Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur vin - Page 2 sur 3
Choisir sa route
J’ ai ouvert la porte
Y’avait des sourires,
des mains fortes
en buvant à notre santé
j’ai vu de la souffrance
Les gens ’guérissent par l’errance
et chut pour les autres substances
Vivre, apprendre , partir
Choisir sa route
Poser le pied sur la pédale,
choisir son arme, son idéal
J’ai ouvert la porte
Y’avait du vin chaud et de la zik.
zen attitude, ambiance ethnique,
plus quelques guitares classiques.
En ouvrant les yeux,
en ouvrant la porte,
j’ai vu de la débrouille
et d’autres gentilles magouilles.
Nomades de la route,
société qui doute
On a choisi l’camion
pour vivre a notre facon.
Pas insérés, pas adhérents.
On vit pas isolés, juste différemment
Dérouler le temps à coups de bierre
Raconter nos reves, antidotes puissants.
Nomades du doute
Esprits tordus mais conscients
On roule coute que coute
vers ce doux mouvement[/list]
Y’avait des sourires,
des mains fortes
en buvant à notre santé
j’ai vu de la souffrance
Les gens ’guérissent par l’errance
et chut pour les autres substances
Vivre, apprendre , partir
Choisir sa route
Poser le pied sur la pédale,
choisir son arme, son idéal
J’ai ouvert la porte
Y’avait du vin chaud et de la zik.
zen attitude, ambiance ethnique,
plus quelques guitares classiques.
En ouvrant les yeux,
en ouvrant la porte,
j’ai vu de la débrouille
et d’autres gentilles magouilles.
Nomades de la route,
société qui doute
On a choisi l’camion
pour vivre a notre facon.
Pas insérés, pas adhérents.
On vit pas isolés, juste différemment
Dérouler le temps à coups de bierre
Raconter nos reves, antidotes puissants.
Nomades du doute
Esprits tordus mais conscients
On roule coute que coute
vers ce doux mouvement[/list]
Ven 21 Mars 2008, 02:11 par
fifi B sur Mille choses
Sans oublier les seins ;-)
j’aime les parfums en rondeurs... ces rondeurs de femme : cuisses, sexe en O (eau de parfum...), fesses, bouches (exhalant leurs soupirs en volutes...), et seins dont les sens m’hypnotisent...
Les Hypnotiseurs
Ta poitrine flotte gonflée comme deux grosses larmes,
Dans la mer elle étale ses charmes
Et il n’est pas plus divine vision
De contempler ces beaux ballons.
Quand leur plasticité sphérique
Remonte le courant,
Ces lourds paquebots roses
S’enfoncent dans l’eau bleue
Et entament une danse hypnotique
Qui ravive en moi de profonds élans,
Comme une prose virtuose,
Un vin capiteux.
Alors chavirent mes sens
Vers le désir d’absorber l’essence
Des vertigineux parfums
S’exhalant d’entre ses seins.
Ah, lunes fières et vallonnées !
Vos surfaces si soyeuses
M’enveloppent du Léthé
Où mon âme coule, heureuse...
© Cyr - www.poesie-erotique.net
Les Hypnotiseurs
Ta poitrine flotte gonflée comme deux grosses larmes,
Dans la mer elle étale ses charmes
Et il n’est pas plus divine vision
De contempler ces beaux ballons.
Quand leur plasticité sphérique
Remonte le courant,
Ces lourds paquebots roses
S’enfoncent dans l’eau bleue
Et entament une danse hypnotique
Qui ravive en moi de profonds élans,
Comme une prose virtuose,
Un vin capiteux.
Alors chavirent mes sens
Vers le désir d’absorber l’essence
Des vertigineux parfums
S’exhalant d’entre ses seins.
Ah, lunes fières et vallonnées !
Vos surfaces si soyeuses
M’enveloppent du Léthé
Où mon âme coule, heureuse...
© Cyr - www.poesie-erotique.net
Mar 08 Mai 2007, 16:18 par
cyrpoete sur Les liaisons sulfureuses
Florentine
Florentine, aussi vierge que la pucelle d’Orléans, tu ressemblais à un lys posé dans un vase de porcelaine. Florentine dévêtue de ta courte robe, légère, fleurie d’étoiles tombées du ciel tu me rappelais l’océan plein de rage et d’écume un matin d’automne. Tu me faisais penser à de la guimauve, fondante et délicieuse Florentine.
Souviens-toi, Florentine, de toutes nos nuits où nos rêves étaient peints de frissons d’argent. Souviens-toi, Florentine, où ton nombril recevait une goutte de ce merveilleux vin que je léchais avidement et quand, sous ma langue, tu te libérais d’une fausse pudeur. Souviens-toi, Florentine, de toutes ces nuits où de libertine tu devenais fragile. Je te faisais reine et je devenais ton roi où les draps devenaient notre royaume et notre lit le navire de tous nos désirs.
Ton corps doux comme de la soie s’offrait à mes mains fébriles de délices. Mes doigts ont parcouru ton corps pour découvrir chaque splendeur, chaque secret que tu renfermais. Ton souffle s’affolait, timide d’abord puis il laissait la place à tes fantasmes charnels. Tu te donnais et tu donnais sans misère.
