Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur vivre - Page 14 sur 24
C'est aussi parfois cela, aimer...
Savoir prendre ce qu’un être peut vous donner
sans en demander de trop de peur de tout perdre...
Rester dans l’ombre en attendant de vivre dans la lumière....
Satine
sans en demander de trop de peur de tout perdre...
Rester dans l’ombre en attendant de vivre dans la lumière....
Satine
Dim 04 Juin 2006, 13:08 par
Satine sur Parler d'amour
Aimons toujours ! Aimons encore !
Aimons toujours ! Aimons encore !
Quand l’amour s’en va, l’espoir fuit.
L’amour, c’est le cri de l’aurore,
L’amour c’est l’hymne de la nuit.
Ce que le flot dit aux rivages,
Ce que le vent dit aux vieux monts,
Ce que l’astre dit aux nuages,
C’est le mot ineffable : Aimons !
L’amour fait songer, vivre et croire.
Il a pour réchauffer le coeur,
Un rayon de plus que la gloire,
Et ce rayon c’est le bonheur !
Aime ! qu’on les loue ou les blâme,
Toujours les grand coeurs aimeront :
Joins cette jeunesse de l’âme
A la jeunesse de ton front !
Aime, afin de charmer tes heures !
Afin qu’on voie en tes beaux yeux
Des voluptés intérieures
Le sourire mystérieux !
Aimons-nous toujours davantage !
Unissons-nous mieux chaque jour.
Les arbres croissent en feuillage ;
Que notre âme croisse en amour !
Soyons le miroir et l’image !
Soyons la fleur et le parfum !
Les amants, qui, seuls sous l’ombrage,
Se sentent deux et ne sont qu’un !
[...]
[i]Victor Hugo[/i]
Extrait des Contemplations
Quand l’amour s’en va, l’espoir fuit.
L’amour, c’est le cri de l’aurore,
L’amour c’est l’hymne de la nuit.
Ce que le flot dit aux rivages,
Ce que le vent dit aux vieux monts,
Ce que l’astre dit aux nuages,
C’est le mot ineffable : Aimons !
L’amour fait songer, vivre et croire.
Il a pour réchauffer le coeur,
Un rayon de plus que la gloire,
Et ce rayon c’est le bonheur !
Aime ! qu’on les loue ou les blâme,
Toujours les grand coeurs aimeront :
Joins cette jeunesse de l’âme
A la jeunesse de ton front !
Aime, afin de charmer tes heures !
Afin qu’on voie en tes beaux yeux
Des voluptés intérieures
Le sourire mystérieux !
Aimons-nous toujours davantage !
Unissons-nous mieux chaque jour.
Les arbres croissent en feuillage ;
Que notre âme croisse en amour !
Soyons le miroir et l’image !
Soyons la fleur et le parfum !
Les amants, qui, seuls sous l’ombrage,
Se sentent deux et ne sont qu’un !
[...]
[i]Victor Hugo[/i]
Extrait des Contemplations
Sam 20 Mai 2006, 15:12 par
dolce vita sur Citations
Solitude
Nous pouvons vivre seuls, surtout dans l’attente
de quelqu’un.
de quelqu’un.
Jeu 11 Mai 2006, 10:15 par
Satine sur Parler d'amour
A l'aube du cinquième jour
Douceur d’un instant qui se pose sans un murmure.
Paix et quiétude... Après la pluie, le jour renaît, timide encore, fragile, tremblant sur ses jambes.
Tu t’es accroupie et a baigné ton visage d’eau de mer, à même l’écume, fermé les yeux, laissé le sel brûler ta peau... Parcourue de frissons, tu n’as pas bougé, respirant profondément, calmant le rythme de ton cœur, le rythme des sanglots qui te secouent encore... Tu as posé un sac, lourd, si lourd, derrière toi et tu l’offres au soleil, aux oiseaux de mer, parés d’écume... Ton dos s’est courbé vers le sol, tes mains se sont nouées au sable, les flots se sont écoulés, librement... Tes cheveux courts forment une jungle sur ton visage de garçon, aux traits saillants. Pourtant... Ton sourire est celui d’une femme, ton cœur celui d’une enfant, tes rêves ont des cheveux longs, ta fatigue celle d’une aïeule... Dans tes jeans et tes façons de garçon manqué, oserais-tu encore proclamer comme naguère par bravade, à ton père, que tu es une fille réussie ? Tes rêves de chevauché, de fuite et de combat contre le mal. Ta soif d’amour. La hardiesse de tes propos, la liberté de tes façons te laissent à part. Tes prières seule, dans les églises désertes, agenouillée devant la croix, tes larmes offertes, ta vie... On te regarde et on ne comprend pas... Tu es libre. Tes mains qui soignent. Cet envol de l’esprit vécu avec cet autre.. Toi, qui, sans le chercher a goûté à des délices spirituels avant de ressentir le manque. La soif d’unité entre toutes les composantes de ton être et vivre l’amour, l’incarner pleinement cette fois dans ton corps... Cette communion au tout si chère et si précieuse dans la joie ; si douloureuse dans la division... Oh, te sentir accueillie par l’autre, telle que tu es. Et l’accueillir pareillement. Il n’y a pas de doute, ta vie est entre les mains de Celui qui t’a ainsi voulue, qui a mis en ton cœur ces désirs et ces rêves... Tu as ouvert les yeux et plongé tes regards dans l’infini, sans ciller...
