Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - dolce vita
Hommage (2)
Le Jeu 21 Déc 2006, 19:00 sur Les liaisons sulfureuses, 0 commentaire
L’écran était noir. Il était au boulot et sentait son sexe se tendre. Les images qu’il avait d’elle ne cessaient de se présenter à sa mémoire et puis, tout ce qu’il ignorait. Son imagination le rendait fou. Le grain de sa peau, sa texture, caresser ses seins durcis par le plaisir. L’humidité de son sexe... Les gestes qu’elle oserait. Elle serait capable de toutes les impertinences. Il le savait.
Il la voyait là devant lui, le défiant du regard. Svelte, ses cheveux flous cachant la moitié du visage, son sourire entendu. Elle le défierait du regard. Il le voyait. Elle resterait immobile juste le temps pour elle de poser ses yeux sur tout le corps de l’homme traçant sur lui de ses yeux clairs le chemin du supplice... Puis, insouciante, elle agirait.
Passant ses doigts sous le gilet fluo. Elle se glisserait entre lui et les étoffes qui lui tenaient lieu de carapace. Du bout de la langue, des lèvres, l’effleurant, elle parcourrait un chemin humide vertical jusqu’à ses tétons qu’elle goûterait, sucerait, lécherait, mordillerait très très doucement, les mains parcourant son dos, suivant la trajectoire de la colone jusqu’aux fesses qu’elle empoignerait. Sans qu’il ne puisse un seul geste de protestation, elle déferrait son pantalon, bouton après bouton, ou fermeture à glissière ouverte de haut en bas, le cas échéant. Là, au risque que quelqu’un vienne, qu’un collègue entre dans le bureau, elle s’avancerait jusqu’à lui, ferait tomber sur ses genoux le bleu de travail aux poches amples, une nouvelle fois, les yeux plantés dans les siens, elle caresserait son boxer, la taille, les cuisses, et puis, les points sensibles : le pénis, son gland, insistant pour le mettre au supplice, les fruits ronds de sa virilité, avec beaucoup de précision, les surlignant, les dessinant de bas en haut et de haut en bas, du bout des doigts et puis, à pleines mains... Elle le pousserait à bout...
Il la voyait là devant lui, le défiant du regard. Svelte, ses cheveux flous cachant la moitié du visage, son sourire entendu. Elle le défierait du regard. Il le voyait. Elle resterait immobile juste le temps pour elle de poser ses yeux sur tout le corps de l’homme traçant sur lui de ses yeux clairs le chemin du supplice... Puis, insouciante, elle agirait.
Passant ses doigts sous le gilet fluo. Elle se glisserait entre lui et les étoffes qui lui tenaient lieu de carapace. Du bout de la langue, des lèvres, l’effleurant, elle parcourrait un chemin humide vertical jusqu’à ses tétons qu’elle goûterait, sucerait, lécherait, mordillerait très très doucement, les mains parcourant son dos, suivant la trajectoire de la colone jusqu’aux fesses qu’elle empoignerait. Sans qu’il ne puisse un seul geste de protestation, elle déferrait son pantalon, bouton après bouton, ou fermeture à glissière ouverte de haut en bas, le cas échéant. Là, au risque que quelqu’un vienne, qu’un collègue entre dans le bureau, elle s’avancerait jusqu’à lui, ferait tomber sur ses genoux le bleu de travail aux poches amples, une nouvelle fois, les yeux plantés dans les siens, elle caresserait son boxer, la taille, les cuisses, et puis, les points sensibles : le pénis, son gland, insistant pour le mettre au supplice, les fruits ronds de sa virilité, avec beaucoup de précision, les surlignant, les dessinant de bas en haut et de haut en bas, du bout des doigts et puis, à pleines mains... Elle le pousserait à bout...
