Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur valeur - Page 4 sur 4
le conseiller matrimonial
Tu viens d’avoir 20 ans.Ton visage s’illumine souvent du sourire de celles qui n’ont pas encore souffert par amour. Ton regard ne porte pas les stigmates de l’indifférence et de la trahison. Tu découvres la séduction et ses jeux, l’amour et ses enjeux. Tu t’ouvres à ta vie de femme. tu cherches en chaque homme un goût différent, une saveur insoupçonnée. Tu batifoles, tu butines, tu vas de peaux en peaux. Vite lassée, jamais rassasiée, tu agaces beaucoup de tes congénères, sans doute jalouses et aigries. Certainement envieuses de la facilité avec laquelle tu appâtes ces messieurs, qu’elles jugent alors béta et sans consistance.
Ce soir nous nous sommes retrouvés dans cette boîte où nos habitudes laissent peu de place à la découverte. Tu es accompagnée de ton petit ami, le dernier, enfin le nouveau...bref pas le même que la semaine dernière ni que le prochain de la semaine à venir. Avec lui tu sirotes un verre autour d’une table minuscule installée dans un coin obscur. Tu ne sembles pas très intéressée par votre conversation. Tu jettes un regard à droite, à gauche, comme si tu attendais quelqu’un.
Tu viens de temps en temps vers moi. Accoudés au comptoir, nous échangeons quelques mots...je sens que tu as envie de parler, mais, comme toujours, je ne jouerai pas le jeu, je sourirai pour acquieser, j’économiserai mes mots pour leur donner plus de valeur. Tu me parles de toi, de lui, de vous deux ensemble. De ce qu’il est par rapport à tes anciennes conquêtes, de ce qu’il n’est pas vis à vis de tes envies et espérances du futur.
Tu repars vers lui, l’embrasses, passes une main dans ses cheveux...puis silences et regards vides. Retour à moi.
Tu ne l’aimes pas...enfin tu n’es pas très sure...tu te demandes si tu dois le quitter demain ou dans 3 jours...mais tu l’aimes quand même un peu finalement. Tu ne sais plus...tu n’as jamais su, tu veux mon avis.
Ainsi s’avance la soirée, tu sautilles de lui à moi, de moi à lui. Je suis un peu géné. Il doit se demander qui je suis. Tu le délaisses presque, passes toujours plus de temps avec moi. Tu t’épanches, tu te livres, tu te confies.
Avec tendresse et affection, et en même temps si froid et chirurgical, je vais te poser deux ou trois questions sur toi, sur lui aussi un peu, sur la façon dont tu vois l’amour surtout. Je dépose ici et là quelques banalités sur les rapports hommes-femmes, la séduction et le désir. Tes grands yeux de chatte s’ouvrent ronds comme des billes, surpris par la découverte. Tu dévoiles un sourire géné, regardes le bout de tes chaussures...et si moi "le vieux" j’avais un peu raison ?
J’avale un dernier verre, je te laisse.
Une semaine plus tard, tu m’apprendras que tu as quitté ton petit ami à la fin de cette soirée. Tu as l’air plutôt contente de toi. Depuis ce jour, tu me surnommes ton "conseiller matrimonial".
Tu dis que de l’amour je parle comme un livre.
Que de tes doutes sur le sujet je te délivre.
Si tu savais...
La tulipe
Ce soir nous nous sommes retrouvés dans cette boîte où nos habitudes laissent peu de place à la découverte. Tu es accompagnée de ton petit ami, le dernier, enfin le nouveau...bref pas le même que la semaine dernière ni que le prochain de la semaine à venir. Avec lui tu sirotes un verre autour d’une table minuscule installée dans un coin obscur. Tu ne sembles pas très intéressée par votre conversation. Tu jettes un regard à droite, à gauche, comme si tu attendais quelqu’un.
Tu viens de temps en temps vers moi. Accoudés au comptoir, nous échangeons quelques mots...je sens que tu as envie de parler, mais, comme toujours, je ne jouerai pas le jeu, je sourirai pour acquieser, j’économiserai mes mots pour leur donner plus de valeur. Tu me parles de toi, de lui, de vous deux ensemble. De ce qu’il est par rapport à tes anciennes conquêtes, de ce qu’il n’est pas vis à vis de tes envies et espérances du futur.
