Peinarde !

Aujourd’hui, j’ai entendu chanter le coucou. Enfin il me semble. J’étais complètement à l’ouest. J’avais pas mal fumé la moquette faut dire !
Il parait que quand t’entends chanter le coucou, si t’as du fric dans ta poche, ça rapporte gros. Peu de temps après tu te trouves pété de thunes.
Moi, ça m’est jamais arrivé. Je suis souvent plutôt raide côté pognon. Pourtant j’en rêverais d’être pleine aux as pour pouvoir enfin me dorer la pilule au soleil des tropiques !
ça me rappelle Marcel. J’avais le béguin pour ce mec. Seulement, j’en tenais une couche pour ne même pas voir qu’il était méchant comme la gale.
J’ai compris le jour où il s’est radiné avec une gonzesse maquillée comme une voiture volée. J’ai voulu lui demander des comptes à cette perruche mais elle s’est mise à faire sa mijaurée. Et le Marcel, il m’a dit :
- Dégage, c’est pas tes oignons !
En soupe au lait, je me suis mise en pétard, puis je me suis dégonflée. Je suis partie en chialant.
Heureusement que notre histoire elle a fait pschitt ! J’étais pas de taille à me tirer la bourre avec d’autres femelles, surtout pour un type comme Marcel !
Aujourd’hui, je suis peinarde, j’écoute le chant du coucou.
Mer 22 Juin 2016, 00:36 par FB sur Histoires d'amour

La rencontre tant attendue ( modification)

[size=24]On s’est enfin donné rendez-vous, au parc de la tête d’or, depuis le temps que j’attends ce moment. Mais avant, il me faut conter l’histoire et revenir sur mes pas.



C’était il y a si longtemps. Quinze longues années s’étaient écoulées depuis notre dernière rencontre, lorsque par un jour de chance ou de mystère je ne saurais jamais, j’ai pu admirer la photographie d’une magnifique blonde en couverture d’un célèbre magazine de mode posé sur la table basse d’une salle d’attente, celle de mon médecin traitant plus précisément. Je sursautais « Mais ce n’est pas possible elle ressemble tant à Emma »: m’étais-je dit, alors. Intrigué et pour en avoir le cœur net, j’ai appelé l’agence de mannequinat où elle travaillait et dont le nom était inscrit en bas de page.

Ce fut très difficile de convaincre la rédactrice en chef qui rétive ne voulait pas me transmettre ses coordonnées. Je dus donc lui proposer de lui transmettre les miennes allant pour cela jusqu’à la supplier. Par bonheur elle céda devant mon regard de chien battu et mes explications désespérées, et conclut en me promettant qu’elle lui communiquerait mon numéro de portable.



Je me souviens toujours d’Emma au temps où nous fréquentions le même collège, avant que ses parents ne déménageassent. C’était une adorable blondinette dont j’étais à l’époque profondément amoureux. Elle avait de magnifiques yeux gris ardoise, et deux nattes superbes qui pendaient longuement de chaque côté de son joli minois. Elle était espiègle, une petite chipie, mais toujours prête à défendre les plus faibles.



Un matin où la chance se trouvait au rendez-vous de mes attentes, le portable sonna. C’était elle ! Comme d’un coup de tonnerre mon cœur ce mit à battre à tout rompre. Je perdais presque pied, mais ayant gardé encore un peu de lucidité, je pus lui parler sans trop bafouiller. Au tout début de la conversation, elle marqua sa surprise et me demanda comment j’avais fait pour la retrouver. Je lui expliquais alors le magazine et ma surprise devant la photo, puis je développais la suite. Par contre je fus sensible au fait qu’elle se souvenait toujours de moi et cela m’enchanta. Alors nous nous mîmes à évoquer les années passées, ces années d’enfance où l’on s’était si bien connu. Puis chemin faisant, s’installa une conversation plus intime durant laquelle mon cœur ne cessait de palpiter si fort que j’en suffoquais. Ce n’était pas bien grave, puisque par chance, cela ne transparaissait au téléphone. Elle se mit alors à me raconter sa vie qui n’avait pas été si facile ses dernières années et bien moins que l’on eût pu l’imaginer. Qu’elle n’avait pas pu avoir d’enfant à la suite d’un cancer de l’utérus heureusement totalement guéri, puis un divorce douloureux d’avec un pervers narcissique qui lui avait pourri la vie cinq ans durant. Bref elle se confiait à moi et ne s’arrêtait plus tant et tant que j’eus cet étrange sentiment qu’elle serait ma future femme. De mon côté je ne savais par où commencer. Que ma vie était morne et calme, que j’étais toujours célibataire et sans enfants. Elle avait l’air étonné, et me confia tout de go qu’à l’époque, elle avait été amoureuse de moi, et je l’entendis qui en rigolait sans en être aucunement gênée. Non là jamais ! Mais jamais je n’aurai pu imaginer entendre cela. Il est vrai que j’étais à l’époque un garçon plutôt timide qui rêvait d’elle secrètement tout en m’inventant des romans, du style prince charmant sauvant la princesse aux nattes blondes.

Après de longues, elle me dit qu’elle a des choses à faire qu’elle était au regret de me laisser. Alors avant de raccrocher, je parvins à lui demander s’il l’on pouvait se rencontrer. Elle me répondit pourquoi pas ? Rendez-vous fut pris au parc de la tête d’or.





Et aujourd’hui, je suis arrivé au lieu du rendez-vous. J’appréhende, un peu, et je pense qu’elle aussi. Enfin on verra bien. Afin de nous reconnaitre, nous avions convenu que je tiendrais une fleur dans ma main... Et pas n’importe quelle fleur. La reine des fleurs. Une rose. Une rose d’une belle robe foncée, tirant presque au noir. Elle pour sa part devait s’habiller en rouge



À présent j’attends assis sur un banc assis, regardant à droite puis à gauche, puis en scrutant au loin

Je regarde ma montre, déjà cinq minutes de retard. J’aime la ponctualité, ne supporte pas les personnes qui ne le sont pas, mais malgré tout je patiente souhaitant vraiment la revoir.

Elle arrive enfin, avec ce sourire charmeur, ses cheveux couleur miel, qui flottent librement sur ses épaules, mais je ne me rappelais plus qu’elle était aussi grande, comme quoi les photos et les souvenirs sont trompeurs. Elle me tend les bras, la première, et j’accepte volontiers son geste en la serrant contre moi



Elle porte comme convenu une magnifique robe rouge éclatante........ Une beauté à en couper le souffle. [/size]
Lun 05 Oct 2015, 18:06 par caressedesyeux sur Histoires d'amour

Au parc de la tête d’or





On s’est enfin donné rendez-vous, au parc de la tête d’or, depuis le temps que j’attends ce moment. Mais avant, il me faut conter l’histoire et revenir sur mes pas.



