Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - PetitPrince
L'adieu
Le Mar 31 Août 2004, 14:07 sur Un monde parfait, 0 commentaire
Au nom du site, je te souhaite bonne route. Que celle-ci t’amène en des lieux privilègiés, où tu brilleras comme ici tu as brillé. Pas de longs discours, aprés tout on s’est vraiment faché.
Comprendre
Le Mar 31 Août 2004, 12:45 sur La séduction, 0 commentaire
Comprendre ? Oh que oui, malhereusement, et ce depuis un moment!
Tes propos me déçoivent, mais ne me surprennent pas.
Effectivement, ton effronterie habituelle, ta volonté de briller, ton indifférence aux conséquences de ces agissements, se traduit une fois de plus par un conflit sur le site des âmes tendres. Comment veux tu persister à dire que ce tu fais est beau devant une telle démonstration ?
Je souris aux mots « Faire de moi ton amant ». J’aurais été alors un autre homme objet qui tombe entre tes mains, c’est ça ? Cette façon de parler ne traduit elle pas ce qui sous tendait la façon de séduire que je critiquais, et dont tu as choisi arbitrairement de m’affubler ? Finalement, tu viens de nous prouver en deux mots gorgés d’orgueil que c’est la tienne.
L’acte ne vaut que par l’intention. Tes actes sont jolis d’apparence, mais je n’aime pas ce qui les anime. Et effectivement, je ne suis pas le seul. Peut être devrais tu songer qu’il y a un vent de vérité dans les critiques qui te sont formulées.
Je combattrai toujours ardemment les femmes dans ton genre. Celles-ci qui croyant bien faire parce que centrées sur elles même. Celles-ci qui n’imaginent pas une seule seconde les conséquences réelles de leurs actes dans le cœur de leurs amants. Celles qui avec le temps dévoilent le visage de l’horreur derrière un regard manipulateur. Celles qui prétextent la beauté en servant la laideur. Pour certain, c’est peu de choses que ces travers là, pour moi c’est énorme.
Rien ne dure, et notre belle histoire se meurt dans ces lignes.
Tes propos me déçoivent, mais ne me surprennent pas.
Effectivement, ton effronterie habituelle, ta volonté de briller, ton indifférence aux conséquences de ces agissements, se traduit une fois de plus par un conflit sur le site des âmes tendres. Comment veux tu persister à dire que ce tu fais est beau devant une telle démonstration ?
Je souris aux mots « Faire de moi ton amant ». J’aurais été alors un autre homme objet qui tombe entre tes mains, c’est ça ? Cette façon de parler ne traduit elle pas ce qui sous tendait la façon de séduire que je critiquais, et dont tu as choisi arbitrairement de m’affubler ? Finalement, tu viens de nous prouver en deux mots gorgés d’orgueil que c’est la tienne.
L’acte ne vaut que par l’intention. Tes actes sont jolis d’apparence, mais je n’aime pas ce qui les anime. Et effectivement, je ne suis pas le seul. Peut être devrais tu songer qu’il y a un vent de vérité dans les critiques qui te sont formulées.
Je combattrai toujours ardemment les femmes dans ton genre. Celles-ci qui croyant bien faire parce que centrées sur elles même. Celles-ci qui n’imaginent pas une seule seconde les conséquences réelles de leurs actes dans le cœur de leurs amants. Celles qui avec le temps dévoilent le visage de l’horreur derrière un regard manipulateur. Celles qui prétextent la beauté en servant la laideur. Pour certain, c’est peu de choses que ces travers là, pour moi c’est énorme.
Rien ne dure, et notre belle histoire se meurt dans ces lignes.
La conquéte
Le Mar 31 Août 2004, 11:17 sur La séduction, 0 commentaire
Il y a deux choses que je souhaite mettre en lumière, la première, concernant l’amertume que j’interpretais en tes lignes :
Je ne vois aucune equivoque quant au sens à donner à ces lignes.
Le deuxième point que je souhaite éclaircir, c’est le rapport entre la séduction et l’amour qui semble encore confus dans tes propos.
Milles mondes bondiront d’éffroi, en lisant la première phrase, mais c’est sur la suite que je souhaite intervenir. Dans mon discours, la séduction est un acte intentionnel, c’est une chasse, c’est un jeu. Agréable, flatteur mais qui n’a rien de fondamentalement beau. Juste une comédie amusante que font des don juan ou des messalines avec plus ou moins de talent. Ce n’est pas du tout ce que tu décris dans la fin de ce paragraphe, qui s’apparente plus à une relation saine et normale . Les moments ou les murs tombent, et les émotions naissent, ne sont pas du ressort de la séduction, mais rejoignent les façons naturelles de fusionner avec un être cher. En d’autres termes, il n’est pas nécessaire de passer par un savant jeu de séduction pour vivre ces moments beaux et fragiles que tu evoque.