Paix et quiétude... Après la pluie, le jour renaît, timide encore, fragile, tremblant sur ses jambes.
Tu t’es accroupie et a baigné ton visage d’eau de mer, à même l’écume, fermé les yeux, laissé le sel brûler ta peau... Parcourue de frissons, tu n’as pas bougé, respirant profondément, calmant le rythme de ton cœur, le rythme des sanglots qui te secouent encore... Tu as posé un sac, lourd, si lourd, derrière toi et tu l’offres au soleil, aux oiseaux de mer, parés d’écume... Ton dos s’est courbé vers le sol, tes mains se sont nouées au sable, les flots se sont écoulés, librement... Tes cheveux courts forment une jungle sur ton visage de garçon, aux traits saillants. Pourtant... Ton sourire est celui d’une femme, ton cœur celui d’une enfant, tes rêves ont des cheveux longs, ta fatigue celle d’une aïeule... Dans tes jeans et tes façons de garçon manqué, oserais-tu encore proclamer comme naguère par bravade, à ton père, que tu es une fille réussie ? Tes rêves de chevauché, de fuite et de combat contre le mal. Ta soif d’amour. La hardiesse de tes propos, la liberté de tes façons te laissent à part. Tes prières seule, dans les églises désertes, agenouillée devant la croix, tes larmes offertes, ta vie... On te regarde et on ne comprend pas... Tu es libre. Tes mains qui soignent. Cet envol de l’esprit vécu avec cet autre.. Toi, qui, sans le chercher a goûté à des délices spirituels avant de ressentir le manque. La soif d’unité entre toutes les composantes de ton être et vivre l’amour, l’incarner pleinement cette fois dans ton corps... Cette communion au tout si chère et si précieuse dans la joie ; si douloureuse dans la division... Oh, te sentir accueillie par l’autre, telle que tu es. Et l’accueillir pareillement. Il n’y a pas de doute, ta vie est entre les mains de Celui qui t’a ainsi voulue, qui a mis en ton cœur ces désirs et ces rêves... Tu as ouvert les yeux et plongé tes regards dans l’infini, sans ciller...
Mar 09 Mai 2006, 11:04 par
dolce vita sur Un monde parfait
A tous les SDF de l'amour...
Tu t’étais promis de ne pas te laisser apprivoiser... Tu te sens si triste, si seul, encore plus seul qu’hier, dupe de toi-même. Le désir d’amour est si grand en toi, la confiance sans limite, la capacité d’aimer au delà de toute mesure... Et l’instinct de survie quasi nul... « Same script different cast ». Tu es offert à la souffrance en holocauste sur la table d’amour : pourquoi certains trouvent l’âme sœur et la félicité alors que d’autres vont de mirages en illusions, toujours assoiffés, en quête de l’oasis salutaire, en quête de l’âme soeur ? "Père, je suis fatigué, la route est trop longue, combien de matins encore à devoir reprendre la route seul "? Voilà ton cri devenu un refrain que se renvoient les cimes baignées de soleil. Combien de nuits sans sommeil ? Combien de rêves éventrés par des mains assassines ? "Je ne veux plus aimer, je ne veux plus y croire, prends mon cœur Seigneur, prends ma vie, elle m’est à charge"... Certains sont faits pour vivre l’amour et d’autres pour en mourir, éternels vagabonds, importuns, va-nu-pieds, mal chaussés de l’amour... Ils passent leur chemin. Et sont déjà des ombres...
