L'amour est-il un crime ? chapitre 8

coucou, voici pour vous le chapitre 8, en espérant de ne pas avoir fait de fautes ^^ bonne lecture :

Chapitre 8 : Révélation et rencontre

Point de vue Narrateur.

Au cour de l’après midi nous retrouvons notre petit couple au centre commercial faisant leur courses et cadeaux pour noël. Haruka fidèle à elle même avait opter pour un pantalon noir, un chemisier blanc qui pour une fois n’était pas rentré dans son bas. Une veste noir surmonter sa chemise. Elle attiré beaucoup de regard sur elles que se soit femme ou homme. Michiru bien que le froid était présent c’était habillé d’une robe bleu à manche longue. Ses cheveux tiré vers la gauche, elle portée des petite chaussure noir à fin talon, et un petit cache cœur bleu écume reposé sur ses épaules.

Toutes deux discuté de chose et d’autre et se lancé des petits sourires amoureux de tant à autre. Au bout de quelques minutes Haruka emmène sa douce à l’intérieur d’une bijouterie, mettant son cadi sur le côté, un homme se dirige vers les deux jeune femmes.

Bijoutier – bonjour monsieur, mademoiselle, que puis-je pour vous ?

La jeune blonde se met à sourire apparemment son charme masculin refesait surface.

Haruka – bonjour monsieur, nous sommes à la recherche d’une bague de fiancaille.

L’homme ce met à sourire, il regarde le couple qu’il trouvait bien assortie et mignon. Il se dirige vers une et à l’aide d’une petite clés ouvre l’une d’elle sortant une petite plate forme ou disposé plusieurs bagues en argent dédié à cet effet. Il se dirige de nouveau vers les deux jeunes femmes et dis :

Bijoutier – voici un assortiment de bague prévue pour ce genre d’évènement, puis-je vous demader pour qui c’est ?
Haruka – c’est pour cette petite demoiselle.

La jeune blonde met ses mains sur les épaule de Michiru et dit en s’approchant de son oreille.

Haruka – alors … Laquel te plairait.

Michiru sentait son cœur battre à tout rompre, devenant soudainement timide, elle s’exclame d’une voix douce :

Michiru – celle là, elle est vraiment très jolie.

Dit elle en montrant une bague argenter surmonté d’un petit diamant argenter aussi. Haruka se met à sourire et demande à l’homme si il est possible de l’essayer, ce que ce dernier accepta de bon cœur. Haruka prend la petite bague, saisit tendrement la main de sa cher et tendre, et vint lui glisser l’anneau à son annulaire gauche. Les deux jeunes femmes se sourirent amoureusement, Haruka lui caresse la main et demande :

Haruka – elle te plais ?
Michiru – oui … Elle est vraiment magnifique.

Dis la jeune fille en admirant le bijou à son doigt.

Haruka – dans ce cas … Nous allons prendre celle-ci.
Bijoutier – c’est un très bon choix.

Michiru, retire la bague et la passe au bijoutier qui parti remettre la plate forme dans la . Il ferme cette dernière, et se dirige vers la caisse. Haruka et Michiru se prirent la main, et se dirigent à leur tour vers l’homme qui rangé soigneusement le bijou dans un écrin bleu nuit. Il vint tendre cette dernière à Haruka qui la rangea soigneusement dans son sac et sortie par la suite son porte feuille.

Bijoutier – voilà sera vous fera un totale de 189 € monsieur.

Michiru avait envie de rire, le bijoutier prenait réellement sa femme pour un homme. La jeune blonde souriait elle aussi, et elle vint payer se qu’il fallait.

Bijoutier – je vous remercie, et tout mes vœux de bonheur !
Haruka – merci !

Puis les deux jeunes femmes sortirent et devant les yeux tendre de l’homme Michiru vint étreindre sa bien aimée.

Michiru – merci ma chérie.
Haruka – tout le plaisir était pour moi trésor.

Elles se sourirent et se posent un délicat baiser avant de continuer leurs petites affaires. L’homme ayant suivit la conversation fut surpris de constater que c’était en fin de compte deux femmes, et se senti honteux en pensant qu’il avait confondue la jeune femme blonde pour un homme.

Point de vue Michiru.