Séduire, ca rime avec conquérir, ca sent l’artifice, et ca utilise la finesse. Un seducteur est par essence même, un menteur, qu’il en soit conscient ou non. Ses mensonges et tromperies lui permettront de conclure peut-être avec l’être convoité. Mais si par la suite amour il doit y avoir, alors les masques chaussés devront tomber. D’ou la difficulté et les déconvennues. Me comprends-tu maintenant ?
Peut-être que mes propos déplaisent aux seductrices et aux seducteurs. Il faut malgré tout être juste et faire la part des choses entre le jeu de la séduction , que j’apprecie beaucoup, et l’amour qui me semble infiniment plus subtil et nettement moins facilement definissable. Séduire, tout le monde sait faire, aimer ...
Une marquise a écrit: |
Il sait écouter... surtout lorsqu’il parle
Il sait consoler... surtout quand il a mal Il sait rigoler... toujours aux dépens des autres Il aime vous embrasser... si vous aimez vous agenouiller Il peut s’émouvoir... devant ses exploits Il aime se confier... pour raconter ses anciennes conquêtes Il a le sens critique... mais il est parfait Il a plein de rêves... principalement celui d’être le premier |
Je ne vois aucune equivoque quant au sens à donner à ces lignes.
Le deuxième point que je souhaite éclaircir, c’est le rapport entre la séduction et l’amour qui semble encore confus dans tes propos.
Ma même marquise a écrit: |
Dans l’amour, le plus beau moment est celui de la séduction.Non pas celui où nous nous fardons, cachés derrière de jolies voitures, de gros salaires, des dessous affriolants ou des séances d’esthéticienne, mais celui où peu à peu, nous nous effeuillons, laissant apparaitre l’émotion qui nous envahit, la douceur qui nous habite, la fragilité qui nous possède, la passion qui nous obsède (..).. |
Milles mondes bondiront d’éffroi, en lisant la première phrase, mais c’est sur la suite que je souhaite intervenir. Dans mon discours, la séduction est un acte intentionnel, c’est une chasse, c’est un jeu. Agréable, flatteur mais qui n’a rien de fondamentalement beau. Juste une comédie amusante que font des don juan ou des messalines avec plus ou moins de talent. Ce n’est pas du tout ce que tu décris dans la fin de ce paragraphe, qui s’apparente plus à une relation saine et normale . Les moments ou les murs tombent, et les émotions naissent, ne sont pas du ressort de la séduction, mais rejoignent les façons naturelles de fusionner avec un être cher. En d’autres termes, il n’est pas nécessaire de passer par un savant jeu de séduction pour vivre ces moments beaux et fragiles que tu evoque.
Séduire, ca rime avec conquérir, ca sent l’artifice, et ca utilise la finesse. Un seducteur est par essence même, un menteur, qu’il en soit conscient ou non. Ses mensonges et tromperies lui permettront de conclure peut-être avec l’être convoité. Mais si par la suite amour il doit y avoir, alors les masques chaussés devront tomber. D’ou la difficulté et les déconvennues. Me comprends-tu maintenant ?
Peut-être que mes propos déplaisent aux seductrices et aux seducteurs. Il faut malgré tout être juste et faire la part des choses entre le jeu de la séduction , que j’apprecie beaucoup, et l’amour qui me semble infiniment plus subtil et nettement moins facilement definissable. Séduire, tout le monde sait faire, aimer ...
Petit rappel ...
Le Mar 31 Août 2004, 08:36 sur La séduction, 0 commentaire
Cet homme qui a eu l’heur de vous plaire, vous a conquise par son charme, son corps, sa voiture, son argent, son sourire ou que sais-je encore. Vous avez succombé, et êtes alors tombé dans le joli piège de ses bras. Bien.
Autre version, vous vous êtes faites bellle, avez déployé vos plus beaux regards, montré juste ce qu’il fallait de quelques morceaux de chairs, flatté l’inenarrable fierté des hommes, rassuré leur non moins innénarable peur . Et il est tombé dans le joli piège de vos bras.
Le jeu de la séduction a ceci de particulier qu’il demande au séducteur de se fausser pour faire tomber l’autre, et à la proie soit d’être naive, soit d’accepter le jeu de bon coeur. Il est donc logique qu’à cet instant, nous planquions nos travers, et montrions tout ce qui est susceptible de plaire chez l’autre.
Vous avez transformé un crapaud en prince charmant, mais vous pleurez devant votre déconvennue lorsque minuit sonne, et que le beau costume le crapaud abandonne. Vous ne devez vous en prendre qu’à vous même, soyez raisonnable. Pauvre crapaud.
