Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - dolce vita
La clef...
Le Sam 14 Juil 2007, 22:20 sur Mille choses, 0 commentaire
Pourquoi l’oiseau a oublié
Qu’il a donné la clef
Et s’est choisi un geolier
A lui de la récupérer
Et puis il convient de choisir
Avoir un maître ou la liberté :
les deux ne se peuvent conjuguer...
Qu’il a donné la clef
Et s’est choisi un geolier
A lui de la récupérer
Et puis il convient de choisir
Avoir un maître ou la liberté :
les deux ne se peuvent conjuguer...
Où il est question de séduction
Le Jeu 07 Juin 2007, 12:12 sur La séduction, 0 commentaire
Rêver à fleur de cil dans un rêve bleuté
et puis se réveiller pour mieux te retrouver.
Saluer l’aube claire et ce parfum exquis
qui habille les roses et qu’on nomme la vie !
Oh ! surtout ne rien regretter du passé.
Il dort, paisible et sage, ne le tourmentons pas.
Le jour point et mon corps se pare de tes doigts,
riches de toutes choses que j’apprends pas à pas.
Tu m’éveilles à ces jeux comme une adolescente
qu’un soleil éblouit et qui trouve troublantes
les heures qui nous lient !
Oh, tu es lourd de beauté mâle et cela te sied bien.
M’envoûtent tes gestes lents, précis cristaux de quartz,
m’enivrent tes parfums et ton âme, Italien !
Avec toi mille volts et tout autant de watts !
Que j’aime à t’écouter et ne me prive pas
de mieux te contempler, aussi, du bout des doigts
comme un livre sacré. Tabernacle d’amour,
je veux, puiser, ce jour et encor demain
les bienfaits de l’amour et t’en ceindre les reins...
et puis se réveiller pour mieux te retrouver.
Saluer l’aube claire et ce parfum exquis
qui habille les roses et qu’on nomme la vie !
Oh ! surtout ne rien regretter du passé.
Il dort, paisible et sage, ne le tourmentons pas.
Le jour point et mon corps se pare de tes doigts,
riches de toutes choses que j’apprends pas à pas.
Tu m’éveilles à ces jeux comme une adolescente
qu’un soleil éblouit et qui trouve troublantes
les heures qui nous lient !
Oh, tu es lourd de beauté mâle et cela te sied bien.
M’envoûtent tes gestes lents, précis cristaux de quartz,
m’enivrent tes parfums et ton âme, Italien !
Avec toi mille volts et tout autant de watts !
Que j’aime à t’écouter et ne me prive pas
de mieux te contempler, aussi, du bout des doigts
comme un livre sacré. Tabernacle d’amour,
je veux, puiser, ce jour et encor demain
les bienfaits de l’amour et t’en ceindre les reins...
Parce que l'Amour nous a sonné (sonnet)
Le Jeu 12 Avril 2007, 13:14 sur La vie à deux, 0 commentaire
(A toi)
Je sens plus ma raison mon cœur seul me suffit
J’avais bien renoncé à l’amour à ses fruits
Acceptant sans tourment de me priver de lui
Comme un deuil silencieux mes larmes étaient taries
Je me disais guérie ne voulant plus chercher
Oui, je m’étais soumise aux rigueurs imposées
Trop lasse et trop brisée j’avais cessé d’y croire
Je ne voulais plus lors cultiver nul espoir
Pensant bien que l’amour ne voulait pas de moi
L’amitié gonflait seule mes voiles d’ici bas
Et je marchais paisible et ne te voyant pas
Le Ciel dont le dessein conspirait à la joie
Me troubla à mon tour quand tu me regardas
Et l’Amour à l’Amour répondit sans combat
Je sens plus ma raison mon cœur seul me suffit
J’avais bien renoncé à l’amour à ses fruits
Acceptant sans tourment de me priver de lui
Comme un deuil silencieux mes larmes étaient taries
Je me disais guérie ne voulant plus chercher
Oui, je m’étais soumise aux rigueurs imposées
Trop lasse et trop brisée j’avais cessé d’y croire
Je ne voulais plus lors cultiver nul espoir
Pensant bien que l’amour ne voulait pas de moi
L’amitié gonflait seule mes voiles d’ici bas
Et je marchais paisible et ne te voyant pas
Le Ciel dont le dessein conspirait à la joie
Me troubla à mon tour quand tu me regardas
Et l’Amour à l’Amour répondit sans combat
à deux...
