Un passé, un souvenir

Le passé revient,
Et je me vois à t’attendre,
Ce ne sera pas la première fois
Que tu ne pas;
Comme si j’avais ce pressentiment
Finalement.
Moi un peu gauche,
La bonne camarade de l’école
Qui croyait fort, que quelque chose
Aurait pu se passer entre nous.

Mais je l’ai seulement rêvé dans ma tête
Rêvé de te tenir ta main juste une fois
Ce n’était plus suffisant pour moi,
De te voir,et de t’écouter me parler.
Si j’avais fait le premier pas...
Peut-être que je serais maintenant ton amoureuse.
Si seulement tu m’avais fait comprendre
Que je n’étais pas la fille de tes rêves
Je ne me serais pas bercée d’illusions.

Ma passion pour toi, grandissait de jour en jour
Mais tu ne le voyais pas...
Et même lorsque je commençais à rougir
Tu mettais ça sur le compte de l’age en me disant
"Mary, qu’est -ce que tu peux être innocente."
Alors je m’inventais des belles histoires,
Juste pour y croire,
Juste pour me dire que moi aussi, j’avais un amoureux.
Qui prendrait "soin de moi" par des petits gestes innocents,
Et si beaux finalement.
De mon cœur qui battait,
A chaque fois que je regardais ton beau visage,
A souffrir de ta popularité auprès des autres filles.
A ces moments-là, je n’existais plus.
Puis la vie à fait qu’on s’est perdus
De vue, à tout jamais.
Mais je sais
Que je n’oublierai jamais.
Dim 24 Mars 2013, 11:47 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

Un passe,un souvenir


Le passé revient,
Et je me vois à t’attendre , et ce ne sera pas la première fois que tu ne pas;
Comme si j’avais ce pressentiment finalement.
Moi un peu gauche,la bonne camarade de l ’école
Et je croyais fort,à quelques chose qui aurait pu se passer entre nous.
Mais je l’ai seulement rêvé dans ma tête.
Rêver de tenir ta main seulement une fois
Ce n’était plus suffisant pour moi , de te voir, et de t’écouter me parler.
Si j’avais fais le premier pas, peut-être que je serai maintenant ton amoureuse.
Si seulement tu m’avais fais comprendre que je n’étais pas la fille de tes rêves
je ne me serais pas bercer d’illusion.
Ma passion pour toi, grandissait de jour en jour
Mais tu ne le voyais pas...
Et même lorsque je me mettais à rougir,
Tu mettais ça sur le compte en me disant " Mary qu’est ce que tu peux être innocente.
Alors je m’inventais des belles histoires,
Juste pour y croire,
Juste pour me dire que moi aussi, j’avais un amoureux.
Qui prendrait "soin de moi" par des petits gestes innocents et si beaux finalement.
De mon cœur qui battait à chaque fois que je regardais ton beau visage,
De souffrir de ta popularité auprès des autres filles.
A ce moment la je n’existais plus.
Puis la vie à fait qu’on s’est perdu à tout jamais.
Mais je sais que je n’oublierai jamais...
caressedesyeux
Jeu 03 Fév 2011, 15:05 par caressedesyeux sur Mille choses

Je t'attends....encore.

Et je crois entendre les oiseaux
Et le bruit du vent...
Et j’ai l’impression que quelqu’un m’entend.

Quelqu’un m’entend?

Je ferme les yeux, je ne regarde pas,
Peut être qu’il apparaîtera.
Qui sait, je l’aime déjà.

Je l’aime déjà?

Et l’eau ruisselle sur mon visage.
Mais..s’il apparaît, la pluie va l’effacer...

Non, je ne veux pas!

Vent! enmène la pluie.
Oiseaux! couvrez le bruit du vent.
Et toi, si tu m’entends,
Je crois que je t’aime déjà.
Et peut être, un jour où le soleil brillera,
Qui sait, tu à moi...
Mar 03 Nov 2009, 09:59 par Asma sur L'amour en vrac

En confidence

Je me disais, tantôt, se blottir sous la couette
Et que les jeux d’Eros provoquent la tempête :
Réchauffant notre sang, allumant notre peau,
Faisant trembler le lit de désir noble et beau !

