennes, et ses jolie yeux azur caresse mes prunelle émeraude.

Michiru – Haruka, depuis notre rencontre tu as réussi à faire de ma vie un véritable compte de fée, j’aimerais à mon tour pouvoir rendre la tienne encore plus belle et faire de notre histoire une merveilleuse aventure. Alors moi Michiru Kaio j’aimerais te demander quelque chose !

Ne me dite pas que … Ce n’est pas vrai, si c’est bien se que je pense elle va me rendre encore plus heureuse que je ne le suis déjà. Je la voie poser son genoux droit sur le sol, et sortir d’une petite poche de son cache coeur une boîte noir, non, ma tendre chérie je t’aime.

Elle a doucement ouvert l’écrin, là ou je vis tout mon bonheur.


Michiru – par cette bague, j’aimerais te demander sincèrement … Haruka Tenoh veux tu devenir ma femme.

Je ne sais plus quoi dire, je n’aurais jamais crue qu’elle puisse avoir le courage de demander ma main, je m’approche d’elle, et la relève, la dévisageant avec tendresse. Je caresse sa joue, et lui répond avec le sourire :

Moi – oui je le veux.

Son sourire c’est agrandit, et elle ma passée la bague au doigt. Je vint la prendre dans mes bras, lui prend le menton et lui dit tendrement :

Moi – j’espère que tu sais dans quoi tu viens de t’embarquer ? Je ne compte plus te lâcher … Ma chérie si tu savait à quel point je suis heureuse.
Michiru – oui, je sais dans quoi je m’embarque, mais si c’est avec toi, alors je suis prête à tout, et je suis de même très heureuse … Uni à jamais ma jolie blonde ?
Moi – Uni à jamais mon trésor.

Et après ses paroles tendre nos lèvres vinrent crée un instant magique et amoureux. Je n’en reviens pas, elle a eu le courage de me le demander, moi je compter lui faire ma demande le jour de noël, mais le fait que Michi est fait le premier pat me prouve encore une fois que je ne regrette pas notre union. Et que je suis prête à m’engager sérieusement avec elle. On se décollent doucement, et le sourire aux lèvres, je vint l’enlacer tendrement dans mes bras.

Clément – alors sa … C’est une surprise, toute mes félicitations et mes vœux de bonheur les plus sincère à vous deux.
Moi – merci Clément.
Michiru – merci monsieur !
Betty – Haruka, j’espère que tu sais dans quoi tu t’engages !
Moi – oui je le sais parfaitement, mais voies tu, j’ai enfin eu la chance de rencontrer le grand amour, et je ne veux pas le laisser filer. Je l’aime et veux construire mon futur dans ses bras.

Elle c’est mise à sourire, et ses lèvres ont tendrement embrassé ma joue. Je la regarde avec amour, caresse son ventre, et l’embrassa à mon tour sur sa tampe droite.

Betty – bon eh bien … Toutes mes félicitations et que sa dure.
Michiru – merci beaucoup madame Clife !
Moi – merci Betty, merci beaucoup.

Et après sa, nous avons continuer à discuter en mangeant le gâteau que Michi et Betty avait fait. Et c’est plus heureuse que jamais que je câlina Michi tout au long de la soirée. Je l’aime et je compte bien la garder prisonnière de mon cœur.

Et voila c’est fini ^^ bon le chapitre 7 est en cour d’écriture, mais je ferait au plus vite pour le poster. [/i]
Dim 20 Oct 2013, 18:16 par HaruxMichi sur Histoires d'amour

L'amour est-il un crime ? chapitre 2

Bonsoir ^^ je remercie inlove pour son commentaire qui ma fait très plaisir :) donc voila le chapitre 2.

Chapitre 2 : Accident et sentiment


Point de vue Michiru.


Brr, qu’es ce qu’il peut faire froid ce matin, je me réveille, et me redresse avec un mal de dos horrible, je me lève, et secou ma tenue qui était plein d’herbe. Je me cache afin que personne ne me voie, et m’habille en vitesse, il ne fallait pas que je soit en retard. Je prend mon sac, et une fois chaussée, je parti direction le lycée.

Ah... Mais qu’es ce qui m’arrive ? Je me sens bizarre d’un coup ma tête me fait atrocement mal, et ma vision se trouble, il faut que j’arrive à tenir sinon je....


Voix off.

Vite emmener la au bloc, il faut d’urgence l’opérer !
Très bien !!!!

Point de vue Haruka.


Alors que je m’installe à mon bureau, j’attends les élèves, tout en repensant à Michiru que j’ai vue hier sous ce pont, je comprend pourquoi elle n’a rien voulut me dire hier, mais tout de même cette histoire m’intrigue, comme il me resté encore quelques minutes je décide d’assouvir ce savoir que je voulais comprendre, je sort le dossier de Michiru que Betty ma passé hier. Je pose ce dernier sur la table, et l’ouvre.

Mes yeux commencent à longer le long des lignes buvant avec effroi les quelques phrases, concernant Michiru qui était assez sanglant.


Moi * Alors que Katsuke Kaio sort tout juste de prison, il revint à la charge chez lui menaçant sa femme de la tuer si elle ne lui remettait pas la petite Michiru qui n’a que 2 ans. La pauvre petite c’est vue aller dans plusieurs famille d’accueil, mais à chaque fois elle se faisait rejeter. Le 11 décembre Katsuke commis un second meurtre celui de Takana Kaio la mère de Michiru...

Tout au long de ma lecture, je sent soudainement les larmes me monter aux yeux, ma main se plaque sur ma bouche, et je continue de lire le cœur serrer.

