Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - la marquise de sade
Du début...
Le Dim 11 Juil 2004, 20:50 sur Les liaisons sulfureuses, 0 commentaire
Quitter votre femme?
Quelle pensée infâme!
Donnez moi votre flamme
C’est tout ce que je réclame.
Jamais Jouer
Toujours tendre
Mes mots modiques
Insistent innocemment
Comprends ceux-ci cher complice
Démasque des demandes démoniaques
Réponds rapidement, rhapsodie rapace,réplique rougissante
Ou ode orgiaque, on offusquera!
Quelle pensée infâme!
Donnez moi votre flamme
C’est tout ce que je réclame.
Jamais Jouer
Toujours tendre
Mes mots modiques
Insistent innocemment
Comprends ceux-ci cher complice
Démasque des demandes démoniaques
Réponds rapidement, rhapsodie rapace,réplique rougissante
Ou ode orgiaque, on offusquera!
Un sourire
Le Dim 11 Juil 2004, 02:16 sur Les liaisons sulfureuses, 0 commentaire
Le jour se lève à peine. A travers les stores de bambou, un faisceau de lumière s’est infiltré, insolent, intrépide, il glisse sur tes épaules.
Tes yeux sont clos. Sur ton visage poupin, un sourire. Ta respiration est longue, à peine audible, appaisante. Quelques cheveux sur le sommet de ton crâne se lézardent voluptueusement sur l’oreiller. Ton menton et ton cou se sont ornés de quelques poils de barbe.
Ton cou... j’en approche mes lèvres, y dépose un baiser, un effleurement. Je te respire; tu sens bon, tu sens chaud, tu sens la douceur.
Une boucle s’est glissée jusqu’à ta bouche et te réveille. Tu ouvres les yeux, me regardes, ton sourire s’elargit encore. Ta main glisse sur mon ventre et m’attire contre toi. Tu m’embrasses, fais descendre le drap de coton blanc le long de mes seins et pose ta tête sur ma poitrine.
Le soleil s’insinue et nous observe. Il nous éclaire. Tu m’éclaires. Tes doigts dessinent les contours de mes hanches, des frissons me parcourent, des soupirs s’échappent. Ta langue lentement frôle ma peau, mon ventre que tu embrasses, mon nombril que tu effleures de tes doigts. Sans un mot, tu t’allonges sur moi. Ton regard me suffit, ton sourire me nourrit, ton envie me remplit. Tu te glisses en moi doucement, je me mords les lèvres involontairement. Ta langue appaise la morsure, ton sexe satisfait ma désinvolture.
Tes va-et-vient longs et puissants, tes yeux qui explorent les miens, observant chaque émotion qu’ils transcrivent, ta bouche qui sans même me toucher m’inonde de baisers, soumettent mon corps, le saturent de plaisir, le paralysent d’orgasmes. Seuls quelques soupirs arrivent à s’échapper d’entre mes lèvres, tu les attrapes bien vite pour t’en repaître.
Jouant de mon trouble, profitant de mon abandon total, tu gardes toujours ce même sourire divin qui me conquiert. Quand ton sexe se vide en moi, quand mon corps n’est plus qu’un torrent de feu, quand mes lèvres réclament le contact des tiennes, quand mes mains usées par l’étreinte se décrispent, quand mes yeux comptent plus d’étoiles que la galaxie, tu déposes un baiser sur ma bouche, passes ta main dans mes cheveux, caresses ma joue et souries.
Le soleil est déjà haut dans le ciel quand d’un baiser sur la joue nous nous séparons. Tu repars vers ta vie, ta famille, je rentre dans ma ville, réintègre mon domicile.
Demain peut-être, dans une semaine, un mois ou quelques années, autour d’un café, d’un verre ou d’un repas, comme deux amis, deux frères, deux enfants, nous nous souviendrons du temps où nous parcourions les mers, où nous défions les règles, où tu étais magicien. Je te dirai "tu es mon héros" et tu me souriras...
La marquise... illusionniste
Tes yeux sont clos. Sur ton visage poupin, un sourire. Ta respiration est longue, à peine audible, appaisante. Quelques cheveux sur le sommet de ton crâne se lézardent voluptueusement sur l’oreiller. Ton menton et ton cou se sont ornés de quelques poils de barbe.
Ton cou... j’en approche mes lèvres, y dépose un baiser, un effleurement. Je te respire; tu sens bon, tu sens chaud, tu sens la douceur.
