Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - caressedesyeux
D'un soir
Le Mar 26 Fév 2013, 13:33 sur Les liaisons sulfureuses, 0 commentaire
j’ai aimé vous lire jime merci caressedesyeux
Je serai
Le Lun 04 Fév 2013, 17:02 sur L'amour en vrac, 0 commentaire
Je serai, pour toi, une laborieuse petite abeille,
Travaillant sans cesse à faire de ta vie une merveille
Recouvrant ton beau corps musclé d’une bonne couche
De miel,je serai une bourdonnante et agaçante mouche
Pour "ennuyer", de mes lèvres,le coin de ta belle bouche.
Je serai une énervante guêpe à la taille provocante
Dont le dard te fera perdre la tête de manière affolante
Je serai l’attendrissante libellule, au vol léger et leste
Pour aller te décrocher la lune de la voute céleste
Et te rapporter,radieuse,son blanc écusson
Je serai ravissant papillon; pour te faire tourner en rond
Afin qu’ivre de moi,tu ne sortes jamais seul le soir...
Ou je muterai en insolent cafard provocant des histoires!
Douce et attentive,en véritable sentinelle
De notre amour,je serai la charmante coccinelle,
Qui , de plaisir te fera grimper au ciel.
Travaillant sans cesse à faire de ta vie une merveille
Recouvrant ton beau corps musclé d’une bonne couche
De miel,je serai une bourdonnante et agaçante mouche
Pour "ennuyer", de mes lèvres,le coin de ta belle bouche.
Je serai une énervante guêpe à la taille provocante
Dont le dard te fera perdre la tête de manière affolante
Je serai l’attendrissante libellule, au vol léger et leste
Pour aller te décrocher la lune de la voute céleste
Et te rapporter,radieuse,son blanc écusson
Je serai ravissant papillon; pour te faire tourner en rond
Afin qu’ivre de moi,tu ne sortes jamais seul le soir...
Ou je muterai en insolent cafard provocant des histoires!
Douce et attentive,en véritable sentinelle
De notre amour,je serai la charmante coccinelle,
Qui , de plaisir te fera grimper au ciel.
Bulle
Le Ven 01 Fév 2013, 16:42 sur L'amour en vrac, 0 commentaire
merci d’avoir apprecié jime amitie poetique marilyn
Bulle...
Le Mer 16 Jan 2013, 13:08 sur L'amour en vrac, 0 commentaire
Bulle fragile,
Danse au grès du vent
Pellicule gracile
Qu’on peut y lire dedans
Tous ces mots si beaux
Si doux si fort si chauds
Magique et éphémère
Pour te plaire
J’en soufflerai des milliers
Bulles qui éclosent
Aux couleurs de la rose
Qui éclatent en gouttelettes subtiles,
Qui taquinent délicatement les pistils
En caressant mes doigts de pied
J’y lis, à l’intérieur
Toutes les phrases de ton cœur
Je vois des images si vivantes
Qui me hantent
Le présent se mélange au passé
Mais j’avance
J’avance tous doucement
Mais impossible à oublier
Je souris avec tendresse
De mes maladresses
A te laisser ce que mon cœur te dictait
Je t’aime encore...
Danse au grès du vent
Pellicule gracile
Qu’on peut y lire dedans
Tous ces mots si beaux
Si doux si fort si chauds
Magique et éphémère
Pour te plaire
J’en soufflerai des milliers
Bulles qui éclosent
Aux couleurs de la rose
Qui éclatent en gouttelettes subtiles,
Qui taquinent délicatement les pistils
En caressant mes doigts de pied
J’y lis, à l’intérieur
Toutes les phrases de ton cœur
Je vois des images si vivantes
Qui me hantent
Le présent se mélange au passé
Mais j’avance
J’avance tous doucement
Mais impossible à oublier
Je souris avec tendresse
De mes maladresses
A te laisser ce que mon cœur te dictait
Je t’aime encore...
Les sanglots de l'hiver
Le Mar 01 Jan 2013, 19:06 sur L'amour en vrac, 0 commentaireUne bise glaciale souffle sauvage,
Si fort,
Qu’elle me cingle le visage,
Se tord
En sifflant tout autour de moi.
J’ai soudain si froid,
Que je ne sens plus mes doigts...
Elle gémit et cherche un endroit
Où se poser.
Je mets mes mains dans les poches
De mon manteau
Pensant les réchauffer,
Et j’accélère le pas,
Afin de rentrer chez moi.
