Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur voire
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Bonjour à toutes, bonjour à tous,
Auteur, j’écris des histoires teintées de sensualité, de découvertes, de poésie et d’érotisme.
Mais aussi et surtout, j’explore des sujets tabous, des thèmes réputés troublants, voire dérangeants.
Je vous propose la lecture de « En attendant d’être grande », saga littéraire en cinq parties. Je vous propose la diffusion de la première partie sur ce post, bout par bout, jour après jour. (Je verrais bien sûr en fonction des réactions… J’ignore si ce texte vous plaira ou non, si jamais il ne prend pas ce n’est pas grave, j’en cesserais la diffusion sans me vexer). J’espère que ma démarche n’est pas en contradiction avec ce forum ! Pour moi cela correspond à un forum d’écriture, ceci dit je vois davantage de poésie, pensées et histoires vraies que de récits fictifs, qui plus est à rallonge. Merci de m’avertir si jamais je suis trop "hors sujet".
« En attendant d’être grande » conte l’histoire de Chloé, son éveil, ses questionnements, ses expériences, de sa naissance jusqu’à son âge adulte. Le récit se poursuit sur deux temporalités : des souvenirs d’enfance agrémentés de souvenirs de vie d’adulte.
(Nota Bene : je rassure les lecteurs qui auraient un doute : cette saga ne comporte pas de rapports enfant-adulte. Non pas que ce thème soit à mon sens interdit, car bien des œuvres ont exploré ce thème en littérature, le plus célèbre étant le Lolita de Nabokov. Simplement ce n’est pas un thème qui me parle).
Prêts à partir à l’aventure à mes côtés ? Eh bien, commençons.
«
Avertissement
Ceci est le récit de mon enfance.
Attention lecteur. Prends garde, lectrice !
Tu t’apprêtes à faire ton entrée dans un univers troublant. Ton esprit, tes émotions, tes sentiments… tout cela va être titillé, chatouillé, dérangé.
Au cours de ces lignes, je ne me suis jamais censurée. Pas même une seule fois. Tu pourrais m’en vouloir, ou au contraire m’en être reconnaissant(e).
Il t’est conseillé de lire cette histoire par petits bouts, à tête reposée. Une lecture trop intensive risquerait de te faire perdre certaines notions, de t’échauffer, de te mettre en surdose. Naturellement, je te laisse gérer… Sache juste que ce qui suit n’a pas été conçu pour être dévoré d’un trait.
Prends quelques grandes inspirations, cramponne-toi et embarque avec moi dans cette aventure pour un saut sans filet…
Préambule – Le jour où j’ai pris ma décision
Un « S », un « A », un « L »... Ce mot, je l’avais souvent entendu. C’est la première fois que je le voyais écrit. Mais que pouvait-il bien vouloir dire ? Les grands l’employaient entre eux, les grandes ça arrivait aussi, quoique plus rarement. J’ai toujours eu l’oreille fine... Jamais ce terme ne m’avait été adressé. Tant mieux, tant pis, je l’ignorais. Difficile de savoir à l’époque où on commence tout juste à savoir lire. Il avait fallu décortiquer chaque lettre et prononcer à haute voix pour être bien certaine d’être dans le vrai. Plus de doute, c’était bien ce mot-là que j’avais entendu. Un mot curieux. Ambigu. Sale, peut-être ? Je le pressentais, à voir la mine grivoise et grimaçante de chaque homme le prononçant. Il en est ainsi des mots interdits, on ne les dit jamais normalement. La dernière fois qu’il était parvenu à mes oreilles c’était dans la rue, lorsque cette jeune fille si jolie avec sa jupe écossaise courte était passée devant un homme, très vieux, pas loin de la quarantaine dirais-je. En la fixant, celui-ci murmura entre ses dents grises le fameux mot en « S ». Le terme était cassant, bien que lancé à voix basse il m’avait comme abîmé les tympans.
Lorsque le mot est revenu, c’était couché sur du papier dans un magazine People à propos de ce qu’aurait balancé Willy J. Adams sur son ex, Jennyfer, pourtant mère de ses enfants. Bien que Jennyfer soit une charmante chanteuse et la fille à la jupe une charmante jeune fille, le terme ne résonnait décidément pas comme un compliment.
Des mots dont j’ignorais le sens, en ce temps-là j’en entendais matin, midi et soir. Trop souvent, il fallait deviner. Celui-là me rendait particulièrement curieuse. J’y supposais un sous-entendu plus ou moins sexuel, ce qui le rendait d’autant plus attractif.
Plus tard, bien plus tard, j’appris à l’entendre tantôt comme la pire des insultes, tantôt comme le plus beau des compliments. Mais ceci est une autre histoire car c’est uniquement mon enfance que je suis venue te conter aujourd’hui.
À la maison on avait qu’un seul dictionnaire. Un tout esquinté, édition de mille neuf cent dix que grand-père nous avait légué et qui restait dans la poussière, tout en haut de l’armoire. Non, on ne connaissait pas tous les mots du dico à la maison. Simplement quand les parents ne savaient pas, ils faisaient comme moi : ils devinaient. Ce qui était pardonnable à mon âge l’était moins au leur. Quant au gros livre, non seulement la poussière m’a toujours donné des crises d’éternuements, mais me hisser en haut de l’armoire était expédition périlleuse. Autant par le risque de chuter que par la rouste qui m’attendait si je me faisais prendre.
Dans ces cas-là, le dernier recours est de demander à papa. Comme dictionnaire sur pattes, on a vu mieux... On fait avec ce qu’on a. Quand il lisait les actualités papa n’aimait pas des masses que l’on vienne l’embêter. Hormis les rares fois où maman l’invitait dans la chambre pour « classer le courrier ». Là, il délaissait sa feuille de chou même si la Une titrait sur le foot et trottinait derrière maman comme un gamin, en se dandinant d’un pied sur l’autre, tout guilleret. Je n’ai jamais saisis comment on pouvait avoir si hâte d’exécuter une tâche aussi barbante, ni pourquoi il fallait fermer la porte à clé pour ça. Et surtout, pourquoi je n’avais pas le droit de classer le courrier avec eux ni de venir frapper à la porte. J’étais même chargée de répondre au téléphone. Au moins leur courrier ne prenait jamais longtemps à être classé, en cinq minutes c’était réglé, dix à tout casser.
Aujourd’hui, pas de maman pour lui proposer quoi que ce soit mais un journal qui titrait sur le résultat de la coupe du monde : je le dérangeais. Tant pis, j’étais trop impatiente de savoir.
— Dis papa, c’est quoi une salope ?
— Une salope ? Mmmm... Comment te dire… ben une salope par exemple, c’est ta cousine Estelle, marmonna-t-il sans se détacher de son canard. Et une belle salope qui plus est !
Ce fut sa seule réponse. Son air me fit comprendre qu’il faudrait m’en contenter. Estelle ! Estelle mon modèle, Estelle ma grande cousine, aînée et aimée. Dès lors, le terme résonnera en moi tel une qualité. Durant une bonne partie de mon enfance, « Salope » est et restera à mon cœur synonyme de « princesse ». Plus tard, l’amant me faisant l’amour en me traitant de « salope » aura toujours mon estime. Les autres noms d’oiseau auront un jugement différent... qui pourra être positif ou non, selon les cas. M’y complaire et lui en redemander, ou bien lui fermer son clapet voire le laisser en plan. Enfin, tout a donc commencé en ce jour, lorsque j’ai demandé la signification du mot défendu. Si papa avait répondu autrement mon destin aurait été tout autre, qui sait. Car tout de même, Estelle... Estelle que j’admirais tant, la fille à laquelle j’essayais toujours de ressembler. Estelle ma presque grande sœur, pleine de vie, d’amour et d’humour, que j’étouffais de câlins et de baisers dès que nous avions l’occasion de nous voir. Une fille qui avait tout. Le look, la beauté, l’intelligence et les formes. J’en déduisis que les salopes étaient des jeunes filles classes, élégantes, jolies, gentilles comme tout, pleines de grâce, et pris dès ce jour la résolution de tout faire pour en devenir une moi aussi. »[/u]
Auteur, j’écris des histoires teintées de sensualité, de découvertes, de poésie et d’érotisme.
Mais aussi et surtout, j’explore des sujets tabous, des thèmes réputés troublants, voire dérangeants.
Je vous propose la lecture de « En attendant d’être grande », saga littéraire en cinq parties. Je vous propose la diffusion de la première partie sur ce post, bout par bout, jour après jour. (Je verrais bien sûr en fonction des réactions… J’ignore si ce texte vous plaira ou non, si jamais il ne prend pas ce n’est pas grave, j’en cesserais la diffusion sans me vexer). J’espère que ma démarche n’est pas en contradiction avec ce forum ! Pour moi cela correspond à un forum d’écriture, ceci dit je vois davantage de poésie, pensées et histoires vraies que de récits fictifs, qui plus est à rallonge. Merci de m’avertir si jamais je suis trop "hors sujet".
« En attendant d’être grande » conte l’histoire de Chloé, son éveil, ses questionnements, ses expériences, de sa naissance jusqu’à son âge adulte. Le récit se poursuit sur deux temporalités : des souvenirs d’enfance agrémentés de souvenirs de vie d’adulte.
(Nota Bene : je rassure les lecteurs qui auraient un doute : cette saga ne comporte pas de rapports enfant-adulte. Non pas que ce thème soit à mon sens interdit, car bien des œuvres ont exploré ce thème en littérature, le plus célèbre étant le Lolita de Nabokov. Simplement ce n’est pas un thème qui me parle).
Prêts à partir à l’aventure à mes côtés ? Eh bien, commençons.
«
Avertissement
Ceci est le récit de mon enfance.
Attention lecteur. Prends garde, lectrice !
Tu t’apprêtes à faire ton entrée dans un univers troublant. Ton esprit, tes émotions, tes sentiments… tout cela va être titillé, chatouillé, dérangé.
Au cours de ces lignes, je ne me suis jamais censurée. Pas même une seule fois. Tu pourrais m’en vouloir, ou au contraire m’en être reconnaissant(e).
Il t’est conseillé de lire cette histoire par petits bouts, à tête reposée. Une lecture trop intensive risquerait de te faire perdre certaines notions, de t’échauffer, de te mettre en surdose. Naturellement, je te laisse gérer… Sache juste que ce qui suit n’a pas été conçu pour être dévoré d’un trait.
Prends quelques grandes inspirations, cramponne-toi et embarque avec moi dans cette aventure pour un saut sans filet…
Préambule – Le jour où j’ai pris ma décision
Un « S », un « A », un « L »... Ce mot, je l’avais souvent entendu. C’est la première fois que je le voyais écrit. Mais que pouvait-il bien vouloir dire ? Les grands l’employaient entre eux, les grandes ça arrivait aussi, quoique plus rarement. J’ai toujours eu l’oreille fine... Jamais ce terme ne m’avait été adressé. Tant mieux, tant pis, je l’ignorais. Difficile de savoir à l’époque où on commence tout juste à savoir lire. Il avait fallu décortiquer chaque lettre et prononcer à haute voix pour être bien certaine d’être dans le vrai. Plus de doute, c’était bien ce mot-là que j’avais entendu. Un mot curieux. Ambigu. Sale, peut-être ? Je le pressentais, à voir la mine grivoise et grimaçante de chaque homme le prononçant. Il en est ainsi des mots interdits, on ne les dit jamais normalement. La dernière fois qu’il était parvenu à mes oreilles c’était dans la rue, lorsque cette jeune fille si jolie avec sa jupe écossaise courte était passée devant un homme, très vieux, pas loin de la quarantaine dirais-je. En la fixant, celui-ci murmura entre ses dents grises le fameux mot en « S ». Le terme était cassant, bien que lancé à voix basse il m’avait comme abîmé les tympans.
Lorsque le mot est revenu, c’était couché sur du papier dans un magazine People à propos de ce qu’aurait balancé Willy J. Adams sur son ex, Jennyfer, pourtant mère de ses enfants. Bien que Jennyfer soit une charmante chanteuse et la fille à la jupe une charmante jeune fille, le terme ne résonnait décidément pas comme un compliment.
