Nos rencontres baignées de soleil,
Quand ton regard limpide embrasait le mien
Comme le nectar d’une abeille doré à point...
Ce sont nos éclats de rire et nos voix
Qui se superposaient quelques fois
Sans concertation goûtant la surprise
Nos âmes, nos coeurs, nos corps
Des retenues ou des peurs
Se moquant souvent à leur guise...
Se dévoilant sans lâcher prise...
Oh, cet émoi, cet envol
De nos esprits quittant le sol
Dans une lumière inouïe
En plein cœur du paradis
Il a fallu y renoncer
Nos bourreaux ? Nos maux, nos passés
Nos coeurs ont bien dû s’effacer.
Il n’y a plus rien à espérer
Oublier d’aimer il faudrait
Et je croyais bien chose faite
Jusqu’à ce rêve et mon réveil
Non, il me faut bien le reconnaître,
L’amour de toi n’est pas passé...
Ecrit le
Mer 14 Fév 2007, 20:33
par dolce vita,
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A l'aube d'une histoire, alors qu'on se connaît à peine, mais que l'on voudrait en savoir tellement plus, alors qu'on se désire peut-être et qu'on voudrait en être sûr, au tout début il y a ces présentations avant la valse et à un moment on en vient à parler d'amour. C'est délicat, on est hésitant, prudent surtout. Et si l'autre aimait autrement ? Petit clin d'oeil aux apprentis séducteurs ... Parler d'amour, voilà ici une étape primordiale de la fusion. Il est inutile de faire semblant. Ça vient, ou ça vient pas. Si c'est fait en force, l'autre le sent et rebrousse. Parler d'amour, d'accord, mais simplement, alors.