Tu repars vers lui, l’embrasses, passes une main dans ses cheveux...puis silences et regards vides. Retour à moi.
Tu ne l’aimes pas...enfin tu n’es pas très sure...tu te demandes si tu dois le quitter demain ou dans 3 jours...mais tu l’aimes quand même un peu finalement. Tu ne sais plus...tu n’as jamais su, tu veux mon avis.
Ainsi s’avance la soirée, tu sautilles de lui à moi, de moi à lui. Je suis un peu géné. Il doit se demander qui je suis. Tu le délaisses presque, passes toujours plus de temps avec moi. Tu t’épanches, tu te livres, tu te confies.
Avec tendresse et affection, et en même temps si froid et chirurgical, je vais te poser deux ou trois questions sur toi, sur lui aussi un peu, sur la façon dont tu vois l’amour surtout. Je dépose ici et là quelques banalités sur les rapports hommes-femmes, la séduction et le désir. Tes grands yeux de chatte s’ouvrent ronds comme des billes, surpris par la découverte. Tu dévoiles un sourire géné, regardes le bout de tes chaussures...et si moi "le vieux" j’avais un peu raison ?
J’avale un dernier verre, je te laisse.
Une semaine plus tard, tu m’apprendras que tu as quitté ton petit ami à la fin de cette soirée. Tu as l’air plutôt contente de toi. Depuis ce jour, tu me surnommes ton "conseiller matrimonial".
Tu dis que de l’amour je parle comme un livre.
Que de tes doutes sur le sujet je te délivre.
Si tu savais...
La tulipe
Dim 06 Juin 2004, 00:23 par
la_tulipe_noire sur Un monde parfait
Jugement de valeur
Je ne cherche pas à me défendre ou à justifier une position qui est la mienne sur une situation réelle ou imaginaire.
Mais je n’apporte pas de jugement de valeur sur les écrits d’autrui. Ce qui est considéré comme "sans fond" par le censeur est un texte comme un autre qui n’a pas vocation à soulever débat, loin de là...Et je m’excuse auprès de ceux que j’aurais choqués, ce n’était nullement mon intention.
Je ne révoque pas la paternité ni le couple parental, je n’en ai ni la vocation ni une quelconque légitimié à le faire...je laisse aux sociologues et autres faire leur métier.
On fait un enfant par envie et par amour et cet amour est tel qu’il est au moment présent,un enfant n’est pas une "solution de rechange" ni surtout une monnaie d’échange quelconque.
De toutes façons, nous n’avons aucun droit de regard sur ce qui se passe entre elle et lui, ce n’est pas je pense la vocation de ce site...Chacun mène sa barque comme il l’entend et permettez moi de me considérer comme un observateur exterieur d’elle et lui.
Mais je n’apporte pas de jugement de valeur sur les écrits d’autrui. Ce qui est considéré comme "sans fond" par le censeur est un texte comme un autre qui n’a pas vocation à soulever débat, loin de là...Et je m’excuse auprès de ceux que j’aurais choqués, ce n’était nullement mon intention.
Je ne révoque pas la paternité ni le couple parental, je n’en ai ni la vocation ni une quelconque légitimié à le faire...je laisse aux sociologues et autres faire leur métier.
On fait un enfant par envie et par amour et cet amour est tel qu’il est au moment présent,un enfant n’est pas une "solution de rechange" ni surtout une monnaie d’échange quelconque.
De toutes façons, nous n’avons aucun droit de regard sur ce qui se passe entre elle et lui, ce n’est pas je pense la vocation de ce site...Chacun mène sa barque comme il l’entend et permettez moi de me considérer comme un observateur exterieur d’elle et lui.
Jeu 03 Juin 2004, 16:33 par
personnel.et.confidentiel sur L'amour en vrac
Portrait chinois
Si tu étais un dessert, tu serais une glace au citron.
Froid, amer, acide à la première bouchée,
Ta saveur tendre, douce et sucrée
Se dévoile et explose en mille neutrons
Si tu étais un personnage célèbre, tu serais le soldat inconnu.