Des mots dont j’ignorais le sens, en ce temps-là j’en entendais matin, midi et soir. Trop souvent, il fallait deviner. Celui-là me rendait particulièrement curieuse. J’y supposais un sous-entendu plus ou moins sexuel, ce qui le rendait d’autant plus attractif.
Plus tard, bien plus tard, j’appris à l’entendre tantôt comme la pire des insultes, tantôt comme le plus beau des compliments. Mais ceci est une autre histoire car c’est uniquement mon enfance que je suis venue te conter aujourd’hui.
À la maison on avait qu’un seul dictionnaire. Un tout esquinté, édition de mille neuf cent dix que grand-père nous avait légué et qui restait dans la poussière, tout en haut de l’armoire. Non, on ne connaissait pas tous les mots du dico à la maison. Simplement quand les parents ne savaient pas, ils faisaient comme moi : ils devinaient. Ce qui était pardonnable à mon âge l’était moins au leur. Quant au gros livre, non seulement la poussière m’a toujours donné des crises d’éternuements, mais me hisser en haut de l’armoire était expédition périlleuse. Autant par le risque de chuter que par la rouste qui m’attendait si je me faisais prendre.
Dans ces cas-là, le dernier recours est de demander à papa. Comme dictionnaire sur pattes, on a vu mieux... On fait avec ce qu’on a. Quand il lisait les actualités papa n’aimait pas des masses que l’on vienne l’embêter. Hormis les rares fois où maman l’invitait dans la chambre pour « classer le courrier ». Là, il délaissait sa feuille de chou même si la Une titrait sur le foot et trottinait derrière maman comme un gamin, en se dandinant d’un pied sur l’autre, tout guilleret. Je n’ai jamais saisis comment on pouvait avoir si hâte d’exécuter une tâche aussi barbante, ni pourquoi il fallait fermer la porte à clé pour ça. Et surtout, pourquoi je n’avais pas le droit de classer le courrier avec eux ni de venir frapper à la porte. J’étais même chargée de répondre au téléphone. Au moins leur courrier ne prenait jamais longtemps à être classé, en cinq minutes c’était réglé, dix à tout casser.
Aujourd’hui, pas de maman pour lui proposer quoi que ce soit mais un journal qui titrait sur le résultat de la coupe du monde : je le dérangeais. Tant pis, j’étais trop impatiente de savoir.
— Dis papa, c’est quoi une salope ?
— Une salope ? Mmmm... Comment te dire… ben une salope par exemple, c’est ta cousine Estelle, marmonna-t-il sans se détacher de son canard. Et une belle salope qui plus est !
Ce fut sa seule réponse. Son air me fit comprendre qu’il faudrait m’en contenter. Estelle ! Estelle mon modèle, Estelle ma grande cousine, aînée et aimée. Dès lors, le terme résonnera en moi tel une qualité. Durant une bonne partie de mon enfance, « Salope » est et restera à mon cœur synonyme de « princesse ». Plus tard, l’amant me faisant l’amour en me traitant de « salope » aura toujours mon estime. Les autres noms d’oiseau auront un jugement différent... qui pourra être positif ou non, selon les cas. M’y complaire et lui en redemander, ou bien lui fermer son clapet voire le laisser en plan. Enfin, tout a donc commencé en ce jour, lorsque j’ai demandé la signification du mot défendu. Si papa avait répondu autrement mon destin aurait été tout autre, qui sait. Car tout de même, Estelle... Estelle que j’admirais tant, la fille à laquelle j’essayais toujours de ressembler. Estelle ma presque grande sœur, pleine de vie, d’amour et d’humour, que j’étouffais de câlins et de baisers dès que nous avions l’occasion de nous voir. Une fille qui avait tout. Le look, la beauté, l’intelligence et les formes. J’en déduisis que les salopes étaient des jeunes filles classes, élégantes, jolies, gentilles comme tout, pleines de grâce, et pris dès ce jour la résolution de tout faire pour en devenir une moi aussi. »[/u]
Ven 25 Déc 2015, 12:05 par
theokosma sur Mille choses
Figure de style
merci
l’expression "je t’aime" a été réitérée de nombreuses fois dans mon texte,
telle une redondance, une hyperbole latente sublimée,
:)
figure de style des mots
pour lui dire "je t’aime" justement sans le lui "dire" par cette seule expression verbale,
car "je t’aime" c’est plus facile à dire qu’à démontrer ( certains le disent sans être sincères ), aimer c’est plus difficile déjà car c’est un art
puis
c’était pour dénoncer aussi ceux qui disent je t’aime sans les mots appropriés ou la manière, voire en se contredisant dans les faits entre ce qu’ils disent et ce qu’ils font, ou pensent, en somme l’hypocrisie de certains etc
quant on aime et se sent aimées en retour par celui qu’on aime, la femme notamment le sait, le sent, et le voit à travers les actes non les paroles simplement car les paroles peuvent mentir les actes non,
c’est ce que je voulais dénoncer volontairement dans ce texte.
l’expression "je t’aime" a été réitérée de nombreuses fois dans mon texte,
telle une redondance, une hyperbole latente sublimée,
:)
figure de style des mots
pour lui dire "je t’aime" justement sans le lui "dire" par cette seule expression verbale,
car "je t’aime" c’est plus facile à dire qu’à démontrer ( certains le disent sans être sincères ), aimer c’est plus difficile déjà car c’est un art
puis
c’était pour dénoncer aussi ceux qui disent je t’aime sans les mots appropriés ou la manière, voire en se contredisant dans les faits entre ce qu’ils disent et ce qu’ils font, ou pensent, en somme l’hypocrisie de certains etc
quant on aime et se sent aimées en retour par celui qu’on aime, la femme notamment le sait, le sent, et le voit à travers les actes non les paroles simplement car les paroles peuvent mentir les actes non,
c’est ce que je voulais dénoncer volontairement dans ce texte.
Mer 03 Juin 2015, 13:36 par
inlove sur La déclaration d'amour
L'amour est-il un crime ? chapitre 8
coucou, voici pour vous le chapitre 8, en espérant de ne pas avoir fait de fautes ^^ bonne lecture :
Chapitre 8 : Révélation et rencontre
Point de vue Narrateur.
Au cour de l’après midi nous retrouvons notre petit couple au centre commercial faisant leur courses et cadeaux pour noël. Haruka fidèle à elle même avait opter pour un pantalon noir, un chemisier blanc qui pour une fois n’était pas rentré dans son bas. Une veste noir surmonter sa chemise. Elle attiré beaucoup de regard sur elles que se soit femme ou homme. Michiru bien que le froid était présent c’était habillé d’une robe bleu à manche longue. Ses cheveux tiré vers la gauche, elle portée des petite chaussure noir à fin talon, et un petit cache cœur bleu écume reposé sur ses épaules.
Toutes deux discuté de chose et d’autre et se lancé des petits sourires amoureux de tant à autre. Au bout de quelques minutes Haruka emmène sa douce à l’intérieur d’une bijouterie, mettant son cadi sur le côté, un homme se dirige vers les deux jeune femmes.
Bijoutier – bonjour monsieur, mademoiselle, que puis-je pour vous ?
La jeune blonde se met à sourire apparemment son charme masculin refesait surface.
Haruka – bonjour monsieur, nous sommes à la recherche d’une bague de fiancaille.
L’homme ce met à sourire, il regarde le couple qu’il trouvait bien assortie et mignon. Il se dirige vers une vitrine et à l’aide d’une petite clés ouvre l’une d’elle sortant une petite plate forme ou disposé plusieurs bagues en argent dédié à cet effet. Il se dirige de nouveau vers les deux jeunes femmes et dis :
Bijoutier – voici un assortiment de bague prévue pour ce genre d’évènement, puis-je vous demader pour qui c’est ?
Haruka – c’est pour cette petite demoiselle.
La jeune blonde met ses mains sur les épaule de Michiru et dit en s’approchant de son oreille.
Haruka – alors … Laquel te plairait.
Michiru sentait son cœur battre à tout rompre, devenant soudainement timide, elle s’exclame d’une voix douce :
Michiru – celle là, elle est vraiment très jolie.
Dit elle en montrant une bague argenter surmonté d’un petit diamant argenter aussi. Haruka se met à sourire et demande à l’homme si il est possible de l’essayer, ce que ce dernier accepta de bon cœur. Haruka prend la petite bague, saisit tendrement la main de sa cher et tendre, et vint lui glisser l’anneau à son annulaire gauche. Les deux jeunes femmes se sourirent amoureusement, Haruka lui caresse la main et demande :
Haruka – elle te plais ?
Michiru – oui … Elle est vraiment magnifique.
Dis la jeune fille en admirant le bijou à son doigt.
Haruka – dans ce cas … Nous allons prendre celle-ci.
Bijoutier – c’est un très bon choix.
Michiru, retire la bague et la passe au bijoutier qui parti remettre la plate forme dans la vitrine. Il ferme cette dernière, et se dirige vers la caisse. Haruka et Michiru se prirent la main, et se dirigent à leur tour vers l’homme qui rangé soigneusement le bijou dans un écrin bleu nuit. Il vint tendre cette dernière à Haruka qui la rangea soigneusement dans son sac et sortie par la suite son porte feuille.
Bijoutier – voilà sera vous fera un totale de 189 € monsieur.
Michiru avait envie de rire, le bijoutier prenait réellement sa femme pour un homme. La jeune blonde souriait elle aussi, et elle vint payer se qu’il fallait.
Bijoutier – je vous remercie, et tout mes vœux de bonheur !
Haruka – merci !
Puis les deux jeunes femmes sortirent et devant les yeux tendre de l’homme Michiru vint étreindre sa bien aimée.
Michiru – merci ma chérie.
Haruka – tout le plaisir était pour moi trésor.
Elles se sourirent et se posent un délicat baiser avant de continuer leurs petites affaires. L’homme ayant suivit la conversation fut surpris de constater que c’était en fin de compte deux femmes, et se senti honteux en pensant qu’il avait confondue la jeune femme blonde pour un homme.
Point de vue Michiru.
Mon cœur bat tellement vite, et dire que j’ai essayer ma bague pour notre future union, j’étais vraiment très hereuse, j’étais accroché à son bras, lorsque je vis le directeur devant une boutique de fleurs. Haru aussi l’avait remarqué. On se sourit, et voulant surmonter notre peur on s’approche de l’homme.
Moi – bonjour monsieur !
Directeur – tiens Michiru, Haruka, quel bonne surprise, comment allez vous ?
Haruka – bien ety vous ?
Directeur – tout vas bien oui !
Ils nous serre la main, et me demande :
Directeur - alors Michiru comment c’est passé ton stage ?
Moi – eh bien il c’est très bien passé, c’était une expérience très enrichissante.
Directeur – dans ce cas, c’est parfait … Mais dites moi Haruka, vous … Vous êtes fiancée ?
Demande t-il en voyant la bague à son doigt. Haru se met à sourire, elle me regarde tendrement avec un petit sourire. Je lui rendit avec douceur, et d’un simple regard on se mit d’accord pour enfin révéler la vérité au directeur.
Haruka – oui, effectivement je suis fiancée.
Directeur – mais enfin c’est une très bonne nouvelle sa … Et qui es ?
Allé Michi assume et prend ton courage à deux mains. Je me serre contre elle et m’exclame le cœur prêt à bondir :
Moi – c’est moi monsieur !
Ce dernier fut surpris de mes parole, il affichait une mine décomposé, qu’allai t-il nous dire ?
Directeur – je vous demande pardon ?
Haruka – oui effectivement je suis fiancée avec Michiru !
Directeur – mais enfin, vous êtes son professeur ?
Haruka – certes, mais …
Moi – en dehors de l’enseignement nous sommes deux citoyennes tout se qu’il y a de plus normal.
Directeur – je suis tout à fait d’accord avec sa, mais depuis quand ?
Haruka – cela va faire un peut plus de 4 mois que nous sommes ensemble !
Moi – bien entendu, nous avons sue nous montrer discrète quand nous étions au lycée !
Directeur – eh bien je … Je ne sais pas quoi dire, mais pourrais t-on aller en parler dans un endroit plus calme ?
Haruka – bien entendu monsieur.