Florentine, aussi vierge que la pucelle d’Orléans, je découvrais les dunes et les forêts de ton corps par temps de déluge. A chaque nuit tu redevenais pucelle et lorsque je me glissais en toi, Florentine, c’était toujours comme la première fois un plaisir, une fabuleuse découverte d’émotion, de jouissance. Lorsque je me faufilais en toi, Florentine, tu t‘ouvrais en un souffle dans tes yeux. Et moi, Florentine, je sentais monter en moi des turbulences dans tout mon corps, dans toute ma tête, je devenais fou lorsque je m’enfonçais dans le plus profond de tes merveilles. Florentine, je te revois allongée après les précipices de nos ébats, ta chevelure en bataille, tes jambes entrouvertes libérant notre folie de la nuit. Ton ventre reprenait un rythme normal tandis que ta bouche esquivait un sourire. Seule la lune déposait un voile de lumière sur ton corps. Et toi, Florentine, tu t’abandonnais à cette couverture éphémère sans même laisser échapper un soupir.
Après, Florentine, sans remord, tu te levais pour t’habiller. Ta courte robe fleurie reprenait sa place sur toi, mine de rien. Tes bas, tes talons aiguilles faisaient le reste. Tu n’étais qu’un instant, qu’une comète. Je n’étais qu’une parenthèse dans ta petite vie bien désordonnée. Par le mouvement de ta robe trop courte tu reprenais ce que tu avais donné.
Florentine, j’ai bien vieilli, mes mains tremblent encore lorsque j’évoque ton image. Florentine notre navire a échoué sur une plage, mais a-t-il fini par couler ?
Fille du peuple
Souviens-toi, Florentine, de toutes nos nuits où nos rêves étaient peints de frissons d’argent. Souviens-toi, Florentine, où ton nombril recevait une goutte de ce merveilleux vin que je léchais avidement et quand, sous ma langue, tu te libérais d’une fausse pudeur. Souviens-toi, Florentine, de toutes ces nuits où de libertine tu devenais fragile. Je te faisais reine et je devenais ton roi où les draps devenaient notre royaume et notre lit le navire de tous nos désirs.
Ton corps doux comme de la soie s’offrait à mes mains fébriles de délices. Mes doigts ont parcouru ton corps pour découvrir chaque splendeur, chaque secret que tu renfermais. Ton souffle s’affolait, timide d’abord puis il laissait la place à tes fantasmes charnels. Tu te donnais et tu donnais sans misère.
Florentine, aussi vierge que la pucelle d’Orléans, je découvrais les dunes et les forêts de ton corps par temps de déluge. A chaque nuit tu redevenais pucelle et lorsque je me glissais en toi, Florentine, c’était toujours comme la première fois un plaisir, une fabuleuse découverte d’émotion, de jouissance. Lorsque je me faufilais en toi, Florentine, tu t‘ouvrais en un souffle dans tes yeux. Et moi, Florentine, je sentais monter en moi des turbulences dans tout mon corps, dans toute ma tête, je devenais fou lorsque je m’enfonçais dans le plus profond de tes merveilles. Florentine, je te revois allongée après les précipices de nos ébats, ta chevelure en bataille, tes jambes entrouvertes libérant notre folie de la nuit. Ton ventre reprenait un rythme normal tandis que ta bouche esquivait un sourire. Seule la lune déposait un voile de lumière sur ton corps. Et toi, Florentine, tu t’abandonnais à cette couverture éphémère sans même laisser échapper un soupir.
Après, Florentine, sans remord, tu te levais pour t’habiller. Ta courte robe fleurie reprenait sa place sur toi, mine de rien. Tes bas, tes talons aiguilles faisaient le reste. Tu n’étais qu’un instant, qu’une comète. Je n’étais qu’une parenthèse dans ta petite vie bien désordonnée. Par le mouvement de ta robe trop courte tu reprenais ce que tu avais donné.
Florentine, j’ai bien vieilli, mes mains tremblent encore lorsque j’évoque ton image. Florentine notre navire a échoué sur une plage, mais a-t-il fini par couler ?
Fille du peuple
Jeu 11 Jan 2007, 07:57 par
Fille du peuple sur Mille choses
Cafard ... du soir ...
