Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur voudrait - Page 4 sur 4
Ma voisine
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Ma voisine, c’est la petite brune qu’habite la porte en face, à côté de l’escalier. Ma voisine, c’est un rayon de soleil qui vient prendre le café tous les matins des week-ends et aussi les jours fériés. Elle dit qu’elle trouve cela agréable chez moi, elle dit qu’elle aime s’enfoncer dans le canapé et s’imaginer les yeux fermés qu’elle habite au cœur de la forêt. Ça lui fait cet effet-là mon petit jardin d’intérieur que je passe mon temps à arroser.
Ma voisine, je l’ai rencontrée un jour en fin de matinée, en allant faire mes courses au marché d’à côté. Je venais d’emménager. Enervée, elle montait l’escalier les bras chargés des quelques trois ans qu’elle avait passé avec un être qu’elle se refuse à nommer désormais. Ça y allait de deux sacs de fringues et d’un carton débordant de bibelots et d’objets féminins qui viennent toujours encombrer les salles de bains quand Elles décident d’envahir nos quotidiens avec des airs d’espérer un jour définitivement s’y installer.
- J’peux vous aider ?
Elle n’était qu’à la moitié des marches quand je l’ai interpellée. Elle avait vraiment l’air d’en baver.
- Poussez-vous ! elle a dit méchamment, la voix pleine de rancoeur, en fonçant droit devant et en m’envoyant m’écraser contre le mur pour la laisser passer.
L’escalier est très étroit faut préciser, du genre vieil escalier de vieille maison bourgeoise dans un style purement parisien qu’on ne rénove jamais. Evidemment, à nous deux et avec son barda qu’elle s’obstinait à vouloir porter seule, ça pouvait pas coller.
- Mais poussez-vous, merde ! elle s’est énervée.
Je l’ai trouvée ravissante avec ses traits tirés, mais c’était pas trop le moment de la complimenter. Bloquée, elle a voulu tirer un de ses sacs brusquement quand j’ai essayé de dégager. Je me suis pris le pied dedans sans faire exprès. Rouge marteau, elle a pivoté et le carton débordant est tombé. J’ai tendu un bras, un deuxième, mais avec un seul appui sur le plancher des vaches je pouvais pas lutter. Je suis parti en arrière, le carton attrapé à la volée mais la rampe ratée. Je me suis écrasé dix marches plus bas entre les produits de beauté, trois ou quatre babioles, une brosse et une brochure de pubs sur des canapés. Elle adore les canapés. Elle dit souvent que si elle pouvait, elle les collectionnerait. Elle a posé ses sacs, a dévalé les escaliers, a ramassé son bordel, m’a traité de crétin et puis elle est remontée.
J’ai halluciné.
Ma voisine, c’est le samedi suivant qu’elle est venue s’excuser. Elle a sonné à ma porte les bras encore chargés, tout sourire, une verseuse de café dans une main et dans l’autre des croissants tout un paquet. Elle m’a réveillé. La grâce matinée, le week-end, pour moi, c’est sacré. Et puis j’ai jamais trop pris l’habitude d’ouvrir les yeux dès le soleil levé.
Ma voisine, c’est elle qui a halluciné quand elle m’a découvert emplâtré du bras les yeux écarquillés.
- C’est moi ? elle a demandé.
J’ai haussé les épaules et je l’ai invitée à entrer.
Ma voisine, elle aime bien venir chez moi, elle a sa place sur mon canapé. Elle est comme un oiseau, comme ceux qui chantent sur le CD « ambiance forêt » qu’elle m’a achetée. Elle dit que ça me va bien, elle dit que j’aurais dû être garde forestier.
Ma voisine et moi, on a discuté des heures entières quand elle est venue s’excuser. Elle parlait, elle parlait… et puis elle allait nous refaire un café et puis elle revenait. Elle me racontait sa vie comme si elle avait besoin de se confier. Elle était un peu ailleurs, elle parlait les yeux fermés.
Ma voisine, elle ne veut plus d’amour, elle dit qu’elle en a trop bavé. Elle voudrait juste un ami et puis vivre un peu à ses côtés, avoir un peu de temps à lui consacrer et puis se sentir juste un peu aimée. Elle dit qu’après tout, c’est l’essentiel, et qu’on n’est pas forcément toujours obligé d’aller chercher ce que de toute façon on est plus capable de donner. Elle dit que ça disparaîtra l’amour, elle dit que c’est à cause de la société. Alors elle croit que ça suffit largement l’amitié, et que ça peu combler le reste du vide que l’amour peut apporter. Elle ne croit plus pouvoir trop aimer. Elle dit peut-être vrai.
Ma voisine, elle est un peu étrange, elle a comme ça des idées sur la vie qu’elle veut toujours me faire partager. Alors je l’écoute, je l’écoute des heures entières, et c’est tout un plaisir dont je ne saurais me rassasier, surtout quand dans sa voix elle met de la gaieté. On y passe tous nos matins de week-ends et aussi les jours fériés, moi à l’écouter, elle à nous raconter. On en a fait un rituel que l’on entame au café et que l’on termine à déjeuner. Je lui fais des petits plats qu’elle me dit forts apprécier.
Ma voisine, elle a de longs cheveux ondulés et bruns qu’elle laisse reposer sur ses épaules légèrement halées. Elle a un regard profond, des yeux noirs fantastiques dans lesquels je n’ose jamais trop me plonger. Je suis souvent trop intimidé.
Ma voisine, elle a cette légèreté des abeilles qu’elle affine comme des ailes dans de jolies petites robes d’été pleines de fleurs que vient souligner le soleil qui la caresse quand elle s’installe dans mon canapé. C’est parce que j’ai une grande baie vitrée. Elle dit qu’elle adore quand le soleil vient la caresser. Elle dit que ça vaut bien toute la tendresse dont on pourrait la combler.
Ma voisine, elle est venue un soir chez moi très attristée. Dans mon lit, moi j’attendais le sommeil en regardant la télé. C’était une émission débile que je n’oserais citer, mais c’est une salle habitude que j’ai de ne pouvoir m’en passer. Alors je lui ai fait une petite place et nous avons discuté. Elle en avait après tous les mecs qu’elle disait qu’il ne pense toujours qu’à draguer pour baiser. Ça venait de lui arriver. Elle avait rencontré un beau jeune homme qui l’avait invité à dîner. Puis il l’avait raccompagnée, avait voulu entrer et avait commencé à l’embobiner. Mais c’était pas ça qui l’avait dérangée. A la rigueur, elle savait comment ç’aurait pu se terminer. Elle avait vu et elle savait comment il aurait pu la désirer. Non, ce qui l’avait gêné c’est qu’elle en avait eu aussi envie et qu’elle se le refusait.
Ma voisine, elle a dit qu’elle ne comprenait plus, elle a dit qu’elle ne voulait plus y penser mais que ça finissait trop par l’obséder. Et puis elle a dit qu’elle en avait mare de se caresser, comme ça, tout à coup, sans oser me regarder.