Plaire, tout simplement, et aimer tout simplement. Ca guerrira pas vos angoisses, puisqu’il faudra attendre de plaire plutôt que d’aller plaire, mais vous n’aurez plus cette amertume que je devines dans vos lignes. Si vous ne plaisez pas, tant pis, faites vous une raison, ou changez de pays, mais ne vous faussez plus.
Autre version, vous vous êtes faites bellle, avez déployé vos plus beaux regards, montré juste ce qu’il fallait de quelques morceaux de chairs, flatté l’inenarrable fierté des hommes, rassuré leur non moins innénarable peur . Et il est tombé dans le joli piège de vos bras.
Le jeu de la séduction a ceci de particulier qu’il demande au séducteur de se fausser pour faire tomber l’autre, et à la proie soit d’être naive, soit d’accepter le jeu de bon coeur. Il est donc logique qu’à cet instant, nous planquions nos travers, et montrions tout ce qui est susceptible de plaire chez l’autre.
Vous avez transformé un crapaud en prince charmant, mais vous pleurez devant votre déconvennue lorsque minuit sonne, et que le beau costume le crapaud abandonne. Vous ne devez vous en prendre qu’à vous même, soyez raisonnable. Pauvre crapaud.
Plaire, tout simplement, et aimer tout simplement. Ca guerrira pas vos angoisses, puisqu’il faudra attendre de plaire plutôt que d’aller plaire, mais vous n’aurez plus cette amertume que je devines dans vos lignes. Si vous ne plaisez pas, tant pis, faites vous une raison, ou changez de pays, mais ne vous faussez plus.
Le barbare
Le Ven 27 Août 2004, 13:55 sur Les liaisons sulfureuses, 0 commentaire
Dehors, les femmes hurlaient et les enfants pleuraient. Le village était en proie aux flammes et au pillage. Les barbares avaient frappé peu avant l’aube, à ce moment particulier où le sommeil est si fort qu’il forme comme une coquille étanche. Les chiens avaient aboyé, mais c’était trop tard. La horde était là.
La jeune Lucigen, terrorisée, était recroquevillée derrière sa tenture d’où elle n’osait plus sortir. Les mains sur son visage, elle étouffait ses sanglots entre deux silences dans lesquels elle scrutait la nuit et ses bruits terrifiants.
C’est ainsi qu’il la trouva. Arrachant la tenture avec la facilité que lui autorisait sa musculature de guerrier, il resta un instant interdit à la vue de Lucigen. La tenture tomba par terre, en même temps que les yeux de Lucigen se baissèrent devant le regard de cet homme. Il fit demi tour et resta un instant dans l’embrasure de la porte. Il parlait à un autre homme. Puis il revint à l’intérieur et ferma la porte derrière lui.
Il marcha vers elle en retirant son heaume. Elle se releva, fière et digne comme ceux et celles de sa race, les yeux plein de détermination, de mépris et de provocation. Tandis qu’il se rapprochait d’elle, il dégrafa la ceinture qui lui permettait de porter son épée et la jeta derrière lui. Si son regard était braqué sur la jeune femme, il n’en portait pas les signes de la violence. Ce barbare avait la grâce du félin dans sa démarche, la puissance du buffle dans son corps et … des lèvres incroyablement fraîches.
Les petits doigts de Lucigen s’étaient plaqués contre les pectoraux puissants de l’homme des plaines tandis que leur bouches se fouillaient avec la fougue d’un jeune chien. Elle sentait ses lourdes mains sur sa taille, elle sentait aussi son sexe dressé contre son ventre, elle sentait la tête lui tourner, elle ne sentait plus rien que l’odeur de la peau et la peur de l’instant. L’ivresse prit possession d’elle quand d’un geste sans effort il la souleva et l’empala avec passion sur son sexe fort de désir. Les jambes de Lucigen crochetèrent le dos de son amant et ses mollets rencontrèrent la fermeté des fesses musclées. Où qu’elle posa ses mains, ce n’était que puissance et volume. Même dans son ventre, elle sentait la puissance de l’étreinte du barbare. Elle cria une première fois, puis une seconde, ne contrôlant plus le flot d’orgasme qu’elle sentait monter. L’homme la manipulait comme un pantin, la maintenant par la taille et la faisant évoluer le long de son viril instrument. Il était empli de fougue sensuelle, essayant d’être délicat avec cette jeune femme, mais empoté par le manque de précision d’une musculature faite pour la guerre, pas pour l’étreinte. Il la souleva avec encore tant d’aisance qu’elle se retrouva son ventre contre son visage. D’en haut, elle le regarda, d’en bas, il la contemplait. Lentement il la redescendit contre lui, leurs bouches se marièrent à nouveau, comme un autre début à de nouvelles étreintes.