Hommage
Le Jeu 21 Déc 2006, 16:36 sur Les liaisons sulfureuses, 0 commentaire
Elle s’était déshabillée pour le bain… Bain moussant, huiles essentielles. Elle avait relevé ses cheveux. Sa peau, lisse, renvoyait doucement la lumière… Elle se laissa couler dans l’eau odorante, les cheveux calés contre la faïence. Contact de la peau tendre et chaude contre le matériau froid et dur… Contraste avec l’eau chaude à la limite du supportable mais tout en restant délicieuse. Soupir d’aise, ample, généreux… Ses lèvres s’entrouvrirent, les paupières lourdes, les cils en étoile couvrant l’iris de l’œil.
Il la savourait. Il savait qu’elle ne serait jamais sienne… Jamais. Il la connaissait dans sa presque nudité, presque. Il restait ce "presque" comme un tourment. Toutes ses terres à découvrir, tous ces oasis, ses rivières souterraines, tous ces mystères qu’il n’explorerait pas. Jamais. Elle resterait cette terra incognita comme une aventure qu’il n’avait pas eu le goût ou l’audace de conquérir. Du reste, aurait-il pu ? Ne savait-il pas bien que si elle s’était donnée avec fougue, avec volupté, elle serait restée malgré tout sauvage, entière, farouche… En un mot, libre.
Elle jouait avec la surface de l’eau, lissant de ses doigts fins l’onde blanchie d’écume parfumée… Elle avait relevé les jambes, cuisses légèrement écartées, les pieds de part et d’autre de la robinetterie. Et puis, lassée de la pose, elle s’était tournée, le bas du visage couvert d’eau, elle jouait avec l’onde qui la caressait en vagues molles…
Il voyait très bien son dos cambré et ses fesses, rondes et dures, relevées vers le ciel… Il en voulait à l’eau d’oser ses caresses intimes, elle posait ses doigts là où tout pour lui resterait mystère. Elle posait ses doigts où il aurait voulu avidement poser les lèvres… Où il aurait voulu se poser, la couvrir, la découvrir, la conquérir. Tout se troubla, Il tenta de regarder à nouveau la baigneuse, mais il ne vit plus rien qu’un écran. Noir.
Il la savourait. Il savait qu’elle ne serait jamais sienne… Jamais. Il la connaissait dans sa presque nudité, presque. Il restait ce "presque" comme un tourment. Toutes ses terres à découvrir, tous ces oasis, ses rivières souterraines, tous ces mystères qu’il n’explorerait pas. Jamais. Elle resterait cette terra incognita comme une aventure qu’il n’avait pas eu le goût ou l’audace de conquérir. Du reste, aurait-il pu ? Ne savait-il pas bien que si elle s’était donnée avec fougue, avec volupté, elle serait restée malgré tout sauvage, entière, farouche… En un mot, libre.
Elle jouait avec la surface de l’eau, lissant de ses doigts fins l’onde blanchie d’écume parfumée… Elle avait relevé les jambes, cuisses légèrement écartées, les pieds de part et d’autre de la robinetterie. Et puis, lassée de la pose, elle s’était tournée, le bas du visage couvert d’eau, elle jouait avec l’onde qui la caressait en vagues molles…
Il voyait très bien son dos cambré et ses fesses, rondes et dures, relevées vers le ciel… Il en voulait à l’eau d’oser ses caresses intimes, elle posait ses doigts là où tout pour lui resterait mystère. Elle posait ses doigts où il aurait voulu avidement poser les lèvres… Où il aurait voulu se poser, la couvrir, la découvrir, la conquérir. Tout se troubla, Il tenta de regarder à nouveau la baigneuse, mais il ne vit plus rien qu’un écran. Noir.
Elle et Lui
Le Jeu 21 Déc 2006, 12:53 sur La vie à deux, 0 commentaire
Il est silence
Elle est faconde
Il est noir
Elle est blanche
Il est nuit
Elle est jour
Il est la glace
Elle la lave
Il est distant
Elle est proche
Elle est venue
Il est départ
Elle est "oui"
Il est "non"
Elle est action
Il est contemplation
Elle est don
Il est rejet
Elle est folie
Il est raison
Elle est montée
Il est descente
Elle est infini
Il est limite
Elle.