Ma voisine, elle m’a demandé comment moi je faisais. Elle a voulu savoir comment je vivais seul, comment je pouvais faire pour ne pas désirer quelqu’un à aimer. J’ai dit que j’avais été comme elle, qu’un jour j’en avais trop bavé, et que la solitude, on finit toujours par s’y habituer.
Ma voisine, elle a voulu alors savoir si je pouvais réellement m’en passer. Elle parlait du sexe évidemment, et moi, je faisais comme si de rien n’était. Je paraissais ne pas comprendre et ça la gênait un peu de préciser. Faut dire que ça m’amusait de la voir embarrassée.
Ma voisine, elle a finit par demander carrément si je me branlais. Elle en était rouge pivoine et ça m’a fait rigoler. J’ai dit que ça m’arrivait quelquefois, que quand on se réveille le matin et qu’on a le membre dressé on peut pas trop résister. J’ai dit aussi que pour peu qu’on a quelqu’un dans nos pensées on peut pas trop lutter, mais j’ai pas précisé de qui il s’agissait.
Ma voisine, ça l’a un peu rassurée. Elle s’est excusée de m’avoir importuné comme ça un soir et elle est rentrée chez elle se coucher. Moi, tout cela m’a fait rêver.
Ma voisine, elle est venue comme d’habitude pour le café le samedi suivant, installée confortablement dans le canapé, habillée joliment d’une ravissante petite robe d’été. Moi, en caleçon et tee-shirt, je sortais tout frai de la douche et quand elle m’a vu j’ai fait encore comme si de rien était. Elle avait les clés de chez moi, j’ai oublié de préciser. J’avais fini par les lui donner, pour qu’elle fasse chez moi comme si elle y habitait. Alors elle y venait quand elle le voulait. Parfois même, elle arrivait quand j’étais pas encore prêt. J’ai pas été m’habiller et je suis venu m’asseoir à ses côtés.
Ma voisine, après une première gorgée de café, encore d’un coup elle m’a demandé si je venais de me masturber. J’ai voulu savoir ce que ça pouvait bien lui faire, mais j’ai finalement déclaré que je ne l’avais pas fait. Quand elle m’a demandé pourquoi, j’ai dit que ça dépendait de l’heure à laquelle je me réveillais, qu’en général le week-end je dormais moins (parce que c’était elle qui me réveillait) et que de ce coup-là j’ouvrais les yeux avant l’heure de bander.
Ma voisine, elle a eu une idée curieuse, elle m’a demandé si ça me dérangerait pas si on se caressait. Parce que j’étais au moins un minimum intéressé, j’ai pas voulu lui paraître choqué. J’ai dit que si ça lui plaisait, on pourrait faire ce qu’elle voudrait. Elle a ajouté qu’avec moi ce serait moins compliqué et que, puisqu’on était ami, elle aurait pas vraiment à s’attacher. Ma voisine, elle a levé d’une main légère sa petite robe et entre ses jambes ma main elle y a posée. Puis d’un soupir elle a pris mon sexe entre ses doigts, a baissé la tête et elle a commencé à me sucer.
Depuis, quand elle débarque chez moi tous les matins des week-ends et aussi les jours fériés, ma voisine et moi on n’arrête pas de baiser.
Moi, ce qui me dérange dans tout ça, c’est qu’elle veut pas se laisser sodomiser.
Ma voisine, c’est la petite brune qu’habite la porte en face, à côté de l’escalier. Ma voisine, c’est un rayon de soleil qui vient prendre le café tous les matins des week-ends et aussi les jours fériés. Elle dit qu’elle trouve cela agréable chez moi, elle dit qu’elle aime s’enfoncer dans le canapé et s’imaginer les yeux fermés qu’elle habite au cœur de la forêt. Ça lui fait cet effet-là mon petit jardin d’intérieur que je passe mon temps à arroser.
Ma voisine, je l’ai rencontrée un jour en fin de matinée, en allant faire mes courses au marché d’à côté. Je venais d’emménager. Enervée, elle montait l’escalier les bras chargés des quelques trois ans qu’elle avait passé avec un être qu’elle se refuse à nommer désormais. Ça y allait de deux sacs de fringues et d’un carton débordant de bibelots et d’objets féminins qui viennent toujours encombrer les salles de bains quand Elles décident d’envahir nos quotidiens avec des airs d’espérer un jour définitivement s’y installer.
- J’peux vous aider ?
Elle n’était qu’à la moitié des marches quand je l’ai interpellée. Elle avait vraiment l’air d’en baver.
- Poussez-vous ! elle a dit méchamment, la voix pleine de rancoeur, en fonçant droit devant et en m’envoyant m’écraser contre le mur pour la laisser passer.
L’escalier est très étroit faut préciser, du genre vieil escalier de vieille maison bourgeoise dans un style purement parisien qu’on ne rénove jamais. Evidemment, à nous deux et avec son barda qu’elle s’obstinait à vouloir porter seule, ça pouvait pas coller.
- Mais poussez-vous, merde ! elle s’est énervée.
Je l’ai trouvée ravissante avec ses traits tirés, mais c’était pas trop le moment de la complimenter. Bloquée, elle a voulu tirer un de ses sacs brusquement quand j’ai essayé de dégager. Je me suis pris le pied dedans sans faire exprès. Rouge marteau, elle a pivoté et le carton débordant est tombé. J’ai tendu un bras, un deuxième, mais avec un seul appui sur le plancher des vaches je pouvais pas lutter. Je suis parti en arrière, le carton attrapé à la volée mais la rampe ratée. Je me suis écrasé dix marches plus bas entre les produits de beauté, trois ou quatre babioles, une brosse et une brochure de pubs sur des canapés. Elle adore les canapés. Elle dit souvent que si elle pouvait, elle les collectionnerait. Elle a posé ses sacs, a dévalé les escaliers, a ramassé son bordel, m’a traité de crétin et puis elle est remontée.
J’ai halluciné.
Ma voisine, c’est le samedi suivant qu’elle est venue s’excuser. Elle a sonné à ma porte les bras encore chargés, tout sourire, une verseuse de café dans une main et dans l’autre des croissants tout un paquet. Elle m’a réveillé. La grâce matinée, le week-end, pour moi, c’est sacré. Et puis j’ai jamais trop pris l’habitude d’ouvrir les yeux dès le soleil levé.
Ma voisine, c’est elle qui a halluciné quand elle m’a découvert emplâtré du bras les yeux écarquillés.
- C’est moi ? elle a demandé.
J’ai haussé les épaules et je l’ai invitée à entrer.
Ma voisine, elle aime bien venir chez moi, elle a sa place sur mon canapé. Elle est comme un oiseau, comme ceux qui chantent sur le CD « ambiance forêt » qu’elle m’a achetée. Elle dit que ça me va bien, elle dit que j’aurais dû être garde forestier.
Ma voisine et moi, on a discuté des heures entières quand elle est venue s’excuser. Elle parlait, elle parlait… et puis elle allait nous refaire un café et puis elle revenait. Elle me racontait sa vie comme si elle avait besoin de se confier. Elle était un peu ailleurs, elle parlait les yeux fermés.