C’était il y a si longtemps. Quinze longues années s’étaient écoulées depuis notre dernière rencontre, lorsque par un jour de chance ou de mystère je ne saurais jamais, j’ai pu admirer la photographie d’une magnifique blonde en couverture d’un célèbre magazine de mode posé sur la table basse d’une salle d’attente, celle de mon médecin traitant plus précisément. Je sursautais « Mais ce n’est pas possible elle ressemble tant à Emma »: m’étais-je dit, alors. Intrigué et pour en avoir le cœur net, j’ai appelé l’agence de mannequinat où elle travaillait et dont le nom était inscrit en bas de page.

Ce fut très difficile de convaincre la rédactrice en chef qui rétive ne voulait pas me transmettre ses coordonnées. Je dus donc lui proposer de lui transmettre les miennes allant pour cela jusqu’à la supplier. Par bonheur elle céda devant mon regard de chien battu et mes explications désespérées, et conclut en me promettant qu’elle lui communiquerait mon numéro de portable.



Je me souviens toujours d’Emma au temps où nous fréquentions le même collège, avant que ses parents ne déménageassent. C’était une adorable blondinette dont j’étais à l’époque profondément amoureux. Elle avait de magnifiques yeux gris ardoise, et deux nattes superbes qui pendaient longuement de chaque côté de son joli minois. Elle était espiègle, une petite chipie, mais toujours prête à défendre les plus faibles.



Un matin où la chance se trouvait au rendez-vous de mes attentes, le portable sonna. C’était elle ! Comme d’un coup de tonnerre mon cœur ce mit à battre à tout rompre. Je perdais presque pied, mais ayant gardé encore un peu de lucidité, je pus lui parler sans trop bafouiller. Au tout début de la conversation, elle marqua sa surprise et me demanda comment j’avais fait pour la retrouver. Je lui expliquais alors le magazine et ma surprise devant la photo, puis je développais la suite. Par contre je fus sensible au fait qu’elle se souvenait toujours de moi et cela m’enchanta. Alors nous nous mîmes à évoquer les années passées, ces années d’enfance où l’on s’était si bien connu. Puis chemin faisant, s’installa une conversation plus intime durant laquelle mon cœur ne cessait de palpiter si fort que j’en suffoquais. Ce n’était pas bien grave, puisque par chance, cela ne transparaissait au téléphone. Elle se mit alors à me raconter sa vie qui n’avait pas été si facile ses dernières années et bien moins que l’on eût pu l’imaginer. Qu’elle n’avait pas pu avoir d’enfant à la suite d’un cancer de l’utérus heureusement totalement guéri, puis un divorce douloureux d’avec un pervers narcissique qui lui avait pourri la vie cinq ans durant. Bref elle se confiait à moi et ne s’arrêtait plus tant et tant que j’eus cet étrange sentiment qu’elle serait ma future femme. De mon côté je ne savais par où commencer. Que ma vie était morne et calme, que j’étais toujours célibataire et sans enfants. Elle avait l’air étonné, et me confia tout de go qu’à l’époque, elle avait été amoureuse de moi, et je l’entendis qui en rigolait sans en être aucunement gênée. Non là jamais ! Mais jamais je n’aurai pu imaginer entendre cela. Il est vrai que j’étais à l’époque un garçon plutôt timide qui rêvait d’elle secrètement tout en m’inventant des romans, du style prince charmant sauvant la princesse aux nattes blondes.

Après de longues, elle me dit qu’elle a des choses à faire qu’elle était au regret de me laisser. Alors avant de raccrocher, je parvins à lui demander s’il l’on pouvait se rencontrer. Elle me répondit pourquoi pas ? Rendez-vous fut pris au parc de la tête d’or.





Et aujourd’hui, je suis arrivé au lieu du rendez-vous. J’appréhende, un peu, et je pense qu’elle aussi. Enfin on verra bien. Afin de nous reconnaitre, nous avions convenu que je tiendrais une fleur dans ma main... Et pas n’importe quelle fleur. La reine des fleurs. Une rose. Une rose d’une belle robe foncée, tirant presque au noir. Elle pour sa part devait s’habiller en rouge



À présent j’attends assis sur un banc assis, regardant à droite puis à gauche, puis en scrutant au loin

Je regarde ma montre, déjà cinq minutes de retard. J’aime la ponctualité, ne supporte pas les personnes qui ne le sont pas, mais malgré tout je patiente souhaitant vraiment la revoir.

Elle arrive enfin, avec ce sourire charmeur, ses cheveux couleur miel, qui flottent librement sur ses épaules, mais je ne me rappelais plus qu’elle était aussi grande, comme quoi les photos et les souvenirs sont trompeurs. Elle me tend les bras, la première, et j’accepte volontiers son geste en la serrant contre moi



Elle porte comme convenu une magnifique robe rouge éclatante........ Une beauté à en couper le souffle.
Lun 05 Oct 2015, 16:32 par caressedesyeux sur Histoires d'amour

Dans l'armoire

Dans l’armoire

Tu ouvres les portes de ton armoire
Comme on ouvre un livre ancien
Et ton regard s’attarde sur cette mémoire
Sans dire un mot, tu te souviens
De cette belle anatomie de femme
de ses jolies courbes de sa peau veloutée
De ce corps au doux toucher ferme
Qu’on dirait une belle pêche sucrée

Cette belle robe tendre, chaude et blanche
Si douce que tu mordrais si bien dedans
L’envie de sentir tes mains sur ses hanches
Sur lesquelles tu t’accrocherais le temps,
D’imprégner ses formes dans ta mémoire,
Afin que, rien qu’en fermant les yeux ,
Tu revoies les détails de ce tableau délicieux
Que tu gardes en rêve dans cette armoire
Et dont le souvenir reste si entier
Dans cet écrin de bois de rose
Que tues capable de la coucher sur papier
Tant tu te souviens de si belles choses.

Mais il te faut la refermer à présent
Car une femme est la qui t’attend
Qui, de part de sa bonté,et de sa générosité,
De part cette envie de t’aimer, et d’être aimée.
De part toute sa douceur et de sa tendresse
Par des tendres caresses et des doux baisers
De son amour effacerait cette tristesse
Rendant ton esprit et ton cœur plus légers.
Peux tu faire une place dans ta pensée
Aux tendres souhaits d’un si bel ange?
Un parfum de patchouli qui trainerait dans ton linge
Qui prendrait la place de lavande desséchée

Petit , discret, rangé dans son petit sachet,
Comme cette femme qui t’aime tellement
Et dont tu respireras l’effluve si intensivement
Que tu gouteras au bonheur parfait
Cette flagrance qui te rappellera
Que je suis ta nouvelle histoire
Que je serai toujours la pour toi
Que tu peux refermer l’armoire
Sur ta bouche, je poserai mon doigt,
Savourons ce nouvel émoi
Te sourirai, je te comprends si bien....
Chut! ne dis plus rien
Ven 17 Jan 2014, 21:26 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

L'amour est-il un crime ? chapitre 2

Bonsoir ^^ je remercie inlove pour son commentaire qui ma fait très plaisir :) donc voila le chapitre 2.