je m’étire et je fume
les yeux à demi-clos
j’aperçois le clair de lune
qui brille derrière mes carreaux
un peu de vin d’orange
me réchauffe le sang
me fait voir passer des anges
c’est une façon de tuer le temps
de tuer le cafard
les idées noire
de tous les soirs
un ou deux somnifères
seront-ils suffisants
pour passer la nuit entière
à dormir en me foutant
de ne pas pouvoir
ne pas le voir
ni lui dire bonsoir
Françoise Hardy
les yeux à demi-clos
j’aperçois le clair de lune
qui brille derrière mes carreaux
un peu de vin d’orange
me réchauffe le sang
me fait voir passer des anges
c’est une façon de tuer le temps
de tuer le cafard
les idées noire
de tous les soirs
un ou deux somnifères
seront-ils suffisants
pour passer la nuit entière
à dormir en me foutant
de ne pas pouvoir
ne pas le voir
ni lui dire bonsoir
Françoise Hardy
Mer 18 Oct 2006, 06:18 par
coeur lourd sur L'amour en vrac
Complémentaire ou opposé ... mais pas ennemis
Le Toi du Moi
Je suis ton pile
Tu es mon face
Toi mon nombril
Et moi ta glace
Tu es l’envie et moi le geste
Toi le citron et moi le zeste
Je suis le thé, tu es la tasse
Toi la guitare et moi la basse
Je suis la pluie et tu es mes gouttes
Tu es le oui et moi le doute
T’es le bouquet je suis les fleurs
Tu es l’aorte et moi le coeur
Toi t’es l’instant moi le bonheur
Tu es le verre je suis le vin
Toi tu es l’herbe et moi le joint
Tu es le vent j’suis la rafale
Toi la raquette et moi la balle
T’es le jouet et moi l’enfant
T’es le vieillard et moi le temps
Je suis l’iris tu es la pupille
Je suis l’épice toi la papille
Toi l’eau qui vient et moi la bouche
Toi l’aube et moi le ciel qui s’couche
T’es le vicaire et moi l’ivresse
T’es le mensonge moi la paresse
T’es le guépard moi la vitesse
Tu es la main moi la caresse
Je suis l’enfer de ta pécheresse
Tu es le Ciel moi la Terre, hum
Je suis l’oreille de ta musique
Je suis le soleil de tes tropiques
Je suis le tabac de ta pipe
T’es le plaisir je suis la foudre
Tu es la gamme et moi la note
Tu es la flamme moi l’allumette
T’es la chaleur j’suis la paresse
T’es la torpeur et moi la sieste
T’es la fraîcheur et moi l’averse
Tu es les fesses je suis la chaise
Tu es bémol et moi j’suis dièse
T’es le Laurel de mon Hardy
T’es le plaisir de mon soupir
T’es la moustache de mon Trotski
T’es tous les éclats de mon rire
Tu es le chant de ma sirène
Tu es le sang et moi la veine
T’es le jamais de mon toujours
T’es mon amour t’es mon amour
Je suis ton pile
Toi mon face
Toi mon nombril
Et moi ta glace
Tu es l’envie et moi le geste
T’es le citron et moi le zeste
Je suis le thé, tu es la tasse
Toi la putain et moi la passe
Tu es la tombe et moi l’épitaphe
Et toi le texte, moi le paragraphe
Tu es le lapsus et moi la gaffe
Toi l’élégance et moi la grâce
Tu es l’effet et moi la cause
Toi le divan moi la névrose
Toi l’épine moi la rose
Tu es la tristesse moi le poète
Tu es la Belle et moi la Bête
Tu es le corps et moi la tête
Tu es le corps. Hummm !
T’es le sérieux moi l’insouciance
Toi le flic moi la balance
Toi le gibier moi la potence
Toi l’ennui et moi la transe
Toi le très peu moi le beaucoup
Moi le sage et toi le fou
Tu es l’éclair et moi la poudre
Toi la paille et moi la poutre
Tu es le surmoi de mon ça
C’est toi Charybde et moi Scylla
Tu es la mère et moi le doute
Tu es le néant et moi le tout
Tu es le chant de ma sirène
Toi tu es le sang et moi la veine
T’es le jamais de mon toujours
T’es mon amour t’es mon amour
Carla Bruni
Je suis ton pile
Tu es mon face
Toi mon nombril
Et moi ta glace
Tu es l’envie et moi le geste
Toi le citron et moi le zeste
Je suis le thé, tu es la tasse
Toi la guitare et moi la basse
Je suis la pluie et tu es mes gouttes
Tu es le oui et moi le doute
T’es le bouquet je suis les fleurs
Tu es l’aorte et moi le coeur
Toi t’es l’instant moi le bonheur
Tu es le verre je suis le vin
Toi tu es l’herbe et moi le joint
Tu es le vent j’suis la rafale
Toi la raquette et moi la balle
T’es le jouet et moi l’enfant
T’es le vieillard et moi le temps
Je suis l’iris tu es la pupille
Je suis l’épice toi la papille
Toi l’eau qui vient et moi la bouche
Toi l’aube et moi le ciel qui s’couche
T’es le vicaire et moi l’ivresse
T’es le mensonge moi la paresse
T’es le guépard moi la vitesse
Tu es la main moi la caresse
Je suis l’enfer de ta pécheresse
Tu es le Ciel moi la Terre, hum
Je suis l’oreille de ta musique
Je suis le soleil de tes tropiques
Je suis le tabac de ta pipe
T’es le plaisir je suis la foudre
Tu es la gamme et moi la note
Tu es la flamme moi l’allumette
T’es la chaleur j’suis la paresse
T’es la torpeur et moi la sieste
T’es la fraîcheur et moi l’averse
Tu es les fesses je suis la chaise
Tu es bémol et moi j’suis dièse
T’es le Laurel de mon Hardy
T’es le plaisir de mon soupir
T’es la moustache de mon Trotski
T’es tous les éclats de mon rire
Tu es le chant de ma sirène
Tu es le sang et moi la veine
T’es le jamais de mon toujours
T’es mon amour t’es mon amour
Je suis ton pile
Toi mon face
Toi mon nombril
Et moi ta glace
Tu es l’envie et moi le geste
T’es le citron et moi le zeste
Je suis le thé, tu es la tasse
Toi la putain et moi la passe
Tu es la tombe et moi l’épitaphe
Et toi le texte, moi le paragraphe
Tu es le lapsus et moi la gaffe
Toi l’élégance et moi la grâce
Tu es l’effet et moi la cause
Toi le divan moi la névrose
Toi l’épine moi la rose
Tu es la tristesse moi le poète
Tu es la Belle et moi la Bête
Tu es le corps et moi la tête
Tu es le corps. Hummm !