Tous te connaissent et attestent de ta valeur,
Mais aucun ne connait tes combats, ce que recèlent tes profondeurs
Seul au milieu de tous, jamais tu ne mets ton âme à nu
Si tu étais un moment de la journée, tu serais la seconde avant le lever du soleil
Jamais totalement la nuit, jamais totalement le jour
Tu navigues entre deux mondes cherchant depuis toujours
La vie qui sera la tienne, tu attends l’éveil
Si tu étais un tableau, tu serais "La grande famille" ( Magritte)
Au milieu de ta tempète, perdu en pleine mer
Tu gardes au fond de toi, un petit coin de mystère
Un lieu de repos, une presqu’île
Si tu étais un phénomène naturel, tu serais la rosée
Tu apparais dans mes pensées le matin,
Comme un souvenir de mes rêves coquins
Qui me laisse humide et rassasiée
Si tu étais une chanson, tu serais "Le SOS d’un terrien en détresse"
Tu as parfois trop les pieds sur terre
Te demandant où est ta place, tu t’enterres
Ecoute ma voix, oublie ta tristesse.
Et pour vous... que serait-il/elle ?
Froid, amer, acide à la première bouchée,
Ta saveur tendre, douce et sucrée
Se dévoile et explose en mille neutrons
Si tu étais un personnage célèbre, tu serais le soldat inconnu.
Tous te connaissent et attestent de ta valeur,
Mais aucun ne connait tes combats, ce que recèlent tes profondeurs
Seul au milieu de tous, jamais tu ne mets ton âme à nu
Si tu étais un moment de la journée, tu serais la seconde avant le lever du soleil
Jamais totalement la nuit, jamais totalement le jour
Tu navigues entre deux mondes cherchant depuis toujours
La vie qui sera la tienne, tu attends l’éveil
Si tu étais un tableau, tu serais "La grande famille" ( Magritte)
Au milieu de ta tempète, perdu en pleine mer
Tu gardes au fond de toi, un petit coin de mystère
Un lieu de repos, une presqu’île
Si tu étais un phénomène naturel, tu serais la rosée
Tu apparais dans mes pensées le matin,
Comme un souvenir de mes rêves coquins
Qui me laisse humide et rassasiée
Si tu étais une chanson, tu serais "Le SOS d’un terrien en détresse"
Tu as parfois trop les pieds sur terre
Te demandant où est ta place, tu t’enterres
Ecoute ma voix, oublie ta tristesse.
Et pour vous... que serait-il/elle ?
Dim 30 Mai 2004, 21:03 par
la marquise de sade sur L'amour en vrac
Avorton de texte....
C’est la course folle et effrénée,
C’est la vie qui, un instant, a dérapé,
Les gens qui m’entourent commencent par m’exaspérer,
Serait-ce si impossible d’utiliser le verbe apprécier
A sa juste valeur,
Les essences du bonheur ?
Fixer ces moments fugaces
Arrêter ceux là, les plus cocasses.
Mais les choses il faut dire
Et c’est aussi conjuguer le verbe rire
Rire parce qu’on est vivant
Vivre parce qu’on fait semblant....
Boire à grandes gorgées
Les petits plaisirs moments partagés
S’encenser des effluves épicées
Se fondre dans le décor calciné...
pfffff inspiration arrêtée nette, je sais pas pourquoi...
Bisous de moi
(...tiens, je re re-rime !!!)
C’est la vie qui, un instant, a dérapé,
Les gens qui m’entourent commencent par m’exaspérer,
Serait-ce si impossible d’utiliser le verbe apprécier
A sa juste valeur,
Les essences du bonheur ?
Fixer ces moments fugaces
Arrêter ceux là, les plus cocasses.
Mais les choses il faut dire
Et c’est aussi conjuguer le verbe rire
Rire parce qu’on est vivant
Vivre parce qu’on fait semblant....
Boire à grandes gorgées
Les petits plaisirs moments partagés
S’encenser des effluves épicées
Se fondre dans le décor calciné...
pfffff inspiration arrêtée nette, je sais pas pourquoi...
Bisous de moi
(...tiens, je re re-rime !!!)
Mar 20 Avril 2004, 10:16 par
à mon étoile sur L'amour en vrac
Errance sur les rives de l'incertitude
4h est loin encore,
demain c’est déjà aujourd’hui,
moins loin, mais encore si loin d’attendre encore un peu.