Lui.
Elle est faconde
Il est noir
Elle est blanche
Il est nuit
Elle est jour
Il est la glace
Elle la lave
Il est distant
Elle est proche
Elle est venue
Il est départ
Elle est "oui"
Il est "non"
Elle est action
Il est contemplation
Elle est don
Il est rejet
Elle est folie
Il est raison
Elle est montée
Il est descente
Elle est infini
Il est limite
Elle.
Lui.
Lettre ouverte au Père Noël
Le Mar 19 Déc 2006, 13:27 sur Mille choses, 0 commentaire
Cher Père Noël,
Tu sais - comme moi - que je ne suis plus une petite fille et ce depuis bien des années. Néanmoins, j’entends tellement dire que je suis restée enfant que je t’écris cette lettre... Oh, tu peux te moquer de moi, ce ne seront pas les premiers sarcasmes et puis, je suis comme je suis, n’est-ce pas, si cela te fait rire alors tant mieux, c’est un peu de joie que je t’aurais donnée.
L’amour ? C’est l’amour qui est au coeur de ma demande. Car tu l’as bien compris je viens vers toi avec un coeur implorant. Père Noël, voilà bien des années que je regarde l’amour et ne le vis pas, je le contemple le nez collé contre la vitre du bonheur. Enfant on m’avait appris que l’amour se méritait, mais non, non, je sais aujourd’hui qu’il est gratuit et que, de surcroît, on en a tous besoin pour vivre. Et oui, tous autant que nous sommes. Certains le ressentent mais il reste sans objet... D’autres ont perdu le chemin de leur coeur à force d’enfermement.
Ma vie m’est presque à charge : à quoi sert de vivre si l’on ne peut remplir sa vocation, à quoi sert de ressentir l’amour lorsqu’il demeure unilatéral et qu’en fin de compte on ne ressent sa morçure que pour savoir que l’on est privé de ses joies ? Ma vocation propre est dans l’amour. L’amour, je l’espère, j’y crois naïvement à chaque instant. Cependant, il ne me reste entre les doigts - sitôt mon coeur enflammé - que des cendres : l’être aimé/aimant où est-il ? Un petit génie m’avait demandé de faire un voeu, je l’ai fait mais hélas, le génie s’est enfui avec mon voeu sous le bras et mon coeur saigne... Je suis fatiguée.
J’ai besoin d’aimer et d’être aimée Père Noël, c’est le moteur de ma vie, c’est l’amour qui me donne la force de me battre, la force d’avancer, la force de me relever.
Nous sommes nombreux à connaître la solitude du coeur, alors je t’en prie pour Noël, puisses-tu apporter à toutes ces âmes la joie de l’amour partagé. Pas des tas d’amour de surconsommation à prendre et à jeter après usage, non, l’amour, tendre et vrai, l’amour propre à chacun, à chacune.
Je t’embrasse bien doucement de tout mon coeur d’enfant puisqu’enfant il y a.
Avec une pluie de tendresse,
Dolce
Tu sais - comme moi - que je ne suis plus une petite fille et ce depuis bien des années. Néanmoins, j’entends tellement dire que je suis restée enfant que je t’écris cette lettre... Oh, tu peux te moquer de moi, ce ne seront pas les premiers sarcasmes et puis, je suis comme je suis, n’est-ce pas, si cela te fait rire alors tant mieux, c’est un peu de joie que je t’aurais donnée.
L’amour ? C’est l’amour qui est au coeur de ma demande. Car tu l’as bien compris je viens vers toi avec un coeur implorant. Père Noël, voilà bien des années que je regarde l’amour et ne le vis pas, je le contemple le nez collé contre la vitre du bonheur. Enfant on m’avait appris que l’amour se méritait, mais non, non, je sais aujourd’hui qu’il est gratuit et que, de surcroît, on en a tous besoin pour vivre. Et oui, tous autant que nous sommes. Certains le ressentent mais il reste sans objet... D’autres ont perdu le chemin de leur coeur à force d’enfermement.