Ma voisine, elle ne veut plus d’amour, elle dit qu’elle en a trop bavé. Elle voudrait juste un ami et puis vivre un peu à ses côtés, avoir un peu de temps à lui consacrer et puis se sentir juste un peu aimée. Elle dit qu’après tout, c’est l’essentiel, et qu’on n’est pas forcément toujours obligé d’aller chercher ce que de toute façon on est plus capable de donner. Elle dit que ça disparaîtra l’amour, elle dit que c’est à cause de la société. Alors elle croit que ça suffit largement l’amitié, et que ça peu combler le reste du vide que l’amour peut apporter. Elle ne croit plus pouvoir trop aimer. Elle dit peut-être vrai.
Ma voisine, elle est un peu étrange, elle a comme ça des idées sur la vie qu’elle veut toujours me faire partager. Alors je l’écoute, je l’écoute des heures entières, et c’est tout un plaisir dont je ne saurais me rassasier, surtout quand dans sa voix elle met de la gaieté. On y passe tous nos matins de week-ends et aussi les jours fériés, moi à l’écouter, elle à nous raconter. On en a fait un rituel que l’on entame au café et que l’on termine à déjeuner. Je lui fais des petits plats qu’elle me dit forts apprécier.
Ma voisine, elle a de longs cheveux ondulés et bruns qu’elle laisse reposer sur ses épaules légèrement halées. Elle a un regard profond, des yeux noirs fantastiques dans lesquels je n’ose jamais trop me plonger. Je suis souvent trop intimidé.
Ma voisine, elle a cette légèreté des abeilles qu’elle affine comme des ailes dans de jolies petites robes d’été pleines de fleurs que vient souligner le soleil qui la caresse quand elle s’installe dans mon canapé. C’est parce que j’ai une grande baie vitrée. Elle dit qu’elle adore quand le soleil vient la caresser. Elle dit que ça vaut bien toute la tendresse dont on pourrait la combler.
Ma voisine, elle est venue un soir chez moi très attristée. Dans mon lit, moi j’attendais le sommeil en regardant la télé. C’était une émission débile que je n’oserais citer, mais c’est une salle habitude que j’ai de ne pouvoir m’en passer. Alors je lui ai fait une petite place et nous avons discuté. Elle en avait après tous les mecs qu’elle disait qu’il ne pense toujours qu’à draguer pour baiser. Ça venait de lui arriver. Elle avait rencontré un beau jeune homme qui l’avait invité à dîner. Puis il l’avait raccompagnée, avait voulu entrer et avait commencé à l’embobiner. Mais c’était pas ça qui l’avait dérangée. A la rigueur, elle savait comment ç’aurait pu se terminer. Elle avait vu et elle savait comment il aurait pu la désirer. Non, ce qui l’avait gêné c’est qu’elle en avait eu aussi envie et qu’elle se le refusait.
Ma voisine, elle a dit qu’elle ne comprenait plus, elle a dit qu’elle ne voulait plus y penser mais que ça finissait trop par l’obséder. Et puis elle a dit qu’elle en avait mare de se caresser, comme ça, tout à coup, sans oser me regarder.
Ma voisine, elle m’a demandé comment moi je faisais. Elle a voulu savoir comment je vivais seul, comment je pouvais faire pour ne pas désirer quelqu’un à aimer. J’ai dit que j’avais été comme elle, qu’un jour j’en avais trop bavé, et que la solitude, on finit toujours par s’y habituer.
Ma voisine, elle a voulu alors savoir si je pouvais réellement m’en passer. Elle parlait du sexe évidemment, et moi, je faisais comme si de rien n’était. Je paraissais ne pas comprendre et ça la gênait un peu de préciser. Faut dire que ça m’amusait de la voir embarrassée.
Ma voisine, elle a finit par demander carrément si je me branlais. Elle en était rouge pivoine et ça m’a fait rigoler. J’ai dit que ça m’arrivait quelquefois, que quand on se réveille le matin et qu’on a le membre dressé on peut pas trop résister. J’ai dit aussi que pour peu qu’on a quelqu’un dans nos pensées on peut pas trop lutter, mais j’ai pas précisé de qui il s’agissait.
Ma voisine, ça l’a un peu rassurée. Elle s’est excusée de m’avoir importuné comme ça un soir et elle est rentrée chez elle se coucher. Moi, tout cela m’a fait rêver.
Ma voisine, elle est venue comme d’habitude pour le café le samedi suivant, installée confortablement dans le canapé, habillée joliment d’une ravissante petite robe d’été. Moi, en caleçon et tee-shirt, je sortais tout frai de la douche et quand elle m’a vu j’ai fait encore comme si de rien était. Elle avait les clés de chez moi, j’ai oublié de préciser. J’avais fini par les lui donner, pour qu’elle fasse chez moi comme si elle y habitait. Alors elle y venait quand elle le voulait. Parfois même, elle arrivait quand j’étais pas encore prêt. J’ai pas été m’habiller et je suis venu m’asseoir à ses côtés.
Ma voisine, après une première gorgée de café, encore d’un coup elle m’a demandé si je venais de me masturber. J’ai voulu savoir ce que ça pouvait bien lui faire, mais j’ai finalement déclaré que je ne l’avais pas fait. Quand elle m’a demandé pourquoi, j’ai dit que ça dépendait de l’heure à laquelle je me réveillais, qu’en général le week-end je dormais moins (parce que c’était elle qui me réveillait) et que de ce coup-là j’ouvrais les yeux avant l’heure de bander.
Ma voisine, elle a eu une idée curieuse, elle m’a demandé si ça me dérangerait pas si on se caressait. Parce que j’étais au moins un minimum intéressé, j’ai pas voulu lui paraître choqué. J’ai dit que si ça lui plaisait, on pourrait faire ce qu’elle voudrait. Elle a ajouté qu’avec moi ce serait moins compliqué et que, puisqu’on était ami, elle aurait pas vraiment à s’attacher. Ma voisine, elle a levé d’une main légère sa petite robe et entre ses jambes ma main elle y a posée. Puis d’un soupir elle a pris mon sexe entre ses doigts, a baissé la tête et elle a commencé à me sucer.
Depuis, quand elle débarque chez moi tous les matins des week-ends et aussi les jours fériés, ma voisine et moi on n’arrête pas de baiser.
Moi, ce qui me dérange dans tout ça, c’est qu’elle veut pas se laisser sodomiser.
Lun 26 Sep 2005, 23:01 par
B-Lolo sur Histoires d'amour
Quelques jours
Quelques jours
Silencieux
J’arpente le trottoir
Seul, honnête
Et rien à prouver
Que ce creux
Grandissant
À l’intérieur de moi
Comment?
Est-ce possible?
Tu me manquerais déjà?
Peut-être est-ce ce mot
Tout au bas d’un cahier
En quelque sorte
Qui aurait tout révélé
Je n’ai pas voulu
Repenser à toi
Je t’aie toujours eu
À l’intérieur de moi
Et j’ai pensé
Sincèrement
Que la lumière
Ne venait pas de toi
J’ai tenté
Naïvement
D’accepter la noirceur
En vain
Voilà où j’en suis
Flottant
Entre le rêve
Et l’oubli
Créant
De ton absence
Ces mots vides de sens
Pour quiconque voudrait comprendre
Ici
Un espace
Quelques jours
Pour te réinventer
Un recoin
Dans ma tête
Que j’ai voulu effacer
P.S. Mon premier texte sur ce forum, j’espère que j’ai choisit le bon dossier, c’était un peu flou quant à savoir ou je devais le mettre...