Que nous fassions s’enfuir l’hiver qui nous étreint,
Qui fait geler nos coeurs et qui glace nos reins ;
Je t’entends murmurer et tu me fais sourire
Dans tes accents chantants c’est l’été qui s’étire...

Merci d’avoir osé, d’avoir su patienter,
Cultivant la confiance quand mes mots tergiversent
J’ai pu, sans le savoir, faire tomber la herse.

Merci d’avoir crû fort qu’on se rencontrerait.
Mon voeu, lors, est ceci et que tu t’en souviennes
Quand tu ici : que le désir nous prenne.

chut
Jeu 25 Jan 2007, 12:03 par dolce vita sur L'amour en vrac

Melodie d'amour

Une tres douce mélodie intense s’ecoule au fon de mon moi,
Elle prend source dans mon coeur,
Mes pensées affluent vers cette rive vide,
Ou mon être impatient n’attend que toi ...beny

Ame soeur, tu ?
Me sauveras tu de ces deboires
de ces desillusion tenaces,
dont ma vie est paralysée ?

J’absorde une douce musique en sourdine
Qui entre en moi par tous les pores
De ma peau a la fois delicate et fanee,
De mon coeur si souple et dechiré...

Est ce ta voix que j’entend au loin,
Mon prince du desert, mon karim, mirage de tous mes songes ?
Est ce l’une de tes simples caresses
Qui pour quelques instants m’envahit d’ivresse?

Ame soeur, un jour tu comprendras,
Que mes pensées se nourissent de toi...
Que c’est uniquement parce que tu vis en moi,
Que mon coeur se vide, sur cette feuille la.
Pour enfin laisser la palce,
A l’amour suprême celui dont les mots ne suffisent pas à décrire


PS: Pardon Ben d’envahir ce forum
mais c’est mon seul espoire,
ma seul chance que tu vois que je t’aime reelement
ma seul facon de te parler...
Jeu 03 Août 2006, 09:39 par joullia sur L'amour en vrac

Chicco ti amo

Qui est cette fille? Est-ce la femme de ta vie? Elle est belle... Tu as de la chance. Tu vas plutôt bien avec. Tes yeux verts s’accordent bien avec ses yeux bleus. Tes cheveux noirs s’entendent à merveille avec son blond soyeux. Elle est marrante, tu es sympa. Elle est belle, tu es mignon. Vous êtes fait l’un pour l’autre. Mais ce n’est pas aussi simple que ça. Par quoi êtes-vous passés? Quelle est votre histoire? Tu sais, le coup de foudre, on ne le rencontre qu’une seule fois.
Elle t’a déclaré sa flamme pour la première fois sur le mur de ta maison à Florence. Lorsque tu es passé à côté de son inscription, tu as tout de suite reconnu son écriture. Vous êtes allés à l’école ensemble, depuis la maternelle. Tu l’as croisée et elle t’a pris dans ses bras. Tu lui as dit: “ Ti amo Elsa”, et tu lui as posé un doux baiser sur ses jeunes lèvres, pour la première fois.

Tu te souviens de ces années où tu parcourais ces ruelles avec elle, main dans la main. Enfant inconscient de l’avenir. Insouciant de L’amour. Tu l’aimais pourtant.
L’autre jour, tu as fait l’amour pour la première fois avec elle. Vous avez savouré ce moment avec une intensité telle que vous saviez qu’il ne pourrait se reproduire. Ensuite, elle s’est blottie tout contre toi et s’est endormie, sa tête contre ta tête, ta main sur son sein. C’est tellement beau une femme qui dort. Vous ne connaîtrez plus jamais pareil moment dans votre vie, celui où vous vous êtes donnés l’un à l’autre pour la première fois.
Tu l’aimes car elle te parle, te comprend. Tu l’aimes parce qu’elle ne se soucie pas du petit tracas quotidien. Elle t’aime car tu est le seul qui parvient à la faire vibrer. Elle t’aime car tu n’es pas un autre. C’est tellement beau l’amour!
Le lendemain quand tu te réveilleras, elle dormira encore. Sa tête sera toujours sur ton épaule, et elle aura remis ta main sur son sein. Tu lui glisseras un baiser dans le cou et tu te lèveras doucement pour ne pas la réveiller. Puis tu t’asseoir sur le rebord du lit, à quelques centimètres d’elle et tu contempleras le miracle de sa beauté. Tu admireras sa grâce, son corps jeune et nu, la splendeur de ses formes et la pureté de son visage. C’est tellement beau un ange qui dort!
Elle s’apercevra de ton absence auprès d’elle et ouvrira les yeux. Tu te pencheras vers elle, culpabilisant son réveil, et tu l’embrasseras, de toute la tendresse dont tu es capable. Elle te rendra ton désir et vos corps s’entremêleront de nouveau. Vous voilà drogués pour l’éternité, vous voilà dépendants l’un de l’autre. Vous avez refoulé votre duplicité dans l’unité.