Ma vie m’est presque à charge : à quoi sert de vivre si l’on ne peut remplir sa vocation, à quoi sert de ressentir l’amour lorsqu’il demeure unilatéral et qu’en fin de compte on ne ressent sa morçure que pour savoir que l’on est privé de ses joies ? Ma vocation propre est dans l’amour. L’amour, je l’espère, j’y crois naïvement à chaque instant. Cependant, il ne me reste entre les doigts - sitôt mon coeur enflammé - que des cendres : l’être aimé/aimant où est-il ? Un petit génie m’avait demandé de faire un voeu, je l’ai fait mais hélas, le génie s’est enfui avec mon voeu sous le bras et mon coeur saigne... Je suis fatiguée.
J’ai besoin d’aimer et d’être aimée Père Noël, c’est le moteur de ma vie, c’est l’amour qui me donne la force de me battre, la force d’avancer, la force de me relever.
Nous sommes nombreux à connaître la solitude du coeur, alors je t’en prie pour Noël, puisses-tu apporter à toutes ces âmes la joie de l’amour partagé. Pas des tas d’amour de surconsommation à prendre et à jeter après usage, non, l’amour, tendre et vrai, l’amour propre à chacun, à chacune.
Je t’embrasse bien doucement de tout mon coeur d’enfant puisqu’enfant il y a.
Avec une pluie de tendresse,
Dolce
Il faudra
Le Mar 19 Déc 2006, 10:25 sur Mille choses, 0 commentaire
Il faudra du temps, il faudra....
Mais je sens que mon coeur se détache peu à peu
Il faudra de l’espoir il faudra
Mais si je résiste au besoin de ta voix le soir
Je sortirai du cauchemar
Il faudra de la joie il faudra
Pour vaincre tous les désespoirs
Mais ce jour viendra tôt ou tard
L’envie de toi ne sera plus qu’un souvenir
Le manque de toi ne sera plus qu’un doux sourire...
Je t’oublierai mon amour je t’oublierai
Mais je sens que mon coeur se détache peu à peu
Il faudra de l’espoir il faudra
Mais si je résiste au besoin de ta voix le soir
Je sortirai du cauchemar
Il faudra de la joie il faudra
Pour vaincre tous les désespoirs
Mais ce jour viendra tôt ou tard
L’envie de toi ne sera plus qu’un souvenir
Le manque de toi ne sera plus qu’un doux sourire...
Je t’oublierai mon amour je t’oublierai
Unchained Melody
Le Lun 18 Déc 2006, 19:12 sur Citations, 0 commentaire
Lonely rivers flow to the sea, to the sea
To the open arms of the sea
Lonely rivers sigh, wait for me, wait for me
I’ll be coming home, wait for me
Oh, my love, my darling
I’ve hungered for your touch
A long, lonely time
And time goes by so slowly
And time can do so much
Are you still mine?
I need your love,
I oh I need your love
God speeds your love to me
Lonely rivers flow to the sea, to the sea
To the open arms of the sea
Lonely rivers sigh, wait for me, wait for me
I’ll be coming home, wait for me
Oh, my love, my darling
I’ve hungered, hungered for your touch
A long, lonely time
And time goes by so slowly
And time can do so much
Are you still mine?
I need your love,
I oh I need your love
God speeds your love to me
Gareth Gates
To the open arms of the sea
Lonely rivers sigh, wait for me, wait for me
I’ll be coming home, wait for me
Oh, my love, my darling
I’ve hungered for your touch
A long, lonely time
And time goes by so slowly
And time can do so much
Are you still mine?
I need your love,
I oh I need your love
God speeds your love to me
Lonely rivers flow to the sea, to the sea
To the open arms of the sea
Lonely rivers sigh, wait for me, wait for me
I’ll be coming home, wait for me
Oh, my love, my darling
I’ve hungered, hungered for your touch
A long, lonely time
And time goes by so slowly
And time can do so much
Are you still mine?