Lun 08 Mai 2006, 10:12 par
dolce vita sur Histoires d'amour
Conseil à une amie
Vivre pour l’autre ? Oh, mais quel poids mon amie quel poids sur les épaules d’un homme, d’un être de chair, de feu, de sang !!! Non, il faut vivre pour soi !!! Il faut vivre soi ! Ne pas faire dépendre son bonheur d’un être humain qui pauvre homme ne pourra jamais assumer de telles responsabilités, ce serait l’écraser et condamner dans l’oeuf votre amour ! Ensuite, partager, emprunter à deux la même route et se réjouir dans l’instant du chemin parcouru ! Goûter à vos différences, rire de vos similitudes... Oui, se réjouir du chemin et le rendre plaisant ! Offrir, aimer, donner, recevoir dans un va et vient joyeux mais de grâce pour lui, pour toi, pour vous : non, ne vis pas pour un homme, vis avec un homme !!!
Sam 06 Mai 2006, 12:53 par
dolce vita sur La vie à deux
Muguet bonheur amour
Avoir le bonheur de vivre l’amour
Je te le souhaite âme tendre
Avoir le bonheur de sourire au jour
Que ta joie disperse les cendres
Avoir le bonheur de naître à l’amour
Et ta vie à deux mains la prendre...
Je te le souhaite âme tendre
Avoir le bonheur de sourire au jour
Que ta joie disperse les cendres
Avoir le bonheur de naître à l’amour
Et ta vie à deux mains la prendre...
Lun 01 Mai 2006, 10:51 par
dolce vita sur Mille choses
Une histoire qui mérite réflexion...
Un jour, toutes les couleurs du monde se mirent à se disputer entre elles, chacune prétendant être la meilleure, la plus importante, la plus belle, la plus utile, la favorite.
Le vert affirma :
Je suis le plus essentiel, c’est indéniable. Je représente la vie et de l’espoir. J’ai été choisi pour l’herbe, les arbres et les feuilles. Sans moi, les animaux mourraient. Regardez la campagne et vous verrez que je suis majoritaire.
Le bleu prit la parole :
Tu ne penses qu’à la terre mais tu oublies le ciel et l’océan. C’est l’eau qui est la base de la vie alors que le ciel nous donne l’espace, la paix et la sérénité. Sans moi, vous ne seriez rien.
Le jaune rit dans sa barbe :
Vous êtes bien trop sérieux. Moi j’apporte le rire, la gaieté et la chaleur dans le monde. À preuve, le soleil est jaune, tout comme la lune et les étoiles. Chaque fois que vous regardez un tournesol, il vous donne le goût du bonheur. Sans moi, il n’y aurait aucun plaisir sur cette terre.
L’orange éleva sa voix dans le tumulte :
Je suis la couleur de la santé et de la force. On me voit peut-être moins souvent que vous mais je suis utile aux besoins de la vie humaine. Je transporte les plus importantes vitamines. Pensez aux carottes, aux citrouilles, aux oranges aux mangues et aux papayes. Je ne suis pas là tout le temps mais quand je colore le ciel au lever ou au coucher du soleil, ma beauté est telle que personne ne remarque plus aucun de vous.
Le rouge qui s’était retenu jusque là, prit la parole haut et fort :
C’est moi le chef de toutes les couleurs car je suis le sang, le sang de la vie. Je suis la couleur du danger et de la bravoure. Je suis toujours prêt à me battre pour une cause. Sans moi, la terre serait aussi vide que la lune. Je suis la couleur de la passion et de l’amour, de la rose rouge, du poinsettia et du coquelicot.
Le pourpre se leva et parla dignement :
Je suis la couleur de la royauté et du pouvoir. Les rois, les chefs et les évêques m’ont toujours choisie parce que je suis le signe de l’autorité et de la sagesse. Les gens ne m’interrogent pas, ils écoutent et obéissent.
Finalement, l’indigo prit la parole, beaucoup plus calmement que les autres mais avec autant de détermination :
Pensez à moi, je suis la couleur du silence. Vous ne m’avez peut-être pas remarquée mais sans moi vous seriez insignifiantes. Je représente la pensée et la réflexion, l’ombre du crépuscule et les profondeurs de l’eau. Vous avez besoin de moi pour l’équilibre, le contraste et la paix intérieure.
Et ainsi les couleurs continuèrent à se vanter, chacune convaincue de sa propre supériorité. Leur dispute devint de plus en plus sérieuse. Mais soudain, un éclair apparut dans le ciel et le tonnerre gronda. La pluie commença à tomber fortement. Inquiètes, les couleurs se rapprochèrent les unes des autres pour se rassurer.
