Bénit le temps
D’ivresse infinie
Entre chagrins et plaisirs
Qu’à trois nous vécûmes.
Fille d’Amour, rappelle-toi
Sur son sein déchiré
Combien d’heures passées
A cueillir les délices
D’une mère attendrie.
Fille du Tendre,
Repose-toi sur son cœur
Vit comme lui la tendresse qu’il te porte
Et emporte avec toi
L’Amour qu’il te lègue.
Ecrit le
Ven 19 Août 2005, 09:17
par Kurodo,
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