Une boucle s’est glissée jusqu’à ta bouche et te réveille. Tu ouvres les yeux, me regardes, ton sourire s’elargit encore. Ta main glisse sur mon ventre et m’attire contre toi. Tu m’embrasses, fais descendre le drap de coton blanc le long de mes seins et pose ta tête sur ma poitrine.
Le soleil s’insinue et nous observe. Il nous éclaire. Tu m’éclaires. Tes doigts dessinent les contours de mes hanches, des frissons me parcourent, des soupirs s’échappent. Ta langue lentement frôle ma peau, mon ventre que tu embrasses, mon nombril que tu effleures de tes doigts. Sans un mot, tu t’allonges sur moi. Ton regard me suffit, ton sourire me nourrit, ton envie me remplit. Tu te glisses en moi doucement, je me mords les lèvres involontairement. Ta langue appaise la morsure, ton sexe satisfait ma désinvolture.
Tes va-et-vient longs et puissants, tes yeux qui explorent les miens, observant chaque émotion qu’ils transcrivent, ta bouche qui sans même me toucher m’inonde de baisers, soumettent mon corps, le saturent de plaisir, le paralysent d’orgasmes. Seuls quelques soupirs arrivent à s’échapper d’entre mes lèvres, tu les attrapes bien vite pour t’en repaître.
Jouant de mon trouble, profitant de mon abandon total, tu gardes toujours ce même sourire divin qui me conquiert. Quand ton sexe se vide en moi, quand mon corps n’est plus qu’un torrent de feu, quand mes lèvres réclament le contact des tiennes, quand mes mains usées par l’étreinte se décrispent, quand mes yeux comptent plus d’étoiles que la galaxie, tu déposes un baiser sur ma bouche, passes ta main dans mes cheveux, caresses ma joue et souries.
Le soleil est déjà haut dans le ciel quand d’un baiser sur la joue nous nous séparons. Tu repars vers ta vie, ta famille, je rentre dans ma ville, réintègre mon domicile.
Demain peut-être, dans une semaine, un mois ou quelques années, autour d’un café, d’un verre ou d’un repas, comme deux amis, deux frères, deux enfants, nous nous souviendrons du temps où nous parcourions les mers, où nous défions les règles, où tu étais magicien. Je te dirai "tu es mon héros" et tu me souriras...
La marquise... illusionniste
Jolie petite histoire...
Le Dim 04 Juil 2004, 13:55 sur La séduction, 0 commentaire
Il y a quelques jours, un rayon de Soleye a traversé ma petite ville. Il en est reparti séduit... par la ville mais bien plus...
Voici ce qu’il a écrit et que je vous fais suivre, le Soleye est timide dans mon plat pays :
Déambulant dans la rue principale,
De ta petite ville provinciale
J’ai cherché, espérant t’entrevoir
Marchant sur les trottoirs fleuris
De ton petit paradis
J’ai vu s’approcher au loin un espoir
Rêvassant sous le ciel ensoleillé
De ta Belgique ignorée
Elle semblait effleurer le sol tel le jaguar
M’envolant dans un autre temps
Quelque part dans ton royaume enivrant
Elle était légère, douce, ses cheveux moires
Croisant son regard une fraction de seconde
Dans ton domaine, ton monde
Ses yeux se sont gravés dans ma mémoire
Me retournant une dernière fois
Dans cette rue, pas loin de chez toi
Je la vis s’éloigner vers d’autres regards
Dans ta petite ville provinciale,
Dans ton petit paradis,
Dans ta Belgique ignorée,
Dans ton royaume enivrant,
Dans ton domaine, ton monde,
Dans cette rue, pas loin de chez toi,
Le temps d’un regard, d’une étoile
Mon coeur éteint s’est surpris
A revivre et à espérer
Qu’encore je pouvais aimer, être amant
Qu’un instant la vie serait féconde
Et tout cela, je l’ai vécu près de chez toi...
la Marquise, plume du Soleye ...