Et ainsi nous suivons le directeur qui se diriger vers un restaurant.
Moi – dis ma chérie, et si on allait d’abord ranger nos courses dans la voiture ?
Haruka – ok !
Elle me tapote le nez, préviens le directeur, et nous nous dirigeâmes vers le parking.
Haruka – je pense qu’au bout d’un moment il devait le savoir !
Moi – oui, et malgré se qui va se suivre, je ne compte pas démordre, et assumerais.
Haruka – dans ce cas … Nous sommes deux.
Je t’aime … Si tu savais comme je t’aime, je continue de la suivre jusqu’à la voiture, et une fois prêt de cette dernière, Haru déverrouille l’alarme, et j’ouvre le coffre.
Je prend des sac vide, les ouvrent, et commence à ranger se que nous avions acheter. Mettant en premier le sapin au font de la malle. C’est quand je me voie faire des chose comme sa avec elle, que je me voie réellement être une vrai famille, un vrai couple et sa me rendait si heureuse.
Quand ont eu terminé, Haru alla remettre le cadi, j’enclenche l’alarme, et une fois qu’elle fut prêt de moi, on se posent un petit baiser, elle me fit un clin d’oeil, et main dans la main on se dirige vers le restaurant ou se trouvais le directeur.
On entre à l’intérieur de ce dernier, et une fois avoir trouvé le petit homme, on allai s’asseoir. Je prend place à la droite de ma petite femme, et un serveur se dirige vers nous.
Serveur – mesdames monsieur, que puis-je pour vous ?
Ah … Enfin un sur cette terre qui remarque que Haru est une femme pas trop tôt.
Directeur – je prendrais un thé glacé.
Haruka – pour moi se sera un café s’il vous plais !
Moi – et moi j’aimerais un chocolat chaud s’il vous plais.
Serveur – très bien, je vous apporte sa dans quelques minutes.
Et le serveur parti. Le directeur nous regarde toutes les deux comme si il était choqué de la nouvelle. Es parce ce que nous sommes élève/professeur ou bien deux femmes ?
Directeur – bon, alors si j’ai bien suivit, vous êtes ensemble, qui plus est fiancées depuis 4 mois !
Moi – nous sommes ensemble depuis 4 mois oui, mais cela ne fait que quelques semaines que nous sommes fiancée.
Directeur – et … Qui a fait la demande ?
Moi – c’est moi monsieur.
Haruka – vous savez, je ne vais pas vous mentir, mais sa a commencé depuis son accident, lorsque vous m’aviez demander d’aller la voire. Par la suite, lorsque Michiru est venue s’installer chez moi, j’ai trouvais la vie beaucoup plus sereine et agréable, durant ses 4 mois j’ai appris à la connaître et à l’aimer, nous nous sommes aidée à plusieurs reprise, moi pour se qui est de son passé et elle à me faire oublier que la vie elle même est dur et cruelle. Mais monsieur le directeur bien que vous soyez mon supérieur, et que je soit son professeur j’éprouve de très fort sentiments à son égard, et ferait tout mon possible pour pouvoir la rendre heureuse.
Haruka … Si … Si tu savais comme tes mots son doux à mes oreilles, moi aussi je t’aime, et suis éperdument amoureuse de toi.
Moi – monsieur le directeur, rappelez vous se que vous m’aviez demander lorsque vous m’aviez convoquer ?
Directeur – euh … Je … Oui, oui je m’en rappelle, je t’aie demander se que tu souhaite pour te voir heureuse.
Moi – maintenant je peut vous répondre …
Je prend les mains de l’homme et dis en le regardant :
Moi – monsieur, sachez que je suis profondément épris pour Haruka, je l’aime vraiment plus que tout, plus que quiconque sur cette terre. A plusieurs reprise, elle ma aidée à me sentir mieux, elle ma permis de savoir la vérité sur mon passé, et même si je suis encore perdu, je l’aime et ne souhaite que la voir heureuse, la voir sourire et mon seul bonheur. Alors s’il vous plais laissez moi être avec elle, même si notre statue nous éloignent, nous somme avant tout deux femmes tout se qu’il y a de plus normal, alors laissez moi être avec elle, je vous en conjure, je ne veux pas être séparer d’elle parce ce que …
Je me tourne vers ma jolie blonde, qui me sourit tendrement, je lui prit ses mains et dis sincèrement :
Moi – parce ce que malgré mon jeune âge, je souhaite plus que tout bâtir un futur dans ses bras, elle est … La femme de ma vie, elle est … Ma plus belle histoire d’amour.
Haruka – et de tout mon cœur je ne souhaite que la rendre heureuse, car pour moi … Elle est tout, elle est, la femme dont je suis éperdument amoureuse, elle est … Mon rayon de soleil.
Je lui sourit, prend doucement ses joues et lui déposa un tendre et long baiser. Avec bonheur elle y répondit, en allant tendrement caresser ma joue, alors que moi, je lui caresser les paumettes de mes pouces.
On se détachent doucement, et nos regards se croisent se caressent.
Moi – je t’aime ma jolie blonde !
Haruka – moi aussi trésor je t’aime et plus que tout.
On se sourit, je lui écarte quelques mèches de ses yeux, et caresse sa joue. Quelques minutes après le serveur nous apporte à chacun notre collation, et c’est Haru qui paya … Encore une fois.
Directeur – je ne sais pas quoi dire, je n’aurais jamais crue que cela puisse arriver, mais … Es vraiment se que vous voulais ? Car si c’est oui, je vais devoir modifier certaine choses dans vos dossiers.
Moi – car … Vous … Vous n’êtes pas fâché ?
Directeur – pourquoi le serait-je ? Après tout vous êtes avant tout des êtres humains, alors non, je suis même pour, pour que vous puissiez être ensemble, il va juste falloir que je face des modifications dans vos dossier à chacune.
Haruka – merci infiniment monsieur le directeur, je suis tellement heureuse.
Moi – merci, merci beaucoup monsieur !
Je me tourne vers elle, et heureuse je l’embrassa avec toute ma tendresse. Après sa, nous avons quitté le directeur en le remerciant, et nous avons continuer nos courses plus heureuse que jamais. Quelques heures plus tard, après avoir quitté le directeur, je me retrouvé à la maison avec ma jolie blonde en train de faire le sapin.
Moi – c’est la première fois que j’en fait un !
Haruka – moi aussi.
Puis doucement elle ma soulevé afin que j’accroche l’étoile tout en haut. Doucement Haru me pose sur le sol et je vint enrouler son cou, m’approchant un peu plus d’elle et son cœur. Ses mains s’aventurent dans mon dos, et je laisse mes yeux caresser les siens.
Moi – je suis si heureuse d’avoir eu le courage d’avoir fait face au directeur. Nous allons enfin pouvoir être réellement ensemble que se soit au lycée ou à la maison.
Haruka – oui moi aussi, je suis fière de toi mon cœur, et à partir de maintenant, je ne te laisserais plus filer … Car c’est avec bonheur que je t’offre mon cœur.
Moi – alors j’y prendrais grand soin et le chérirrais le plus tendrement possible tout comme sa propriétaire à qui je promet de l’aimer et la rendre éperdument heureuse !
Haruka – oh Michi … Deviens mienne, à tout jamais.
Moi – à tout jamais mon amour. Je t’aime !
Haruka – moi aussi et plus que tout ma petite femme à moi.
Moi – et toi la mienne !
On se sourit, et nos lèvres s’unirent dans un long et délicieux baiser. Je suis vraiment la plus heureuse, je vais enfin pouvoir être librement dans ses bras. Oh Haruka, ma si jolie blonde je t’aime je t’aime je t’aime et je t’aime, toi seule fais mon bonheur dans ce monde noir et sans couleurs.
Point de vue Haruka.
Que demander de plus ? Mon bonheur est enfin complet, je vais enfin pouvoir être avec elle en toute liberté, je vint la serrer tendrement dans mes bras, allant caresser sauvagement sa langue avec la mienne. La serrant amoureusement dans mes bras, et laissant mon cœur s’exprimer le plus tendrement qu’il soit.
voila la fin de ce chapitre, j’espère qu’il vous a plus :) un peut court mais toujours autant de douceur entre Michi et Haru
Chapitre 8 : Révélation et rencontre
Point de vue Narrateur.
Au cour de l’après midi nous retrouvons notre petit couple au centre commercial faisant leur courses et cadeaux pour noël. Haruka fidèle à elle même avait opter pour un pantalon noir, un chemisier blanc qui pour une fois n’était pas rentré dans son bas. Une veste noir surmonter sa chemise. Elle attiré beaucoup de regard sur elles que se soit femme ou homme. Michiru bien que le froid était présent c’était habillé d’une robe bleu à manche longue. Ses cheveux tiré vers la gauche, elle portée des petite chaussure noir à fin talon, et un petit cache cœur bleu écume reposé sur ses épaules.
Toutes deux discuté de chose et d’autre et se lancé des petits sourires amoureux de tant à autre. Au bout de quelques minutes Haruka emmène sa douce à l’intérieur d’une bijouterie, mettant son cadi sur le côté, un homme se dirige vers les deux jeune femmes.
Bijoutier – bonjour monsieur, mademoiselle, que puis-je pour vous ?
La jeune blonde se met à sourire apparemment son charme masculin refesait surface.
Haruka – bonjour monsieur, nous sommes à la recherche d’une bague de fiancaille.
L’homme ce met à sourire, il regarde le couple qu’il trouvait bien assortie et mignon. Il se dirige vers une vitrine et à l’aide d’une petite clés ouvre l’une d’elle sortant une petite plate forme ou disposé plusieurs bagues en argent dédié à cet effet. Il se dirige de nouveau vers les deux jeunes femmes et dis :
Bijoutier – voici un assortiment de bague prévue pour ce genre d’évènement, puis-je vous demader pour qui c’est ?
Haruka – c’est pour cette petite demoiselle.
La jeune blonde met ses mains sur les épaule de Michiru et dit en s’approchant de son oreille.
Haruka – alors … Laquel te plairait.
Michiru sentait son cœur battre à tout rompre, devenant soudainement timide, elle s’exclame d’une voix douce :
Michiru – celle là, elle est vraiment très jolie.
Dit elle en montrant une bague argenter surmonté d’un petit diamant argenter aussi. Haruka se met à sourire et demande à l’homme si il est possible de l’essayer, ce que ce dernier accepta de bon cœur. Haruka prend la petite bague, saisit tendrement la main de sa cher et tendre, et vint lui glisser l’anneau à son annulaire gauche. Les deux jeunes femmes se sourirent amoureusement, Haruka lui caresse la main et demande :
Haruka – elle te plais ?
Michiru – oui … Elle est vraiment magnifique.
Dis la jeune fille en admirant le bijou à son doigt.
Haruka – dans ce cas … Nous allons prendre celle-ci.
Bijoutier – c’est un très bon choix.
Michiru, retire la bague et la passe au bijoutier qui parti remettre la plate forme dans la vitrine. Il ferme cette dernière, et se dirige vers la caisse. Haruka et Michiru se prirent la main, et se dirigent à leur tour vers l’homme qui rangé soigneusement le bijou dans un écrin bleu nuit. Il vint tendre cette dernière à Haruka qui la rangea soigneusement dans son sac et sortie par la suite son porte feuille.
Bijoutier – voilà sera vous fera un totale de 189 € monsieur.
Michiru avait envie de rire, le bijoutier prenait réellement sa femme pour un homme. La jeune blonde souriait elle aussi, et elle vint payer se qu’il fallait.
Bijoutier – je vous remercie, et tout mes vœux de bonheur !
Haruka – merci !
Puis les deux jeunes femmes sortirent et devant les yeux tendre de l’homme Michiru vint étreindre sa bien aimée.
Michiru – merci ma chérie.
Haruka – tout le plaisir était pour moi trésor.
Elles se sourirent et se posent un délicat baiser avant de continuer leurs petites affaires. L’homme ayant suivit la conversation fut surpris de constater que c’était en fin de compte deux femmes, et se senti honteux en pensant qu’il avait confondue la jeune femme blonde pour un homme.
Point de vue Michiru.