Lorsque des heures après le soldat qui était resté en faction osa pénétrer dans la pièce malgré les ordres de son supérieur, il ne trouva qu’un fichu et un heaume posé sur la table. Le mur au fond de la masure était défoncé, le trou béant témoignant que cet obstacle fut facilement brisé. Et c’est ainsi que la plus grande histoire d’amour de cette époque trouble naquit.
Le barbare devint roi, sa femme devint reine, la guerre cessa.
La jeune Lucigen, terrorisée, était recroquevillée derrière sa tenture d’où elle n’osait plus sortir. Les mains sur son visage, elle étouffait ses sanglots entre deux silences dans lesquels elle scrutait la nuit et ses bruits terrifiants.
C’est ainsi qu’il la trouva. Arrachant la tenture avec la facilité que lui autorisait sa musculature de guerrier, il resta un instant interdit à la vue de Lucigen. La tenture tomba par terre, en même temps que les yeux de Lucigen se baissèrent devant le regard de cet homme. Il fit demi tour et resta un instant dans l’embrasure de la porte. Il parlait à un autre homme. Puis il revint à l’intérieur et ferma la porte derrière lui.
Il marcha vers elle en retirant son heaume. Elle se releva, fière et digne comme ceux et celles de sa race, les yeux plein de détermination, de mépris et de provocation. Tandis qu’il se rapprochait d’elle, il dégrafa la ceinture qui lui permettait de porter son épée et la jeta derrière lui. Si son regard était braqué sur la jeune femme, il n’en portait pas les signes de la violence. Ce barbare avait la grâce du félin dans sa démarche, la puissance du buffle dans son corps et … des lèvres incroyablement fraîches.
Les petits doigts de Lucigen s’étaient plaqués contre les pectoraux puissants de l’homme des plaines tandis que leur bouches se fouillaient avec la fougue d’un jeune chien. Elle sentait ses lourdes mains sur sa taille, elle sentait aussi son sexe dressé contre son ventre, elle sentait la tête lui tourner, elle ne sentait plus rien que l’odeur de la peau et la peur de l’instant. L’ivresse prit possession d’elle quand d’un geste sans effort il la souleva et l’empala avec passion sur son sexe fort de désir. Les jambes de Lucigen crochetèrent le dos de son amant et ses mollets rencontrèrent la fermeté des fesses musclées. Où qu’elle posa ses mains, ce n’était que puissance et volume. Même dans son ventre, elle sentait la puissance de l’étreinte du barbare. Elle cria une première fois, puis une seconde, ne contrôlant plus le flot d’orgasme qu’elle sentait monter. L’homme la manipulait comme un pantin, la maintenant par la taille et la faisant évoluer le long de son viril instrument. Il était empli de fougue sensuelle, essayant d’être délicat avec cette jeune femme, mais empoté par le manque de précision d’une musculature faite pour la guerre, pas pour l’étreinte. Il la souleva avec encore tant d’aisance qu’elle se retrouva son ventre contre son visage. D’en haut, elle le regarda, d’en bas, il la contemplait. Lentement il la redescendit contre lui, leurs bouches se marièrent à nouveau, comme un autre début à de nouvelles étreintes.
Lorsque des heures après le soldat qui était resté en faction osa pénétrer dans la pièce malgré les ordres de son supérieur, il ne trouva qu’un fichu et un heaume posé sur la table. Le mur au fond de la masure était défoncé, le trou béant témoignant que cet obstacle fut facilement brisé. Et c’est ainsi que la plus grande histoire d’amour de cette époque trouble naquit.
Le barbare devint roi, sa femme devint reine, la guerre cessa.
Ô bus ! ô désespoir ! ô terminus ennemi !
Le Ven 27 Août 2004, 11:53 sur Exercices de style, 0 commentaire
Ô bus ! ô désespoir ! ô terminus ennemi !
N’ai-je donc tant rêvé que pour cet instant maudit?
Et ne me suis-je préparée avec soin en la salle de bain
Que pour voir en un instant partir celui que je désire ?
Mon visage, qu’avec respect tout les hommes admirent,
Mon corps, qui tant de fois a provoqué leurs soupirs,
Tant de fois affolé le leur des émois les plus intenses .
Mon corps pantelant n’est il plus animé par le désir de mon coeur ?
Ô cruel souvenir de mes fantasmes insensés!
Rêverie de tant de jours en une seconde effacée !
Première déconvenue, fatale à mon bonheur !
Alors que je l’avais a portée de main tout à l’heure !
Fallait-il ne pas rester digne et révéler mon désir
Et éviter ainsi, sans moi du bus de le voir sortir?