Je continue ma route ,
Tant bien que mal
Sous les rafales
J’entends au loin des pleurs...
Des sanglots qui ne cessent.
Je me rapproche encore un peu plus
Je me retrouve en face
D’un bonhomme de neige géant,
Dont les larmes
Qui n’arrêtent pas de couler,
Ressemblent a des diamants,
Si purs, si blancs.
Il m’explique sa tristesse,
De n’être que de passage
Qu’il ne sera bientôt plus qu’un mirage
Qu’il redoute la venue du printemps.
IL regarde une dernière fois ,
La glace qui l’entoure
Cette glace, qui va fondre aussi
En miroitant
Pour retourner dans son lit
Amour au clair de lune.
Le Dim 23 Déc 2012, 15:04 sur Histoires d'amour, 0 commentaire
J’étais partie pour une croisière ; destination : L’ÉGYPTE
Ce soir-là était une soirée spéciale pour nous souhaiter la bienvenue. La musique, les gens, l’excitation du voyage, cela faisait beaucoup de bruit et d’effervescence. L’atmosphère, l’agitation, la fatigue me décidèrent à quitter la salle rapidement.
Accoudée à la balustrade du bateau, j’eus droit à un spectacle naturel de toute beauté. Au pittoresque paysage vanté par un chant des cigales s’était jointe une agréable brise légère sur fond de magnifique clair de lune. L’astre nocturne resplendissait dans sa plénitude juste entachée par un nuage à forme de loup. Pourquoi un loup ? Pourquoi pas après tout. Mon imagination cavalait sans doute sur les ailes du souvenir d’une ancienne lecture. J’en étais à fouiller ma mémoire lorsque, soudain, surgit à côté de moi un homme. L’individu, d’une carrure impressionnante, aux cheveux d’ébène et au regard de braise, tenait dans ses mains deux coupes à champagne. Il m’en tendit une sans dire un mot.
Puis, dans la foulée, comme s’il continuait une conversation brièvement interrompue, il me raconta une très belle histoire. J’étais à la fois intriguée par sa présence, fascinée par sa prestance et hypnotisée par sa voix douce et chaude...
C’est tout ce dont je me souviens et la suite me reste un mystère car tout ce que je sais c’est que je me retrouvai confortablement installée dans une cabine sur un moelleux canapé. Dans la pièce il n’y avait personne, et je commençais à me sentir mal à l’aise. Quelque chose, ou quelqu’un, entra dans la chambre. Je ne distinguais pas bien dans cette obscurité, mais je sentais nettement une présence. Un animal vint se coucher à mes pieds. J’aurais été incapable de dire à quelle race il appartenait. Un frisson me parcouru l’échine en me rendant compte de la précarité de ma situation.
J’en étais à envisager les différentes solutions pour me sortir de ce pétrin lorsqu’une porte s’ouvrit et qu’un homme entra. Le même individu que toute à l’heure ! Celui-là même qui m’avait tendu une coupe de champagne et à qui je devais, probablement, de me trouver dans cette salle avec un énorme chien-loup à mes pieds. Indifférent à mon angoisse, ou était-ce pour me mettre encore plus mal à l’aise, il me parla de son animal et enchaîna nonchalamment sur toutes ces histoires de transformations qui ont lieu, paraît-il, lors de la pleine lune. Mi-effrayée, mi-perplexe, je restais néanmoins sceptique sur son argumentation n’ayant jamais vraiment cru à ces histoires. J’avais, bien sûr comme la plupart, lu des romans de fiction sur le phénomène mais je n’en étais pas vraiment convaincue.
Nous en étions à débattre de la possible réalité de cette singularité lorsque son chien-loup se rappela brusquement à mon esprit en se levant subitement et en disparaissant par la porte de derrière.
Soudain plus détendue, je lui demandai comment j’étais arrivée là et ce qu’il voulait de moi. Sans un mot, il mit sa main sur la mienne, l’air calme et serein, et je me sentis aussitôt en confiance. Je savourais ce moment de bienheureuse quiétude lorsqu’un autre homme fit irruption par la même porte que le loup avait empruntée. Je remarquai à l’instant où mes yeux se posèrent sur lui l’étonnante ressemblance avec le gentleman qui me tenait la main. Il devait s’agir, à coup sûr, de frères jumeaux ! Sans quitter ma main et me fixant tendrement, il me déclara sa flamme. Puis, il me raconta son histoire. Déconcertée, je ne savais plus où j’en étais. Je flottais en pleine fantasmagorie ! Certes, il me plaisait, et j’étais très attirée par lui. Son physique, sa prestance faisaient que je le désirais, mais étais-ce de l’amour ou juste une attirance animale ? Il s’approcha et posa délicatement ses lèvres sur les miennes. Son baiser fut si léger que je crus l’avoir rêvé. Devant mon consentement, il recommença. Mais cette fois il était plein de fougue et d’intense passion. Mon cœur se mit à battre à grands coup de tambour...