Silencieux
J’arpente le trottoir
Seul, honnête
Et rien à prouver
Que ce creux
Grandissant
À l’intérieur de moi
Comment?
Est-ce possible?
Tu me manquerais déjà?
Peut-être est-ce ce mot
Tout au bas d’un cahier
En quelque sorte
Qui aurait tout révélé
Je n’ai pas voulu
Repenser à toi
Je t’aie toujours eu
À l’intérieur de moi
Et j’ai pensé
Sincèrement
Que la lumière
Ne venait pas de toi
J’ai tenté
Naïvement
D’accepter la noirceur
En vain
Voilà où j’en suis
Flottant
Entre le rêve
Et l’oubli
Créant
De ton absence
Ces mots vides de sens
Pour quiconque voudrait comprendre
Ici
Un espace
Quelques jours
Pour te réinventer
Un recoin
Dans ma tête
Que j’ai voulu effacer
P.S. Mon premier texte sur ce forum, j’espère que j’ai choisit le bon dossier, c’était un peu flou quant à savoir ou je devais le mettre...
Jeu 31 Mars 2005, 23:47 par
CafeFroid sur L'amour en vrac
Lacheté
Il y deux jours que tu ne m’as pas appelée...Tu as erré, certainement, cherchant à comprendre, à oublier , ou que sais-je encore?
Mais maintenant tu es là, au bout du fil...tu dois être misérable, cerné,hagard, en manque de sommeil...
Tu me racontes ta douleur, tu reconnais tes erreurs, tu pleures... et moi je reste impassible, stoïque, silencieuse...j’écoute mais n’entends pas... heureuse et triste à la fois...triste parce que je te connais grand et fier et j’ai peine à te savoir dans cet état , triste parce que je t’aime aussi...mais pardonne moi si ce soir je ne peux m’empêcher d’éprouver un sentiment de joie. Ce n’est pas la joie du vainqueur mais bien celle du vaincu qui connaît sa revanche...car tous ces mots d’amour, toute cette souffrance ne sont pas pour moi mais pour une autre. Moi je suis l’amie...celle que tu connais depuis toujours, celle à qui tu dis tout, tout sauf ce qu’elle voudrait entendre... Oui je suis celle qui est toujours présente, tellement présente qu’elle en devient invisible. Et aujourd’hui encore tu viens vers moi...mais je t’aime et c’est pour ça que je dis: "Allez arrête je t’en prie , je vais l’appeler et tu verras je vais arranger ça!" Je raccroche...et je pleure ma lacheté.
Mais maintenant tu es là, au bout du fil...tu dois être misérable, cerné,hagard, en manque de sommeil...
Tu me racontes ta douleur, tu reconnais tes erreurs, tu pleures... et moi je reste impassible, stoïque, silencieuse...j’écoute mais n’entends pas... heureuse et triste à la fois...triste parce que je te connais grand et fier et j’ai peine à te savoir dans cet état , triste parce que je t’aime aussi...mais pardonne moi si ce soir je ne peux m’empêcher d’éprouver un sentiment de joie. Ce n’est pas la joie du vainqueur mais bien celle du vaincu qui connaît sa revanche...car tous ces mots d’amour, toute cette souffrance ne sont pas pour moi mais pour une autre. Moi je suis l’amie...celle que tu connais depuis toujours, celle à qui tu dis tout, tout sauf ce qu’elle voudrait entendre... Oui je suis celle qui est toujours présente, tellement présente qu’elle en devient invisible. Et aujourd’hui encore tu viens vers moi...mais je t’aime et c’est pour ça que je dis: "Allez arrête je t’en prie , je vais l’appeler et tu verras je vais arranger ça!" Je raccroche...et je pleure ma lacheté.
Dim 06 Juin 2004, 20:06 par
personnel.et.confidentiel sur Un monde parfait
Réaction à "Un cadeau"
Réaction à "Un cadeau"
Je ne sais si c’est permis de commenter comme je vais le faire
mais je ne peux me retenir suite à la lecture de ce texte.
Je ne condamne aucune extra-conjugalité...
mais le contenu de ce texte, son fond,
c’est ce que je dirais sous-estimer grandement l’amour
en sous-estimant le rôle de la paternité
et du couple parental dans la culture d’un autre humain.
dieu que les femmes, (certaines) alourdissent le fléau humain! C’est ce que ce texte démontre à mon avis.
J’en frissonne! Ne pas vouloir assumer sa séquestration de femme participante et responsable d’une histoire affective mais vouloir d’une vie béquille à deux en devenant une femme-mère de « quelque chose qui soit lui », c’est se soumettre à une très mauvaise solution de rechange.
Enfin, il y a amplement d’enfants fait pour de mauvaises raisons et un souvenir c’est sans doute l’une des plus courantes de toutes. Bien non, c’est trop triste, l’enfant même mignon, ne bâti pas le bien-être d’une femme, il faut le dire. Non, non, non! La preuve; nous avons toutes vu des mères oubliées par leur conjoint. Étaient-elles épanouies pour avoir eu des enfants? Je sais je répète ce quelque chose que nous sommes toutes sensées savoir. Bref, donner la vie c’est plus complexe que cela! Et là cette femme exige un plus colossal panier de larmes au lieu de risquer mieux et de tendre mieux à un nouvel humain. Et puis si l’enfant naissait avec des débilités ... hein ? Elle le voudrait pour combien de temps « son quelque chose qui soit lui » ? Non vraiment, je suis triste pour elle, j’espère que lui, ce mec fera de sa sexualité « quelque chose » de plus responsable qu’elle... qu’il laissera pleurer cette maîtresse et qu’il dira NON! De toutes façons, si elle pleure autant, il va la quitter, c’est certain et on aura droit à un autre texte, d’une maîtresse avec un petit enfant dans les bras, délaissée pour une autre. Encore.
mOTSaRT
et pouis voilà:
La rue
J’ai 12 ans
Assis dans’rue
Arrêt du temps
Je suis sale, Ça pue
Maman, maman!
J’ai 15 ans
Je suis dans’rue
J’ prends plus de clients
Qui sont sales, qui puent
Bertrand, Roland!
J’ai 30 ans
J’en prends plus
J’ai pu de dents
Evoiye! J’ai pas bu
T’aurais pas un cen
Merci quand même!
J’ai 19 ans
J’ai un beau cul
Pis, trois enfants
J’hai la rue
Du vite fait pour l’argent…
J’ai 40 ans
Un vrai rebus
Un végétant
J’ai même pas de but
Je suis pas savant!
J’ai 62 ans
Comme une statue
Un débutant
Au coin de la Rue
Un survivant
Tout tremblotant!
J’ai 24 ans
Je restitue
C’est pas brillant
Les pattes tordues
Des grincements de dents!
J’ai 14 ans
Écus & Tape-cul
Pour un moment
Il a ben fallu
Amoureusement!