Moi * Michiru vint voir la police municipal de la ville portant plainte contre son père qui la maltraiter lui offrant plusieurs coups de ceintures, et de gifle. Le 23 janvier : Katsuke fut arrêté pour avoir violé sa propre fille après l’avoir drogué *

Non... Sa... Sa ne peux pas être vraie... je ne peux pas y croir, la pauvre ... Mon cœur cogne violemment dans ma poitrine, j’ai mal à l’estomac, et mes larmes me menace de couler. Mon corps se met à trembler, pourquoi cacher un si lourd secret en soie ... Je savais qu’hier j’aurais dû aller la voir sous ce pont. Des images ou je la voie hurler de douleur sous les coups violent de ce monstre défile dans ma tête. Des voix se fait retentir, les élèves commencent à arriver.

J’essuie une petite larme, et repris mon sang froid. Je me lève, et commence à écrire sur le tableau. Écrivant des exercices sur cet immense rectangle blanc.


Moi : bon eh bien ... Veuillez me recopier ce que j’ai écrit en silence ... Aller au travail !

Je reprend place sur ma chaise, et je vint parcourir le dossier, je voulais en savoir plus sur elle, en savoir plus pour pouvoir l’aider et la soutenir du mieux que je peux même si je ne suis que son professeur et sa tutrice, je voulais à ce moment là être avec elle.

Soudain la porte s’ouvre, laissant place au directeur. Sous mon ordre, tous se lève afin de le saluer.


Directeur : merci, reprenait votre travaille !

Le directeur m’emmène dans le couloir, il ferme la porte gardant sa main sur la poignet, il avait un air grave et affolé à la fois, je me demande se qui se passe.

Directeur – Haruka, un terrible accident viens de se produir !
Moi – de quel accident parlez-vous ?

Il commence vraiment à m’inquiéter. Sa voix est tremblante, et ses yeux trahis toute ses émotions.

Directeur – l’hôpital ma appelé la petite Michiru c’est fait renverser par un camion, le conducteur apparemment ivre. Elle est entrée en bloc opératoire c’est ignoble, tout se qui lui est arrivé, je me demande si cette petite sera un jour heureuse.

Non ... Pas sa, je respire un grand coup et retiens mes larmes qui se font de plus en plus nombreuse et prenante. Je voie les mains du directeur prendre les miennes, et sa voix encore plus tremblante que tout à l’heure résonne.


Directeur – Haruka s’il vous plais, rendez moi cet immense service et allait la voir, Michiru a besoin dès à présent de soutien, et de personne qui l’aime. Je vous met en congé pendant quelques jours afin que vous puissiez vous occuper d’elle.


Je ne le laisse pas poursuivre, que je m’élance vers la sortie en courant. Sprintant à toute allure vers la sortie du lycée. Une fois dehors, je me dirige vers ma voiture, enfonce la clés dans la petite fente, m’attache, et après avoir fait une marche arrière rapide faisant crisper les roues, je parti direction l’hôpital. Pourquoi cela dois lui arriver ? Je ne la connais que depuis hier certe, mais j’ai cette envie de la protéger et l’aimer. L’amour, ce sentiment que j’avais banni pour des raisons personnelle a refait surface, me diriez-vous, mais c’est impossible de tomber amoureuse dès le premier jour, je suis tout à fait d’accord avec sa, mais je ne sais pas, il y a ce quelque chose en moi qui fait que je me sens attirer par Michiru. Serait-je en train de ... De tomber amoureuse ? Je ne sais pas et cela m’effraie un peu. Arrivé à l’hôpital, je me gare, me détache rapidement, et sort du bolide et enclenche l’alarme. Je me dirige donc et toujours en courant, vers l’entrée de l’établissement. Une fois à l’intérieur, je me dirige vers l’accueil et demande :


Moi – bonjour, seriez-vous où je pourrais trouver la chambre de Michiru Kaio s’il vous plais !
Secrétaire – vous êtes ?
Moi – son professeur ainsi que sa tutrice.
Secrétaire – euh... Oui vous monté au troisième étage, c’est la chambre 378 !
Moi – merci bien !


Et dans le calme cette fois ci je me dirige vers l’ascenseur. Une fois à l’intérieur, je presse le bouton 3, et la machine se mit à monter. Rah bon sang, pourquoi aie-je cette peur qu’elle soit ... Je ne pensait pas tenir autant à elle alors que sa ne fait que deux jours seulement que nous nous connaissons, ce n’est pas logique. Quand enfin j’arrive au troisième étage, d’un pat rapide, je longe le couloir et cherche le numéro de chambre de Michiru.

Je la trouve enfin, je souffle un bon coup, et vint pénétrer dans la pièce. Je ferme la porte, et regarde autour de moi. La pièce est grande et vide, il y a juste un lit ou repose Michiru enveloppé dans des couvertures blanche. A sa droite il y a un tabouret et une commode avec un téléphone et un verre d’eau. En hauteur, il y a une télévision, et juste en face prêt de la fenêtre une armoire, et une porte à droite menant sûrement à la salle de bain.


Je m’avance doucement vers le lit, et la regarde quelques minutes. J’approche ma main de son visage, et écarte quelques mèches de ses yeux, laissant mon index descendre le long de sa joue. Sa tête se tourne et ses yeux bleu croisent les miens qui son . Un petit sourire naquis ses lèvres, comme si... Comme si elle était heureuse de me voir.

Je n’ose détourner mes yeux des siens, elle est tellement belle, mon cœur s’emporte violemment dans ma poitrine, je ne sais quoi dire, je continue juste de la regarder avec douceur.