Le Mer 04 Avril 2007, 17:45 sur La vie à deux, 0 commentaire
La vie à deux se compose,
se dispose
ou s’oppose.
C’est selon.
Il a joué, j’ai gagné !
Je ne voulais pourtant que partager l’instant :
exit la compétition.
C’est triste pour lui :
Je n’ai pas joué, il a perdu...
A mes amis, Christian, Charles, Phil et les autres,
A mes amies, Yan, Flo, Françoise et les autres,
Ces moments aux couleurs de rire et de joie même mêlées de sombre ! Bon sang, avoir un coeur qui sait battre à tout rompre !
C’est bon la vie qui coule en soi !
C’est bon de peindre la vie éclatante de joie
C’est bon pour lui
C’est bon pour moi...
Pas de vérité transcendante en cela et pourtant
Je suis bien
et
Tu es là.
se dispose
ou s’oppose.
C’est selon.
Il a joué, j’ai gagné !
Je ne voulais pourtant que partager l’instant :
exit la compétition.
C’est triste pour lui :
Je n’ai pas joué, il a perdu...
A mes amis, Christian, Charles, Phil et les autres,
A mes amies, Yan, Flo, Françoise et les autres,
Ces moments aux couleurs de rire et de joie même mêlées de sombre ! Bon sang, avoir un coeur qui sait battre à tout rompre !
C’est bon la vie qui coule en soi !
C’est bon de peindre la vie éclatante de joie
C’est bon pour lui
C’est bon pour moi...
Pas de vérité transcendante en cela et pourtant
Je suis bien
et
Tu es là.
Pas sur Internet
Le Mar 20 Fév 2007, 18:46 sur Amour internet, 0 commentaire
Oui, coupdecoeur, de mon point de vue, Internet n’est pas le lieu de l’amour mais du fantasme... à vide... ou avide ?! Sans doute un peu - beaucoup - des deux !
L’amour pour être viable a besoin de s’incarner...
Ton amie,
Dolce
L’amour pour être viable a besoin de s’incarner...
Ton amie,
Dolce
Histoire d'âmes ou d'amour
Le Mer 14 Fév 2007, 20:33 sur Parler d'amour, 0 commentaire
Ce qui me manque c’est ta voix et ce qu’elle éveille,
Nos rencontres baignées de soleil,
Quand ton regard limpide embrasait le mien
Comme le nectar d’une abeille doré à point...
Ce sont nos éclats de rire et nos voix
Qui se superposaient quelques fois
Sans concertation goûtant la surprise
Nos âmes, nos coeurs, nos corps
Des retenues ou des peurs
Se moquant souvent à leur guise...
Se dévoilant sans lâcher prise...
Oh, cet émoi, cet envol
De nos esprits quittant le sol
Dans une lumière inouïe
En plein cœur du paradis
Il a fallu y renoncer
Nos bourreaux ? Nos maux, nos passés
Nos coeurs ont bien dû s’effacer.
Il n’y a plus rien à espérer
Oublier d’aimer il faudrait
Et je croyais bien chose faite
Jusqu’à ce rêve et mon réveil
Non, il me faut bien le reconnaître,
L’amour de toi n’est pas passé...
Nos rencontres baignées de soleil,
Quand ton regard limpide embrasait le mien
Comme le nectar d’une abeille doré à point...
Ce sont nos éclats de rire et nos voix
Qui se superposaient quelques fois
Sans concertation goûtant la surprise
Nos âmes, nos coeurs, nos corps
Des retenues ou des peurs
Se moquant souvent à leur guise...