T’es le sérieux moi l’insouciance
Toi le flic moi la balance
Toi le gibier moi la potence
Toi l’ennui et moi la transe
Toi le très peu moi le beaucoup
Moi le sage et toi le fou
Tu es l’éclair et moi la poudre
Toi la paille et moi la poutre
Tu es le surmoi de mon ça
C’est toi Charybde et moi Scylla
Tu es la mère et moi le doute
Tu es le néant et moi le tout
Tu es le chant de ma sirène
Toi tu es le sang et moi la veine
T’es le jamais de mon toujours
T’es mon amour t’es mon amour
Carla Bruni
Dim 15 Oct 2006, 17:45 par
coeur lourd sur Histoires d'amour
Complémentaire ou opposé ... reste le "Nous"
Je suis ton pile
Tu es mon face
Toi mon nombril
Et moi ta glace
Tu es l’envie et moi le geste
Toi le citron et moi le zeste
Je suis le thé, tu es la tasse
Toi la guitare et moi la basse
Je suis la pluie et tu es mes gouttes
Tu es le oui et moi le doute
T’es le bouquet je suis les fleurs
Tu es l’aorte et moi le coeur
Toi t’es l’instant moi le bonheur
Tu es le verre je suis le vin
Toi tu es l’herbe et moi le joint
Tu es le vent j’suis la rafale
Toi la raquette et moi la balle
T’es le jouet et moi l’enfant
T’es le vieillard et moi le temps
Je suis l’iris tu es la pupille
Je suis l’épice toi la papille
Toi l’eau qui vient et moi la bouche
Toi l’aube et moi le ciel qui s’couche
T’es le vicaire et moi l’ivresse
T’es le mensonge moi la paresse
T’es le guépard moi la vitesse
Tu es la main moi la caresse
Je suis l’enfer de ta pécheresse
Tu es le Ciel moi la Terre, hum
Je suis l’oreille de ta musique
Je suis le soleil de tes tropiques
Je suis le tabac de ta pipe
T’es le plaisir je suis la foudre
Tu es la gamme et moi la note
Tu es la flamme moi l’allumette
T’es la chaleur j’suis la paresse
T’es la torpeur et moi la sieste
T’es la fraîcheur et moi l’averse
Tu es les fesses je suis la chaise
Tu es bémol et moi j’suis dièse
T’es le Laurel de mon Hardy
T’es le plaisir de mon soupir
T’es la moustache de mon Trotski
T’es tous les éclats de mon rire
Tu es le chant de ma sirène
Tu es le sang et moi la veine
T’es le jamais de mon toujours
T’es mon amour t’es mon amour
Je suis ton pile
Toi mon face
Toi mon nombril
Et moi ta glace
Tu es l’envie et moi le geste
T’es le citron et moi le zeste
Je suis le thé, tu es la tasse
Toi la putain et moi la passe
Tu es la tombe et moi l’épitaphe
Et toi le texte, moi le paragraphe
Tu es le lapsus et moi la gaffe
Toi l’élégance et moi la grâce
Tu es l’effet et moi la cause
Toi le divan moi la névrose
Toi l’épine moi la rose
Tu es la tristesse moi le poète
Tu es la Belle et moi la Bête
Tu es le corps et moi la tête
Tu es le corps. Hummm !
