C’est à peine si du coin de l’œil on aperçoit la beauté fugace du soleil posé là.
On marche, on marche encore sans trop savoir pourquoi,
L’envie d’être ailleurs à chacun de ses pas,
Et d’oublier un peu peines et tracas.
Bien sûr on n’oublie rien
Mais on y pense moins.
Marchant ainsi hier dans les rues de Paris
Mes idées en désordre on trouver un nouveau tri.
La solitude enfin, à défaut d’être amie,
A perdu tout à coup son statut d’ennemie.
Elle ne me quittera pas, elle.
Je ne l’aimerai pas, mais la rendrai plus belle.
Un jour c’est moi qui m’en irai,
La laissant seule à son tour, je la remercierai.
Elle qui sera l’unique à pouvoir m’apporter
Dans ces instants perdus que je dois traverser.
Ecrit le 
		Dim 11 Déc 2005, 13:16 
		par l'homme de sable,
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 Un titre clin d'œil pour regrouper tous les textes qui ne pourraient rentrer dans les autres sujets. états d’âme, poèmes d'amour, poésies, etc.
		Un titre clin d'œil pour regrouper tous les textes qui ne pourraient rentrer dans les autres sujets. états d’âme, poèmes d'amour, poésies, etc. 
		
	