Mon cœur bat tellement vite, et dire que j’ai essayer ma bague pour notre future union, j’étais vraiment très hereuse, j’étais accroché à son bras, lorsque je vis le directeur devant une boutique de fleurs. Haru aussi l’avait remarqué. On se sourit, et voulant surmonter notre peur on s’approche de l’homme.

Moi – bonjour monsieur !
Directeur – tiens Michiru, Haruka, quel bonne surprise, comment allez vous ?
Haruka – bien ety vous ?
Directeur – tout vas bien oui !

Ils nous serre la main, et me demande :

Directeur - alors Michiru comment c’est passé ton stage ?
Moi – eh bien il c’est très bien passé, c’était une expérience très enrichissante.
Directeur – dans ce cas, c’est parfait … Mais dites moi Haruka, vous … Vous êtes fiancée ?

Demande t-il en voyant la bague à son doigt. Haru se met à sourire, elle me regarde tendrement avec un petit sourire. Je lui rendit avec douceur, et d’un simple regard on se mit d’accord pour enfin révéler la vérité au directeur.

Haruka – oui, effectivement je suis fiancée.
Directeur – mais enfin c’est une très bonne nouvelle sa … Et qui es ?

Allé Michi assume et prend ton courage à deux mains. Je me serre contre elle et m’exclame le cœur prêt à bondir :

Moi – c’est moi monsieur !

Ce dernier fut surpris de mes parole, il affichait une mine décomposé, qu’allai t-il nous dire ?

Directeur – je vous demande pardon ?
Haruka – oui effectivement je suis fiancée avec Michiru !
Directeur – mais enfin, vous êtes son professeur ?
Haruka – certes, mais …
Moi – en dehors de l’enseignement nous sommes deux citoyennes tout se qu’il y a de plus normal.
Directeur – je suis tout à fait d’accord avec sa, mais depuis quand ?
Haruka – cela va faire un peut plus de 4 mois que nous sommes ensemble !
Moi – bien entendu, nous avons sue nous montrer discrète quand nous étions au lycée !
Directeur – eh bien je … Je ne sais pas quoi dire, mais pourrais t-on aller en parler dans un endroit plus calme ?
Haruka – bien entendu monsieur.

Et ainsi nous suivons le directeur qui se diriger vers un restaurant.

Moi – dis ma chérie, et si on allait d’abord ranger nos courses dans la voiture ?
Haruka – ok !

Elle me tapote le nez, préviens le directeur, et nous nous dirigeâmes vers le parking.

Haruka – je pense qu’au bout d’un moment il devait le savoir !
Moi – oui, et malgré se qui va se suivre, je ne compte pas démordre, et assumerais.
Haruka – dans ce cas … Nous sommes deux.

Je t’aime … Si tu savais comme je t’aime, je continue de la suivre jusqu’à la voiture, et une fois prêt de cette dernière, Haru déverrouille l’alarme, et j’ouvre le coffre.

Je prend des sac vide, les ouvrent, et commence à ranger se que nous avions acheter. Mettant en premier le sapin au font de la malle. C’est quand je me voie faire des chose comme sa avec elle, que je me voie réellement être une vrai famille, un vrai couple et sa me rendait si heureuse.


Quand ont eu terminé, Haru alla remettre le cadi, j’enclenche l’alarme, et une fois qu’elle fut prêt de moi, on se posent un petit baiser, elle me fit un clin d’oeil, et main dans la main on se dirige vers le restaurant ou se trouvais le directeur.

On entre à l’intérieur de ce dernier, et une fois avoir trouvé le petit homme, on allai s’asseoir. Je prend place à la droite de ma petite femme, et un serveur se dirige vers nous.


Serveur – mesdames monsieur, que puis-je pour vous ?

Ah … Enfin un sur cette terre qui remarque que Haru est une femme pas trop tôt.

Directeur – je prendrais un thé glacé.
Haruka – pour moi se sera un café s’il vous plais !
Moi – et moi j’aimerais un chocolat chaud s’il vous plais.
Serveur – très bien, je vous apporte sa dans quelques minutes.

Et le serveur parti. Le directeur nous regarde toutes les deux comme si il était choqué de la nouvelle. Es parce ce que nous sommes élève/professeur ou bien deux femmes ?