T’es le sérieux moi l’insouciance
Toi le flic moi la balance
Toi le gibier moi la potence
Toi l’ennui et moi la transe
Toi le très peu moi le beaucoup
Moi le sage et toi le fou
Tu es l’éclair et moi la poudre
Toi la paille et moi la poutre
Tu es le surmoi de mon ça
C’est toi Charybde et moi Scylla
Tu es la mère et moi le doute
Tu es le néant et moi le tout
Tu es le chant de ma sirène
Toi tu es le sang et moi la veine
T’es le jamais de mon toujours
T’es mon amour t’es mon amour
Carla Bruni
Tu es mon face
Toi mon nombril
Et moi ta glace
Tu es l’envie et moi le geste
Toi le citron et moi le zeste
Je suis le thé, tu es la tasse
Toi la guitare et moi la basse
Je suis la pluie et tu es mes gouttes
Tu es le oui et moi le doute
T’es le bouquet je suis les fleurs
Tu es l’aorte et moi le coeur
Toi t’es l’instant moi le bonheur
Tu es le verre je suis le vin
Toi tu es l’herbe et moi le joint
Tu es le vent j’suis la rafale
Toi la raquette et moi la balle
T’es le jouet et moi l’enfant
T’es le vieillard et moi le temps
Je suis l’iris tu es la pupille
Je suis l’épice toi la papille
Toi l’eau qui vient et moi la bouche
Toi l’aube et moi le ciel qui s’couche
T’es le vicaire et moi l’ivresse
T’es le mensonge moi la paresse
T’es le guépard moi la vitesse
Tu es la main moi la caresse
Je suis l’enfer de ta pécheresse
Tu es le Ciel moi la Terre, hum
Je suis l’oreille de ta musique
Je suis le soleil de tes tropiques
Je suis le tabac de ta pipe
T’es le plaisir je suis la foudre
Tu es la gamme et moi la note
Tu es la flamme moi l’allumette
T’es la chaleur j’suis la paresse
T’es la torpeur et moi la sieste
T’es la fraîcheur et moi l’averse
Tu es les fesses je suis la chaise
Tu es bémol et moi j’suis dièse
T’es le Laurel de mon Hardy
T’es le plaisir de mon soupir
T’es la moustache de mon Trotski
T’es tous les éclats de mon rire
Tu es le chant de ma sirène
Tu es le sang et moi la veine
T’es le jamais de mon toujours
T’es mon amour t’es mon amour
Je suis ton pile
Toi mon face
Toi mon nombril
Et moi ta glace
Tu es l’envie et moi le geste
T’es le citron et moi le zeste
Je suis le thé, tu es la tasse
Toi la putain et moi la passe
Tu es la tombe et moi l’épitaphe
Et toi le texte, moi le paragraphe
Tu es le lapsus et moi la gaffe
Toi l’élégance et moi la grâce
Tu es l’effet et moi la cause
Toi le divan moi la névrose
Toi l’épine moi la rose
Tu es la tristesse moi le poète
Tu es la Belle et moi la Bête
Tu es le corps et moi la tête
Tu es le corps. Hummm !
T’es le sérieux moi l’insouciance
Toi le flic moi la balance
Toi le gibier moi la potence
Toi l’ennui et moi la transe
Toi le très peu moi le beaucoup
Moi le sage et toi le fou
Tu es l’éclair et moi la poudre
Toi la paille et moi la poutre
Tu es le surmoi de mon ça
C’est toi Charybde et moi Scylla
Tu es la mère et moi le doute
Tu es le néant et moi le tout
Tu es le chant de ma sirène
Toi tu es le sang et moi la veine
T’es le jamais de mon toujours
T’es mon amour t’es mon amour
Carla Bruni
Dim 15 Oct 2006, 17:41 par
coeur lourd sur Histoires d'amour
Découverte
Mes mains parcourent ton corps
comme un aveugle je fais les contours de tes courbes
elles glissent avec délice
limpides comme l’eau d’un ruisseau
j’enregistre le moindre détail
pour ne pas oublier
me souvenir de cet arc-en-ciel de couleurs
que je voyais en fermant mes paupières
les milliers d’étoiles qui brillaient dans nos yeux
voluptueux tels un gâteau au chocolat accompagné
d’un bon vin que l’on déguste en se dévorant des yeux
ne pas oublier ce moment merveilleux
ce doux rêve que l’on veut éternel....
de douceur et de légèreté....
daulphin
comme un aveugle je fais les contours de tes courbes
elles glissent avec délice
limpides comme l’eau d’un ruisseau
j’enregistre le moindre détail
pour ne pas oublier
me souvenir de cet arc-en-ciel de couleurs
que je voyais en fermant mes paupières
les milliers d’étoiles qui brillaient dans nos yeux
voluptueux tels un gâteau au chocolat accompagné
d’un bon vin que l’on déguste en se dévorant des yeux
ne pas oublier ce moment merveilleux
ce doux rêve que l’on veut éternel....
de douceur et de légèreté....
daulphin
Dim 13 Août 2006, 15:24 par
daulphin sur La séduction
Re: Feu sous la glace
La nuit est un nid de braises qui se nourrit de notre amour, mon amour,
De ce feu qui tombe en gouttes d’eau, la lune flambe et s’enivre, de notre amour, mon amour,
Dans la chambre, sur l’eau, comme une éternité suspendue, où s’accroît le vin d’ombre.
Le soleil devient neige se cristallise de mille colombes,
De nos pensées devenues feu sous la glace, comme une lampe indivise.
De cette lumière pure, en suspension sur l’eau immaculée
Dieu se prosterne autour de nos visages en nudité.
De ce feu qui tombe en gouttes d’eau, la lune flambe et s’enivre, de notre amour, mon amour,
Dans la chambre, sur l’eau, comme une éternité suspendue, où s’accroît le vin d’ombre.
Le soleil devient neige se cristallise de mille colombes,
De nos pensées devenues feu sous la glace, comme une lampe indivise.
