dire : "Je veux dessiner le vent"...
J’ai songé à la difficulté de cette représentation,
comme à celle de l’énamoration.
Le vent souffle, transporte, étourdit...
Insaisissable, il caresse ou refroidit.
Seuls ses effets sont visibles,
mais le reste indicible...
Il me pousse, s’engouffre.
Sait-il comme je souffre ?
Vacillante et chancelante,
je me voudrais parfois provocante...
J’aimerais que cette tempête,
nous souffle :"maintenant, vous y êtes!"
A ce moment inattendu,
accueilli par des sous-entendus...
Je voudrais qu’il vienne,
ce temps de devenir tienne...
Ecrit le
Ven 25 Déc 2009, 13:23
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