Voici ce qu’il a écrit et que je vous fais suivre, le Soleye est timide dans mon plat pays :
Déambulant dans la rue principale,
De ta petite ville provinciale
J’ai cherché, espérant t’entrevoir
Marchant sur les trottoirs fleuris
De ton petit paradis
J’ai vu s’approcher au loin un espoir
Rêvassant sous le ciel ensoleillé
De ta Belgique ignorée
Elle semblait effleurer le sol tel le jaguar
M’envolant dans un autre temps
Quelque part dans ton royaume enivrant
Elle était légère, douce, ses cheveux moires
Croisant son regard une fraction de seconde
Dans ton domaine, ton monde
Ses yeux se sont gravés dans ma mémoire
Me retournant une dernière fois
Dans cette rue, pas loin de chez toi
Je la vis s’éloigner vers d’autres regards
Dans ta petite ville provinciale,
Dans ton petit paradis,
Dans ta Belgique ignorée,
Dans ton royaume enivrant,
Dans ton domaine, ton monde,
Dans cette rue, pas loin de chez toi,
Le temps d’un regard, d’une étoile
Mon coeur éteint s’est surpris
A revivre et à espérer
Qu’encore je pouvais aimer, être amant
Qu’un instant la vie serait féconde
Et tout cela, je l’ai vécu près de chez toi...
la Marquise, plume du Soleye ...
Appetitanesque...
Le Mar 22 Juin 2004, 17:47 sur Les liaisons sulfureuses, 0 commentaire
Puisque d’institutriste vous m’avez transformée en gourmandine
Dandydote de mes nuits semainambules,
Poursuivons sans faim ce jeu de satiété.
Les âmes tendres, mailington de nos experditions,
Nous explobservent fleurter et nous ambrehumer l’esprit.
Mon dictionnerf de rimes, chérurbain vous malmenez,
Mais ces exercices orgasismiques me rejouissent.
Attentation, si le kharma-sutra nous piège,
notre rendons-nous sera plus que de la solhilarité
Mais bel et bien une rencontre virtréelle...
Dandydote de mes nuits semainambules,
Poursuivons sans faim ce jeu de satiété.
Les âmes tendres, mailington de nos experditions,
Nous explobservent fleurter et nous ambrehumer l’esprit.
Mon dictionnerf de rimes, chérurbain vous malmenez,
Mais ces exercices orgasismiques me rejouissent.
Attentation, si le kharma-sutra nous piège,
notre rendons-nous sera plus que de la solhilarité
Mais bel et bien une rencontre virtréelle...
Obsession
Le Mar 22 Juin 2004, 17:46 sur Les liaisons sulfureuses, 0 commentaire
Quand la fin du jour laisse sur ma peau ses reflets azurés
Allongée sur le velours rouge de mon canapé
Le corps en feu, l’esprit éloigné
C’est ton arrivée qui s’annonce
Quand mes doigts possédés glissent le long de mes seins dressés
Ouverte sur le tissu velouté de mon lit déplié
Les mains avides, la respiration saccadée
C’est ton prénom que j’énonce
Quand mes lèvres rosées s’entrouvrent inspirées
Espérant que sur elles se pose un baiser
La bouche gourmande, dans un soupir étouffé
C’est ton nom que je prononce
Quand le plaisir me submerge incontrôlé
Paralysée par l’orgasme démesuré
Le cœur à l’agonie, les cuisses tétanisées
C’est à toi que je renonce
Allongée sur le velours rouge de mon canapé
Le corps en feu, l’esprit éloigné
C’est ton arrivée qui s’annonce
Quand mes doigts possédés glissent le long de mes seins dressés
Ouverte sur le tissu velouté de mon lit déplié
Les mains avides, la respiration saccadée
C’est ton prénom que j’énonce
Quand mes lèvres rosées s’entrouvrent inspirées
Espérant que sur elles se pose un baiser
La bouche gourmande, dans un soupir étouffé
C’est ton nom que je prononce
Quand le plaisir me submerge incontrôlé
Paralysée par l’orgasme démesuré
Le cœur à l’agonie, les cuisses tétanisées
C’est à toi que je renonce
De son côté à lui...
Le Mar 22 Juin 2004, 17:45 sur La séduction, 0 commentaire
Ce matin, à la boulangerie,
Dans un rayon de soleil, elle lui a souri
Elle portait une robe, était jolie
Quand elle l’a vu, elle a rougi.
Elle attendait son tour
Il décrivait ses contours
Elle s’est retournée, a fait demi-tour
Si ça pouvait durer toujours!
Sur son épaule, la bretelle a glissé
Il a regardé cette alliée improvisée
Aurait voulu être à sa place, toucher
Du bout des doigts sa peau veloutée
Elle l’a remonté, amusée de cette insolente
Qui ose alors qu’eux depuis des mois patientent
Observant à la dérobée leur vie enivrante
Sans jamais s’avouer cette passion brûlante
Elle semblait attendre, qu’enfin un mot il ose
Il n’osait espérer qu’elle accepte ce dîner qu’il propose
Elle a dit: "Oui, bien sur!". Un mot et son coeur explose
Ce soir, 20h, il l’attendra avec un bouquet de roses.