Au milieu de la clameur, la pluie prit la parole :
Idiotes ! Vous n’arrêtez pas de vous chamailler, chacune essaie de dominer les autres. Ne savez-vous pas que vous existez toutes pour une raison spéciale, unique et différente ? Joignez vos mains et venez à moi. Les couleurs obéirent et unirent leurs mains.
La pluie poursuivit :
Dorénavant, quand il pleuvra, chacune de vous traversera le ciel pour former un grand arc de couleurs et démontrer que vous pouvez toutes vivre ensemble en harmonie. L’arc-en-ciel est un signe d’espoir pour demain. Et, chaque fois que la pluie lavera le monde, un arc-en-ciel apparaîtra dans le ciel, pour nous rappeler de nous apprécier les uns les autres.
Le vert affirma :
Je suis le plus essentiel, c’est indéniable. Je représente la vie et de l’espoir. J’ai été choisi pour l’herbe, les arbres et les feuilles. Sans moi, les animaux mourraient. Regardez la campagne et vous verrez que je suis majoritaire.
Le bleu prit la parole :
Tu ne penses qu’à la terre mais tu oublies le ciel et l’océan. C’est l’eau qui est la base de la vie alors que le ciel nous donne l’espace, la paix et la sérénité. Sans moi, vous ne seriez rien.
Le jaune rit dans sa barbe :
Vous êtes bien trop sérieux. Moi j’apporte le rire, la gaieté et la chaleur dans le monde. À preuve, le soleil est jaune, tout comme la lune et les étoiles. Chaque fois que vous regardez un tournesol, il vous donne le goût du bonheur. Sans moi, il n’y aurait aucun plaisir sur cette terre.
L’orange éleva sa voix dans le tumulte :
Je suis la couleur de la santé et de la force. On me voit peut-être moins souvent que vous mais je suis utile aux besoins de la vie humaine. Je transporte les plus importantes vitamines. Pensez aux carottes, aux citrouilles, aux oranges aux mangues et aux papayes. Je ne suis pas là tout le temps mais quand je colore le ciel au lever ou au coucher du soleil, ma beauté est telle que personne ne remarque plus aucun de vous.
Le rouge qui s’était retenu jusque là, prit la parole haut et fort :
C’est moi le chef de toutes les couleurs car je suis le sang, le sang de la vie. Je suis la couleur du danger et de la bravoure. Je suis toujours prêt à me battre pour une cause. Sans moi, la terre serait aussi vide que la lune. Je suis la couleur de la passion et de l’amour, de la rose rouge, du poinsettia et du coquelicot.
Le pourpre se leva et parla dignement :
Je suis la couleur de la royauté et du pouvoir. Les rois, les chefs et les évêques m’ont toujours choisie parce que je suis le signe de l’autorité et de la sagesse. Les gens ne m’interrogent pas, ils écoutent et obéissent.
Finalement, l’indigo prit la parole, beaucoup plus calmement que les autres mais avec autant de détermination :
Pensez à moi, je suis la couleur du silence. Vous ne m’avez peut-être pas remarquée mais sans moi vous seriez insignifiantes. Je représente la pensée et la réflexion, l’ombre du crépuscule et les profondeurs de l’eau. Vous avez besoin de moi pour l’équilibre, le contraste et la paix intérieure.
Et ainsi les couleurs continuèrent à se vanter, chacune convaincue de sa propre supériorité. Leur dispute devint de plus en plus sérieuse. Mais soudain, un éclair apparut dans le ciel et le tonnerre gronda. La pluie commença à tomber fortement. Inquiètes, les couleurs se rapprochèrent les unes des autres pour se rassurer.
Au milieu de la clameur, la pluie prit la parole :
Idiotes ! Vous n’arrêtez pas de vous chamailler, chacune essaie de dominer les autres. Ne savez-vous pas que vous existez toutes pour une raison spéciale, unique et différente ? Joignez vos mains et venez à moi. Les couleurs obéirent et unirent leurs mains.
La pluie poursuivit :
Dorénavant, quand il pleuvra, chacune de vous traversera le ciel pour former un grand arc de couleurs et démontrer que vous pouvez toutes vivre ensemble en harmonie. L’arc-en-ciel est un signe d’espoir pour demain. Et, chaque fois que la pluie lavera le monde, un arc-en-ciel apparaîtra dans le ciel, pour nous rappeler de nous apprécier les uns les autres.