La pleine lune se dévoila soudainement, et il empoigna mon visage de ses mains continuant de me dévorer de baisers. Bien malgré moi, j’avais cette peur au ventre qu’il ne morde mon cou. C’était fou car je l’aimais mais ne voulais pas devenir comme lui. Mes inquiétudes étaient infondées car rien de ce que je redoutais ne se passa. J’étais bel et bien amoureuse et je ne désirais plus le quitter. Mon avenir était dorénavant avec lui.
Ce soir-là était une soirée spéciale pour nous souhaiter la bienvenue. La musique, les gens, l’excitation du voyage, cela faisait beaucoup de bruit et d’effervescence. L’atmosphère, l’agitation, la fatigue me décidèrent à quitter la salle rapidement.
Accoudée à la balustrade du bateau, j’eus droit à un spectacle naturel de toute beauté. Au pittoresque paysage vanté par un chant des cigales s’était jointe une agréable brise légère sur fond de magnifique clair de lune. L’astre nocturne resplendissait dans sa plénitude juste entachée par un nuage à forme de loup. Pourquoi un loup ? Pourquoi pas après tout. Mon imagination cavalait sans doute sur les ailes du souvenir d’une ancienne lecture. J’en étais à fouiller ma mémoire lorsque, soudain, surgit à côté de moi un homme. L’individu, d’une carrure impressionnante, aux cheveux d’ébène et au regard de braise, tenait dans ses mains deux coupes à champagne. Il m’en tendit une sans dire un mot.
Puis, dans la foulée, comme s’il continuait une conversation brièvement interrompue, il me raconta une très belle histoire. J’étais à la fois intriguée par sa présence, fascinée par sa prestance et hypnotisée par sa voix douce et chaude...
C’est tout ce dont je me souviens et la suite me reste un mystère car tout ce que je sais c’est que je me retrouvai confortablement installée dans une cabine sur un moelleux canapé. Dans la pièce il n’y avait personne, et je commençais à me sentir mal à l’aise. Quelque chose, ou quelqu’un, entra dans la chambre. Je ne distinguais pas bien dans cette obscurité, mais je sentais nettement une présence. Un animal vint se coucher à mes pieds. J’aurais été incapable de dire à quelle race il appartenait. Un frisson me parcouru l’échine en me rendant compte de la précarité de ma situation.
J’en étais à envisager les différentes solutions pour me sortir de ce pétrin lorsqu’une porte s’ouvrit et qu’un homme entra. Le même individu que toute à l’heure ! Celui-là même qui m’avait tendu une coupe de champagne et à qui je devais, probablement, de me trouver dans cette salle avec un énorme chien-loup à mes pieds. Indifférent à mon angoisse, ou était-ce pour me mettre encore plus mal à l’aise, il me parla de son animal et enchaîna nonchalamment sur toutes ces histoires de transformations qui ont lieu, paraît-il, lors de la pleine lune. Mi-effrayée, mi-perplexe, je restais néanmoins sceptique sur son argumentation n’ayant jamais vraiment cru à ces histoires. J’avais, bien sûr comme la plupart, lu des romans de fiction sur le phénomène mais je n’en étais pas vraiment convaincue.
Nous en étions à débattre de la possible réalité de cette singularité lorsque son chien-loup se rappela brusquement à mon esprit en se levant subitement et en disparaissant par la porte de derrière.