I need your love,
I oh I need your love
God speeds your love to me
Gareth Gates
Re: Sagesse
Le Lun 18 Déc 2006, 11:52 sur La séduction, 0 commentaire
Tu es sage mon ami mais moi je ne le suis pas plus que l’amour ne peut l’être
Je laisse consumer par la flamme qui brille en mon coeur
Toutes mes peurs
mes désillusions
mes renoncements
Je vis et comme la vie même je suis libre....
J’aime et comme l’amour même je touche à l’infini
Je laisse consumer par la flamme qui brille en mon coeur
Toutes mes peurs
mes désillusions
mes renoncements
Je vis et comme la vie même je suis libre....
J’aime et comme l’amour même je touche à l’infini
Greatest Love Of All
Le Dim 17 Déc 2006, 19:35 sur Citations, 0 commentaire
I believe that children are our future
Teach them well and let them lead the way
Show them all the beauty they possess inside
Give them a sense of pride to make it easier
Let the children’s laughter remind us how we used to be
Everybody’s searching for a hero
People need someone to look up to
I never found anyone who fulfilled my needs
A lonely place to be
And so I learned to depend on me
I decided long ago, never to walk in anyone’s shadows
If I fail, if I succeed
At least I lived as I believe
No matter what they take from me
They can’t take away my dignity
Because the greatest love of all
Is happening to me
I found the greatest love of all
Inside of me
The greatest love of all
Is easy to achieve
Learning to love yourself
It is the greatest love of all
And if by chance, that special place
That you’ve been dreaming of
Leads you to a lonely place
Find your strength in love
Whitney Houston
Teach them well and let them lead the way
Show them all the beauty they possess inside
Give them a sense of pride to make it easier
Let the children’s laughter remind us how we used to be
Everybody’s searching for a hero
People need someone to look up to
I never found anyone who fulfilled my needs
A lonely place to be
And so I learned to depend on me
I decided long ago, never to walk in anyone’s shadows
If I fail, if I succeed
At least I lived as I believe
No matter what they take from me
They can’t take away my dignity
Because the greatest love of all
Is happening to me
I found the greatest love of all
Inside of me
The greatest love of all
Is easy to achieve
Learning to love yourself
It is the greatest love of all
And if by chance, that special place
That you’ve been dreaming of
Leads you to a lonely place
Find your strength in love
Whitney Houston
Re: Comment s'en sortir ?
Le Dim 17 Déc 2006, 08:57 sur Citations, 0 commentaire
Tout en détruisant l’autre après s’en être repait... Mais surtout ne pas lâcher sa proie qu’elle n’ait donné jusqu’à la dernière goutte de son sang... Recevez, recevez mais repoussez toujours le moment de votre propre don votre jouissance n’en sera que plus grande...
Mais c’est un jeu - pervers - qui se joue à deux pas de bourreau sans victime consentante...
Mais c’est un jeu - pervers - qui se joue à deux pas de bourreau sans victime consentante...
Les larmes d’une rose...
Le Sam 16 Déc 2006, 16:55 sur L'amour en vrac, 0 commentaire
Elle l’aimait tant et tant... Il avait vécu. Comme d’autres. Il avait souffert. Il avait décidé de se taire... Savait-il ce qu’il faisait ? Ce qu’il lui faisait ? La souffrance dans son cœur ? Savait-il bien ? Ecris-moi tout ce que tu veux, tous tes mots d’amour, disait-il... La rose puisait dans sa sève, elle se mourait de lui... Mais silencieuses comme la glace les lèvres restaient serrées... Le silence répondait seul à ses mots d’amour.
But you don’t really care for roses do you ?
Le temps semblait si long à la rose, elle manquait de la lumière de son regard, de la chaleur de son être, de l’eau de son amour... Elle s’épuisait... J’ai mal, lui disait-elle.. Mais l’entendait-il ? Pourquoi ? Et des larmes de rosée perlaient à ses pétales... Il humait son parfum. Les regards ailleurs...