Directeur – bon, alors si j’ai bien suivit, vous êtes ensemble, qui plus est fiancées depuis 4 mois !
Moi – nous sommes ensemble depuis 4 mois oui, mais cela ne fait que quelques semaines que nous sommes fiancée.
Directeur – et … Qui a fait la demande ?
Moi – c’est moi monsieur.
Haruka – vous savez, je ne vais pas vous mentir, mais sa a commencé depuis son accident, lorsque vous m’aviez demander d’aller la voire. Par la suite, lorsque Michiru est venue s’installer chez moi, j’ai trouvais la vie beaucoup plus sereine et agréable, durant ses 4 mois j’ai appris à la connaître et à l’aimer, nous nous sommes aidée à plusieurs reprise, moi pour se qui est de son passé et elle à me faire oublier que la vie elle même est dur et cruelle. Mais monsieur le directeur bien que vous soyez mon supérieur, et que je soit son professeur j’éprouve de très fort sentiments à son égard, et ferait tout mon possible pour pouvoir la rendre heureuse.

Haruka … Si … Si tu savais comme tes mots son doux à mes oreilles, moi aussi je t’aime, et suis éperdument amoureuse de toi.

Moi – monsieur le directeur, rappelez vous se que vous m’aviez demander lorsque vous m’aviez convoquer ?
Directeur – euh … Je … Oui, oui je m’en rappelle, je t’aie demander se que tu souhaite pour te voir heureuse.
Moi – maintenant je peut vous répondre …

Je prend les mains de l’homme et dis en le regardant :

Moi – monsieur, sachez que je suis profondément épris pour Haruka, je l’aime vraiment plus que tout, plus que quiconque sur cette terre. A plusieurs reprise, elle ma aidée à me sentir mieux, elle ma permis de savoir la vérité sur mon passé, et même si je suis encore perdu, je l’aime et ne souhaite que la voir heureuse, la voir sourire et mon seul bonheur. Alors s’il vous plais laissez moi être avec elle, même si notre statue nous éloignent, nous somme avant tout deux femmes tout se qu’il y a de plus normal, alors laissez moi être avec elle, je vous en conjure, je ne veux pas être séparer d’elle parce ce que …

Je me tourne vers ma jolie blonde, qui me sourit tendrement, je lui prit ses mains et dis sincèrement :

Moi – parce ce que malgré mon jeune âge, je souhaite plus que tout bâtir un futur dans ses bras, elle est … La femme de ma vie, elle est … Ma plus belle histoire d’amour.
Haruka – et de tout mon cœur je ne souhaite que la rendre heureuse, car pour moi … Elle est tout, elle est, la femme dont je suis éperdument amoureuse, elle est … Mon rayon de soleil.

Je lui sourit, prend doucement ses joues et lui déposa un tendre et long baiser. Avec bonheur elle y répondit, en allant tendrement caresser ma joue, alors que moi, je lui caresser les paumettes de mes pouces.

On se détachent doucement, et nos regards se croisent se caressent.


Moi – je t’aime ma jolie blonde !
Haruka – moi aussi trésor je t’aime et plus que tout.

On se sourit, je lui écarte quelques mèches de ses yeux, et caresse sa joue. Quelques minutes après le serveur nous apporte à chacun notre collation, et c’est Haru qui paya … Encore une fois.

Directeur – je ne sais pas quoi dire, je n’aurais jamais crue que cela puisse arriver, mais … Es vraiment se que vous voulais ? Car si c’est oui, je vais devoir modifier certaine choses dans vos dossiers.
Moi – car … Vous … Vous n’êtes pas fâché ?
Directeur – pourquoi le serait-je ? Après tout vous êtes avant tout des êtres humains, alors non, je suis même pour, pour que vous puissiez être ensemble, il va juste falloir que je face des modifications dans vos dossier à chacune.
Haruka – merci infiniment monsieur le directeur, je suis tellement heureuse.
Moi – merci, merci beaucoup monsieur !