Se dévoilant sans lâcher prise...
Oh, cet émoi, cet envol
De nos esprits quittant le sol
Dans une lumière inouïe
En plein cœur du paradis
Il a fallu y renoncer
Nos bourreaux ? Nos maux, nos passés
Nos coeurs ont bien dû s’effacer.
Il n’y a plus rien à espérer
Oublier d’aimer il faudrait
Et je croyais bien chose faite
Jusqu’à ce rêve et mon réveil
Non, il me faut bien le reconnaître,
L’amour de toi n’est pas passé...
Auprès de mon arbre
Le Lun 12 Fév 2007, 15:44 sur Mille choses, 0 commentaire
Très beau texte qui me fait penser à Brassens... Mais dis-moi, il est orienté "messieurs" parce qu’entre nous, les filles peuvent arroser ses racines mais de là à "pisser’ sur le tronc, non, non, faut pas rêver !!! lol !! A moins que l’arbre soit vraiment tout petit !! Mais même, je ne nous (les filles) vois pas jouer à ça
...
Dolce
...
Dolce
Chère Claude
Le Lun 12 Fév 2007, 12:24 sur Annonces, 0 commentaire
Les beaux textes : je crois ne pas trahir la pensée de PetitPrince en disant que ce site est beau de vos/nos textes !!
Bonne écriture à tous et toutes et bonne Saint Valentin. D’ailleurs et à cette occasion... si vous laissiez parler vos plumes
?!
Bises du coeur,
Dolce
Bonne écriture à tous et toutes et bonne Saint Valentin. D’ailleurs et à cette occasion... si vous laissiez parler vos plumes
?!
Bises du coeur,
Dolce
Mon coeur est plein de vous
Le Ven 26 Jan 2007, 11:58 sur Un monde parfait, 0 commentaire
Oh, mes amis, mes amis,
Dire qu’il existe l’enfermement
De ceux qui, non contents
De fermer leur porte à double tour,
Se calfeutrent le cœur en redoutant l’amour !
Oh, mes amis,
Ma maison est ouverte
Comme est ouvert mon cœur :
Je ne crains pas les pertes
Pas plus que les erreurs !
On en fait tous et c’est la vie !
Oh, mes amis, mes amis,
Et quand on se retrouve
La lumière dans nos yeux
Exprime notre joie
Nous nous sentons heureux
Nous oublions nos poids
Et s’écoulent les heures
Oh, mes amis,
Qui savez être là dans les jours de tristesse
Que j’aime à partager avec vous l’allégresse !
C’est vous qui donnez un sens à mes sourires
A ma gaieté, mes jeux et mes éclats de rire !
Et toi qui a envie de partager l’instant,
Tu es le bienvenu, mon ami, mon amant.
Et je regarde ceux qui bientôt ne sont plus
Mais auront-ils aimé et qu’auront-ils connu ?
Dire qu’il existe l’enfermement
De ceux qui, non contents
De fermer leur porte à double tour,
Se calfeutrent le cœur en redoutant l’amour !
Oh, mes amis,
Ma maison est ouverte
Comme est ouvert mon cœur :
Je ne crains pas les pertes
Pas plus que les erreurs !
On en fait tous et c’est la vie !
Oh, mes amis, mes amis,
Et quand on se retrouve
La lumière dans nos yeux
Exprime notre joie
Nous nous sentons heureux
Nous oublions nos poids
Et s’écoulent les heures
Oh, mes amis,
Qui savez être là dans les jours de tristesse
Que j’aime à partager avec vous l’allégresse !
C’est vous qui donnez un sens à mes sourires
A ma gaieté, mes jeux et mes éclats de rire !
Et toi qui a envie de partager l’instant,
Tu es le bienvenu, mon ami, mon amant.
Et je regarde ceux qui bientôt ne sont plus
Mais auront-ils aimé et qu’auront-ils connu ?