De cette lumière pure, en suspension sur l’eau immaculée
Dieu se prosterne autour de nos visages en nudité.
Sam 05 Août 2006, 19:02 par
ricko sur L'amour en vrac
Amoureusement...
Amoureusement...
Ce matin comme chaque matin depuis que je m’en souviens, la sonnerie du téléphone me sort d’un sommeil profond.
Une voix chaude et virile s’inquiète si j’ai bien dormi.
"Tu dormais si bien lorsque je suis parti que j’ai attendu d’être plus loin pour t’envoyer mille baisers.
J’aurais voulu te prendre dans mes bras, te câliner et ensuite avoir beaucoup de mal à te quitter.
Alors je m’en suis allé pour une nouvelle journée.
Ce soir lorsque je rentrerai tu seras là attendant mes baisers".
Je sais que lorsqu’il rentrera je serai toute petite dans ses bras.
J’aurais préparé ses pantoufles bien chaudes et son meilleur whisky.
L’apéritif nous mettra en appétit.
Les bougies disposées dans toute la maison l’accueilleront amoureusement et chaudement pour une soirée bien tendre.
Le repas qu’il aime, le potage bouillant attendront qu’il me raconte la journée passée au Sablon.
Le vin servi dans de beaux verres attendra nos lèvres pour le déguster et alors nous ferons bonne chair en attendant de nous coucher.
Le bain à bulles sur la terrasse nous accueillera pour célébrer nos premiers ébats.
Je lui servirai un bon café comme il l’aime, fort et brûlant sur ses lèvres mouillées.
Les yeux dans les yeux, ne pouvant détacher nos regards, nous partirons vers un nouveau voyage.
Mes lèvres entrouvertes accueillent tes baisers et je glisse vers la passion de tes bras retrouvés.
Ce matin comme chaque matin depuis que je m’en souviens, la sonnerie du téléphone me sort d’un sommeil profond.
Une voix chaude et virile s’inquiète si j’ai bien dormi.
"Tu dormais si bien lorsque je suis parti que j’ai attendu d’être plus loin pour t’envoyer mille baisers.
J’aurais voulu te prendre dans mes bras, te câliner et ensuite avoir beaucoup de mal à te quitter.
Alors je m’en suis allé pour une nouvelle journée.
Ce soir lorsque je rentrerai tu seras là attendant mes baisers".
Je sais que lorsqu’il rentrera je serai toute petite dans ses bras.
J’aurais préparé ses pantoufles bien chaudes et son meilleur whisky.
L’apéritif nous mettra en appétit.
Les bougies disposées dans toute la maison l’accueilleront amoureusement et chaudement pour une soirée bien tendre.
Le repas qu’il aime, le potage bouillant attendront qu’il me raconte la journée passée au Sablon.
Le vin servi dans de beaux verres attendra nos lèvres pour le déguster et alors nous ferons bonne chair en attendant de nous coucher.
Le bain à bulles sur la terrasse nous accueillera pour célébrer nos premiers ébats.
Je lui servirai un bon café comme il l’aime, fort et brûlant sur ses lèvres mouillées.
Les yeux dans les yeux, ne pouvant détacher nos regards, nous partirons vers un nouveau voyage.
Mes lèvres entrouvertes accueillent tes baisers et je glisse vers la passion de tes bras retrouvés.
Jeu 20 Avril 2006, 08:53 par
Hécate sur L'amour en vrac
Passagère
ne reste pas à l’attendre
celle qui devine
d’un peu de bleu
le ciel
si tu prends un chemin
qui n’est pas que le tien
laisse des traces
un visage
un lendemain
si tu n’as personne
pour relier ton destin
à tous les hommes
décris tous les matins
sur ton passage
si nulle amie ne convient
pour te prendre par la main
dis à toutes les femmes
tes paysages
ces fleurs dans ton cœur
la rive de ton âme
fais en toi la Mer
de tes propres mains
montre les îles
et le chemin
que du présent
où nulle ne vient
comme tu la rêves
tu offres à toutes
ou l’ivresse
ou le vin
pousse encore sur la rive
n’appelle pas en vain
un ange dans les sables
mais sur la plage
sois un grain
le sel et l’air marin
Ainsi tu vois que l’impossible
couvre l’autre moitié
du paysage
c’est ainsi que tu fais l’arche
lance la passerelle
gonfle la voile
fixe l’étoile
allume la vision
— tu es de l’ange
l’horizon
la Mer sera ton anse
la passagère de tes raisons
voyage de ton âme
pour que tu y rejoignes
dans la flamme des jours
et pour toujours
d’entre toutes les femmes
la Dame de haute renaissance
— non pas la mère de dieu
mais la fille de l’Homme
celle qui devine
d’un peu de bleu
le ciel
si tu prends un chemin
qui n’est pas que le tien
laisse des traces
un visage
un lendemain
si tu n’as personne
pour relier ton destin
à tous les hommes
décris tous les matins
sur ton passage
si nulle amie ne convient
pour te prendre par la main
dis à toutes les femmes
tes paysages
ces fleurs dans ton cœur
la rive de ton âme
fais en toi la Mer
de tes propres mains
montre les îles
et le chemin
que du présent
où nulle ne vient
comme tu la rêves
tu offres à toutes
ou l’ivresse
ou le vin
pousse encore sur la rive
n’appelle pas en vain
un ange dans les sables
mais sur la plage
sois un grain
le sel et l’air marin
Ainsi tu vois que l’impossible
couvre l’autre moitié
du paysage
c’est ainsi que tu fais l’arche
lance la passerelle
gonfle la voile
fixe l’étoile
allume la vision
— tu es de l’ange
l’horizon
la Mer sera ton anse
la passagère de tes raisons
voyage de ton âme
pour que tu y rejoignes
dans la flamme des jours
et pour toujours
d’entre toutes les femmes
la Dame de haute renaissance
— non pas la mère de dieu
mais la fille de l’Homme
Lun 20 Fév 2006, 09:20 par
Iris sur Parler d'amour
Un autre amour ?