Je me tourne vers elle, et heureuse je l’embrassa avec toute ma tendresse. Après sa, nous avons quitté le directeur en le remerciant, et nous avons continuer nos courses plus heureuse que jamais. Quelques heures plus tard, après avoir quitté le directeur, je me retrouvé à la maison avec ma jolie blonde en train de faire le sapin.

Moi – c’est la première fois que j’en fait un !
Haruka – moi aussi.

Puis doucement elle ma soulevé afin que j’accroche l’étoile tout en haut. Doucement Haru me pose sur le sol et je vint enrouler son cou, m’approchant un peu plus d’elle et son cœur. Ses mains s’aventurent dans mon dos, et je laisse mes yeux caresser les siens.

Moi – je suis si heureuse d’avoir eu le courage d’avoir fait face au directeur. Nous allons enfin pouvoir être réellement ensemble que se soit au lycée ou à la maison.
Haruka – oui moi aussi, je suis fière de toi mon cœur, et à partir de maintenant, je ne te laisserais plus filer … Car c’est avec bonheur que je t’offre mon cœur.
Moi – alors j’y prendrais grand soin et le chérirrais le plus tendrement possible tout comme sa propriétaire à qui je promet de l’aimer et la rendre éperdument heureuse !
Haruka – oh Michi … Deviens mienne, à tout jamais.
Moi – à tout jamais mon amour. Je t’aime !
Haruka – moi aussi et plus que tout ma petite femme à moi.
Moi – et toi la mienne !

On se sourit, et nos lèvres s’unirent dans un long et délicieux baiser. Je suis vraiment la plus heureuse, je vais enfin pouvoir être librement dans ses bras. Oh Haruka, ma si jolie blonde je t’aime je t’aime je t’aime et je t’aime, toi seule fais mon bonheur dans ce monde noir et sans couleurs.

Point de vue Haruka.

Que demander de plus ? Mon bonheur est enfin complet, je vais enfin pouvoir être avec elle en toute liberté, je vint la serrer tendrement dans mes bras, allant caresser sauvagement sa langue avec la mienne. La serrant amoureusement dans mes bras, et laissant mon cœur s’exprimer le plus tendrement qu’il soit.

voila la fin de ce chapitre, j’espère qu’il vous a plus :) un peut court mais toujours autant de douceur entre Michi et Haru
Mer 23 Oct 2013, 17:42 par HaruxMichi sur Histoires d'amour

De doux souvenirs

Nous nous étions enfin retrouvés face à face
Dans ce restaurant qui ne payait pas de mine
Un comptoir, des tables et une grande glace
Qui nous renvoyait l’image de la
Un apéritif pour enlever cet embarras
Qui nous figeait telles statues de pierre
Vinrent ensuite les hors-d’œuvre et le repas
Je puisais mon courage dans un verre
On parlait de toi, de moi, de tout, de rien
Et puis, j’ai plongé dans tes yeux foncés
Ressentant comme une envie de m’y noyer
Pour en effacer les ombres noires du destin
Qui faisaient des sombres trainées de brouillard
Dont les gouttes s’accrochaient à tes cils soyeux
L’envie de suivre, ces perles au coin de tes yeux
Pour rendre son éclat à ce merveilleux regard
L’envie d’étendre mon bras et d’un doigt essuyer
Ces larmes qui burinaient ton doux visage
Descendaient lentement mouiller ton corsage
J’en avais le cœur complètement retourné...
Je buvais tes paroles doucement susurrées
Qui étaient comme des bulles éclatantes
Des jolies notes de musique enivrantes
Qui contrastaient avec le noir de tes pensées
Ces mots que dispensait ta bouche fine
Nerveux comme des papillons excités
Légers tels de doux pétales colorés
Formaient dans ma tête une danse argentine
Et je n’avais plus qu’un seul souhait
Qui voyageait hantant mon esprit
Je crois que toi aussi tu avais compris :
Embrasser ces lèvres d’un contour parfait
Ton allure réservée et ton air abattu
Contrastaient avec tes rires explosifs
Balayant de ma vie tous ces poncifs
Et j’ai osé un timide baiser dans le cou
Ce fut comme un merveilleux feu d’artifice
Qui accrocha à tes lèvres un sourire
Qui imprima dans ma vie un souvenir
Tinté de nostalgie et d’un brin de malice...
J’ai aimé te sentir, j’ai aimé te respirer
Ta peau douce comme de la soie
Et je recommençai autant de fois
Que tu me permis de t’embrasser
Il m’arrive encore d’y penser souvent
En passant devant ce restaurant de quartier
Toi, tu as dû certainement déjà l’oublier
Ce magnifique et merveilleux moment
Dont il ne reste, dans un coin de ma tête
La délicieuse odeur de ta peau vanillée,
Le goût mémorable de ta bouche sucrée
Des doux souvenirs qui jamais ne s’arrêtent
Jeu 26 Juil 2012, 21:32 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