Chapitre 2 : Accident et sentiment


Point de vue Michiru.


Brr, qu’es ce qu’il peut faire froid ce matin, je me réveille, et me redresse avec un mal de dos horrible, je me lève, et secou ma tenue qui était plein d’herbe. Je me cache afin que personne ne me voie, et m’habille en vitesse, il ne fallait pas que je soit en retard. Je prend mon sac, et une fois chaussée, je parti direction le lycée.

Ah... Mais qu’es ce qui m’arrive ? Je me sens bizarre d’un coup ma tête me fait atrocement mal, et ma vision se trouble, il faut que j’arrive à tenir sinon je....


Voix off.

Vite emmener la au bloc, il faut d’urgence l’opérer !
Très bien !!!!

Point de vue Haruka.


Alors que je m’installe à mon bureau, j’attends les élèves, tout en repensant à Michiru que j’ai vue hier sous ce pont, je comprend pourquoi elle n’a rien voulut me dire hier, mais tout de même cette histoire m’intrigue, comme il me resté encore quelques minutes je décide d’assouvir ce savoir que je voulais comprendre, je sort le dossier de Michiru que Betty ma passé hier. Je pose ce dernier sur la table, et l’ouvre.

Mes yeux commencent à longer le long des lignes buvant avec effroi les quelques phrases, concernant Michiru qui était assez sanglant.


Moi * Alors que Katsuke Kaio sort tout juste de prison, il revint à la charge chez lui menaçant sa femme de la tuer si elle ne lui remettait pas la petite Michiru qui n’a que 2 ans. La pauvre petite c’est vue aller dans plusieurs famille d’accueil, mais à chaque fois elle se faisait rejeter. Le 11 décembre Katsuke commis un second meurtre celui de Takana Kaio la mère de Michiru...

Tout au long de ma lecture, je sent soudainement les larmes me monter aux yeux, ma main se plaque sur ma bouche, et je continue de lire le cœur serrer.

Moi * Michiru vint voir la police municipal de la ville portant plainte contre son père qui la maltraiter lui offrant plusieurs coups de ceintures, et de gifle. Le 23 janvier : Katsuke fut arrêté pour avoir violé sa propre fille après l’avoir drogué *

Non... Sa... Sa ne peux pas être ... je ne peux pas y croir, la pauvre ... Mon cœur cogne violemment dans ma poitrine, j’ai mal à l’estomac, et mes larmes me menace de couler. Mon corps se met à trembler, pourquoi cacher un si lourd secret en soie ... Je savais qu’hier j’aurais dû aller la voir sous ce pont. Des images ou je la voie hurler de douleur sous les coups violent de ce monstre défile dans ma tête. Des voix se fait retentir, les élèves commencent à arriver.

J’essuie une petite larme, et repris mon sang froid. Je me lève, et commence à écrire sur le tableau. Écrivant des exercices sur cet immense rectangle blanc.


Moi : bon eh bien ... Veuillez me recopier ce que j’ai écrit en silence ... Aller au travail !

Je reprend place sur ma chaise, et je vint parcourir le dossier, je voulais en savoir plus sur elle, en savoir plus pour pouvoir l’aider et la soutenir du mieux que je peux même si je ne suis que son professeur et sa tutrice, je voulais à ce moment là être avec elle.

Soudain la porte s’ouvre, laissant place au directeur. Sous mon ordre, tous se lève afin de le saluer.


Directeur : merci, reprenait votre travaille !

Le directeur m’emmène dans le couloir, il ferme la porte gardant sa main sur la poignet, il avait un air grave et affolé à la fois, je me demande se qui se passe.

Directeur – Haruka, un terrible accident viens de se produir !
Moi – de quel accident parlez-vous ?

Il commence vraiment à m’inquiéter. Sa voix est tremblante, et ses yeux trahis toute ses émotions.

Directeur – l’hôpital ma appelé la petite Michiru c’est fait renverser par un camion, le conducteur apparemment ivre. Elle est entrée en bloc opératoire c’est ignoble, tout se qui lui est arrivé, je me demande si cette petite sera un jour heureuse.

Non ... Pas sa, je respire un grand coup et retiens mes larmes qui se font de plus en plus nombreuse et prenante. Je voie les mains du directeur prendre les miennes, et sa voix encore plus tremblante que tout à l’heure résonne.


Directeur – Haruka s’il vous plais, rendez moi cet immense service et allait la voir, Michiru a besoin dès à présent de soutien, et de personne qui l’aime. Je vous met en congé pendant quelques jours afin que vous puissiez vous occuper d’elle.


Je ne le laisse pas poursuivre, que je m’élance vers la sortie en courant. Sprintant à toute allure vers la sortie du lycée. Une fois dehors, je me dirige vers ma voiture, enfonce la clés dans la petite fente, m’attache, et après avoir fait une marche arrière rapide faisant crisper les roues, je parti direction l’hôpital. Pourquoi cela dois lui arriver ? Je ne la connais que depuis hier certe, mais j’ai cette envie de la protéger et l’aimer. L’amour, ce sentiment que j’avais banni pour des raisons personnelle a refait surface, me diriez-vous, mais c’est impossible de tomber amoureuse dès le premier jour, je suis tout à fait d’accord avec sa, mais je ne sais pas, il y a ce quelque chose en moi qui fait que je me sens attirer par Michiru. Serait-je en train de ... De tomber amoureuse ? Je ne sais pas et cela m’effraie un peu. Arrivé à l’hôpital, je me gare, me détache rapidement, et sort du bolide et enclenche l’alarme. Je me dirige donc et toujours en courant, vers l’entrée de l’établissement. Une fois à l’intérieur, je me dirige vers l’accueil et demande :


Moi – bonjour, seriez-vous où je pourrais trouver la chambre de Michiru Kaio s’il vous plais !
Secrétaire – vous êtes ?
Moi – son professeur ainsi que sa tutrice.
Secrétaire – euh... Oui vous monté au troisième étage, c’est la chambre 378 !
Moi – merci bien !