Dans un rayon de soleil, elle lui a souri
Elle portait une robe, était jolie
Quand elle l’a vu, elle a rougi.
Elle attendait son tour
Il décrivait ses contours
Elle s’est retournée, a fait demi-tour
Si ça pouvait durer toujours!
Sur son épaule, la bretelle a glissé
Il a regardé cette alliée improvisée
Aurait voulu être à sa place, toucher
Du bout des doigts sa peau veloutée
Elle l’a remonté, amusée de cette insolente
Qui ose alors qu’eux depuis des mois patientent
Observant à la dérobée leur vie enivrante
Sans jamais s’avouer cette passion brûlante
Elle semblait attendre, qu’enfin un mot il ose
Il n’osait espérer qu’elle accepte ce dîner qu’il propose
Elle a dit: "Oui, bien sur!". Un mot et son coeur explose
Ce soir, 20h, il l’attendra avec un bouquet de roses.
21 juin
Le Mar 22 Juin 2004, 17:43 sur Amour internet, 0 commentaire
Tu m’avais emmenée
Le long des quais me promener
Tu m’avais fait découvrir
Ta ville, Paris, ton empire.
Tu m’avais prise par la main
Guidée au hasard des chemins
Tu m’avais emportée
Loin de ma prison dorée.
Je portais la dentelle et le cuir
Nos évasions, nos fantasmes, nos soupirs.
Je portais la petite robe espérée
Celle que tu m’avais demandée
Je portais sur mon visage le bonheur
Un an, douze mois, mille heures
Je portais en moi les espoirs
Qu’avec toi plus rien ne serait noir.
Nous étions deux enfants
Avides de liberté, de rêves et d’amour
Nous étions deux géants
Convaincus d’avoir fini le parcours
Nous étions deux insolents
Plus forts que tous ces vautours
Nous étions deux inconscients
Oubliant qu’un écran n’est pas le jour...
Nous avions choisi le vingt et un
Au hasard, comme on prend un train
Ne sachant plus très bien
Le début, la rencontre, l’amitié, la faim
Nous avions pris cette date
Nous avions conclu un pacte
Toi là-bas, moi ici, nous ensembles...
Moi ici, toi là-bas, j’en tremble...
J’ai sorti la dentelle et le cuir
Enfilé la robe noire et je soupire...
Cette année pour notre anniversaire
Je n’ai que mes souvenirs et ce goût amer...
Le long des quais me promener
Tu m’avais fait découvrir
Ta ville, Paris, ton empire.
Tu m’avais prise par la main
Guidée au hasard des chemins
Tu m’avais emportée
Loin de ma prison dorée.
Je portais la dentelle et le cuir
Nos évasions, nos fantasmes, nos soupirs.
Je portais la petite robe espérée
Celle que tu m’avais demandée
Je portais sur mon visage le bonheur
Un an, douze mois, mille heures
Je portais en moi les espoirs
Qu’avec toi plus rien ne serait noir.
Nous étions deux enfants
Avides de liberté, de rêves et d’amour
Nous étions deux géants
Convaincus d’avoir fini le parcours
Nous étions deux insolents
Plus forts que tous ces vautours
Nous étions deux inconscients
Oubliant qu’un écran n’est pas le jour...
Nous avions choisi le vingt et un
Au hasard, comme on prend un train
Ne sachant plus très bien
Le début, la rencontre, l’amitié, la faim
Nous avions pris cette date
Nous avions conclu un pacte
Toi là-bas, moi ici, nous ensembles...
Moi ici, toi là-bas, j’en tremble...
J’ai sorti la dentelle et le cuir
Enfilé la robe noire et je soupire...
Cette année pour notre anniversaire
Je n’ai que mes souvenirs et ce goût amer...
Abandon total
Le Ven 04 Juin 2004, 12:49 sur Les liaisons sulfureuses, 0 commentaire
Il avait voulu dans son pli,
Introduisant dans la situation
Un air plus fripon
Qu’ici nous nous livrions
A d’obscurs attraits.
Damnation sous un plafond
Imagination sans fond
Parcours pour divagation
Chaos vacillant mais troublant
Nous jouissons à nos mots sournois
Qui font pâlir l’individu,
Mais jouir nos chairs sans fin.
Tard dans la nuit,
Accordons nos cris dans un long soupir
Nos voix hurlant à l’unisson
Sur un banc ou sur un lit,
Sous un arc ou un motif connu
Coup mordant ou cou mordu
Tant qu’il y a du cul,
Un coup pour moi, un coup pour lui !