Soudain plus détendue, je lui demandai comment j’étais arrivée là et ce qu’il voulait de moi. Sans un mot, il mit sa main sur la mienne, l’air calme et serein, et je me sentis aussitôt en confiance. Je savourais ce moment de bienheureuse quiétude lorsqu’un autre homme fit irruption par la même porte que le loup avait empruntée. Je remarquai à l’instant où mes yeux se posèrent sur lui l’étonnante ressemblance avec le gentleman qui me tenait la main. Il devait s’agir, à coup sûr, de frères jumeaux ! Sans quitter ma main et me fixant tendrement, il me déclara sa flamme. Puis, il me raconta son histoire. Déconcertée, je ne savais plus où j’en étais. Je flottais en pleine fantasmagorie ! Certes, il me plaisait, et j’étais très attirée par lui. Son physique, sa prestance faisaient que je le désirais, mais étais-ce de l’amour ou juste une attirance animale ? Il s’approcha et posa délicatement ses lèvres sur les miennes. Son baiser fut si léger que je crus l’avoir rêvé. Devant mon consentement, il recommença. Mais cette fois il était plein de fougue et d’intense passion. Mon cœur se mit à battre à grands coup de tambour...
La pleine lune se dévoila soudainement, et il empoigna mon visage de ses mains continuant de me dévorer de baisers. Bien malgré moi, j’avais cette peur au ventre qu’il ne morde mon cou. C’était fou car je l’aimais mais ne voulais pas devenir comme lui. Mes inquiétudes étaient infondées car rien de ce que je redoutais ne se passa. J’étais bel et bien amoureuse et je ne désirais plus le quitter. Mon avenir était dorénavant avec lui.
Re: inconnue aux courbes de mots alanguies de jinn
Le Ven 14 Déc 2012, 12:55 sur L'amour en vrac, 0 commentairecaressedesyeux a écrit: |
joliment dit j’ai aimé merci amities poétiques |
Inconnue aux courbes de mots alanguies de jinn
Le Ven 14 Déc 2012, 12:54 sur L'amour en vrac, 0 commentaire
joliment dit j’ai aimé merci amities poétiques
Cultiver l'espoir ( duo caressedesyeux /inconnu)
Le Mer 12 Déc 2012, 21:40 sur L'amour en vrac, 2 commentairesLe dessin d’un amour qui promet le bonheur
Borde un projet que je ne cesse de faire
Entre réalité et doux rêve éphémère
Mais s’ombre la raison pour le discours du cœur
Malgré la distance, je ne cesse de croire
Que sur mes sentiments l’aube va se lever
Je sais qu’un jour prochain je pourrai l’aborder
Je la verrai, c’est sûr!J’en cultive l’espoir!
Je dois à grand effort dompter la grande ardeur
Qui motive mon coeur malgré l’esprit contraire
Qui, sans broyer du noir, redoute la chimère,
Qu’il soit un peu trop tôt ou qu’il ne soit plus l’heure
Et l’absence grandit ce désir de tendresse
Ce besoin de croiser son regard merveilleux
Cette envie de présence affiché dans mes yeux
Tel cadeau d’un destin dont l’espoir je caresse
Effleurer de mes doigts le doux grain de sa peau
Embrasser son doux corps,la serrer dans mes bras
Et sentir dans mes mains la chaleur de ses doigts
Contre moi, corps-à-corps : le plaisir le plus beau
Son parfum me parcourt d’une essence d’alcôve
Son odeur me ravit d’une présence d’ange
Auprès d’un paradis, que les dieux ne dérange,
Vient voguer mon esprit aux effluves de Khôl
Et l’air devient plus doux à l’approche des lèvres
Les fossettes qui rient donnant le plein aval
D’un baiser vigoureux aux senteurs de Santal
Sentir battre son cœur contre moi : c’est un rêve !
Tous mes sens s’agitent, je suis vraiment perdu
Voilà que je cogite comme un adolescent
Son odeur m’excite tel un philtre envoûtant
Il me faut me calmer, je crains une bévue
En amoureux transi, je ne retiendrai d’elle
Le temps qui se suspend à son charme présent
Mon esprit qui s’éprend de son rire éclatant
Je n’oublierai pas ses deux yeux mirabelle
Je cultive l’espoir, j’abolis la détresse
Auprès d’une déesse aux attraits envoûtants
La grande obsession des prémices d’amants
Le besoin permanent de ses tendres caresses
Ma brune
Le Sam 01 Déc 2012, 13:12 sur L'amour en vrac, 0 commentaireJ’ai posé mes doigts
Au creux de sa poitrine,
Et cette grande coquine
En a eu un grand émoi
Puis j’ai dénudé son épaule droite
Et en expert, de ma main adroite
J’ai continué sans aucun complexe
À caresser encore le grain de sa peau
Et rouler du bout de mon index
Ses tétons se tendant encore plus haut
Tels de petites framboises, gonflées et rigides...