J’ai 36 ans
Tout un menu
Rétablissement
Et l’amour, j’ai jamais su!
J’ai 10 ans
On m’a battu
Un redressement
Je suis disparu
Bourgeoisement
J’ai 17 ans…
J’ai 41 ans…
J’ai 34 ans…
J’ai 34 ans… et je suis encore en dedans!
Je ne sais si c’est permis de commenter comme je vais le faire
mais je ne peux me retenir suite à la lecture de ce texte.
Je ne condamne aucune extra-conjugalité...
mais le contenu de ce texte, son fond,
c’est ce que je dirais sous-estimer grandement l’amour
en sous-estimant le rôle de la paternité
et du couple parental dans la culture d’un autre humain.
dieu que les femmes, (certaines) alourdissent le fléau humain! C’est ce que ce texte démontre à mon avis.
J’en frissonne! Ne pas vouloir assumer sa séquestration de femme participante et responsable d’une histoire affective mais vouloir d’une vie béquille à deux en devenant une femme-mère de « quelque chose qui soit lui », c’est se soumettre à une très mauvaise solution de rechange.
Enfin, il y a amplement d’enfants fait pour de mauvaises raisons et un souvenir c’est sans doute l’une des plus courantes de toutes. Bien non, c’est trop triste, l’enfant même mignon, ne bâti pas le bien-être d’une femme, il faut le dire. Non, non, non! La preuve; nous avons toutes vu des mères oubliées par leur conjoint. Étaient-elles épanouies pour avoir eu des enfants? Je sais je répète ce quelque chose que nous sommes toutes sensées savoir. Bref, donner la vie c’est plus complexe que cela! Et là cette femme exige un plus colossal panier de larmes au lieu de risquer mieux et de tendre mieux à un nouvel humain. Et puis si l’enfant naissait avec des débilités ... hein ? Elle le voudrait pour combien de temps « son quelque chose qui soit lui » ? Non vraiment, je suis triste pour elle, j’espère que lui, ce mec fera de sa sexualité « quelque chose » de plus responsable qu’elle... qu’il laissera pleurer cette maîtresse et qu’il dira NON! De toutes façons, si elle pleure autant, il va la quitter, c’est certain et on aura droit à un autre texte, d’une maîtresse avec un petit enfant dans les bras, délaissée pour une autre. Encore.
mOTSaRT
et pouis voilà:
La rue
J’ai 12 ans
Assis dans’rue
Arrêt du temps
Je suis sale, Ça pue
Maman, maman!
J’ai 15 ans
Je suis dans’rue
J’ prends plus de clients
Qui sont sales, qui puent
Bertrand, Roland!
J’ai 30 ans
J’en prends plus
J’ai pu de dents
Evoiye! J’ai pas bu
T’aurais pas un cen
Merci quand même!
J’ai 19 ans
J’ai un beau cul
Pis, trois enfants
J’hai la rue
Du vite fait pour l’argent…
J’ai 40 ans
Un vrai rebus
Un végétant
J’ai même pas de but
Je suis pas savant!
J’ai 62 ans
Comme une statue
Un débutant
Au coin de la Rue
Un survivant
Tout tremblotant!
J’ai 24 ans
Je restitue
C’est pas brillant
Les pattes tordues
Des grincements de dents!
J’ai 14 ans
Écus & Tape-cul
Pour un moment
Il a ben fallu
Amoureusement!
J’ai 36 ans
Tout un menu
Rétablissement
Et l’amour, j’ai jamais su!
J’ai 10 ans
On m’a battu
Un redressement
Je suis disparu
Bourgeoisement
J’ai 17 ans…
J’ai 41 ans…
J’ai 34 ans…
J’ai 34 ans… et je suis encore en dedans!
Jeu 03 Juin 2004, 02:28 par
mOTSaRT sur L'amour en vrac
De son côté à lui...
Les cheveux en bataille rejetés sur les épaules
ELLE est assise en tailleur sur le sol
Une feuille sur ses genoux, elle grifonne
Quelques phrases, quelques pardons, quelques je t’aime
Le coeur palpitant terré dans sa piaule
IL l’observe par dessus la rue, découvre son atoll
Suit le tracé de ses lettres, envie celui à qui elle se donne
Suit le tracé de ses lèvres, déteste cet être suprême.
Un mot qui se répète sans cesse, sans répit
ELLE voudrait qu’il le comprenne, le reprenne
Comme une même chanson, une promesse à jamais
Lui envoyer cette lettre, pour une fois, oser.
Une déchirure qui s’éternise, qui le ternit
IL voudrait qu’elle s’eprenne, le retienne
Comme une moitié, un toujours désormais
Lui avouer qu’il l’aime, pour une fois, traverser
Un soupir, encore, qui s’enfuit
ELLE n’en peut plus de celui qui vit
De l’autre coté de ses fenetres,
Qui jamais ne l’a vue, ignore l’emoi qui l’habite
Une envie, encore, qui l’envahit
IL n’en peut plus celle qui sourit
Tout au fond de son être
Qui jamais ne le voit, ne sait qu’il existe
ELLE a tourné son visage, IL l’a vue
ELLE a regardé ses fenêtres, l’a apercu
ELLE a fermé les yeux, l’a occulté
IL a espéré encore, rêvé...
Du bout des lèvres, IL lui: " Attendez..."
Un murmure dans le silence s’est fait entendre
Un frisson qui vient la pourfendre
Comme une vibration suave et tendre
Provenant d’un autre antre
Un dégoût monte de son ventre
Un revers qui lui donne envie de se pendre
Comme une brulure qui le réduit en cendres
Provenant de ce secret qu’elle doit apprendre ...
ELLE est assise en tailleur sur le sol
Une feuille sur ses genoux, elle grifonne
Quelques phrases, quelques pardons, quelques je t’aime
Le coeur palpitant terré dans sa piaule
IL l’observe par dessus la rue, découvre son atoll
Suit le tracé de ses lettres, envie celui à qui elle se donne
Suit le tracé de ses lèvres, déteste cet être suprême.
Un mot qui se répète sans cesse, sans répit
ELLE voudrait qu’il le comprenne, le reprenne
Comme une même chanson, une promesse à jamais
Lui envoyer cette lettre, pour une fois, oser.
Une déchirure qui s’éternise, qui le ternit
IL voudrait qu’elle s’eprenne, le retienne
Comme une moitié, un toujours désormais
Lui avouer qu’il l’aime, pour une fois, traverser
Un soupir, encore, qui s’enfuit
ELLE n’en peut plus de celui qui vit
De l’autre coté de ses fenetres,
Qui jamais ne l’a vue, ignore l’emoi qui l’habite
Une envie, encore, qui l’envahit
IL n’en peut plus celle qui sourit
Tout au fond de son être
Qui jamais ne le voit, ne sait qu’il existe
ELLE a tourné son visage, IL l’a vue
ELLE a regardé ses fenêtres, l’a apercu
ELLE a fermé les yeux, l’a occulté
IL a espéré encore, rêvé...
Du bout des lèvres, IL lui: " Attendez..."