Les Editions La Madolière

Comme certains l’ont sûrement remarqué, il est possible d’écrire et d’être publié très rapidement chez nous.
Comment, c’est très simple, consultez le thème du mois, écrire un petit texte (environ 3000 signes pour le début, mais suivant le succès de la formule on verra peut-être plus grand...) ou dessinez une belle illustration en couleur... et hop, top promo, on vous fait une page bio, un lien vers votre site Internet et vous disposez donc d’une super en plus.

Pour en savoir plus : www.editions-la-madoliere.com/submit.htm

Vous souhaitez recevoir notre newsletter, écrivez-nous à info@editions-la-madoliere.com en précisant Envie NL dans votre objet.

Et enfin, il reste des places pour le DBMP, vous ne savez pas ce que c’est : facile :
http://dbmp.blogspot.com

La Madolière
Lun 08 Jan 2007, 23:42 par madoliere sur Annonces

Bout de trottoir

- Bonjour
- Bonjour …
- En fait, je vous ai vue tout à l’heure devant la et …
- Excusez-moi, je n’ai pas le temps.
- Attendez, attendez, je ne voulais pas vous faire peur, attendez.
- …
- Écoutez, je sais que c’est couillon ce que je fais, mais si je le fais pas, je me sentirai encore plus malheureux que si j’avais eu peur de le faire. Vous voyez ?
- …
- Des fois, on a envie de parler à quelqu’un…
- Et ça vous arrive souvent de parler à n’importe qui comme ca ?
- Vous n’êtes pas n’importe qui. Et non, je ne le fais jamais de parler comme ça à quelqu’un dans la rue, enfin pas comme ça.
- Çà veut dire quoi pas comme ça ?
- Ben, quand on parle à quelqu’un dans la rue, c’est pour lui demander l’heure, ou une adresse, ou un truc sans conséquence. Enfin, ça nous coûte rien quoi.
- Et là, ça vous coûte alors ?
- Plutôt oui, mais là, en parlant, ça va mieux.
- Je n’ai pas le temps, il faut que j’y aille.
- Je vous accompagne, s’il vous plaît, je vous promets que au coin là-bas, je vous laisse tranquille.
- …
- Vous savez, je vais encore vous faire peur là, je vous parle parce que, enfin , c’est dur à dire, je vous parle parce que.
- Parce que ?
- Je vous parle parce que, je vous ai vue et que …
- … et que ?
- Vous m’aidez pas non plus … Je vous parle … En fait non, je vous parle parce que j’ai envie de parler à quelqu’un qui me plaît, enfin à une femme qui me plaît. J’ai envie d’aller voir une fois quelqu’un qui me plaît et lui parler. On n’ose jamais parler aux femmes qui nous plaisent des fois.
- C’est pareil pour les femmes.
- Oui, je me doute bien. Mais quand on est un homme, il faut être fort, tout ça, alors il faut y aller. Et c’est pas vraiment simple d’avoir ce courage.
- On dirait que vous l’avez, vous.
- Je l’ai eu. Et vous, vous parlez aux hommes qui vous plaisent dans la rue.
- Oh là non, je suis bien trop timide moi.
- Moi aussi je suis timide là-dessus.
- C’est vrai que vous étiez tout rouge quand vous m’avez parlé tout à l’heure.
- Ben oui, je suis pas vraiment à l’aise quand même.
- Vous vous en sortez pas mal je trouve. Moi je pourrais pas.
- En tout cas, vous acceptez de parler, de répondre, c’est déjà bien ça non ?
- Moui
- Je m’appelle Daniel.
- Léa.
- Oh, c’est chouette ça.
- Ah bon ?
- C’est … c’est joli Léa.
- Merci.
- …
- …
- Ben voilà, on est au coin de la rue, j’avais promis de vous laisser tranquille au coin.
- …
- C’est sûr que je préférerais rester encore un peu avec vous, mais j’ai promis... Aussi...
- …
- Il y a un autre coin là-bas au bout, je peux ... ?
- Avec plaisir.
Lun 21 Nov 2005, 22:31 par PetitPrince sur La première fois