Louanges (bis)
Le Jeu 25 Jan 2007, 15:55 sur Mille choses, 0 commentaire
On cherche pompom girls pour site d’écriture !!
Y a-t-il des postulantes ?!
Dolce
PS : vous bousculez pas les filles et heu, on accepte aussi les pompom boys (ça existe ça
?! ) pour encourager nos écrivaines...
Y a-t-il des postulantes ?!
Dolce
PS : vous bousculez pas les filles et heu, on accepte aussi les pompom boys (ça existe ça
?! ) pour encourager nos écrivaines...
Louanges
Le Jeu 25 Jan 2007, 15:54 sur Mille choses, 0 commentaire
Coucou Jan,
C’est juste que j’ai coutume de dire (ou d’écrire !) ce que je pense et je trouve que tu excelles dans le genre poétique autant que dans la narration autobiographique, alors voilà
...
Surtout merci de continuer : un régal.
Bises amicales,
Dolce
C’est juste que j’ai coutume de dire (ou d’écrire !) ce que je pense et je trouve que tu excelles dans le genre poétique autant que dans la narration autobiographique, alors voilà
...
Surtout merci de continuer : un régal.
Bises amicales,
Dolce
En confidence
Le Jeu 25 Jan 2007, 12:03 sur L'amour en vrac, 0 commentaire
Je me disais, tantôt, se blottir sous la couette
Et que les jeux d’Eros provoquent la tempête :
Réchauffant notre sang, allumant notre peau,
Faisant trembler le lit de désir noble et beau !
Que nous fassions s’enfuir l’hiver qui nous étreint,
Qui fait geler nos coeurs et qui glace nos reins ;
Je t’entends murmurer et tu me fais sourire
Dans tes accents chantants c’est l’été qui s’étire...
Merci d’avoir osé, d’avoir su patienter,
Cultivant la confiance quand mes mots tergiversent
J’ai pu, sans le savoir, faire tomber la herse.
Merci d’avoir crû fort qu’on se rencontrerait.
Mon voeu, lors, est ceci et que tu t’en souviennes
Quand tu viendras ici : que le désir nous prenne.
Et que les jeux d’Eros provoquent la tempête :
Réchauffant notre sang, allumant notre peau,
Faisant trembler le lit de désir noble et beau !
Que nous fassions s’enfuir l’hiver qui nous étreint,
Qui fait geler nos coeurs et qui glace nos reins ;
Je t’entends murmurer et tu me fais sourire
Dans tes accents chantants c’est l’été qui s’étire...
Merci d’avoir osé, d’avoir su patienter,
Cultivant la confiance quand mes mots tergiversent
J’ai pu, sans le savoir, faire tomber la herse.
Merci d’avoir crû fort qu’on se rencontrerait.
Mon voeu, lors, est ceci et que tu t’en souviennes
Quand tu viendras ici : que le désir nous prenne.
Prime enfance aux teintes toujours vives
Le Jeu 25 Jan 2007, 09:56 sur Mille choses, 0 commentaire
Que de doux souvenirs images à partager
Et que tu nous fais vivre en hommage au passé
Et la force tranquille de ces lieux adorés
Où tu coulais ami des jours plein de gaieté
Raconte-nous encore ces moments d’autrefois
Non Jan n’hésite pas à faire naître la joie
S’allument bien des vies autrement éphémères
Qui sont dans l’aujourd’hui plus que l’ombre d’hier
Et revivant par toi deviennent atemporels
Ces instants et ces voix issus de ton enfance
Allume ton pinceau au feu de l’innocence
Pour que tous tes tableaux se parent du réel
Qui a bâti tes mots et fais de toi un homme
Qui porte le flambeau de toute vie en somme.