Un murmure dans le silence s’est fait entendre
Un frisson qui vient la pourfendre
Comme une vibration suave et tendre
Provenant d’un autre antre
Un dégoût monte de son ventre
Un revers qui lui donne envie de se pendre
Comme une brulure qui le réduit en cendres
Provenant de ce secret qu’elle doit apprendre ...
Mer 05 Mai 2004, 17:20 par
la marquise de sade sur La séduction
De son côté à elle...
Allongé au soleil, les yeux fermés
IL aspire tout ce que le soleil a de beau
D’une main légère, il repousse ses quelques mèches
Qui descendent sur son front, frole ses yeux.
Cachée derrière sa fenêtre, dans l’ombre protégée
ELLE aspire à caresser du bout du souffle sa peau
D’un regard envieux, elle suit sa main de pêche
Qui laisse de larges sillons, replace ses cheveux.
Dans les premiers rayons de ce printemps précoce
IL a décidé de respirer la vie une nouvelle fois
D’oublier le stress de sa semaine de travail
De reprendre sa plume, guidé par les bruits de la ville.
Dans la pénombre de son petit appartement, une envie féroce
ELLE le voudrait rien qu’à elle, l’enlacer dans ses bras
Déposer sur son front un baiser, trouver la faille
L’aimer en plein jour, le rendre fébrile.
Entouré d’une olivier en pot, sur sa terrasse
IL griffonne quelques mots sur son cahier
Un début d’histoire, un poème, une romance
Une héroine comme il les aime, une belle, une muse.
Enfermée dans sa peur qui la terrasse
ELLE l’observe à la dérober, voudrait se manifester
Un coup d’oeil, un regard, juste voir son existence
Une ombre qu’on ne remarque pas, sa beauté qui s’use.
IL a souri, ELLE l’a vu
IL a regardé vers elle, l’a aperçue
IL a baissé les yeux, les a refermés
ELLE a rêvé encore, imaginé...
Du bout des doigts, ELLE lui envoit un baiser...
Un vent léger sur ses cheveux s’est posé
Une mèche le long de son front a glissé
Comme un souffle chaud et parfumé
Provenant de la rue, de l’autre côté...
Une nouvelle larme sur sa joue a coulé
Un revers de main l’a essuyée
Comme une pluie fine et glacée
Provenant de cet amour inavoué...
IL aspire tout ce que le soleil a de beau
D’une main légère, il repousse ses quelques mèches
Qui descendent sur son front, frole ses yeux.
Cachée derrière sa fenêtre, dans l’ombre protégée
ELLE aspire à caresser du bout du souffle sa peau
D’un regard envieux, elle suit sa main de pêche
Qui laisse de larges sillons, replace ses cheveux.
Dans les premiers rayons de ce printemps précoce
IL a décidé de respirer la vie une nouvelle fois
D’oublier le stress de sa semaine de travail
De reprendre sa plume, guidé par les bruits de la ville.
Dans la pénombre de son petit appartement, une envie féroce
ELLE le voudrait rien qu’à elle, l’enlacer dans ses bras
Déposer sur son front un baiser, trouver la faille
L’aimer en plein jour, le rendre fébrile.
Entouré d’une olivier en pot, sur sa terrasse
IL griffonne quelques mots sur son cahier
Un début d’histoire, un poème, une romance
Une héroine comme il les aime, une belle, une muse.
Enfermée dans sa peur qui la terrasse
ELLE l’observe à la dérober, voudrait se manifester
Un coup d’oeil, un regard, juste voir son existence
Une ombre qu’on ne remarque pas, sa beauté qui s’use.
IL a souri, ELLE l’a vu
IL a regardé vers elle, l’a aperçue
IL a baissé les yeux, les a refermés
ELLE a rêvé encore, imaginé...
Du bout des doigts, ELLE lui envoit un baiser...
Un vent léger sur ses cheveux s’est posé
Une mèche le long de son front a glissé
Comme un souffle chaud et parfumé
Provenant de la rue, de l’autre côté...
Une nouvelle larme sur sa joue a coulé
Un revers de main l’a essuyée
Comme une pluie fine et glacée
Provenant de cet amour inavoué...
Mer 05 Mai 2004, 15:55 par
la marquise de sade sur La séduction
Libertin
| Citation: |
| "Le coeur d’un libertin est fait comme une auberge,on y trouve à tout heure un grand feu bien nourri" Alfred de Musset |
Mon auberge sans être trois étoiles(un peu de symbolisme)
, se voudrait espagnole
et le meilleur moyen de la découvrir n’est-il pas d’en pousser la porte ?
Tout le monde est accepté, de la simple servante à la plus exquise marquise
Toutes, et une seule
| PetitPrince a écrit: |
| "le libertin, c’est celui qui les aime toutes, sans appartenir à aucune". |
C’est celui qui les aime toutes..
Qui décele dans chaque femme sa beauté
Qui comprend ses attentes et ses désirs inavoués
Qui les aime pour ce qu’elles sont et non pour ce qu’on voudrait qu’elles soient dans la société
Qui prouve à chacune d’elles, qu’elle est la seule et l’unique par sa seule volonté
Qui n’a d’yeux que pour elle, l’espace d’un instant, l’espace d’un baiser volé
Qui l’a prend dans son entièreté, sans jamais rien lui reprocher
Qui sait la faire jouir, la faire crier
Qui sait la faire sourire, la faire pleurer
Qui sait la faire rêver, la consoler
C’est celui qui connait le mieux les femmes, parce qu’elles sont différentes, toutes...
Sam 10 Avril 2004, 01:58 par
la marquise de sade sur Citations
C'est toujours la première fois
Elle était là, belle, souriante... charmante
! Tranquille, belle inconnue entourée de la faune locale.
Et moi pauvre misérable, je ne voyais plus qu’elle
...
C’est mon jour de chance, on me présente.
Balbutiements, banalités, et puis c’est soudain un cocon qui se forme. Plus rien n’est comme avant, le temps s’arrête, on est nombreux mais plus que deux au monde... Comme deux amis connus depuis toujours, rires et sérieux, pics et touches se multiplient à l’infini... Le bien-être m’envahit et je ne souhaite plus que cela s’arrête...
Malheureusement, la réalité frappe à la porte et c’est le départ! Triste d’une fin, mais heureux d’un commencement.
Nous nous retrouvons occasionnellement, pour retourner dans ce cocon ou plus rien n’a d’importance que notre complicité... Avec cette impatience de l’adolescent qui voudrait la prendre dans ses bras pour lui offrir toutes les vagues d’amour qui submergent son coeur et sa tête, mais aussi avec la sagesse de l’ancêtre profitant de l’instant présent tellement précieux qu un geste trop brusque puisse briser le joyau...
Et chaque fois est comme une première fois... Comme si je ne connaissais rien d’autre.
Dans la passion il n y a pas de raison il n’y a qu’un commencement... mais un commencement infini!
En espérant la suite...
! Tranquille, belle inconnue entourée de la faune locale. Et moi pauvre misérable, je ne voyais plus qu’elle
... C’est mon jour de chance, on me présente.