Le sommeil toujours fini par l’emporter,
et d’hier, aujourd’hui et demain
il ne fera plus qu’un.
4h est loin encore,
demain est déjà aujourd’hui,
d’incertitudes il demeure,
d’inattendu il aurait pu être.
Les cartes n’ont peut être pas de valeur identique
suivant qui les tient en main.
4h est loin encore,
si proche pourtant,
mais si inconnu, si insondable.
4h et Paris dormira encore un peu,
au loin, si loin de tout autre destination.
4h c’est bientôt,
1h, 60mn, 3600 secondes,
et de temps au détail s’agrandit alors sa distance,
d’interrogation sans réponse,
de pourquoi et de non.
4h c’est du rêve,
4h n’est peut être pas réalité,
4h sera peut être éphémère de ce jour.
4h et toujours 4h, qui,
telle une horloge de ses tic tac,
éloigne obsessionnellement le sommeil.
4h et le temps qui passe,
4h et la fuite peut être,
4h et les je veux,
mais les pourquoi aussi qui agressent.
4h et ce sera l’instant alors,
d’affronter ou de sombrer.
4h et s’il n’est pas trop tôt,
il pourrait être trop tard.
4h et je ne sais plus,
4h s’il l’était déjà,
4h de temps écoulé,
4h de temps perdu,
4h de rapprochement,
4h aussi l’éloignement.
4h le risque se paie
4h ne vaincra pas pour autant.
4h, 4h, 4h,
un chiffre,
une lettre,
et tout semble tenir à ce fil.
4h, 4h, 4h,
telle une montagne à gravir,
et d’une falaise à plonger.
4h, 4h, 4h,
pourquoi pas,
soyons fous et osons.
4h, 4h, 4h,
le temps s’égraine encore et toujours,
irrémédiablement.
4h, et le sommeil l’emporte,
4h, si proche du temps,
4h, la peur au ventre,
4h, la fuite en avant,
4h, affronter est trop dur,
4h, le doute sera-t-il alors vainqueur?
4h, je vous quitte,
tous les dormeurs ne seront pas présents,
sur les heures qui s’en suivront,
les distances glisseront,
le temps s’ecoulera encore,
et les questions s’envoleront.
4h, Paris dort encore,
4h, je m’endors.
demain c’est déjà aujourd’hui,
moins loin, mais encore si loin d’attendre encore un peu.
Le sommeil toujours fini par l’emporter,
et d’hier, aujourd’hui et demain
il ne fera plus qu’un.
4h est loin encore,
demain est déjà aujourd’hui,
d’incertitudes il demeure,
d’inattendu il aurait pu être.
Les cartes n’ont peut être pas de valeur identique
suivant qui les tient en main.
4h est loin encore,
si proche pourtant,
mais si inconnu, si insondable.
4h et Paris dormira encore un peu,
au loin, si loin de tout autre destination.
4h c’est bientôt,
1h, 60mn, 3600 secondes,
et de temps au détail s’agrandit alors sa distance,
d’interrogation sans réponse,
de pourquoi et de non.
4h c’est du rêve,
4h n’est peut être pas réalité,
4h sera peut être éphémère de ce jour.
4h et toujours 4h, qui,
telle une horloge de ses tic tac,
éloigne obsessionnellement le sommeil.
4h et le temps qui passe,
4h et la fuite peut être,
4h et les je veux,
mais les pourquoi aussi qui agressent.
4h et ce sera l’instant alors,
d’affronter ou de sombrer.
4h et s’il n’est pas trop tôt,
il pourrait être trop tard.
4h et je ne sais plus,
4h s’il l’était déjà,
4h de temps écoulé,
4h de temps perdu,
4h de rapprochement,
4h aussi l’éloignement.
4h le risque se paie
4h ne vaincra pas pour autant.
4h, 4h, 4h,
un chiffre,
une lettre,
et tout semble tenir à ce fil.
4h, 4h, 4h,
telle une montagne à gravir,
et d’une falaise à plonger.
4h, 4h, 4h,
pourquoi pas,
soyons fous et osons.
4h, 4h, 4h,
le temps s’égraine encore et toujours,
irrémédiablement.