Et que tu nous fais vivre en hommage au passé
Et la force tranquille de ces lieux adorés
Où tu coulais ami des jours plein de gaieté
Raconte-nous encore ces moments d’autrefois
Non Jan n’hésite pas à faire naître la joie
S’allument bien des vies autrement éphémères
Qui sont dans l’aujourd’hui plus que l’ombre d’hier
Et revivant par toi deviennent atemporels
Ces instants et ces voix issus de ton enfance
Allume ton pinceau au feu de l’innocence
Pour que tous tes tableaux se parent du réel
Qui a bâti tes mots et fais de toi un homme
Qui porte le flambeau de toute vie en somme.
A l'ombre des pins...
Le Mer 24 Jan 2007, 20:10 sur Parler d'amour, 0 commentaire
(en clin d’oeil à Alivella et au Sud Ouest !!! )
L’océan murmure mon prénom dans l’azur
Il appelle mes pas les dirige en pensée
Le sable à mes pieds emporte mes chaussures
Et si le vent emmêle mes cheveux mes idées
Il m’a déshabillée de ma frilosité
Il me veut toute à lui toute à lui pour jouer
Plonger dans l’eau salée en être éclaboussée
D’écume se parer comme d’un drap léger
Avec les poissons d’or découvrir des trésors
Des perles de rosée des diamants étalés
A la face des eaux éblouissantes encore
Et puis, tous ruisselants dans un doux corps à corps
Revenir triomphants pêcher dans nos accords
Tendresse et douceur et puis félicité
Et que tes bras soient forts et troublants tes baisers
En caressant nos corps gagnons d’intimité
Se découvrir encore et encore s’aimer
Et sans aucun remords dans nos bras reposer...
L’océan murmure mon prénom dans l’azur
Il appelle mes pas les dirige en pensée
Le sable à mes pieds emporte mes chaussures
Et si le vent emmêle mes cheveux mes idées
Il m’a déshabillée de ma frilosité
Il me veut toute à lui toute à lui pour jouer
Plonger dans l’eau salée en être éclaboussée
D’écume se parer comme d’un drap léger
Avec les poissons d’or découvrir des trésors
Des perles de rosée des diamants étalés
A la face des eaux éblouissantes encore
Et puis, tous ruisselants dans un doux corps à corps
Revenir triomphants pêcher dans nos accords
Tendresse et douceur et puis félicité
Et que tes bras soient forts et troublants tes baisers
En caressant nos corps gagnons d’intimité
Se découvrir encore et encore s’aimer
Et sans aucun remords dans nos bras reposer...
Tableau
Le Mer 24 Jan 2007, 09:16 sur Mille choses, 0 commentaire
Les flocons surfent sur les vagues d’air froid.
Mon jardin tout doucement s’endort dans un concert de lumière, de blanc ouateux à blanc poudreux, de blanc cotonneux à blanc étincelant... Mon jardin s’endort prudemment.
Le soleil, frileux, s’enveloppe de nuages doux, si doux... Et rêve au coeur d’un sourire tendre. Ses bras ce sont faits duveteux.
Les oiseaux qui gouaillaient ces jours derniers : « avez-vous vu le prunier en fleur, avez-vous vu ? » ce sont tus. Ils sont invisibles dans l’univers blanc.... On les voyait, tournoyant, inquiets, par bandes éparses dans le ciel serein :
« Part-on au Sud cette année ?
Ne craignez-vous pas que le froid nous surprenne ?
Par mes ailes, que fait-on ?! »
Qui aura eu le dernier mot ? Le ciel est vide de leur présence.
Le vent chante à son tour et son refrain devient rengaine :
« Place, je suis le vent,
Je glace l’imprudent,
Qui fait face sans prendre de gants.
Place je suis le vent... »
Les voitures avancent, avec peine, n’osant troubler ce décor lourd de toute une féerie aérienne, de l’hiver, fêtant les amours.
Sa semence, blanche, si fine et légère, il dépose au creux de celle qu’il aime de parfaite amour. La terre, qui retient son souffle, soupire sous ses caresses de glace et jouit du jour...
Mon jardin tout doucement s’endort dans un concert de lumière, de blanc ouateux à blanc poudreux, de blanc cotonneux à blanc étincelant... Mon jardin s’endort prudemment.