Moi – tu sais que tu m’as fait peur !
Michiru – désolé professeur, je ... Je ne le voulais pas.
Moi - ce n’est rien, le principal, est que tu aille bien, mais tu c’est, tu vas devoir me dire se qui c’est passé !
Michiru – oui je sais, mais ... Si c’est à vous que je dois tout avouer, sa ne me dérange pas.

Je lui sourit, et continue de caresser sa joue, je vint faire descendre la barrière qui nous séparent, et vint prendre place sur le tabouret. Je lui prend délicatement la main, et la caresse comme pour la rassurer, que tout est fini et qu’avec moi, elle ne craint rien.


Michiru – je ... Je suis heureuse que se soit vous et pas quelqu’un d’autre !
Moi – chuut ... Ne dis rien, tout se qui m’importe maintenant c’est que tu te repose !
Michiru – oui je comprend, mais ... Mais sa fait tellement de bien de se sentir importante pour quelqu’un, depuis que je suis petite, père et mère ne m’ont jamais transmit un seul geste d’amour, mon père passait le plus clair de son temps à m’enfermer dans le placard, et mère me donner juste du pain et de l’eau comme si j’étais en prison. Sa fait longtemps que je garde se secret en moi, car à chaque fois j’ai peur que l’ont me juge et que ...

Ses yeux se son encrés dans les miens, et sa main à prit la mienne, ses doigts me serrant contre les siens.

Michiru – et que je soit torturer que soit physiquement ou verbalement. Je n’aie jamais eu d’amis, je ne sais pas se que l’ont peux ressentir quand on aime quelqu’un, je ne sais pas ce que c’est d’être heureuse, et cela me rend et me fait perdre tout sens de la vie. Mon père voulais à tout prix avoir ma garde car mes parents après six ans de vie commune se sont séparé, malgré tout le mal que ma infliger mère elle a voulut me garder, mais elle a ...


Quelques larmes roulent le long de ses joues, mon cœur se serre en la voyant dans cet état, je me lève, et à l’aide d’une petite télécommande qui suspend le long de son lit, je remonte ce dernier, afin que Michiru soit assise. Je pousse le tabouret, et m’assoie sur le matelas, lui prenant le visage entre mes mains et écarte quelques larmes.


Moi – chuut, c’est fini maintenant, tu est en sécurité ici ... Je comprend ta douleur, et je dois avouer que tu as beaucoup de courage pour avoir surmonter tout sa toute seule, mais dit toi une chose, c’est que qu’importe les choix que tu fera, les professeurs et moi-même seront là pour toi et t’épauler, alors si tu as le moindre souci, l’envie de pleurer, ou tout simplement l’envie de te confier viens nous voir nous t’écouterons .... Moi la première.
Michiru – professeur ...

Et sans que je ne dise quoique se soit, Michiru enroule ma nuque et lova sa tête dans mon cou. Bien que surprise du geste, je répond à son étreinte et entoure son dos le caressant doucement. Mon rythme cardiaque s’accelaire de plus en plus, l’odeur qu’émane sa chevelure me parvint aux narine, ils sentent si bon, à cet instant, je fut prise de désir et de tendresse pour elle, je voulais rester à ses côtés la protéger, la voir sourire et heureuse. Je me défait doucement de ses bras, et plonge mon regard émeraude dans ses yeux azure qui son magnifique. Je lui écarte quelques mèches bleutés de ses yeux et lui offre un sourire chaleureux.

Moi – avec nous tu sera en sécurité, je te le promet ma petite Michiru.
Michiru – vous êtes si gentille professeur, vraiment je ...
Moi – chuut ...

Je lui caresse la joue, et descend jusqu’à ses lèvres qui son rose et douce au toucher. Je passe plusieurs fois mon pouce sur sa bouche, créant un geste doux et régulier. Son regard s’attache au mien, et un petit claquement se fait sentir entre mon pouce et ses lèvres. Je ne fait rien, juste à lui sourire tendrement, je n’avait aucune envie de la brusquer ou quoique se soit d’autre, sans que je puisse retenir mes gestes qui étaient un peu déplacer vis à vis d’elle, mon front se colle contre le sien, mes mains prennent son visage, et mes pouces caressent ses joues. Je sent ses mains se poser sur ma poitrine, et ses yeux se ferment, un petit sourire sur ses lèvres. Mon regard s’adouci, et je m’approche un peut plus de son visage. Je sais que ce que je fait est interdit, mais les pulsassions de mon cœur son de plus en plus violent, et ce nœud dans mon estomac reviens, c’en est presque agréable, cette envie de vouloir franchir ce cap entre elle et moi me torture inlassablement. Et sans que je ne me retienne, mes lèvres s’unirent aux siennes.

Je lui caresse les joues, et m’approche un peu plus d’elle. Laissant mon cœur s’exprimer au grès de ses envies. Ce dernier fit un bon dans ma poitrine quand je sentit ses lèvres répondre tendrement à mon baiser. Mon corps tremblait de désir, c’est si agréable, tellement bon, je n’aie pas envie que sa s’arrête, je continue de lui caresser ses joues, et vint mêler tendrement ma langue à la sienne.

Cela fait tellement longtemps que je n’avais plus ressentit ce genre d’émotion, sa fait si longtemps que je ne mettait pas senti aussi bien et libre. Je sent sa langue répondre aux caresses que lui faisait la miennes, non décidément je me sent réellement attiré par elle, et avec une grande douceur je l’embrasse le plus tendrement possible. Mêlant mes doigts dans ses cheveux.

On se décollent doucement, et je la voie rougir, se qui m’adoucie encore une fois. Je lui soulève le menton, et la dévisage longuement.

Moi – n’est pas honte de se que tu est ... D’accord !

Je lui caresse la joue, et vint lui embrasser le front.