Balbutiements, banalités, et puis c’est soudain un cocon qui se forme. Plus rien n’est comme avant, le temps s’arrête, on est nombreux mais plus que deux au monde... Comme deux amis connus depuis toujours, rires et sérieux, pics et touches se multiplient à l’infini... Le bien-être m’envahit et je ne souhaite plus que cela s’arrête...
Malheureusement, la réalité frappe à la porte et c’est le départ! Triste d’une fin, mais heureux d’un commencement.
Nous nous retrouvons occasionnellement, pour retourner dans ce cocon ou plus rien n’a d’importance que notre complicité... Avec cette impatience de l’adolescent qui voudrait la prendre dans ses bras pour lui offrir toutes les vagues d’amour qui submergent son coeur et sa tête, mais aussi avec la sagesse de l’ancêtre profitant de l’instant présent tellement précieux qu un geste trop brusque puisse briser le joyau...
Et chaque fois est comme une première fois... Comme si je ne connaissais rien d’autre.
Dans la passion il n y a pas de raison il n’y a qu’un commencement... mais un commencement infini!
En espérant la suite...
Jeu 08 Avril 2004, 13:21 par
Loyd sur La première fois
Elle
Il la contemple depuis longtemps, n’osant approcher,
Essaye d’attirer son regard, sans jamais y croire
Pourtant il la désire mais ne peut que la respirer.
Il voudrait la toucher mais ne peut rien en faire
Car elle est telle une rose noire,
Ne pouvant être prise sans manquer d’air.
Il souhaiterait lui ôter ses épines.
Ne sachant que faire des questions qui le turlupinent
Alors il la regarde, la respire.
Et puis… il se lance tel un héros
Qui court vers une bataille déjà perdue,
Sentant alors son âme se briser en morceaux,
Tel un coup de hache dans une chair bien charnue.
Pensant aussi son cœur alors fendu,
Tel un homme transpercé par une lance de cavalier,
Il revient à ses premiers débuts
Ne pouvant espérer qu’une chose…l’adorer.
Essaye d’attirer son regard, sans jamais y croire
Pourtant il la désire mais ne peut que la respirer.
Il voudrait la toucher mais ne peut rien en faire
Car elle est telle une rose noire,
Ne pouvant être prise sans manquer d’air.
Il souhaiterait lui ôter ses épines.
Ne sachant que faire des questions qui le turlupinent
Alors il la regarde, la respire.
Et puis… il se lance tel un héros
Qui court vers une bataille déjà perdue,
Sentant alors son âme se briser en morceaux,
Tel un coup de hache dans une chair bien charnue.
Pensant aussi son cœur alors fendu,
Tel un homme transpercé par une lance de cavalier,
Il revient à ses premiers débuts
Ne pouvant espérer qu’une chose…l’adorer.
Mer 07 Avril 2004, 23:55 par
Rose sur L'amour en vrac
Monde parfait
Que voilà une marquise glacée et complètement désabusée
Autour de toi il faut regarder
Et certainement tu trouveras de la sérénité
Et je suis sûr même de l’amitié
Entre les lignes parfois il faut regarder
Et savoir y trouver parfois un peu de félicité
Car est-ce que partout, tu as bien regardé
Car le soleye, voudrait bien t’éclairer
A défaut de pouvoir se déclarer...
Autour de toi il faut regarder
Et certainement tu trouveras de la sérénité
Et je suis sûr même de l’amitié
Entre les lignes parfois il faut regarder
Et savoir y trouver parfois un peu de félicité
Car est-ce que partout, tu as bien regardé
Car le soleye, voudrait bien t’éclairer
A défaut de pouvoir se déclarer...
Sam 03 Avril 2004, 11:18 par
soleye sur Un monde parfait
Retour au bureau
Si je la vois le matin, c’est irrémédiable: la journée est foutue.
C’est idiot, je pourrais faire semblant, utiliser un ton social impersonnel, lui demander comment ça va sans en avoir rien à faire, et tout ça et tout ça. Mais non ça ne passe pas.
Je lui dit bonjour et son éclat me brûle, mon cœur s’emballe et il faut que je donne le change, si possible en essayant de faire progresser les choses où d’en prendre la mesure. Je suis à peine capable de lui dire bonjour…
Ce sentiment d’échec me mine, non pas parce que je ne gagne pas, mais parce que je suis peut-être en train de perdre. Je me dis qu’au moins je fais passer un message bien malgré moi. Ma gène ne doit pas être invisible surtout aux yeux d’une femme, qui, à mon sens, doit savoir repérer ça. C’est amusant, je me doutais qu’après cette soirée, où finalement on s’est un peu rencontré, nos bonjours seraient emprunts de cette même gène qui se dégageait quand on se rencontrait dans les couloirs. Comme j’aurais préféré avoir tort. Comme j’aurais préféré. Je me dis que si à ce stade, il fallait se dévoiler, ce serait quasi impossible. Trop violent. Il manque cette multitude de petits repères qui permettent de prendre la mesure de l’autre, de savoir où il en est dans ses émotions et de faire ou dire ce qu’il faut pour rester dans son sillage. Je veux quand même croire qu’il n’est nul besoin de petits repères pour savoir que chacun de nous à localisé l’autre sur son petit radar affectif. Je ne dis pas ici que nous convergeons vers une hypothétique liaison, mais plutôt que je sais qu’elle sait. Ce que je ne sais pas, c’est si elle veut.
Et c’est ça qui m’empêche de dormir et c’est ça qui est bon. Ce doute, que finalement je ne veux pas lever violemment que je veux supposer stupide comme tous ces doutes d’amoureux, ce doute je veux que nous le dissipions ensemble. Que main dans la main, nous nous attelions à cette tâche, de la façon la plus belle qu’il soit. En somme, c’est mon impatience qui me rend malheureux, pas elle. Sera-t-elle s’en servir, mais surtout voudra-t-elle le voir ? Fasse que si elle le veuille, elle comprenne les milliards d’erreurs que je vais faire. Et pour comprendre il faut connaître. Mais pourquoi est ce qu’on ne prend pas des jours de vacances qu’on se concocte un petit programme en tout bien tout honneur. Juste pour se connaître. Ca serait doux. Si ça colle pas on s’en rendrait compte doucement et ça ne ferait pas mal. Et si ça colle, on éclairerait tout doucement les zones d’ombre à la flamme de notre désir.
Ca, c’est un rêve. La réalité est toute autre. Se connaître sera possible par le biais de rencontres informellements organisées. Ce genre de soirée ou on vient pour un motif qui est totalement différent de celui qui nous anime. Un motif derrière lequel on peut se cacher, se protéger. A ce moment il faut peut-être utiliser un vocabulaire ambigu, au milieu de gens dont on veut cacher notre réelle motivation. Quel paradoxe ! Etre obligé de cacher ce que l’on voudrait voir éclater au grand jour. Et vu comment je suis volubile quand je l’ai devant moi, c’est pas gagné du tout. Je me suis rendu compte que mes extrapolations me menaient sur des sentiers hasardeux, où l’illusion se jouait de moi, me prenait dans ses bras, pour me rendre à cette réalité trop froide ensuite. Alors je ne veux plus espérer, ça fait mal. Je veux juste rêver. Juste imaginer ce que pourrait générer la satisfaction du besoin qui me ronge.