4h, et le sommeil l’emporte,
4h, si proche du temps,
4h, la peur au ventre,
4h, la fuite en avant,
4h, affronter est trop dur,
4h, le doute sera-t-il alors vainqueur?
4h, je vous quitte,
tous les dormeurs ne seront pas présents,
sur les heures qui s’en suivront,
les distances glisseront,
le temps s’ecoulera encore,
et les questions s’envoleront.
4h, Paris dort encore,
4h, je m’endors.
Sam 20 Mars 2004, 15:45 par
Ri1kedesBêtises sur L'amour en vrac
A l'attaaaaaaaaaaaaaaque !
Allez hop, en ce jeudi 11 Mars 2004, je sauvegarde la base de données histoire de lancer la confection de l’opus II du forum des âmes tendres.
Extraction des textes, mise en page, correction par notre troupe de correcteurs, il y a du travail, c’est moi qui vous le dit. Mais bon, il faut bien récompenser tout ces jolis posts par un recueil les mettant en valeur !
A priori, cet opus sera disponible en téléchargement d’ici deux ou trois semaines. Patience, patience ...
Extraction des textes, mise en page, correction par notre troupe de correcteurs, il y a du travail, c’est moi qui vous le dit. Mais bon, il faut bien récompenser tout ces jolis posts par un recueil les mettant en valeur !
A priori, cet opus sera disponible en téléchargement d’ici deux ou trois semaines. Patience, patience ...
Jeu 11 Mars 2004, 12:55 par
PetitPrince sur Edito
les dessous masculins
Eh bien personellement, j adore le shorty.
Ce petit boxer moulant met en valeur les formes que beaucoup d’entre vous se complaisent, mine de rien, à regarder dés que nous avons le dos tourné.
Et lorsque nous vous emmenons chez nous et qu’on avance un peu dans nos relations, vos yeux petillent tels des feux d artifice lorsque vous decouvrez ces petites fesses rebondies.
C’est ce que j’ai trouvé de plus pratique.Le slip?.. bof on en a mis toute notre enfance il est temps de changer.
Le string ... alors las c’est euh tres inconfortable
une chose est sure, je ne porterais pas ca pour sortir ...
Le calecon maintenant. Trop volant à mon gout, il est impossible de marcher/courir sans avoir une trés desagreable impression (experience vecue en sport... la honte de ma vie... surtout lorsqu’on est en secretariat et qu’il n’y a que des demoiselles autour de vous
)
Ce petit boxer moulant met en valeur les formes que beaucoup d’entre vous se complaisent, mine de rien, à regarder dés que nous avons le dos tourné.

Et lorsque nous vous emmenons chez nous et qu’on avance un peu dans nos relations, vos yeux petillent tels des feux d artifice lorsque vous decouvrez ces petites fesses rebondies.
C’est ce que j’ai trouvé de plus pratique.Le slip?.. bof on en a mis toute notre enfance il est temps de changer.
Le string ... alors las c’est euh tres inconfortable
une chose est sure, je ne porterais pas ca pour sortir ...
Le calecon maintenant. Trop volant à mon gout, il est impossible de marcher/courir sans avoir une trés desagreable impression (experience vecue en sport... la honte de ma vie... surtout lorsqu’on est en secretariat et qu’il n’y a que des demoiselles autour de vous

Jeu 05 Fév 2004, 21:40 par
MaStErGrAhAm sur L'amour en vrac
J'irai au bout de ce rêve - Partie 2
Je me dirige alors vers une une lourde porte en bois précieux. Quelques ferronneries anciennes lui donnent l’aspect de l’entrée de ces hôtels particuliers que l’on découvre parfois au hasard de promenades insouciantes dans Paris. Tout ici dégage d’ailleurs une impression de luxe ordonné, chaud et parfumé… accueillant en somme. Pas ce luxe ostentatoire dont raffolent parfois les gens qui gagnent trop d’argent.
Dans le même mouvement je frappe et j’entre dans le bureau. Une femme d’environ 35 ans s’approche de moi et me tend la main :
-« Bonjour Monsieur L….., Sandrine Myriam, enchantée de vous rencontrer ! »
-« Tout le plaisir est pour moi, merci de m’accueillir dans vos bureaux »
La pièce est vaste et lumineuse. Le mobilier plutôt moderne et sobre. Une bibliothèque bourrée de livres égaye un pan de mur. Une toile colorée et géométrique apporte une petite touche de fantaisie à l’ensemble. Au sol, une épaisse moquette gris souris donne l’impression enivrante de marcher sur des nuages.