Introduisant dans la situation
Un air plus fripon
Qu’ici nous nous livrions
A d’obscurs attraits.
Damnation sous un plafond
Imagination sans fond
Parcours pour divagation
Chaos vacillant mais troublant
Nous jouissons à nos mots sournois
Qui font pâlir l’individu,
Mais jouir nos chairs sans fin.
Tard dans la nuit,
Accordons nos cris dans un long soupir
Nos voix hurlant à l’unisson
Sur un banc ou sur un lit,
Sous un arc ou un motif connu
Coup mordant ou cou mordu
Tant qu’il y a du cul,
Un coup pour moi, un coup pour lui !
Comptine de vie
Le Jeu 03 Juin 2004, 08:55 sur La vie à deux, 0 commentaire
Un déserteur de ses sentiments
Un légionnaire de leurs tourments
Une de plus ou une de moins
Pour faire avec lui un bout de chemin
Une amazone de la vie
Une maîtresse de ses nuits
Un de plus à inspirer
Un de moins à supporter
Deux êtres qui errent
A la recherche d’un nouvel adversaire
Celui qui pourra les mettre en émoi
Avec qui ils accorderont plus qu’un mois
Deux minutes partagées
Le temps d’un regard étonné
Quelle est cette sensation subjuguante
Cette envie enivrante?
Trois, elle, lui, eux
De balades tendres en jeux amoureux
De découvertes en partages d’essence
Leur vie enfin prend un sens
Trois, je ne veux que toi
Ensembles, ils passent le pas
Pour le meilleur et pour le pire
Une promesse de toujours garder le désir
Quatre kilos s’ajoutent
Son ventre, preuve de leur joute
Il s’arrondit de jour en jour
Le symbole de leur amour
Quatre pattes, maman, papa
Bébé s’endort entre leurs bras
Ils le regardent attendri
Aucun doute, tout commence ici
Cinq à sept après le bureau
Quelques galipettes, un appel, un texto
"Imprévu, rentrerai tard"
L’imprévu a 18 ans, le laisse hagard
Cinq minutes de remords
Prendre possession de son corps
Une de plus ou une de moins
Pour alléger son chemin
Six ans et ce petit garçon blond
Qui le regarde derrière la cloison
Oublier sous la douche
Le goût de sa bouche
Six fois qu’il recommence sa lettre
Il ne trouve pas les mots à mettre
Je te quitte aujourd’hui
Comprends-moi je t’en prie
Sept mois de procédure
Les menaces, les larmes, les injures
Leur amour partagé, étalé
Les week-end et les vacances d’été
Huis clos dans son malheur
Il lui faudra du temps et des pleurs
Espérer qu’un soir à sa porte
Il frappe et l’emporte
Neuf et libre de ses promesses
Il repart faire son business
Persuadé d’avoir tout gagné
Déserteur de la vérité
Dix vers pour résumer
Une histoire que vous connaissez
Une amie, une soeur, vous peut-être
Avez en vous ce souvenir funèbre.
Un légionnaire de leurs tourments
Une de plus ou une de moins
Pour faire avec lui un bout de chemin
Une amazone de la vie
Une maîtresse de ses nuits
Un de plus à inspirer
Un de moins à supporter
Deux êtres qui errent
A la recherche d’un nouvel adversaire
Celui qui pourra les mettre en émoi
Avec qui ils accorderont plus qu’un mois
Deux minutes partagées
Le temps d’un regard étonné
Quelle est cette sensation subjuguante
Cette envie enivrante?
Trois, elle, lui, eux
De balades tendres en jeux amoureux
De découvertes en partages d’essence
Leur vie enfin prend un sens
Trois, je ne veux que toi
Ensembles, ils passent le pas
Pour le meilleur et pour le pire
Une promesse de toujours garder le désir
Quatre kilos s’ajoutent
Son ventre, preuve de leur joute
Il s’arrondit de jour en jour
Le symbole de leur amour
Quatre pattes, maman, papa
Bébé s’endort entre leurs bras
Ils le regardent attendri
Aucun doute, tout commence ici
Cinq à sept après le bureau
Quelques galipettes, un appel, un texto
"Imprévu, rentrerai tard"
L’imprévu a 18 ans, le laisse hagard
Cinq minutes de remords
Prendre possession de son corps
Une de plus ou une de moins
Pour alléger son chemin
Six ans et ce petit garçon blond
Qui le regarde derrière la cloison
Oublier sous la douche
Le goût de sa bouche
Six fois qu’il recommence sa lettre
Il ne trouve pas les mots à mettre
Je te quitte aujourd’hui
Comprends-moi je t’en prie
Sept mois de procédure
Les menaces, les larmes, les injures
Leur amour partagé, étalé
Les week-end et les vacances d’été
Huis clos dans son malheur
Il lui faudra du temps et des pleurs
Espérer qu’un soir à sa porte
Il frappe et l’emporte
Neuf et libre de ses promesses
Il repart faire son business
Persuadé d’avoir tout gagné
Déserteur de la vérité
Dix vers pour résumer
Une histoire que vous connaissez
Une amie, une soeur, vous peut-être
Avez en vous ce souvenir funèbre.