But you don’t really care for roses do you?
Ecris-moi disait-il... Et pour ne pas mourir du manque qu’elle ressentait elle écrivait, elle écrivait... Elle chantait comme chantent les roses dans le souffle du vent. Elle chantait comme on vit. Elle tournait ses regards vers lui mais il ne la voyait pas...
But you don’t really care for roses do you ?
Le vent a emporté les derniers pétales de la rose. Il marchait dans la rue, le vent lui jeta sur la poitrine ce frêle trophet. Il les porta à ses regards, puis quand il comprit de quoi il s’agissait, les froissa et les lança à la nuit qui tombait. Il épousseta son pardessus. Il passa son chemin...
But you don’t really care for roses do you ?
But you don’t really care for roses do you ?
Le temps semblait si long à la rose, elle manquait de la lumière de son regard, de la chaleur de son être, de l’eau de son amour... Elle s’épuisait... J’ai mal, lui disait-elle.. Mais l’entendait-il ? Pourquoi ? Et des larmes de rosée perlaient à ses pétales... Il humait son parfum. Les regards ailleurs...
But you don’t really care for roses do you?
Ecris-moi disait-il... Et pour ne pas mourir du manque qu’elle ressentait elle écrivait, elle écrivait... Elle chantait comme chantent les roses dans le souffle du vent. Elle chantait comme on vit. Elle tournait ses regards vers lui mais il ne la voyait pas...
But you don’t really care for roses do you ?
Le vent a emporté les derniers pétales de la rose. Il marchait dans la rue, le vent lui jeta sur la poitrine ce frêle trophet. Il les porta à ses regards, puis quand il comprit de quoi il s’agissait, les froissa et les lança à la nuit qui tombait. Il épousseta son pardessus. Il passa son chemin...
But you don’t really care for roses do you ?
Oxford-on-Avon
Le Sam 16 Déc 2006, 15:56 sur Histoires d'amour, 0 commentaire
Je t’imagine avec tous ces touristes, regardant, écoutant, riant, soupirant et puis, j’imagine tes regards et tes pensées s’envoler de l’autre côté du bras de mer, dans un petit coin de France que tu ne connais pas... J’imagine tes doigts effleurant mes lèvres, ton souffle courir sur ma nuque ton visage enfoui au plus tendre. Tu me respires... La musique The Tower of Learning exalte doucement notre émotion... J’imagine tes regards qui se perdent au delà du visible, au delà du temps et des lieux, au delà des personnes... Je vois tes lèvres bouger... Tu me regardes, tu as pris mes poignets dans tes mains, tes yeux qui fixent les miens et tu me parles... Je sens que ce que tu veux me dire te brûle.. Il y a si longtemps que tu as gardé prisonniers ces pauvres mots, ces mots que j’ai gardé sur mon portable, ces mots de toi, ces mots que je t’ai chanté si longtemps, si souvent, ces mots qui habitent mon coeur... Et puis, tu murmures mon prénom. Je te souris. Pour une fois, c’est moi qui fait silence, pour une fois... Je te parle mais tu es si loin. J’ai vu ton regard désemparé, j’ai deviné ta peur. J’ai pris ton visage entre mes mains, et je t’ai répondu en embrassant ta bouche comme je meurs d’envie de le faire depuis une infinité de temps... J’ai recueilli ton soupir sur mes lèvres. Careless whisper
Tu es seul au milieu d’une foule de gens, une femme à ton côté qui te parle, tu ne l’entends pas.
Tu es seul au milieu d’une foule de gens, une femme à ton côté qui te parle, tu ne l’entends pas.