Après quelques échanges de politesse je suis invité à m’asseoir dans un fauteuil confortable. Elle s’installe en face de moi, de l’autre côté de son bureau, dans un fauteuil identique au mien. Je remarque ce détail car souvent les gens qui veulent se donner trop d’importance se permettent un fauteuil surdimensionné et luxueux, laissant à leurs invités de vulgaires chaises défraîchies.
Ainsi installé, je peux alors m’attarder sur son visage. Et si jusqu’à présent je considérais cette affaire comme une corvée, la beauté de ma future collaboratrice me fit comprendre que la lourdeur prévue du travail serait beaucoup plus agréable à supporter.
Des cheveux couleur charbon tombant sur ses épaules encadrent des yeux en amandes d’une noirceur tout aussi profonde. Ceci lui donne un air assez strict malgré une bouche gourmande et des fossettes rieuses.
L’importance de l’affaire en cours me fit vite oublier cette délicieuse impression, et nous commençâmes notre travail selon l’agenda pré-établi quelques semaines auparavant par téléphone.
Je devais tout d’abord lui présenter les aspects les plus techniques du dossier, pour lui faire découvrir les fondements de l’affaire et les rudiments d’un domaine qu’elle ne maîtrisait pas.
Un écran était prévu à cet effet dans un coin du bureau. Je pouvais y faire défiler la présentation que j’avais soigneusement préparé sur mon ordinateur portable. Je me levais pour détailler mes propos et insister sur les points importants. Elle était restée à son bureau, attentive, prenant même quelques notes sur un petit carnet. Avec sérieux et application, je poursuivais mon discours, bien décidé à démarrer cette affaire tambour battant. Seul le regard de mon unique spectatrice me perturbait. Ses yeux semblaient s’arrêter de temps à autre sur moi, ou devrais-je dire sur certaines parties de mon corps qu’elle examinait avec délectation. Je me disais que tout ça n’était que le fruit de mon imagination, ce qui provoqua chez moi un sourire intérieur. Je n’étais que plus détendu malgré l’importance du moment. J’allais même jusqu’à soupçonner Madame Myriam de noter sur son carnet des commentaires sur mes yeux ou mes fesses au lieu de se concentrer sur l’écran.
Ma présentation terminée, après qu’elle m’eut posé quelques questions sur un vocabulaire un peu obscur pour elle, nous échangeâmes alors les rôles. Je repris ma place alors qu’elle se leva pour se placer à gauche de l’écran et démarrer sa présentation.
Elle n’était pas très grande, 1m65 tout au plus, mais dégageait pourtant une classe et une assurance indéniable. Elle était vêtue d’un pantalon et d’un pull noir, ce qui avec ses cheveux lui donnait un côté très sombre. L’ensemble mettait néanmoins en valeur une étole de soie rose orangé, élégamment enroulée autour de son cou.
De mon côté, ne maîtrisant en rien le langage juridique j’essayais de me concentrer sur ses explications. Mais mon attention s’attardait surtout sur des détails beaucoup moins sérieux. Là, son pull légèrement serré qui laissait deviner une poitrine mesurée mais ferme. Ou encore ses mains, fines et sans sophistication, les ongles subtilement recouverts d’un vernis translucide.
Le moment passa très vite bien qu’ayant duré presque une heure. J’attendis qu’elle reprenne sa place sur son siège pour lui poser quelques questions. Elle me répondit clairement bien que paraissant un peu lasse. Cela faisait deux heures maintenant que nous avions commencé à travailler. Un léger silence suivit.
Dans le même mouvement je frappe et j’entre dans le bureau. Une femme d’environ 35 ans s’approche de moi et me tend la main :
-« Bonjour Monsieur L….., Sandrine Myriam, enchantée de vous rencontrer ! »
-« Tout le plaisir est pour moi, merci de m’accueillir dans vos bureaux »
La pièce est vaste et lumineuse. Le mobilier plutôt moderne et sobre. Une bibliothèque bourrée de livres égaye un pan de mur. Une toile colorée et géométrique apporte une petite touche de fantaisie à l’ensemble. Au sol, une épaisse moquette gris souris donne l’impression enivrante de marcher sur des nuages.