Un aurevoir
Le Mar 01 Juin 2004, 10:02 sur Amour internet, 0 commentaire
Deux ans de confidences pour dans un dernier sursaut
Porter le coup de grâce, tirer ta révérence.
Je te laisse t’envoler, va, va voir plus haut
Glisse vers d’autres âmes, vers d’autres peaux.
Je te laisse t’échapper, cherche, cherche la délivrance
Trouve ce qui te manque, fouille dans ton enfance.
Je te laisse m’oublier, fuis, fuis loin de mes eaux
Nage jusqu’au rivage, embarque sur un autre vaisseau.
J’ai voulu te garder,
Tu connais ma possessivité
J’ai voulu être le centre de ton monde
Avec cet egocentrisme immonde
J’ai allumé le feu telle une pyromane
Tu sais qu’on me dit nymphomane
Tu reconnaitras ces mots qu’on m’accolle
Je les arbore fièrement comme une corolle
Par fierté, tu ne me quittes pas, je te chasse
Pour ne pas souffrir, je ne pleure pas, je t’efface
Pour ne pas me perdre, avant de m’éteindre, comme un anathème
Dans un dernier soupir, un dernier frisson, je t’...
Isa ...
... Fin de l’inaccessible e_toile
Porter le coup de grâce, tirer ta révérence.
Je te laisse t’envoler, va, va voir plus haut
Glisse vers d’autres âmes, vers d’autres peaux.
Je te laisse t’échapper, cherche, cherche la délivrance
Trouve ce qui te manque, fouille dans ton enfance.
Je te laisse m’oublier, fuis, fuis loin de mes eaux
Nage jusqu’au rivage, embarque sur un autre vaisseau.
J’ai voulu te garder,
Tu connais ma possessivité
J’ai voulu être le centre de ton monde
Avec cet egocentrisme immonde
J’ai allumé le feu telle une pyromane
Tu sais qu’on me dit nymphomane
Tu reconnaitras ces mots qu’on m’accolle
Je les arbore fièrement comme une corolle
Par fierté, tu ne me quittes pas, je te chasse
Pour ne pas souffrir, je ne pleure pas, je t’efface
Pour ne pas me perdre, avant de m’éteindre, comme un anathème
Dans un dernier soupir, un dernier frisson, je t’...
Isa ...
... Fin de l’inaccessible e_toile
Portrait chinois
Le Dim 30 Mai 2004, 21:03 sur L'amour en vrac, 0 commentaire
Si tu étais un dessert, tu serais une glace au citron.
Froid, amer, acide à la première bouchée,
Ta saveur tendre, douce et sucrée
Se dévoile et explose en mille neutrons
Si tu étais un personnage célèbre, tu serais le soldat inconnu.
Tous te connaissent et attestent de ta valeur,
Mais aucun ne connait tes combats, ce que recèlent tes profondeurs
Seul au milieu de tous, jamais tu ne mets ton âme à nu
Si tu étais un moment de la journée, tu serais la seconde avant le lever du soleil
Jamais totalement la nuit, jamais totalement le jour
Tu navigues entre deux mondes cherchant depuis toujours
La vie qui sera la tienne, tu attends l’éveil
Si tu étais un tableau, tu serais "La grande famille" ( Magritte)
Au milieu de ta tempète, perdu en pleine mer
Tu gardes au fond de toi, un petit coin de mystère
Un lieu de repos, une presqu’île
Si tu étais un phénomène naturel, tu serais la rosée
Tu apparais dans mes pensées le matin,
Comme un souvenir de mes rêves coquins
Qui me laisse humide et rassasiée
Si tu étais une chanson, tu serais "Le SOS d’un terrien en détresse"
Tu as parfois trop les pieds sur terre
Te demandant où est ta place, tu t’enterres
Ecoute ma voix, oublie ta tristesse.