Dernier appel
Le Mer 13 Déc 2006, 20:26 sur L'amour en vrac, 0 commentaire
Dernier appel et derniers mots
Que tous deux on a échangé
J’ai composé le numéro
Sachant que tu décrocherais
J’aurais voulu que tu m’ retiennes
Que tu ne me laisses pas m’éloigner
Mon coeur devant toi pleure et saigne
Et le tien tu veux l’étouffer
Tu n’as pas envie de m’aimer
Après avoir goûté mes rêves
Tu me laisses loin de tes pensées
Qui ne connaîtront pas de trêve
Puisque tu viens me hanter
A rechercher notre écriture
Nous allons bientôt nous cacher
Pour ne pas montrer nos blessures
Comme si on cessait de respirer
Et on va caresser nos noms
Sur des écrans beaucoup trop durs
A l’amour et ses rejetons
Dans la nuit nos pauvres tourments
Apparaîtront comme une injure.
Un maître on n’aura seulement
Comme le disent les livres anciens
L’amour ou l’argent et le tien
Ne laisse pas de place aux sentiments
Que tous deux on a échangé
J’ai composé le numéro
Sachant que tu décrocherais
J’aurais voulu que tu m’ retiennes
Que tu ne me laisses pas m’éloigner
Mon coeur devant toi pleure et saigne
Et le tien tu veux l’étouffer
Tu n’as pas envie de m’aimer
Après avoir goûté mes rêves
Tu me laisses loin de tes pensées
Qui ne connaîtront pas de trêve
Puisque tu viens me hanter
A rechercher notre écriture
Nous allons bientôt nous cacher
Pour ne pas montrer nos blessures
Comme si on cessait de respirer
Et on va caresser nos noms
Sur des écrans beaucoup trop durs
A l’amour et ses rejetons
Dans la nuit nos pauvres tourments
Apparaîtront comme une injure.
Un maître on n’aura seulement
Comme le disent les livres anciens
L’amour ou l’argent et le tien
Ne laisse pas de place aux sentiments
Les trois voeux
Le Mer 13 Déc 2006, 13:08 sur Mille choses, 0 commentaire
Je voudrais te détester pour arriver à ne plus t’aimer,
Transformer l’amour en haine comme tu me l’as suggéré
Je voudrais ne plus y croire que mon cœur cesse de s’affoler
Quand il croise ton regard même en pensée
Mais je t’aime, je t’aime
Et si mon coeur est lourd de peine
Je n’arrive pas à oublier
Je voudrais en dormant au moins que mon cœur se délivre
Mais même mes sentiments semblent partir à la dérive
Je ne commande rien je n’arrive pas à tourner
La page que pourtant tu as bien voulu déchirer
Oui, je t’aime, je t’aime
Malgré tout bien malgré moi
Mon cœur me répète tout bas
Je t’aime mais c’est bien vain pour toi
Je voudrais te redire que c’est l’amour qui appelait
C’est que je t’attendais à chaque mn : l’éternité
Et pour t’avoir trop aimé tu as choisi de tout casser
Mais je sais que tes regards continuent de me chercher
Et que seul dans le noir tes larmes peuvent aussi bien couler
J’ai voulu te le dire
J’ai voulu t’entendre m’aimer
Tu as choisi le pire
Et le rideau est tombé
Je n’ai pas choisi, non, je n’ai pas choisi de t’aimer
Mais c’est toute ma volonté que je mettrai à oublier
Puisque tu parles de nous comme une image du passé
Je mettrai toute mon âme
A oublier
A t’oublier...
Transformer l’amour en haine comme tu me l’as suggéré
Je voudrais ne plus y croire que mon cœur cesse de s’affoler
Quand il croise ton regard même en pensée
Mais je t’aime, je t’aime
Et si mon coeur est lourd de peine
Je n’arrive pas à oublier
Je voudrais en dormant au moins que mon cœur se délivre
Mais même mes sentiments semblent partir à la dérive
Je ne commande rien je n’arrive pas à tourner
La page que pourtant tu as bien voulu déchirer
Oui, je t’aime, je t’aime
Malgré tout bien malgré moi
Mon cœur me répète tout bas
Je t’aime mais c’est bien vain pour toi
Je voudrais te redire que c’est l’amour qui appelait
C’est que je t’attendais à chaque mn : l’éternité
Et pour t’avoir trop aimé tu as choisi de tout casser
Mais je sais que tes regards continuent de me chercher
Et que seul dans le noir tes larmes peuvent aussi bien couler
J’ai voulu te le dire
J’ai voulu t’entendre m’aimer
Tu as choisi le pire
Et le rideau est tombé
Je n’ai pas choisi, non, je n’ai pas choisi de t’aimer
Mais c’est toute ma volonté que je mettrai à oublier
Puisque tu parles de nous comme une image du passé
Je mettrai toute mon âme
A oublier
A t’oublier...
