De lumière en lumière je pourrais avancer.
Mais ce brouillard est mien et j’y erre désormais,
Pas un seul repère n’est là pour me guider.
Il est né de mes peurs, a grandi par les tiennes
Gorgé de nos erreurs il exalte ma peine.
J’attends ce vent du nord, qu’il purifie nos airs
Qu’il souffle et souffle encore, que l’on y voit plus clair.
Ecrit le
Jeu 08 Déc 2005, 20:00
par l'homme de sable,
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