Et pour vous... que serait-il/elle ?
Froid, amer, acide à la première bouchée,
Ta saveur tendre, douce et sucrée
Se dévoile et explose en mille neutrons
Si tu étais un personnage célèbre, tu serais le soldat inconnu.
Tous te connaissent et attestent de ta valeur,
Mais aucun ne connait tes combats, ce que recèlent tes profondeurs
Seul au milieu de tous, jamais tu ne mets ton âme à nu
Si tu étais un moment de la journée, tu serais la seconde avant le lever du soleil
Jamais totalement la nuit, jamais totalement le jour
Tu navigues entre deux mondes cherchant depuis toujours
La vie qui sera la tienne, tu attends l’éveil
Si tu étais un tableau, tu serais "La grande famille" ( Magritte)
Au milieu de ta tempète, perdu en pleine mer
Tu gardes au fond de toi, un petit coin de mystère
Un lieu de repos, une presqu’île
Si tu étais un phénomène naturel, tu serais la rosée
Tu apparais dans mes pensées le matin,
Comme un souvenir de mes rêves coquins
Qui me laisse humide et rassasiée
Si tu étais une chanson, tu serais "Le SOS d’un terrien en détresse"
Tu as parfois trop les pieds sur terre
Te demandant où est ta place, tu t’enterres
Ecoute ma voix, oublie ta tristesse.
Et pour vous... que serait-il/elle ?
Premiers mots.
Le Dim 30 Mai 2004, 19:10 sur Les liaisons sulfureuses, 0 commentaire
J’en ai rêvé de votre réponse, ma raison refuse, mais mon coeur
accepte et veut y croire. Que pour vous aussi,
votre émotion était grande devant ce spectacle au point de me faire
proposition d’un après-midi en votre compagnie. Si nous nous
Retrouvons et pouvons à loisir parler de peinture,
nous extasier, nous prendre au jeu de l’artiste
devant tant de beauté. Alors nous laisserons parler notre imagination en effleurant
ce magnifique nu plein de charmes de
Botticelli, où je rencontrerai encore une fois mon maître.
Prenez votre temps, rien ne presse, j’ai besoin quant à
moi de goûter chaque parcelle de ce moment qui sera
dans ma découverte de l’art
un merveilleux souvenir que je rangerai soigneusement dans un
coin de ma mémoire.
Je suis très impatiente de
vous retrouver. Enfin je
sucerai toute l’essence de cet artiste et pour terminer
la journée, je serai ravie de découvrir votre demeure et de partir sur une autre or-
bite guidée par vos soins.
La marquise
accepte et veut y croire. Que pour vous aussi,
votre émotion était grande devant ce spectacle au point de me faire
proposition d’un après-midi en votre compagnie. Si nous nous
Retrouvons et pouvons à loisir parler de peinture,
nous extasier, nous prendre au jeu de l’artiste
devant tant de beauté. Alors nous laisserons parler notre imagination en effleurant
ce magnifique nu plein de charmes de
Botticelli, où je rencontrerai encore une fois mon maître.
Prenez votre temps, rien ne presse, j’ai besoin quant à
moi de goûter chaque parcelle de ce moment qui sera
dans ma découverte de l’art
un merveilleux souvenir que je rangerai soigneusement dans un
coin de ma mémoire.
Je suis très impatiente de
vous retrouver. Enfin je
sucerai toute l’essence de cet artiste et pour terminer
la journée, je serai ravie de découvrir votre demeure et de partir sur une autre or-
bite guidée par vos soins.
La marquise
Panier garni ...
Le Dim 30 Mai 2004, 13:59 sur Articles, 0 commentaire
Dans la série, la langue française et ses métaphores :
Mettre la main au panier
L’expression date du 19ème siècle, où l’emploi du terme " panier " désignait métaphoriquement le " derrière "... considéré comme, excusez du peu de classe de l’expression, un " panier à crottes "...
C’est clair. Net. Précis. A défaut d’être gracieux cela a au moins le mérite d’être imagé.
L’expression se veut coquine, la main aussi...
La marquise... petit chaperon qui s’en va avec son petit panier chez sa mère-grand
Mettre la main au panier
L’expression date du 19ème siècle, où l’emploi du terme " panier " désignait métaphoriquement le " derrière "... considéré comme, excusez du peu de classe de l’expression, un " panier à crottes "...