Et dans le calme cette fois ci je me dirige vers l’ascenseur. Une fois à l’intérieur, je presse le bouton 3, et la machine se mit à monter. Rah bon sang, pourquoi aie-je cette peur qu’elle soit ... Je ne pensait pas tenir autant à elle alors que sa ne fait que deux jours seulement que nous nous connaissons, ce n’est pas logique. Quand enfin j’arrive au troisième étage, d’un pat rapide, je longe le couloir et cherche le numéro de chambre de Michiru.

Je la trouve enfin, je souffle un bon coup, et vint pénétrer dans la pièce. Je ferme la porte, et regarde autour de moi. La pièce est grande et vide, il y a juste un lit ou repose Michiru enveloppé dans des couvertures blanche. A sa droite il y a un tabouret et une commode avec un téléphone et un verre d’eau. En hauteur, il y a une télévision, et juste en face prêt de la fenêtre une armoire, et une porte à droite menant sûrement à la salle de bain.


Je m’avance doucement vers le lit, et la regarde quelques minutes. J’approche ma main de son visage, et écarte quelques mèches de ses yeux, laissant mon index descendre le long de sa joue. Sa tête se tourne et ses yeux bleu croisent les miens qui son triste. Un petit sourire naquis ses lèvres, comme si... Comme si elle était heureuse de me voir.

Je n’ose détourner mes yeux des siens, elle est tellement belle, mon cœur s’emporte violemment dans ma poitrine, je ne sais quoi dire, je continue juste de la regarder avec douceur.

Moi – tu sais que tu m’as fait peur !
Michiru – désolé professeur, je ... Je ne le voulais pas.
Moi - ce n’est rien, le principal, est que tu aille bien, mais tu c’est, tu vas devoir me dire se qui c’est passé !
Michiru – oui je sais, mais ... Si c’est à vous que je dois tout avouer, sa ne me dérange pas.

Je lui sourit, et continue de caresser sa joue, je vint faire descendre la barrière qui nous séparent, et vint prendre place sur le tabouret. Je lui prend délicatement la main, et la caresse comme pour la rassurer, que tout est fini et qu’avec moi, elle ne craint rien.


Michiru – je ... Je suis heureuse que se soit vous et pas quelqu’un d’autre !
Moi – chuut ... Ne dis rien, tout se qui m’importe maintenant c’est que tu te repose !
Michiru – oui je comprend, mais ... Mais sa fait tellement de bien de se sentir importante pour quelqu’un, depuis que je suis petite, père et mère ne m’ont jamais transmit un seul geste d’amour, mon père passait le plus clair de son temps à m’enfermer dans le placard, et mère me donner juste du pain et de l’eau comme si j’étais en prison. Sa fait longtemps que je garde se secret en moi, car à chaque fois j’ai peur que l’ont me juge et que ...

Ses yeux se son encrés dans les miens, et sa main à prit la mienne, ses doigts me serrant contre les siens.

Michiru – et que je soit torturer que soit physiquement ou verbalement. Je n’aie jamais eu d’amis, je ne sais pas se que l’ont peux ressentir quand on aime quelqu’un, je ne sais pas ce que c’est d’être heureuse, et cela me rend triste et me fait perdre tout sens de la vie. Mon père voulais à tout prix avoir ma garde car mes parents après six ans de vie commune se sont séparé, malgré tout le mal que ma infliger mère elle a voulut me garder, mais elle a ...


Quelques larmes roulent le long de ses joues, mon cœur se serre en la voyant dans cet état, je me lève, et à l’aide d’une petite télécommande qui suspend le long de son lit, je remonte ce dernier, afin que Michiru soit assise. Je pousse le tabouret, et m’assoie sur le matelas, lui prenant le visage entre mes mains et écarte quelques larmes.


Moi – chuut, c’est fini maintenant, tu est en sécurité ici ... Je comprend ta douleur, et je dois avouer que tu as beaucoup de courage pour avoir surmonter tout sa toute seule, mais dit toi une chose, c’est que qu’importe les choix que tu fera, les professeurs et moi-même seront là pour toi et t’épauler, alors si tu as le moindre souci, l’envie de pleurer, ou tout simplement l’envie de te confier viens nous voir nous t’écouterons .... Moi la première.
Michiru – professeur ...

Et sans que je ne dise quoique se soit, Michiru enroule ma nuque et lova sa tête dans mon cou. Bien que surprise du geste, je répond à son étreinte et entoure son dos le caressant doucement. Mon rythme cardiaque s’accelaire de plus en plus, l’odeur qu’émane sa chevelure me parvint aux narine, ils sentent si bon, à cet instant, je fut prise de désir et de tendresse pour elle, je voulais rester à ses côtés la protéger, la voir sourire et heureuse. Je me défait doucement de ses bras, et plonge mon regard émeraude dans ses yeux azure qui son magnifique. Je lui écarte quelques mèches bleutés de ses yeux et lui offre un sourire chaleureux.

Moi – avec nous tu sera en sécurité, je te le promet ma petite Michiru.
Michiru – vous êtes si gentille professeur, vraiment je ...
Moi – chuut ...

Je lui caresse la joue, et descend jusqu’à ses lèvres qui son rose et douce au toucher. Je passe plusieurs fois mon pouce sur sa bouche, créant un geste doux et régulier. Son regard s’attache au mien, et un petit claquement se fait sentir entre mon pouce et ses lèvres. Je ne fait rien, juste à lui sourire tendrement, je n’avait aucune envie de la brusquer ou quoique se soit d’autre, sans que je puisse retenir mes gestes qui étaient un peu déplacer vis à vis d’elle, mon front se colle contre le sien, mes mains prennent son visage, et mes pouces caressent ses joues. Je sent ses mains se poser sur ma poitrine, et ses yeux se ferment, un petit sourire sur ses lèvres. Mon regard s’adouci, et je m’approche un peut plus de son visage. Je sais que ce que je fait est interdit, mais les pulsassions de mon cœur son de plus en plus violent, et ce nœud dans mon estomac reviens, c’en est presque agréable, cette envie de vouloir franchir ce cap entre elle et moi me torture inlassablement. Et sans que je ne me retienne, mes lèvres s’unirent aux siennes.

Je lui caresse les joues, et m’approche un peu plus d’elle. Laissant mon cœur s’exprimer au grès de ses envies. Ce dernier fit un bon dans ma poitrine quand je sentit ses lèvres répondre tendrement à mon baiser. Mon corps tremblait de désir, c’est si agréable, tellement bon, je n’aie pas envie que sa s’arrête, je continue de lui caresser ses joues, et vint mêler tendrement ma langue à la sienne.

