Mes yeux s’ouvrent sur ta présence ensommeillée
Du matin, saveurs que jamais nous ne brisons
Nulle lumière ne te tient déjà éveillée
Du soir, le soleil est à son horizon
Mes yeux se ferment sur ton présent ensoleillé
Du soir, luxe et paix d’amour dont nous nous grisons
Nulle lumière ne me tient aussi émerveillé
Horizon de jour, horizon de nuit
De zénith en nadir, tu me conduis
D’hiver ou de ciel, tu me séduis
Ecrit le
Mer 23 Mai 2007, 14:45
par René Cendre,
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A l'aube d'une histoire, alors qu'on se connaît à peine, mais que l'on voudrait en savoir tellement plus, alors qu'on se désire peut-être et qu'on voudrait en être sûr, au tout début il y a ces présentations avant la valse et à un moment on en vient à parler d'amour. C'est délicat, on est hésitant, prudent surtout. Et si l'autre aimait autrement ? Petit clin d'oeil aux apprentis séducteurs ... Parler d'amour, voilà ici une étape primordiale de la fusion. Il est inutile de faire semblant. Ça vient, ou ça vient pas. Si c'est fait en force, l'autre le sent et rebrousse. Parler d'amour, d'accord, mais simplement, alors.