Le soleil, frileux, s’enveloppe de nuages doux, si doux... Et rêve au coeur d’un sourire tendre. Ses bras ce sont faits duveteux.
Les oiseaux qui gouaillaient ces jours derniers : « avez-vous vu le prunier en fleur, avez-vous vu ? » ce sont tus. Ils sont invisibles dans l’univers blanc.... On les voyait, tournoyant, inquiets, par bandes éparses dans le ciel serein :
« Part-on au Sud cette année ?
Ne craignez-vous pas que le froid nous surprenne ?
Par mes ailes, que fait-on ?! »
Qui aura eu le dernier mot ? Le ciel est vide de leur présence.
Le vent chante à son tour et son refrain devient rengaine :
« Place, je suis le vent,
Je glace l’imprudent,
Qui fait face sans prendre de gants.
Place je suis le vent... »
Les voitures avancent, avec peine, n’osant troubler ce décor lourd de toute une féerie aérienne, de l’hiver, fêtant les amours.
Sa semence, blanche, si fine et légère, il dépose au creux de celle qu’il aime de parfaite amour. La terre, qui retient son souffle, soupire sous ses caresses de glace et jouit du jour...
dolce vita
Dans les nuages
- aime
- aimer
- ami
- amour
- bonheur
- bras
- ciel
- coeur
- coeurs
- corps
- cœur
- dolce
- douceur
- doux
- d’amour
- d’être
- désir
- envie
- femme
- force
- homme
- joie
- jusqu’à
- laisser
- larmes
- loin
- lorsque
- lumière
- l’amour
- l’autre
- monde
- mot
- mots
- nuit
- parfois
- point
- pourtant
- rire
- sens
- silence
- soleil
- souffrance
- sourire
- tendre
- tendresse
- visage
- vivre
- voix
- yeux
- âme
Tout à propos de dolce vita
| Inscrit le: | 10 Juil 2005 |
| Messages: | 368 [8.28% du total / 0.05 messages par jour] |
| Emploi: | communication |
| Rang: | ![]() Océan de plaisir |
Activité
| Forums | Activité | % Forum | % total |
|---|---|---|---|
| L'amour en vrac | 67 sur 813 | 8.24 % | 18.21 % |
| Mille choses | 52 sur 731 | 7.11 % | 14.13 % |
| Citations | 50 sur 609 | 8.21 % | 13.59 % |
| Histoires d'amour | 36 sur 320 | 11.25 % | 9.78 % |
| Un monde parfait | 32 sur 247 | 12.96 % | 8.7 % |
| Parler d'amour | 30 sur 415 | 7.23 % | 8.15 % |
| La vie à deux | 24 sur 185 | 12.97 % | 6.52 % |
| La déclaration d'amour | 13 sur 132 | 9.85 % | 3.53 % |
| La première fois | 13 sur 94 | 13.83 % | 3.53 % |
| Amour internet | 11 sur 128 | 8.59 % | 2.99 % |
| La séduction | 11 sur 210 | 5.24 % | 2.99 % |
| L’amour fantastique | 9 sur 14 | 64.29 % | 2.45 % |
| Annonces | 7 sur 41 | 17.07 % | 1.9 % |
| Les liaisons sulfureuses | 6 sur 276 | 2.17 % | 1.63 % |
| Le grimoire d'amour | 4 sur 67 | 5.97 % | 1.09 % |
| Articles | 2 sur 40 | 5 % | 0.54 % |
| Exercices de style | 1 sur 22 | 4.55 % | 0.27 % |
Les thèmes
- La séduction
- Amour internet
- La ballade amoureuse
- La première fois
- Un monde parfait
- Citations
- Le grimoire d'amour
- Les liaisons sulfureuses
- L'amour en vrac
- Parutions
- La vie à deux
- Histoires d'amour
- Articles
- Parler d'amour
- Mille choses
- Annonces
- La déclaration d'amour
- L’amour fantastique
- Textes à jalons
- Exercices de style
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