Mon cœur bat tellement vite, et dire que j’ai essayer ma bague pour notre future union, j’étais vraiment très hereuse, j’étais accroché à son bras, lorsque je vis le directeur devant une boutique de fleurs. Haru aussi l’avait remarqué. On se sourit, et voulant surmonter notre peur on s’approche de l’homme.
Moi – bonjour monsieur !
Directeur – tiens Michiru, Haruka, quel bonne surprise, comment allez vous ?
Haruka – bien ety vous ?
Directeur – tout vas bien oui !
Ils nous serre la main, et me demande :
Directeur - alors Michiru comment c’est passé ton stage ?
Moi – eh bien il c’est très bien passé, c’était une expérience très enrichissante.
Directeur – dans ce cas, c’est parfait … Mais dites moi Haruka, vous … Vous êtes fiancée ?
Demande t-il en voyant la bague à son doigt. Haru se met à sourire, elle me regarde tendrement avec un petit sourire. Je lui rendit avec douceur, et d’un simple regard on se mit d’accord pour enfin révéler la vérité au directeur.
Haruka – oui, effectivement je suis fiancée.
Directeur – mais enfin c’est une très bonne nouvelle sa … Et qui es ?
Allé Michi assume et prend ton courage à deux mains. Je me serre contre elle et m’exclame le cœur prêt à bondir :
Moi – c’est moi monsieur !
Ce dernier fut surpris de mes parole, il affichait une mine décomposé, qu’allai t-il nous dire ?
Directeur – je vous demande pardon ?
Haruka – oui effectivement je suis fiancée avec Michiru !
Directeur – mais enfin, vous êtes son professeur ?
Haruka – certes, mais …
Moi – en dehors de l’enseignement nous sommes deux citoyennes tout se qu’il y a de plus normal.
Directeur – je suis tout à fait d’accord avec sa, mais depuis quand ?
Haruka – cela va faire un peut plus de 4 mois que nous sommes ensemble !
Moi – bien entendu, nous avons sue nous montrer discrète quand nous étions au lycée !
Directeur – eh bien je … Je ne sais pas quoi dire, mais pourrais t-on aller en parler dans un endroit plus calme ?
Haruka – bien entendu monsieur.
Et ainsi nous suivons le directeur qui se diriger vers un restaurant.
Moi – dis ma chérie, et si on allait d’abord ranger nos courses dans la voiture ?
Haruka – ok !
Elle me tapote le nez, préviens le directeur, et nous nous dirigeâmes vers le parking.
Haruka – je pense qu’au bout d’un moment il devait le savoir !
Moi – oui, et malgré se qui va se suivre, je ne compte pas démordre, et assumerais.
Haruka – dans ce cas … Nous sommes deux.
Je t’aime … Si tu savais comme je t’aime, je continue de la suivre jusqu’à la voiture, et une fois prêt de cette dernière, Haru déverrouille l’alarme, et j’ouvre le coffre.
Je prend des sac vide, les ouvrent, et commence à ranger se que nous avions acheter. Mettant en premier le sapin au font de la malle. C’est quand je me voie faire des chose comme sa avec elle, que je me voie réellement être une vrai famille, un vrai couple et sa me rendait si heureuse.
Quand ont eu terminé, Haru alla remettre le cadi, j’enclenche l’alarme, et une fois qu’elle fut prêt de moi, on se posent un petit baiser, elle me fit un clin d’oeil, et main dans la main on se dirige vers le restaurant ou se trouvais le directeur.
On entre à l’intérieur de ce dernier, et une fois avoir trouvé le petit homme, on allai s’asseoir. Je prend place à la droite de ma petite femme, et un serveur se dirige vers nous.
Serveur – mesdames monsieur, que puis-je pour vous ?
Ah … Enfin un sur cette terre qui remarque que Haru est une femme pas trop tôt.
Directeur – je prendrais un thé glacé.
Haruka – pour moi se sera un café s’il vous plais !
Moi – et moi j’aimerais un chocolat chaud s’il vous plais.
Serveur – très bien, je vous apporte sa dans quelques minutes.
Et le serveur parti. Le directeur nous regarde toutes les deux comme si il était choqué de la nouvelle. Es parce ce que nous sommes élève/professeur ou bien deux femmes ?
Directeur – bon, alors si j’ai bien suivit, vous êtes ensemble, qui plus est fiancées depuis 4 mois !
Moi – nous sommes ensemble depuis 4 mois oui, mais cela ne fait que quelques semaines que nous sommes fiancée.
Directeur – et … Qui a fait la demande ?
Moi – c’est moi monsieur.
Haruka – vous savez, je ne vais pas vous mentir, mais sa a commencé depuis son accident, lorsque vous m’aviez demander d’aller la voire. Par la suite, lorsque Michiru est venue s’installer chez moi, j’ai trouvais la vie beaucoup plus sereine et agréable, durant ses 4 mois j’ai appris à la connaître et à l’aimer, nous nous sommes aidée à plusieurs reprise, moi pour se qui est de son passé et elle à me faire oublier que la vie elle même est dur et cruelle. Mais monsieur le directeur bien que vous soyez mon supérieur, et que je soit son professeur j’éprouve de très fort sentiments à son égard, et ferait tout mon possible pour pouvoir la rendre heureuse.
Haruka … Si … Si tu savais comme tes mots son doux à mes oreilles, moi aussi je t’aime, et suis éperdument amoureuse de toi.
Moi – monsieur le directeur, rappelez vous se que vous m’aviez demander lorsque vous m’aviez convoquer ?
Directeur – euh … Je … Oui, oui je m’en rappelle, je t’aie demander se que tu souhaite pour te voir heureuse.
Moi – maintenant je peut vous répondre …
Je prend les mains de l’homme et dis en le regardant :
Moi – monsieur, sachez que je suis profondément épris pour Haruka, je l’aime vraiment plus que tout, plus que quiconque sur cette terre. A plusieurs reprise, elle ma aidée à me sentir mieux, elle ma permis de savoir la vérité sur mon passé, et même si je suis encore perdu, je l’aime et ne souhaite que la voir heureuse, la voir sourire et mon seul bonheur. Alors s’il vous plais laissez moi être avec elle, même si notre statue nous éloignent, nous somme avant tout deux femmes tout se qu’il y a de plus normal, alors laissez moi être avec elle, je vous en conjure, je ne veux pas être séparer d’elle parce ce que …
Je me tourne vers ma jolie blonde, qui me sourit tendrement, je lui prit ses mains et dis sincèrement :
Moi – parce ce que malgré mon jeune âge, je souhaite plus que tout bâtir un futur dans ses bras, elle est … La femme de ma vie, elle est … Ma plus belle histoire d’amour.
Haruka – et de tout mon cœur je ne souhaite que la rendre heureuse, car pour moi … Elle est tout, elle est, la femme dont je suis éperdument amoureuse, elle est … Mon rayon de soleil.
Je lui sourit, prend doucement ses joues et lui déposa un tendre et long baiser. Avec bonheur elle y répondit, en allant tendrement caresser ma joue, alors que moi, je lui caresser les paumettes de mes pouces.
On se détachent doucement, et nos regards se croisent se caressent.
Moi – je t’aime ma jolie blonde !
Haruka – moi aussi trésor je t’aime et plus que tout.
On se sourit, je lui écarte quelques mèches de ses yeux, et caresse sa joue. Quelques minutes après le serveur nous apporte à chacun notre collation, et c’est Haru qui paya … Encore une fois.
Directeur – je ne sais pas quoi dire, je n’aurais jamais crue que cela puisse arriver, mais … Es vraiment se que vous voulais ? Car si c’est oui, je vais devoir modifier certaine choses dans vos dossiers.
Moi – car … Vous … Vous n’êtes pas fâché ?
Directeur – pourquoi le serait-je ? Après tout vous êtes avant tout des êtres humains, alors non, je suis même pour, pour que vous puissiez être ensemble, il va juste falloir que je face des modifications dans vos dossier à chacune.
Haruka – merci infiniment monsieur le directeur, je suis tellement heureuse.
Moi – merci, merci beaucoup monsieur !
Je me tourne vers elle, et heureuse je l’embrassa avec toute ma tendresse. Après sa, nous avons quitté le directeur en le remerciant, et nous avons continuer nos courses plus heureuse que jamais. Quelques heures plus tard, après avoir quitté le directeur, je me retrouvé à la maison avec ma jolie blonde en train de faire le sapin.
Moi – c’est la première fois que j’en fait un !
Haruka – moi aussi.
Puis doucement elle ma soulevé afin que j’accroche l’étoile tout en haut. Doucement Haru me pose sur le sol et je vint enrouler son cou, m’approchant un peu plus d’elle et son cœur. Ses mains s’aventurent dans mon dos, et je laisse mes yeux caresser les siens.
Moi – je suis si heureuse d’avoir eu le courage d’avoir fait face au directeur. Nous allons enfin pouvoir être réellement ensemble que se soit au lycée ou à la maison.
Haruka – oui moi aussi, je suis fière de toi mon cœur, et à partir de maintenant, je ne te laisserais plus filer … Car c’est avec bonheur que je t’offre mon cœur.
Moi – alors j’y prendrais grand soin et le chérirrais le plus tendrement possible tout comme sa propriétaire à qui je promet de l’aimer et la rendre éperdument heureuse !
Haruka – oh Michi … Deviens mienne, à tout jamais.
Moi – à tout jamais mon amour. Je t’aime !
Haruka – moi aussi et plus que tout ma petite femme à moi.
Moi – et toi la mienne !
On se sourit, et nos lèvres s’unirent dans un long et délicieux baiser. Je suis vraiment la plus heureuse, je vais enfin pouvoir être librement dans ses bras. Oh Haruka, ma si jolie blonde je t’aime je t’aime je t’aime et je t’aime, toi seule fais mon bonheur dans ce monde noir et sans couleurs.
Point de vue Haruka.
Que demander de plus ? Mon bonheur est enfin complet, je vais enfin pouvoir être avec elle en toute liberté, je vint la serrer tendrement dans mes bras, allant caresser sauvagement sa langue avec la mienne. La serrant amoureusement dans mes bras, et laissant mon cœur s’exprimer le plus tendrement qu’il soit.
voila la fin de ce chapitre, j’espère qu’il vous a plus :) un peut court mais toujours autant de douceur entre Michi et Haru
Mer 23 Oct 2013, 17:42 par
HaruxMichi sur Histoires d'amour
Solution pour mon ex
Bonjour a tous
Je suis MELISSA DUMONTIER. Je viens pour témoigner de la compétence d’une personne. Certains pourront croire que je suis venu pour lui faire de la pub oui j’accepte puisqu’il le mérite vraiment d’autant plus qu’il a réussir à réaliser mon vœu le plus cher en moins d’un mois.il y a 2 ans
De cela mon mari avait coupé tout contact avec moi parce qu’il était tombé amoureux d’une autre fille dans son lieu de travail. Après une petite dispute sur ce sujet il a décidé de rompre totalement avec moi. Alors que je l’aimais encore profondément. Je ne pouvais pas supporter cela. Un jour je me baladais sur le net quand je suis tombé par mégarde sur une annonce parlant de retour de l’être aimé. Sans vous mentir des le début je n’avais pas taillé d’importance a cela. Mais j’avais quand même gardé les contacts du monsieur. Tandis que les jours passaient j’avais de plus en plus mal car les amies venaient souvent me dire qu’elles viennent de voire mon ex avec l’autre fille et qu’ils avaient l’air très amoureux. Sans arrière pensé j’ai décidé de contacter le monsieur car comme le disait un proverbe " qui ne risque rien n’a rien" c’est comme cela il m’a demandé nos informations pour une quelconque consultation sans doute je lui ai fournis tout ce dont il avait besoin. Il ne m’a rien pris. Une semaine après les rituels que le monsieur à faire j’ai reçu un texto de mon ex. Un truc du genre " allo bonjour c’était tout juste un petit bonjour comment vas tu?? Bref quelque chose de ce genre. Je n’en croyais pas mes yeux j’ai expliqué cela au monsieur qui m’a conseiller de ne pas lui répondre que c’est le premier signe. Une semaine plu tard cette fois ci c’est un appel. Je n’ai pas décroché car le monsieur m’en avait défendu selon lui et ses divinités si je lui réponds tout est à reprendre a zéro. J’ai suivi ses conseils. Mais la troisième semaine j’étais dans mon jardin entrain de faire la lecture comme d’habitude quand il est venu. J’ai automatiquement reconnu le son de sa voiture. Il était seul j’ai fais comme si de rien n’était. Il est entré je l’ai bien accueillir et comme d’habitude je suis venu pour te rendre visite. Depuis ce temps il m’envoie des messages sans cesse et essaye de m’appeler et c’est comme ça on a repris peu a peu notre relation. J’aurais appris par la suite il s’est disputer avec l’autre fille et qu’ils ne sont plus ensemble. Aujourd’hui il est encore fou de moi. Alors si je me permets de raconter tout cela c’est pour vous faire croire qu’il existe encore le vrai.
