Ecrire, écrire, et mourir d’écrire... Corps intéressant, dénouement tragique, mais inévitable? Même si les temps sont peu cléments, j’envisage sérieusement une conclusion plus rêveuse. Puis-je?

Ecrire, c’est mourir mais c’est aussi vivre notre vie à travers des mots qui portent la mort. Ainsi devons-nous vivre notre vie par l’écriture de notre mort quotidienne !

Je n’avais pas vu vos commentaires. Tant mieux si tu imagines une fin plus rêveuse que cela, 365.2425, et peut-être pas une fin mais un nouveau départ, une autre histoire... Je t’y encourage vivement et je te le souhaite de tout coeur ! Pour ma part, j’ai l’impression que l’histoire se joue sans que, hélas, ne s’ouvre l’espoir de pages moins sombres et sans que je ne puisse, hélas, rien y changer quoi que j’entreprenne, mais c’est une si longue histoire. J’espère encore que demain m’aura fait mentir, cependant. Qui sait ? Mais vous, dont le coeur n’a pas été trop mis à nu, la vie n’a pas été trop malmenée, vous qui pouvez encore croire en demain, en vos chances, vivez, espérez et ne vous consumez pas en vain...