Après quelques échanges de politesse je suis invité à m’asseoir dans un fauteuil confortable. Elle s’installe en face de moi, de l’autre côté de son bureau, dans un fauteuil identique au mien. Je remarque ce détail car souvent les gens qui veulent se donner trop d’importance se permettent un fauteuil surdimensionné et luxueux, laissant à leurs invités de vulgaires chaises défraîchies.
Ainsi installé, je peux alors m’attarder sur son visage. Et si jusqu’à présent je considérais cette affaire comme une corvée, la beauté de ma future collaboratrice me fit comprendre que la lourdeur prévue du travail serait beaucoup plus agréable à supporter.
Des cheveux couleur charbon tombant sur ses épaules encadrent des yeux en amandes d’une noirceur tout aussi profonde. Ceci lui donne un air assez strict malgré une bouche gourmande et des fossettes rieuses.
L’importance de l’affaire en cours me fit vite oublier cette délicieuse impression, et nous commençâmes notre travail selon l’agenda pré-établi quelques semaines auparavant par téléphone.
Je devais tout d’abord lui présenter les aspects les plus techniques du dossier, pour lui faire découvrir les fondements de l’affaire et les rudiments d’un domaine qu’elle ne maîtrisait pas.
Un écran était prévu à cet effet dans un coin du bureau. Je pouvais y faire défiler la présentation que j’avais soigneusement préparé sur mon ordinateur portable. Je me levais pour détailler mes propos et insister sur les points importants. Elle était restée à son bureau, attentive, prenant même quelques notes sur un petit carnet. Avec sérieux et application, je poursuivais mon discours, bien décidé à démarrer cette affaire tambour battant. Seul le regard de mon unique spectatrice me perturbait. Ses yeux semblaient s’arrêter de temps à autre sur moi, ou devrais-je dire sur certaines parties de mon corps qu’elle examinait avec délectation. Je me disais que tout ça n’était que le fruit de mon imagination, ce qui provoqua chez moi un sourire intérieur. Je n’étais que plus détendu malgré l’importance du moment. J’allais même jusqu’à soupçonner Madame Myriam de noter sur son carnet des commentaires sur mes yeux ou mes fesses au lieu de se concentrer sur l’écran.
Ma présentation terminée, après qu’elle m’eut posé quelques questions sur un vocabulaire un peu obscur pour elle, nous échangeâmes alors les rôles. Je repris ma place alors qu’elle se leva pour se placer à gauche de l’écran et démarrer sa présentation.
Elle n’était pas très grande, 1m65 tout au plus, mais dégageait pourtant une classe et une assurance indéniable. Elle était vêtue d’un pantalon et d’un pull noir, ce qui avec ses cheveux lui donnait un côté très sombre. L’ensemble mettait néanmoins en valeur une étole de soie rose orangé, élégamment enroulée autour de son cou.
De mon côté, ne maîtrisant en rien le langage juridique j’essayais de me concentrer sur ses explications. Mais mon attention s’attardait surtout sur des détails beaucoup moins sérieux. Là, son pull légèrement serré qui laissait deviner une poitrine mesurée mais ferme. Ou encore ses mains, fines et sans sophistication, les ongles subtilement recouverts d’un vernis translucide.
Le moment passa très vite bien qu’ayant duré presque une heure. J’attendis qu’elle reprenne sa place sur son siège pour lui poser quelques questions. Elle me répondit clairement bien que paraissant un peu lasse. Cela faisait deux heures maintenant que nous avions commencé à travailler. Un léger silence suivit.
Mar 13 Jan 2004, 22:27 par
la_tulipe_noire sur Les liaisons sulfureuses
Ecrire sur valeur

Il y a 53 textes utilisant le mot valeur. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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Le Ven 11 Nov 2016, 16:05 par caressedesyeux - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:44 par FB - Dans le train
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Dans les nuages
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La citation d'amour
Un amour peut être guéri par un autre amour, comme un poison est souvent chassé par un autre poison.
J. Dryden.
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