C’est clair. Net. Précis. A défaut d’être gracieux cela a au moins le mérite d’être imagé.
L’expression se veut coquine, la main aussi...
La marquise... petit chaperon qui s’en va avec son petit panier chez sa mère-grand

Petit dictionnaire : Battre la chamade
Le Dim 30 Mai 2004, 01:05 sur Articles, 0 commentaire
Une nouvelle petite explication concernant une expression de la langue française :
Avoir le coeur qui bat la chamade`
La "chamade" est un roulement de tambour militaire, et aussi une sonnerie de trompette.
" C’est un ancien son du tambour ou de la trompette, que donne un ennemi pour signal qu’il a quelque proposition à faire au commandant, soit pour capituler, soir pour avoir permission de retirer des morts, faire une trêve." ( Furedère)
Un coeur qui bat la chamade est un coeur près de succomber au charme de l’adversaire, qui n’en peut plus... Un coeur qui se rend.
La marquise ... maitre Capello
Avoir le coeur qui bat la chamade`
La "chamade" est un roulement de tambour militaire, et aussi une sonnerie de trompette.
" C’est un ancien son du tambour ou de la trompette, que donne un ennemi pour signal qu’il a quelque proposition à faire au commandant, soit pour capituler, soir pour avoir permission de retirer des morts, faire une trêve." ( Furedère)
Un coeur qui bat la chamade est un coeur près de succomber au charme de l’adversaire, qui n’en peut plus... Un coeur qui se rend.
La marquise ... maitre Capello

Inspiration
Le Dim 30 Mai 2004, 00:29 sur Les liaisons sulfureuses, 0 commentaire
Joli passant,
Comment expliquer l’émotion qui s’est emparée de moi... Comment justifier les sensations qui ont envahies mon corps... Comment oublier les idées qui envoutent mon âme depuis que je vous ai croisé jeudi dans ce musée.
Vous regardiez une toile de Botticelli, votre visage était grave, vos yeux fixés sur les formes, les caressant de votre regard. Dieu que j’aurais aimé être ces courbes. Que n’aurais-je pas donné pour que le trouble que vous arboriez face à ces couleurs vous les ressentiez face à mes envies.
Je vous écris ces quelques mots, guidée sans doute par le démon qui s’est emparé de mon corps, par les pulsions que je ressens dans le bas de mon ventre. Cette envie violente que vous me pénétriez de la même manière que cette toile vous imprégnait, je l’ai ressentie dès que j’ai croisé votre parfum.
Joli passant, bel inconnu, si de ce tableau qui aurait pu être le témoin de nos ébats je n’ai que rêver, que ce morceau de papier que je vous envois éveille en vous le même émoi que celui qui m’obsède encore aujourd’hui... Devenez mon amant épistolaire, soyez mon sexe littéraire, répondez à mes avances et faites-moi jouir littéralement!
La marquise
Comment expliquer l’émotion qui s’est emparée de moi... Comment justifier les sensations qui ont envahies mon corps... Comment oublier les idées qui envoutent mon âme depuis que je vous ai croisé jeudi dans ce musée.
Vous regardiez une toile de Botticelli, votre visage était grave, vos yeux fixés sur les formes, les caressant de votre regard. Dieu que j’aurais aimé être ces courbes. Que n’aurais-je pas donné pour que le trouble que vous arboriez face à ces couleurs vous les ressentiez face à mes envies.
Je vous écris ces quelques mots, guidée sans doute par le démon qui s’est emparé de mon corps, par les pulsions que je ressens dans le bas de mon ventre. Cette envie violente que vous me pénétriez de la même manière que cette toile vous imprégnait, je l’ai ressentie dès que j’ai croisé votre parfum.
Joli passant, bel inconnu, si de ce tableau qui aurait pu être le témoin de nos ébats je n’ai que rêver, que ce morceau de papier que je vous envois éveille en vous le même émoi que celui qui m’obsède encore aujourd’hui... Devenez mon amant épistolaire, soyez mon sexe littéraire, répondez à mes avances et faites-moi jouir littéralement!
La marquise
la marquise de sade

Dans les nuages
- aime
- amour
- bout
- bras
- celle
- cheveux
- cling
- coeur
- corps
- côté
- devant
- doigts
- douceur
- doute
- envie
- esprit
- femme
- femmes
- grin
- jeu
- joue
- jours
- langue
- loin
- l’amour
- l’autre
- lèvres
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- mains
- marquise
- monde
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Tout à propos de la marquise de sade
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