Mar 25 Avril 2006, 10:49 par
Satine sur Mille choses
T'aimer
Aimer, sentir en soi le désir qui grandit
Sans pudeur et sans honte,
Avec un cœur d’enfant qui sourit à la vie.
Oh ! T’aimer et être aimée de toi !
Un chemin, mon amour, où j’ai posé mes pas !
Réinventer le jour et le vivre en geste
Et en communion d’âmes
Et le vivre, à deux...
Et le vouloir, à deux...
Et l’incarner, à deux...
Oubliant nos pourquoi
dans une belle insouciance.
Riant à l’évidence !
Tes pas, qui me précèdent, et me conduisent à toi
A chaque battement de nos coeurs débordant !
Et rire de ce rire entraînant
Qui fait chanter le monde !
Comme aux commencements...
Oh ! Accueillir et caresser l’instant.
Aimer chaque seconde !
M’abandonner,
Oui, me donner à l’homme
Qui porte l’amour
Comme on porte la joie.
Sans pudeur et sans honte,
Avec un cœur d’enfant qui sourit à la vie.
Oh ! T’aimer et être aimée de toi !
Un chemin, mon amour, où j’ai posé mes pas !
Réinventer le jour et le vivre en geste
Et en communion d’âmes
Et le vivre, à deux...
Et le vouloir, à deux...
Et l’incarner, à deux...
Oubliant nos pourquoi
dans une belle insouciance.
Riant à l’évidence !
Tes pas, qui me précèdent, et me conduisent à toi
A chaque battement de nos coeurs débordant !
Et rire de ce rire entraînant
Qui fait chanter le monde !
Comme aux commencements...
Oh ! Accueillir et caresser l’instant.
Aimer chaque seconde !
M’abandonner,
Oui, me donner à l’homme
Qui porte l’amour
Comme on porte la joie.
Sam 22 Avril 2006, 20:00 par
dolce vita sur Parler d'amour
Ces divins voyous de l'amour
"Depuis le petit coeur impatient de mon enfance jusqu’à ce vieux coeur meurtri, pantelant, essoufflé, mais toujours plus avide de lumière, je n’ai pas eu d’autre ambition que celle d’être accueilli et reçu comme un poète, de pouvoir me compter un jour au nombre saint de ces divins voyous de l’amour. Je n’ai jamais voulu rien d’autre, et je crois bien n’avoir perdu pas un unique instant d’entre tous ceux qu’il m’a été donné de vivre, en détournant les yeux de ce seul objectif jamais atteint, sans doute, mais visé toujours mieux et avec une passion de jour en jour plus sûre d’elle."
Armel Guerne
Armel Guerne
Amour, union, symétrie...
Un individu est fait pour l’unité entre tous ses composants ; cœur corps esprit. Lorsque l’amour envahit sa vie alors cette unité cherche à se manifester en lui dans toutes les particules de son être. Alors il touche à la joie sans limite, il touche à l’éternité. Mais lorsque parties du tout sont laissées pour compte alors intervient la division et de fait, la souffrance. Aimer c’est être vulnérable. Puisqu’il recherche dans la communion à l’autre l’union de tout ce qui le constitue... cette soif et cette faim le poussent à l’action, la contemplation et le partage...
Merveille pour ceux qui peuvent vivre la réalisation de cette union des corps, des coeurs, des âmes. Pour y parvenir il faut que deux libertés se donnent l’une à l’autre, que deux libertés s’unissent. Il faut que deux volontés soient communes. Il ne peut y avoir d’amour pleinement réalisé et librement consenti que dans cette symétrie parfaite.
Merveille pour ceux qui peuvent vivre la réalisation de cette union des corps, des coeurs, des âmes. Pour y parvenir il faut que deux libertés se donnent l’une à l’autre, que deux libertés s’unissent. Il faut que deux volontés soient communes. Il ne peut y avoir d’amour pleinement réalisé et librement consenti que dans cette symétrie parfaite.
Jeu 20 Avril 2006, 07:00 par
dolce vita sur Mille choses
Mes amis, mes amants.
Mes amis, mes amants...
Quand je t’ai rencontré, j’ai su immédiatement que je pouvais t’aimer.
Je me suis fait toute petite pour ne pas me faire remarquer.
Ben oui tu étais accompagné...
La vie t’a alors isolé et je t’ai laissé en paix car je croyais qu’un chagrin devait se vivre seul.
Je soignais tes plantes vertes en rêvant te caresser comme je le faisais avec elles; je les humidifiait comme je rêvait ma peau contre la tienne.
Toi tu avais d’autres pensées, seul tu ne pouvais rester.