Ca tu es toujours là quand j’ai besoin de toi.
Fidèle à toutes mes heures et à tous mes tracas.
Je suis seul et soudain dans un verre tu es là.
Alcool.
Vin des pires ou d’ailleurs tu sais me rassurer
Lorsque seules mes peurs sont là à m’entourer.
Alcool.
Tu me mens et m’enivres vers des rêves faciles
Quand la réalité m’effraie et me rend si fragile.
Alcool.
Tu es vraiment le seul dont j’admets les mensonges
Même si peu après leur vérité me ronge.
Alcool.
Tu es là bien en moi, car je t’ai accueilli
Je me mens à moi-même dans ce triste repli.
Alcool.
Dans les fêtes jadis tu me mettais en joie,
Aujourd’hui je suis seul et pourtant tu es là.
Alcool.
Ta bouteille est ma vie, ta fin sera la mienne.
Même si dans mes rêves ta présence est lointaine.
Alcool.
Je t’aime et je te hais, car tu es là toujours
Quand j’ai besoin de toi, quand j’ai mal à l’amour.
Alcool…
Fidèle à toutes mes heures et à tous mes tracas.
Je suis seul et soudain dans un verre tu es là.
Alcool.
Vin des pires ou d’ailleurs tu sais me rassurer
Lorsque seules mes peurs sont là à m’entourer.
Alcool.
Tu me mens et m’enivres vers des rêves faciles
Quand la réalité m’effraie et me rend si fragile.
Alcool.
Tu es vraiment le seul dont j’admets les mensonges
Même si peu après leur vérité me ronge.
Alcool.
Tu es là bien en moi, car je t’ai accueilli
Je me mens à moi-même dans ce triste repli.
Alcool.
Dans les fêtes jadis tu me mettais en joie,
Aujourd’hui je suis seul et pourtant tu es là.
Alcool.
Ta bouteille est ma vie, ta fin sera la mienne.
Même si dans mes rêves ta présence est lointaine.
Alcool.
Je t’aime et je te hais, car tu es là toujours
Quand j’ai besoin de toi, quand j’ai mal à l’amour.
Alcool…
Mar 10 Jan 2006, 01:41 par
l'homme de sable sur Mille choses
Cantique des cantiques
Moi, l’amaryllis du Sharôn, le lotus des vallées.
Comme un lotus parmi les vinettiers, telle est ma compagne parmi les filles.
Comme un pommier parmi les arbres de la forêt, tel est mon amant parmi les fils.
Je désirais son ombre, j’y habite; son fruit est doux à mon palais.
Il m’a fait venir à la maison du vin; son étendard sur moi, c’est l’amour.
Soutenez-moi d’éclairs, tapissez-moi de pommes: oui, je suis malade d’amour.
Sa gauche dessous ma tête, sa droite m’étreint.
Je vous adjure, filles de Ieroushalaîm, par les gazelles ou par les biches du champ, n’éveillez pas, ne réveillez pas l’amour avant qu’il le désire !
Comme un lotus parmi les vinettiers, telle est ma compagne parmi les filles.
Comme un pommier parmi les arbres de la forêt, tel est mon amant parmi les fils.
Je désirais son ombre, j’y habite; son fruit est doux à mon palais.
Il m’a fait venir à la maison du vin; son étendard sur moi, c’est l’amour.
Soutenez-moi d’éclairs, tapissez-moi de pommes: oui, je suis malade d’amour.
Sa gauche dessous ma tête, sa droite m’étreint.
Je vous adjure, filles de Ieroushalaîm, par les gazelles ou par les biches du champ, n’éveillez pas, ne réveillez pas l’amour avant qu’il le désire !
Sam 24 Déc 2005, 14:01 par
dolce vita sur Citations
La joie en vagues pures...