Elle t’a toujours aimé et tu l’as toujours su. Elle a vu dans tes yeux, dès le premier regard qu’elle a porté sur toi, que le destin vous réunirait. La première fois que tu l’as vue, tu as fondu en larmes. Tu ne savais pas que l’amour existait. Tu étais retranché dans ta solitude, ton désarroi. Plus pervers que ta colère contre ce monde que tu haïssais. Tu avais perdu tout espoir de rencontrer un jour ce qui te permettrais de sortir de ta déprime.
Elle t’as transformé. Tout comme tu l’as transformée. Elle t’aime. Cela suffit. Il n’y a rien d’autre de plus important. Vous êtes identiques. Son visage est ton visage. Sa force est ta force. Tant que vous serez en harmonie l’un avec l’autre, dans la fidélité de votre amour, dans les liens de vos cœurs. Aime-là. C’est ton souhait, ton avenir.
Lorsqu’elle te prend dans ses bras, lorsque sa tête se pose sur ton épaule pour se reposer d’être immortelle, tu tombes dans les méandres divinement étourdissants de l’amour. Mais tout cela n’est rien comparé au baiser qu’elle te donne, si tendre, si beau... Des lèvres si douces, un parfum si envoûtant. A ce moment où son visage est collé au tien, sans un frein, sans un soupir, dans une mélopée de désir si intense qu’enlever tes lèvres serait synonyme de blasphème.
Et quand vient le jour où elle t’arrive toute triste, toute fatiguée. Lorsqu’elle te prend dans ses bras, et que des larmes coulent le long de ses joues si innocentes, c’est comme si d’un coup brusquement le soleil cessait d’exister, comme une fleur qui fanerait, comme une guerre briserait la paix. Alors, sous ses sanglots, le ciel se couvre, la terre se fâche et la vie se meurt.

Alors, te dis-tu, pourquoi prendre un tel chemin? Pourquoi chercher ailleurs ce que l’on a déjà? La complexité est inutile et ridicule. La simplicité est là et ton amour fera le reste.
Regarde le monde et dis-toi que tu aurais pu en faire parti. Tu est face à lui. Tes amis passent à tes côtés pour basculer dans la conformité de l’adulte, cet univers où la routine a remplacé l’amour. Et zou… entrez dans la danse! Tu ne veux pas de cette vie. Elsa et toi êtes en parfaite harmonie. Ta gloire s’allume en elle. Votre amour est-il commun? Sans doute, car vous vous aimez à en mourir. Tu tiens à elle plus que tout, par ta main qui se pose sur son sein, par sa tête qui se trouve sur ton épaule. Tu te plais dans la chaleur de ses yeux bleus. Embrassez-vous! Votre amour, lui, embrasse votre humilité.
Jeu 15 Juin 2006, 10:34 par Neus sur La première fois

Te dire...