Vous pouvez avoir besoin des services de ce maître pour résoudre vos différents : ali.marabout@live.fr ou alimarabout@live.fr
Je suis heureuse dans ma vie grâce à cet homme
Merci
Je suis MELISSA DUMONTIER. Je viens pour témoigner de la compétence d’une personne. Certains pourront croire que je suis venu pour lui faire de la pub oui j’accepte puisqu’il le mérite vraiment d’autant plus qu’il a réussir à réaliser mon vœu le plus cher en moins d’un mois.il y a 2 ans
De cela mon mari avait coupé tout contact avec moi parce qu’il était tombé amoureux d’une autre fille dans son lieu de travail. Après une petite dispute sur ce sujet il a décidé de rompre totalement avec moi. Alors que je l’aimais encore profondément. Je ne pouvais pas supporter cela. Un jour je me baladais sur le net quand je suis tombé par mégarde sur une annonce parlant de retour de l’être aimé. Sans vous mentir des le début je n’avais pas taillé d’importance a cela. Mais j’avais quand même gardé les contacts du monsieur. Tandis que les jours passaient j’avais de plus en plus mal car les amies venaient souvent me dire qu’elles viennent de voire mon ex avec l’autre fille et qu’ils avaient l’air très amoureux. Sans arrière pensé j’ai décidé de contacter le monsieur car comme le disait un proverbe " qui ne risque rien n’a rien" c’est comme cela il m’a demandé nos informations pour une quelconque consultation sans doute je lui ai fournis tout ce dont il avait besoin. Il ne m’a rien pris. Une semaine après les rituels que le monsieur à faire j’ai reçu un texto de mon ex. Un truc du genre " allo bonjour c’était tout juste un petit bonjour comment vas tu?? Bref quelque chose de ce genre. Je n’en croyais pas mes yeux j’ai expliqué cela au monsieur qui m’a conseiller de ne pas lui répondre que c’est le premier signe. Une semaine plu tard cette fois ci c’est un appel. Je n’ai pas décroché car le monsieur m’en avait défendu selon lui et ses divinités si je lui réponds tout est à reprendre a zéro. J’ai suivi ses conseils. Mais la troisième semaine j’étais dans mon jardin entrain de faire la lecture comme d’habitude quand il est venu. J’ai automatiquement reconnu le son de sa voiture. Il était seul j’ai fais comme si de rien n’était. Il est entré je l’ai bien accueillir et comme d’habitude je suis venu pour te rendre visite. Depuis ce temps il m’envoie des messages sans cesse et essaye de m’appeler et c’est comme ça on a repris peu a peu notre relation. J’aurais appris par la suite il s’est disputer avec l’autre fille et qu’ils ne sont plus ensemble. Aujourd’hui il est encore fou de moi. Alors si je me permets de raconter tout cela c’est pour vous faire croire qu’il existe encore le vrai.
Vous pouvez avoir besoin des services de ce maître pour résoudre vos différents : ali.marabout@live.fr ou alimarabout@live.fr
Je suis heureuse dans ma vie grâce à cet homme
Merci
Dim 19 Mai 2013, 02:16 par
dumontier10 sur L'amour en vrac
Qui veut la peau d'agatha christie ?
Je viens une dernière fois rendre grâce à ce site pour m’avoir permis plus ou moins régulièrement toutes ces années de rêver et de créer du beau (au moins l’ai-je essayé bien humblement) tout en me régalant d’écriture et de relecture.
Dois-je citer toutes les oeuvres qui ont nourri mes textes bien que ces derniers en soient indignes ? Je risque fort de me montrer ingrate et d’en oublier parmi les plus importants : "Les confessions d’un enfant du siècle" d’Alfred de Musset, "La promesse de L’ange" de Frédéric Lenoir qui relate les amours tragiques entre un homme consacré et une guérisseuse (la structure romanesque est merveilleuse), sans oublier le "Manifeste pour une renaissance" : parmi les ouvrages de Bernard Besret qui m’ont été donnés de lire, c’est ce dernier qui m’a sans doute le plus marquée (de par sa proximité avec mon propre cheminement existentiel sans doute).
Je ne viendrai plus pour plusieurs raisons, ces écrits qui n’avaient pour but que de me récréer tout en me tenant lieu parfois d’exutoire ont été profanés un peu comme ces tombes par des personnes malveillantes et qui pour couvrir leurs frasques cherchent dans l’écriture les preuves d’une culpabilité de l’auteur qu’il savent chimériques... C’est un procédé fort astucieux que de vouloir déplacer le centre de gravité d’une affaire : mettre sous le feu des projecteurs non plus l’assassin mais le bouc émissaire. C’est courant, Combien de violeurs protestent de leur innocence en montrant du doigt leurs victimes : ces viles aguicheuses... A qui profite le crime ?! Ces honnêtes hommes (ou femmes) qui au demeurant ont parfois pignon sur rue, ne manqueraient pas, tout couverts du sang de leur dernier forfait, de pointer le même index accusateur : regardez, c’est Agatha Christie, coupable de crime avec préméditation, elle a même couché ses (nombreux) aveux par écrit. Ce faisant, ils ajoutent à leur scélératesse, la calomnie...
La seconde raison, et bien ! Il s’agissait pour moi de venir sublimer un célibat imposé par un divorce qui perdura durant dix longues années de solitude (encore un ouvrage merveilleux : cien anos de soledad de Gabriel Garcia Marquez)...
Le temps est un sérum de vérité, il renforce et grandit l’âme de ceux qui ont le coeur droit - dans l’épreuve - et montre la vraie nature de qui est vil. S’il m’est arrivé de m’indigner, de pleurer voire de tempêter devant l’aveuglement des hommes et des femmes qui portent la charge de rendre la justice, je n’ai jamais trahi la rectitude qui est ma marque de fabrique et si j’ai le verbe haut, j’ai le coeur droit (certains ne se sont donnés que la peine de naître et de naître nantis cela leur tient lieu d’honneur et de probité. ceux-là ne sont pas mes cousins).
Une fois de plus, je ne peux que rendre hommage à Gisèle Halimi que j’ai eu la grâce de rencontrer et qui me confiait lors d’une interview (à l’occasion de la sortie de son livre "L’étrange Monsieur K") combien il est difficile de défendre un innocent. Ce dernier est de fait indéfendable, il n’a que lui, que la vérité et cette dernière ne porte pas un label spécial qui la distingue des contrefaçons. Il crie, il pleure, il gronde, il a peur et tout cela indispose. Prenez un coupable : il dispose de tout une batterie : mensonge, abus de pouvoir, manipulation, faux et usage de faux, il sourit, il affiche un calme olympien et sourit d’autant mieux qu’il sait ses mauvais procédés couronnés de succès.
Mais quelle que soit l’issue des procès et que l’on condamne ou pas Agatha ou K, mes frères, pour les crimes qu’ils n’ont pas commis, aucune erreur judiciaire ne changera la nature réelle de l’homme, celui qui est bon et droit ne peut être avili. Celui qui juge et qui se trompe peut en son âme et conscience en éprouver des regrets et peut-être un tourment secret : ne me suis-je pas trompé, mon intuition était-elle bonne, n’étais-je pas sous influence ? Quelle charge faisons-nous porter sur des épaules humaines ! Mais qu’ils se rassurent, l’homme coupable porte en lui le germe de sa condamnation et lui se connaît intimement, il n’est pas dupe de sa noirceur. Son propre jugement n’en sera que plus éclatant.
Il ne me reste plus qu’à tirer ma révérence d’un hommage appuyé à l’administrateur du site, mon bien cher et respecté Petit Prince pour sa confiance et sa bienveillance durant ces longues années. Un clin d’oeil à vous chères âmes tendres que j’ai eu la joie de lire et de relire, avec qui, parfois, les fils fragiles de l’amitié épistolaire se sont tissés.
Je vous souhaite de belles et tendres heures d’écriture avec la pulsation de vos coeurs à la pointe de vos plumes.
Bien scripturalement vôtre,
Dolce Vita
Dois-je citer toutes les oeuvres qui ont nourri mes textes bien que ces derniers en soient indignes ? Je risque fort de me montrer ingrate et d’en oublier parmi les plus importants : "Les confessions d’un enfant du siècle" d’Alfred de Musset, "La promesse de L’ange" de Frédéric Lenoir qui relate les amours tragiques entre un homme consacré et une guérisseuse (la structure romanesque est merveilleuse), sans oublier le "Manifeste pour une renaissance" : parmi les ouvrages de Bernard Besret qui m’ont été donnés de lire, c’est ce dernier qui m’a sans doute le plus marquée (de par sa proximité avec mon propre cheminement existentiel sans doute).
Je ne viendrai plus pour plusieurs raisons, ces écrits qui n’avaient pour but que de me récréer tout en me tenant lieu parfois d’exutoire ont été profanés un peu comme ces tombes par des personnes malveillantes et qui pour couvrir leurs frasques cherchent dans l’écriture les preuves d’une culpabilité de l’auteur qu’il savent chimériques... C’est un procédé fort astucieux que de vouloir déplacer le centre de gravité d’une affaire : mettre sous le feu des projecteurs non plus l’assassin mais le bouc émissaire. C’est courant, Combien de violeurs protestent de leur innocence en montrant du doigt leurs victimes : ces viles aguicheuses... A qui profite le crime ?! Ces honnêtes hommes (ou femmes) qui au demeurant ont parfois pignon sur rue, ne manqueraient pas, tout couverts du sang de leur dernier forfait, de pointer le même index accusateur : regardez, c’est Agatha Christie, coupable de crime avec préméditation, elle a même couché ses (nombreux) aveux par écrit. Ce faisant, ils ajoutent à leur scélératesse, la calomnie...
La seconde raison, et bien ! Il s’agissait pour moi de venir sublimer un célibat imposé par un divorce qui perdura durant dix longues années de solitude (encore un ouvrage merveilleux : cien anos de soledad de Gabriel Garcia Marquez)...
Le temps est un sérum de vérité, il renforce et grandit l’âme de ceux qui ont le coeur droit - dans l’épreuve - et montre la vraie nature de qui est vil. S’il m’est arrivé de m’indigner, de pleurer voire de tempêter devant l’aveuglement des hommes et des femmes qui portent la charge de rendre la justice, je n’ai jamais trahi la rectitude qui est ma marque de fabrique et si j’ai le verbe haut, j’ai le coeur droit (certains ne se sont donnés que la peine de naître et de naître nantis cela leur tient lieu d’honneur et de probité. ceux-là ne sont pas mes cousins).
Une fois de plus, je ne peux que rendre hommage à Gisèle Halimi que j’ai eu la grâce de rencontrer et qui me confiait lors d’une interview (à l’occasion de la sortie de son livre "L’étrange Monsieur K") combien il est difficile de défendre un innocent. Ce dernier est de fait indéfendable, il n’a que lui, que la vérité et cette dernière ne porte pas un label spécial qui la distingue des contrefaçons. Il crie, il pleure, il gronde, il a peur et tout cela indispose. Prenez un coupable : il dispose de tout une batterie : mensonge, abus de pouvoir, manipulation, faux et usage de faux, il sourit, il affiche un calme olympien et sourit d’autant mieux qu’il sait ses mauvais procédés couronnés de succès.