Si auparavant mes erreurs me la faisaient percevoir comme promise, mon recalage me la fait voir comme possible.
Et mon cœur s’emballe de la même façon.
C’est idiot, je pourrais faire semblant, utiliser un ton social impersonnel, lui demander comment ça va sans en avoir rien à faire, et tout ça et tout ça. Mais non ça ne passe pas.
Je lui dit bonjour et son éclat me brûle, mon cœur s’emballe et il faut que je donne le change, si possible en essayant de faire progresser les choses où d’en prendre la mesure. Je suis à peine capable de lui dire bonjour…
Ce sentiment d’échec me mine, non pas parce que je ne gagne pas, mais parce que je suis peut-être en train de perdre. Je me dis qu’au moins je fais passer un message bien malgré moi. Ma gène ne doit pas être invisible surtout aux yeux d’une femme, qui, à mon sens, doit savoir repérer ça. C’est amusant, je me doutais qu’après cette soirée, où finalement on s’est un peu rencontré, nos bonjours seraient emprunts de cette même gène qui se dégageait quand on se rencontrait dans les couloirs. Comme j’aurais préféré avoir tort. Comme j’aurais préféré. Je me dis que si à ce stade, il fallait se dévoiler, ce serait quasi impossible. Trop violent. Il manque cette multitude de petits repères qui permettent de prendre la mesure de l’autre, de savoir où il en est dans ses émotions et de faire ou dire ce qu’il faut pour rester dans son sillage. Je veux quand même croire qu’il n’est nul besoin de petits repères pour savoir que chacun de nous à localisé l’autre sur son petit radar affectif. Je ne dis pas ici que nous convergeons vers une hypothétique liaison, mais plutôt que je sais qu’elle sait. Ce que je ne sais pas, c’est si elle veut.
Et c’est ça qui m’empêche de dormir et c’est ça qui est bon. Ce doute, que finalement je ne veux pas lever violemment que je veux supposer stupide comme tous ces doutes d’amoureux, ce doute je veux que nous le dissipions ensemble. Que main dans la main, nous nous attelions à cette tâche, de la façon la plus belle qu’il soit. En somme, c’est mon impatience qui me rend malheureux, pas elle. Sera-t-elle s’en servir, mais surtout voudra-t-elle le voir ? Fasse que si elle le veuille, elle comprenne les milliards d’erreurs que je vais faire. Et pour comprendre il faut connaître. Mais pourquoi est ce qu’on ne prend pas des jours de vacances qu’on se concocte un petit programme en tout bien tout honneur. Juste pour se connaître. Ca serait doux. Si ça colle pas on s’en rendrait compte doucement et ça ne ferait pas mal. Et si ça colle, on éclairerait tout doucement les zones d’ombre à la flamme de notre désir.
Ca, c’est un rêve. La réalité est toute autre. Se connaître sera possible par le biais de rencontres informellements organisées. Ce genre de soirée ou on vient pour un motif qui est totalement différent de celui qui nous anime. Un motif derrière lequel on peut se cacher, se protéger. A ce moment il faut peut-être utiliser un vocabulaire ambigu, au milieu de gens dont on veut cacher notre réelle motivation. Quel paradoxe ! Etre obligé de cacher ce que l’on voudrait voir éclater au grand jour. Et vu comment je suis volubile quand je l’ai devant moi, c’est pas gagné du tout. Je me suis rendu compte que mes extrapolations me menaient sur des sentiers hasardeux, où l’illusion se jouait de moi, me prenait dans ses bras, pour me rendre à cette réalité trop froide ensuite. Alors je ne veux plus espérer, ça fait mal. Je veux juste rêver. Juste imaginer ce que pourrait générer la satisfaction du besoin qui me ronge.
Si auparavant mes erreurs me la faisaient percevoir comme promise, mon recalage me la fait voir comme possible.
Et mon cœur s’emballe de la même façon.
Mer 04 Fév 2004, 10:57 par
PetitPrince sur L'amour en vrac
Re: auteur inconnu
| odyyyyy a écrit: |
| Que demander de plus à Dieu qu’un enfant qui soit votre semblable et qui garde à jamais l’empreinte de votre amour |
un enfant qui soit mon semblable?
Tant de parents tentent de faire une copie d’eux-même sur leurs enfants, de leur offrir tout, surtout, tout ce qu’ils n’ont jamais pu avoir.. parfois même si ce n’est pas ce que l’enfant voudrait ... Qu’il soit mon semblable, non, je ne le veux pas, qu’il soit simplement lui-même c’est tellement mieux...
Par contre, j’espère que mon amour lui donnera la force et le plaisir d’accepter ce qu’il est et de le vivre pleinement chaque seconde ...
La marquise.. maman..et oui! qui l’eut cru !
Jeu 06 Nov 2003, 08:36 par
la marquise de sade sur Citations
Juste des premières fois ...
La première fois est à ce que nous disent nos mères et professeurs, la fois la plus importante, celle qui nous guidera pour l’avenir, celle qui nous fera découvrir l’Amour, le Plaisir, et blabla bla ...
La première fois pourtant ressemble bien souvent plus au passage de l’exam de philo pour le bac! On est maladroit, tremblant, inexpérimenté, on voudrait faire, mais on n’ose pas, on ne sait pas, on ne veut pas décevoir ...
Il faudra attendre la deuxième, la troisième voire la quatrième fois pour enfin être soi-meme, enfin oser demander et agir, prendre du plaisir et découvrir que l’on peut en donner.
Et puis chaque nouveau partage n’est-il pas une première fois? Tout homme et toute femme est différent. Chacun apporte une nouveauté, une nouvelle douceur, une nouvelle découverte...
J’aime les première fois... toutes les premières fois du passé, et toutes celles de l’avenir.. la seule que j’ai oublié.. c’est la première ...
La marquise de sade ou de qui vous voudrez...
La première fois pourtant ressemble bien souvent plus au passage de l’exam de philo pour le bac! On est maladroit, tremblant, inexpérimenté, on voudrait faire, mais on n’ose pas, on ne sait pas, on ne veut pas décevoir ...
Il faudra attendre la deuxième, la troisième voire la quatrième fois pour enfin être soi-meme, enfin oser demander et agir, prendre du plaisir et découvrir que l’on peut en donner.
Et puis chaque nouveau partage n’est-il pas une première fois? Tout homme et toute femme est différent. Chacun apporte une nouveauté, une nouvelle douceur, une nouvelle découverte...
J’aime les première fois... toutes les premières fois du passé, et toutes celles de l’avenir.. la seule que j’ai oublié.. c’est la première ...
La marquise de sade ou de qui vous voudrez...
Dim 02 Nov 2003, 13:49 par
la marquise de sade sur La première fois
Ecrire sur voudrait
Ma voisine, Quelques jours, Lacheté, Réaction à "Un cadeau", De son côté à lui..., De son côté à elle..., Libertin, Toutes, et une seule, C'est toujours la première fois, Elle, Monde parfait, Retour au bureau, Re: auteur inconnu, Juste des premières fois ..., Il y a 59 textes utilisant le mot voudrait. Ces pages présentent les textes correspondant.
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Madeleine Monette.
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