Que je n’attends plus rien. Des hommes j’en ai connus comme un quai de gare ou un sourire entr’aperçu au hasard d’une rue. Dans un chemin où l’autre ne suis plus, où l’on s’est éloigné, peu à peu, pas à pas et où l’on se salue d’un signe de la main... Ces mots que l’on vous lance comme un bouquet de fleurs, au passage, furtifs et discrets saluant la beauté que l’on a goûtée en vous ; cet émoi que l’on sent dans les yeux des passants... Ces sourires appuyés, ces paroles fragiles, ces gestes esquissés... Ces rendez-vous donnés, ces serments échangés et puis ces mots d’amour quelques fois contrefaits, quelques fois si profonds et que l’on sent si vrais... Et puis, au cœur, grandissant le désir de rien, le désir de toi. De toi dont je ne sais rien et ne veux rien savoir jusqu’au jour où tu près de moi. Où nos routes se rejoindront. Le jour où ce sera. De reproche à faire ? Aucun et à nul être. De remords ? Nullement. Que des éclats de rire ! Ah ! Que de beauté j’ai vue ! Que de beaux sentiments ! Que d’êtres fascinants et tout aussi charmants, autres, tout autres et en cela troublants. De pauvreté aussi qui porte à compassion ou parfois, au pardon. Que de beaux souvenirs ! Et puis, notre rencontre à laquelle chaque escale m’a préparée et me prépare encore. Rien ne presse, j’ai le temps. Je coupe les amarres qui me lient au passé, je ressens dans sa gloire, un souffle, l’immensité : l’océan ! ! ! Allons, je veux aller au large et ne plus musarder ; les fleurs de mes larmes se sont toutes fanées, il ne reste que l’amour dans son éclat si doux, il reste chaque jour à inventer pour nous... Que j’aime le soleil et que j’aime le vent et chacune des merveilles qui peuplent chaque instant ! Oh, ami ! Toi aussi je te vois déposer un fardeau lourd je crois et te voilà léger... Tu me prends par la main et nous voilà marchant, et nous voilà courant et nous voilà riant comme deux innocents, comme deux compagnons, comme deux fiancés, profitant de l’instant, ce qui nous est donné. Je sais en toi l’amour. Tu es beau simplement et je te reconnais.
Dim 21 Mai 2006, 14:40 par dolce vita sur Parler d'amour

Au hazard du chemin...

Quand tu ….


Je ne sais qui tu es
Je ne sais quand tu
Mais ce que je sais c’est que je t’attends
Notre rencontre au détour du chemin
Nos âmes chanteront à l’unisson
Et immédiatement nous comprendrons
Nos corps attirés l’un vers l’autre dans une union
Tu comprendras mes besoins, je saurais tes désirs
Et nous comblerons de joie et de beauté nos vies enfin réunies
Lorsque tu , je serai là
Attentive à tout mouvements me rapprochant de toi
Nous philosopherons des heures entières pas toujours en accord avec l’autre,
Mais lorsque nos esprits se calmeront, nos corps se mettront en mouvement dans un corps à corps toujours en accord pour le plaisir de nos corps.
La passion au rendez-vous laissera alors la place libre au repos de nos âmes enfin assouvies. rose
Sam 06 Mai 2006, 11:56 par Hécate sur Histoires d'amour

En attendant de se trouver....

Seule….


Seule dans ce grand appartement je pense à toi.
J’entends le bruit de tes pas passant de la chambre à la salle d’eau en te ramenant à moi.
J’ai préparé un bon petit déjeuner et te le présente sur la terrasse, mais tes yeux gourmant me regardent comme pour me dévorer.
Je fonds comme neige au soleil et te suit dans un nouvel ébat.
Les murs tremblent de nos cris de joie et l’amour triomphe encore cette fois.
Nos regards amoureux plongent nourrir nos âmes et éclairer nos profondeurs inavouées
Enlacés, sous le drap humide de nos efforts passés, nous ne pensons qu’à recommencer.
Viens mon alter ego me susurrer mille mots.
Nos corps s’épousant merveilleusement n’en font qu’un, moulé pour le plaisir et l’abandon.
Quand -tu remplir l’appartement de tes pas nerveux et faire courir tes mains douces sur mon corps abandonné ?
Nous partirons encore dans une chevauchée effrénée nous laissant pantois et vidés.
Vidés de trop d’énergie contenue en attendant de se trouver.
Je ne sais qui tu es ni quand tu , mais je vit déjà avec toi. rose
Sam 06 Mai 2006, 09:40 par Hécate sur L'amour en vrac

De moi à toi ou de toi à moi.