Qui donnent une envie de la faire frémir,
Et encore plus soupirer, jusqu’à la faire gémir...
J’ai posé délicatement ma bouche,
Tapissant le carré de peau blanchâtre
De ma belle pas farouche
De tout petits baisers, et j’ai senti qu’elle a aimé,
Glissant sur son corps d’albâtre,
Le contact de mes lèvres échaudées
J’ai vu dans son regard, que quelque chose avait changé
Seul à seule, dans ce décor
Seule à seul, dans ce transport
Et elle contre mon corps
Resplendissante, ma belle aimante...
Je ne peux résister, de vouloir encore recommencer
Je ne peux résister de la vouloir encore...
Je ne peux plus m’en passer
Elle qui arrive à me faire tout oublier...
L'amie farouche mdr
Le Ven 09 Nov 2012, 16:07 sur L'amour en vrac, 0 commentaireL’amie farouche
Elle ne peut faire un pas sans moi
Et me suit de partout où que j’aille
Toujours prête à livrer bataille
Dés qu’on suscite mes émois
Comme si, de moi, elle ne pouvait se passer
Telle mon autre qui ne me quitte jamais
Comme si elle avait besoin de moi
Qu’il n’existait personne d’autre
Comme j’ai besoin d’elle
Qui me défend des coups bien bas
Des scélérats, voleurs et usurpateurs
Elle met fin aux discussions
Sans faire de quartier
Attention à ses décisions
Des têtes vont tomber !!!
Fine et aiguisée comme il se doit
Elle est toujours ma salvatrice...
Sa riposte donne un coup amer
Sa réplique est dévastatrice
Un goût à ne pas me déplaire
Lorsqu’elle montre le bout de sa pointe
Elle vous laisse une chance de fuir...
Elle tranche si froide et si solide
Elle laisse des traces à jamais
Je la serre si fort dans mes mains
Qu’elle en cause de grands chagrins
Mes gestes souvent si lestes,
Elle en fait tomber des vestes...
Pourtant chaque nuit dans mon lit,
Elle dort d’un sommeil paisible et léger
Mais elle bondit au moindre bruit
Que personne ne peut approcher
Épée de Damoclès, allons ! Réveille toi
Il est temps d’aller couper des têtes !!! mdr
Jeu de mains (poeme retravaillé)
Le Mer 31 Oct 2012, 20:31 sur L'amour en vrac, 0 commentaireL’étrange sensation de caresser une étoffe de soie
Le satin de ta peau,comme la douceur de tes mains
Provoquent dans mon cœur;et mon esprit,un émoi
Qui glisse,effleure et trace un nœud,comme un lien
De nos mains qui s’accouplent harmonieusement
Dans un ballet ou nos doigts s’emmêlent allègrement...
Nos paumes s’échangent des caresses de grande volupté
Nos doigts frissonnent et se mélangent avec agilité
Aucune phalange,a ce jeu bizarre,ne sera oubliée
Pour chacune,un baiser j’ai posé,avec légèreté ...
J’aime tes mains dont je suis les lignes du regard
Chaque ridule,chaque cal racontent si bien ton histoire.
Elles vibrent,et palpitent comme la veine du poignet
Ou je déposerai,avec plaisir ,délicatement mes lèvres.
Et m’abreuverai dans la paume de ces belles mains
Dans un jeu qu’on prolongera sans fin.
Figer le temps
Le Lun 22 Oct 2012, 09:30 sur L'amour en vrac, 0 commentaire
FIGER LE TEMPS (poeme retravaillé)
Je voudrais avoir l’incroyable talent
De pouvoir, un jour, arrêter le temps!
Ce triste voleur,cet affreux scélérat
Qui emporte le bonheur d’un moment
je voudrais pouvoir le stopper un instant
Pour pouvoir être auprès de toi
Sentir encore la chaleur de ton corps
Étroitement lové contre le mien
Et sentir battre ton cœur à l’unisson
Là, tous les deux on était si bien...
Pressés l’un contre l’autre à n’en former qu’un
Pouvoir encore trembler entre tes bras
Frissonner de tes belles mains apaisantes,
Ces adroites caresses dont je ne me lasse pas,
De baisoter chacune de tes phalanges,
Mon adorable petit ange.