Cela fait tellement longtemps que je n’avais plus ressentit ce genre d’émotion, sa fait si longtemps que je ne mettait pas senti aussi bien et libre. Je sent sa langue répondre aux caresses que lui faisait la miennes, non décidément je me sent réellement attiré par elle, et avec une grande douceur je l’embrasse le plus tendrement possible. Mêlant mes doigts dans ses cheveux.

On se décollent doucement, et je la voie rougir, se qui m’adoucie encore une fois. Je lui soulève le menton, et la dévisage longuement.

Moi – n’est pas honte de se que tu est ... D’accord !

Je lui caresse la joue, et vint lui embrasser le front.

Moi – tu devrait te reposer !
Michiru – ne ... Ne partez pas.
Moi – je ne vais pas partir, je vais rester avec toi !
Michiru – merci ...

Je lui sourit et repris place sur le tabouret prenant sa main dans la mienne. Ah ... Je peux encore sentir ses lèvres douce contre les mienne, mon cœur est sur le point de flamber, cela faisait longtemps que je n’avais plus ressentit sa ... Car depuis la séparation de mes parents qui ne mon fourni aucun geste de tendresse j’ai renier ce sentiment si pur et tendre, c’est pour sa que je comprend la douleur de Michru car mon passé équivaut un peu au sien. Sans lui lâcher la main, je prend mon téléphone qui sonnait depuis quelques minutes maintenant.

Moi – oui allo !
Directeur – Haruka, c’est le directeur.
Moi – ah monsieur que désirez-vous ?
Directeur – eh bien je voulais savoir comment aller Michiru !
Moi – elle va bien ne vous inquiétez pas, une infirmière va passer dans quelques minutes, mais je pense qu’il vont la garder en observation pour la nuit.
Directeur – d’accord, et euh ... Après en avoir parler avec les professeurs nous nous sommes mis d’accord que vous pourriez l’heberger ! Vue que vous êtes sa tutrice, bien entendue si cela ne vous dérange pas Haruka.

Je sourit, et la regarde quelques minutes avec douceur, je vint doucement entrecroiser mes doigts avec les siens, et répond avec un léger sourire :

Moi – non absolument pas, donc c’est d’accord.
Directeur – je suis heureux de vous l’entendre dire, sur ceux j’ai une réunion, tenez moi au courant si il y a le moindre changement !
Moi – bien monsieur.

Et sur cette dernière parole, la communication se coupa. Je range mon cellulaire dans ma poche, et vint tourner ma tête vers Michiru afin de la regarder.


Michiru – que ... Voulais monsieur le directeur ?
Moi – rien qui puisse être désagréable, non il ma juste demander si je pouvais t’heberger !
Michiru – quoi mais je ... Je ne veux pas déranger, je c’est que je suis un poids pour tout le monde ...

Je m’approche d’elle, et caresse sa joue, lui faisant comprendre par le regard qu’elle ne me déranger pas le moins du monde ... Et puis, j’ai le sentiment que si je ne fait rien je pourrais la perdre à n’importe qu’elle moment, et c’est quelques chose que je ne souhaite pas connaître.

Moi – tu ne me dérange pas voyons, au contraire Michiru sa me fait plaisir, j’ai donc accepter de m’occuper de toi.
Michiru – merci professeur !
Moi – on va faire une chose.
Michiru – ah oui ? Quoi donc ?

Qu’es ce qu’elle est jolie quand elle est surprise, vraiment.

Moi – au lycée nous seront juste Michiru et le professeur Tenoh, mais une fois à la maison, tu peux m’appeler Haruka.
Michiru – vous ... Vous êtes sur ?
Moi – absolument certaine !
Michiru – merci pour tout se que vous faite pour moi, c’est vraiment gentil.

Et sans que je ne dise quoique se soit, Michiru c’est redresser et ma embrassé. Je sourit, heureuse de se contact que nous avons crée toute les deux. A présent je compter tout faire pour la garder auprès de moi la protéger l’aimer tendrement et la rendre heureuse.

En fin d’après midi une infirmière est passé comme prévu, et nous a affirmé que Michiru resterais en observation pour ce soir et qu’elle ne pourrais sortir que d’ici quelques jours.


Moi – bon eh bien, je vais te tenir compagnie pendant ses quelques jours !
Michiru – merci professeur !
Moi – ce n’est rien voyons.

Je lui embrasse tendrement le front, et resta à ses côtés lui tenant compagnie jusqu’à ce qu’elle puisse sortir.

Bon eh bien voila ce second chapitre est terminé, si cela vous plais toujours laisser vos avis bon ou mauvais.

content
Jeu 17 Oct 2013, 22:59 par HaruxMichi sur Histoires d'amour

L'amour ne peut se dire

J’ai eu ce matin une lettre de vous, si tendre, mon amour ; ça m’a fait fort comme tout, tout ce que vous me dites, que je ne suis pas chose dans votre vie ; je le sens bien ; vraiment on ne fait qu’un vous et moi et c’est une force formidable, et quand je le sens comme maintenant je peux envisager absolument n’importe quoi.

Les lettres à Sartre
[ Citation Simone de Beauvoir ]

Au fond du cœur nous ne pouvons être séparés l’un de l’autre, non jamais. Je vous entends encore m’appeler Ma petite, ma femme, sûre qu’aucune amie, aucune femme d’aucun homme ne lui a jamais donné plus d’amour que moi à vous. Il ne faut pas même dire donner, je vous appartiens.

Lettres à Nelson Algren
[ Citation Simone de Beauvoir ]

Dès que j’ai posté une lettre, je me sens si frustrée que je dois en commencer une autre. J’ai toujours l’impression de n’avoir rien dit, sans doute parce que l’amour ne peut se dire.

Lettres à Nelson Algren
[ Citation Simone de Beauvoir ]
Simone de Beauvoir
Mar 16 Avril 2013, 14:07 par inlove sur La vie à deux

Ode à l'amour

Ode à l’amour

Du tréfonds de mon âme
Jaillissent ces mots divins
Brûlants comme une flamme
Qui jamais ne s’éteint

Je t’aime plus que tout
C’est une frénésie
Je t’aime comme un fou
Je t’aime plus que ma vie

Je caresse tes cheveux
Pose mon front sur ton front
Mon regard dans tes yeux
Dans lesquels je me fonds

La douceur de tes lèvres
Brûlantes, pleines de vie
Allume en moi la fièvre
Des plus douces folies

Je goûte dans tes baisers
Le souffle de ton corps
Où je veux m’enfoncer
Jusqu’au-delà de la mort

Dans l’alcôve du plaisir
Je m’allonge sur toi
Frémissant de désirs
Le coeur rempli d’émoi

Je pose sur tes seins
Ma bouche assoiffée
Pour boire jusqu’à demain
Aux flots de volupté

Je me saoule de toi
Grisé par tes caresses
Éperdu dans tes bras
Serre-moi jusqu’à l’ivresse

Je brûle, me consume
Je divague, je chavire
Léger comme une plume
Je pars à la dérive


Jean-Claude ST-LOUIS
Dim 14 Avril 2013, 23:18 par gérémi sur L'amour en vrac

Qui veut la peau d'agatha christie ?