Mais quelle que soit l’issue des procès et que l’on condamne ou pas Agatha ou K, mes frères, pour les crimes qu’ils n’ont pas commis, aucune erreur judiciaire ne changera la nature réelle de l’homme, celui qui est bon et droit ne peut être avili. Celui qui juge et qui se trompe peut en son âme et conscience en éprouver des regrets et peut-être un tourment secret : ne me suis-je pas trompé, mon intuition était-elle bonne, n’étais-je pas sous influence ? Quelle charge faisons-nous porter sur des épaules humaines ! Mais qu’ils se rassurent, l’homme coupable porte en lui le germe de sa condamnation et lui se connaît intimement, il n’est pas dupe de sa noirceur. Son propre jugement n’en sera que plus éclatant.
Il ne me reste plus qu’à tirer ma révérence d’un hommage appuyé à l’administrateur du site, mon bien cher et respecté Petit Prince pour sa confiance et sa bienveillance durant ces longues années. Un clin d’oeil à vous chères âmes tendres que j’ai eu la joie de lire et de relire, avec qui, parfois, les fils fragiles de l’amitié épistolaire se sont tissés.
Je vous souhaite de belles et tendres heures d’écriture avec la pulsation de vos coeurs à la pointe de vos plumes.
Bien scripturalement vôtre,
Dolce Vita
Mer 20 Juin 2012, 15:13 par
dolce vita sur L'amour en vrac
Hot trahison...
il y a quelque chose qui se dégage de tout ce questionnement : la jalousie, en quelque sorte, voire l’exclusivité...
j’aime ce texte car il donne à réfléchir sans trop se poser de questions, les réponses étant d’une logique implacable malgré l’aspect irrationnel des émotions dirait-on !!
j’aime ce texte car il donne à réfléchir sans trop se poser de questions, les réponses étant d’une logique implacable malgré l’aspect irrationnel des émotions dirait-on !!

Lun 10 Oct 2011, 13:47 par
delphine sur La vie à deux
Analepse
Tout a commencé, ici, il y a bien longtemps... Combien d’années déjà ? Je m’amusais à parcourir ce site d’écriture, oubliant les écrits insipides à mon goût pour me régaler de petites perles glanées ici et là. C’est ainsi que je l’ai découvert, caché entre des pétales bien refermés sur son coeur douloureux et sans doute, sans trop m’en apercevoir, j’ai appris à l’aimer.
Un ami. J’ai fait l’amour avec un ami, enfin, je le considérais comme mon ami. Je crois au fond qu’il le restera malgré tout, malgré nous. Je savais bien que cela ne pouvait rien nous amener de bon. De fait, comme pour me protéger, j’avais laissé courir des fils blancs dans mes cheveux et les lui montrais bien comme un trophée (ouf, si j’avais su je n’aurais pas fait cet effort dérisoire !), pas d’illusion sur nos âges respectifs : un rempart, une forteresse qui n’a pas eu l’effet escompté, en clair, ils ne m’ont pas protégée. N’ai-je donc tant vécu...
J’étais cependant terriblement attirée par lui - plus que je n’aurais imaginé la chose possible : son caractère de chien me semblait suffisant pour que je ne l’approche pas de près. Je croyais dur comme fer que de nous voir aurait suffi à refroidir nos éventuels désirs respectifs toujours renouvelés de déchirure en rupture en adieux éternels. Oui, je dois reconnaître que notre amitié a toujours été mâtinée de sentiments variés. Et deux natures fortes. Il m’attirait un peu comme en physique deux élèments inverses s’attirent, loi éternelle. Un exemple : je donnais et lui prenait. Pas très équilibrée comme relation ! Pas très adulte. Et je ne parle pas de ses dents grinçantes ! On pouvait rêver mieux ! Cynique. Calculateur. Froid. Et moi, prompte à corriger l’insolent à lui faire tâter du tranchant de mes mots. Lorsqu’on est femme, on aimerait être l’objet de soin et d’attentions avant que de prodiguer les nôtres ! Je ne peux m’empêcher de voir avec quelle rapidité pourtant il avait appris à donner au moins dans le jeu amoureux ! Sa bouche ouverte d’oisillon attendant la becquée qui m’avait fait mourir de rire (mais de mort lente) avait fini par se montrer savante et généreuse autant qu’il pouvait l’être !
Je pense qu’il avait tout calculé pour que l’affaire soit rentable. Rire ! Et avec ma façon de voir les choses il partait gagnant, il ne s’était pas trompé. Oh, il ne m’avait rien dit de particulier sauf son attirance et sa peur. Il n’a jamais été question d’amour, c’était, pour lui, un aller retour simple quelles qu’avaient été ses dénégations passées : - tu ne reviendras plus te balader avec moi en montagne, n’est-ce pas ? – Bien sûr, pourquoi dis-tu ça ? Je reviendrai… J’aimais son côté taciturne et introverti, cela me faisait rire ! A l’opposé, dis-je, de ce que je suis.
Alors, cette fois là, nous avons fait l’amour. Cela faisait des années que nous y avions pensé ensemble ou à tour de rôle. Toute une nuit, trop courte, dont je ne peux que me souvenir, et, comme je n’avais guère dormi déjà les nuits précédentes, je n’étais pas belle à voir au matin pour un homme sans amour ! Rire ! Mais, c’est égal. Il est des souvenirs que l’on n’oublie pas. Une complicité, une entente des corps qui ne s’invente pas. Il n’y avait, quoiqu’on en pense, pas d’autre issue. L’amour ne supporte pas les contrefaçons. C’était bien dans sa façon de faire. Et dans la mienne. La glace. Le volcan. Il n’y aurait pas d’avenir.
J’ai joué avec lui une dernière fois. Cette fois, c’est moi qui ai mené le jeu et qui ai gagné ! Juste pour le fun. Je m’étais imaginé son indifférence voire son silence mais pas sa colère ! Juste envie de le savoir vivant, là-bas, loin de mes montagnes. Juste envie de le faire râler une dernière fois. Ainsi ma sombre fleur demeurait-elle égale à elle-même ! Pleine de contradictions. Bah, il n’apprendra jamais que ce qu’il veut apprendre. A quoi bon ? Qui suis-je pour lui dire qu’il ne peut retirer aucun bien en n’étant pas intègre. Il calcule trop il en oublie de vivre. La vie est si courte… Elle donne à ceux qui sont généreux. Je l’espère heureux un jour ou l’autre, il le faudra bien qu’il avance, qu’il lâche ses chimères. Une femme saura bien faire changer ses couleurs un jour avant qu’il ne soit trop tard s’il ne se fait pas dévorer. Puisse-t-il se donner les moyens d’être heureux. Lâcher prise... et cesser d’avoir peur.
C’est si triste un corps sans âme.
Un ami. J’ai fait l’amour avec un ami, enfin, je le considérais comme mon ami. Je crois au fond qu’il le restera malgré tout, malgré nous. Je savais bien que cela ne pouvait rien nous amener de bon. De fait, comme pour me protéger, j’avais laissé courir des fils blancs dans mes cheveux et les lui montrais bien comme un trophée (ouf, si j’avais su je n’aurais pas fait cet effort dérisoire !), pas d’illusion sur nos âges respectifs : un rempart, une forteresse qui n’a pas eu l’effet escompté, en clair, ils ne m’ont pas protégée. N’ai-je donc tant vécu...
J’étais cependant terriblement attirée par lui - plus que je n’aurais imaginé la chose possible : son caractère de chien me semblait suffisant pour que je ne l’approche pas de près. Je croyais dur comme fer que de nous voir aurait suffi à refroidir nos éventuels désirs respectifs toujours renouvelés de déchirure en rupture en adieux éternels. Oui, je dois reconnaître que notre amitié a toujours été mâtinée de sentiments variés. Et deux natures fortes. Il m’attirait un peu comme en physique deux élèments inverses s’attirent, loi éternelle. Un exemple : je donnais et lui prenait. Pas très équilibrée comme relation ! Pas très adulte. Et je ne parle pas de ses dents grinçantes ! On pouvait rêver mieux ! Cynique. Calculateur. Froid. Et moi, prompte à corriger l’insolent à lui faire tâter du tranchant de mes mots. Lorsqu’on est femme, on aimerait être l’objet de soin et d’attentions avant que de prodiguer les nôtres ! Je ne peux m’empêcher de voir avec quelle rapidité pourtant il avait appris à donner au moins dans le jeu amoureux ! Sa bouche ouverte d’oisillon attendant la becquée qui m’avait fait mourir de rire (mais de mort lente) avait fini par se montrer savante et généreuse autant qu’il pouvait l’être !
Je pense qu’il avait tout calculé pour que l’affaire soit rentable. Rire ! Et avec ma façon de voir les choses il partait gagnant, il ne s’était pas trompé. Oh, il ne m’avait rien dit de particulier sauf son attirance et sa peur. Il n’a jamais été question d’amour, c’était, pour lui, un aller retour simple quelles qu’avaient été ses dénégations passées : - tu ne reviendras plus te balader avec moi en montagne, n’est-ce pas ? – Bien sûr, pourquoi dis-tu ça ? Je reviendrai… J’aimais son côté taciturne et introverti, cela me faisait rire ! A l’opposé, dis-je, de ce que je suis.
Alors, cette fois là, nous avons fait l’amour. Cela faisait des années que nous y avions pensé ensemble ou à tour de rôle. Toute une nuit, trop courte, dont je ne peux que me souvenir, et, comme je n’avais guère dormi déjà les nuits précédentes, je n’étais pas belle à voir au matin pour un homme sans amour ! Rire ! Mais, c’est égal. Il est des souvenirs que l’on n’oublie pas. Une complicité, une entente des corps qui ne s’invente pas. Il n’y avait, quoiqu’on en pense, pas d’autre issue. L’amour ne supporte pas les contrefaçons. C’était bien dans sa façon de faire. Et dans la mienne. La glace. Le volcan. Il n’y aurait pas d’avenir.
J’ai joué avec lui une dernière fois. Cette fois, c’est moi qui ai mené le jeu et qui ai gagné ! Juste pour le fun. Je m’étais imaginé son indifférence voire son silence mais pas sa colère ! Juste envie de le savoir vivant, là-bas, loin de mes montagnes. Juste envie de le faire râler une dernière fois. Ainsi ma sombre fleur demeurait-elle égale à elle-même ! Pleine de contradictions. Bah, il n’apprendra jamais que ce qu’il veut apprendre. A quoi bon ? Qui suis-je pour lui dire qu’il ne peut retirer aucun bien en n’étant pas intègre. Il calcule trop il en oublie de vivre. La vie est si courte… Elle donne à ceux qui sont généreux. Je l’espère heureux un jour ou l’autre, il le faudra bien qu’il avance, qu’il lâche ses chimères. Une femme saura bien faire changer ses couleurs un jour avant qu’il ne soit trop tard s’il ne se fait pas dévorer. Puisse-t-il se donner les moyens d’être heureux. Lâcher prise... et cesser d’avoir peur.
C’est si triste un corps sans âme.
Lun 25 Avril 2011, 08:12 par
dolce vita sur Histoires d'amour
Sa couleur (chapitre deux)
Elle pousse la porte, l’aperçoit et lui sourit. Il rend le sourire tout heureux de la revoir. Elle lui fait négligemment une bise et discrètement une caresse furtive puis s’en va saluer le patron à qui elle remet son petit Tupperware dont elle a cuisiné le contenu : Un lapin à l’ indienne. Ils en avaient parlé lors de sa première fois de cette passion commune pour la cuisine et elle avait promis d’en apporter un échantillon. Et elle tenait toujours parole. Sur ces entrefaites, Rémi est parti s’occuper d’une autre cliente. Elle prend une revue sur la table basse, s’assied et attend patiemment qu’il puisse s’occuper d’elle. ...
Au bout d’un petit moment, ayant fini de s’occuper de l’opulente dame, il vient la chercher pour qu’elle s’installe. Espiègle, elle lui laisse le choix le mettant au défi de réaliser quelque chose d’unique. Il l’observe longuement sous tous les angles et finit par se décider sur la couleur de la coiffure qu’il va lui concocter. Tout en travaillant, ils parlent de sujets divers sans jamais se lasser. Ils trouvent toujours un sujet ou l’autre à débattre. Tout en discutant, elle remarque des petits détails qui lui dessinent un sourire mutin tel, par exemple, la chemise à pressions, noire, ouverte, et dont elle voit son torse. Sa trousse à matériel de coiffure non accrochée,ou du moins pas au même endroit. Et encore, était-ce bien le bon souvenir ? Elle ne s’en rappelle plus ! Quelque peu perturbée, Alessia.