Ce matin, j’ai senti comme une onde d’énergie se déversant en moi en une pluie bienheureuse. Des vagues successives enveloppent mon être et irradient bien au delà peut-être : je ne puis contenir les flots de ce vin là qui me grise et m’enchante. D’où vient-il ? Quel est-il ? Ma foi, je ne le sais pas. Ma vie était si grise qu’une fine poussière me couvrait toute entière. Et me voilà debout et la vie me sourit et de quelle magie, sans doute universelle ! ! ! J’ai envie de chanter, j’ai envie de danser, j’ai envie de laisser en moi cette joie emporter tous les flots de grisaille de mon récent passé. Je ne cessais de dire : quand verrais-je le bout ? Quand sortirais-je enfin, n’y a-t-il pas de fin ? Et quand n’y croyant plus, quand de guerre lasse, j’ai laissé les mots couler leur encre épaisse et noire, me voilà relevée et marchant tout en haut !
Ô matinée divine, ô éternels cieux, voilà que s’illumine le chemin qui m’entraîne comme un souffle glorieux...
Mais que m’arrive-t-il et quelle cohorte de sentiments soudains ; c’est comme si trop longtemps contenus ils se poussent du coude et sortent à qui mieux mieux ! ! ! Qu’importe les dérives et les débordements : je sens monter la vie en flots éblouissants ! ! ! Sur la route, en chemin, je saurais reconnaître celui qui seul m’attend et tous deux de l’amour nous ferons la conquête, buvant à la fontaine comme deux coeurs d’enfants...
Ô matinée divine, ô éternels cieux, voilà que s’illumine le chemin qui m’entraîne comme un souffle glorieux...
Mais que m’arrive-t-il et quelle cohorte de sentiments soudains ; c’est comme si trop longtemps contenus ils se poussent du coude et sortent à qui mieux mieux ! ! ! Qu’importe les dérives et les débordements : je sens monter la vie en flots éblouissants ! ! ! Sur la route, en chemin, je saurais reconnaître celui qui seul m’attend et tous deux de l’amour nous ferons la conquête, buvant à la fontaine comme deux coeurs d’enfants...
Sam 10 Déc 2005, 14:04 par
dolce vita sur L'amour en vrac
Feu sous la glace
La nuit et un nid de braises, qui se nourrit de notre amour mon amour
De ce feu qui tombe en gouttes d’eau, la lune flambe et s’enivre.
Dans la chambre sur l’eau comme une éternité suspendue, où s’accroît le vin d’ombre.
Le soleil devient neige se cristallise de mille colombes
De nos pensées devenues feu sous la glace, comme une lampe indivise. De cette lumière pure, en suspension sur l’eau immaculée
Dieu se prosterne autour de nos visages en nudité.
Ricko
De ce feu qui tombe en gouttes d’eau, la lune flambe et s’enivre.
Dans la chambre sur l’eau comme une éternité suspendue, où s’accroît le vin d’ombre.
Le soleil devient neige se cristallise de mille colombes
De nos pensées devenues feu sous la glace, comme une lampe indivise. De cette lumière pure, en suspension sur l’eau immaculée
Dieu se prosterne autour de nos visages en nudité.
Ricko
Ven 18 Fév 2005, 16:12 par
ricko sur L'amour en vrac
Balade des mains
Quand tes mains
Deviennent du venin
Je ne m’abrite pas de ce crachin
Tu te fais plus douce que la mie de pain
Quand tes mains
M’abandonnent je suis orphelin
Il y a toujours une suite à ses joutes des mains
Par des baisers bien plus malins
Quand tes mains
Frauduleuses traversent le périmètre divin
Je sens ce satin
Qui recouvre mon corps sans fin
Quand tes mains
Sont plus agiles qu’un félin
Elles sortent de leur écrin
Elles me rappellent un souvenir lointain
Quand tes mains
Coulent comme de l’étain
Je sens la douceur du vin
Aussi doux que ce raisin
Quand tes mains
Dans un futur prochain
M’ouvriront les portes de tes reins
Je dirais oui pour un câlin.
zorgx
Deviennent du venin
Je ne m’abrite pas de ce crachin
Tu te fais plus douce que la mie de pain
Quand tes mains
M’abandonnent je suis orphelin
Il y a toujours une suite à ses joutes des mains
Par des baisers bien plus malins
Quand tes mains
Frauduleuses traversent le périmètre divin
Je sens ce satin
Qui recouvre mon corps sans fin
Quand tes mains
Sont plus agiles qu’un félin
Elles sortent de leur écrin
Elles me rappellent un souvenir lointain
Quand tes mains
Coulent comme de l’étain
Je sens la douceur du vin
Aussi doux que ce raisin
Quand tes mains
Dans un futur prochain
M’ouvriront les portes de tes reins
Je dirais oui pour un câlin.
zorgx
Lun 31 Jan 2005, 01:09 par
zorgx sur L'amour en vrac
Ecrire sur vin
Choisir sa route, Sans oublier les seins ;-), Florentine, Cafard ... du soir ..., Complémentaire ou opposé ... mais pas ennemis, Complémentaire ou opposé ... reste le "Nous", Découverte, Re: Feu sous la glace, Amoureusement..., Passagère, Un autre amour ?, Cantique des cantiques, La joie en vagues pures..., Feu sous la glace, Balade des mains, Il y a 40 textes utilisant le mot vin. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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Madeleine Monette.
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