Beau voyageur, promet moi de revenir demain même heure,
De t’asseoir en face de moi, à l’arrêt des cardeurs;
Que mon stupide jaloux orgueil, par cette chance divine,
Malgré la peur de moi et l’envie de toi, se taise,
Et vous poitrine fatale, et jambes de vestales,
Mais d’un cœur transit d’angoisse inutiles ornements,
Beautés, toujours convoitées, et qui, dans cet instant
M’ont servi de rempart, et non pas de filet gourmand,
Allez, quittez ce terminus désormais esseulé,
Passez, pour vous consolez chez quelque fameux pâtissier.
N’ai-je donc tant rêvé que pour cet instant maudit?
Et ne me suis-je préparée avec soin en la salle de bain
Que pour voir en un instant partir celui que je désire ?
Mon visage, qu’avec respect tout les hommes admirent,
Mon corps, qui tant de fois a provoqué leurs soupirs,
Tant de fois affolé le leur des émois les plus intenses .
Mon corps pantelant n’est il plus animé par le désir de mon coeur ?
Ô cruel souvenir de mes fantasmes insensés!
Rêverie de tant de jours en une seconde effacée !
Première déconvenue, fatale à mon bonheur !
Alors que je l’avais a portée de main tout à l’heure !
Fallait-il ne pas rester digne et révéler mon désir
Et éviter ainsi, sans moi du bus de le voir sortir?
Beau voyageur, promet moi de revenir demain même heure,
De t’asseoir en face de moi, à l’arrêt des cardeurs;
Que mon stupide jaloux orgueil, par cette chance divine,
Malgré la peur de moi et l’envie de toi, se taise,
Et vous poitrine fatale, et jambes de vestales,
Mais d’un cœur transit d’angoisse inutiles ornements,
Beautés, toujours convoitées, et qui, dans cet instant
M’ont servi de rempart, et non pas de filet gourmand,
Allez, quittez ce terminus désormais esseulé,
Passez, pour vous consolez chez quelque fameux pâtissier.
Le bus
Le Jeu 26 Août 2004, 13:41 sur Exercices de style, 0 commentaire
Dans la série des Exercices de style je vous propose le scénario suivant.
Dans un bus, un homme et une femme sont assis l’un en face de l’autre, ils ne se connaissent pas. De coups d’oeil dérobés en sourire de connivence, la complicité s’installe. Le bus s’arrête, et l’homme se lève pour en descendre...
Idée : Vous pouvez écrire cette histoire, mais aussi sa suite.
A vos plumes !
Dans un bus, un homme et une femme sont assis l’un en face de l’autre, ils ne se connaissent pas. De coups d’oeil dérobés en sourire de connivence, la complicité s’installe. Le bus s’arrête, et l’homme se lève pour en descendre...
Idée : Vous pouvez écrire cette histoire, mais aussi sa suite.
A vos plumes !
Trop belle pour être aimée.
Le Jeu 26 Août 2004, 13:15 sur Exercices de style, 0 commentaire
Il paraît que je suis une bombe. Moi, je ne sais pas très bien ce que les hommes veulent dire par « bombe ». Ils m’offrent un verre, un restaurant, une soirée, des fois une semaine en vacances. Ils me racontent toutes sortes de choses sur la vie et je ne les comprends pas très bien en fait. Mais à un moment, ils arrivent toujours à m’attendrir, je me fais avoir et je me retrouve au lit avec eux.
Et là, c’est toujours pareil, à peine ai-je eu le temps d’enlever ma robe, ou ma jupe, qu’ils restent sans voix en me regardant nue. Ca me gêne un peu d’ailleurs. Ce sont soit mes seins, « énormes et bien faits », soit mon ventre « très plat et délicieux », soit mes jambes qui « vont jusqu’à terre ». Ils trouvent toujours une explication à leur hébétude. Et puis, ils me sautent dessus, comme des hystériques. Ils me possèdent soudainement et soudainement ils jouissent. Après un regard plein d’amour, qui me fait penser à celui de mon cocker, ils s’affalent, et ils ronflent.
Le sexe, moi, ça me fait pas grand-chose. Et dire que j’ai des amies, leur copain leur font l’amour pendant au moins une heure. C’est peut être qu’elles sont pas aussi jolies que moi et que leur copain a besoin de plus de temps pour s’exciter. Je sais pas. Moi les hommes, ils me roulent dessus à grande vitesse. Tous.
L’autre fois, alors que mon amant d’un soir venait de me faire le coup de « Ah que c’était bon » je téléphonais et racontais ça à David, un vieux copain. Il s’est proposé de venir me faire l’amour, me montrer ce que c’était que d’avoir du plaisir. En tout bien tout honneur. J’étais toute contente, lui il me connaissait depuis longtemps, il serait peut être moins excité que les autres en me voyant.