Leurs regards chargés d’intelligence coquine en disent plus long qu’un grand discours...
Une chose est sûre, une douce complicité les réunit, un tendre feeling. Ils se plaisent. Ils rêvent juste un moment , un long moment, une heure voire un peu plus. Il lui dit qu’il a hâte d’être en vacances car il en peut plus. Il a envie aussi d’évoluer, de changer d’endroit, monter sa propre affaire. Elle acquiesce compréhensive.
Elle le trouve doué, intelligent, charmeur, drôle...Et des mains d’argent
Il mâche son chewing-gum, elle boit le cappuccino qu’il lui a apporté. Elle l’observe, le dévisage, encore et encore. Il y a quelque chose qu’elle ne peut s’expliquer...
Juste , un charisme une complicité , une séduction qui s’installe
Il la regarde et imagine qu’l lui prend la main, l’installe sur un fauteuil pivotant, passe ses jambes et se retrouve assis sur elle, met tant ses mains dans ses cheveux et les respirant...
Puis il l’embrasse sur son nez, et le coin de sa bouche juste pour lui donner envie aussi de l’embrasser.
Elle lui résiste mollement, et, ses yeux pétillant de malice, sort la langue pour en humecter ses lèvres .Rapide, il l’enroule autour de la sienne,et goulument il la déguste.
Il passe ses mains dans son dos, et dégrafe adroitement son balconnet. Prend un des seins, ainsi libérés, dans sa main et taquine l’aréole de son index jusqu’à ce que la poitrine se dresse. Puis entreprend de faire de même avec l’autre jusqu’à ce qu’il durcisse..Parcourt les mamelons de sa langue jusqu’au sommet où il happe et aspire avec délicatesse les tétons.
Elle savoure chaque caresse et se retient de gémir. Elle se colle de plus en plus contre son corps déjà en fièvre.Il va de découverte en découverte, en léchant chaque grain de beauté jusqu’au dernier qu’il déniche sur sa hanche gauche.
Elle brûle du désir de se donner entièrement à lui...
Le téléphone sonne, il n’a pas envie de décrocher. Il veut prolonger ce moment unique.
Il sonne toujours, avec insistance. Ça l’agace, il ne peut se concentrer. Finalement, il soupire, demande de l’excuser et s’en va répondre.
Cela paraît sérieux, elle ne peut s’empêcher d’écouter même si elle fait semblant de regarder ailleurs.Il raccroche, la regarde sérieusement, puis éclate de rire. Elle ne comprend plus rien. Il lui explique alors qu’il a oublié un rendez vous. Une coupe à faire ...Chez une amie.......Mais il a promis et doit y aller quand même ...
Déçue, elle fait semblant de comprendre, même si son string en est déjà bien mouillé et que l’ardeur de Rémi est encore visible. Elle sait qu’ils ne continueront pas.La situation est baroque et ils sont aussi gênés l’un que l’autre. Il se regardent en silence un long moment, puis Alessia le rassure en posant sa main sur son bras. Elle l’embrasse sur la bouche une dernière fois...
Il a envie de lui dire , qu’il veut la revoir,car ils ne se verront pas avant longtemps. Lui doit partir en vacances, mais n’oubliera pas de lui donner son adresse mail. Elle sourit tristement et lui donne la sienne. Puis, elle s"évapore rapidement devant lui, un peu trop rapidement à son goût. Mais il la laisse partir à contre cœur et il ferme le salon.
Sam 26 Mars 2011, 09:51 par
caressedesyeux sur Histoires d'amour
Je voudrais voler loin de toi
Je ne m’enfuies pas
De toi je ne pourrais pas
Je voulais voler
Un peu loin de toi
Tu m’as donné des ailes
J’ai découvert le ciel
A travers toi
Avec toi je faisais des voyages
Je ne connaissais pas les naufrages
Avec toi j’ai parcourut des plages
Aussi découvert de beaux paysages
A travers toi
A mes yeux il n’y avait que toi
Je remplissais ma tête de toi
J’appréciais les choses
A travers toi
Je veux grimpers des sommets
Comme tu as appris
Je ne vais pas tomber
Je n’ai plus de vertiges
Je ne suis plus cette fragile tige
Je sais que je vais te manquer
Toi aussi mais laisse moi
Voler loin de toi
Je peux le faire sans toi
N’aie pas peur pour moi
Et prends soin de toi
Je ne veux pas avoir de peine
Je ne te quitte pas
Je veux voler loin de toi
Voire les choses sans toi…
je voudrais voler loin de toi
BEAUDLAIRIENNE
De toi je ne pourrais pas
Je voulais voler
Un peu loin de toi
Tu m’as donné des ailes
J’ai découvert le ciel
A travers toi
Avec toi je faisais des voyages
Je ne connaissais pas les naufrages
Avec toi j’ai parcourut des plages
Aussi découvert de beaux paysages
A travers toi
A mes yeux il n’y avait que toi
Je remplissais ma tête de toi
J’appréciais les choses
A travers toi
Je veux grimpers des sommets
Comme tu as appris
Je ne vais pas tomber
Je n’ai plus de vertiges
Je ne suis plus cette fragile tige
Je sais que je vais te manquer
Toi aussi mais laisse moi
Voler loin de toi
Je peux le faire sans toi
N’aie pas peur pour moi
Et prends soin de toi
Je ne veux pas avoir de peine
Je ne te quitte pas
Je veux voler loin de toi
Voire les choses sans toi…
je voudrais voler loin de toi
BEAUDLAIRIENNE
Jeu 07 Oct 2010, 20:12 par
assouma23 sur L'amour en vrac
La passion, laisse-la pénétrer ton coeur et laisse-la partir
Nous vivons tous de passions. Leur durée ne dépend que de l’usure du coeur. Entretenir un amour est difficile car cela nécessite un effort.
Notre individualité ne nous aide pas à voir la qualité de la flamme de l’Autre car nous sommes trop occupés par nourrir la nôtre. Cet aveuglement temporaire peut créer chez l’Autre cette impression d’abandon. Ne supportant pas la solitude, l’Autre préfère laisser diminuer voire éteindre sa flamme. A chacun d’entre nous de faire l’effort d’ouvrir à temps les yeux pour sauver la flamme de l’Autre pour qu’elle brille comme au premier jour. L’entretenir, c’est regarder la flamme de l’Autre comme si on la découvrait pour la première fois chaque matin.
Si elle se meure, laissez-la mourir. Ne pleurez pas et laissez-vous éblouir par une nouvelle flamme plus vivante.
Quand une bougie arrive à son terme et qu’elle n’éclaire plus, laissez-la s’éteindre. Ouvrez alors vos yeux pour voir de nouvelles bougies vous éclairer la Vie.
Notre individualité ne nous aide pas à voir la qualité de la flamme de l’Autre car nous sommes trop occupés par nourrir la nôtre. Cet aveuglement temporaire peut créer chez l’Autre cette impression d’abandon. Ne supportant pas la solitude, l’Autre préfère laisser diminuer voire éteindre sa flamme. A chacun d’entre nous de faire l’effort d’ouvrir à temps les yeux pour sauver la flamme de l’Autre pour qu’elle brille comme au premier jour. L’entretenir, c’est regarder la flamme de l’Autre comme si on la découvrait pour la première fois chaque matin.
Si elle se meure, laissez-la mourir. Ne pleurez pas et laissez-vous éblouir par une nouvelle flamme plus vivante.
Quand une bougie arrive à son terme et qu’elle n’éclaire plus, laissez-la s’éteindre. Ouvrez alors vos yeux pour voir de nouvelles bougies vous éclairer la Vie.
Mer 05 Mai 2010, 03:41 par
Solina sur La vie à deux
Une mise en jambe
On les habille, ,et elles aiment être couvertes
Elles s’habillent de soie, de nylon, voire de laine
Habillées parfois de soie si fragile
Des bas résilles, de toutes les couleurs
Parfois des cœurs ou des motifs divers
Bientôt l’hiver!!
Mais si sexy
Qui donne envie
De les dérouler, avec son "chéri"
Avec délicatesse, et douceur
Palpitation des cœurs
Découverte du corps
De jolies gambettes..
caressedesyeux
Elles s’habillent de soie, de nylon, voire de laine
Habillées parfois de soie si fragile
Des bas résilles, de toutes les couleurs
Parfois des cœurs ou des motifs divers
Bientôt l’hiver!!
Mais si sexy
Qui donne envie
De les dérouler, avec son "chéri"
Avec délicatesse, et douceur
Palpitation des cœurs
Découverte du corps
De jolies gambettes..
caressedesyeux

Mer 17 Mars 2010, 14:40 par
caressedesyeux sur Mille choses
Une espèce de vent idiot...
Cette lettre est un pur produit de mon imaginaire, toute ressemblance avec des personnages vivant ou ayant existés, serait pure coïncidence...
Voilà, c’est l’un des derniers jours de janvier et j’attendais les voeux d’un pilote de ligne. Ben, oui, voyez-vous, on ne choisit pas de tomber amoureuse et l’homme qui a fait battre mon coeur sans aucune raison est un courant d’air et comme tous les courants d’air, il n’a pas de place dans son coeur et dans sa vie pour une femme : normal un courant d’air ça n’a pas de coeur (enfin c’est à peu près ce qu’il a voulu que je comprenne, comme je suis sage et que je tiens à la joie de vivre, je m’applique à le croire ! ). Le plus chiant c’est qu’à priori il n’avait pas de bras à offrir non plus que des regards d’un bleu intense dans lesquels j’ai plongé sans retenue et je me suis perdue (je cherche encore la sortie).
Adieu mon cher courant d’air que je ne reverrai sans doute plus jamais et c’est tant mieux : tout ce que cela sait donner, un courant d’air, c’est du vent ! A moins qu’il ne réaparaisse au détour d’un chemin au moment où je m’y attendrai le moins (j’ai intérêt de me couvrir, les courants d’air cela glace le coeur). Les champignons aussi : ils sont tout enflés de leur amour propre au point de ne plus avoir de place pour autre chose dans leur coeur que pour eux-même... C’est triste.
C’était une espèce de Saint qui n’en était pas un. C’est encore un truc de St Ex, cette lecture m’a marquée ou c’est un signe de naissance. Quoiqu’il en soit, un conseil. Si vous voyez un pilote de ligne perdu en plein désert de glace et de neige et que vous êtes une petite princesse paumée sur la terre, venue d’une autre planête, si vous cherchez des amis, surtout ne vous approchez pas vous risqueriez de vous laisser apprivoiser...
La terre ensuite sans lui serait le plus beau et le plus triste paysage au monde... pour le coeur. Mais si vous le voyez, s’il vous semble que son coeur bat pour une drôle de petite princesse venue d’ailleurs, s’il pense à elle, dites-lui de revenir sur ma terre de glace et de neige pour faire refleurir la vie de son souffle chaud (oui, il y a certains vents coulis qui deviennent chauds aux abords du printemps voire brûlants en été, mais faut pas trop y songer, c’est plutôt rare).
Dolce
Voilà, c’est l’un des derniers jours de janvier et j’attendais les voeux d’un pilote de ligne. Ben, oui, voyez-vous, on ne choisit pas de tomber amoureuse et l’homme qui a fait battre mon coeur sans aucune raison est un courant d’air et comme tous les courants d’air, il n’a pas de place dans son coeur et dans sa vie pour une femme : normal un courant d’air ça n’a pas de coeur (enfin c’est à peu près ce qu’il a voulu que je comprenne, comme je suis sage et que je tiens à la joie de vivre, je m’applique à le croire ! ). Le plus chiant c’est qu’à priori il n’avait pas de bras à offrir non plus que des regards d’un bleu intense dans lesquels j’ai plongé sans retenue et je me suis perdue (je cherche encore la sortie).