Moi – tu devrait te reposer !
Michiru – ne ... Ne partez pas.
Moi – je ne vais pas partir, je vais rester avec toi !
Michiru – merci ...

Je lui sourit et repris place sur le tabouret prenant sa main dans la mienne. Ah ... Je peux encore sentir ses lèvres douce contre les mienne, mon cœur est sur le point de flamber, cela faisait longtemps que je n’avais plus ressentit sa ... Car depuis la séparation de mes parents qui ne mon fourni aucun geste de tendresse j’ai renier ce sentiment si pur et tendre, c’est pour sa que je comprend la douleur de Michru car mon passé équivaut un peu au sien. Sans lui lâcher la main, je prend mon téléphone qui sonnait depuis quelques minutes maintenant.

Moi – oui allo !
Directeur – Haruka, c’est le directeur.
Moi – ah monsieur que désirez-vous ?
Directeur – eh bien je voulais savoir comment aller Michiru !
Moi – elle va bien ne vous inquiétez pas, une infirmière va passer dans quelques minutes, mais je pense qu’il vont la garder en observation pour la nuit.
Directeur – d’accord, et euh ... Après en avoir parler avec les professeurs nous nous sommes mis d’accord que vous pourriez l’heberger ! Vue que vous êtes sa tutrice, bien entendue si cela ne vous dérange pas Haruka.

Je sourit, et la regarde quelques minutes avec douceur, je vint doucement entrecroiser mes doigts avec les siens, et répond avec un léger sourire :

Moi – non absolument pas, donc c’est d’accord.
Directeur – je suis heureux de vous l’entendre dire, sur ceux j’ai une réunion, tenez moi au courant si il y a le moindre changement !
Moi – bien monsieur.

Et sur cette dernière parole, la communication se coupa. Je range mon cellulaire dans ma poche, et vint tourner ma tête vers Michiru afin de la regarder.


Michiru – que ... Voulais monsieur le directeur ?
Moi – rien qui puisse être désagréable, non il ma juste demander si je pouvais t’heberger !
Michiru – quoi mais je ... Je ne veux pas déranger, je c’est que je suis un poids pour tout le monde ...

Je m’approche d’elle, et caresse sa joue, lui faisant comprendre par le regard qu’elle ne me déranger pas le moins du monde ... Et puis, j’ai le sentiment que si je ne fait rien je pourrais la perdre à n’importe qu’elle moment, et c’est quelques chose que je ne souhaite pas connaître.

Moi – tu ne me dérange pas voyons, au contraire Michiru sa me fait plaisir, j’ai donc accepter de m’occuper de toi.
Michiru – merci professeur !
Moi – on va faire une chose.
Michiru – ah oui ? Quoi donc ?

Qu’es ce qu’elle est jolie quand elle est surprise, vraiment.

Moi – au lycée nous seront juste Michiru et le professeur Tenoh, mais une fois à la maison, tu peux m’appeler Haruka.
Michiru – vous ... Vous êtes sur ?
Moi – absolument certaine !
Michiru – merci pour tout se que vous faite pour moi, c’est vraiment gentil.

Et sans que je ne dise quoique se soit, Michiru c’est redresser et ma embrassé. Je sourit, heureuse de se contact que nous avons crée toute les deux. A présent je compter tout faire pour la garder auprès de moi la protéger l’aimer tendrement et la rendre heureuse.

En fin d’après midi une infirmière est passé comme prévu, et nous a affirmé que Michiru resterais en observation pour ce soir et qu’elle ne pourrais sortir que d’ici quelques jours.


Moi – bon eh bien, je vais te tenir compagnie pendant ses quelques jours !
Michiru – merci professeur !
Moi – ce n’est rien voyons.

Je lui embrasse tendrement le front, et resta à ses côtés lui tenant compagnie jusqu’à ce qu’elle puisse sortir.

Bon eh bien voila ce second chapitre est terminé, si cela vous plais toujours laisser vos avis bon ou mauvais.

content
Jeu 17 Oct 2013, 22:59 par HaruxMichi sur Histoires d'amour

Dériver

c’est très joli ce que tu écris là, certes mais très joliment tourné
j’aime ce rythme que tu as posé sur tes phrases.
Jime
Mer 15 Mai 2013, 08:40 par Jime sur L'amour en vrac

Je ne cherchais rien

c’est joli , c’est Jime
Mer 20 Fév 2013, 11:32 par Jime sur L'amour en vrac

Figer le temps

FIGER LE TEMPS (poeme retravaillé)

Je voudrais avoir l’incroyable talent
De pouvoir, un jour, arrêter le temps!
Ce voleur,cet affreux scélérat
Qui emporte le bonheur d’un moment
je voudrais pouvoir le stopper un instant
Pour pouvoir être auprès de toi
Sentir encore la chaleur de ton corps
Étroitement lové contre le mien
Et sentir battre ton cœur à l’unisson
Là, tous les deux on était si bien...
Pressés l’un contre l’autre à n’en former qu’un
Pouvoir encore trembler entre tes bras
Frissonner de tes belles mains apaisantes,
Ces adroites caresses dont je ne me lasse pas,
De baisoter chacune de tes phalanges,
Mon adorable petit ange.
Et couvrir de ma bouche,
En te donnant de tous petits baisers,
Ta belle peau nacrée
C’en serait un plaisir si intense
Que mon cœur cognerait trop fort
Ma respiration en deviendrait saccadée
Des perles de sueur apparaitraient
Dans le halo du rai de lumière
Qui traverserait cette fenêtre.
Dont on aura pas eu le temps
De fermer les volets
Et tout cela nous plairait finalement...
Car on aurait enfin tout le temps
Pour s’aimer comme il se doit
Lun 22 Oct 2012, 09:30 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

