Elle m’offrait son nectar, encore je m’en repais.
Elle a laissé son corps à tous mes attributs
Qui l’ont conquis alors, dans un ordre confus.
Je la revois tendue, de plaisir écartée,
Laissant mes doigts, ma langue, en elle s’aventurer.
Avant qu’elle n’explose nous nous sommes assemblés,
Criant et gémissant sans pudeur déplacée.
Nous montions tous les deux au rythme de nos corps
Nos bouches enlacées comme nous aimions alors.
Et cette joie immense soudain me réveilla,
J’étais seul et tremblant, et elle n’était pas là.
Ecrit le
Lun 12 Déc 2005, 01:50
par l'homme de sable,
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Fantasmes inavoués, désir incandescent ou rêve d'une nuit... Sans vulgarité, vous nous faites part de ces moments torrides où les sens l'emportent sur la raison. Qu'il s'agisse de poèmes érotiques, de récits sensuels où de textes coquins, soyez brûlants et restez tendres.









