Oui mais Marie
Marie tu passes
En tous rivages
Et surpasses
De ta grâce
D’un rien
D’une trace
De paix
Toute douleur d’aimer
D’autant que l’agneau dont on faisait
Ta gloire
Est agile et sauvage
Et même aime danser
Aime boire
Je ne dis pas pourtant que la rose à ta place
Ne sente bon
Ni que le rire des jeunes filles ne soit plaisant
Je ne nie pas
La caresse au passage
Mais je sais ton ivresse
Qui ne sait décevoir
Te voici et la beauté pâlit
Ou bien l’on voit que c’est par toi
Que la Lune reluit
Jamais tant ne s’éprend ma vie
Que d’Une
La servant
Passant où je demeure
Ecrit le
Dim 16 Avril 2006, 21:14
par Iris,
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Anonymes croisés dans la rue ou vu à la télévision, amis de longue date , collègues, parents, chaque jour nous croisons ces personnes dont le sourire ou le regard ensoleille nos journées maussades. La tendresse est aussi là. Juste un regard, une attention, une présence, un geste, un mot pour les remercier ....