Quel choc le jour où tu m’as annoncé en toute "Amitié" que tu avais rencontré une âme pour partager tes soirées trop longues.
J’ai alors prit du recul et me suis à nouveau éloignée.
Grâce ou a cause d’une amie nous nous sommes rapprochés dans une course effrénée; ou bien l’ai-je aussi rêvé?
Pourquoi pendant tant d’années suis-je restée accrochée à une histoire que seule j’avais imaginée?
Elle fait aussi partie des bagages trop lourd à porter.
Aujourd’hui tu es à nouveau planté au beau milieu d’une famille reconstituée et moi je t’ai laissé.
Un autre amour est arrivé, mais c’était du copier coller.
Que n’ais je pas compris la première fois pour que la vie m’amène encore ce nouveau choix?
Je suis sans doute la seule à ne pas comprendre alors éclairez-moi pour que je puisse grandir à çà.
J’ai bien tenté de résister à ces histoires sans lendemain mais mon besoin de tendresse, d’amour et de contact humain était si grand que même en le sachant je me suis noyée dedans.
Mes amis mes amants vous avez été merveilleux et troublants.
Vous avez égayés certains jours, certaines nuits; trop peu sans doute mais le souvenir ne me quittera pas.
Je ne vous oublierez jamais tout comme vous; je le sait.
Ma vie je veux la vivre plutôt que la rêver; j’ai assez "imaginé".
Quand je t’ai rencontré, j’ai su immédiatement que je pouvais t’aimer.
Je me suis fait toute petite pour ne pas me faire remarquer.
Ben oui tu étais accompagné...
La vie t’a alors isolé et je t’ai laissé en paix car je croyais qu’un chagrin devait se vivre seul.
Je soignais tes plantes vertes en rêvant te caresser comme je le faisais avec elles; je les humidifiait comme je rêvait ma peau contre la tienne.
Toi tu avais d’autres pensées, seul tu ne pouvais rester.
Quel choc le jour où tu m’as annoncé en toute "Amitié" que tu avais rencontré une âme pour partager tes soirées trop longues.
J’ai alors prit du recul et me suis à nouveau éloignée.
Grâce ou a cause d’une amie nous nous sommes rapprochés dans une course effrénée; ou bien l’ai-je aussi rêvé?
Pourquoi pendant tant d’années suis-je restée accrochée à une histoire que seule j’avais imaginée?
Elle fait aussi partie des bagages trop lourd à porter.
Aujourd’hui tu es à nouveau planté au beau milieu d’une famille reconstituée et moi je t’ai laissé.
Un autre amour est arrivé, mais c’était du copier coller.
Que n’ais je pas compris la première fois pour que la vie m’amène encore ce nouveau choix?
Je suis sans doute la seule à ne pas comprendre alors éclairez-moi pour que je puisse grandir à çà.
J’ai bien tenté de résister à ces histoires sans lendemain mais mon besoin de tendresse, d’amour et de contact humain était si grand que même en le sachant je me suis noyée dedans.
Mes amis mes amants vous avez été merveilleux et troublants.
Vous avez égayés certains jours, certaines nuits; trop peu sans doute mais le souvenir ne me quittera pas.
Je ne vous oublierez jamais tout comme vous; je le sait.
Ma vie je veux la vivre plutôt que la rêver; j’ai assez "imaginé".
Mer 19 Avril 2006, 10:15 par
Hécate sur L'amour en vrac
Renouveau
Renouveau.
Ne pas se retourner.....
Vieilles valises laissées au dépôt, je m’en vais sans laisser un mot.
M’éclipser dans le halo de la lune.
Au dédale du chemin, s’arrêter et vivre tous synchrones offert par la vie.
Vivre l’instant présent sans me poser de questions et faire un saut quantique en laissant bien derrière moi mes vieux compagnons de route maintenant usés par le temps.....
Mes peurs, mes chagrins, mes hésitations vous restez bien dans votre carton.
Votre temps est révolu et je n’ai plus besoin de vous.
Que personne jamais ne soulève cette boîte de pandore où jalousie, possessivité et manipulation cohabitent.
Je peux facilement les abandonner, car ils ne m’ont rien donné.
Je ne serai jamais seule, Amour et confiance m’accompagnent.
Bonne humeur, sourire, rire et chansons sont également du voyage.
Ils égaient la route et surtout me précèdent pour illuminer le chemin.
Les oiseaux les arbres et les fleurs sont des compagnons fidèles.