Quand j’ai enlevé mon haut, il a joui dans son pantalon …
Et là, c’est toujours pareil, à peine ai-je eu le temps d’enlever ma robe, ou ma jupe, qu’ils restent sans voix en me regardant nue. Ca me gêne un peu d’ailleurs. Ce sont soit mes seins, « énormes et bien faits », soit mon ventre « très plat et délicieux », soit mes jambes qui « vont jusqu’à terre ». Ils trouvent toujours une explication à leur hébétude. Et puis, ils me sautent dessus, comme des hystériques. Ils me possèdent soudainement et soudainement ils jouissent. Après un regard plein d’amour, qui me fait penser à celui de mon cocker, ils s’affalent, et ils ronflent.
Le sexe, moi, ça me fait pas grand-chose. Et dire que j’ai des amies, leur copain leur font l’amour pendant au moins une heure. C’est peut être qu’elles sont pas aussi jolies que moi et que leur copain a besoin de plus de temps pour s’exciter. Je sais pas. Moi les hommes, ils me roulent dessus à grande vitesse. Tous.
L’autre fois, alors que mon amant d’un soir venait de me faire le coup de « Ah que c’était bon » je téléphonais et racontais ça à David, un vieux copain. Il s’est proposé de venir me faire l’amour, me montrer ce que c’était que d’avoir du plaisir. En tout bien tout honneur. J’étais toute contente, lui il me connaissait depuis longtemps, il serait peut être moins excité que les autres en me voyant.
Quand j’ai enlevé mon haut, il a joui dans son pantalon …
Les miroirs du paradis
Le Jeu 26 Août 2004, 09:35 sur Exercices de style, 0 commentaire
La petite rue Saint Pierre est une vielle rue au charme authentique, le béton n’ayant pas prise sur ses vieilles pierres de taille et ses pavés arrondis. Quelques petits bistrots bordent cette rue, et c’est « Au paradis », ca ne s’invente pas, que je décidais de prendre un verre en terrasse. Un Perrier zeste.
Alors que je sirotais ma consommation, une jeune femme pulpeuse, du moins habillée de telle façon à mettre en valeur des formes très bien faites, passa avec son petit chien. Celui-ci jugea bon de s’arrêter devant la terrasse pour renifler quelques odeur, sans doute laissée par un congénère. La jolie jeune femme revint alors sur ses pas avec ce chaloupement de hanche à vous soulever le cœur, et se pencha pour attraper son sacripan de petit chien. Mon regard plongea directement dans son décolleté, s’installa dans sa rondeur soyeuse et s’y vautra tant qu’il pu. Jamais, de mémoire d’homme je ne vis plus belle chose de ma vie. Hypnotisé, aveuglé, attiré, aimanté, mon regard ne put se détacher de cette vision divine. Lorsqu’elle se redressa, je n’eu pas la présence d’esprit de reprendre mes sens et de décrocher mes yeux de leur cible suffisament tôt. Je vis juste une main qui rajusta nerveusement le haut du debardeur magique. Je montais alors mes yeux et rencontrai son regard courroucé qui me dardait de toute la rancœur impuissante dont cette jeune femme devait se sentir capable.
Confus, je grimacai et souris pour me faire pardonner.
C’est alors que je vis le visage de tout les types de la terrasse d’en face « L’enfer », ça aussi ça ne s’invente pas non plus. Ils étaient tous rivés sur le bas du corps de la demoiselle qui leur tournait le dos. Leurs visages hébétés était fixés sur elle avec une fascination qui faisait penser à un envoûtement collectif. Le demoiselle dut comprendre à mon regard qu’il se passait quelque chose dans son dos, et se retourna pour en avoir aussitôt confirmation. Durant quelques poignées de secondes je pus admirer les courbes parfaites et acceuillantes qui avaient provoqués l’émoi des consommateurs de "L’enfer", et compatir avec eux.
Les anges, ce sont peut être ces êtres merveilleux, qui naviguent à la lisière de l’enfer et du paradis.
Alors que je sirotais ma consommation, une jeune femme pulpeuse, du moins habillée de telle façon à mettre en valeur des formes très bien faites, passa avec son petit chien. Celui-ci jugea bon de s’arrêter devant la terrasse pour renifler quelques odeur, sans doute laissée par un congénère. La jolie jeune femme revint alors sur ses pas avec ce chaloupement de hanche à vous soulever le cœur, et se pencha pour attraper son sacripan de petit chien. Mon regard plongea directement dans son décolleté, s’installa dans sa rondeur soyeuse et s’y vautra tant qu’il pu. Jamais, de mémoire d’homme je ne vis plus belle chose de ma vie. Hypnotisé, aveuglé, attiré, aimanté, mon regard ne put se détacher de cette vision divine. Lorsqu’elle se redressa, je n’eu pas la présence d’esprit de reprendre mes sens et de décrocher mes yeux de leur cible suffisament tôt. Je vis juste une main qui rajusta nerveusement le haut du debardeur magique. Je montais alors mes yeux et rencontrai son regard courroucé qui me dardait de toute la rancœur impuissante dont cette jeune femme devait se sentir capable.