De toutes mes forces
Le Mar 12 Déc 2006, 20:35 sur Parler d'amour, 0 commentaire
Je finirai par vaincre le charme
Qui fait tourner mes regards vers ton absence
Je me répéterai que dans ton cœur
Il n’y a pas de place pour moi
Je me dirai que les cris de plaisir
Que tu m’as faite pousser n’étaient qu’un jeu pour toi
Je me rappellerai que mes appels
Te dérangeaient au lieu de te réjouir
Je reconnaîtrai que tu es noir
Comme je suis blanche
Je me convaincrai
Que tu absorbes l’amour comme la nuit la lumière
Je ne mépriserai pas toutes les contradictions
Entre tes dires et tes actes, entre tes mots
J’entendrai toute ton ironie
Donner des coups de griffe à celle qui s’offrait.
De toutes mes forces, je t’oublierai...
Qui fait tourner mes regards vers ton absence
Je me répéterai que dans ton cœur
Il n’y a pas de place pour moi
Je me dirai que les cris de plaisir
Que tu m’as faite pousser n’étaient qu’un jeu pour toi
Je me rappellerai que mes appels
Te dérangeaient au lieu de te réjouir
Je reconnaîtrai que tu es noir
Comme je suis blanche
Je me convaincrai
Que tu absorbes l’amour comme la nuit la lumière
Je ne mépriserai pas toutes les contradictions
Entre tes dires et tes actes, entre tes mots
J’entendrai toute ton ironie
Donner des coups de griffe à celle qui s’offrait.
De toutes mes forces, je t’oublierai...
Le roman était noir
Le Dim 10 Déc 2006, 15:50 sur Un monde parfait, 0 commentaire
Un personnage oublié sorti d’un livre poussiéreux
J’ai lu de toi tes coups de blues tes érections
Jusqu’à tes délectations
Je ne savais pas que je croiserais tes yeux
Me suis enfuie seulement
J’ai crû en tes maux
J’ai bu tes mots
Rêvant tes sentiments
Cigarettes et chocolat au lait
Champagne et country pies
On a tout mélangé
Jusqu’à ce que je dise « aïe »...
Je te faisais rire
Mais trop j’étais
Tu n’étais pas assez
Jusqu’à ce qu’on se déchire
Un personnage qui était devenu réalité
Mais qui restait comme en retrait
Viens, lui dis-je, viens s’te plaît
Un mot de trop et il s’est effacé...
Il ne faut pas confondre
Fiction et réalité
J’ai tendu la main vers ton ombre
Et le livre s’est refermé....
J’ai lu de toi tes coups de blues tes érections
Jusqu’à tes délectations
Je ne savais pas que je croiserais tes yeux
Me suis enfuie seulement
J’ai crû en tes maux
J’ai bu tes mots
Rêvant tes sentiments
Cigarettes et chocolat au lait
Champagne et country pies
On a tout mélangé
Jusqu’à ce que je dise « aïe »...
Je te faisais rire
Mais trop j’étais
Tu n’étais pas assez
Jusqu’à ce qu’on se déchire
Un personnage qui était devenu réalité
Mais qui restait comme en retrait
Viens, lui dis-je, viens s’te plaît
Un mot de trop et il s’est effacé...
Il ne faut pas confondre
Fiction et réalité
J’ai tendu la main vers ton ombre
Et le livre s’est refermé....
dolce vita
Dans les nuages
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Tout à propos de dolce vita
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