J’ai aussi dans mes cartons tendresse qui rime avec caresses et je partage ce beau monde avec l’univers entier.
Ne pas se retourner.....
Vieilles valises laissées au dépôt, je m’en vais sans laisser un mot.
M’éclipser dans le halo de la lune.
Au dédale du chemin, s’arrêter et vivre tous synchrones offert par la vie.
Vivre l’instant présent sans me poser de questions et faire un saut quantique en laissant bien derrière moi mes vieux compagnons de route maintenant usés par le temps.....
Mes peurs, mes chagrins, mes hésitations vous restez bien dans votre carton.
Votre temps est révolu et je n’ai plus besoin de vous.
Que personne jamais ne soulève cette boîte de pandore où jalousie, possessivité et manipulation cohabitent.
Je peux facilement les abandonner, car ils ne m’ont rien donné.
Je ne serai jamais seule, Amour et confiance m’accompagnent.
Bonne humeur, sourire, rire et chansons sont également du voyage.
Ils égaient la route et surtout me précèdent pour illuminer le chemin.
Les oiseaux les arbres et les fleurs sont des compagnons fidèles.
J’ai aussi dans mes cartons tendresse qui rime avec caresses et je partage ce beau monde avec l’univers entier.
Sam 15 Avril 2006, 11:16 par
Hécate sur L'amour en vrac
L'Amour
L’Amour, cette chance qu’ont certains
De ne plus vivre que pour eux.
De ne plus vivre que pour eux.
Jeu 13 Avril 2006, 13:09 par
l'homme de sable sur Citations
Mais "Pénélope", tu t'égares!
La femme moderne, elle est intenable,
la femme d’aujourd’hui, elle ne se tient plus!
Elle a pourtant suivi les préceptes maternels,
voire grands-maternels : la preuve,
elle a "pris mari", elle a donné la vie.
Et un jour, un autre amour, différent
et puis une vie autrement,
pour elle, comme elle l’entend,
comme elle la veut, avec ses propres choix,
avec la liberté qu’elle n’a jamais appris à "se donner",
avec tout ce qui fait qu’un jour elle agit,
elle se permet d’être actrice de sa vie.
Et voilà qu’aujourd’hui, "Pénélope"
n’est plus celle qu’elle était :
elle ne sait plus broder.
Elle n’est plus languissante, soupirante
s’étiolant en compagnie de son ouvrage en points de croix.
Elle n’attend plus que surgisse...entre deux réunions,
ou à la faveur d’un moment "volé" à la douce quiétude du foyer...
le regard explosant de désir et la montre à la main,
cet autre amour: l’amour "repos du guerrier".
Alors voilà pourquoi, aujourd’hui,
il y a comme un vent de folie
qui souffle en tempête sur sa vie ;
un autre amour qui lui dit,
un autre amour qui la prend,
la bouleverse, lui met le cœur côté soleil,
un autre amour à vivre, terriblement.
Et depuis:
"Pénélope" est intenable, "Pénélope" ne se tient plus!
la femme d’aujourd’hui, elle ne se tient plus!
Elle a pourtant suivi les préceptes maternels,
voire grands-maternels : la preuve,
elle a "pris mari", elle a donné la vie.
Et un jour, un autre amour, différent
et puis une vie autrement,
pour elle, comme elle l’entend,
comme elle la veut, avec ses propres choix,
avec la liberté qu’elle n’a jamais appris à "se donner",
avec tout ce qui fait qu’un jour elle agit,
elle se permet d’être actrice de sa vie.
Et voilà qu’aujourd’hui, "Pénélope"
n’est plus celle qu’elle était :
elle ne sait plus broder.
Elle n’est plus languissante, soupirante
s’étiolant en compagnie de son ouvrage en points de croix.
Elle n’attend plus que surgisse...entre deux réunions,
ou à la faveur d’un moment "volé" à la douce quiétude du foyer...
le regard explosant de désir et la montre à la main,
cet autre amour: l’amour "repos du guerrier".
Alors voilà pourquoi, aujourd’hui,
il y a comme un vent de folie
qui souffle en tempête sur sa vie ;
un autre amour qui lui dit,
un autre amour qui la prend,
la bouleverse, lui met le cœur côté soleil,
un autre amour à vivre, terriblement.
Et depuis:
"Pénélope" est intenable, "Pénélope" ne se tient plus!