Confus, je grimacai et souris pour me faire pardonner.
C’est alors que je vis le visage de tout les types de la terrasse d’en face « L’enfer », ça aussi ça ne s’invente pas non plus. Ils étaient tous rivés sur le bas du corps de la demoiselle qui leur tournait le dos. Leurs visages hébétés était fixés sur elle avec une fascination qui faisait penser à un envoûtement collectif. Le demoiselle dut comprendre à mon regard qu’il se passait quelque chose dans son dos, et se retourna pour en avoir aussitôt confirmation. Durant quelques poignées de secondes je pus admirer les courbes parfaites et acceuillantes qui avaient provoqués l’émoi des consommateurs de "L’enfer", et compatir avec eux.
Les anges, ce sont peut être ces êtres merveilleux, qui naviguent à la lisière de l’enfer et du paradis.
Journal télévisé
Le Mer 25 Août 2004, 13:41 sur Exercices de style, 0 commentaire
Mesdames et Messieurs, bonsoir. Fait divers, la princesse de Marigo est surprise dans sa chambre avec deux hommes par les services de sécurité du palace Gotzi.
Les services de sécurité mandatés par l’autorité royale, ont investi la résidence princière, suite à une plainte d’une femme de chambre. Celle-ci s’était alarmée par une conversation téléphonique honteuse qu’elle aurait surprise entre la princesse et un interlocuteur inconnu. Les hommes de la sécurité ont découvert dans la chambre de la princesse, deux hommes nus, dont un ronflant comme un sonneur.
La princesse aurait déclaré que son amant s’étant endormi, elle avait fait appel à un ami pour combler ses désirs jusqu’alors insatisfait!
Les services de sécurité mandatés par l’autorité royale, ont investi la résidence princière, suite à une plainte d’une femme de chambre. Celle-ci s’était alarmée par une conversation téléphonique honteuse qu’elle aurait surprise entre la princesse et un interlocuteur inconnu. Les hommes de la sécurité ont découvert dans la chambre de la princesse, deux hommes nus, dont un ronflant comme un sonneur.
La princesse aurait déclaré que son amant s’étant endormi, elle avait fait appel à un ami pour combler ses désirs jusqu’alors insatisfait!
Jouons, jouissons
Le Mar 24 Août 2004, 15:32 sur Edito, 0 commentaire
Aprés une étude précise et rigoureuse sur la faisabilité et l’intérêt de la chose, j’ai décidé de créer sur le forum une section d’exercices d’écriture, à l’instar de la plupart des ateliers d’écriture que l’on peut trouver sur le web.
Dans cette rubrique, nous tacherons de vous expliquer certains types de contraintes usuelles et de vous proposer des exercices pratiques. L’idée est de progresser en s’amusant.
Et tout ca, uniquement sur le thème des âmes tendres !
Alors, à vos plumes !
Dans cette rubrique, nous tacherons de vous expliquer certains types de contraintes usuelles et de vous proposer des exercices pratiques. L’idée est de progresser en s’amusant.
Et tout ca, uniquement sur le thème des âmes tendres !
Alors, à vos plumes !
Le bon et le mauvais amant.
Le Mar 24 Août 2004, 15:23 sur Exercices de style, 0 commentaire
Dans la série des Exercices de style je vous propose le scénario suivant.
Au lit, l’amant fougueux jouit avant sa compagne, celle-ci n’est pas contente, d’autant que l’amant s’endort. Elle téléphone à un copain pour lui raconter sa mésaventure, et celui-ci lui propose de venir combler les lacunes du précédent. Elle accepte.
Idée : Celui qui raconte est un voyeur, le copain du téléphone, l’amant.
Contrainte optionnelle : L’action s’est passée dans le passé.
A vos plumes !
Au lit, l’amant fougueux jouit avant sa compagne, celle-ci n’est pas contente, d’autant que l’amant s’endort. Elle téléphone à un copain pour lui raconter sa mésaventure, et celui-ci lui propose de venir combler les lacunes du précédent. Elle accepte.
Idée : Celui qui raconte est un voyeur, le copain du téléphone, l’amant.
Contrainte optionnelle : L’action s’est passée dans le passé.
A vos plumes !
La femme à deux faces.
Le Mar 24 Août 2004, 15:22 sur Exercices de style, 0 commentaire
Dans la série des Exercices de style, je vous propose le scenario suivant.
Dans la rue, une jeune femme en mini-jupe se penche pour ramasser son petit chien. Les clients à la terrasse du bar d’en face d’elles plongent dans son décolleté, tandis que les client à la terrasse du bar de derrière elle admirent ses fesses et ses jambes.
Idée : Celui qui raconte est un jeune, un vieux, le patron, un clochard, le petit-copain, etc.