Et couvrir de ma bouche,
En te donnant de tous petits baisers,
Ta belle peau nacrée
C’en serait un plaisir si intense
Que mon cœur cognerait trop fort
Ma respiration en deviendrait saccadée
Des perles de sueur apparaitraient
Dans le halo du rai de lumière
Qui traverserait cette fenêtre.
Dont on aura pas eu le temps
De fermer les volets
Et tout cela nous plairait finalement...
Car on aurait enfin tout le temps
Pour s’aimer comme il se doit
Je voudrais avoir l’incroyable talent
De pouvoir, un jour, arrêter le temps!
Ce triste voleur,cet affreux scélérat
Qui emporte le bonheur d’un moment
je voudrais pouvoir le stopper un instant
Pour pouvoir être auprès de toi
Sentir encore la chaleur de ton corps
Étroitement lové contre le mien
Et sentir battre ton cœur à l’unisson
Là, tous les deux on était si bien...
Pressés l’un contre l’autre à n’en former qu’un
Pouvoir encore trembler entre tes bras
Frissonner de tes belles mains apaisantes,
Ces adroites caresses dont je ne me lasse pas,
De baisoter chacune de tes phalanges,
Mon adorable petit ange.
Et couvrir de ma bouche,
En te donnant de tous petits baisers,
Ta belle peau nacrée
C’en serait un plaisir si intense
Que mon cœur cognerait trop fort
Ma respiration en deviendrait saccadée
Des perles de sueur apparaitraient
Dans le halo du rai de lumière
Qui traverserait cette fenêtre.
Dont on aura pas eu le temps
De fermer les volets
Et tout cela nous plairait finalement...
Car on aurait enfin tout le temps
Pour s’aimer comme il se doit
L'orage duo caressedesyeux/inconnu
Le Ven 03 Août 2012, 18:23 sur L'amour en vrac, 0 commentaire
Depuis l’aube, elle tourne en rond
Depuis le matin, elle se rebelle
Elle attend de ses nouvelles
Et son cœur ainsi se morfond
Il est parti à une manifestation
Afin de défendre son emploi
Il a, pour cela, pris l’avion
Elle est morte d’effroi
La radio a annoncé un orage
Couvrant toute la région
Elle a peur que ce voyage
N’ait pas de destination
Elle tourne en rond, elle se rebelle
La radio ne donne de nouvelles
L’orage gronde, le tonnerre aboie
Son cœur souffre de cet émoi
Les heures passent, monotones
La radio toujours atone
Et ces éclairs zébrant le ciel
Rendent son esprit démentiel
La pluie redouble et ses yeux larmoient :
« Pourquoi es-tu si loin de moi ? »
Elle s’accroche à la fenêtre
Et prie que l’orage s’arrête
Là-bas, au loin, l’avion s’est écrasé
Mais personne n’en a parlé
La radio est restée muette
Elle tourne en rond et s’inquiète
Elle aura bientôt des nouvelles
Et son cœur mourra de chagrin
Son amour emporté par le destin
D’un orage reprenant de plus belle.
Depuis le matin, elle se rebelle
Elle attend de ses nouvelles
Et son cœur ainsi se morfond
Il est parti à une manifestation
Afin de défendre son emploi
Il a, pour cela, pris l’avion
Elle est morte d’effroi
La radio a annoncé un orage
Couvrant toute la région
Elle a peur que ce voyage
N’ait pas de destination
Elle tourne en rond, elle se rebelle
La radio ne donne de nouvelles
L’orage gronde, le tonnerre aboie
Son cœur souffre de cet émoi
Les heures passent, monotones
La radio toujours atone
Et ces éclairs zébrant le ciel
Rendent son esprit démentiel
La pluie redouble et ses yeux larmoient :
« Pourquoi es-tu si loin de moi ? »
Elle s’accroche à la fenêtre
Et prie que l’orage s’arrête
Là-bas, au loin, l’avion s’est écrasé
Mais personne n’en a parlé
La radio est restée muette
Elle tourne en rond et s’inquiète
Elle aura bientôt des nouvelles
Et son cœur mourra de chagrin
Son amour emporté par le destin
D’un orage reprenant de plus belle.
Parfums de epiméthée
Le Ven 03 Août 2012, 18:21 sur Les liaisons sulfureuses, 0 commentaire
une merveilleuse danse de ’l’amour" la communion de deux corps qui s’unissent et qui ne font plus qu’un merci j’ai aimé vous lire c’est beau! c’est passionnant amicalement caressedesyeux
caressedesyeux

Dans les nuages
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