Ven 07 Avril 2006, 21:52 par
Lou sur Histoires d'amour
Ecrire sur vivre
C'est aussi parfois cela, aimer..., Aimons toujours ! Aimons encore !, Solitude, A l'aube du cinquième jour, A tous les SDF de l'amour..., Conseil à une amie, Muguet bonheur amour, Une histoire qui mérite réflexion..., T'aimer, Ces divins voyous de l'amour, Amour, union, symétrie..., Mes amis, mes amants., Renouveau, L'Amour, Mais "Pénélope", tu t'égares!, Il y a 355 textes utilisant le mot vivre. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
Les thèmes
- La séduction
- Amour internet
- La ballade amoureuse
- La première fois
- Un monde parfait
- Citations
- Le grimoire d'amour
- Les liaisons sulfureuses
- L'amour en vrac
- Parutions
- La vie à deux
- Histoires d'amour
- Articles
- Parler d'amour
- Mille choses
- Annonces
- La déclaration d'amour
- L’amour fantastique
- Textes à jalons
- Exercices de style
Derniers textes
Le Dim 08 Août 2021, 15:15 par martin
Le Jeu 05 Août 2021, 14:40 par martin- A la poursuite de milou
Le Dim 01 Août 2021, 14:52 par martin - Noel
Le Sam 31 Juil 2021, 23:34 par martin - Sentir les printemps
Le Mar 17 Mars 2020, 13:45 par caressedesyeux - Haiku
Le Sam 08 Fév 2020, 15:10 par caressedesyeux - Délivrance( suite du texte je m'en vais)
Le Mer 11 Déc 2019, 14:29 par caressedesyeux - Les roseaux
Le Ven 05 Avril 2019, 18:24 par caressedesyeux
Le Jeu 24 Jan 2019, 15:48 par FB- Sexcape game
Le Dim 03 Juin 2018, 20:57 par Bridget - Sade's girls
Le Mer 30 Mai 2018, 21:45 par Bridget - Tendrement
Le Mar 10 Jan 2017, 00:58 par JadeLightnore - Se froler du regard
Le Dim 25 Déc 2016, 19:42 par caressedesyeux - Ses cheveux longs
Le Ven 11 Nov 2016, 16:05 par caressedesyeux - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:44 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:20 par FB - Flic ou vuyou
Le Sam 22 Oct 2016, 23:28 par Bridget - Le champs de tournesol (duo)
Le Ven 30 Sep 2016, 19:16 par caressedesyeux
Dans les nuages
- aime
- aimer
- amour
- beau
- belle
- besoin
- bonheur
- bouche
- bout
- bras
- coeur
- corps
- cœur
- devant
- douce
- doux
- d’amour
- d’être
- désir
- envie
- femme
- fort
- homme
- jours
- larmes
- loin
- l’amour
- l’autre
- lèvres
- main
- mains
- monde
- mots
- nuit
- parfois
- peau
- peur
- plaisir
- porte
- pourtant
- regard
- rêve
- sens
- soleil
- sourire
- tête
- visage
- vivre
- yeux
- âme
Livres recommandables
![]() | Les fables de l'Humpur Editions 84 |
![]() | On ne badine pas avec l'amour |
![]() | L'Ile des Gauchers Gallimard |
![]() | Cinquante nuances de Grey JC Lattès |
![]() | Journal intime de mon sexe |
![]() | Éloge des femmes mûres: Les souvenirs amoureux d'András Vajda Folio |
![]() | La Pharmacienne La Musardine |
![]() | Grammaire érotique La Musardine |
![]() | Celle qui couche avec les autres J'ai lu |
![]() | Le carnet de Rose : Suivi Sept nuits et l'exclue |
Retrouvez toutes nos bonnes lectures sur : La boutique des âmes tendres
La citation d'amour
Aimer, c'est jouir, tandis que ce n'est pas jouir que d'être aimé.
Aristote.
Aristote.
Qui est en ligne ?
- Toutes les heures sont au format GMT + 1 Heure
- La date/heure actuelle est Mer 31 Déc 2025, 22:38
- Nos membres ont écrit un total de 4446 textes
Nous avons 1234 membres enregistrés
L'utilisateur enregistré le plus récent est brancher - Il y a en tout 104 utilisateurs en ligne :: 0 Enregistré, 0 Invisible, 104 Invités et 0 Bots [ Administrateur ] [ Modérateur ]
- Le record du nombre d'utilisateurs en ligne est de 569 le Mer 10 Déc 2025, 10:02
- Utilisateurs parcourant actuellement ce forum : Aucun
Bots : Aucun - Ces données sont basées sur les utilisateurs actifs des cinq dernières minutes