La colombe ou la liberté, en destinée

L’amour en vrac? c’est le mot clé de ce texte, l’amour, notre amour est en vrac.
On vit dans un monde de putes, je suis bien d’accord avec ce concept.
Et car on vit dans un monde de putes, l’argent régit le cœur de plus vils d’entre nous.
Pauvre riche, l’argent nous a séparé.
c’est ce qui m’a fait pleurer.
je n’ai pas pleuré de te perdre ou de déception, ça j’en ai l’habitude et je ne pleure plus pour personne car je me suis fortifiée.
Ce fut une obligation dans mon cursus, et mon parcours me l’a permis.
J’ai donc un cœur tendre, sensible, ouvert, tout le temps amoureux, mais désormais bien accroché.
J’ai été programmée pour aimer, programmée pour ne plus sombrer.
Je ne ferais aucune polémique ni aucun débat sur le sujet, ni sur nous deux.
Si je t’écris ce soir je ne sais pas vraiment pourquoi ni ce que j’en attends, ou si je sais, juste me soulager de ces douleurs qui nous ont gagnées.
des malentendus, des discordes, tout ce qui tue l’amour.
Tout ce qui a tué mes sentiments.
Maintenant la haine a remplacé mon amour pour toi, et ce n’est plus de l’amour mais du mépris, de la colère, de la rancune aussi.
Me venger n’est pas au programme, mais combien tu vas payer, ça je sais que tu vas le regretter, tandis que je n’aurais aucun regret.
Un jour tu te diras "ah oui elle avait raison, je réagis trop tard et ne comprends que maintenant, et je regrette: elle me manque etc."
et tu ne seras pas le premier, car dans le genre talent précurseur, j’ai le premier prix et j’ai de l’avance sur toi.
je sais avant toi, ce qui advient, sans ne savoir l’avenir pour autant.
quand je te lis, je n’y comprends rien, ton style est dépareillé, tes mots sont dé-variés, ton cœur avarié...
tu parles d’amour comme on parle du malheur et ça me donne la nausée avant même d’avoir goûté au plat...
tu pourras me rendre tout l’argent que tu me dois ça n’achètera jamais l’effacement de ma peine.
de la peine oui que du matériel nous sépare mais pas étonnant quand je vois que tu me prends pour ton objet.
moi je n’ai qu’un objet c’est les droits de l’homme, les droits de la femme, le droit des enfants, le droit des victimes, et le droit des malades à la dignité.
je me rassemble à quelques bénévoles pour venir en aide à des pauvres gens que cette société a voulu réduire à néant et au silence des plus humiliants.
Humiliation oui, quand au silence se réduit la peur, et quant à la peur se substitue l’angoisse aux tripes.
Trop de salopes courent les rues, font les trottoirs à la recherche du malheur perdu.
Stérile est ce désir suspendu au fil des désillusions.
Puérile est le caprice de l’enfant sous couvert de souffrance donne l’illusion à l’adulte devenu grand qu’il existe.
Je déteste ce que tu fais de moi: je t’insulte à tout va, je t’en veux ou pas, plus ou moins, peu importe il est trop tard pour discuter.
Raccrocher au mieux, parler à un répondeur, pour se déverser des ses non-dits.
Quelle arme brise l’indifférence?
à l’indifférence répondre par l’indifférence et surtout ne jamais verser une larme.
si je pleure ce sera pour la juste cause, pour la noble cause, pour ce monde pourri, qui donne le dégoût, même les rats n’aiment plus cette vie.
avant on parlait d’avenir, pour cette terre, ce jour on ne parle plus que de la sauver...
notre planète, ô terre-mère, pardonne les humains de leur débilité.
pardonne l’humanité d’être aussi stupide que la stupidité.
pardonne nous d’être si petits, si fragiles, si insolents et pour les pires si ingrats.
pardonne nous, car nous sommes foutus.
nous ne sommes plus de ce monde, nous errons, nous traversons notre temps, nous tuons le temps, nous bouffons la vie, nous sombrons...lentement dans ce noir...
dans cette guerre qui nous assaillit, dans la haine, non dans l’erreur mais dans la faute.
la faute de ne plus être solidaires, la faute aux égoïstes, à l’égocentrisme, qui laisse l’autre crever pour ne pas l’aider.
volontairement, certains nuisent à autrui, juste par méchanceté gratuite, et ça, c’est encore pire que la malhonnêteté.
C’est lâche et sournois.
voilà tout ce que tu m’inspires, du noir, et du noir, et encore du noir.
un peu de rouge mais juste pour le sang.
la sang du christ, le sang de ces enfants assassinés au nom d’une religion, le sang dans ton assiette, quand ta viande est saignante...
le sang, voilà ta seule couleur.