Adieu mon cher courant d’air que je ne reverrai sans doute plus jamais et c’est tant mieux : tout ce que cela sait donner, un courant d’air, c’est du vent ! A moins qu’il ne réaparaisse au détour d’un chemin au moment où je m’y attendrai le moins (j’ai intérêt de me couvrir, les courants d’air cela glace le coeur). Les champignons aussi : ils sont tout enflés de leur amour propre au point de ne plus avoir de place pour autre chose dans leur coeur que pour eux-même... C’est triste.
C’était une espèce de Saint qui n’en était pas un. C’est encore un truc de St Ex, cette lecture m’a marquée ou c’est un signe de naissance. Quoiqu’il en soit, un conseil. Si vous voyez un pilote de ligne perdu en plein désert de glace et de neige et que vous êtes une petite princesse paumée sur la terre, venue d’une autre planête, si vous cherchez des amis, surtout ne vous approchez pas vous risqueriez de vous laisser apprivoiser...
La terre ensuite sans lui serait le plus beau et le plus triste paysage au monde... pour le coeur. Mais si vous le voyez, s’il vous semble que son coeur bat pour une drôle de petite princesse venue d’ailleurs, s’il pense à elle, dites-lui de revenir sur ma terre de glace et de neige pour faire refleurir la vie de son souffle chaud (oui, il y a certains vents coulis qui deviennent chauds aux abords du printemps voire brûlants en été, mais faut pas trop y songer, c’est plutôt rare).

Dolce
Jeu 28 Jan 2010, 20:46 par
dolce vita sur La déclaration d'amour
Une dernière flamme pour le coeur
Il faut savoir rire de tout y compris de soi-même... Grandir est à ce prix, guérir aussi, parfois.
Cet été je suis allée manger avec un homme au restaurant : c’est moi qui l’ai invité. Cela me semblait bien. Il faut dire que je fais souvent fi des conventions et que j’aime à faire ce qui me plaît, ce qui me semble juste voire simplement bon pour le cœur. Je le considérais comme quelqu’un d’unique, hors norme, pour tout dire, intelligent et ouvert, j’avais plaisir à ses brefs passages dans ma vie. Je pensais que notre affection pouvait s’enraciner indépendamment de nos conditions sociales divergentes. Je le considérais un peu comme un modèle pour mon fils. Ma foi, il est venu et a semblé prendre plaisir au fait d’être avec nous. Comme quoi, on peut se laisser abuser aisément, moi, en particulier. J’ai beau le savoir, cela ne change rien.
Je mettais ses incohérences de comportement sur le compte de sa vie passablement troublée, mais je le pensais sincère, à sa façon. De plus, j’aimais son indépendance.
Il est vrai que j’avais mis mes chaussures de plage aux talons rongés par les galets et le sable, il est vrai que je n’avais pas fait d’effort de toilettes particulier, c’était un ami que je m’apprêtais à revoir et ce n’était en rien un rendez-vous galant. J’avais songé mettre un vieux jean troué et un tee-shirt sans manche, ma seconde peau, cependant, le lieu ne s’y prêtait pas. J’avais fait des travaux toute la journée, je m’étais contentée de prendre une douche, mes propres talons gardaient l’encre noire de vieux Kickers que j’affectionnais. Lorsqu’il fut là, je sentis le trouble grandir en moi, ma main tremblait plus que de raison, je rougissais pour un rien, mon cerveau faisait de la surchauffe et pour gourmande que je sois habituellement, je n’arrivais plus rien à avaler. Je l’aurais détesté s’il y avait eu de la place dans mon cœur pour ce sentiment. Je ne m’étais rendue compte à quel point je n’étais pas indifférente qu’en prenant conscience de mon trouble grandissant à son contact. J’ai été charmée hors de toute logique, une fois de plus, par sa simplicité affichée, ses regards - creux, il faut bien le reconnaître aujourd’hui – et par la suite, par ses promesses - vaines - envers mon enfant (pourquoi écrire des choses que l’on ne pense pas et que l’on ne vous demande pas ? Pour paraître altruiste ? Bien de s’intéresser à un petit « pauvre » ? Bon pour son image ?!) et j’excusais ses silences : régulièrement, il revenait dans ma vie avec ses yeux menteurs et son attitude ambigüe qui me déstabilisaient. Pourquoi était-il venu ? Pourquoi ? Pour se divertir un instant ?! En définitive, je préfère ne rien connaître de ses intentions, je pense que cela me décevrait encore davantage. D’y songer me donne encore la nausée. Je le croyais mon ami. Moi, j’étais attirée par lui comme par un aimant lui qui n’était pas aimant pour deux sous ! L’amitié, l’affection, le respect, l’amour entre deux êtres humains sont choses rares et précieuses... Les contrefaçons nombreuses. Mais l’œil ne voit que ce qu’il contient et je voyais un homme droit, intègre, indépendant, franc, profond, gourmand, aimant, drôle et sensuel... J’avais envie de lui et ne m’en étais pas cachée. Au vrai, il n’avait que faire d’une petite marchande d’allumettes dans mon genre, même pas allumeuse. La fin abrupte de l’histoire est là pour me le rappeler.
Bah, je ne me leurre plus, l’égalité entre les êtres est une utopie. Je sais que je ne pèse pas lourd dans la balance des intérêts qu’il a à notre amitié. Je ne parle même pas de respect. Ainsi, faisant partie des expéditeurs indésirables, ma pauvre bafouille et tous ses "pourquoi" sous-jacents resteront sans réponse pour partir trop vite comme il l’a fait pour moi... au panier, sans même un au revoir.
Je ne sais pas ce qui me rend le plus triste, ou en colère, de voir le monde tel qu’il est ou de perdre plus qu’un ami, une illusion.
La dernière allumette vient de se consumer.
Cet été je suis allée manger avec un homme au restaurant : c’est moi qui l’ai invité. Cela me semblait bien. Il faut dire que je fais souvent fi des conventions et que j’aime à faire ce qui me plaît, ce qui me semble juste voire simplement bon pour le cœur. Je le considérais comme quelqu’un d’unique, hors norme, pour tout dire, intelligent et ouvert, j’avais plaisir à ses brefs passages dans ma vie. Je pensais que notre affection pouvait s’enraciner indépendamment de nos conditions sociales divergentes. Je le considérais un peu comme un modèle pour mon fils. Ma foi, il est venu et a semblé prendre plaisir au fait d’être avec nous. Comme quoi, on peut se laisser abuser aisément, moi, en particulier. J’ai beau le savoir, cela ne change rien.
Je mettais ses incohérences de comportement sur le compte de sa vie passablement troublée, mais je le pensais sincère, à sa façon. De plus, j’aimais son indépendance.
Il est vrai que j’avais mis mes chaussures de plage aux talons rongés par les galets et le sable, il est vrai que je n’avais pas fait d’effort de toilettes particulier, c’était un ami que je m’apprêtais à revoir et ce n’était en rien un rendez-vous galant. J’avais songé mettre un vieux jean troué et un tee-shirt sans manche, ma seconde peau, cependant, le lieu ne s’y prêtait pas. J’avais fait des travaux toute la journée, je m’étais contentée de prendre une douche, mes propres talons gardaient l’encre noire de vieux Kickers que j’affectionnais. Lorsqu’il fut là, je sentis le trouble grandir en moi, ma main tremblait plus que de raison, je rougissais pour un rien, mon cerveau faisait de la surchauffe et pour gourmande que je sois habituellement, je n’arrivais plus rien à avaler. Je l’aurais détesté s’il y avait eu de la place dans mon cœur pour ce sentiment. Je ne m’étais rendue compte à quel point je n’étais pas indifférente qu’en prenant conscience de mon trouble grandissant à son contact. J’ai été charmée hors de toute logique, une fois de plus, par sa simplicité affichée, ses regards - creux, il faut bien le reconnaître aujourd’hui – et par la suite, par ses promesses - vaines - envers mon enfant (pourquoi écrire des choses que l’on ne pense pas et que l’on ne vous demande pas ? Pour paraître altruiste ? Bien de s’intéresser à un petit « pauvre » ? Bon pour son image ?!) et j’excusais ses silences : régulièrement, il revenait dans ma vie avec ses yeux menteurs et son attitude ambigüe qui me déstabilisaient. Pourquoi était-il venu ? Pourquoi ? Pour se divertir un instant ?! En définitive, je préfère ne rien connaître de ses intentions, je pense que cela me décevrait encore davantage. D’y songer me donne encore la nausée. Je le croyais mon ami. Moi, j’étais attirée par lui comme par un aimant lui qui n’était pas aimant pour deux sous ! L’amitié, l’affection, le respect, l’amour entre deux êtres humains sont choses rares et précieuses... Les contrefaçons nombreuses. Mais l’œil ne voit que ce qu’il contient et je voyais un homme droit, intègre, indépendant, franc, profond, gourmand, aimant, drôle et sensuel... J’avais envie de lui et ne m’en étais pas cachée. Au vrai, il n’avait que faire d’une petite marchande d’allumettes dans mon genre, même pas allumeuse. La fin abrupte de l’histoire est là pour me le rappeler.
Bah, je ne me leurre plus, l’égalité entre les êtres est une utopie. Je sais que je ne pèse pas lourd dans la balance des intérêts qu’il a à notre amitié. Je ne parle même pas de respect. Ainsi, faisant partie des expéditeurs indésirables, ma pauvre bafouille et tous ses "pourquoi" sous-jacents resteront sans réponse pour partir trop vite comme il l’a fait pour moi... au panier, sans même un au revoir.
Je ne sais pas ce qui me rend le plus triste, ou en colère, de voir le monde tel qu’il est ou de perdre plus qu’un ami, une illusion.
La dernière allumette vient de se consumer.
Jeu 03 Déc 2009, 09:26 par
dolce vita sur Parler d'amour
Instinct
Rentrer dans le monde du silence,
Se croire seul,
Penser s’y habituer,
Voire y prendre son parti.
Et entendre audelà du silence,
Et voir audelà de l’obscurité,
Et sentir autrement
Ta présence.
Se croire seul,
Penser s’y habituer,
Voire y prendre son parti.
Et entendre audelà du silence,
Et voir audelà de l’obscurité,
Et sentir autrement
Ta présence.
Dim 15 Nov 2009, 19:55 par
Asma sur L'amour en vrac
De la célébrité et de l'usage que l'on en a
Ce qui est admirable, comme me le disait un ami, c’est la façon dont on peut se moquer de quelqu’un lorsqu’on a une position qui procure une certaine liberté d’action ou de parole, avec suffisance, pour ensuite faire son mea culpa et le tout pour du fric (audience à la clef). Mais ne regardons pas cela, du reste, on peut croire au miracle et à la réelle prise de conscience des spectateurs ; pour nous, apprenons juste à ne pas juger trop vite, à ne pas nous moquer de l’autre quelle qu’en soit la raison. Humilier l’autre ne nous rend pas meilleur, cela nous avilit. Lorsque j’ai vu la vidéo pour la première fois (je ne regarde pas la télé), j’ai été saisie par la fraicheur de cette femme de près de 48 ans comme elle s’est plue à le dire laquelle fraicheur, confiance, voire innocence contrastait terriblement avec les mines entendues des moqueurs et j’ai eu honte... pour eux. Eux, les juges, riches, beaux, célèbres, qui au lieu d’être bienveillants, se sont permis de mépriser ceux que la vie n’a pas choyés mais qui continuent de croire et d’espérer : aucune compassion ! Quelle suffisance ! Toute seule face à la foule, Susan n’en continuait pas moins de défendre sa position, parlant d’elle, de son rêve malgré les quolibets et les mines entendues. Faut-il être "gifted" (surdoué ou plus doué que les autres) pour être respecté en ce monde ?! Et si l’émotion lui avait fait poussé un "couac", les juges et la plèbe, à son tour, auraient-ils eu les yeux aussi humides et auraient-ils fait leur mea culpa devant cet être humain humilié par leurs soins ? Faut-il que l’humain soit devant l’évidence pour qu’il apprenne à regarder l’autre avec bonté ? Il est toujours à se soucier du paraître mais l’être au fond, qu’en a-t-il fait ? Qu’est-il advenu de lui, oui, qu’est-il advenu de nous ?!
Dim 26 Avril 2009, 07:14 par
dolce vita sur Citations
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