A vos plumes !
Dans la rue, une jeune femme en mini-jupe se penche pour ramasser son petit chien. Les clients à la terrasse du bar d’en face d’elles plongent dans son décolleté, tandis que les client à la terrasse du bar de derrière elle admirent ses fesses et ses jambes.
Idée : Celui qui raconte est un jeune, un vieux, le patron, un clochard, le petit-copain, etc.
A vos plumes !
Exercices de styles, mode d'emploi !
Le Mar 24 Août 2004, 15:13 sur Exercices de style, 0 commentaire
Dans "Exercices de style", Raymond Queneau décide d’écrire la même histoire de 99 façons différentes : rêve, noms propres, botanique, injurieux, télégraphique, litotes... L’histoire est fort simple, pour ainsi dire banale.
Afin d’exercer notre plume, je vous propose de faire pareil sur les âmes tendres.
Quelques règles de fonctionnement :
Dans un premier temps, seuls les modérateurs, les fameux "Maitres du jeu" créeront les scenarii.
Afin d’exercer notre plume, je vous propose de faire pareil sur les âmes tendres.
Quelques règles de fonctionnement :
- Pour lancer un scénario, il suffit de créer un nouveau sujet dans la Rubrique Jeux d’écriture. Le titre du scénario, doit être précédé de la mention ES, car nous aurons d’autres jeux que l’exercice de style dans cette rubrique.
Pour rédiger une version du scénario, il suffit de faire « Répondre ». Toutes les réponses au sujet, les textes donc, doivent avoir un titre explicite sur la façon dont il est écrit. Le titre est la clef de lecture. La version que vous rédigerez ne doit pas être trop longue.
Le scénario comporte certes l’explication de la situation, mais aussi d’éventuelles contraintes d’écriture, et d’éventuelles pistes pour démarrer. Une piste n’est restrictive, par exemple on peut vous suggerer que le narrateur est un curé, mais il existe bien entendu mille façon de faire parler un curé! Les idées et les contraintes sont juste là pour vous aider à démarrer.
Vous pouvez poster autant de versions qu’il vous plait.
Dans un premier temps, seuls les modérateurs, les fameux "Maitres du jeu" créeront les scenarii.
Aimer, oui !
Le Mar 24 Août 2004, 09:08 sur Le grimoire d'amour, 0 commentaire
Aimer oui, avoir peur d’être seul, non.
Désirer, oui, confondre avec aimer, non
S’aimer soi-même, oui, aimer l’autre en le voulant à notre image, non.
Texte écrit initialement pour mOTSaRT sur son joli blog http://motsart.skynetblogs.be/
- L’honnêteté de ses sentiments dépend de sa faculté à aussi aimer être seul.
Désirer, oui, confondre avec aimer, non
- Le deuxième piège, dans lequel nous tombons facilement, nous les hommes.
S’aimer soi-même, oui, aimer l’autre en le voulant à notre image, non.
- Tout est dit.
Texte écrit initialement pour mOTSaRT sur son joli blog http://motsart.skynetblogs.be/
PetitPrince

Dans les nuages
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- aimer
- amour
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- beauté
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- choses
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- corps
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- d’autres
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- femme
- femmes
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- hommes
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Tout à propos de PetitPrince
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Forums | Activité | % Forum | % total |
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Edito | 88 sur 88 | 100 % | 24.11 % |
Citations | 59 sur 609 | 9.69 % | 16.16 % |
L'amour en vrac | 38 sur 813 | 4.67 % | 10.41 % |
La séduction | 24 sur 210 | 11.43 % | 6.58 % |
Un monde parfait | 22 sur 247 | 8.91 % | 6.03 % |
Les liaisons sulfureuses | 20 sur 276 | 7.25 % | 5.48 % |
Le grimoire d'amour | 20 sur 67 | 29.85 % | 5.48 % |
Parler d'amour | 17 sur 415 | 4.1 % | 4.66 % |
La vie à deux | 12 sur 185 | 6.49 % | 3.29 % |
Articles | 11 sur 40 | 27.5 % | 3.01 % |
Exercices de style | 10 sur 22 | 45.45 % | 2.74 % |
Histoires d'amour | 9 sur 320 | 2.81 % | 2.47 % |
La première fois | 8 sur 94 | 8.51 % | 2.19 % |
Amour internet | 7 sur 128 | 5.47 % | 1.92 % |
Messages d'accueil | 7 sur 9 | 77.78 % | 1.92 % |
Mille choses | 6 sur 731 | 0.82 % | 1.64 % |
Textes à jalons | 3 sur 3 | 100 % | 0.82 % |
Parutions | 2 sur 2 | 100 % | 0.55 % |
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L’amour fantastique | 1 sur 14 | 7.14 % | 0.27 % |
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