Les larmes elles n’ont pas de couleur, elles sont transparentes.
Elles sont translucides, on y voit à travers.
On y voit quoi, du cinéma ou ce qu’on a dans les veines.
Pleure un bon coup, une bonne fois pour toutes, une bonne dépression et après ça ira mieux, crois moi tu ne pleureras plus pour rien.
ah oui, pourquoi pleurais-tu déjà?
car selon toi je te devais quelque chose?
ah bon depuis quand l’amour se doit?
on peut devoir de l’argent mais devoir de l’amour, j’ai jamais vu ça.
à part dans un mariage ou à la limite dans un couple et encore, l’amour n’est pas un devoir mais un état incontrôlable et jamais acquis oui je sais tu n’aimes pas quand je dis ça mais c’est vrai.
oui je sais tu n’aimes pas la vérité.
alors tu veux que je t’en balance un peu de réalité? histoire de réveiller tes neurones qui sont fatiguées mais tiennent des nerfs?
la réalité c’est que j’étais en train de tomber amoureuse de toi, je t’ai aimé, puis après ça me passait un peu tel un coup d’amour éphémère car cela ne marchait pas.
Puis tu revenais, donc à nouveau j’espérais.
à chaque fois je t’aimais un peu plus, je te découvrais, et tu me surprenais.
tu étais comme j’attendais, tu faisais ce que je voulais, enfin à peu près car comme je viens de le souligner du début de notre rencontre à la fin il y a eu des hauts et des bas.
et ce n’est pas parce que je me suis libérée que deux mois après non, c’est car, cela n’allait pas.
tu ne faisais pas ce que je souhaitais, alors je me dispersais j’allais voir ailleurs sans vraiment aller voir ailleurs, mais comprends que mon ressenti partait dans tous les sens.
j’étais perdue et déstabilisée et tu sais pourquoi?
parce que tu n’étais pas là près de moi.
tu étais là, tu me montrais indirectement ton attention et intérêt mais pas vraiment.
tu attendais tout de moi, que je fasse tout, tu me laissais tout te donner, sans lâcher ne serait-ce qu’un aveu.
Tu ne me disais pas que tu m’aimais, tu ne me montrais pas tes sentiments et je souffrais.
tu me laissais seule, le soir, la nuit, le jour, aux repas.
tu me laissais tout faire toute seule, faisant mine de me soutenir mais me laissant bien galérer.
tu te foutais de si j’avais à manger, si j’arrivais à manger, tu te foutais de moi.
tu ne te rendais pas compte de mon mal-être avec toi, du malaise, et du manquement.
je n’étais pas heureuse, et dans la durée.
tu voulais limite que je dorme par terre, tu te moquais que je dorme dans un lit ou dans un canapé comme une pauvre fille.
tu te foutais de m’envoyer au bagne, de me rabaisser car tu te sens toi même dans l’infériorité intellectuelle et que tu peines à comprendre mes collègues et moi.
tu voulais que je supporte tes enfants alors que déjà toi je ne te supporte pas.
je t’ai dit de rester avec tes gosses, et ce n’est pas méchant, mais je ne me vois pas avec tes gosses et toi vu les conflits entre nous deux.
déjà qu’à deux on se dispute alors former une famille harmonieuse est carrément impossible.
il n’y a aucune crédibilité à notre union et pourtant si je t’écris là encore c’est bien que j’étais sincère et que je t’aimais
car pourquoi écrire autant à quelqu’un dont on se fiche?
à ce point, tous ces mots là, ils veulent bien dire quelque chose même si ce n’est pas la quantité qui signifie tout?
pourquoi autant, de choses à te dire et toujours rien à te dire.
car te dire c’est parler à un mur, et ne rien dire, c’est impossible après tout ce qui s’est passé
mes potes me disent de ne pas me prendre la tête, mais c’est dur, de ne pas se prendre la tête, avec tout ce que tu me fais subir
tu m’as martyrisé et je le maintiens encore devant témoins.
tu voudrais que j’oublie que je pardonne et te laisse une seconde chance
que je te dise que tu es prêt.
je sais que ton père t’a manqué enfant et que tu as eu des remontées de souvenirs à ce sujet quant on s’est connus mais ce n’est pas une excuse à tes mauvais gestes à mon égard
le pardon n’a pas de prix, le pardon n’a pas de prix
pour te pardonner il me faudrait des milliers de mots doux réparateurs dont tu es bien incapable
tu ne comprends même pas mon rejet
tu crois que je me suis foutue de toi, que j’ai juste voulu profiter ou du moins me moquer de toi sans rien partager de réciproque alors que c’est totalement faux et c’est pourquoi je te dis que tu te trompes
j’étais vraiment prête à m’investir et à construire
à aller jusqu’au bout des choses avec toi
j’avais envie de toi
j’étais dans mon lit allongée vulnérable à tes formes, à tes lèvres et à tes mains
j’étais sous ton emprise et je t’attendais
j’étais heureuse de t’avoir trouvé
je te pensais mature, et avenant, attentionné, sensible, gentils...
je te pensais quelqu’un de bien.
je n’attendais qu’une chose que tu me rejoignes que je te donne la clé, de chez moi, ou bien que tu me la demandes donnée par avance
je n’attendais qu’une chose, que tu viennes, que tu me prennes dans tes bras
que tu me parles, avec ton corps si ta voix avait un bug
avec tes lèvres pour me dire je t’aime
je voulais que tu viennes là me rassurer, me sentir en sécurité contre toi quand je m’endors
je voulais me mettre en boule sous nos draps et ne plus jamais te quitter
je voulais faire un monde autour de toi, telle une protection, un bonheur entretenu, je me voulais parfaite pour toi, je voulais tout faire et tout le temps pour toi
je me levais le matin j’allais travailler pour toi
je voulais gagner beaucoup d’argent et toujours plus pour que tu sois heureuse car même si l’argent ne fait pas le bonheur je voulais pas que tu te soucies pour tes enfants et les nôtres ( j’en voulais avec toi ) de l’aspect financier
je voulais que si l’on ne travaille pas pour la gloire, qu’on travaille pour être riches, et la gloire viendra avec ou inversement
je voulais te couvrir d’or, et surtout d’amour, pour ne jamais que tu pleures
j’ai sans doute voulu trop te gâter mais je ne peux m’en vouloir si tu en as fait un caprice
je voulais que tu sois fier de moi, que nos enfants soient fiers de leurs parents, de leurs métiers, car comment me sentir une bonne mère si mes enfants ne sont pas fiers de moi?
je ne voulais pas d’un père ou d’une mère ni pauvres ni malheureux
je voulais le bonheur, tout simplement apprendre à s’aimer au fil du temps un peu plus chaque jour
une vie simple, sans préjugés, sans jugements, sans jalousies, sans envies déplacées...
et au lieu de ça la vulgarité a remplacé la douceur, et le langage soutenu
on n’a plus que le mot pute à la bouche quant on a les boules
on sent la violence nous envahir et on a envie de tout casser
de prendre un objet et de le briser
et ça, c’est bien le signe de la fin d’une relation selon moi
quand on a envie de prendre un objet et de l’exploser
puis qu’on se dit pour se rassurer jamais je ne te toucherai toi.
certes jamais je ne te toucherai mais c’est pas l’envie qui m’a manqué donc je préfère tout arrêter oui
je ne suis pas de celle qui reste dans ces conditions.
tu me rends mauvaise, mais vraiment quoi et encore je me retiens et heureusement que d’une part ça ne me fait pas ça sans causalité, d’autre part je sais que je ne suis pas comme ça quand je suis amoureuse
je ne suis plus amoureuse par malheur
je ressens encore des restes
des restes néfastes
une pilule mal digérée...