Je viens une dernière fois rendre grâce à ce site pour m’avoir permis plus ou moins régulièrement toutes ces années de rêver et de créer du beau (au moins l’ai-je essayé bien humblement) tout en me régalant d’écriture et de relecture.

Dois-je citer toutes les oeuvres qui ont nourri mes textes bien que ces derniers en soient indignes ? Je risque fort de me montrer ingrate et d’en oublier parmi les plus importants : "Les confessions d’un enfant du siècle" d’Alfred de Musset, "La promesse de L’ange" de Frédéric Lenoir qui relate les amours tragiques entre un homme consacré et une guérisseuse (la structure romanesque est merveilleuse), sans oublier le "Manifeste pour une renaissance" : parmi les ouvrages de Bernard Besret qui m’ont été donnés de lire, c’est ce dernier qui m’a sans doute le plus marquée (de par sa proximité avec mon propre cheminement existentiel sans doute).

Je ne viendrai plus pour plusieurs raisons, ces écrits qui n’avaient pour but que de me récréer tout en me tenant lieu parfois d’exutoire ont été profanés un peu comme ces tombes par des personnes malveillantes et qui pour couvrir leurs frasques cherchent dans l’écriture les preuves d’une culpabilité de l’auteur qu’il savent chimériques... C’est un procédé fort astucieux que de vouloir déplacer le centre de gravité d’une affaire : mettre sous le feu des projecteurs non plus l’assassin mais le bouc émissaire. C’est courant, Combien de violeurs protestent de leur innocence en montrant du doigt leurs victimes : ces viles aguicheuses... A qui profite le crime ?! Ces honnêtes hommes (ou femmes) qui au demeurant ont parfois pignon sur rue, ne manqueraient pas, tout couverts du sang de leur dernier forfait, de pointer le même index accusateur : regardez, c’est Agatha Christie, coupable de crime avec préméditation, elle a même couché ses (nombreux) aveux par écrit. Ce faisant, ils ajoutent à leur scélératesse, la calomnie...

La seconde raison, et bien ! Il s’agissait pour moi de venir sublimer un célibat imposé par un divorce qui perdura durant dix longues années de solitude (encore un ouvrage merveilleux : cien anos de soledad de Gabriel Garcia Marquez)...

Le temps est un sérum de vérité, il renforce et grandit l’âme de ceux qui ont le coeur droit - dans l’épreuve - et montre la nature de qui est vil. S’il m’est arrivé de m’indigner, de pleurer voire de tempêter devant l’aveuglement des hommes et des femmes qui portent la charge de rendre la justice, je n’ai jamais trahi la rectitude qui est ma marque de fabrique et si j’ai le verbe haut, j’ai le coeur droit (certains ne se sont donnés que la peine de naître et de naître nantis cela leur tient lieu d’honneur et de probité. ceux-là ne sont pas mes cousins).

Une fois de plus, je ne peux que rendre hommage à Gisèle Halimi que j’ai eu la grâce de rencontrer et qui me confiait lors d’une interview (à l’occasion de la sortie de son livre "L’étrange Monsieur K") combien il est difficile de défendre un innocent. Ce dernier est de fait indéfendable, il n’a que lui, que la vérité et cette dernière ne porte pas un label spécial qui la distingue des contrefaçons. Il crie, il pleure, il gronde, il a peur et tout cela indispose. Prenez un coupable : il dispose de tout une batterie : mensonge, abus de pouvoir, manipulation, faux et usage de faux, il sourit, il affiche un calme olympien et sourit d’autant mieux qu’il sait ses mauvais procédés couronnés de succès.

Mais quelle que soit l’issue des procès et que l’on condamne ou pas Agatha ou K, mes frères, pour les crimes qu’ils n’ont pas commis, aucune erreur judiciaire ne changera la nature réelle de l’homme, celui qui est bon et droit ne peut être avili. Celui qui juge et qui se trompe peut en son âme et conscience en éprouver des regrets et peut-être un tourment secret : ne me suis-je pas trompé, mon intuition était-elle bonne, n’étais-je pas sous influence ? Quelle charge faisons-nous porter sur des épaules humaines ! Mais qu’ils se rassurent, l’homme coupable porte en lui le germe de sa condamnation et lui se connaît intimement, il n’est pas dupe de sa noirceur. Son propre jugement n’en sera que plus éclatant.

Il ne me reste plus qu’à tirer ma révérence d’un hommage appuyé à l’administrateur du site, mon bien cher et respecté Petit Prince pour sa confiance et sa bienveillance durant ces longues années. Un clin d’oeil à vous chères âmes tendres que j’ai eu la joie de lire et de relire, avec qui, parfois, les fils fragiles de l’amitié épistolaire se sont tissés.

Je vous souhaite de belles et tendres heures d’écriture avec la pulsation de vos coeurs à la pointe de vos plumes.