Une histoire d'amour

Martin ferma la porte de sa boutique. La journée avait été longue et chaude. Il s’appuya le dos sur la porte. Il n’avait pas envie d’entrer chez lui. Depuis quelques mois, ça n’allait pas bien entre lui et sa femme. Elle était froide et distante envers lui. Il avait essayé de lui parlé mais elle lui répondait qu’il se trompait, elle l aimait tout comme avant. Qu’il s’en faisait pour rien. "Peut-être que c’est moi qui ne tourne pas rond ?" "Qu’est ce que je ressens envers elle ?" "Suis-je encore amoureux d’elle" "Peut-être ai-je peur de répondre a mes propres questions".

Les voitures passaient dans la rue soulevant la poussière. Des papiers virevoltaient ici et là. Il se sentait bien seul. Il n’arrêtait pas de chercher pourquoi il n’était plus heureux. Une petite voix au fond de lui savait pourquoi. Mais il refusait de l’écouter. Il finit par faire quelques pas. Il passa devant les autres boutiques qui fermaient. Le soleil déclinait à l’horizon. Même ce spectacle merveilleux ne réussissait a lui donner un sourire. Les gens passaient autour de lui si pressés d’entrer chez eux. Il vit un café au coin de la rue. Il décida d’y entrer.

Le café était sombre et enfumé. Les toiles avaient été tirées pour empêcher le soleil d’y entrer. Des ventilateurs projetaient avec peine une fraîcheur. Quelques clients étaient assit aux tables. Ils semblaient tous fatigués. Une chanson de Joe Dassin roulait dans le juke-box. Il reconnu le titre ! Et si tu n’existait pas" Il s’approcha du comptoir service pour commander.

Quand il leva les yeux et rencontra des yeux si verts et profond que son coeur se mit a battre.

- Que puis-je pour vous ?

Il était suspendu, comme si il était dans un autre monde. Incapable de répondre. Il elle regardait, ses cheveux châtain descendant sur ses épaules entourant son visage ovale. Sa petite bouche semblait attendre de nombreux baisers. Il la dévisageait comme un adolescent. Des frissons électriques lui parcouraient le corps. Il n’avait pas ressentit chose de pareil depuis, depuis....si longtemps qu’il ne savait quoi en faire sauf qu il ne pouvait détacher son regard de cette inconnue......

-Monsieur ? Elle lui tendit une tasse de café.

-Oui ? finit-il par dire.

Pendant qu’elle lui versait le breuvage. Il se mit à rêver qu’il lui demandait à quelle heure elle finissait son travail et s’il elle pourrait envisagé d’aller marché avec lui ou prendre un verre quelque part.

-Dans 30 minutes monsieur et ca me ferait plaisir fit elle avec sourire.
-Quoi ? fit-il ne sachant de quoi elle parlait.
-Vous ne semblez pas être dans votre assiette. Je m appelle Sandra fit le jeune femme.
-Martin fit-il en attendant la main. Heu vous disiez ?
-Vous venez de me demandez si je voulais aller marcher avec vous et oui ça me plairait pourquoi pas !

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Il attendait à la sortie des employés se demandant qu’es qu il faisait là.
"Mais a quoi je pensais bordel " Il s’apprêtait a partir quand la porte s’ouvrit. Elle était la. Belle comme un lever de soleil. Son coeur battait à la folie. Il pouvait sentir son parfum qui lui enivrait le corps.
-Bonsoir fit-elle de sa voix chaude.

Il murmura un bonsoir. Il regardait ses lèvres avec un envie folle des les couvrir. Puis leva lentement les yeux pour se perdre dans l océan vert.