je ne me sens pas en sécurité avec toi, ni dans une relation avec toi.
tu me fais peur car tu as peur et c’est contagieux la peur.
tu as peur donc j’ai peur.
( face à toi pas les autres c’est pour ça que je vais voir ailleurs enfin que j’aimerais aller voir ailleurs car je ne cherche pas non plus )
j’aurais pu choisir n’importe qui pour te faire mourir de jalousie et je ne l’ai pas fait mais la maladie s’en est chargée et t’as fait mourir de jalousie sans que j’ai besoin d’agir
je pourrais me venger sur plein de points et facilement mais ce n’est pas mes méthodes, j’ai des techniques bien plus au point; je veux juste que justice soit faite, et surtout la paix, que tu me fiches la paix
je ne sais même pas pourquoi on se sépare ni pourquoi tu t’es énervé ainsi quand c’est parti en live entre nous, en premier lieu, car depuis je suis énervée aussi dans une certaine mesure que je tempère beaucoup malgré tout, car je sais que malgré ma colère à toute épreuve et mes forces, je suis plus calme que toi
je suis une fausse calme et toi un faux nerveux
tu t’énerves là mais c’est du cinéma ça aussi comme tes larmes.
c’est pas de la colère mais de l’hystérie
et pas de l’hystérie de conversion et l’hystérie tout court.
c’est pourquoi je n’ai plus aucune compassion envers toi
tu ne souffres pas, tu n’es pas malade physiquement, tu es juste pervers et malade sans doute oui, mais pas d’une maladie qui fait souffrir
tu es bien comme ça dans ta vie, tu te relèves aussi vite que tu tombes car tu voles bien bas...
la voilà la vérité!
je deviendrais cynique si je continue trop à dire ce que je pense de toi et sans vouloir te vexer encore une fois je ne dis que ce que je pense en bien comme en mal
toi tu me crois quand je dis du mal mais pas quand je dis du bien.
c’est ça qui est fou.
non?
moi je voulais sortir avec toi, voilà faut être clair, enfin je ne disais pas non car je ne savais pas clairement si un partage était possible tu sais maintenant que ce qui compte n’est pas le désir mais le partage donc l’amour, et que l’amour sans partage n’en est pas, enfin j’espère qu’au moins tu as compris ça.
si je t’ai appris au moins une chose, j’en suis ravie.
voilà je t’ai écrit un roman qui ne changera rien à notre sort désespéré;
je voulais sortir avec toi et au dernier moment tu m’as dégagé mais tu prétends que tu avais une bonne raison ou que c’est moi qui me suis défilée ou je ne sais pas quoi
je ne t’ai jamais dit que tu étais qu’un ami pour moi, jamais, ça aussi tu l’as inventé
j’ai peut être employé ce terme une fois à ton égard car je ne pouvais pas te dire mieux que ça sur ta ligne professionnelle comme ça.
je voulais te dire mon amour en face et en tête à tête donc seule à seul.
je ne voulais pas de tous ces gens dont tu nous entourais
je ne comprenais pas pourquoi tu avais besoin de parler de moi à tout le monde alors que je suis la première et seule concernée
et tout le monde sait mieux que moi ce que tu ressens pour moi car à moi tu ne dis jamais rien
tu es ce silence qui m’exaspère, pas celui des églises, pas celui des églises...
tu ne dis rien ou que de la merde, tu ne fais rien ou que de la merde, je ne sais même plus quand tu as fait un truc bien pour moi, ça doit faire si longtemps.
j’ai mal de voir à quel point je ne te comprends pas, de a à z, et sans parler de normal, je ne trouve pas ça bien
je sais pas tu as cru que je voulais aller voir quelqu’un d’autre alors que je n’ai eu personne d’autre depuis toute cette histoire
je ne sais pas ce que tu croyais
que je pensais qu’à mon travail, mais il me faut bien travailler pour te satisfaire, voudrais tu d’une femme sans profession?
c’est ça pour mère de tes enfants que tu veux? ou tu veux que nos enfants soient fiers de moi et de mon travail?
c’est pas pour moi et t’oublier que je faisais tout ça c’était pour nous et notre avenir
pour que notre couple soit stable comme nos emplois
je ne voulais pas faire passer le travail avant ni le reste avant mais tout passait comme priorités pour moi
car si je suis mal dans mon travail comment je pourrais être bien avec toi ou dans ma vie?
c’est mon épanouissement.
je voulais travailler avec toi en couple en plus donc bon je pense justement que je sacrifiais une partie de mon travail pour toi et pour tout partager et travailler avec toi
qui a fait des efforts et sacrifices pour me rapprocher de toi
qui a renoncé à une partie presque majeure de son emploi du temps
qui s’est rendue libre et sans jamais te faire sentir que tu étais de trop dans ma vie
qui a fait une place pour toi à mes côtés
qui bordel qui?
je ne trouve plus les mots non avec toi, et je n’y capte rien et vu que tu ne t’expliques cela restera un malentendu dans ce bas monde où l’on n’a plus de facilités à détruire qu’à construire...
c’est ce qui est , je suis en vrac, comme notre amour, tout part en vrille, ça part en couille, mes textes donnent la gerbe car c’est la merde....
comment te dire hein que toi sans moi ça veut dire quoi?
putain pourquoi on complique toujours tout dans cette putain de vie de merde, hein pourquoi?
ce serait si simple de se boire un petit café, de se dire ce qu’on pense et de se réconcilier, même si l’on doit en venir aux faits et donc soit se mettre ensemble soit oublier cette idée.
je n’arrive plus à aimer, enfin, je n’arrive plus à t’aimer
tu dis que tu m’aimes mais tu me maltraites alors je me dis que ta vision n’est pas la mienne
que nous ne sommes pas sur la même longueur d’ondes
un jour d’ailleurs le jour où tout s’est effondré, tu m’as dit nous n’avons pas les mêmes attentes et je n’ai pas compris pourquoi
maintenant je me dis que tu pensais que je ne voulais pas de toi
et je ne sais pas pourquoi tu pensais ça
ensuite concernant la fidélité, il y a bien longtemps que je suis fidèle, et ça aussi j’ai appris à gérer une situation sans tomber dans ce panneau, dans lequel on peut facilement s’adonner quant on n’a pas eu le bon coach à un moment dans sa vie.
c’est pour ça que je suis célibataire, entre autres, car je ne me vois pas encore fidèle à quelqu’un alors que je n’ai personne forcément comment pourrais-je être fidèle célibataire?
je ne trompe personne forcément car je n’ai personne
je suis seule et par choix, j’ai quitté mon conjoint car ça n’allait plus et je n’ai aucun regret
vaut mieux être seule que mal accompagnée, je dis non merci à la banalité
je dis non merci aux mensonges
je dis non merci aux enfers, et aux cauchemars, je dis non merci à tout ça
alors je suis seule oui, seule pour être libre de m’ouvrir enfin à la bonne personne un jour ou l’autre
demain, ou un peu plus loin, devant, l’horizon n’est pas tracé, l’horizon nous attend vierge et disposé à nous combler
je suis amnésique du futur, car je ne me souviendrai que du bon, que de celui que je garderai pour toujours.
ce ne fut pas toi, dommage, j’aurais bien aimé ne pas me tromper, ne pas nous tromper, ne pas se tromper, en ce sens là oui je te l’accorde nous nous sommes bien trompés.
nous avons cru changer le monde, nous avons cru trouver en l’autre ce qu’on cherchait, et en revanche nous avons souffert...
si dieu existait, il ne laisserait pas ça se passer, ou bien alors il existe et forme le destin.
tu n’es donc peut être pas destiné.
la liberté, je la concède contre un mari,

