Sais-tu ce que tu as fait dans mon cœur
Ô oui tu peux le deviner
Tu es fine sensible n’est-ce pas ô oui
De loin tu m’as aperçu
Je t’ai bien vue venir
Et j’avais juste le temps de m’éloigner.
Ta timidité n’a d’égale que la mienne
Devant tant de fragilité.
Si tu savais petite fleur
Comment ce que j’aime de toi
M’étreint encore
Je ne te voulais presque rien
Mais c’est toi qui as raison
Que faire de ce garçon
En trop dans ma vie
Et qui n’en est plus un
Si tu savais petite fleur
Comme tu me touches encore
Même de loin
Ô oui
Ne crois pas que je t’invente
Telle que tu es
Et tout ce que ta silhouette dessine
Dans ma mémoire
Sais-tu ce que je te voulais
Ô oui tu le sais
J’avais des mots pour toi
Des mots nés en moi à cause de toi
Et toute ma vie retournée
Ce ne sont pas des mots
En une heure tu aurais compris
Et ton sourire m’aurait suffi
Petite fleur
Tu ne pourras jamais faner en moi
Si j’étais fille
Je serais toi
Ecrit le
Mar 28 Fév 2006, 11:48
par Iris,
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A l'aube d'une histoire, alors qu'on se connaît à peine, mais que l'on voudrait en savoir tellement plus, alors qu'on se désire peut-être et qu'on voudrait en être sûr, au tout début il y a ces présentations avant la valse et à un moment on en vient à parler d'amour. C'est délicat, on est hésitant, prudent surtout. Et si l'autre aimait autrement ? Petit clin d'oeil aux apprentis séducteurs ... Parler d'amour, voilà ici une étape primordiale de la fusion. Il est inutile de faire semblant. Ça vient, ou ça vient pas. Si c'est fait en force, l'autre le sent et rebrousse. Parler d'amour, d'accord, mais simplement, alors.