Elle fit un mouvement de tête ce qui le tira de sa stupeur.
-Un café où nous marchons fit il d’une voix mal assurée.
-Marchons un peu, ça va me faire du bien après une journée dans ce bar.

Ils marchèrent cote à cote. Dans un silence chacun dans ses pensées. "Elle est tellement belle Je me demande qui est-elle "
-Vous faites quoi dans la vie demande t-elle
Martin ce tourna vers elle
-Conseillé en orientation de la clientèle. "je ne peux quand même pas lui dire vendeur"
-Vous êtes marié ?
Martin détourna la tête et répondit
-Non et vous

-Non, j’ai pas rencontré celui qui fera battre mon coeur.
"Tant mieux" se dit-il
-Cela m’étonne vous êtes fort jolie Sandra. J’ai du mal a concevoir que vous n’ayez pas de petit ami.

-Les gens de mon age ne m intéresse pas. Il ne pense qu’à vous sauter en premier. Et vous Martin ?

-Moi, c’est une longue histoire qui n’est pas intéressante.

Ils arrivent à la marina. Quelques vagues remuaient sur le lac poussé par une brise chaude. Il regarda Sandra dont les cheveux volaient au vent. Elle avait fermé les yeux et semblait être presque en transe. Il n’osait faire de geste. Une pulsation lui montait à l’esprit. Il voulait l’embrasser. Il s approcha quand son téléphone cellulaire sonna. Tous les deux faillir mourir.

-Allo fit il avec une certaine rage.


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La soupe mijotait. Il préparait un boeuf a l ancien. Une recette qui venait de sa mère. La table était mise. Une jolie nappe de dentelle, des bougies. Il avait mise de la musique douce. Tout, lui paraissait parfait il ne manquait plus qu’elle.
"19h45 dans quelques minutes elle sera la. Juste le temps de prendre une douche." Il se dirigea vers la salle de bain quand le téléphone sonna. Une appréhension lui vint a l’esprit. Il secoua la tête en se disant qu’il devenait parano.

-Oui ? fit-il
-Chéri ! Je vais entrer tard, Nancy et moi, avons des petits problèmes à régler au bureau. Alors ne m’attend pas.
"Salope" pensa t-il
-Tu es là ? demanda t-elle
-Oui oui ok je vais lire un peu et me coucher fit-il
-Bye et elle raccrocha sans dire un seul mot d’amour ou autre chose.

"Putain de salope j’en ai rien a faire moi de ton crisss de bureau à la con, je t’emmerde puis tiens ton souper de merde" Il tira le boeuf et la soupe dans l’évier. Eteignit les chandelles et les foutu à la poubelle, prit la nappe la déchira. Quand il fut calmé il regarde la désastre.
"Qu’est qui m’arrive suis-je en train de devenir fou ?"

Il s’écrasa sur la chaise et pleura....

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Sandra prit son service à 20h00 comme d’habitude le café était bondé à cette heure la. Les filles étaient sur les genoux. Il avait fait très encore aujourd’hui. L’intérieur du café était confortable. Elle travaillait depuis 2 ans dans ce café enfin de payé ses études. Elle rêvait de devenir enseigne au primaire et de voyager a travers le monde. Les gens qui la côtoyait disait d’elle que c’était une bonne personne, aimable toujours prête a aider.

Depuis quelques jours Sandra avait l’esprit tourmenté par sa rencontre avec cet inconnu. Si bref fut-elle, avait éveillé une émotion en elle. Elle guettait chaque client qui entrait espérant secrètement que ce serait lui. Elle regarde par la grande qui donnait sur la rue principale. Des travailleurs étaient à finir l installation du terrain de volley-ball. Bientôt il y aurait une grande foule. Cette année la ville avait décidé de tenir un tournoi sur le boulevard principal de la municipalité. Du sable avait été déposé en grande quantité au centre de la place.

"Je ne connais que son nom. Je suis vraiment idiote d’attendre comme ça. Et j’attends quoi et qui ?"La petite clochette d’entrée la ramena de ses pensées. Elle se retourna pour voir qui venant d’entrer. Hélas, la déception ce n’est pas celui qu’elle attendait. Elle ragea un peu contre elle-même et reprit son travail avec plus de vigueur.