je marie ma liberté à mon futur mari.
que j’aime par avance forcément.
comment pourrais-je ne pas l’aimer?
on ne se marie pas pour se marier, enfin pas de nos jours, et pas lorsqu’on est normalement constitué
on se marie par amour, par engagement, car on pense avoir trouvé la bonne personne, et surtout car on se sent prêt
voilà la vérité
je n’ai pas d’enfants et que dieu m’en préserve tant que l’amour ne sera pas au rendez-vous et tant que la haine avortera mes enfants.
Ven 20 Juil 2012, 23:53 par inlove sur L'amour en vrac

Voir tes reves s'accomplir


À l’heure où lentement le soleil se couche
Où les rues se vident de toutes ces personnes
Où les silences s’installent et résonnent
Où les êtres s’approchent et se touchent
Il est un rêve que je fais très souvent
Qui serait, du destin, un vrai présent
Je voudrais pouvoir détenir ce talent
D’effacer de ton visage ce tourment
Qui le rend si âpre, si , si dur...
Je voudrais te voir sourire mon amour

D’une simple tendre caresse
Effacer cette souffrance morale
Et faire s’évanouir cette tristesse
D’une fougueuse approche buccale
Qui laisserait une empreinte si vivace
Sur ton cœur meurtri à jamais
Qu’elle gommerait ce stigmate tenace
Dont la douleur, moi seule, connais
Et te parcourir des paumes de mes mains
Pour que ma chaleur irradie tes demains

Pouvoir, juste du bout des doigts,
Atteindre et caresser ton âme
Calmer ses tourments et ses émois
Et te faire oublier ce drame
Qui t’enleva toute innocence
Je voudrais te voir rire à nouveau de joie
Faire éclater ton adolescence
En étant chaque instant près de toi
Pour qu’en toute insouciance,
Tu puisses de la revivre avec moi

Je voudrais, d’une main protectrice,
Éloigner à jamais, de toi, le malheur
Tandis que d’une main consolatrice
J’étendrais du baume sur ton cœur
Soignant cette douloureuse cicatrice
Qui met un frein à notre bonheur
Je veux que notre union soit propice
Pour un renouveau purificateur
Qui nous ouvrirait les portes d’un avenir
Qui permettrait à tes rêves de s’accomplir
Sam 16 Juin 2012, 10:14 par caressedesyeux sur L'amour en vrac
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