En moi il y a cette soif de vivre, cette joie d’être, en moi se trouve l’amour de moi, de toi, un pont en devenir.
Toi, je ne sais à quoi tu ressembles mais je sais ce qui t’habite.
Rien moins que la passion. Rien moins que ce que je porte et qui demande à vivre.
Aimer et puis à deux, devenirs créateurs. Pour construire quoi ? Je ne le sais pas encore ! Mais qu’importe ! Avec toi, à deux, je le saurai. Peut-être pas du premier coup, mais je le saurai. Tu m’y aideras. Et toi, tu auras le même désir de moi que moi de toi. Parfois, nous prolongerons le temps de l’absence pour mieux goûter la joie de nous retrouver. Ce sera délicieux pour nous deux. De toi, je ne sais ni le nom ni la vie, mais je sais que tu m’attends. Cette certitude me comble déjà ! Nous sommes différents et pourtant si proches. Je sais qu’il y aura des jours où il me semblera que tu tardes. Des jours où je te manquerai. Mais ce temps est nécessaire. Il est le temps de toucher à l’essentiel et puis, le temps de la confiance, en toi, en moi. Mais le jour où tu à moi, il n’y aura plus que la joie qui m’habite déjà mais alors sans partage... M’abandonner à l’amour. Et de même pour toi. Oser le lâcher prise. Oser la confiance. C’est tout me direz-vous ? Voilà fort peu de chose ! Oui, mais pour ce peu là il faut du temps, car moins encore que pour l’amitié, il n’existe de marchand d’amour et voilà pourquoi le monde est si triste parfois, qui ne voit plus les roses. Et qu’importe ton nom mon coeur l’aime déjà.
Lun 09 Jan 2006, 11:27 par dolce vita sur La première fois

Et pourtant...

Un an déjà…Et pourtant… ça ne pouvait arriver qu’aux autres. Les Grandes Histoires comme l’Amour ou l’Amitié ne doivent pas commencer comme ça. Pas derrière un écran froid. Et pourtant… c’est à chaque fois pareil… J’ai le cœur qui frémit quand ces quelques mots apparaissent… «Un nouveau message »… Est ce toi?? Les secondes qui s’écoulent entre un double clic et une page qui s’affiche me paraissent insoutenables… Ton nom illumine à nouveau ma boîte mail. Bonheur. Je bois tes mots. Ils ont toujours le même goût. Une note fantaisiste, un parfum d’ailleurs, un petit monde utopique pourtant si près du réel.

Et je me retrouve toujours devant ces mêmes questions. Que m’arrive-t-il? Moi, cartésienne des sentiments, pourquoi suis-je attendrie devant cet être virtuel ?! Que se passe-t-il ? Et tu fuis ces questions autant que moi… Lequel de nous deux percera l’abcès ? Qu’importe…

En attendant, je reste ta reine, ta promise, celle qui vit encore et toujours plus follement avec dans le coin de la tête un petit paradis… le nôtre. Et finalement, peut-être qu’un jour notre rêve fou se réalisera. Tu m’enlever sur ton cheval blanc, on fera le tour du monde en veillant à ce qu’aucun jour ne se ressemble.

Maintenant, tu fais partie de mon quotidien… Bizarre me diras-tu… T’as une place dans ma vie. Je me surprends à le dire… J’ai à chaque fois cette même impression quand je pense à toi. Celle d’un enfant pris en flagrant délit essayant vainement de trouver des excuses à la bêtise qu’il vient de faire… Je me sens coupable de me laisser aller à de tels sentiments. Que sommes-nous?

J’arrive parfois à penser qu’il doit me manquer quelqu’un ou quelque chose dans ma vie… Même pas… Je suis entourée de gens merveilleux, d’amis aimants, d’amants aimés… Et pourtant… Si tout venait à s’arrêter maintenant, je me dirais qu’il me manque quelqu’un…Je n’arrive pas à comprendre et pourtant… j’ai essayé.

Et puis après tout peu importe, c’est Nous… Fusion de deux âmes en osmose dans un univers décalé ? Peut-être, sûrement… Et pourtant…

Jux
Mer 26 Mai 2004, 07:35 par JuX sur Amour internet
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Ecrire sur viendras

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Les rides sont le tombeau de l'amour.

Proverbe espagnol.

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