La clochette raisonna encore. Sandra leva la tête ne pouvant résisté. "Grrr" fit-elle dans un murmure.
Une femme venait d’entrer. En faits, on aurait pu dire des yeux venait d entrée tant le bleu était pur azur. Ses cheveux noirs et longs semblaient voler autour de son visage rond. Un petit nez retroussé deux petites pommettes et une bouche tout a fait exacte avec des lèvres pulpeuses. Cette femme devait faire des ravages sur son passage.

Elle se dirigea vers le coin le plus sombre du café. Sa démarche montrait une certain classe. Elle faisait contraste avec les clients habituels. Si elle voulait passer inaperçu, elle avait très mal choisis l’endroit. Ce genre de femme sophistiquée n’était pas coutume. Elle s’assit et d un mouvement de la main nettoya la table. Déjà Sandra ne l aimait pas sans même la connaître. Elle s approcha d’elle.

-Vous désirez ! lui demanda Sandra

La femme prit tout son temps pour dévisager Sandra. C’était comme-ci elle la mettais à nue. Avec un haussement d épaule qui signifiait qu elle l avait mesuré pesé et jugé insignifiante.

-J’attends quelqu’un, alors je commanderai qu’a son arrivé. Mais avant serait-elle trop d’avoir un verre d’eau propre dit elle d’une voix sec et perché.

"Pétasse " pensa Sandra

-Bien sur madame fit Sandra en souriant de toutes ses dents.

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Mar 07 Juin 2005, 22:52 par JonPeters sur Histoires d'amour

Messagers

L’une face à l’autre, coincées dans cette cabine
Séparée pas ce bout de verre, cet écran, cette
Deux bêtes à bon dieu, deux amants pointillés
Chacun de leur côté prisonniés, éloignés.

L’un face à l’autre, coincés dans ce carcan
Séparés par ce bout de verre, cet écran
Deux enfants de dieu, deux amants frustrés
Chacun de leur côté, éloignés.

Dame Coccinelle peu farouche
Couvrait la , de sa bouche
Sieur Coccinelle sous le charme
Du bout des pattes, dessinait la dame.

La belle dame derrière son clavier
Envoyait par écran ses baisers
Son bel amant en pleine nuit
Frôlait les contours de son envie.

"Viens ici petite coccinelle que je te délivre de ta prison de verre,
Viens ici porter mon message, sois mon trouvère
Va lui dire combien je l’aime, va lui porter mes baisers
Frôle sa joue pour moi qui resterai enfermé de ce côté"

Dame et sieur Coccinelle ont déployé leurs ailes
Se sont envolés tout là-haut dans le ciel
Pour se poser beaucoup plus loin dans un autre pôle
Sur sa peau en manque, sur son épaule.

" Nous sommes ses trouvères, ses messagers
Nous venons te donner ses soupirs, ses baisers
Te dire ses je t’aime, ses j’ai envie
Sécher tes joues, dissiper ton ennui"

L’un à côté de l’autre, dans son ciel
Réunis pour vivre tant de merveilles
Deux bêtes à bon dieu, deux amants pointillés
S’envolent pour le soleil, à jamais

L’un face à l’autre, coincés dans ce carcan
Séparés par ce bout de verre, cet écran
Deux enfants de dieu, deux amants frustrés
Chacun de leur côté, à jamais...
Sam 24 Juil 2004, 15:11 par la marquise de sade sur Amour internet

Natalité

Natalité

Naissance d’un enfant,
Visage charmant,
Pureté de l’esprit,
Libre, sans souci.

Éveil d’un monde,
Rire d’une mappemonde,
L’adulte surpris,
L’enfant ébahi.

Vitrine créative,
Vision admirative,
Un soupçon d’apothéose
Une légère rose.

Espoir en cette vie,
Berceau que j’envie.
Au-delà des années
Des joies exprimées…
Ven 23 Juil 2004, 20:52 par epervier sur L'amour en vrac
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Ecrire sur vitrine

Ecrire sur vitrine L'amour est-il un crime ? chapitre 8, De doux souvenirs, Les Editions La Madolière, Bout de trottoir, Une histoire d'amour, Messagers, Natalité,
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La citation d'amour

Les rides sont le tombeau de l'amour.

Proverbe espagnol.

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