Bien scripturalement vôtre,

Dolce Vita
Mer 20 Juin 2012, 15:13 par dolce vita sur L'amour en vrac

Cours avant la tempête

Pourquoi tu es la ? Dis moi ce que tu fait. S’il te plais qu’est ce qui ne va pas ? Tu es la , a essayé d’oublier le passée douloureux. Tu l’aimais et tu l’aime encore alors que fais tu la avec elle? Tu sais qu’elle aurai tout fait pour toi, elle restait ta meilleure amie même si tout le monde te tournait le dos. Elle te croyait toujours , ta seule amie, et tu ne lui a jamais dit. Elle va quitter ce monde, sa maladie c’est aggravé, et tu reste là. Mais sache que tu ne pourra pas guérir d’elle, ni l’oublier avec une autre. Tu l’as laissé seule contre sa maladie et sa peur de la mort, tu ne lui as pas dis que tu l’aimais et elle va partir. Mais tu n’arrive pas à l’oublier, tu n’y arriveras jamais. Ton amour est profond, il t’as déjà blessé, il risque de te tuer. Elle voudrait t’avoir près d’elle, toi son ami, toi elle voudrait que tu la serre contre toi, mais tu la fuis. Pour elle, pour toi, pour la vie, rejoins la , je t’en pris, pardonne lui ses silences, ses faux pas, ses erreurs, ses absences. Pardonne lui ta souffrance, va la voir, avant que le passée t’emprisonne. Si tu continue tu seras ton propre prisonnier, comme bloquer dans le couleur de la mort. Tes regret, tes remord, tes douleurs ne la ramènera jamais, ne fais pas ça, ne te détruis pas, rejoins la. Cours.... Tu as eu peur de ses chaînes, alors que tu avis aussi les tiennes. Tout ce que tu as écris c’est son sourire qui te la dictée. Alors cours ! Avant qu’il ne soit trop tard, son cœur va cesser , alors vas je t’en pris. Vas lui dire ce que tu ressens pour elle, surmonte ta peur, cour, si tu n’osais pas , il va falloir le changer. Ton absence doit lui faire plus mal qu’une chute du haut de son toit. Je t’en pris va la voir ….
Te voilà sous la pluie, tu cours, vite, plus vite. Derrière toi, une ombre, des cris un passée, et même si elle quitte ce monde elle restera ton ombre, elle gardera ta vie, comme quand tu tombait et que le monde t’abandonnais, la main qui te manquai elle te l’offrait. Elle restera ton monde a jamais. Tu continue ta course, vite, le plus vite possible, une pluie ne cesse de tombait, on pourrait dire qu’elle tombe pour toi et pour elle, a la place de l’écume dans vos yeux. Tout en courant tu te questionne est ce que tu aura la même valeur que tu lui trouvais dans les yeux d’une autre. Sous le maquillage que dessine l’amour, auras tu le courage de la guider sur son dernier voyage ?Tu aurais voulu trouver les mots pour lui parler. Tu voulais tellement lui dire ce que veut ton cœur mais tu ne trouvais plus les mots.
La pluie coule, et coule. Ce sont les larmes du ciel, de la mort , de la vie. Le temps creuse cette vie. L’eau divine du ciel ne peut cesser, le vent souffle et murmure un air calme. Les rêve ne peuvent être brisée, ce qui dise que l’amour meurt on tord. Le mon de calme, un calme tempête et te voilà qui doucement sort de l’hôpital. Tu titube, appuyer contre le mur. Elle t’aimait, et elle n’est plus. Tu l’aime et a ne changeras pas, tu ne l’effaceras pas. Cette sensation te dévore, comme si la moitié de toi venez de mourir avec elle , tes yeux coule comme la pluie autour. Elle reste avec toi quoi qu’il en coûte, elle est dans ton cœur. Ton cœur se noie mais écoute moi : l’orage a éclaté , tu veut l’effacer retourner en arrière, mais ce n’est possible, la pluie ne cesseras pas même si le ciel se dégage, continue ton chemin et n’oublie jamais que son amour est comme le vent tu ne peut plus le voir mais tu peut le sentir et cela à jamais alors laisse l’orage éclater dans ton cœur et la pluie couler car elle t’aimera.
Mar 01 Mai 2012, 22:56 par murmuran sur L'amour en vrac

Où sont passés les romantiques ?

A l’heure où la vie se deroule à 100 à l’heure, où les esprits s’affranchissent, des termes tels que amour, fidélité, vrais sentiments,tendresse ont perdu tout leur sens

C’est ce que ressentent et déplorent beaucoup de personnes aujourd’hui, et pas seulement les femmes

A l’heure où le monde est de plus en plus superficiel, où un couple sur deux se separe, où les relations amoureuses ne se cantonnent bien souvent qu’à un plan d’un soir, où les gens se " jettent" au moindre petit souci, où chacun recherche la perfection tant physique que morale,il y a vraiment de quoi se sentir complètement perdu

Et les romantiques, dans tout ça ?

Ils se sentent exclus , et la vie autour d’eux s’apparente à une jungle dans laquelle ils pensent ne pas avoir leur place

Aujourd’hui, c’est à croire que tout le monde ne rêve que d’aventures éphémères et sans intérêt
Où sont passées les s valeurs, les sentiments durables et profonds ?

Le romantisme n’existe pas que dans les romans, je le sais parce-que je suis une romantique et que je le revendique haut et fort, et tant pis pour ceux qui auront envie de se moquer !

Aujourd’hui, l’amour est aussi devenu un bien de consommation.On prend, on essaie et si ça ne plait pas, on jette et on passe au suivant

Tout est formaté, même dans ce domaine.Qu’en est-il de l’imprévu, des belles rencontres faites grâce au hasard ?

Le romantisme c’est quoi ?
C’est une petite rose qui vous est offerte, comme ça, alors que vous ne vous y attendez pas, qu’aucune date ou évènement ne vient justifier cette délicate attention

C’est un petit mot doux glissé dans un sac à main, sans raison, juste pour dire " je pense à toi "

C’est aussi la galanterie au quotidien et les petites attentions de chaque instant qui ne coutent pas cher mais font tellement plaisir.
Et cela va dans les deux sens, bien sûr

Désuet, le romantisme ? Que nenni ! mais il serait grand temps de vraiment s’y remettre
Sam 25 Fév 2012, 17:05 par Marhyna sur La séduction

Quand une femme se fait chatte

Je me lave du bout des doigts
Une toilette de chat
J’ai juste enlevé le bas
Et te voilà déjà en émoi
Je garde un petit haut
Car trop ne faut dévoiler
Sinon où serait le plaisir
Que tu prendrais à enlever
Pour le reste découvrir....

Je suis émoustillée, mon corps dénudé
Te rend, de désir, tout excité
Partager ce moment d’intimité
Est un rêve que j’ai souvent fait
J’ai fait couler doucement un bain
Le filet d’eau glisse sur mes seins
Toi qui remontes jusqu’à mes reins
Un massage vraiment divin

Des bulles de savon éclatent en mousse
Et toi tout heureux qui rit aux éclats
Des bulles de champagne se trémoussent
Parmi les galets aux senteurs de chocolat
Tu te régales de mon corps, me donnes envie
Tes douces caresses me mettent en appétit
De finir ce petit jeu amoureux dans un lit
Être à jamais ta petite chatte pour la vie


timide grin
Lun 15 Août 2011, 19:29 par caressedesyeux sur Mille choses

Pastiche...

Pas vraiment une citation, mais je me suis essayé à l’exercice qui consiste à pasticher (gentiment) une œuvre connue, pour en faire un texte un peu fou...

Je vous livre évidemment la version originale en premier, qui reste la seule à avoir une valeur littéraire... clin



d’après L’albatros , de Charles BAUDELAIRE (1821-1867)

La version originale :

Souvent, pour s’amuser, les hommes d’équipage
Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
Qui suivent, indolents compagnons de voyage,
Le navire glissant sur les gouffres amers.

A peine les ont-ils déposés sur les planches,
Que ces rois de l’azur, maladroits et honteux,
Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
Comme des avirons traîner à côté d’eux.

Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !
Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid !
L’un agace son bec avec un brûle-gueule,
L’autre mime, en boitant, l’infirme qui volait !

Le Poète est semblable au prince des nuées
Qui hante la tempête et se rit de l’archer ;
Exilé sur le sol au milieu des huées,
Ses ailes de géant l’empêchent de marcher.

et ma version pastiche :

Souvent, pour s’amuser, des hommes de passage
Draguent des travelos, glabres zozos amers,
Qui rodent, insolents souteneurs de l’outrage,
Dans les allées du bois, tous venus d’outre-mer.

A peine ont-ils posé les mains sur leurs hanches,
Que ces rois du bitume, à cet endroit nombreux,
Se font piteusement trousser comme des manches
Par ceux-là mêmes qui vont se moquer d’eux.

Ces sots dragueurs zélés, comme ils sont moches et veules !
Eux, naguère si hauts, qu’ils se sont rabaissés !
L’un menace bien haut de leur casser la gueule,
L’autre mime, ondulant, leur façon de marcher !

Le macho est ainsi de grandeur dénué
Qui chante la bébête et se rit de la raie ;
L’esprit au ras du sol et l’humour embué,
Le zèle de son gland l’empêche de penser.
Mer 04 Mai 2011, 18:18 par piertiteuf sur Citations

La rencontre

On s’était donné rendez-vous, au parc de la tête d’or
Quinze longues années avaient défilé depuis notre dernière rencontre Jusqu’au jour où j’ai vu ta photographie sur la couverture d’un magazine. « Mais c’est Emma »: me suis je dit
Alors pour en être sur j’ai appelé l’agence où tu travaillais
J’ai supplié la rédactrice en lui faisant du charme, et elle a cédé malgré tout
Je me suis souvenue d’Emma au temps où nous fréquentions la même école. C’était une une jolie blondinette aux yeux gris ardoise, avec deux nattes, c’était une chipie, mais toujours prête à défendre les plus faibles.
Au début elle doutait de moi, et après un certains laps de temps, elle s’est enfin rappelée de moi, et aujourd’hui , nous avons rendez-vous. J’appréhende, un peu, et je pense qu’elle aussi.
Afin de nous reconnaitre, j’ai décidé, de tenir une fleur dans ma main..Une rose d’une belle robe foncée, tirant presque au noir. J’attends devant ce banc assis, regardant à droite puis à gauche,puis en scrutant au loin
Je regarde ma montre, déjà cinq minutes de retard. J’aime la ponctualité, ne supporte pas les personnes qui ne le sont pas, mais malgré tout je patiente souhaitant vraiment la revoir.
Elle arrive enfin, avec ce sourire charmeur, ses cheveux couleur miel, qui flottent librement sur ses épaules, mais je ne me rappelais plus qu’elle était aussi grande, comme quoi les photos et les souvenirs sont trompeur. Elle me tend les bras, la première , et j’accepte volontiers son geste en la serrant contre moi
Elle porte une magnifique robe rouge éclatante........ Une beauté à en couper le souffle. Mon cœur palpite si fort, que je ne sais pas par ou commencer. Mais c’est elle qui parle la première, en me racontant sa vie, et ce qu’elle est devenue .....Pas d’enfant, un divorce douloureux.
Je suis toujours célibataire lui dis-je. Elle a l’air étonné. Elle me confie qu’elle avait été amoureuse de moi , et elle en rigole un peu gênée .Jamais je n’aurai imaginé cela, car j’étais à l’époque un garçon timide qui rêvait d’elle secrètement tout en m’inventant des romans, du style prince charmant sauvant la princesse aux nattes blondes.
On s’est promis de se revoir, mais je ne sais si elle partage les même sentiments que moi, et seul le temps le dira...
Dim 20 Fév 2011, 15:59 par caressedesyeux sur Histoires d'amour

Une amitie affectueuse


Je vis dans un monde bien cruel, si dur, si intolérant, et incompréhensible
Je dois être fort et ne dois avoir aucune faiblesse
mais parfois, je me réfugie dans un monde imaginaire
Ou n’est que douceur et et tendresse
La ou est ma personnalité.
Que j’aime, et m’entoure de petits froufrous
Qui me rappelle tant de souvenir
Vous qui comprenez si bien
Nous serions si bien ensemble
Sans penser à nous "aimer d’amour"
Mais seulement d’amitié et de complicité

caressedesyeux




Mer 17 Mars 2010, 14:36 par caressedesyeux sur Mille choses

L'incompréhension

Quand tout se trouble , quand tout est unique et sans réponse , sans divergence .
La pauvreté des choses que vous pouvez émettre , la pauvreté de raisonner à ce moment précis où l’incompréhension vous submerge de ses flots . L’on ne comprend pour la plupart du temps que ce que nous voudrions bien comprendre , la question est : " Est-ce que l’on a réellement envie de comprendre ? " . Ce mot qui nous fait regretter nos pensées naïves nous fait sortir de nos gonds et force ce que l’on est à se métamorphoser et a énumérer des choses plus improbables les unes que les autres . L’incompréhension est un voile ? L’incompréhension est une défense à l’acceptation ou plutôt à la difficulté d’acceptation , d’adaptation de la personne à la phrase , le mot ou l’expression qui vient de lui être dit . L’essentiel est que cela ne fasse pas tout , que ce moment d’incompréhension soit suivit de la compréhension et de l’acceptation .
A t-on voyagé autant pour aussi peu de réponse ? Est-on prisonnier de cette incompréhension ou sommes nous les tortionnaires de son inverse ?
Prisonniers c’est le mot que l’on emploie certainement pour s’excuser à soi même le fait d’être des tortionnaires de cette incompréhension , nous sommes les insatiables du paradoxes de cet entre deux . On aime ça et on ose l’avouer , être déçu et alimenter cette déception pour se rendre plus fort , plus fier ou tout simplement moins ridicule face aux situations à venir . L’on ne cherche pas à aller plus loin , ni mm à comprendre pour se prouver que l’on a raison , pour être dans la capacité souveraine de dire : " J’ai raison " . Mais ils ne sont pas dupes , personne ne l’est et à certains moments le choc est tel que l’incompréhension fait place au duel , au combat et à la mise à mort de ce dernier incompris qui n’aura d’yeux que pour sa vérité . Alors Nous sommes en définitive des tortionnaires et en étant ceux là nous sommes ceux ci : " Des prisonniers " . La bonne parole ou l’invention de l’image que l’on renvoi à l’autre prédomine en ce monde , l’homme est une erreur , un problème qui ne peut se résoudre , le problème étant posé depuis des milliers d’années .
Mar 02 Mars 2010, 15:05 par Playdead sur Mille choses
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